Sans reprendre l’intégralité de la liste à la Prévert de tout à l’heure, rappelons tout de même que dès 2016, des documents internes alertaient les chefferies de Facebook sur le fait que 64 % des personnes qui ont rejoint des groupes à tendance extrémiste les ont trouvés grâce à nos outils de recommandations.
Désolé, j’ai du mal avec la fin de cette phrase : je ne peux pas lire grand chose du lien faute d’être abonné au journal en question, mais je suppose que ce « nos » fait référence aux algorithmes de recommandation de Facebook ?
Pour le reste, édito intéressant et incisif. Merci Mathilde.
Il y a aussi ceux à qui ça n'a jamais été expliqué parce qu'ils n'ont jamais eu de temps à y consacrer.
Ou qui ont le tuyau de la comprenette bouché : c’est le cas de ma maîtresse. Elle veut tout savoir, s’énerve pour se faire expliquer les choses, mais ne retient rien. C’est rebelotte à chaque fois
Le
20/01/2024 à
11h
48
Tiens, j'ai un problème avec mon PC, tu peux m'aider ?
Votre correspondant n'est pas disponible actuellement., veuillez essayer ultérieurement.
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Bip bip bip
Le
20/01/2024 à
11h
30
"En offrant des macs"
Je suis égoïstement généreux disons
Le
20/01/2024 à
11h
13
Un IT guy m’avait raconté cette histoire assez truculente (à laquelle j’ai la faiblesse de croire) qui lui était arrivée il y a des années de cela. Il s’était fait virer parce qu’il avait « supprimé l’historique des mails » du DG.
Lors d’un problème avec la messagerie de ce dernier (messagerie vérolée) l’IT a procédé à quelques opérations de base comme de vider la corbeille etc. Or le DG n’avait rien trouvé de mieux que de stocker consciencieusement ses mails importants dans la corbeille Outlook…
Le
20/01/2024 à
10h
45
Ma profession n’a qu’un vague lien avec « l’informatique », mais il est vrai que c’est généralement tout ce qu’ont retenu la plupart de mes proches. Je ne peux pas leur en vouloir : je déteste expliquer mon métier, et réponds invariablement par un bref salmigondi montrant bien que « n’allons pas plus loin ». J’ai donc fait comme beaucoup ici les frais de ces demandes, m’y suis parfois collé sur mes seules connaissances personnelles issue de ma curiosité pour la chose (mon PC est lent, l’antivirus déconne, je trouve plus Excel depuis que j’ai changé etc). J’ai résolu une grosse partie de cela par une mauvaise volonté clairement affichée, confinant parfois à une attitude acariâtre, mais surtout en offrant des Mac, réduisant les emmerdes à quasiment 0.
« Pour rappel, ce n’est pas parce que vous n’avez pas de compte Facebook que vous n’êtes pas pisté. Les sites peuvent envoyer des données à Meta lorsque vous effectuez une recherche ou remplissez un formulaire. La simple présence d’un bouton de partage Facebook ou de code du réseau social dans celui de la page peut être suffisant pour envoyer des données vers les serveurs de Meta. »
Y a cette merdouille de bouton dans le pied de page de Next Ça envoie toutes les conneries que je raconte dans les commentaires chez FB ?
Trooppper l’a bien saisi, chez moji, le mojito est de rigueur.
Pour te répondre dans la foulée Trooppper, je suis d’accord avec le fait que ce genre de mots n’a pas sa place ici. Cela étant dit, on peut aussi être offensant sans les utiliser, et j’intègre pleinement ce périmètre quand j’invoque le débat de qualité. Et merci pour tes efforts, l’étape suivante c’est de chercher à élever le débat quand il y a un désaccord plutôt que d’en rester à l’invective, même « polie ». On y est presque 😍
j’en appelle à la modération : hors sujet + apologie de la dypsomanie
Le
20/01/2024 à
11h
26
Dans son premier commentaire, c'était plus évident :
Je pense qu'il s'agirai surtout d'une protection : aujourd'hui, n'importe qui ayant le pouvoir et la majorité à l'AN peut révoquer le droit à l'avortement.
Si c'est dans la constitution, ça doit passer par un référendum, rendant ça beaucoup plus difficile à retirer.
Et j'ai lu le second commentaire en ayant en tête le premier.
N'oublions pas que la modification par le Congrès, nécessite une majorité des 3/5, ce qui protège aussi de modifications par une majorité trop petite. Le passage par le Congrès est donc aussi une bonne protection.
Au temps pour moi dans ce cas.
De toute manière, je ne conçois pas aujourd’hui que l’on puisse arriver à un retour de l’interdiction de l’IVG en France. Les détracteur de l’interruption de grossesse font beaucoup de bruit par moment mais l’opinion très majoritaire ne laisserait pas passer ça et il y aurait un gros bordel dont pas grand monde ne veut.
Quant à la protection par l’inscription dans la constitution, aussi jolie et symboliquement importante soit-elle, je ne suis pas sûr qu’elle soit réellement suffisante, pour le cas où un ou une tarée serait mis au pouvoir, à empêcher sa révocation d’une manière ou d’une autre.
Le
20/01/2024 à
11h
03
On peut modifier la constitution sans référendum. ça fait 2 fois que tu fais cette erreur.
Le dernier référendum ayant modifié notre constitution date du 24/09/2000 et a établi le quinquennat.
Depuis, il y a eu 9 modifications toutes adoptées par le Parlement réuni en Congrès
Je ne crois pas qu’il ait dit qu’une modification nécessitait strictement un référendum. Sans forcément défendre ce point de vue, je le lis comme cela : pour une modification de la constitution, il lui est préférable d’adresser la modification à un référendum plutôt qu’au bon vouloir d’une majorité en place (qu’elle soit présidentielle ou parlementaire).
Je pense que la notion c'est essentielle, c'est "préjudice à l'utilisateur".
Tu vas sur un site avec cookie wall payant (genre allociné). Si tu refuses, le préjudice est nul (hormis le fait de ne pas consulter le site). Et tu peux généralement aller voir ailleurs.
Si tu prends Yahoo, que tu refuses, tu n'accèdes pas à tes mails. Ce qui est autrement plus problématique et préjudiciable, car tu ne peux pas aller voir ailleurs (sauf à changer d'adresse e-mail ou à utiliser un outil tiers). MAIS ! Car il y a un mais ! A la lecture de la délibération, notamment le point 99 compléter par le point 103, on y apprend que le retrait du consentement bloque, non seulement l'accès au webmail, mais aussi à la messagerie par des outils tiers (= clients mails).
De ce fait, le retrait du consentement présente un préjudice important pour l'utilisateur (l'obligation de changer d'adresse e-mail) puisque l'absence de consentement bloque complètement l'accès au service de messagerie, et que Yahoo ne propose aucune alternative (comme payer pour le service).
Je ne connais pas bien Yahoo! Ma femme a toujours son e-mail personnelle dessus. C’est compliqué de changer son adresse de messagerie principale et historique. Ça demande du temps et un certain investissement. De nombreuses fois je lui ai conseillé de le faire mais les conseilleurs ne sont pas les payeurs. Nous avons fait des tentatives : toutes ont échoué lamentablement, en partie parce qu’elle s’en fout un peu (sauf quand le service merde), en partie parce que Yahoo! ne facilite pas non plus cette opération.
Yahoo! À toujours mis des barrières plus ou moins importantes à l’utilisation de leur service en dehors de la consultation en ligne. En tout cas &u moins constaté lors de ces tentatives de migration. Je crois me rappeler de certaines difficultés à paramétrer Mail sur son Mac et son iPhone, ou bien des redirections vers une autre adresse mail, le temps de la faire migrer. Rien de comparable avec d’autres acteurs du marché. Une vraie merde.
Sans aucun doute parce que c’est tout leur business modèle qui repose entièrement là dessus - abreuver de publicité lors de l’accès à et durant la consultation des mails.
Ce modèle est entendable, (pub contre service) mais retenir captif des clients par le seul volet technique, est une sorte d’aveux d’impuissance qui ne les honore pas.
C'est un sujet intéressant, et tu poses les bonnes questions 😊 Voici les bonnes réponses.
Au moment de la reprise, j'ai précisément hésité entre 5 euros et 10 euros. J'étais plutôt parti sur la première hypothèse initialement, je me disais que c'était joli et tout, j’aimais bien l’idée de redescendre le prix (surtout que je suis contre les promos depuis le début, ça permettait de satisfaire tout le monde). Puis j'ai fait les comptes, à une heure de la conférence, et j'ai estimé l'hypothèse du pire. Si les gens refusent globalement de payer, est-ce qu'il vaut mieux avoir une minorité de gens à 5 ou une plus petite minorité à 8-10 ? Je suis parti sur la seconde option par ambition, je voudrais que Next prenne de l'épaisseur, et pour ce faire, il faut des moyens, et il ne faut pas se brader non plus, il faut que le prix soit à la hauteur de l’effort consenti. Si on part sur un grand tournant, qu'on veut investir pour le média sur le long terme, il vaut mieux embarquer d'abord les convaincus, et convaincre le reste par la qualité toujours meilleure du média avec le temps. Je n'aime pas l'idée de changer trop radicalement la formule en cours de route, si on part sur 5, on aurait dû y rester, et je ne connais pas de média avec un débit de news comparable qui les tiennent (et en plus, nous partons d'un point bas, NXI allait mal). L’offre à 25 euros permettait de faire la synthèse entre revenu décent pour le journal et équité sociale pour les plus faibles revenus, ça paraissait cohérent.
Je n'avais pas en tête l'abo d'Arrêt sur Images à tarif réduit, c'est la seule exception que je connaisse en effet, maintenant, la quantité de contenu sur ASI est nettement inférieure à Next, je vois un article par jour environ, vs. 5 pour nous, sans compter les Briefs. De même, je suis abonné à CPC (qui ne fait pas de tarif réduit d’ailleurs), mais en ce qui me concerne, je répugne à aller lire les magazines dans une liseuse, je ne lis que les articles en ligne, et pour 5 euros, il y a beaucoup moins que deux fois moins de contenu sur Next. D'ailleurs, pour en avoir discuté avec CPC, leur modèle est en train de shifter vers la vidéo, ils font de la valeur avec des abonnements mezzanine sur les autres formats, le ticket moyen par abonné dépasse largement les 5 euros (et ils ont un peu de pub en plus, ce que nous avons choisi de ne pas avoir). C'est quand même un chouette journal, hein, aucune critique ici, la pub est une évidence pour la presse.
A 5 euros, on a aussi MacG, auquel je suis également abonné. Si on enlève les très nombreux articles qui sont en fait des liens d'achats sponso sur Amazon, au niveau du contenu là aussi on est en dessous. Personnellement, je trouve qu’ils tirent de plus en plus vers du consumériste un peu systématique, ce qui me gène un peu (et je ne veux pas tirer sur un confrère dans l’absolu, c’est un média que j’aime beaucoup auquel je suis abonné depuis très longtemps, et il y a toujours des bons articles dans le tas - coucou Dandu). Next est rigoureusement à l’opposé sur ce point, et ça nous coûte un peu de lectorat probablement, rares sont devenus les articles « bonbons » qui vont satisfaire nos bas instincts de geeks, mais il y a plein de médias gratuits pour ça (c’est ce qui paye le mieux d’ailleurs).
A l'inverse, un Le Monde va avoir beaucoup plus de contenu par euro d'abo investi, mais leur base d'abonnés est beaucoup beaucoup plus large - et c'est un peu pareil pour Mediapart. D’ailleurs, Le Monde a aussi des pubs pour ses abonnés, ce qui a le don de m’irriter.
Si les gens aimeraient payer idéalement 5 euros par média, je l'entends, mais ce n'est pas possible pour tous les médias, et c’est un vœux pieu d’une assemblée de gens qui ne représente qu’elle-même. Si on m’avait présenté une étude qui aurait garanti qu’on aurait vendu plus de deux fois plus d’abonnements à 5 euros, je l’aurais fait évidemment, mais je pense que ce n’est pas la réalité. A l’inverse, tenter des lecteurs à 8-10, et les convaincre au bout d’un temps, c’est plus risqué à court terme, mais ce sont des garanties d’un avenir meilleur à long terme si on bosse bien. Dans un cas, notre avenir dépend notre bonne analyse d’un seuil psychologique, dans l’autre, notre avenir dépend de notre travail.
En ce qui concerne les statistiques des revenus et charges des français, ils recouvrent des réalités très diverses (selon qu’on vit seul, en couple, avec des enfants, à Paris ou à Clermont Ferrand, qu’on est locataire ou propriétaire, qu’on hérite ou pas). Je ne suis pas économiste, mais j’ai un bac +5 en doigt mouillé. On s’est mis à 20k nets, parce qu’il fallait que ce soit facile à appréhender pour tout le monde, et que ça soit significativement plus que le SMIC. A charge pour chacun de faire ses choix derrière 😊
« A 5 euros, on a aussi MacG, auquel je suis également abonné. Si on enlève les très nombreux articles qui sont en fait des liens d'achats sponso sur Amazon, au niveau du contenu là aussi on est en dessous »
Je suis abonné MacG, parce que Apple User, et aussi parce que j’aime bien l’ambiance. Tu oublies dans ta bonté une bonne partie de relais de rumeurs et prédictions divinatoires (le monde Apple en est friand) ainsi qu’un certain nombre de tests/prise en main rapide de produits (hors produits Pommés), qui viennent remplir la grille de contenu à « peu de frais ». Ça créée de la vie, je m’y laisse aller, mais pour moi, vous ne jouez clairement pas la même musique avec une offre plus sobre, qui ne propose que peu de gras.
« D’ailleurs, Le Monde a aussi des pubs pour ses abonnés, ce qui a le don de m’irriter. »
Ah tiens : je n’ai pas vraiment remarqué de pubs, étant pourtant également abonné au Monde. Ce doit être assez discret.
À vrai dire, n’étant plus le temps ni l’envie de me fader les news TV ou radio, je suis abonné à quelques canards comme le Monde et Libé. C’est mon lien avec l’actualité, avec la société, histoire de ne pas finir inconscient de ce qui m’entoure, mais sans la crainte de finir zombifié par le sensationnalisme parfois écoeurant des média audiovisuels d’aujourd’hui. Il y a aussi une part de militantisme - un peu inconsciente je pense - pour faire en sorte qu’une presse de qualité (ou du moins que je considère comme telle) puisse continuer d’exister. Néanmoins je ne mettrai plus pour autant un kopek dans un truc sur lequel je ne jetterai pas un œil régulièrement. Pas parce que je n’en ai pas les moyens, mais simplement parce que je pense que ce n’est pas un bon moyen de les aider. Un organe de presse doit trouver sa ligne éditoriale, trouver et garder son lectorat, aussi restreint soit-il, ainsi que ses moyens de vivre, sans quoi il ne vit que dans l’illusion d’avoir une pertinence suffisante à sa subsistance. Je n’ai rien contre ceux qui procèdent ainsi, c’est simplement sans moi.
Le
14/01/2024 à
13h
34
Le bon lien Et aussi sur France Inter, j'ai écouté cette émission là et ça semblait intéressant.
Merci !
J’ai corrigé (suis pas un codeur 🤣 même si j’ai pratiqué un peu de scripting. Le markdown connais pas : j’ai dû aller sur un site me « former » juste pour mettre ce lien et un * s’est positionné au mauvais endroit foutant el l’air l’URL ) vivement une aide dans l’éditeur pour les troubadours dans mon genre)
Le
14/01/2024 à
13h
14
Toujours sur France Culture en podcast, (écouté en live l’autre jour), comment une écrivaine, Nathalie Azoulai, (et sa narratrice) découvre, se fascine, pour le monde des « codeurs ». De la relation de l’écriture avec ce qui en est une autre sorte : la programmation, le code. Python
« La narratrice découvre que sous le monde qu'on habite, il y a des couches d'écriture. Il y a un palimpseste qui fait l'objet de beaucoup de fascination et de mythologie pour les écrivains, mais qui n'est ni vu, ni connu, ni regardé. La narratrice veut comprendre comment ces textes ont été créés, par qui et comment. Est-ce qu'il y a des couches ? Est-ce qu'il y a des compilations ? C'est une forme de découverte cognitive qui est vertigineuse. Et puis elle découvre que ces jeunes gens qui codent et qui parlent très mal la langue française, ou d'autres langues d'ailleurs, écrivent avec une exactitude totale quand ils codent. La moindre virgule ou le moindre guillemet manquant fait que le programme ne va pas s'exécuter. »
La meilleure gestion de sécurité devrait passer par la séparation des tâches critiques. Car bien protéger est un équilibre parfois instable entre commodité et robustesse. Si on tire trop sur l’aspect commodité, on entraîne de facto une situation de risque. La mise en œuvre de systèmes abscons et trop complexes mal attribués génère soit la non utilisation (mode de connexion si compliqué que l’usager n’arrive pas à l’utiliser et délaisse le service) soit la remédiation par des astuces qui viennent annihiler la protection (comme le post-it sur le bureau virtuel plein de paires login / mots de passes hypercomplexes).
Le gestionnaire de mots de passe est un essentiel aujourd’hui. Car il vient contrecarrer la difficulté croissante de connexion, pas seulement parce qu’il stocke en zone « protégée » les informations, mais aussi parce qu’il simplifie (reconnaissance du lieu plus complétion automatique) - plus besoin de connaître l’information : il la connaît pour nous.
Néanmoins couplé à une authentification forte on peut se demander à quoi sert vraiment encore le mot de passe (question) ? Si j’ai besoin du code TOTP ou de tout autre moyen qui m’authentifie par rapport à un appareil, donnée biométrique, ou autre, est ce encore utile de rendre nécessaire le,mot de passe, surtout s’il est stocké, comme dans les gestionnaires de mot de passe moderne juste à côté du générateur de code TOTP… L’idée du passwordless fait son chemin dans certains cas d’ailleurs.
C’est là que peut entrer en compte la séparation de domaines critique : pour l’accès à certaines opérations courantes l’authentification forte est superfétatoire. Et l’authentification simple, suffisante, tandis que l’authentification forte donne accès aux opérations qui présentent un risque. Accéder à son solde de compte en banque en lecture seule est-il une opération critique ? Doit-on la protéger autant que celle consistant à ajouter un bénéficiaire et lui faire un virement ?
Le jour où il existera un moyen unifié, non contraignant et sûr à 100% de prouver que la personne qui accède aux informations est authentique n’est pas venu. Il viendra sûrement. Pour le moment on en est encore au moyen âge à ce sujet, je crois.
« Le premier disant, on n'a pas d'infos qui chiffrent les impacts positifs ou négatifs du numérique mais qui finit par dire que si le bilan était positif, on nous le dirait (entreprises, administrations,...). C'est un peu léger comme démonstration pour un expert !«
Je te trouve un peu dur pour le coup. Un spécialiste ou expert d’un domaine, peut, pour un sous domaine donné, manquer d’informations substantielles : cette reconnaissance d’impuissance à pouvoir délivrer un constat pragmatique sur la question est plutôt à mettre à son actif quand on voit et entend le nombre de pseudo experts qui compensent leur impuissance par des élucubrations pseudo savantes avec une assurance de margoulin. De plus il est parfois tout aussi intéressant de savoir (et faire savoir) que l’on n’a pas encore d’éléments fiables de mesure : c’est en soi une information importante à considérer.
Un bel exemple des "petits détails qui creusent la différence" : https://www.macg.co/materiel/2022/03/une-solution-pour-utiliser-la-magic-mouse-pendant-la-charge-ou-presque-128017?page=1
Tu es un vilain petit garnement
Le
09/01/2024 à
22h
41
Plus que quelques semaines pour commencer à apprécier ce que Apple a préparé. Ce casque est un vrai sujet casse gueule. Je suis pour ma part assez curieux de la partie logicielle et de son intégration avec la partie matérielle, au delà des quelques minutes qu’ont eu les premiers testeurs en sortie de keynote. Apple ce sont des malins et des peaufineurs, surtout dans les petits détails qui creusent la différence, imposent un nouvel usage et créent des précédents. À voir s’ils sauront relever la sauce, une fois encore, par cette proposition, d’un sujet qui, faute de ce je-ne-sais-quoi que la pomme est capable d’accoucher, a pour le moment manqué le coche.
Sans entrer dans les détails, il faut concevoir comment s’applique la fiscalité au niveau d’un groupe et ainsi d’une multinationale. Chaque filiale, en tant que société, a une remontée fiscale dans sa juridiction de rattachement (France, US, Irlande, Bermudes etc). Elle déclare un certain nombre d’informations sur ses comptes. L’impôt de chaque filiale est calculé selon les règles de cette juridiction : en simplifié, sur la base des bénéfices dégagés (avec pour chaque juridiction un certain nombre de règles propres - déductions, aménagements de la base fiscale etc) un taux est appliqué.
Puis dans le cadre de la consolidation des chiffres du groupe, le montant d’impôt des filiales est agrégé (consolidé) pour être présenté aux actionnaires du groupe (rapport annuel).
On comprend dés lors qu’il sera plus intéressant de faire par exemple apparaître, par un ensemble de combines la plupart légales, les profits dans les comptes de sociétés des juridictions les plus attrayante en matière de fiscalité et de jouer sur les avantages de l’appartenance à un groupe pour optimiser sa fiscalité. Je ne parle pas ici d’intégration fiscale : c’est à dire de qui paye l’impôt des filiales. Mais de l’impôt affiché et à payer (que ce soit par la filiale elle même ou par la maison mère pour ses filiales dans le cadre d’accord de groupe). L’intégration fiscale permet en outre et notamment de ventiler les déficits fiscaux (crédit d’impôt obtenus par une filiale en particulier) sur les autres filiales sur l’année en cours afin de profiter plus vite du crédit d’impôt (un crédit d’impôt n’est activable sinon que sur le futur).
Bref impôt du groupe = somme des impôts de ses filiales calculé et acquitté pour chacune dans sa juridiction.
Dans le cadre de cet accord dont fait l’objet l’article, le but est de vérifier, juridiction par juridiction, le taux d’impôt « effectif ». En simplifiant toujours car il y a toute une machinerie derrière pour ajuster aussi bien le dénominateur que le numérateur : on agrégé juridiction par juridiction les éléments, on calcule ce taux par le rapport montant d’impôt/base d’impôt. Si dans une juridiction le taux effectif est inférieur à 15%, (par exemple 11%) alors la différence (15%-11%=4%) est considéré comme une top-up tax, un impôt complémentaire à payer à la juridiction. D’où la notion de « minimum » d’impôt.
C’est là qu’intervient la notion de substance évoquée par Schismatrice : ce taux d’impôt complémentaire n’est pas appliqué directement au revenu agrégé de la juridiction, mais à un revenu duquel est soustrait une partie correspondant à un % (5%) de la valeur des actifs et payroll costs (salaires pensions etc). Bonus visant à favoriser les juridictions dans lesquelles il y’a réellement de l’activité.
On comprend dés lors l’objectif de ce montage de l’OCDE : d’assurer à chacune des juridictions un « minimum » de revenus fiscaux en provenance des groupes internationaux et de réguler un tant soi peu les fuites fiscales.
Tout cela n’est pas parfait bien sûr. Mais disons que l’on assiste à une tentative de régulation au niveau mondial en vue de remonter le volume d’impôt capté aussi bien par les juridictions que par effet boule de neige au niveau international.
Le
08/01/2024 à
21h
09
De toute façon, dans tous les cas, le « taux effectif », comme pour tout impôt, n’a de sens que par rapport à la manière de composer la base imposable et n’est jamais le taux affiché.
Quant à la substance base carve out, qui consiste à retirer de cette base, un pourcentage de la valorisation des actifs et payroll costs (5%) l’idée est de se prémunir de la pratique consistant à ré allouer du revenu dans des paradis fiscaux dans lesquels aucune activité substantielle n’est réalisée dans le seul but d’éviter l’impôt, en donnant un bonus aux juridictions dans lesquelles il y a réellement de l’activité. C’est d’ailleurs sauf erreur de ma part une mesure temporaire.
De mon côté, bien que cela puisse paraître un peu décevant à certains, je considère que c’est un premier effort intéressant, dans un contexte où il est de toute façon difficile d’avancer en termes d’harmonisation internationale.
Ma pomme : Lis deux paragraphes. Vérifie la date dans le coin haut gauche de l’écran. Une fois. Deux fois. Poursuit la lecture. Revérifie. Continue. Ris jaune. Attends le moment où la supercherie sera dévoilée. Atteins la fin de l’article.
À chaque fois que j'entends parler des sachants sur RISC-V jai l'impression de lire un article sur l'USB3 (n'en déplaise à David pour qui ça avait pourtant l'air clair comme de l'eau de roche ^^).
De mon côté, je ne prends même plus le RISC de perdre du temps à essayer de comprendre, même si cela me DSPère. C’est sans ESPoir : je ne joue pas à ARM égales. Me contente d’utiliser mon iPad M1 avec ou sans virgule flottante.
Perso, j'ai mon idée : une taxe au MTTF trop bas. MTTF = mean time to failure donc temps moyen jusqu'à la panne en bon Français.
C'est la continuité de la lutte contre les objets jetables. Un objet non jetable mais dont la durée de vie est trop courte est néfaste pour l'environnement.
Rendre cher les articles de mauvaises qualité serait une bonne chose selon moi.
« Rendre cher les articles de mauvaises qualité serait une bonne chose selon moi. »
Certaines boites l’on bien compris et n’ont pas attendu une loi pour souscrire à cette tendance
Nourris aux grains issus de l’agriculture biologique, et élevés en pâturage extensif. Vers la fin d’année calendaire certains sont nourris d’une pâtée enrichie (photons chaponnés).
La notion d'entrée de gamme pour les ipad est relative, même le mini est cher chez la pomme.
Il n’y a pas de bas de gamme chez la pomme 😎. Même la chiffonnette est haut de gamme
Plus sérieusement : il y a des gammes de produit Apple et dans chacune des gammes, un haut et un bas. Et le bas de chaque gamme correspond, sauf exception dont je n’ai pas d’exemple immédiat, à un produit qui par ses caractéristiques diverses est d’un niveau de finition, d’ingéniérie, d’apport fonctionnel etc qui le situe par rapport à la concurrence générale vers le haut du panier.
Si on se place du côté tarifaire, Apple a du coup le don pour présenter des entrées de gamme dont le prix est hors sol parfois (et parfois même à tous les niveaux de gamme). Notamment pour les raisons invoquées ci-dessus mais pas que. L’image « premium », l’intégration dans son propre écosystème, tout un tas de raison qui font qu’elle se le permet, avec un détachement un peu hautain. Et qui fait que le point d’entrée reste à un niveau de prix qui va faire grincer des dents certains et déchaîner par moment les discussions.
L’autre point sur lequel Apple est également hors sol bien souvent c’est sur les options qui permettent de passer du point de départ à un niveau supérieur (d’espace disque, de mémoire etc) ou de compléter le produit (les roulettes du Mac Pro ont à elles seules alimentées les railleries les plus endiablées 😝)
Le
06/01/2024 à
10h
15
Je ne sais pas si tu connais cette astuce ou non quand tu utilises le clavier virtuel : maintiens la touche espace du clavier virtuel enfoncée et au bout de 2sec, le clavier disparaît pour devenir l'équivalent d'un trackpad sur portable qui te laisse positionner le curseur comme tu veux. Dès que tu relâches, le clavier virtuel réapparaît.
Je connaissais mais j’avoue n’utilise pas. La seule « astuce » que j’utilise abondamment c’est la saisie des chiffres par glissement de haut en bas que m’avait fait découvrir un Genius en Apple Store lors de la saisie d’informations sur son iPad pour prise en charge en SAV de mon Mac. C’est d’ailleurs à cette occasion que j’ai acquis l’iPad pro M1 12p, pour combler l’absence de Mac pendant son immobilisation, et que depuis mon Mac perso, revenu tout neuf, reste la plupart du temps à l’arrêt tant j’ai adopté l’iPad pour la très grande majorité de mes activités numériques.
Le
04/01/2024 à
21h
03
Perso, en mode nomade, ipadOS me va très bien. Mas pas suffisant pour remplacer un vrai mac de bureau.
Par contre, ce qui me gave au plus haut point sur ipadOS (iOS aussi mais vu que je m’en sers quasi que pour téléphoner, faisant tout le reste avec l’ipad, …) c’est l’absence des 4 touches directives : pour se déplacer dans le texte et corriger un erreur de frappe (ou de correcteur auto merdique), c’est la galère sans nom. Les deux options tactiles proposées n’étant pas fiable à 100% (et viser une lettre précise, un calvaire la plupart du temps)
Ouaip : sans clavier c’est parfois relou de positionner le curseur à l’endroit voulu. Il faut un certain coup de main (ou plutôt de doigt) et parfois un peu de tolérance à la crispation selon l’endroit où on est dans l’interface. Par exemple dans le champ de rédaction du commentaire ça marche très bien. Il faut ramener ça à la définition/résolution comparé au périphérique de sélection qu’est le doigt justement. Le soucis disparaît complètement avec un clavier puisque les touches directionnelles sont dés lors opérationnelles.
Le
03/01/2024 à
21h
25
La tablette c'est vendu comme un smartphone wifi-only avec un grand écran.
Apple n'a aucun intérêt à changer cela et risquer de canibaliser ses ventes de laptop/desktop/phone.
Oui et non :)
C’est oublier tous les softs ou app qui bossent en mode iPadOS c’est à dire optimisés pour un affichage sur une plus grande surface ainsi qu’à,l’utilisation du stylet.
Je peux vaguement comprendre ceux qui espèrent un OSX sur iPad mais personnellement je n’attends pas cette possibilité spécialement. Un iPad fait déjà beaucoup de choses qu’un Mac fait. Il le fait un peu différemment. Pas si mal du tout dans une logique de gestion au doigt, et pas mal du tout également quand on y colle un clavier et why not un trackpad ou souris. Et il fait un certain nombre de choses impossible avec un Mac. Ce qui est un brin agaçant (mais qui s’est amélioré cependant) c’est la gestion des fichiers : on est loin du Finder (qui est pourtant en dessous à mon sens de l’explorer de Windows). Néanmoins une fois qu’on a compris la logique de gestion des fichiers ça passe et c’est un moyen de cloisonner l’accès au stockage qui se défend (ou pas )
« Des chiffres à prendre avec précaution : le taux d'OS Windows serait en effet étrangement passé de 69 à près de 73 % en décembre 2023, celui des Mac OS X de 21 à un peu plus de 16 %, et la part des Chrome OS de près de 4 à moins de 3 % dans le même temps. »
Ouaip chelou en effet une telle variation mensuelle!
Ceci dit, cela donne une idée ou tendance (à quel point juste ?) de la question que je posais dans le cadre de l’article sur Zorin OS : tant d’efforts pour combien d’utilisateurs.
Tout cela me semble t-il pose la question du devenir et du marchandage des sources. On parle beaucoup d’utilisation non autorisée (ce qui est normal). Mais imaginons que Pixar ou Coca Cola ait vendu l’utilisation de ses œuvres (1) voire ait payé (2) contre l’assurance qu’elles ressortent dans un certain nombre de requêtes, associées à certains mots clés. De la même manière que Google monnaye le ranking de ses résultats de recherche, les générateurs de contenus pourraient monnayer l’apparition de l’image de marque de clients dans les résultats. Du placement produit en quelque sorte.
Salut FraGG ! Je travaille actuellement sur ipad pro avec son stylet depuis des petits soucis de santé, pour plus de mobilité. Le logiciel est Procreate (super pour le dessin). :-) oui, pour le "pointillisme'" dont tu parles, il s'agit de trames, qui donnent un petit effet sympa à l'occasion. merci à toi pour l'appréciation des détails !
« Je travaille actuellement sur ipad pro avec son stylet » Pas étonné. What else de toute manière? 😎
C’est très beau la souveraineté mais si seulement le quart des pays indépendants se mettent à pousser leur propre constellation de satellites en orbite basse, c’est pas loin de 50 constellations qui seraient déployées. Pour une mise en perspective : OneWeb c’est 650 objets (objectif de 10 fois plus), Starlink 5200 (objectif de 42000). Il y a sans doute une vraie question à se poser quant aux conséquences.
Butiner, de manière similaire à ce que les abeilles font. Ces satellites sont conçus pour aller de satellite en satellite pour collecter les données. La NSA opère sur le principe de "harvest now, decrypt later" quand il n'est pas encore possible de casser le chiffrement. Il est toujours envisageable que la NSA (ou toute autre organisme des USA) soit déjà en capacité de lire certaines de nos communications chiffrées.
« Butiner, de manière similaire à ce que les abeilles font » Yep : je trouve bien évocateur et bien trouvé en effet. 🐝
Le
20/12/2023 à
09h
23
« Pas vraiment compris ce que veut dire "butiner"... »
Je trouve l’image très évocatrice, mais le texte de l’article en donne une définition en parlant de satellites espions :
IO précise que leur mission est d'« assurer la collecte, depuis l'espace et sur des satellites étrangers, de renseignement au profit de la NSA américaine »
351 commentaires
Avec #Flock, l’heure c’est l’heure !
27/01/2024
Le 27/01/2024 à 16h 19
[Édito] Liberté d’expression n’est pas synonyme d’irresponsabilité
26/01/2024
Le 27/01/2024 à 11h 36
Désolé, j’ai du mal avec la fin de cette phrase : je ne peux pas lire grand chose du lien faute d’être abonné au journal en question, mais je suppose que ce « nos » fait référence aux algorithmes de recommandation de Facebook ?Pour le reste, édito intéressant et incisif. Merci Mathilde.
658e édition des LIDD : Liens Intelligents Du Dimanche
21/01/2024
Le 21/01/2024 à 10h 26
Bon dieu, je me suis bien perdu dans cette enquête sur le comment un Y avait pu être illustré par une hache sue ce ballon éducatif…Avec #Flock, un spectacle dont vous êtes le héros
20/01/2024
Le 20/01/2024 à 21h 59
Le crobar sur l’anti-avortement est énorme[Édito] « Au fait, toi qui travailles dans l’informatique… » STOP !
19/01/2024
Le 20/01/2024 à 18h 04
Le 20/01/2024 à 11h 48
Votre correspondant n'est pas disponible actuellement., veuillez essayer ultérieurement.
Bip bip bip
Le 20/01/2024 à 11h 30
Le 20/01/2024 à 11h 13
Un IT guy m’avait raconté cette histoire assez truculente (à laquelle j’ai la faiblesse de croire) qui lui était arrivée il y a des années de cela. Il s’était fait virer parce qu’il avait « supprimé l’historique des mails » du DG.Lors d’un problème avec la messagerie de ce dernier (messagerie vérolée) l’IT a procédé à quelques opérations de base comme de vider la corbeille etc. Or le DG n’avait rien trouvé de mieux que de stocker consciencieusement ses mails importants dans la corbeille Outlook…
Le 20/01/2024 à 10h 45
Ma profession n’a qu’un vague lien avec « l’informatique », mais il est vrai que c’est généralement tout ce qu’ont retenu la plupart de mes proches. Je ne peux pas leur en vouloir : je déteste expliquer mon métier, et réponds invariablement par un bref salmigondi montrant bien que « n’allons pas plus loin ». J’ai donc fait comme beaucoup ici les frais de ces demandes, m’y suis parfois collé sur mes seules connaissances personnelles issue de ma curiosité pour la chose (mon PC est lent, l’antivirus déconne, je trouve plus Excel depuis que j’ai changé etc).J’ai résolu une grosse partie de cela par une mauvaise volonté clairement affichée, confinant parfois à une attitude acariâtre, mais surtout en offrant des Mac, réduisant les emmerdes à quasiment 0.
Facebook reçoit des données de milliers d’entreprises, jusqu’à 48 000 pour une personne
18/01/2024
Le 20/01/2024 à 14h 58
Y a cette merdouille de bouton dans le pied de page de NextÇa envoie toutes les conneries que je raconte dans les commentaires chez FB ?
Avortement : en France aussi, les anti-choix diffusent de la désinformation
18/01/2024
Le 20/01/2024 à 12h 01
Le 20/01/2024 à 11h 26
De toute manière, je ne conçois pas aujourd’hui que l’on puisse arriver à un retour de l’interdiction de l’IVG en France. Les détracteur de l’interruption de grossesse font beaucoup de bruit par moment mais l’opinion très majoritaire ne laisserait pas passer ça et il y aurait un gros bordel dont pas grand monde ne veut.
Quant à la protection par l’inscription dans la constitution, aussi jolie et symboliquement importante soit-elle, je ne suis pas sûr qu’elle soit réellement suffisante, pour le cas où un ou une tarée serait mis au pouvoir, à empêcher sa révocation d’une manière ou d’une autre.
Le 20/01/2024 à 11h 03
Cookies : 10 millions d’euros d’amende pour Yahoo!
18/01/2024
Le 20/01/2024 à 10h 27
Ma femme a toujours son e-mail personnelle dessus. C’est compliqué de changer son adresse de messagerie principale et historique. Ça demande du temps et un certain investissement. De nombreuses fois je lui ai conseillé de le faire mais les conseilleurs ne sont pas les payeurs. Nous avons fait des tentatives : toutes ont échoué lamentablement, en partie parce qu’elle s’en fout un peu (sauf quand le service merde), en partie parce que Yahoo! ne facilite pas non plus cette opération.
Yahoo! À toujours mis des barrières plus ou moins importantes à l’utilisation de leur service en dehors de la consultation en ligne. En tout cas &u moins constaté lors de ces tentatives de migration. Je crois me rappeler de certaines difficultés à paramétrer Mail sur son Mac et son iPhone, ou bien des redirections vers une autre adresse mail, le temps de la faire migrer. Rien de comparable avec d’autres acteurs du marché. Une vraie merde.
Sans aucun doute parce que c’est tout leur business modèle qui repose entièrement là dessus - abreuver de publicité lors de l’accès à et durant la consultation des mails.
Ce modèle est entendable, (pub contre service) mais retenir captif des clients par le seul volet technique, est une sorte d’aveux d’impuissance qui ne les honore pas.
657e édition des LIDD : Liens Intelligents Du Dimanche
14/01/2024
Le 15/01/2024 à 23h 45
Je suis abonné MacG, parce que Apple User, et aussi parce que j’aime bien l’ambiance. Tu oublies dans ta bonté une bonne partie de relais de rumeurs et prédictions divinatoires (le monde Apple en est friand) ainsi qu’un certain nombre de tests/prise en main rapide de produits (hors produits Pommés), qui viennent remplir la grille de contenu à « peu de frais ». Ça créée de la vie, je m’y laisse aller, mais pour moi, vous ne jouez clairement pas la même musique avec une offre plus sobre, qui ne propose que peu de gras.
« D’ailleurs, Le Monde a aussi des pubs pour ses abonnés, ce qui a le don de m’irriter. »
Ah tiens : je n’ai pas vraiment remarqué de pubs, étant pourtant également abonné au Monde. Ce doit être assez discret.
À vrai dire, n’étant plus le temps ni l’envie de me fader les news TV ou radio, je suis abonné à quelques canards comme le Monde et Libé. C’est mon lien avec l’actualité, avec la société, histoire de ne pas finir inconscient de ce qui m’entoure, mais sans la crainte de finir zombifié par le sensationnalisme parfois écoeurant des média audiovisuels d’aujourd’hui. Il y a aussi une part de militantisme - un peu inconsciente je pense - pour faire en sorte qu’une presse de qualité (ou du moins que je considère comme telle) puisse continuer d’exister. Néanmoins je ne mettrai plus pour autant un kopek dans un truc sur lequel je ne jetterai pas un œil régulièrement. Pas parce que je n’en ai pas les moyens, mais simplement parce que je pense que ce n’est pas un bon moyen de les aider. Un organe de presse doit trouver sa ligne éditoriale, trouver et garder son lectorat, aussi restreint soit-il, ainsi que ses moyens de vivre, sans quoi il ne vit que dans l’illusion d’avoir une pertinence suffisante à sa subsistance. Je n’ai rien contre ceux qui procèdent ainsi, c’est simplement sans moi.
Le 14/01/2024 à 13h 34
J’ai corrigé (suis pas un codeur 🤣 même si j’ai pratiqué un peu de scripting. Le markdown connais pas : j’ai dû aller sur un site me « former » juste pour mettre ce lien et un * s’est positionné au mauvais endroit foutant el l’air l’URL ) vivement une aide dans l’éditeur pour les troubadours dans mon genre)
Le 14/01/2024 à 13h 14
Toujours sur France Culture en podcast, (écouté en live l’autre jour), comment une écrivaine, Nathalie Azoulai, (et sa narratrice) découvre, se fascine, pour le monde des « codeurs ». De la relation de l’écriture avec ce qui en est une autre sorte : la programmation, le code.Python
« La narratrice découvre que sous le monde qu'on habite, il y a des couches d'écriture. Il y a un palimpseste qui fait l'objet de beaucoup de fascination et de mythologie pour les écrivains, mais qui n'est ni vu, ni connu, ni regardé. La narratrice veut comprendre comment ces textes ont été créés, par qui et comment. Est-ce qu'il y a des couches ? Est-ce qu'il y a des compilations ? C'est une forme de découverte cognitive qui est vertigineuse. Et puis elle découvre que ces jeunes gens qui codent et qui parlent très mal la langue française, ou d'autres langues d'ailleurs, écrivent avec une exactitude totale quand ils codent. La moindre virgule ou le moindre guillemet manquant fait que le programme ne va pas s'exécuter. »
Bitecoin, ChatGPDG : avec #Flock, surtout, ne clignez pas des yeux !
13/01/2024
Le 13/01/2024 à 14h 12
Clockwork advertising[Édito] Mots de passe, double authentification : grrrrr… il est temps d’agir !
12/01/2024
Le 13/01/2024 à 09h 48
La meilleure gestion de sécurité devrait passer par la séparation des tâches critiques. Car bien protéger est un équilibre parfois instable entre commodité et robustesse. Si on tire trop sur l’aspect commodité, on entraîne de facto une situation de risque.La mise en œuvre de systèmes abscons et trop complexes mal attribués génère soit la non utilisation (mode de connexion si compliqué que l’usager n’arrive pas à l’utiliser et délaisse le service) soit la remédiation par des astuces qui viennent annihiler la protection (comme le post-it sur le bureau virtuel plein de paires login / mots de passes hypercomplexes).
Le gestionnaire de mots de passe est un essentiel aujourd’hui. Car il vient contrecarrer la difficulté croissante de connexion, pas seulement parce qu’il stocke en zone « protégée » les informations, mais aussi parce qu’il simplifie (reconnaissance du lieu plus complétion automatique) - plus besoin de connaître l’information : il la connaît pour nous.
Néanmoins couplé à une authentification forte on peut se demander à quoi sert vraiment encore le mot de passe (question) ? Si j’ai besoin du code TOTP ou de tout autre moyen qui m’authentifie par rapport à un appareil, donnée biométrique, ou autre, est ce encore utile de rendre nécessaire le,mot de passe, surtout s’il est stocké, comme dans les gestionnaires de mot de passe moderne juste à côté du générateur de code TOTP… L’idée du passwordless fait son chemin dans certains cas d’ailleurs.
C’est là que peut entrer en compte la séparation de domaines critique : pour l’accès à certaines opérations courantes l’authentification forte est superfétatoire. Et l’authentification simple, suffisante, tandis que l’authentification forte donne accès aux opérations qui présentent un risque. Accéder à son solde de compte en banque en lecture seule est-il une opération critique ? Doit-on la protéger autant que celle consistant à ajouter un bénéficiaire et lui faire un virement ?
Le jour où il existera un moyen unifié, non contraignant et sûr à 100% de prouver que la personne qui accède aux informations est authentique n’est pas venu. Il viendra sûrement. Pour le moment on en est encore au moyen âge à ce sujet, je crois.
Course-poursuite entre terminaux, infrastructures et logiciels : à quand la fin ?
10/01/2024
Le 10/01/2024 à 20h 57
« Le premier disant, on n'a pas d'infos qui chiffrent les impacts positifs ou négatifs du numérique mais qui finit par dire que si le bilan était positif, on nous le dirait (entreprises, administrations,...). C'est un peu léger comme démonstration pour un expert !«Je te trouve un peu dur pour le coup. Un spécialiste ou expert d’un domaine, peut, pour un sous domaine donné, manquer d’informations substantielles : cette reconnaissance d’impuissance à pouvoir délivrer un constat pragmatique sur la question est plutôt à mettre à son actif quand on voit et entend le nombre de pseudo experts qui compensent leur impuissance par des élucubrations pseudo savantes avec une assurance de margoulin. De plus il est parfois tout aussi intéressant de savoir (et faire savoir) que l’on n’a pas encore d’éléments fiables de mesure : c’est en soi une information importante à considérer.
Le Vision Pro d’Apple sera lancé aux États-Unis le 2 février pour 3 499 dollars
09/01/2024
Le 10/01/2024 à 18h 42
Le 09/01/2024 à 22h 41
Plus que quelques semaines pour commencer à apprécier ce que Apple a préparé.Ce casque est un vrai sujet casse gueule. Je suis pour ma part assez curieux de la partie logicielle et de son intégration avec la partie matérielle, au delà des quelques minutes qu’ont eu les premiers testeurs en sortie de keynote.
Apple ce sont des malins et des peaufineurs, surtout dans les petits détails qui creusent la différence, imposent un nouvel usage et créent des précédents. À voir s’ils sauront relever la sauce, une fois encore, par cette proposition, d’un sujet qui, faute de ce je-ne-sais-quoi que la pomme est capable d’accoucher, a pour le moment manqué le coche.
Union Européenne : l’impôt de 15 % sur les multinationales est entré en vigueur
08/01/2024
Le 10/01/2024 à 09h 04
Sans entrer dans les détails, il faut concevoir comment s’applique la fiscalité au niveau d’un groupe et ainsi d’une multinationale.Chaque filiale, en tant que société, a une remontée fiscale dans sa juridiction de rattachement (France, US, Irlande, Bermudes etc). Elle déclare un certain nombre d’informations sur ses comptes. L’impôt de chaque filiale est calculé selon les règles de cette juridiction : en simplifié, sur la base des bénéfices dégagés (avec pour chaque juridiction un certain nombre de règles propres - déductions, aménagements de la base fiscale etc) un taux est appliqué.
Puis dans le cadre de la consolidation des chiffres du groupe, le montant d’impôt des filiales est agrégé (consolidé) pour être présenté aux actionnaires du groupe (rapport annuel).
On comprend dés lors qu’il sera plus intéressant de faire par exemple apparaître, par un ensemble de combines la plupart légales, les profits dans les comptes de sociétés des juridictions les plus attrayante en matière de fiscalité et de jouer sur les avantages de l’appartenance à un groupe pour optimiser sa fiscalité. Je ne parle pas ici d’intégration fiscale : c’est à dire de qui paye l’impôt des filiales. Mais de l’impôt affiché et à payer (que ce soit par la filiale elle même ou par la maison mère pour ses filiales dans le cadre d’accord de groupe). L’intégration fiscale permet en outre et notamment de ventiler les déficits fiscaux (crédit d’impôt obtenus par une filiale en particulier) sur les autres filiales sur l’année en cours afin de profiter plus vite du crédit d’impôt (un crédit d’impôt n’est activable sinon que sur le futur).
Bref impôt du groupe = somme des impôts de ses filiales calculé et acquitté pour chacune dans sa juridiction.
Dans le cadre de cet accord dont fait l’objet l’article, le but est de vérifier, juridiction par juridiction, le taux d’impôt « effectif ». En simplifiant toujours car il y a toute une machinerie derrière pour ajuster aussi bien le dénominateur que le numérateur : on agrégé juridiction par juridiction les éléments, on calcule ce taux par le rapport montant d’impôt/base d’impôt. Si dans une juridiction le taux effectif est inférieur à 15%, (par exemple 11%) alors la différence (15%-11%=4%) est considéré comme une top-up tax, un impôt complémentaire à payer à la juridiction. D’où la notion de « minimum » d’impôt.
C’est là qu’intervient la notion de substance évoquée par Schismatrice : ce taux d’impôt complémentaire n’est pas appliqué directement au revenu agrégé de la juridiction, mais à un revenu duquel est soustrait une partie correspondant à un % (5%) de la valeur des actifs et payroll costs (salaires pensions etc). Bonus visant à favoriser les juridictions dans lesquelles il y’a réellement de l’activité.
On comprend dés lors l’objectif de ce montage de l’OCDE : d’assurer à chacune des juridictions un « minimum » de revenus fiscaux en provenance des groupes internationaux et de réguler un tant soi peu les fuites fiscales.
Tout cela n’est pas parfait bien sûr. Mais disons que l’on assiste à une tentative de régulation au niveau mondial en vue de remonter le volume d’impôt capté aussi bien par les juridictions que par effet boule de neige au niveau international.
Le 08/01/2024 à 21h 09
De toute façon, dans tous les cas, le « taux effectif », comme pour tout impôt, n’a de sens que par rapport à la manière de composer la base imposable et n’est jamais le taux affiché.Quant à la substance base carve out, qui consiste à retirer de cette base, un pourcentage de la valorisation des actifs et payroll costs (5%) l’idée est de se prémunir de la pratique consistant à ré allouer du revenu dans des paradis fiscaux dans lesquels aucune activité substantielle n’est réalisée dans le seul but d’éviter l’impôt, en donnant un bonus aux juridictions dans lesquelles il y a réellement de l’activité. C’est d’ailleurs sauf erreur de ma part une mesure temporaire.
De mon côté, bien que cela puisse paraître un peu décevant à certains, je considère que c’est un premier effort intéressant, dans un contexte où il est de toute façon difficile d’avancer en termes d’harmonisation internationale.
Des pin-up créées avec des IA génèrent déjà des dizaines de milliers d’euros par mois
08/01/2024
Le 08/01/2024 à 23h 55
Ma pomme :Lis deux paragraphes.
Vérifie la date dans le coin haut gauche de l’écran. Une fois. Deux fois.
Poursuit la lecture.
Revérifie.
Continue.
Ris jaune.
Attends le moment où la supercherie sera dévoilée.
Atteins la fin de l’article.
Non m€rde : on n’est pas le 1er Avril
CPU RISC-V : MIPS fait ses emplettes chez SiFive
08/01/2024
Le 08/01/2024 à 22h 05
Me contente d’utiliser mon iPad M1 avec ou sans virgule flottante.
656e édition des LIDD : Liens Intelligents Du Dimanche
07/01/2024
Le 07/01/2024 à 13h 26
Avec la variante « c’est un besoin critique, il me le faut pour hier »Le 07/01/2024 à 13h 25
#Flock mise tout sur le bullshit
06/01/2024
Le 06/01/2024 à 22h 31
Moi je te croisLe 06/01/2024 à 13h 51
Chouette sérieBonus réparation : quel bilan au bout d’un an ?
04/01/2024
Le 06/01/2024 à 13h 42
Certaines boites l’on bien compris et n’ont pas attendu une loi pour souscrire à cette tendance
[MàJ] Guerlain ne parle plus « quantique » ni « Gold Quantum™ » pour sa crème à 650 euros
06/01/2024
Le 06/01/2024 à 13h 33
Nourris aux grains issus de l’agriculture biologique, et élevés en pâturage extensif. Vers la fin d’année calendaire certains sont nourris d’une pâtée enrichie (photons chaponnés).Apple a rompu une tradition vieille de 12 ans en ne sortant pas de nouvel iPad en 2023
03/01/2024
Le 06/01/2024 à 10h 51
Plus sérieusement : il y a des gammes de produit Apple et dans chacune des gammes, un haut et un bas. Et le bas de chaque gamme correspond, sauf exception dont je n’ai pas d’exemple immédiat, à un produit qui par ses caractéristiques diverses est d’un niveau de finition, d’ingéniérie, d’apport fonctionnel etc qui le situe par rapport à la concurrence générale vers le haut du panier.
Si on se place du côté tarifaire, Apple a du coup le don pour présenter des entrées de gamme dont le prix est hors sol parfois (et parfois même à tous les niveaux de gamme). Notamment pour les raisons invoquées ci-dessus mais pas que. L’image « premium », l’intégration dans son propre écosystème, tout un tas de raison qui font qu’elle se le permet, avec un détachement un peu hautain. Et qui fait que le point d’entrée reste à un niveau de prix qui va faire grincer des dents certains et déchaîner par moment les discussions.
L’autre point sur lequel Apple est également hors sol bien souvent c’est sur les options qui permettent de passer du point de départ à un niveau supérieur (d’espace disque, de mémoire etc) ou de compléter le produit (les roulettes du Mac Pro ont à elles seules alimentées les railleries les plus endiablées 😝)
Le 06/01/2024 à 10h 15
Le 04/01/2024 à 21h 03
Il faut ramener ça à la définition/résolution comparé au périphérique de sélection qu’est le doigt justement. Le soucis disparaît complètement avec un clavier puisque les touches directionnelles sont dés lors opérationnelles.
Le 03/01/2024 à 21h 25
C’est oublier tous les softs ou app qui bossent en mode iPadOS c’est à dire optimisés pour un affichage sur une plus grande surface ainsi qu’à,l’utilisation du stylet.
Je peux vaguement comprendre ceux qui espèrent un OSX sur iPad mais personnellement je n’attends pas cette possibilité spécialement. Un iPad fait déjà beaucoup de choses qu’un Mac fait. Il le fait un peu différemment. Pas si mal du tout dans une logique de gestion au doigt, et pas mal du tout également quand on y colle un clavier et why not un trackpad ou souris.
Et il fait un certain nombre de choses impossible avec un Mac.
Ce qui est un brin agaçant (mais qui s’est amélioré cependant) c’est la gestion des fichiers : on est loin du Finder (qui est pourtant en dessous à mon sens de l’explorer de Windows). Néanmoins une fois qu’on a compris la logique de gestion des fichiers ça passe et c’est un moyen de cloisonner l’accès au stockage qui se défend (ou pas )
Linux représenterait près de 4 % des utilisateurs d’ordinateurs de bureau
05/01/2024
Le 05/01/2024 à 08h 59
« Des chiffres à prendre avec précaution : le taux d'OS Windows serait en effet étrangement passé de 69 à près de 73 % en décembre 2023, celui des Mac OS X de 21 à un peu plus de 16 %, et la part des Chrome OS de près de 4 à moins de 3 % dans le même temps. »Ouaip chelou en effet une telle variation mensuelle!
Ceci dit, cela donne une idée ou tendance (à quel point juste ?) de la question que je posais dans le cadre de l’article sur Zorin OS : tant d’efforts pour combien d’utilisateurs.
[MàJ] Midjourney recrache des images Pixar et d’œuvres protégées, parfois sans qu’on le lui demande
04/01/2024
Le 05/01/2024 à 08h 46
Tout cela me semble t-il pose la question du devenir et du marchandage des sources. On parle beaucoup d’utilisation non autorisée (ce qui est normal). Mais imaginons que Pixar ou Coca Cola ait vendu l’utilisation de ses œuvres (1) voire ait payé (2) contre l’assurance qu’elles ressortent dans un certain nombre de requêtes, associées à certains mots clés. De la même manière que Google monnaye le ranking de ses résultats de recherche, les générateurs de contenus pourraient monnayer l’apparition de l’image de marque de clients dans les résultats. Du placement produit en quelque sorte.Toute l’équipe de Next vous souhaite une bonne année 2024 !
31/12/2023
Le 02/01/2024 à 22h 07
Le 02/01/2024 à 08h 30
Soyez grands, soyez talentueux, soyez pertinents, soyez.Meilleurs vœux
Des influenceuses virtuelles (IA) concurrencent leurs équivalents humains
02/01/2024
Le 02/01/2024 à 10h 05
Si. Mais ils ne le savent pasZorin OS 17 : toujours aussi soignée, la distribution affine ses performances
28/12/2023
Le 28/12/2023 à 13h 37
Je suis assez admiratif de tous ces efforts pour proposer des Linux Desktop à peu près potables : pour combien de personnes - je suis curieux.Dans les coulisses des dessins de #Flock, en vidéo !
23/12/2023
Le 28/12/2023 à 13h 23
Pas étonné. What else de toute manière? 😎
654e édition des LIDD : Liens Intelligents Du Dimanche
24/12/2023
Le 24/12/2023 à 18h 23
Un générique d’outre-tombe : c’est quoi ce cette stigmatisation gratuite et agisteC’est pas si vieux hein d’abord
Le poing Dev – Round 9
24/12/2023
Le 24/12/2023 à 18h 17
Bonnes fêtes auxcodeursdéveloppeurs 😎Et merci, notamment sur le retour d’un minimum de mise en forme dans les commentaires.
iOS 17 montré du doigt pour des alarmes qui ne sonnent pas
21/12/2023
Le 22/12/2023 à 00h 18
Moi non plus.Mais je ne le dirai pas car je suis superstitieux.
Souveraineté, latence : deux nerfs de la guerre dans l’espace
21/12/2023
Le 21/12/2023 à 17h 57
C’est très beau la souveraineté mais si seulement le quart des pays indépendants se mettent à pousser leur propre constellation de satellites en orbite basse, c’est pas loin de 50 constellations qui seraient déployées. Pour une mise en perspective : OneWeb c’est 650 objets (objectif de 10 fois plus), Starlink 5200 (objectif de 42000). Il y a sans doute une vraie question à se poser quant aux conséquences.Un satellite de communication franco-italien « butiné » par un satellite espion états-unien
20/12/2023
Le 20/12/2023 à 18h 53
Yep : je trouve bien évocateur et bien trouvé en effet. 🐝
Le 20/12/2023 à 09h 23
« Pas vraiment compris ce que veut dire "butiner"... »Je trouve l’image très évocatrice, mais le texte de l’article en donne une définition en parlant de satellites espions :
IO précise que leur mission est d'« assurer la collecte, depuis l'espace et sur des satellites étrangers, de renseignement au profit de la NSA américaine »
La CNIL sanctionne Kourou pour ne pas avoir désigné de DPO
20/12/2023
Le 20/12/2023 à 10h 28