Flock : Oh ! La belle bleue ! Fais un vœu !
Le 07 octobre 2025 à 17h07
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Discret, apparition éphémère, à peine calculé et déjà loin... C'est ça, le vide intersidéral !

Le 07 octobre 2025 à 17h07
#Le brief du 07 octobre 2025
Le 07 octobre 2025 à 17h07
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Discret, apparition éphémère, à peine calculé et déjà loin... C'est ça, le vide intersidéral !

Le 07 octobre 2025 à 17h07
Le 07 octobre 2025 à 13h53
2 min
Hardware
Hardware
Vous n'en rêviez peut-être pas, mais Google Japon l'a fait quand même : le Gboard Dial Version se présente comme le premier clavier pour ordinateur inspiré du cadran rotatif de nos anciens téléphones. En l'occurrence, il y a même plusieurs cadrans, chacun correspondant à une zone de nos tristes claviers aux touches orthogonales.
« Nous avons arrondi les angles. "Les claviers sont ennuyeux si on ne peut que taper dessus". Suite aux retours de nos utilisateurs, nous avons créé un clavier rotatif », explique l'équipe de Google sur la page GitHub dédiée au projet.

On y trouvera les plans nécessaires à l'impression 3D des principaux éléments, mais aussi la liste des composants électroniques qui permettent de lui donner vie. Un moteur est requis pour reproduire la résistance si particulière et le retour au ralenti du cadran vers sa position d'origine. Enfin, l'équipe fournit les éléments et instructions nécessaires au développement d'un firmware adapté.
En théorie, l'internaute averti dispose donc de toutes les informations nécessaires à la création de ce Gboard Dial Version, qui n'est – évidemment – pas un produit commercial. Rappelons que les équipes japonaises du moteur de recherche, d'abord motivées par la recherche du poisson d'avril geek ultime, s'illustrent depuis quelques années avec des concepts de clavier aussi poétiques qu'exotiques, comme leur clavier en forme de ruban de Möbius.
Le 07 octobre 2025 à 13h53
Le 07 octobre 2025 à 10h59
2 min
Société numérique
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Un mouvement « révolutionnaire international », qui voudrait « démanteler le système technologique », voici comme se présente Anti-Tech Résistance (ATR).
Un mouvement à la « dérive réactionnaire », assénait une membre du collectif les Désert’heureuses dans Usbek et Rica. En juin, un collectif d'organisations dont Extinction Rebellion, Le Mouton Numérique ou Technopolice Paris Banlieue signait une tribune pour alerter contre « les projets réactionnaires et ennemis de l’émancipation de toutes et tous, dont Anti-Tech Resistance fait partie ».
En pratique, ATR formule en effet une critique définitive de tout type de technologie, jusqu’aux multiples avancées spécifiques au domaine de la santé.
Revendiquant une filiation de pensée avec Théodore Kaczynski, mieux connu sous le nom de Unabomber, ATR se veut non violent mais adopte une position radicale, rejetant jusqu’aux IRM, pilules contraceptives, respirateurs artificiels et toute technique permettant la réalisation médicale des transitions de genre.
Ce faisant, ATR s’inscrit dans la lignée de groupes comme Pièce et main d’œuvre (PMO), dont des textes ont directement été critiqués pour leur positionnement masculiniste, homophobe et transphobe, ou Le Partage, un autre groupe réactionnaire.
Mais en axant ses propos sur les technologies les plus récentes et médiatiques, dont les IA génératives et leurs conséquences environnementales insoutenables, ATR cultive une forme de confusionnisme visant à s’attirer des sympathies dans les milieux écologistes.

Auprès du média Vert, le spécialiste du terrorisme et de la violence politique Mauro Lubrano s’inquiète de constater dans le positionnement du mouvement tous les ingrédients nécessaires à une escalade de la violence, de la représentation d’un système technologique « totalisant », impossible à éviter, aux stratégies cherchant à provoquer l’effondrement, en passant par un discours suffisamment flexible pour s’immiscer aussi bien dans des espaces militants d’extrême-droite qu’écologiste.
Une souplesse idéologique qui lui a permis de rejoindre une manifestation grenobloise contre l’industrie électronique, ou de soutenir le collectif anti-photovoltaïque de Lure, après avoir réalisé une intervention surprise lors du contre-sommet de l'IA.
Le 07 octobre 2025 à 10h59
Le 07 octobre 2025 à 10h15
2 min
Société numérique
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À peine sorti, le modèle Sora 2 de génération de contenus audio et vidéo d’OpenAI a été utilisé pour générer de faux clips représentant Sam Altman, le patron de la société d’IA.
Pour le moment accessible uniquement aux usagers d’iPhone, et sur invitation, la nouvelle application de doomscroll liée au moteur de génération de contenu est déjà utilisée pour harceler certaines utilisatrices.
La journaliste Taylor Lorenz témoigne ainsi qu’une personne habituée à la surveiller et à générer des centaines de comptes à son effigie recourt déjà à Sora 2 pour générer des vidéos d’elle.

En l’état, l’application fournit les outils pour effacer les images non acceptées par celles et ceux à qui elles sont censées ressembler.
Mais plusieurs garde-fous mis en place sur l'application ont déjà été outrepassés par des internautes, souligne Futurism, certains générant des vidéos à caractère sexuel.
Dans la documentation de Sora 2, OpenAI admet directement que l’application pourrait avoir du mal à bloquer le contenu représentant une personne réelle dénudée ou dans une position suggestive dans 1,6 % des cas.
Rapporté aux millions de prompts générés par jour, ce pourcentage peut se traduire par d’importants volumes de deepfakes pornographiques non consentis, à l’heure où ce type de contenu est régulièrement utilisé pour harceler. Avec 99 % des images pornographiques générées par IA en 2023 représentant des femmes, ces dernières sont les premières victimes de ce type de contenu.
Le 07 octobre 2025 à 10h15
Le 07 octobre 2025 à 09h50
3 min
Logiciel
Logiciel
Depuis lundi, les comptes Spotify Premium en France voient débarquer l’option permettant de sélectionner le lossless (sans pertes) pour la qualité d’écoute. La plupart des abonnés payants devraient voir la nouveauté, à la condition d’avoir la dernière version de l’application. Cette dernière vous préviendra probablement.
On peut choisir le lossless pour tous les modes : en Wi-Fi, sur réseau mobile et en téléchargement. Spotify vous prévient que la consommation de données est beaucoup plus élevée. En qualité « Très élevée », le flux est de 320 kb/s, soit 0,14 Go par heure. En lossless, cette consommation peut s’envoler jusqu’à 1 Go par heure en qualité maximale. Spotify avertit là aussi qu’il faut avoir une connexion stable et suffisante pour en profiter, sans parler de l’impact sur les forfaits.




La qualité maximale promise est de 24 bits sur un taux de 44,1 kHz mais, dans notre cas, nous n’avons pas pu dépasser 16 bits, sur mobile comme sur PC, même sur des titres comme Blinding Lights de The Weeknd (plus de 5 milliards d’écoutes) ou le nouvel album de Taylor Swift. Mais pour sentir une différence entre les 16 et 24 bits, il faut avoir un matériel haut de gamme et une oreille sensibilisée.
Spotify prévient d’ailleurs : « La qualité Lossless offre une grande fidélité technique, mais cela ne se traduit pas toujours par une expérience d'écoute totalement différente pour tout le monde ». On est donc prévenus.

Parallèlement, la société suédoise a annoncé l’arrivée de son service dans ChatGPT. On peut ainsi utiliser l'agent conversationnel d'OpenAI pour créer des listes de lecture personnalisées, via des prompts plus ou moins précis. Il suffit pour commencer de mentionner Spotify dans le premier prompt, déclenchant une invitation à connecter son compte. Le résultat est différent selon que l’on possède un compte gratuit ou Premium : les premiers pourront piocher dans des listes déjà faites, tandis que les seconds pourront en créer de nouvelles.
Spotify prend bien soin de préciser que cette fonction « n’en est qu’à ses débuts, donc même si nous ne sommes pas encore en mesure de répondre à toutes les demandes, nous continuerons à créer, affiner et améliorer l’expérience au cours des semaines et des mois à venir ». La nouveauté est disponible dans 145 pays, mais pas encore en Europe, le Vieux continent étant pour l'instant exclu du périmètre de déploiement des applications tierces dans ChatGPT. Il nous a en tout cas été impossible de créer cette connexion.
Le 07 octobre 2025 à 09h50
Le 07 octobre 2025 à 08h50
2 min
Logiciel
Logiciel
La distribution Linux sort pour rappel deux versions par an, en avril et en octobre, d’où les numérotations xx.yy avec l'année suivie du mois. Les versions LTS sont quant à elle des Long Term Support qui sont mises à jour pendant dix ans : cinq ans de support classique, puis encore cinq ans d’Extended Security Maintenance, un support payant.
La précédente LTS était la 24.04, en sachant qu'une LTS est publié tous les deux ans en avril. Ubuntu 24.04 LTS (Noble Numbat) sortie en avril 2024 sera ainsi maintenue à jour dans le cycle classique jusqu’en avril 2029. La durée de maintenance des versions classiques d’Ubuntu est bien plus réduite : neuf mois seulement.

Sur X, le compte officiel Ubuntu annonce le nom de la prochaine 26.04 LTS : « Resolute Raccoon 🦝 », après « Questing Quokka », surnom de la 25.10 qui sortira cette semaine. Le nom a été choisi par Steve Langasek, « malheureusement décédé en début d'année » à 45 ans, précise l’équipe.
Son décès avait été annoncé par Mark Shuttleworth lui-même. Debian aussi avait publié un message en hommage à Steve Langasek (vorlon). Il participait en effet aux deux projets.
Le 07 octobre 2025 à 08h50
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