l'ESA rappelle que « la taille du trou dans la couche d'ozone fluctue : il se forme généralement en août, avec un pic en octobre, avant de se fermer fin novembre ou décembre ».
Cette année, il se refermera plus tôt que d'habitude, mais il était aussi « le plus petit des 30 dernières années en raison de conditions atmosphériques inhabituelles ». Il mesurait en effet 10 millions de km², soit quasiment deux fois moins que les années précédentes.
Selon Claus Zehner de l'ESA, « la taille et la durée du trou dans la couche d'ozone ont été provoquées par le réchauffement de la stratosphère au pôle Sud ». Il ajoute qu'il « s'agit d'un événement inhabituel qui n'indique pas que la récupération s'accélère ».
Pour un autre dirigeant de l'ESA (Josef Aschbacher), « le trou dans la couche d'ozone est un exemple parfait d'une preuve scientifique ayant conduit à un changement important des politiques, puis du comportement humain. Le trou dans la couche d'ozone a été découvert dans les années 1970, surveillé en permanence par des dispositifs in situ et, finalement, dans les années 1980, le Protocole de Montréal a interdit l’utilisation des chlorofluorocarbones ».
Depuis, « le trou dans la couche d'ozone est en train de se résorber grâce à une action politique claire. Cet exemple servira d'inspiration pour le changement climatique ».
Commentaires (86)
#1
C’est beau, malheureusement, l’abandon du CFC était un détail, l’industrie a facilement pu s’adapter, les alternatives étaient connue. Les technologies productrices de carbone, c’est tout ce qui fait notre mode de vie habituel, et il n’y a pas d’alternatives simple, parce qu’il faut pas ce leurrer les renouvelables ne nous sauveront pas.
#2
Bonne nouvelle !
La NASA fait le suivi de la concentration des CFC ici,
#3
Les 2 derniers § sont juste du verbiage politique contredit par les faits : comme dit plus haut, l’évènement cette année n’est pas habituel et la “récupération” ne s’accélère pas. En 2018 le trou était plus gros que la moyenne, personne n’en a parlé évidemment.
De plus, les émissions de CFC sont en augmentation alors que la production est théoriquement nulle… comment expliquer alors que “le trou dans la couche d’ozone est en train de se résorber” puisque le principal coupable est toujours là ?
“un exemple parfait d’une preuve scientifique” remise en question depuis longtemps.
2 poids 2 mesures dans le reporting = tromperie.
#4
Comme d’habitude, du grand n’importe quoi avec tmtisfree " />
https://fr.wikipedia.org/wiki/Trichlorofluorom%C3%A9thane
#5
Faut pas lui répondre…
#6
In other words, the ozone hole has been an observed annual phenomenon since about 1979, lasting between four and six weeks of the year — at the period of transition from the darkness of winter until the spring breakup of the polar vortex. The rest of the year, Antarctic ozone values are quite similar to those measured during the IGY 36 years ago. However, the observations prior to 1979, showing no hole, and the French observations at Dumont d’Urvillein 1958 suggest that the ozone hole is ephemeral as suggested by Dr. S. Fred Singer. That is, it comes and goes depending perhaps on variations in stratospheric temperatures, water vapor, or chlorine from volcanic eruptions.
From a rigorous scientific standpoint, there is no need to go any further to disprove the theory that CFCs are responsible for causing this so-called Antarctic ozone hole, because the hole is proven to have been there decades before man-made CFCs could possibly have had any impact. The CFC ozone depletion theory is a fraud.
Unfortunately, however, ozone-depletion theories share the uncanny ability of the cinema character Dracula; both can reappear in a new incarnation after having been thoroughly crushed. Therefore, let us continue to rebut every aspect of this hoax to establish without a doubt that CFCs are at most a negligible addition to natural processes that have been able to produce an ozone hole without help from man at least as early as 1958 — and likely for the past 50 million years since the Antarctic continent has been located at the South Pole.
L’introduction du livre, par Haroun Tazieff, est aussi instructive sur les autres dérives et fraudes environnementalistes qui prévalent encore aujourd’hui avec 0 preuve scientifique.
#7
Si mais seulement une fois en révélant ses mensonges et autre arrangement avec la vérité.
Ce genre de personne est dangereuse car en absence de contre argumentaire, certains peuvent s’y laisser prendre :/
#8
Sur NXI c’est assez rare, et à force de vouloir répondre à ce genre de personnes, ça te détruit le moral. " />
#9
Heterogeneous chemical reactions releasing photochemically active molecular chlorine play a key role in Antarctic stratospheric ozone destruction, resulting in the Antarctic ozone hole. Hydrogen chloride (HCl) is one of the principal components in these reactions on the surfaces of polar stratospheric clouds (PSCs). PSCs form during polar nights at extremely low temperatures (lower than −78 °C) mainly on sulfuric acid (H2SO4) aerosols, acting as condensation nuclei and formed from sulfur dioxide (SO2). However, the cause of HCl and H2SO4 high concentrations in the Antarctic stratosphere, leading to considerable springtime ozone depletion, is still not clear. Based on the NCEP/NCAR reanalysis data over the last 35 years and by using the NOAA HYSPLIT trajectory model, we show that Erebus volcano gas emissions (including HCl and SO2) can reach the Antarctic stratosphere via high-latitude cyclones with the annual average probability of at least ∼0.235 (23.5%). Depending on Erebus activity, this corresponds to additional annual stratospheric HCl mass of 1.0–14.3 kilotons (kt) and SO2 mass of 1.4–19.7 kt. Thus, Erebus volcano is the natural and powerful source of additional stratospheric HCl and SO2, and hence, the cause of the Antarctic ozone depletion, together with man-made chlorofluorocarbons.
#10
J’aime bienl’analyse qui est faite de ce livre publié même pas 3 ans après la mise en application du protocole de Montréal.
#11
…rien que le pseudo veut tout dire. " />
#12
Le soucis c’est que le réchauffement climatique (et son accélération) sont bel bien théorisé.
Le débat ne porte plus sur une hypothétique existence de cette dernière (ils existent bel et bien) mais de combien de degrés nous allons offrir à nos enfants en 2100, de combien de dizaine de mètre la mer va monter, de combien de millions d’affamer cela va engendrer.
La ce que tu fais c’est de la gesticulation ….
#13
Tu mets le doigt dessus, le problème de la contradiction et du débat c’est qu’il est éprouvant, tandis que la “pensée unique”, rassurante, regarder des “débunkers” et tout, ah que ça fait du bien, ça rassure. Quelle que soit l’opinion, les anti-conformistes font pareil (autre forme de conformisme). Mieux vaut se tromper tous ensemble que d’avoir raison tout seul n’est-ce pas ?
#14
Bah, je sais qu’on a déjà discuté d’Aude ensemble, mais là c’est comme discuter si la Terre est plate ou pas quoi…c’est une évidence scientifique, ça rend maboule de voir un mec réfuter tes arguments et qu’il te balance des articles bidons, orientés, ou mal compris.
Maintenant je laisse tomber sur les sujets scientifiques, ça sert à rien et je ne suis pas assez compétent pour comprendre les revues scientifiques (contrairement à tous les complotistes, qui eux ont l’intelligence supérieure bien sûr). " />
#15
C’est vrai qu’il faut être endurant " />
Cela dit j’ai remarqué que lorsque tmtisfree était contredit de façon sourcée et sérieuse, il passait systématiquement un temps fou à chercher de nouvelles sources (bidon ou dont il détourne le sens bien sur) afin de conforter sa version (je pense que s’il réalisait un jour qu’il avait tord il se désintégrerait immédiatement).
Et de l’imaginer passer ses heures à se tirer les cheveux me remonte le moral " />
#16
Ouais mais j’ai 25 ans, j’ai pas envie de partir en dépression à parler avec un mec comme ça. haha
#17
Tu as bien raison, et puis l’ignorance est une terrible punition pour ces gens là " />
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#19
Le scientifique qui a raison seul contre tous n’existe pas dans la réalité. Y’a que dans les films qu’on voit ça…
T’as oublié l’histoire des Sciences toi ?
#20
Donc un scientifique ne se trompe jamais ?
Et si on n’en est pas un, il faut boire leurs paroles sans jamais douter, les remettre en question, ou (pire) essayer de comprendre ?
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Oui mais ça fait tout de même un précédent réussi.
#23
Un vrai scientifique ne claironne pas ses théories à travers des livres ou dans des salons pour conspirationniste. Il publie ses articles dans des revues spécialisées qui seront soumis à la critique de ses pairs. Ce système là n’est bien sûr pas parfait mais il a le mérite de limiter fortement les publications folkloriques.
Primo : Rien ne t’empêche de proposer ta propre théorie et de la soumettre à la communauté. Les publications sur lesquelles s’appuient le GIEC sont librement disponibles donc libre à toi de les décortiquer, de les critiquer et de proposer une version alternative.
De là mon Deuxio : le sujet est éminemment complexe et je vois mal comment on peut critiquer les théories actuelles sans avoir un bon bagage scientifique et technique. Juger les publications sans les avoir lues ni comprises me semble un non-sens complet.
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Mais non je te laisse braire, comme déjà écrit par ailleurs. Et je ne passe pas tout mon temps à répondre aux cancres ou à tes inepties : il y en a trop.
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Merci de l’astuce. " />
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Je reprends pas le reste car j’ai pas que ça a foutre mais ça, c’est vraiment marrant :
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Mais une “évidence scientifique” est tout sauf une évidence, on dit bien que la science est souvent contre-intuitive. Comme pas mal de choses, c’est pour ça qu’on nous “éduque” dès très jeune. Pour le meilleur, et pour le pire. N’empêche que la plupart d’entre nous croyons ce qu’on nous a appris pour de mauvaises raisons (par exemple le fait que ce soit répété partout), et non parce que nous avons compris et refait la démonstration scientifique ou le constat.
Par contre une chose est sûre, si on croit que nos dirigeants actuels veulent notre bien, sont sous contrôle démocratique et craignent notre courroux, quel que soit le sujet (climat compris), alors on a vraiment raté des épisodes. Autrement dit je n’ai pas le temps d’étudier tous les sujets, mais ayant un peu étudié l’histoire et la politique, ainsi que notre régime qui tend à mettre les pires au pouvoir (ceux qui le réclament ou s’y font pousser par des riches), j’ai tendance par défaut à considérer tout ce qu’il dit comme une boussole inversée. Ne pas oublier que ce sont des monstres, des psychopathes, qui n’hésitent pas à envoyer à la mort des millions d’entre-nous (rappel de ce qu’on commémorait hier).
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Suffit d’utiliser Internet pour avoir les infos.
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Le début d’une nouvelle Ère Glacière.
Le Bug de l’An 2000.
Pandémie de grippe A (H1N1).
Pluies Acides.
Aujourd’hui: Réchauffement Global –> heu non –> Changement Climatiques –> oups –> Événements Météorologiques Extrêmes.
Et demain ce sera quoi ?
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Manipulation des données: https://stevengoddard.files.wordpress.com/2010/10/1998changesannotated.gif
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Mmhh que je savoure le fait que tu te sente obligé de te justifier (et de saupoudrer le tout d’insultes) " />
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Tu cherches a biaiser comme d’habitude, quand on te met sous le nez que si les modèles reproduisent (mal) les températures au sol, c’est seulement parce qu’ils sont calibrés pour…
Sur la vérification/validation des modèles climatiques que disent les modeleurs :
When discussing verification and validation, we must always recognize that both of them can only be partial for a climate model, except maybe in some trivial cases. The accuracy of the numerical solution can only be estimated for small elements of the code or in very special (simplified) conditions. Indeed, if it were possible to obtain a very accurate solution to compare with the numerical model results for all the possible cases, there would be no point in developing a numerical model! The comparison of model results with observation is also limited to some particular conditions and completely validating a climate model in all the potential situations would require an infinite number of tests. A climate model could thus never be considered as formally verified or validated.
QED.
Ce dont je dispose ou pas est HS.
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C’est bien raconté et résumé ici.
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Dans les domaines où la Science est non controversée, certainement.
Mais quand elle est utilisée comme cheval de Troie idéologique, la science officielle “existe” : elle est même élevée au rang de consensus, une notion éminemment politique, comme celle du “Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat” ou GIEC (mal traduit de anglais Intergovernmental Panel on Climate Change ou IPCC).
C’est de la science sanctifiée par les gouvernements en conclave (dit COP) : difficile de faire plus officielle !
La malhonnêteté intellectuelle des escrocs/escrolos n’est qu’une observation basique. Une vérité qui dérange comme dirait un des escrocs lui-même.
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