Pourquoi la saisine du Conseil constitutionnel sur la LPM a capoté
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Le 20 décembre 2013 à 13h35
8 min
Droit
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Malgré les différentes volontés affichées par de nombreux parlementaires, ces derniers n’ont pas été capables de s’entendre afin de déposer une saisine commune réunissant les 60 signatures nécessaires pour que le Conseil constitutionnel examine le projet de loi de programmation militaire, qui est désormais promulgué. Mais comment expliquer un tel échec ?
C’est finalement hier matin que le projet de loi de programmation militaire (LPM) a été promulgué par le chef de l’État, François Hollande. En clair, le texte devient définitivement gravé dans le marbre. Pour les opposants au texte, et plus particulièrement à son article 20 (lequel organise un véritable « Patriot Act à la française »), cette nouvelle venait surtout doucher les espoirs d’une possible intervention du Conseil constitutionnel - du moins avant que le projet de loi n’entre en vigueur.
En effet, depuis l’adoption définitive du texte par le Parlement, le 11 décembre, de nombreux élus étaient à la manœuvre afin que les Sages de la rue Montpensier puissent examiner ce projet de loi à la lumière de la Constitution ainsi que des différents textes fondamentaux (Déclaration des droits de l’homme, Charte de l’environnement, etc.). Les députés du groupe écologiste à l’Assemblée nationale avaient ainsi commencé par tendre la main à l’ensemble de leurs collègues, affirmant qu’ils étaient prêts à se joindre à d’autres pour arriver à déférer le texte devant le Conseil constitutionnel. À l’UMP et au centre, en dépit de l’opposition du chef de groupe, Christian Jacob, des élus s’étaient rassemblés autour de Xavier Bertrand dans l’espoir de réunir les 60 signatures nécessaires. Du côté du Front de Gauche, le député Jean-Jacques Candelier affirmait qu’ils étaient 10 à vouloir soutenir une saisine du juge aux côtés des écologistes.
Sauf qu’en dépit de ces différentes initiatives, les parlementaires n’ont pas réussi à obtenir à temps les 60 « autographes » nécessaires pour que le Conseil constitutionnel se prononce. Pourtant, le compte semblait y être mercredi soir. 48 signatures étaient en effet comptabilisées à l’UMP et à l’UDI, c’est-à-dire qu’il n’en manquait plus que 12, qui auraient pû être facilement récoltées chez EELV et au Front de Gauche... Mais que s’est-il passé ?
EELV et le Front de Gauche dénoncent l'attitude des députés UMP et UDI
À gauche, l’on renvoie la balle de l’autre côté de l’échiquier politique. Le député Jean-Jacques Candelier (Front de Gauche) a ainsi dénoncé « le sectarisme de l’UMP », qui a selon lui « refusé de mêler ses signatures à celles des députés écologistes et Front de Gauche ! » La critique se veut identique chez les Verts, où l’on déplore « le double discours et les manoeuvres de l’UMP qui ont abouti à ce qu’un texte aussi important ne soit pas examiné par l’institution garante de nos libertés ».
« Ils ont entretenu le flou jusqu’au dernier moment et ils n’ont plus répondu aux deux présidents de groupe François de Rugy et Barbara Pompili pendant deux jours » explique Julien Bayou, porte-parole d’EELV, à PC INpact. Aux yeux de l’intéressé, ce refus de s’allier aux écologistes fut motivé par deux raisons. D’un, « il y a une volonté que la loi passe : ils sont très satisfaits avec cette loi ». Deux, « il y a le jeu politique, minable, de ne pas vouloir signer avec les écolos ».
« Le fait de ne pas avoir pris de position claire et immédiate sur "accepte-t-on les signatures des écolos ?", c’est une manœuvre pour enterrer le recours » résume-t-il, amère.
Des signataires UMP-UDI ne voulaient pas entendre parler d'une alliance
Du côté de l’UMP et du centre, l’on ne voit pas les choses de la même manière. « Je ne crois pas que les écologistes avaient les 17 signatures, quoi qu’ils en disent » nous indique-t-on dans l’entourage de Xavier Bertrand. En ce sens, il y a un pas entre un soutien oral et une signature et bonne et due forme. « Et de toute manière, je ne pense pas que 17 + 48 nous ait permis d’arriver à 60 simplement parce qu’on aurait peut-être perdu des députés UMP » concède-t-on ensuite. En clair ? Certains signataires auraient préféré se retirer plutôt que d’avoir à accoler leurs noms à ceux des députés écologistes ou du Front de Gauche sur une saisine commune. Quant aux accusations concernant le « double discours » : « On était déjà contre la position du groupe ! » rétorque-t-on, en référence à l’opposition du chef de file UMP à l’Assemblée nationale, Christian Jacob.
« En politique, 48 + 17 ne vaut pas 65... » résume Laure de la Raudière, reprenant ainsi un de ses tweets d’hier. « Il y a eu une position du groupe écologiste qui a été de dire "vous acceptez toutes les signatures écolos ou zéro", sachant qu’ils n’avaient pas recueilli physiquement toutes ces signatures mercredi ». Problème : « Xavier Bertrand et moi, l’on savait que certains députés UMP se seraient retirés si la saisine devait être effectuée avec la globalité du groupe écolo, parce qu’on est sur une loi de programmation militaire et que la position traditionnelle des écolos est restée relativement anti-militariste... » explique la députée. Conclusion ? « Ça fait que si vous faisiez 48 + 17, il y avait des « - » derrière et on était inférieur à 60... »
« C’est aussi la faute des Verts »
L’élue de l’Eure-et-Loir n'hésite néanmoins pas à renvoyer chacun à ses responsabilités. « Moi je dis que c’est aussi la faute des Verts parce que j’avais proposé qu’on prenne 4 ou 5 signatures des Verts et 4 ou 5 signatures du Front de Gauche et on y arrivait. Et là c’était possible ! ». Aux yeux de la parlementaire, le groupe écologiste a eu « une attitude politique » et non pas « une attitude pragmatique » en proposant de s’allier uniquement en bloc à la saisine de l’UMP et de ses alliés de l’UDI.
À propos des 48 signataires de la saisine de l’UMP et de l’UDI, qui étaient-ils ? Si beaucoup avaient déclaré la soutenir, quels sont ceux qui l’ont réellement signé ? Pour l’heure, impossible de le savoir. L’entourage de Xavier Bertrand n’a en effet pas souhaité nous fournir cette liste. « On était à 48 dans les délais impartis, on était à 51 hier matin, mais il était déjà trop tard. » La publication de la liste des noms « n’est pas prévue » nous indique-t-on.
Du côté des acteurs externes au Parlement, c’est un peu la gueule de bois. « Les clivages politiques et la discipline de groupe ont été la principale cause de l'échec des tentatives pour réunir les 60 signatures nécessaires à la saisine du Conseil constitutionnel, malgré la mobilisation citoyenne et les nombreuses alertes d'organisations diverses » regrette ainsi La Quadrature du Net. Aux yeux de l’association de défense des libertés numériques, « le vote politicien d'un PS tenu en laisse, le sectarisme de l'UMP refusant de co-signer avec des députés verts ou communistes et l'intimidation brutale de ses membres par son chef de groupe Christian Jacob resteront dans nos mémoires comme emblématiques de la dérive vers un régime post-démocratique ».
Et maintenant ?
Pour autant, beaucoup tentent désormais de focaliser leur attention sur les dernières lueurs d’espoirs, comme les possibles questions prioritaires de constitutionnalité (QPC) que pourront éventuellement soulever les justiciables à l’égard de ce texte - mais pas avant que celui-ci soit entré en vigueur (le 1er janvier 2015 pour l’article 20 par exemple). Principalement, l’action se jouera donc au Parlement. Dans l’entourage du député Candelier, l’on nous confie que l’élu du Front de Gauche privilégiera les amendements, « plus simple, plus efficace ».
Comme elle nous l’avait annoncé hier, Laure de la Raudière a de son côté attaqué la reflexion d'une proposition de loi visant à réécrire l’article 20, afin de « le rendre lisible, précis, sans interprétation juridique trop large comme aujourd’hui ». La députée l’assure : « Maintenant on passe à l’étape suivante : on fait une proposition de loi et je vais voir combien il y aura de signature des députés UMP. C’est là où on verra les choses, si les députés PS vont bouger ! » L’élue se veut d’ailleurs optimiste : « Il faut continuer à travailler sur l’article 20. Toute la mobilisation qu’il y a eu autour de cet article servira, parce que ça a permis de faire de la pédagogie auprès de députés ».
Jérémie Zimmermann, porte-parole de La Quadrature du Net, l’a lui aussi promis : « Avec les autres associations de défense des droits et libertés qui se sont mobilisées contre l'article 20, nous allons mener campagne sans relâche contre la surveillance et ces violations de la séparation des pouvoirs. Nous demanderons une affirmation forte du rôle du judiciaire, du droit à la vie privée et des libertés individuelles dans les lois à venir et par toutes les voies de recours possibles ».
Pourquoi la saisine du Conseil constitutionnel sur la LPM a capoté
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EELV et le Front de Gauche dénoncent l'attitude des députés UMP et UDI
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Des signataires UMP-UDI ne voulaient pas entendre parler d'une alliance
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« C’est aussi la faute des Verts »
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Et maintenant ?
Commentaires (52)
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Abonnez-vousLe 22/12/2013 à 04h08
Le 20/12/2013 à 18h31
On aura le droit à un article plus strict, mais ça cassera pas 3 pattes à un canard…
Il pourraient limiter l’application à des trucs vraiment craignos, genre soupçon d’attentat imminent, mais je sûr qu’on est restera à l’éventail monstrueux: terrorisme, criminalité, délinquance… Ou mettre au moins un juge dans la boucle.
Le 20/12/2013 à 18h40
Moi je dis que c’est aussi la faute des Verts parce que j’avais proposé qu’on prenne 4 ou 5 signatures des Verts et 4 ou 5 signatures du Front de Gauche et on y arrivait. Et là c’était possible !
Peut-etre que, en politique, 48+17 ne font pas 65. (A cause de certains abrutis qui prefereraient retirer leur signature que la voir aposee a cote de celle des “Verts” ou des “Rouges”. Supposons.)
Mais 48 + 5 + 5, ca ne fait pas 60 non plus, en politique comme en maths.
Le 20/12/2013 à 18h49
Les députés ont dit:
En clair, on s’est bien foutu de votre gueule, de toute façon, nous, on leur cause plus dans la cours de récré depuis qu’on a cafté à la maitresse.
En bref, on est qu’une bande de sales gamins même pas foutu de faire à peu près correctement une partie du boulot pour lequel le contribuable nous rétribue grassement " />
Enfin, merci beaucoup mesdames messieurs les élues d’avoir confirmé à la lettre ce qui se disait en commentaire sur PCI ces derniers jours " />
Le 20/12/2013 à 19h25
Pour qu’il y ai changement, il faut une cassure net. Je pense malheureusement que seul le FN permettra cette cassure pour repartir sur de bonne base.
Le 20/12/2013 à 20h29
Le 20/12/2013 à 21h28
Haute trahison ! Tous en taule !
Le 20/12/2013 à 21h59
Pathétique. Et on les paye pour ça.
Le 20/12/2013 à 23h23
Le 20/12/2013 à 23h33
Le 21/12/2013 à 01h08
Le 21/12/2013 à 06h28
Le 21/12/2013 à 06h29
Le 21/12/2013 à 06h31
Le 21/12/2013 à 06h57
Le 21/12/2013 à 07h41
Le 21/12/2013 à 08h34
" /> LA DICTATURE C’EST MAINTENANT !
Le 20/12/2013 à 14h17
Le 20/12/2013 à 14h21
Tssss c’est qu’une bande de charlots, de vendus et aussi d’hypocrites qui font croirent qu’ils tentent un truc dans l’interret général mais vont pas au bout des choses.
Le 20/12/2013 à 14h43
Le 20/12/2013 à 14h48
Le 20/12/2013 à 15h00
Le 20/12/2013 à 15h01
Ce ne sont pas les dictateurs qui prennent les droits du peuple, c’est le peuple qui les abandonne.
Merci de me redire de qui est cette citation vue ces derniers jours.
En revanche celle-ci est de Benjamin Franklin
Une société prête a sacrifier un peu de liberté contre un peu de sécurité ne mérite ni l’une, ni l’autre, et finit par perdre les deux.
Le 20/12/2013 à 15h25
Merci PCI pour l’analyse et les explications.
Ça a été la fête aux commentaires débiles, heureusement certains ont été effacés, merci PCI (bis).
Le 20/12/2013 à 15h29
Le 20/12/2013 à 15h47
C’est vraiment hallucinant de laisser passer cette loi juste parce que l’UMP ne veut pas s’associer aux verts, on croit rêver! " />
On dirait des querelles de gamin “ah non si il viens dans mon équipe moi je joue plus, na!”
honteux !! " />
Le 20/12/2013 à 15h52
À quand les smileys personnalisés ? " />
Le 20/12/2013 à 17h09
Ça a capoté et pourtant il n’y avait besoin que de 10%…
Alors comment ces partis politiques veulent nous faire croire à des changements dans la constitution européenne pour une “autre Europe” alors qu’il y a besoin d’unanimité entre des partis et des pays différents ?!?!?
Le 20/12/2013 à 17h40
Le 20/12/2013 à 17h52
Environ 250 députés dans l ‘opposition et pas foutu de récolter 60 signatures
Lamentable.
Le 20/12/2013 à 18h07
Le 20/12/2013 à 13h38
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Le 20/12/2013 à 13h53
Pourquoi la saisine du Conseil constitutionnel sur la LPM a capoté ?
Mais c’est tout simple, ce sont des traitres qui ont abandonné la défense de l’intérêt générale pour celui, plus lucratif, des intérêts particuliers. Et depuis bien longtemps.
La question qui se pose est la suivante : que fait-on aux traitres ?
Le 20/12/2013 à 13h55
La tête a Toto !
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La cours de récréation est terminée !
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Le 20/12/2013 à 14h03
Ils sont pathétiques. Infoutus de passer outre leurs égos et leurs querelles de clocher pour défendre les valeurs de la France et le bien de ses habitants. Une belle bande de bons à rien, souvent corrompus jusqu’à l’os.
Mais sachez-le, messieurs et mesdames les députés : même en mettant la tête dans le sable, en refusant la prise en compte du vote blanc ou en mettant chaque mouton de poussière sous le tapis pour préserver jusqu’au bout vos avantages, votre pouvoir et votre train de vie, vous ne ferez que retarder l’explosion d’une société à bout.
Un équilibre est possible entre la liberté d’entreprendre et le respect de l’ouvrier, entre le pouvoir de l’État et la bonne tenue des comptes publics, entre l’indépendance de la justice et la surveillance des abus… Mais votre aveuglement et votre cupidité affaiblissent chaque jour toute possibilité de solution raisonnable. Et dans quelques année il sera trop tard.
Le 20/12/2013 à 14h03
Pourquoi la saisine du Conseil constitutionnel sur la LPM a capoté
Parce-qu’ils ont bien reçu le gros chèque… comme d’habitude " />
Le 21/12/2013 à 08h42
“Mais c’est tout simple, ce sont des traitres qui ont abandonné la défense de l’intérêt générale pour celui, plus lucratif, des intérêts particuliers. Et depuis bien longtemps.
La question qui se pose est la suivante : que fait-on aux traitres ?”
Réclusion criminelle à perpétuité. La vrai perpétuité, hein. Pas la perpétuité light de maintenant qui permet de sortir de taule au bout de 20 piges.
Le 21/12/2013 à 09h05
Le 21/12/2013 à 10h28
http://www.reuters.com/article/2013/12/20/us-usa-security-rsa-idUSBRE9BJ1C220131220 " />" />" />" />" />
Le 21/12/2013 à 10h42
Je ne suis pas d’accord avec l’analyse de votre article : je pense que les vraies raisons de cette nouvelle trahison sont beaucoup plus profondes que de simples bagarres de clocher.
Il y a toujours eu en Europe une puissance étrangère qui oeuvre très clairement dans le but de prendre le contrôle total de nos vies, pas juste de notre armée. Et ses complices sont déjà allés bien trop loin pour oser un retour en arrière.
En tant de guerre, ces gens seraient fusillés manu militari pour collaboration avec l’ennemi, même si ici, gardons raison, le terme se rapporte plus à une guerre économique qu’à un conflit armé pur et dur.
Il n’en reste pas moins que la gravité répétée de ces actes de trahison en disent très long sur la soit disant indépendance économique et stratégique vendue sous Maastricht aux Européens.
Si ‘lEurope n’est donc pas capable de défendre les intérêts réels de ses citoyens, alors elle ne sert à rien, et il vaut mieux clairement arrêter les frais. On peut se nourrir d’espoir un moment, mais pas indéfiniment.
Le 21/12/2013 à 11h04
Le 21/12/2013 à 11h53
Comportement des forces de l’ordre pour de simples autocollants et sous un gouvernement socialiste
Imaginons le zèle qu’auraient ces forces de l’ordre avec un gouvernement “bruit de bottes et des lois bien liberticides…
Le 21/12/2013 à 11h58
Le 21/12/2013 à 12h21
Le 21/12/2013 à 13h11
Le 21/12/2013 à 14h46
Il ne faut pas se leurrer, il n’y aura pas de révolution pour si peu, ni dans la rue ni dans les urnes. La grande majorité de la population se fout pas mal de ses droits constitutionnels, tant qu’il y a à manger dans le frigo, et des colifichets dans les rayons des magasins. Il n’y a pas une once de conscience politique, une méconnaissance totale des institutions, de l’histoire récente tant nationale que mondiale, des principes économiques de base, bref aucun moyen de se faire une vraie opinion politique fondée sur autre chose que de la doctrine.
Il n’y a pas de démocratie sans éducation politique, et sans démocratie les droits constitutionnels ne servent pas à grand chose. Il est par ailleurs intéressant que le conseil constitutionnel soit une institution peu démocratique dans son recrutement.
Le 21/12/2013 à 15h21
Le 21/12/2013 à 15h22
Le 21/12/2013 à 16h06
Le 21/12/2013 à 19h48
Le 22/12/2013 à 00h03
L’intérêt de tous négligé pour la mésentente de quelques uns, c’est ce que l’on peut appeler la limite de l’intérêt que porte les Députés aux citoyens.
Le 22/12/2013 à 03h07