Ubuntu fêtait hier ses 15 ans

Ubuntu fêtait hier ses 15 ans

Ubuntu fêtait hier ses 15 ans

La première version de la distribution est sortie en octobre 2004 et portait le numéro de version 4.10. Une nomenclature année/mois qui ne s’est jamais démentie depuis.  

Le nom-même « Ubuntu » résume une philosophie venant d’Afrique et signifiant « Je suis ce que je suis à cause de ce que nous sommes tous ». Dans un esprit d’interconnexions et de partage, l’icône de la distribution représente trois personnes en cercle se tenant par les mains.

Warty Warthog, comme s’appelait la première mouture, faisait partie de ces rares distributions à l’époque à pouvoir s’installer depuis un unique CD. L’orientation du système était déjà plantée : basée sur Debian, elle proposait une utilisation simplifiée, avec notamment un accent mis sur la détection du matériel.

Ubuntu 4.10 était livrée avec le bureau GNOME 2.8, Firefox 0.9, la suite bureautique OpenOffice.org 1.1.2 ou encore le client email Evolution 2.0. Le gestionnaire de paquets était alors Synaptic et la distribution comportait certains vieux noms comme GAIM, GIMP, gFTP ou encore Xchat. 

15 ans plus tard, on ne peut nier le chemin parcouru et l’impact majeur du système sur l’informatique en général, par sa volonté de simplifier de nombreuses étapes pour l’utilisateur. 

Ubuntu a également essaimé dans toutes les directions. On lui connait ainsi plusieurs variantes majeures et officielles, basées sur d’autres environnements de bureau ou thématiques, comme Kubuntu, Ubuntu Budgie, Ubuntu MATE ou Edubuntu. De nombreuses distributions sont également basées sur le système (environ 75), comme Linux Mint, elementary OS ou encore Pop!_OS (dont la version 19.10 vient justement de sortir).

Rappelons qu’Ubuntu 19.10 est sortie en fin de semaine dernière. Une amélioration en douceur, avant l’importante version 20.04 LTS, attendue pour avril prochain et qui sera supportée cinq ans (contre neuf mois pour les versions classiques).

Commentaires (45)


37% des PC allant sur le web tournent sur Ubuntu ?

Ou 37% des PC tournant sur&nbsp; Linux tournent sur Ubuntu ? <img data-src=" />


C’est même pire que cela, c’est le % des PC ou serveurs utilisant la technologie POUR la creation de sites web



“This diagram shows the percentages of websites using various operating systems. See&nbsp;technologies overview&nbsp;for explanations on the methodologies used in the surveys. Our reports are updated daily.”



@NextInpact (a defaut de connaitre l’auteur ce qui est aussi assez ridicule pour un media), il s’agit là d’une erreur assez grossière.








zebignasty a écrit :



C’est même pire que cela, c’est le % des PC ou serveurs utilisant la technologie POUR la creation de sites web



“This diagram shows the percentages of websites using various operating systems. See&nbsp;technologies overview&nbsp;for explanations on the methodologies used in the surveys. Our reports are updated daily.”





Sans aller jusqu’à approuver son commentaire sur cette erreur, @zbignasty a raison : 37,4% c’est la part de serveurs LINUX qui servent des sites Web. Pas des gens qui surfs… (Et là je surf depuis un OpenSUSE Tumbleweed, mais je le fait aussi suivant les contexte depuis Android ou Windows 10…).



Ma première vraie approche de Linux remonte à quasiment 10 ans. C’était avec Ubuntu 9.10 en novembre 2009, dans une VM VirtualBox (parce que je voulais faire joujou avec la virtualisation, et outre le fait que c’était légal et gratuit de faire ça avec un Linux, c’était aussi pour moi l’occasion de voir à quoi ça ressemblait, un Linux, à l’époque). J’ai aussi installé (toujours en VM) les versions 10.10 et 11.04, histoire de voir les évolutions, mais après j’ai lâché durant quelques années. C’était quand même assez encourageant : j’avais pu voir qu’en 2009, Linux (via Ubuntu, du moins) était désormais assez utilisable pour les usages basiques (hors jeu vidéo, mais je suis pas un gamer, donc ça ne me gênait pas).



J’ai repris contact avec Linux avec Arch en 2014, devenue mon OS principal un an plus tard, mais c’est une autre histoire… :3



Bon anniversaire, Ubuntu !


Oui, j’ai supprimé la phrase, toutes mes confuses&nbsp;<img data-src=" />


Un point important est qu’à l’époque Canonical t’envoyait gratuitement un CD d’installation si tu en faisait la demande. Ça a pas mal fait parler d’eux.


Ubuntu is an ancient african word, meaning “I can’t configure Debian” :





https://www.urbandictionary.com/define.php?term=ubuntu



Bon anniversaire Bubuntu….

Ca me fait penser que j’ai une ChaletOS (16.04) qui tourne encore sur un Acer Aspire One. <img data-src=" />


Etrange, j’aurai dit que c’était un chouilla plus vieux que ça (quelques mois voir 1 an) : sur les derniers mois de mes études, les postes utilisateurs pour les étudiants étaient installés en Ubuntu (c’était une révolution, ça changait du Solaris/CDE avant)… mais en octobre 2004 j’avais fini les cours, c’était donc avant… Peut-être les pré-versions/beta…


Bon anniversaire !

Fidèle depuis la v8.quelque_chose pour mon poste de travail et l’ordi de salon, j’ai toujours eu à m’en féliciter : ça marche, tout marche et continu de marcher dans le temps !&nbsp;

En plus elles est dérivée de Debian que j’utilise pour les serveurs donc c’est juste parfait :)


Je l’utilise depuis la 6.04 <img data-src=" />

Première tentative d’installation, à côté d’XP, je me suis loupé et j’ai entièrement écrasé la partition Windows (sans aucune sauvegarde bien sûr, noob inside). Je me rappelle de la suée que j’ai pris comme si c’était hier <img data-src=" />


Je me souviens assez bien de la première version. C’était assez impressionnant à l’époque pour une v1 : ça marchait bien, c’était bien fini et simple. À l’époque même les distribs « user friendly » comme Mandeakeiva ou SuSE étaient beaucoup plus usines à gaz.


Fin mai 2004 on pouvait commencer à trouver la version test. Le freeze de fonctions avait eu lieu durant l’été.








Jarodd a écrit :



Je l’utilise depuis la 6.04 <img data-src=" />





Qui fut l’exception qui confirme la règle pour les LTS d’avril. 2 mois de retard =&gt; 6.06! Ma première Ubuntu pour ma part, avec le 1er PC chez moi en 10 ans depuis mon 486DX33 d’étudiant. Couchait très bien à coté de XP, contrairement à 10 qui nique Grub a chaque upgrade majeur et me fait désormais mettre windows en VM sur chaque nouvelle installation: Une vérole pareille visiblement codée par des enfants attardés, la seule place à lui donner c’est désormais le bac à sable.



Pour ma part, j’ai arrêté Ubuntu à péremption 2 ans après la 10.04 qui fut ma dernière: Entre le nb d’ajouts à la con dont je me foutais (+les conneries sur l’environnement de bureau)… Je me suis dit que je perdrais moins de temps à installer une Debian d’origine et ajouter ce dont j’avais besoin que partir de la copie Ubuntu ayant fait du gras et y manier le couteau de boucher après l’installation.



Une passade par Mint, pour Cinnamon, après avoir fait une allergie à Gnome 3 et son shell pourri. Le manque de stabilité m’a vite fait revenir en arrière sur Debian XFCE (back in the nineties, mais bon, les sourds de Gnome quoi…) et Debian ayant rapidement élargi son offre d’environnements de bureau j’ai pu revenir à un truc moderne mais restant sur le paradigme habituel résultant de décennies d’évolution respectueuse de l’utilisateur.



J’aime particulièrement leurs versions netinstall, avec lesquelles on a en moins de 30mn une installation à jour, dès le 1er boot, après avoir choisi quelques options.



Ubuntu est parti je pense d’un bon constat: Faciliter l’installation de Linux sur le bureau pour se faire connaître, ce qui a pas mal fonctionné, pour tenter de percer sur le marché pro chez des administrateurs Linux qui en auraient aimé installer du Debian (apt vs rpm, richesse des dépots vs désert Red-Hat qui oblige à bricoler avec ceux de Fedora, avec des pb possibles à la clef, ou recompiler/packager ce qui n’y est pas pour les utilisateurs ayant le besoin) mais qui faute d’une boite offrant un&nbsp; support en appui ne passait pas niveau hiérarchie IT: Là, cela a moins bien fonctionné hélas.



37 % des machines se connectant à internet. Je rappelle que 2019 était l’année de Linux sur desktop. Forcément ça pèse.


Bon anniversaire Ubuntu ! <img data-src=" /> Mes premiers pas sous Linux remontent à la 08.04 à l’université, puis installation de la 8.10 sur mon PC perso. Et maintenant je suis sous Kubuntu depuis la 15.10, jamais eu un problème :)








yl a écrit :



Qui fut l’exception qui confirme la règle pour les LTS d’avril. 2 mois de retard =&gt; 6.06!





Ah oui exact <img data-src=" /> J’avais noté 6.04 sur le cd.



Dapper Drake pour mon premier essai.



Depuis j’essaye périodiquement et quinze ans plus tard c’est toujours pourri.



Dernier exemple en date, il y a quinze jours, j’installe la 19.04 pour filer une machine propre à un pote linuxien, je configure la disposition du clavier (oui oui “Français” merci), et au premier sudo je me fais jeter pour mot de passe incorrect, il m’a fallu 20 minutes pour comprendre que ce con était en Qwerty pendant l’installation.



Allez les gars, RDV dans 15 ans.


J’ai aussi commencé avec Ubuntu… j’ai découvert la 12.04 installée sur les vieux postes d’une assoc’, et en voyant leurs perfs, je me suis dit que ça boosterait mon PC portable d’utiliser Ubuntu plutôt que Windows 7 dessus… j’ai donc collé un dual-boot avec Ubuntu 13.10.



L’ironie, c’est qu’au début j’utilisais Ubuntu uniquement pour avoir de meilleurs perfs sur Minecraft (passage de 15 à 30 fps). Avec le temps j’ai remarqué que Firefox et LibreOffice étaient aussi plus rapides, et le système en général, du coup j’ai lâché Windows.


Ma première : 7.04 , grâce à un pote et depuis l’informatique est devenue mon métier.

Malgré certains commentaires, c’est certainement la distro la plus facile à installer avec une prise en charge matérielle assez large. Mise à jour in place plutôt robuste depuis quelques années.

Donc un seul mot : BRAVO <img data-src=" />

et Bon Anniversaire <img data-src=" />



<img data-src=" /><img data-src=" />


Je suis toujours sous Ubuntu depuis la 4.10, c’était une révolution pour la facilité d’installation comparé à debian (pourtant Woody était déjà mieux que Potato, mais loin d’Ubuntu à ses débuts)

&nbsp;

Et je me souvient du bug N°1, un truc du style “Microsoft détient une part majoritaire sur le nouveau marché des ordinateurs de bureau”, il faut remédier à ça…

Maintenant Ubuntu s’installe sous Windows 10 comme n’importe quelle application du Store Windows…


Mouais, et dans la commande Sudo, que des touches communes Azerty / Qwerty, couplé à une sélection clavier non prise en compte (jamais vu ça moi), c’est vraiment pas de bol… ou un troll…


Délivré du mon$tre depuis avril 2007 et radicalisé depuis.


C’est pas vraiment la faute à Linux - ou n’importe quel autre OS - si depuis 30 ans les claviers sont infoutus de renseigner la disposition par défaut de leurs touches au driver d’entrée.



Autant pour les claviers PS/2 d’antan qui avaient 4 octets de RAM (ou 8 ? je sais plus) et 128 de ROM je peux comprendre qu’on fasse l’impasse, mais maintenant que le microcontrôleur du clavier est plus puissant qu’un IBM/PC de l’époque, heu, ça commence à faire tache.


Le marron/orange avec le bruit du tamtam à l’ouverture de session ça envoyait du steak.&nbsp; <img data-src=" />

Par contre l’antialiasing qui n’était pas activé par défaut rendait les polices immondes, il fallait bidouiller pour avoir un truc correct.

&nbsp;Rajouter les dépots pour avoir flash,… assez chiant quand même <img data-src=" />


“L’orientation du système était déjà plantée : basée sur Debian, elle

proposait une utilisation simplifiée, avec notamment un accent mis sur

la détection du matériel.”

Oui mais pas de chance pour moi, la seule fois où j’ai voulu essayer cette distribution (à partir d’un live-CD) elle plantait à l’affichage du bureau.


J’utilise depuis la version 8.04 je crois , je suis toujours dessus .

Ce qui est chiant , ce sont les installations sur les ordinateurs portables récents , on n’y arrive jamais du premier coup (matériel non reconnu , processeur , nvidia nautilus, boot secure pourri.. etc) , bidouille et bidouille, et sa marche.

Sur les PC de bureau sa roule du premier coup en général .


Première distrib sur laquelle je me suis fait la main sur l’une de ses premières versions, et avec laquelle j’ai longtemps vécu après des aventures du Debian ou Mandrake auparavant.



Même si depuis je suis parti sur Fedora, bon annif quand même et merci pour cette distrib qui a beaucoup aidé à démocratiser Linux.








mtaapc a écrit :



Mouais, et dans la commande Sudo, que des touches communes Azerty / Qwerty, couplé à une sélection clavier non prise en compte (jamais vu ça moi), c’est vraiment pas de bol… ou un troll…





Faut relire mon message. J’ai dit qu’il était en Qwerty pendant l’installation. S’il l’était resté après le premier boot, tu penses bien que je m’en serais rendu compte, je suis pas débile.



Mais bon ton message est assez typique. Quand un truc merde sous Linux, le premier réflexe des acharnés est de dire que c’est la faute de l’utilisateur (avant généralement d’enchaîner sur “t’as qu’à coder toi-même si t’es pas content”).

&nbsp;

&nbsp;



33A20158-2813-4F0D-9D4A-FD05E2C42E48 a écrit :



C’est pas vraiment la faute à Linux - ou n’importe quel autre OS - si depuis 30 ans les claviers sont infoutus de renseigner la disposition par défaut de leurs touches au driver d’entrée.&nbsp;





Nan, mais c’est probablement la faute à Linux (ou à n’importe quel OS) quand, si tu sélectionnes “Clavier français”, il reste en Qwerty. Mais bon, j’dois être un affreux capitaliste à la solde de Micro$oft.









Boblamouette a écrit :



Nan, mais c’est probablement la faute à Linux (ou à n’importe quel OS) quand, si tu sélectionnes “Clavier français”, il reste en Qwerty. Mais bon, j’dois être un affreux capitaliste à la solde de Micro$oft.







En même temps, tu dois bien être le seul à qui ça arrive. Ubuntu est utilisé par des millions de personnes. Alors si un bug aussi gros et important que le mauvais choix de la disposition du clavier était présent par défaut, il y aurait fatalement un rapport de bug rapidement remonté et un correctif tout aussi rapidement déployé.



J’ai donc bien du mal à croire que tu ne te sois pas trompé quelque part durant l’installation.



Ubuntu n’était pas le premier linux que j’ai installé mais c’était une version de suse proposée dans un magazine et pour laquelle j’avais bien galéré et par précaution, j’avais enlevé les connecteurs du disque dur windows.



Mais ubuntu était bien plus simple à installer, en proposant l’envoi de CD gratuitement au domicile, lorsque je n’avais qu’une connexion RTC c’était très pratique. Plus tard, ubuntu a intégré un installateur pour windows qui était bien pratique.



L’intégration du lanceur amazon et les différentes orientations m’ont poussés à partir ailleurs, en l’occurrence de revenir à Suse via opensuse puis les plantages de KDE ont eu raison de ma patience, je suis parti vers fedora pour mon poste fixe pour finalement basculer cette distribution vers mon portable et installer debian pour monb fixe et j’en suis très content.



Ubuntu a simplifié grandement l’installation de linux pour les personnes ayant un minimum de connaissances informatiques, les pilotes sont installés, il y a également quantité de programmes préalablement installés et couvrant la plupart des besoins des utilisateurs. Par contre, je ne vois pas vraiment l’intérêt d’utiliser une version serveur d’ubuntu, autant aller vers debian. L’avantage d’ubuntu c’est le desktop pas le serveur.



Ubuntu est très bien par contre, je trouve dommage d’être obligé de faire le ménage pour supprimer l’inutile après installation mais ils veulent simplifier linux pour les débutants et je trouve que c’est réussi même si maintenant, mint ou emmabuntus sont, je trouve, plus adaptés aux débutants anciens utilisateurs de mac ou de windows.








Boblamouette a écrit :



Nan, mais c’est probablement la faute à Linux (ou à n’importe quel OS) quand, si tu sélectionnes “Clavier français”, il reste en Qwerty. Mais bon, j’dois être un affreux capitaliste à la solde de Micro\(oft.





Faut relire mon message... J'ai juste dit que si les claviers étaient enfin disposés à divulguer leur disposition, il ne faudrait plus "sélectionner" et ce genre d'erreur de manipulation n'arriverait plus. Car oui, je privilégie l'erreur de manipulation. C'est vite arrivé quand on utilise un OS qui met les boutons OK / Cancel dans l'ordre inverse dece à quoi on est habitué dans Windows.



Par ailleurs, utiliser "Micro\)
oft” (voire “Petit mou”), “Gogol” ou “iThunes” pour marquer son dédain envers ces entreprises étant l’équivalent informatique du point Godwin, j’essaie d’éviter.



Parce que le “rendez-vous dans 15 ans” c’est pas typique du troll ?


Si tu trouves que l’installation par défaut t’installe beaucoup de soft inutile à tes yeux, il y a depuis la 18.04 une version dite « Minimal » qui n’installe de mémoire qu’une GUI (et Firefox je crois), tout autre soft n’étant pas installé par défaut (Thunderbird, Libreoffice,…). Tu peux customiser ton install selon tes souhaits sans à faire un cleanup au préalable.

Voici un lien officiel vers les tuto d’install où l’on la possibilité de sélectionner ce type d’installation :

https://tutorials.ubuntu.com/tutorial/tutorial-install-ubuntu-desktop#4








Boblamouette a écrit :



Dapper Drake pour mon premier essai.



Depuis j’essaye périodiquement et quinze ans plus tard c’est toujours pourri.



Dernier exemple en date, il y a quinze jours, j’installe la 19.04 pour filer une machine propre à un pote linuxien, je configure la disposition du clavier (oui oui “Français” merci), et au premier sudo je me fais jeter pour mot de passe incorrect, il m’a fallu 20 minutes pour comprendre que ce con était en Qwerty pendant l’installation.



Allez les gars, RDV dans 15 ans.





Avant de cracher sur un système, c’est mieux de savoir ce que l’on fait. Tu as installé une version de développement à ton pote… Seules les versions LTS (année paire.04: 14.04, 16.04, 18.04…) sont destinées au grand public…

&nbsp;

On installe pas les versions dites “de développement”à la légère. Elles peuvent comporter des bugs. Et leur support n’est que de neuf mois…



Le premier problème de l’informatique, c’est encore une fois l’interface entre la chaise et le clavier…



C’est totalement faux. Toutes les versions d’Ubuntu sont destinées au grand public et aucune n’est une release de développement.



 &nbsp;Elles sont aussi stables à leurs sorties que les LTS, il n'y a que la durée de vie du support qui change, rien d'autre.      






"Every six months between LTS versions, Canonical publishes an interim       

release of Ubuntu, with18.10 being the latest example. These are

production-quality releases and are supported for their lifespan, with

sufficient time provided for users to update, but these releases do not

receive the long-term commitment of LTS releases. "



https://ubuntu.com/about/release-cycle


Pfouu, ça rajeunit pas tout ça. Bon anniversaire Ubuntu et merci. J’ai pas fait mes dents dessus. J’ai découvert Linux à l’IUT avec Knoopix et un camarade de promo m’avait filé les 3 galettes d’install de RedHat9 pour que je l’install chez moi (connexion 56K… pas top pour récupérer les iso) puis j’ai enchainer sur Mandrake où je suis pas mal resté, Fedora, Ubuntu pendant quelques années, Suse pour finalement m’arrêter sur Arch. Mais je&nbsp; continue de tester Ubuntu à chaque release.


A titre personnel, j’ai préféré passer à debian depuis plusieurs années pour les logiciels installés par défaut par ubuntu, pour l’installation imposée du lanceur d’amazon mais également parce qu’ubuntu m’intéressait bien moins qu’auparavant. C’est une très bonne distribution, selon moi, mais elle ne me plaisait plus.



Peut être que je la réinstallerai un jour mais pour le moment, je suis content de ma debian. J’utilise dorénavant ubuntu en machine virtuelle afin de voir l’évolution de l’OS.


On ne va pas pinailler sur le choix des mots, ces versions sont déconseillées au grand public pour leur absence de support à long terme et davantage buggées (la preuve…). Même pour les LTS, mieux vaut souvent attendre la nn.04.1.



Pour le reste, je ne remercierai jamais assez Ubuntu de m’avoir fait découvrir Debian.


Bon Anniversaire Ubuntu <img data-src=" />


&gt; On ne va pas pinailler sur le choix des mots, ces versions sont

déconseillées au grand public pour leur absence de support à long terme

et davantage buggées (la preuve…).



Non c’est faux, les non-LTS ne sont pas déconseillées au grand-public… Et elles sont pas plus buggués que les LTS. La livraison d’une LTS n’a absolument rien de différent d’une GA. Comme l’a dit “haelty”, il n’y a que la durée du support qui change, arbitrairement.








Okki a écrit :



En même temps, tu dois bien être le seul à qui ça arrive. Ubuntu est utilisé par des millions de personnes. Alors si un bug aussi gros et important que le mauvais choix de la disposition du clavier était présent par défaut, il y aurait fatalement un rapport de bug rapidement remonté et un correctif tout aussi rapidement déployé.



J’ai donc bien du mal à croire que tu ne te sois pas trompé quelque part durant l’installation.





C’est pas parce que c’est gros que c’est corrigé !

J’utilise Linux au quotidien depuis la Ubuntu 6 ou 7 de mémoire. Je suis ensuite passé sur Fedora 8 et je tourne avec chaque nouvelle version de Fedora depuis lors ! Et je suis Admin Sys Linux de métier. J’ai installé Fedora sur le PC de mes parents et de mon frère depuis plus de 5 ans. L’utilisation de Linux en desktop au quotidien je connais, et donc je peux te dire que les bugs y’en a des tétra-chié ! Et des bugs pour des trucs de base, pas des trucs compliqués forcément.



C’est pas parce que je suis pro-Linux que je me voile la face !! Il n’y a pas de marché du desktop Linux, donc pas d’argent, donc pas de QA. C’est pas plus compliqué que c’est ça.



Vous voulez des exemples à la con ?

&nbsp;




  • À chaque fois que je démarre mon PC, il faut que je ré-sélectionne la sortie HDMI de ma télé au lieu du casque qui est branché. En 2019 mon PC ne sait pas retenir ma sortie audio par défaut !

    &nbsp;

  • Impossible de faire du mode mirror/clone avec mon écran 1440p et ma télé 1080p. Soit j’ai mon écran en 1080p (au lieu du 1440p), soit j’ai ma télé qui va en out-of-range.

    &nbsp;

  • Dans Firefox, quand j’active le mode lecture sur une page Web, ma sortie audio devient complètement brouillée/hachée… Obligé de restarter Pulseaudio pour retrouver un son normal.

    &nbsp;

  • Je ne vois plus ce problème depuis quelques mois j’ai l’impression, mais pendant des années la LED de verrouillage du pavé numérique pouvait être OFF mais en fait le clavier était bien ON. En appuyant sur 2 fois

    la touche Maj ça rallumant la LED… WTF. Vous trouvez que c’est un comportement d’OS stable ça ?!

    &nbsp;

  • Vous avez déjà tenté de faire des Atl-tab pour switcher sur le Bureau quand vous êtes d’un jeu vidéo en plein écran ? Ça semble s’améliorer avec le temps, mais ça bug encore beaucoup (exemple avec Civilization 6).



  • Vous avez déjà essayer d’utiliser le gestionnaire Bluetooth de GNOME ? Ben ça marche mal. J’utilise la ligne de commande, c’est plus fiable.

    &nbsp;





    Et pour finir 2 bugs immenses que j’avais reportés (corrigé depuis) sur RHEL/CentOS :

  • CentOS 6, sur le desktop, quand on cliquait sur la croix pour fermer une fenêtre, ça pouvait en fait fermer la fenêtre qui était derrière celle sur laquelle on avait cliquer ! Véridique… Le développeur de Red Hat n’arrivait au début pas à reproduire le problème parce que sa configuration de souris était un peu custom…

    &nbsp;

  • CentOS 7, quand on sélectionnait le layout clavier FR, ça faisait planter Anaconda quand on voulait éditer le partitionnement du disque… C’était releasé tel quel dans RHEL 7.0 et quelques versions ultérieures…



    J’oublie encore des tas de bugs depuis toutes ces années… Et malgré ces trucs qui me gonfle, je persiste à utiliser Linux. Mais je ne cris pas sur les toits que Linux pour le desktop c’est parfait. C’est clairement faux.



Je retrouve certains bugs de ma debian : le pavé numérique qui faisait parfois du yoyo en sortie de veille, soit il était actif mais sans lumière, soit il était inactif mais dans tous les cas, un double appuis sur verr num joue les rappels à l’ordre jusqu’à la prochaine fois. Par contre, je ne vois plus ce bug depuis l’une des mises à jours de debian 9 et sur la 10, je ne l’ai plus revu.



Pour les écrans avec des résolutions différentes, il y a un an, j’ai essayé de connecter un autre écran récupéré chez mon père mais la résolution est différente, j’ai eu les memes bugs que ceux observés, donc l’essai a été de courte durée car je n’avais ni le temps, ni l’envie de me consacrer à chercher une solution sur le net vu que c’était juste pour voir ce que cela donnait.



Pour le casque connecté, j’ai vu également la même chose une fois où j’avais laissé le casque connecté mais c’est tellement rare que je laisse le casque connecté que cela ne me dérange pas.



Concernant le qwerty au lieu de l’azerty, j’ai vu cela en installant CentOS, calculate linux KDE et emmabuntus en machines virtuelles et calculate KDE en machine physique. Pour les machines virtuelles, j’ai trouvé la solution en utilisant uniquement des lettres communes aux deux claviers ou des chiffres et pour la machine physique, je passais par le compte root pour créer un compte utilisateur avec un clavier azerty, mais actuellement, en machine physique j’ai une préférence pour debian et fedora.








lecbee a écrit :



Il n’y a pas de marché du desktop Linux, donc pas d’argent, donc pas de QA. C’est pas plus compliqué que c’est ça.







Certains gagnent pourtant beaucoup d’argent



Dell a gagné des dizaines de millions de dollars en vendant des PC Linux



Et si des distributions entreprises comme Red Hat ou SUSE investissent sur le desktop, ce n’est pas par pure philanthropie, mais bien parce que c’est demandé par leurs clients et que ça leur rapporte de l’argent. Le fait que Linux n’ait pas réussi à percer chez le grand public ne signifie pas qu’il n’est pas utilisé en entreprise (autre que pour du serveur, cela s’entend).



Puis quand on voit le nombre délirant de bugs à chaque nouvelle mise à jour majeure de Windows 10, je ne vois pas pourquoi Linux ne serait pas prêt pour le desktop <img data-src=" />









Okki a écrit :



Puis quand on voit le nombre délirant de bugs à chaque nouvelle mise à jour majeure de Windows 10, je ne vois pas pourquoi Linux ne serait pas prêt pour le desktop <img data-src=" />





Disons que j’avais installé une Mandriva à une copine comptable (et pas du tout “geek” ni franchement portée sur l’informatique) vers 2005 ou 2006 et elle n’a pas eu de souci à s’en servir ; de mon point de vue ça fait longtemps que Linux est prêt pour le “desktop”.



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