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Le rapport Sirugue écarte le « revenu de base » à l’heure du numérique

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Le rapport Sirugue écarte le « revenu de base » à l’heure du numérique

Le 18 avril 2016 à 13h22

Alors que certains parlementaires rêvent de l’instauration d’un « revenu de base » à l’heure du numérique, le rapport Sirugue sur les minima sociaux tend plutôt à écarter cette piste. Le député socialiste préférerait une « couverture socle commune ». Il en appelle dans un autre registre à des améliorations concernant les démarches des citoyens sur Internet.

« La nécessité d’agir est bien une évidence », conclut le député Christophe Sirugue à l’appui d’un constat qui ne surprendra pas grand-monde : « Aujourd’hui, ni la simplicité, ni l’égalité de traitement des allocataires ne sont garantis et j’ai la conviction que ce n’est qu’en proposant une réforme véritablement structurante de l’architecture, avec la mise en place d’une couverture socle commune, accompagnée d’une ambition nouvelle en matière d’insertion, que de telles difficultés pourront être résolues ». L’élu, qui a été chargé par le Premier ministre de réfléchir pendant plusieurs mois à un chantier de simplification de l’ensemble des minima sociaux, a rendu ce matin son rapport (PDF) à Manuel Valls.

On y apprend que la France compte aujourd’hui dix minima sociaux (RSA, AAH, ASS, allocation veuvage, etc.), dont bénéficient quatre millions d’allocataires. Ces aides se caractérisent notamment par leur « complexité », explique Christophe Sirugue, laquelle « concerne tant la compréhension de l’ensemble du système et l’articulation entre les différents dispositifs existants que le parcours propre de l’usager dans chacun des minima et les démarches qu’il doit entreprendre pour avoir accès à ses droits ». La diversité et l’hétérogénéité des conditions d’attribution de ces prestations sociales sont également nombreuses, « au risque parfois de rendre le système inéquitable ».

Encore loin d’un « revenu de base » à l’heure du numérique

Face à ce constat, l’élu PS met en avant trois scénarios :

  1. Mettre en œuvre, dès le 1er janvier 2017, une dizaine de mesures de simplification de l’architecture des minima sociaux. Il s’agirait « d’abord de réduire la complexité d’ensemble et de faciliter l’accès des usagers à leurs droits, par exemple en rendant plus prévisible les montants versés aux allocataires du RSA (...) en favorisant les échanges de données entre opérateurs ou encore en développant largement les simulateurs et outils numériques permettant de faire ses démarches ».
  2. Réduire par deux le nombre de minimas sociaux à horizon 2020. Différents rapprochements seraient en contrepartie enclenchés : intégration de l’allocation veuvage, de l’allocation temporaire d’attente et du revenu de solidarité outre-mer dans le RSA, etc.
  3. Instaurer une « couverture socle commune » d’environ 400 euros par mois qui viendrait remplacer les dix minimas existants. Ce dispositif – éligible à tous les résidents âgés de 18 ans ou plus, sous condition de ressources – pourrait éventuellement être agrémenté d’un « complément d’insertion » (permettant à tout actif de plus de 18 ans de bénéficier d’un accompagnement ad hoc) et d’un « complément de soutien » visant à préserver les ressources des personnes en situation de handicap ainsi que des personnes âgées.

De ces trois pistes, c’est la dernière qui a la faveur de Christophe Sirugue. Elle permettrait selon lui « la plus grande simplification du système des minima sociaux, tout en préservant la situation des bénéficiaires ». Cette position fait écho aux récentes propositions autour du revenu de base à l’heure du numérique. « Aujourd’hui, l’idée de revenu universel prend de plus en plus d’ampleur à mesure que se pose la question du devenir de l’emploi sous l’effet des nouvelles technologies, de l’automatisation et du développement de l’intelligence artificielle », note à cet égard le parlementaire.

couverture socle commune sirugue
Crédits : Rapport Sirugue

Le rapporteur prend toutefois des distances très claires avec les promoteurs du revenu universel, dont il reconnaît simplement partager certains principes tels que « l’individualisation partielle de la couverture socle versée, la séparation assurée avec les dispositifs de soutien à l’accès au logement et à la parentalité ou encore l’automatisation à terme du versement du socle ». Contrairement au revenu de base, il n’est pas ici question d’avoir une aide tout au long de la vie, ou bien encore de pouvoir cumuler celle-ci avec une activité salariée. Christophe Sirugue craint en effet que « certaines conceptions très libérales du "revenu universel" [puissent] aboutir à remettre intégralement en cause notre système de protection sociale ».

Besoin d’outils numériques de simplification des démarches administratives

Le député explique que cette réforme pourrait quoi qu’il en soit être utilement complétée par l’adoption de mesures de simplification prévues pour le premier scénario, lesquelles permettraient « d’améliorer très rapidement la situation des allocataires ». Parmi ces propositions, figure notamment le développement d’outils numériques facilitant les démarches des citoyens. Le rapport salue en ce sens la mise en œuvre de nombreux simulateurs (à l’instar de « Mes-Aides »), mais estime qu’il faudrait désormais « favoriser la création de téléprocédures pour permettre à l’allocataire de demander directement ces prestations à travers ces outils et qu’il n’ait plus à se contenter d’une simple simulation ».

mes-aides.gouv.fr
Crédits : Mes-aides.gouv.fr

Christophe Sirugue va jusqu’à rêver d’un « portail numérique des droits sociaux », destiné entre autre à limiter le phénomène du non-recours aux aides : « Ce portail, lié à la création du compte personnel d’activité [dont devrait bénéficier chaque salarié à partir du 1er janvier 2017, ndlr], restituerait dans un premier temps l’ensemble des droits sociaux de l’utilisateur et fédérerait en un point d’entrée unique les espaces personnels existants des organismes de protection sociale. Cette vocation d’information pourrait être enrichie par de nouvelles fonctionnalités telles que des alertes personnalisées pour informer l’usager d’un nouveau droit existant au regard de sa situation ou encore constituer un espace unique de déclaration de changement de situation ayant des incidences sur les droits sociaux. »

Le rapport prône d’autre part une meilleure « interopérabilité des systèmes d’information des organismes [de type Pôle Emploi, DGFiP...] afin de mettre effectivement le principe « Dites-le nous une fois » et donc de limiter drastiquement le nombre de pièces justificatives à fournir par le demandeur, voire de les supprimer ». Les échanges de données entre opérateurs publics permettrait aussi, poursuit le parlementaire, de renforcer davantage le ciblage des contrôles.

Commentaires (183)

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Pourquoi tu travailles si c’est si bien le RSA? On te regarde vivre avec 462EUR/mois <img data-src=" />

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Les retraités, qui sont majoritaires dans ce pays, décident de la politique et ont besoin de toujours plus d’esclaves qui travaillent pour maintenir leur train de vie <img data-src=" />

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Et la limite des stocks de pétrole ça n’existe pas dans ton monde? La population exponentielle crée les guerres du pétrole actuelles <img data-src=" />

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CowKiller a écrit :



Tu m’as cité l’INRA en exemple alors que leur expertise dans le domaine des intrants est limitée (contrairement au CETIOM ou à ARVALIS), je te propose une publication par l’INRA qui va dans le sens des réductions d’intrants imposées (dans le cas de la réduction des GES) qui affectent la production puisque les auteurs reconnaissent que des adaptations seront nécessaires pour compenser, mais tout en supposant sans preuves et au conditionnel, puisque le futur leur est inconnu, que le volume de production n’en sera pas affecté.



Ta conclusion est « Ce qui montre que les gars savent très bien (en se basant sans doute sur des études ultérieures) qu’une modification des pratiques, dont certaines sont la réduction d’engrais apportés au sol, NE CHANGENT EN RIEN LE VOLUME PRODUCTION. »



Non, « les gars » ne sont pas devins (« études ultérieures » ? sans blagues ?) et les futures chiffres de production globale (dans le cadre de l’étude, c’est à dire par réduction des intrants azotés) sont inconnus puisque les « changements ne sont pas aisés et nécessitent des changements cohérents dans le système sociotechnique français » qui ne sont pas encore réalisés, s’ils le sont un jour.



Par contre tous les céréaliers savent par expérience, c’est à dire sur le terrain en milieu naturel, que diminuer les intrants (azotés ou autres) en-dessous d’une quantité variable suivant les plantes est préjudiciables aux rendements. Ce qui est le cas actuellement. Mais heureusement qu’il existe des moyens pour contourner ces stupides régulations.


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Pardon je voulais dire antérieures <img data-src=" />

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Cartmaninpact a écrit :



Et la limite des stocks de pétrole ça n’existe pas dans ton monde? La population exponentielle crée les guerres du pétrole actuelles <img data-src=" />





Quelle limite ? La seule qui nous intéresse est économique, et les producteurs ne semblent pas vouloir stopper leur production (actualité). D’ailleurs personne n’a jamais manqué de pétrole ou de quoi que ce soit d’autre. La finitude physique supposée de tel ou tel substrat n’a qu’une relation très lointaine (lire aucune en pratique) avec l’économie.


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Toujours est-il qu’il est évident que la diminution des apports d’engrais finira par diminuer le rendement, surtout si tu y vas trop fort. Je ne peux pas aller contre toi de ce côté là. Le soucis est que si tu continues à mettre autant d’engrais années après années tout en “desinfectant” le sol à coup de phytosanitaires, le rendement diminue aussi à cause de la détérioration des sols. Et il faut alors bien laisser un peu la terre se reposer pour récupérer le même rendement à quantité d’engrais apportés égale sinon tu vas être obligé d’en mettre toujours plus pour maintenir ton rendement.



C’est un peu le même problème que la surpêche ce que tu me dis là. Les pêcheurs veulent utiliser des filets de plus en plus gros vu qu’il y a de moins en moins de poisson et qu’ils n’arrivent plus à vivre. Sauf que les scientifiques leur disent justement de calmer le jeu (au grand minimum de ne pas toucher certaines réserves) pour que le stock de poissons se refasse sinon il n’y en aura plus du tout.

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CowKiller a écrit :



Pardon je voulais dire antérieures <img data-src=" />





Cf mon dernier §, ou cette figure où la barre verticale représente la dose moyenne en dessous de laquelle le rendement moyen chute, et la plage optimale selon les variations environnementales (climat, etc).


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CowKiller a écrit :



Toujours est-il qu’il est évident que la diminution des apports d’engrais finira par diminuer le rendement, surtout si tu y vas trop fort. Je ne peux pas aller contre toi de ce côté là. Le soucis est que si tu continues à mettre autant d’engrais années après années tout en “desinfectant” le sol à coup de phytosanitaires, le rendement diminue aussi à cause de la détérioration des sols. Et il faut alors bien laisser un peu la terre se reposer pour récupérer le même rendement à quantité d’engrais apportés égale sinon tu vas être obligé d’en mettre toujours plus pour maintenir ton rendement.





1/ Quel serait l’intérêt pour un agriculteur de surdoser sans gain possible (voir le plateau du graphique du lien ci-dessus) alors que le coût des engrais est très élevé ? Cela n’a aucun sens économiquement, et je t’assure qu’on est aussi près de nos sous que tous les autres. En tant que producteur, on raisonne plus en marge qu’en rendement (ce qui explique aussi la baisse constatée depuis les années 90).

2/ On a des techniques pour « laisser un peu la terre se reposer ». Mais même si on ne les applique pas pour une raison ou pour une autre (monoculture par ex.), les baisses de rendement sont infimes ceteris paribus.


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Personnellement, je ne suis peut-être pas agronome ou agriculteur, mais j’ai pu voir dans un docu (je ne sais plus où exactement), que la communauté scientifique commence à se rendre compte que les hauts rendements nuisent à la qualité nutritionnelle des aliments, et que les aliments contiennent plus de moitié moins des nutriments qu’il y a 50 ans.

Faudrait que je retrouve la source, mais on y voit clairement le processus de sélection des nouvelles espèces à l’INRA, avec les scientifiques qui expliquent clairement qu’ils n’en ont rien à battre de la qualité nutritionnelle. Il n’y a que l’aspect, le rendement, et le goût qui doit correspondre à ce qu’attendent qui comptent.



Résultat, une perte de biodiversité, et de qualité nutritionnelle. Mais au moins, on pourra tous bouffer la même merde quelque soit la saison. Enfin, si elle continue à pousser malgré la perte de fertilité des sols.

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J’aime bien te lire, mais ton ignorance sur l’alimentation te fait largement défaut sur ce point.

&nbsp;

Ton texte est extrêmement arrogant, et résume assez bien le point de vue de l’Homme sur sa place et sa légitimité en tant qu’espèce au sein du règne animal.

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Cartmaninpact a écrit :



Les retraités, qui sont majoritaires dans ce pays, décident de la politique et ont besoin de toujours plus d’esclaves qui travaillent pour maintenir leur train de vie <img data-src=" />







Merci les Ponzi sociaux que le monde nous envie (mais ne copie pas). Il ne reste plus qu’à basculer vers les solutions qui fonctionnent.


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ActionFighter a écrit :



Personnellement, je ne suis peut-être pas agronome ou agriculteur, mais j’ai pu voir dans un docu (je ne sais plus où exactement), que la communauté scientifique commence à se rendre compte que les hauts rendements nuisent à la qualité nutritionnelle des aliments, et que les aliments contiennent plus de moitié moins des nutriments qu’il y a 50 ans.









IhazHedont a écrit :



J’aime bien te lire, mais ton ignorance sur l’alimentation te fait largement défaut sur ce point.





Comment changer de sujet en 1 leçon. <img data-src=" />


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tmtisfree a écrit :



Comment changer de sujet en 1 leçon. <img data-src=" />





Ah donc, parler de qualité nutrionnelle lorsque ça parle rendements et fertilité, c’est changer de sujet. Tu travaillerais pas pour l’INRA par hasard ?


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ActionFighter a écrit :



Personnellement, je ne suis peut-être pas agronome ou agriculteur, mais j’ai pu voir dans un docu (je ne sais plus où exactement), que la communauté scientifique commence à se rendre compte que les hauts rendements nuisent à la qualité nutritionnelle des aliments, et que les aliments contiennent plus de moitié moins des nutriments qu’il y a 50 ans.





C’est même pas simplement ca, notre ami tmt oublie de te dire que pour augmenter ses rendements par intrants, ce sont foule d’OGMs et de variété selectionnées, semences F1 et tout le tralala (parce que si on prend des F2 - ie semences issues de ses propores cultures -, c’est chute de rendement direct), qui sont exploitées.



Et tout ca, ca a des conséquences. Mais c’est sûr que quand on ne pense que monoculture, productivisme, etc ; qu’on considère que la production agricole c’est qqch decorellé de tout ou presque, on n’imagine pas qu’il puisse y avoir des conséquences à court-moyen terme.

Conséquences environnementales, conséquences sociales, etc. Mais quand on leur met ca sous le nez, il parait que “ce sont des légendes urbaines”, “ca n’existe pas”, “ce sont des préjugés”, et “on regarde trop TF1”.

Quand bien même on n’a pas de TV (et toi tu le sais bien) et qu’on est ingénieur de la discipline.


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ActionFighter a écrit :



Ah donc, parler de qualité nutrionnelle lorsque ça parle rendements et fertilité, c’est changer de sujet. Tu travaillerais pas pour l’INRA par hasard ?





Desfois il est pharmacien, desfois il est véto, desfois il est paysan, desfois il est en calebut à la plage.

A force on ne sait plus trop.


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tmtisfree a écrit :



La bouffe, sa qualité, sa provenance, tout cela n’est que construction sociale comme tout le reste, pourquoi vouloir chercher plus loin ? Même Jaurès l’a dit :




  • Jean Jaurès, 31 juillet 1901. La houille et le blé in La Petite République.



    Ah non, tiens.





    Il y a une grosse différence entre sélectionner les meilleurs plans issus de la nature, et produire de manière artificielle de nouvelles espèces de plans. Dans le premier cas, le résultat sera bien plus adapté aux sols locaux, au climat, et non génétiquement modifiés.



    Par ailleurs, au vu de ta position, on comprend mieux ton obsession sur les OGM, sur la pollution, ou encore le mouvement écologiste.


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ActionFighter a écrit :



Il y a une grosse différence entre sélectionner les meilleurs plans issus de la nature





Ca fait quelques temps qu’on ne sélectionne plus les meilleurs plans “issus de la nature”.&nbsp;&nbsp;

Les premiers croisements dirigés datent du XIXème siècle… les hybrides de maïs créés vers 1850.&nbsp;


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Drepanocytose a écrit :



T’es pas crédible, et en plus t’es un un gros profiteur d’un système que tu passes ton temps à conspuer.





Tu crois vraiment que je vais me laisser plumer comme une oie et être satisfait du résultat ? Que mes opinions sur l’état du système et les changements qu’on devrait y apporter passent avant ma propre survie ? Tu es si naïf que c’en est touchant.


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Faith a écrit :



Ce n’est pas pour rien, mais je doute que ça ait grand chose à voir avec la qualité de la matière première (parce qu’on parlait de la qualité des fruits/légumes/céréales à la base…)&nbsp;

&nbsp;

Ca a surtout à voir avec le fait que les femmes travaillent: ben oui, quand madame a le temps de faire les courses et de cuisiner, les repas sont mieux construits, on fait moins appel à des plats préparés, etc.&nbsp;

Ca a également à voir avec le fait que la société est devenu une société de plaisir, et la nourriture n’y a pas échappé: le grignotage a pris un essor fantastique ces dernières décennies.&nbsp;

&nbsp;

La quantité de vitamine D dans les tomates n’a pas grand chose à voir avec ça.





Tu as bien fais de prendre l’exemple des céréales, car justement leurs qualités intrinsèques varient énormément selon le processus industriel.

L’époque “sucre lent/rapide” est sensée être terminée depuis un rapport des années 80, mais les nutritionnistes de M6 continuent de l’évoquer alors qu’un sucre, quel qu’il soit, est diffusé sous forme de glucose dans le sang autour des 20 minutes après ingestion.



La différence entre un riz blanc industriel précuit, et un riz noir qui nécessite 25 minutes de cuisson, est l’influence qu’ils auront sur la sécrétion d’insuline.

Demain, tu te mets à ne manger que des céréales raffinées pré cuite, tu prendras du gras visiblement en quelques mois.

Et bien évidemment, les pics d’insulines répétés sont responsables d’une maladie bien connue dans notre contrée: le diabète de type 2.



&nbsp;Sur le fait que la femme bosse, honnêtement je ne vois pas le rapport … enfin honnêtement, si un homme est infoutu de cuisiner un plat, ce n’est pas de la responsabilité de la femme.



Après oui, les gens ne se donnent pas la peine, bouffe de la merde et pense se faire plaisir en mangeant des saloperies industrielles bourrés de faux arômes et autres additifs; ça joue énormément.


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ActionFighter a écrit :



Il y a une grosse différence entre sélectionner les meilleurs plans issus de la nature, et produire de manière artificielle de nouvelles espèces de plans. Dans le premier cas, le résultat sera bien plus adapté aux sols locaux, au climat, et non génétiquement modifiés.





C’est si romantique et si peu réaliste comme vision. Encore une victime urbaine hippie.









ActionFighter a écrit :



Par ailleurs, au vu de ta position, on comprend mieux ton obsession sur les OGM, sur la pollution, ou encore le mouvement écologiste.





Elle est cohérente au moins, elle reflète l’état de l’art et de la science.


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tmtisfree a écrit :



Que mes opinions sur l’état du système et les changements qu’on devrait y apporter passent avant ma propre survie ?





Survie ?

Parce que pourrir la terre, enculer tout le monde en leur taxant leur pognon tout en crachant dans la main qui te nourrit (expression, hein, parce que j’espère que tu te nourris des merdes que tu produis, tu dureras moins ainsi), bref être une crapule, pour ne pas dire pire, t’appelles ca survivre ?



On survit très bien dans le respect, de soi, des autres, de la terre, tu sais….



Et surtout, c’est toujours pratique de ne pas faire d’efforts tant que tes “opinions” ne sont pas satisfaites : ca te permet de toujours avoir des opinions divergentes, pour toujours te sentir légitime à niquer le monde.

Franchement c’est pitoyable, y’a pas d’autres mots.


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Faith a écrit :



Ca fait quelques temps qu’on ne sélectionne plus les meilleurs plans “issus de la nature”.  

Les premiers croisements dirigés datent du XIXème siècle… les hybrides de maïs créés vers 1850.





Oui, il y a très longtemps qu’on sait croiser les espèces.



Alors, pour être plus précis : il y a une différence entre sélectionner des plans présents depuis longtemps dans l’environnement, et créer en laboratoire de nouvelles variétés qui donneront ensuite ensuite naissance à de nouvelles variétés, etc…



On a jamais eu autant de variétés de fruits et légumes, et pourtant, tous les agriculteurs industriels cultivent les mêmes variétés, en se foutant totalement de la qualité pourvu qu’il y ait le prix.


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tmtisfree a écrit :



C’est si romantique et si peu réaliste comme vision. Encore une victime urbaine hippie.





C’est sûr que comparé à un cul-terreux qui ne pense qu’à la tonne de blé qu’il va se faire, ça fait plus urbain <img data-src=" />







tmtisfree a écrit :



Elle est cohérente au moins, elle reflète l’état de l’art et de la science.





Elle reflète surtout tes intérêts personnels et les biais liés à ta classe sociale.


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IhazHedont a écrit :



Tu as bien fais de prendre l’exemple des céréales, car justement leurs qualités intrinsèques varient énormément selon le processus industriel.

L’époque “sucre lent/rapide” est sensée être terminée depuis un rapport des années 80, mais les nutritionnistes de M6 continuent de l’évoquer alors qu’un sucre, quel qu’il soit, est diffusé sous forme de glucose dans le sang autour des 20 minutes après ingestion.





Cela dépend du sucre. Si le sucre est simple (saccharose, glucose, fructose, etc) il est assimilé immédiatement (sucre dit rapide ou à indice glycémique élevé). Si le sucre est complexe (oligo- ou polysaccharide dit lent ou à indice glycémique faible) il doit être d’abord être clivé par des enzymes (amylases) qui consomment de l’énergie jusqu’à obtention de sucres rapides. Cela prend du temps et le bilan énergétique est moindre. Donc il y a une différence entre les deux en matière d’énergie réellement apportée.


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tmtisfree a écrit :



je vais … être satisfait?… Tu es si naïf que c’en est touchant.







Je dois être trop naïf, je croyais que tu étais une femme <img data-src=" />


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IhazHedont a écrit :



Sur le fait que la femme bosse, honnêtement je ne vois pas le rapport … enfin honnêtement, si un homme est infoutu de cuisiner un plat, ce n’est pas de la responsabilité de la femme.&nbsp;



&nbsp;

C’est pas une question de compétence mais de temps: temps pour faire les courses (un produit frais, il faut en acheter souvent), temps pour cuisiner, temps pour laver les ustensiles, etc…

Dans mon couple, rien qu’avec 1 enfant, on a à peine le temps de cuisiner le soir pour que le petit puisse se coucher à 21h (début du repas à 19h15/19h30). Alors certainement pas le temps de faire les courses en plus.

&nbsp;

Quand j’étais à mi-temps, c’était beaucoup plus simple, et je cuisinais souvent…


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Drepanocytose a écrit :



Survie ?

Parce que pourrir la terre, enculer tout le monde en leur taxant leur pognon





Je suis très fière de nourrir le monde n’en déplaise à tes insinuations débiles au niveau du QI d’un phacochère, mais ne fait pas ta vierge effarouchée, dirige plutôt tes imprécations vers tes amis collectivistes qui ont construit et noyauté le système tel qu’il est ou qui l’on maquillé tel que tu le perçoit. Comme je te l’ai dit, ma propriété passe avant le reste et je récupère ce qu’on me prend avec les règles qui existent et/ou qu’on m’impose. Ce qui ne m’empêche nullement de critiquer le système, au contraire.









ActionFighter a écrit :



C’est sûr que comparer à un cul-terreux qui ne pense qu’à la tonne de blé qu’il va se faire, ça fait plus urbain <img data-src=" />





Jalousie mesquine ou ressentiment envieux ? J’hésite.









ActionFighter a écrit :



Elle reflète surtout tes intérêts personnels et les biais liés à ta classe sociale.





Comme pour tout le monde, d’où l’intérêt de le laisser vivre comme il l’entend. Si les gauchistes pouvaient seulement comprendre cette simple observation…


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tmtisfree a écrit :



Jalousie mesquine ou ressentiment envieux ? J’hésite.





Aucun des deux, je gagne très bien ma vie en libéral <img data-src=" />



Chacun ses contradictions <img data-src=" />







tmtisfree a écrit :



Comme pour tout le monde, d’où l’intérêt de le laisser vivre comme il l’entend. Si les gauchistes pouvaient seulement comprendre cette simple observation…





Oh mais je comprend très bien.



Par contre, ça rend tout de même ton avis très très subjectif.


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Faith a écrit :



Dans mon couple, rien qu’avec 1 enfant, on a à peine le temps de cuisiner le soir pour que le petit puisse se coucher à 21h (début du repas à 19h15/19h30). Alors certainement pas le temps de faire les courses en plus.





Cuisiner sans faire les courses, ca doit être compliqué, sauf à manger des cailloux <img data-src=" />

Sinon comme tout le monde, le samedi c’est pas possible de faire les courses ? OU faire des courses sur le net et passer les chercher ? Ou congeler, ou faire en avance, ou préparer des “bases” pour aller plus vite ?



Perso j’ai un Thermomix (enfin, ma copine, moi je fonctionne en congelant des bases de plat), ca coute cher mais ca rend des grands services pour la cuisine de base (soupe, etc.)


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tmtisfree a écrit :



Comme pour tout le monde, d’où l’intérêt de le laisser vivre comme il l’entend. Si les gauchistes pouvaient seulement comprendre cette simple observation…





Non, pas laisser vivre comme tu l’entends, si comme tu l’entends c’est pourrir le reste du monde pour “ta propriété”.



Tu prenais l’exemple des nitrates plus haut, bon exemple.

Si on te limite sur les nitrates, c’est pas pour te faire chier toi, c’est pour eviter que tu pourrisses egoistement les nappes phréatiques, les plages et les ecosystèmes locaux avec tes épandages. Se debaraser des purins à pas cher si ca n’avait pas de conséquences et qu’en plus ca filaitt plus de bouffe faudrait vraiment être très con pour dire non. Seulement voilà, des conséquences il y en a , don on et le hola.



Idem pour les pesticides. C’est pas toi qu’on contraint, le legislateur il s’en tape de ton cas particulier). Ce sont les autres qu’on protège. La santé des gens, le business de eux qui vivent du tourisme, etc. Qui n’ont pas à patir de ton égoisme.



Et c’est ca que vous autres libéraux vous ne comprenez pas : on contrait certains pour protéger les autres.


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ActionFighter a écrit :



Oh mais je comprend très bien.



Par contre, ça rend tout de même ton avis très très subjectif.





Quel avis ne l’est pas ? Est-ce que j’ai déjà demandé à me croire sur parole comme le malade autosomique récessif ici ? Non. Quand je ne mets de liens pour illustrer mon propos, on me reproche que je ne cites pas mes sources. Quand j’en mets, on me reproche quand même d’en mettre ou on affirme sans vérifier qu’elles sont biaisées, ou alors on change (même pas discrètement) de sujet. Alors tu fais comme moi, tu vérifies.


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IhazHedont a écrit :



Et honnêtement, entre nous, les apports nutritionnels conseillés comme base démonstrative ?





On ne critique pas le PNNS, il est fait par des scientifiques <img data-src=" />


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IhazHedont a écrit :



Fais donc quelque recherche sur l’alimentation moderne bien trop riche en Omega 6, faisant donc l’impasse sur le ratio Omega 36. Indice: le cerveau / les poules élevées en batterie, alimentation des bêtes pour leurs viandes.



Fais ensuite quelques recherches sur les effets collatéraux sur ce déséquilibre. Indice: acidité sanguine.



Et honnêtement, entre nous, les apports nutritionnels conseillés comme base démonstrative ?





Le sujet (nutrition en général) n’a plus que très peu d’intérêt pour moi parce que chaque fois que j’essaie d’obtenir des informations, elles sont en contradictions avec les a priori propagés.



Donc j’ai établi une règle simple : si j’ai le temps je recherche, sinon assume bullshit.


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ActionFighter a écrit :



J’essaierai de retrouver le docu, mais la méthode, elle est simple, et très bien expliquée par Drepa dans son dernier paragraphe juste au dessus : on prend les variétés de l’époque et on la cultive dans une terre saine.





Et alors ? Tu pourrais juste conclure que cette variété en particulier produit de telle ou telle quantité de tel nutriment avec son faible rendement.



Pour pouvoir faire cette comparaison correctement, il faudrait que tu aies cette variété qui produit faiblement comme à l’époque, et cette même variété qui produit beaucoup plus maintenant. Comme c’est évidemment impossible, tu ne peux rien conclure.



Ma comparaison avec le bio est global et a au moins le mérite de s’affranchir des facteurs confondants (variétal, etc).


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tmtisfree a écrit :



Le sujet (nutrition en général) n’a plus que très peu d’intérêt pour moi parce que chaque fois que j’essaie d’obtenir des informations, elles sont en contradictions avec les a priori propagés.



Donc j’ai établi une règle simple : si j’ai le temps je recherche, sinon assume bullshit.





LOLLLL. Le gars il dit fournir de la bouffe, mais la nutrition ne l’interesse pas.

Il te fournit de la merde ou un bon truc, c’est kif kif quoi.


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ActionFighter a écrit :



Dans un contexte où l’on essaie de nous vendre (enfin surtout aux agriculteurs) des aliments avec un rendement maximum et où la suralimentation est un problème de santé publique grave dans bon nombre de pays, je pense qu’il serait temps de reconsidérer notre alimentation et notre culture pour manger moins et mieux.



&nbsp;

Si tu te suralimentes de produits moins riches, l’un dans l’autre, ça s’équilibre…&nbsp;

&nbsp;

Deux réactions à mon post me font simplement halluciner ! &nbsp;

Je parle vitamines et sels minéraux dans des légumes/fruits, et vous me répondez “le MacDo, c’est pas bien” =&gt; hors-sujet.

&nbsp;

Pour la troisième réponse:&nbsp;







Drepanocytose a écrit :





  • de trois quand ca va se remettre à decroitre, cette “meilleure nourriture qu’avant pour chacun”, eh bien on aura pris une bien vilaine habitude dont il sera bien difficile de se défaire ?





    Oui “quand” ça va décroitre… un jour, peut-être…&nbsp;

    Je préfère être pragmatique

    &nbsp;



  • de quatre, si on est mieux nourri avec de la moins bonne bouffe,

    alors on sera ENCOTRE mieux nourri avec de la bonne bouffe, et ENCORE

    ENCORE mieux avec de la meilleure bouffe.

    &nbsp;

    Inutile.&nbsp;

    Vouloir toujours mieux, c’est la pire maladie de notre monde. L’appliquer à la bouffe n’est pas plus sain que dans les autres domaines.





  • de cinq, il y a

    explosion des intolérances alimentaires, allergies en tous genres,

    etc…. Est-ce un hasard, ou pas, ou un peu ? Ou au moins n’y a-t-il pas

    qqch à creuser, là

    &nbsp;

    Peut-être un lien avec le fait que mon grand-père devait manger en tout et pour tout 15 produits différents tandis que de nos jours nous mangeons 50 légumes, 50 fruits, 50 viandes/poissons/fruits de mer différents ?&nbsp;

    (chiffres non contractuels, mais l’ordre de grandeur ne doit pas être mauvais)&nbsp;

    Et pourquoi mange-t-on aussi varié ? peut-être un lien avec ton point 4…


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&nbsp;Mué,



Râler et prendre les gens de haut, pour après dire que tu assumes ta merde par flemmardise d’apprendre le milieu dans lequel du travail c’est plus que moyen.&nbsp;<img data-src=" />



La feignantise intellectuel c’est moche…



Sinon je suis pour un revenu de base pour tous, ca serait le minimum dans un monde qui ne pourra plus croitre en permanence et où la robotiques remplacera tous les travaux manuel (peut être pas tous mais bon !).



Que l’on est plus d’artistes et d’écrivains, plus de temps pour les créations de l’esprit, et moins de marginalisations des plus démunies.&nbsp; <img data-src=" />

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Drepanocytose a écrit :



LOLLLL. Le gars il dit fournir de la bouffe, mais la nutrition ne l’interesse pas.

Il te fournit de la merde ou un bon truc, c’est kif kif quoi.





Je fournis des céréales, pas de la bouffe. Je vends à l’export ou pour nourrir les cochons. Eux au moins apprécient.


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Faith a écrit :



Peut-être un lien avec le fait que mon grand-père devait manger en tout et pour tout 15 produits différents tandis que de nos jours nous mangeons 50 légumes, 50 fruits, 50 viandes/poissons/fruits de mer différents ? 

(chiffres non contractuels, mais l’ordre de grandeur ne doit pas être mauvais)





L’ordre de grandeur est très mauvais, en fait.

De nos jours on en est plutôt à 7 ou 8légumes différents en standard (je ne te parle pas de manger ci ou ca en one-shot, je te parle de standard régulier), idem ou moins pour les fruits (en moyenne), et pas de saison.

Nos grands parents mangeaient bien plus varié que nous. D’une parce qu’ils n’avaient pas le choix, de deux parce qu’il fallait respecter les saisons.


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tmtisfree a écrit :



Et alors ? Tu pourrais juste conclure que cette variété en particulier produit de telle ou telle quantité de tel nutriment avec son faible rendement.



Pour pouvoir faire cette comparaison correctement, il faudrait que tu aies cette variété qui produit faiblement comme à l’époque, et cette même variété qui produit beaucoup plus maintenant. Comme c’est évidemment impossible, tu ne peux rien conclure.



Ma comparaison avec le bio est global et a au moins le mérite de s’affranchir des facteurs confondants (variétal, etc).





Je retrouverai le docu plutôt que dire des conneries qui ne feront pas avancer.







Faith a écrit :



Si tu te suralimentes de produits moins riches, l’un dans l’autre, ça s’équilibre…





Non, puisque la suralimentation pose d’autres problèmes que les apports nutritionnels.

 





Faith a écrit :



Deux réactions à mon post me font simplement halluciner !  

Je parle vitamines et sels minéraux dans des légumes/fruits, et vous me répondez “le MacDo, c’est pas bien” =&gt; hors-sujet.





Pas d’accord du tout.



La malbouffe, ce n’est pas que Mc Do, et la suralimentation, ce n’est pas que l’obésité morbide.


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Faut dire qu’il ne nourrit que du bétail (du vrai), qui n’a pas trop les moyens de se plaindre de la merde qu’on lui donne pour l’engraisser <img data-src=" />

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CreaYouz a écrit :



Mué,



Râler et prendre les gens de haut, pour après dire que tu assumes ta merde par flemmardise d’apprendre le milieu dans lequel du travail c’est plus que moyen. <img data-src=" />



La feignantise intellectuel c’est moche…





Ne retourne pas la situation : il y en a pleins ici qui débitent leurs opinions préconçues et désinformées au Km puis enfilent les sophismes les uns après les autres quand on montre leur incurie sur le sujet.



À partir d’un certain point ou sur un sujet mineur ou sans intérêt, je laisse braire et la loi de Brandolini s’applique :

La quantité d’énergie nécessaire pour réfuter une connerie est un ordre de grandeur plus importante que celle utilisée pour la produire.


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Cartmaninpact a écrit :



Faut dire qu’il ne nourrit que du bétail (du vrai), qui n’a pas trop les moyens de se plaindre de la merde qu’on lui donne pour l’engraisser <img data-src=" />





Les gains et les achats continus de mes clients servent de proxy pour m’assurer du contraire.


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Drepanocytose a écrit :



De nos jours on en est plutôt à 7 ou 8légumes différents en standard (je ne te parle pas de manger ci ou ca en one-shot, je te parle de standard régulier), idem ou moins pour les fruits (en moyenne), et pas de saison.

Nos grands parents mangeaient bien plus varié que nous. D’une parce qu’ils n’avaient pas le choix, de deux parce qu’il fallait respecter les saisons.





C’est bien beau de parler de standard régulier, mais on parlait d’allergie. &nbsp;

Evite de détourner la conversation. Merci.&nbsp;


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ActionFighter a écrit :



Je retrouverai le docu plutôt que dire des conneries qui ne feront pas avancer.





J’attendraaaaaai le jour et la nuit<img data-src=" />


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Faith a écrit :



&nbsp;

Si tu te suralimentes de produits moins riches, l’un dans l’autre, ça s’équilibre…&nbsp;

&nbsp;&nbsp;



Tu peux donner un exemple ?


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IhazHedont a écrit :



Tu peux donner un exemple ?









ActionFighter a écrit :



Non, puisque la suralimentation pose d’autres problèmes que les apports nutritionnels.



&nbsp;

Les mecs, vous avez du mal à comprendre les blagues, on dirait…


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On n’est pas vendredi <img data-src=" />



En gros on peut résumer ce rapport par l’idée qu’avant un éventuel revenu de base, il y aura des étapes de transition…

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Contrairement au revenu de base, il n’est pas ici question d’avoir une aide tout au long de la vie, ou bien encore de pouvoir cumuler celle-ci avec une activité salariée. Christophe Sirugue craint en effet que « certaines conceptions très libérales du “revenu universel” [puissent] aboutir à remettre intégralement en cause notre système de protection sociale ».



Cet argument est étrange. La majorité au pouvoir n’est pas dans cette veine “très libérale”.



Qu’elle en profite pour aller au bout du raisonnement et appliquer une conception qui ne sera pas “très libérale” du revenu universel.



Ce rapport part du même constat de complexité et d’inégalité.



Son scénario favori étant de remplacer différents systèmes par une couverture socle commune, autant aller jusqu’au revenu universel et à annuler ce revenu par l’impôt à partir d’un certain niveau ou progressivement, puisque l’impôt est lui aussi progressif. Cela aura l’avantage de faire profiter sans démarche aucune tous ceux qui auraient droit à cette couverture et qui ne la touche pas.

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Les collectivités locales vont appréciées, elles qui sont déjà au bord de la faillite avec le RSA.



Enfin, il faut voir le bon côté des choses : le système d’assistance sociale à fabriquer du chômeur et du fonctionnaire explosera un peu plus tôt.

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S’appuyer sur des socles numériques oui mais encore faudrait-il qu’ils soient arrivés à maturité.

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Un système beaucoup plus simple serait d’attribuer à chaque personne adulte ayant la nationalité FR et domiciliée fiscalement en France un montant mensuel fixe, peu importe son âge, ses ressources ou sa situation.

Montant majoré d’une valeur fixe pour chaque mineur à charge.



Ca ferai déjà un gros nettoyage dans le système, ça coûterai des dizaines de millions en moins pour la gestion, et accessoirement, frauder le système serait largement plus compliqué que tout le schmilblick actuel.



Il ne resterai ensuite que les situations plus complexes à gérer autrement, comme les étrangers établis en France ou les français établis à l’étranger par exemple.

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Instaurer une « couverture socle commune » d’environ 400 euros par mois qui viendrait remplacer les dix minimas existants. Ce dispositif – éligible à tous les résidents âgés de 18 ans ou plus, sous condition de ressources – pourrait éventuellement être agrémenté d’un « complément d’insertion » (permettant à tout actif de plus de 18 ans de bénéficier d’un accompagnement ad hoc) et d’un « complément de soutien » visant à préserver les ressources des personnes en situation de handicap ainsi que des personnes âgées.



A défaut d’heure numérique, ça sent l’heure digitale avec perte de pouvoir d’achat.

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Ok, donc des revenus sous conditions de ressources mais sans fournir de justificatifs, hmm, c’est intéressant…



Bon ok, en instaurant également un système de transmission des infos, ce qui explique le “aucun justificatif”.

En fait c’est aucun justificatif fourni par l’ayant droit mais par quelqu’un d’autre.



Je vois bien la galère si ce “quelqu’un d’autre” se plante et n’envoie pas les bonnes infos, où il faudra trouver qui contacter et réussir à lui faire envoyer les bons justificatifs…



Sinon, ça ne résout pas le problème de la fraude ou la position sur la favorisation de “l’assistanat”.

Ca donnera toujours envie de bosser au black pour gagner doublement plus (pas d’imposition et revenus en plus), tout en donnant un mauvais avis sur ceux qui reçoivent ces aides (les “assistés”).



Dommage qu’on ne passe pas à un revenu de base pour mobiliser la lutte contre la fraude là où ça rapporterait beaucoup plus !

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Prochaine étape du capitalisme, la formule magique : Auto-entrepreneuriat + revenu de base + CPA

&nbsp;

Le revenu de base n’est que la réponse bien sentie des aspirations d’une part des jeunes à ne plus avoir d’employeur (auto-entreprise, uber tout ça tout ça) et d’autre part des grandes sociétés de ne plus se faire ch*er avec leur role d’employeur (avec les “charges” et “lourdeurs” du dialogue sociale).



&nbsp;Ce n’est donc en rien émancipateur, en rien révolutionnaire.



Pour ceux qui cherche dans cette voie, je conseille le salaire&nbsp; à vie!

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Le fort fameux digit’ d’honneur, si cher à nos dirigeants :3

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Non, c’est le digit’dansl’cul !

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Ca serait trop simple ça…

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TBirdTheYuri a écrit :



Un système beaucoup plus simple serait d’attribuer à chaque personne adulte ayant la nationalité FR et domiciliée fiscalement en France un montant mensuel fixe, peu importe son âge, ses ressources ou sa situation.

Montant majoré d’une valeur fixe pour chaque mineur à charge.



Ca ferai déjà un gros nettoyage dans le système, ça coûterai des dizaines de millions en moins pour la gestion, et accessoirement, frauder le système serait largement plus compliqué que tout le schmilblick actuel.



Il ne resterai ensuite que les situations plus complexes à gérer autrement, comme les étrangers établis en France ou les français établis à l’étranger par exemple.



ayant la nationalité FR et domiciliée fiscalement en France&nbsp;: C’est effectivement le plus important, je pense qu’on peut même ajouter domiciliée en France, et avoir plus de 16 ans probablement.

Je trouve que la migration vers ce genre de service n’est pas si compliquée, à partir du moment où tout le monde y a le droit, il suffit de diminuer dans un premier temps les autres allocations du montant de celle-ci.



Pour ce qui est de la majoration pour chaque mineur à charge, il faut limiter à à 2 ou 3, sinon ça encourage à la fraude (bien que la limite encourage le divorce si jamais le couple a 4 enfants ^^ ).



Mais je pense que le système serait bien, même s’il risque de coûter cher dans un premier temps…&nbsp;&nbsp;

Au final ça revient au système de l’impot progressif, à la différence que là tout le monde en profite de la même manière, car l’impôt a tellement été baissé qu’il faut commencer à être aisé pour en payer.



Cependant une fois le système de prélèvement de l’impot à la source, ce sera plus facile à mettre en place je pense…&nbsp;

&nbsp;



PaFohU a écrit :



Prochaine étape du capitalisme, la formule magique : Auto-entrepreneuriat + revenu de base + CPA

&nbsp;

Le revenu de base n’est que la réponse bien sentie des aspirations d’une part des jeunes à ne plus avoir d’employeur (auto-entreprise, uber tout ça tout ça) et d’autre part des grandes sociétés de ne plus se faire ch*er avec leur role d’employeur (avec les “charges” et “lourdeurs” du dialogue sociale).



&nbsp;Ce n’est donc en rien émancipateur, en rien révolutionnaire.



Pour ceux qui cherche dans cette voie, je conseille le salaire&nbsp; à vie!





&nbsp;Le problème c’est qu’il faut mettre un seul système pour des catégories de personnes différentes. Perso ce système m’arrangerait, mais je sas que ça ne serait pas l’idéal pour tout le monde.



&nbsp;

C’est comme les histoires du contrat de travail, c’est vrai qu’avec les tendances actuelles on pourrait penser qu’il faut beaucoup le flexibiliser, notamment sur le nombre d’heures. Mais ça n’est pas vrai pour tout le monde.

&nbsp;

Pour ma part je proposerais une contrainte différente, étant donné que le contrat à temps partiel est la galère pour les bas revenus:

-&nbsp;une réforme du système du smic, au lieu d’un SMIC horaire, on passe à un SMIC mensuel




  • Pas de contraintes minimales (légales) sur le temps de travail (c’est négocié avec l’employé)

    &nbsp;- la rémunération par l’employeur doit être au moins du SMIC



    Donc tous les petits salaires touchent au moins le SMIC, et un haut salaire peut toucher un SMIC par jour à temps partiel dans une boite et se faire embaucher ailleurs en temps partiel à un autre SMIC minimym.

    &nbsp;

    &nbsp;


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tmtisfree a écrit :



Les collectivités locales vont appréciées, elles qui sont déjà au bord de la faillite avec le RSA.





Avec des rapias comme toi qui ne veulent pas payer d’impôts mais quand même profiter de toutes les largesses publiques, tu m’etonnes


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Complement d’insertion financé par le département.





lol…

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jinge a écrit :



Pour ma part je proposerais une contrainte différente, étant donné que le contrat à temps partiel est la galère pour les bas revenus:

- une réforme du système du smic, au lieu d’un SMIC horaire, on passe à un SMIC mensuel




  • Pas de contraintes minimales (légales) sur le temps de travail (c’est négocié avec l’employé)

     - la rémunération par l’employeur doit être au moins du SMIC





    Etant donné le déséquilibre très divergent entre l’offre et la demande d’emplois, c’est le retour à l’esclavagisme ton système. Gattaz l’adorerait c’est sûr.



    Quant au temps partiel, il est galère pour les bas salaires horaire mais pour les hauts salaires horaires (en gros les cadres) on a instauré le magnifique (et pourtant controversé jusqu’au niveau Européen) forfait-jour. Ou comment sucer un cadre jusqu’à la moelle alors qu’on pourrait faire une équipe de 4 ou 5 cadres pour 3 actuellement. Avec certes une baisse de salaire pour chacun mais justement supportable pour les cadres bien payés.


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Ca aurait aussi l’avantage de supprimer cette aberration française qui fait que passer du statut de “pleinement assisté” (RSA + APL + CMU + tarifs réduits + services gratuits + électricité au rabais + gaz au rabais + exonérations à tout va + tout un tas d’aides sociales…) au statut de salarié au SMIC qui perd quasiment tous ces avantages (en plus d’avoir de frais de transport pour aller bosser et des frais de garde d’enfant) fait perdre de l’argent.

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Et encore, de nombreuses pme usent et abusent des stagiaires. Certaines n’ont même que ça dans leurs effectifs. Après ceux sont les mêmes qui viennent pleurer sur la flexibilité du travail alors que leur effectif est en réalité fait de jeunes bénévoles (maintenant obligés d’être payés 300 euros tout de même <img data-src=" /> ). Même en étant esclave, tu étais nourri-logé.

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Qu’est-ce qui justifie à ton avis ces conditions plus favorables pour l’ASS que pour le RSA ?

Elle a a priori le même objectif que le RSA, donc appliquer les mêmes contraintes ne me gène pas.

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TBirdTheYuri a écrit :



Enlève déjà des 1150€ les 250€ de frais d’essence/pneus/vidanges/révisions mensuels de la voiture nécessaire pour t’y rendre à ce travail. Reste 900€. Là tu enlèves les 200€ d’APL que tu as perdu en retrouvant cet emploi. Reste 700€. Tu n’as plus le cinéma ou la piscine à moitié prix pour cause de chômage, ni le tarif social du gaz et de l’électricité, tu n’es plus exonéré de taxe d’habitation et par conséquent de la redevance télé*… Reste finalement pas beaucoup d’écart avec les 525€ du RSA ;)



Intégrer le cinéma aux minimas sociaux est une anecdote toujours savoureuse.

Mais si je reprends donc ton raisonnement, les minimas sociaux devraient être de :

1150 - 250 de voiture, 400 de garde d’enfant, 200 d’APL, 20 de ciné+piscine, 30 EDF/GDF, 50 de taxe d’habitation, 50 d’impot sur le revenu…

&nbsp;…

ce qui nous donne

&nbsp;…

150€ de minimum social ! Génial…..

&nbsp;

Faut rester sérieux deux minutes.

La voiture… et bien ça va peut-être t’étonner, mais nombreux sont les RSAiste à en avoir une (ne serait-ce que pour aller au ciné et à la piscine, car je doute qu’ils se payent un loft en plein centre ville), et ceux qui n’en ont pas ont beaucoup plus de risque de rester sans travail pour le reste de leur vie.

525€ plus les aides, c’est juste, très juste. Quelqu’un d’attentif pourra vivoter avec ça en province, là où quelqu’un d’attentif pourra vivre correctement avec un SMIC.


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Complement d’insertion financé par le département





Ils ne viennent pas de tout regrouper en quelques régions? Ils ont oublié de supprimer les départements? à quoi ça a servi alors? <img data-src=" />

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Drepanocytose a écrit :



Avec des rapias comme toi qui ne veulent pas payer d’impôts mais quand même profiter de toutes les largesses publiques, tu m’etonnes





Tous les moyens sont bons pour échapper aux pillards. Libre à toi de travailler comme un forçat (je plaisante, vu le temps que tu passes à commenter je me fais plutôt du soucis pour ton patron) et de te faire sucer, pour rester polie, en retour en guise de remerciements. À chacun ses valeurs. Mais si tu en places si peu sur ta personne, soit assuré que le reste du monde ne t’apprécie (au sens monétaire) pas non plus.


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ça c’est pour les petits bourgeois qui veulent une voiture, une télé, aller au cinéma et à la piscine… les pauvres ils prennent le bus et touchent leur 463 EUR de RSA <img data-src=" />

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Mais le travailleur peu payé n’a aucun mérite, si il est si mal payé c’est que son patron trouve qu’il travaille mal et qu’il ne mérite pas plus <img data-src=" />

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Le taux de chômage ne sert plus aujourd’hui qu’à cacher les limites de nos sociétés, ce qu’il faut regarder c’est le taux d’activité d’une population et là c’est en chute libre (et perso je trouve que c’est ça le progrès) <img data-src=" />

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Pour l’ASS faut avoir cotisé à l’assurance chômage pendant au moins 5ans en travaillant <img data-src=" />

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CowKiller a écrit :



Même en étant esclave, tu étais nourri-logé.







Et diverti <img data-src=" />



Un esclave qui est diverti c’est un esclave qui ne pense pas à s’enfuir (qui ne pense pas tout court) <img data-src=" />


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La diversité et l’hétérogénéité des conditions d’attribution de ces prestations sociales sont également nombreuses, « au risque parfois de rendre le système inéquitable ».





Traduction: on n’aurait peut-être pas du donner un chèque à ceux qui gueulaient pour acheter la paix sociale ou faire du clientélisme s’assurer une possible réélection.

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Cela ne répond pas à ma question.

En quoi le fait d’avoir travaillé 5 ans dans les 10 dernières années puis avoir épuisé ses ARE justifie des conditions nettement plus favorables que pour le RSA ?

Ce sont 2 revenus de solidarité, mais le RSA a plus de contraintes.

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Cartmaninpact a écrit :



Et diverti <img data-src=" />



Un esclave qui est diverti c’est un esclave qui ne pense pas à s’enfuir (qui ne pense pas tout court) <img data-src=" />





D’où utilité du temps de cerveau disponible pour TF1&nbsp;&nbsp; …

<img data-src=" />


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Et les millions de subventions du ministère du showbiz, la copie privée… c’est l’esclave qui paie le divertissement qu’on lui fournit <img data-src=" />

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CowKiller a écrit :



Etant donné le déséquilibre très divergent entre l’offre et la demande d’emplois, c’est le retour à l’esclavagisme ton système. Gattaz l’adorerait c’est sûr.



Quant au temps partiel, il est galère pour les bas salaires horaire mais pour les hauts salaires horaires (en gros les cadres) on a instauré le magnifique (et pourtant controversé jusqu’au niveau Européen) forfait-jour. Ou comment sucer un cadre jusqu’à la moelle alors qu’on pourrait faire une équipe de 4 ou 5 cadres pour 3 actuellement. Avec certes une baisse de salaire pour chacun mais justement supportable pour les cadres bien payés.





Au contraire, ça impose un salaire minimum, pas de maximum. C’est juste une flexibilité sur le nombre d’heures qu’il représente (cappé comme il faut pour pas qu’il y ait d’abus).

Après le problème c’est que les 35h ont généralisé le statut de cadre pour éviter ce soucis, et c’est bien là où il y a un soucis.


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Décidément, y’en a qui ont du mal à comprendre le français sur ce forum…



Moi avoir dit que “reste à vivre” de Mr A au RSA être pareil que “reste à vivre” que Mr B au SMIC. Parce que..



Explication pour ceux qui ont du mal :

Mr A est au RSA, donc :

Mr A n’a pas de frais de déplacement pour aller travailler

Mr A bénéficie du tarif social EDF

Mr A bénéficie du tarif social GDF

Mr A bénéficie de tarifs préférentiels pour les services publics

Mr A est exonéré de taxe d’habitation

Mr A est donc exonéré de redevance télé

Mr A touche des APL

Mr A bénéficie de la CMU

Mr A peut garder ses enfants



Mr B lui a retrouvé un emploi, donc :

Mr B doit financer ses déplacements pour aller travailler

Mr B paye EDF au tarif normal

Mr B paye GDF au tarif normal

Mr B paie les services publics plein tarif

Mr B doit payer la taxe d’habitation

Mr B n’est donc plus exonéré de redevance télé

Mr B perd ses APL

Mr B perd son droit à la CMU

Mr B doit payer des services de garde d’enfants



Bilan : Mr B qui a eu la chance de retrouver un emploi se retrouve à la fin du mois avec la même somme, voire moins, que Mr A.

Qui plus est, Mr A bénéficie de tarifs préférentiels pour les loisirs, que Mr B n’a plus, ce qui lui rend l’accès plus difficile qu’à Mr A, d’autant plus que Mr A peut choisir des plages horaires plus économiques que Mr B qui n’a plus que les soirs et week-ends (plus chers) pour ces mêmes services.

&nbsp;

Et donc, le problème que je soulève, ce n’est pas que le RSA est trop élevé, mais que le fait de passer du RSA à un emploi au SMIC ne fait rien gagner. Voire fait perdre de l’argent, pour peu que le lieu de travail soit un peu éloigné du domicile. Et cela parce que le simple fait de trouver un emploi fait sauter tout un tas d’aides sociales, en plus de générer des coûts importants supplémentaires.



Une allocation universelle en remplacement de toutes ces aides aurait l’avantage de valoriser le fait de trouver un emploi. Avec une allocation universelle de 850€ par exemple, celui qui trouve un emploi au SMIC toucherai 2000€. Même une fois déduits les frais occasionnés par l’emploi lui-même et le fait d’être devenu imposable, il lui resterai plus de “reste à vivre” qu’avant son embauche.

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ActionFighter a écrit :



Ah donc, parler de qualité nutrionnelle lorsque ça parle rendements et fertilité, c’est changer de sujet. Tu travaillerais pas pour l’INRA par hasard ?





Une technique fallacieuse comme une autre, ne fait pas semblant de ne pas comprendre tu vaux mieux que ça. Mais puisque tu sembles si peu sensible au sophisme, je vais te répondre.





En l’état actuel des connaissances et devant la variabilité des résultats des études examinées, il ne peut être conclu à l’existence de différence remarquable, au regard des apports de références disponibles (apports nutritionnels conseillés), des teneurs en nutriments entre les aliments issus de l’agriculture biologique et ceux issus de l’agriculture conventionnelle.




  • Évaluation nutritionnelle et sanitaire des aliments issus de l’agriculture biologique (2003)





    La consommation d’aliments issus de l’agriculture biologique ne montre pas d’effet bénéfique sur la santé.

  • Bernard Le Buanec, membre de l’Académie d’agriculture, 2010. Interviewé par Agriculture et environnement.



    Voir aussi le livre Le tout bio est-il possible ? 90 clés pour comprendre l’agriculture biologique, page 179, du même auteur.


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Drepanocytose a écrit :



C’est même pas simplement ca, notre ami tmt oublie de te dire que pour augmenter ses rendements par intrants, ce sont foule d’OGMs et de variété selectionnées, semences F1 et tout le tralala (parce que si on prend des F2 - ie semences issues de ses propores cultures -, c’est chute de rendement direct), qui sont exploitées.





Ce n’est pas interdit de prendre des F2 aujourd’hui ?







Drepanocytose a écrit :



Et tout ca, ca a des conséquences. Mais c’est sûr que quand on ne pense que monoculture, productivisme, etc ; qu’on considère que la production agricole c’est qqch decorellé de tout ou presque, on n’imagine pas qu’il puisse y avoir des conséquences à court-moyen terme.

Conséquences environnementales, conséquences sociales, etc. Mais quand on leur met ca sous le nez, il parait que “ce sont des légendes urbaines”, “ca n’existe pas”, “ce sont des préjugés”, et “on regarde trop TF1”.

Quand bien même on n’a pas de TV (et toi tu le sais bien) et qu’on est ingénieur de la discipline.





Le pire, c’est que quand certains cas, il est capable de te taxer de scientisme quand ça l’arrange <img data-src=" />.







Drepanocytose a écrit :



Desfois il est pharmacien, desfois il est véto, desfois il est paysan, desfois il est en calebut à la plage.

A force on ne sait plus trop.





Pour le coup, l’INRA peut coller avec les 3 premiers. Pour le dernier, il doit faire ça au noir à Sally pendant ses vacs au Sénégal <img data-src=" />


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tmtisfree a écrit :



Une technique fallacieuse comme une autre, ne fait pas semblant de ne pas comprendre tu vaux mieux que ça. Mais puisque tu sembles si peu sensible au sophisme, je vais te répondre.





  • Évaluation nutritionnelle et sanitaire des aliments issus de l’agriculture biologique (2003)



  • Bernard Le Buanec, membre de l’Académie d’agriculture, 2010. Interviewé par Agriculture et environnement.



    Voir aussi le livre Le tout bio est-il possible ? 90 clés pour comprendre l’agriculture biologique, page 179, du même auteur.





    Mais, là, c’est toi qui est totalement dans l’argument fallacieux.



    Je n’ai pas argué que le bio avait une meilleure qualité nutritionnelle, j’ai dit que les rendements actuels rendaient les aliments plus pauvres en qualité nutritionnelle.

    Même si je doute fortement du discours d’agronomes payés par l’industrie agro-alimentaire, il est possible que l’on ne voit pas d’amélioration de la qualité nutritionnelle sur du bio qui s’est développé en peu de temps sur des parcelles autrefois surexploitées en monoculture.


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Drepanocytose a écrit :



(parce que si on prend des F2 - ie semences issues de ses propores cultures -, c’est chute de rendement direct)





Encore un mythe urbain. Je resème tous les ans de l’orge d’hiver, du blé (ou du colza quand j’avais des lignées) sans perte de rendement. Évidemment, on ne le le fait pas avec la même variété, la même récolte sur les mêmes champs 50 ans de suite puisqu’on est aussi intéressé par l’évolution variétale, génétique, etc.



Tu es peut-être « ingé », mais tu n’y connais rien en pratique culturale.


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Je ne comprends pas pourquoi vous continuez à nourrir le troll. Est-ce parce que ça ressemble à un pseudo-débat ?

Pourtant, sur chaque news où il intervient, le schéma est identique :



1- Balancer un message trollesque

2- Attendre des réactions outrées

3- Entamer le débat sur un sujet à la limite du sujet initial puis le faire dévier progressivement vers un sujet qu’il maîtrise davantage (on part quand même des minimas sociaux pour arriver à l’agriculture intensive, c’est pas rien)

4- Sortir des liens biaisés/incomplets pour prouver sa supériorité réthorique et/ou scientifique

5- Si ça ne marche pas, se faire passer pour une personne “du milieu”, toujours pour prendre l’ascendant

6- Attaquer son/ses interlocuteur(s) sur leurs préjugés, valeurs, taille de bite (au choix) s’ils osent amener de vrais arguments scientifiques.



Et tout ça ne fait bouger les positions ni des uns, ni des autres, et ne constitue à aucun moment un débat constructif.



Si vous cherchez un débat constructif sur les minimas sociaux, on a un superbe sujet sur le forum sur le salaire à vie/revenu garanti … et ce sujet là est sans trolls, mais avec des partisans du pour et du contre.

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ActionFighter a écrit :



Mais, là, c’est toi qui est totalement dans l’argument fallacieux.



Je n’ai pas argué que le bio avait une meilleure qualité nutritionnelle, j’ai dit que les rendements actuels rendaient les aliments plus pauvres en qualité nutritionnelle.

Même si je doute fortement du discours d’agronomes payés par l’industrie agro-alimentaire, il est possible que l’on ne voit pas d’amélioration de la qualité nutritionnelle sur du bio qui s’est développé en peu de temps sur des parcelles autrefois surexploitées en monoculture.





Je compare ce qui est possible de comparer. Personne ne cultive plus pour obtenir des rendements comme il y a cent ans, sauf les bio puisque c’est leur crédo. Donc ma comparaison reste valable. Que tu l’acceptes ou pas me fait une belle jambe (elles l’étaient déjà avant).


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tmtisfree a écrit :



Je compare ce qui est possible de comparer. Personne ne cultive plus pour obtenir des rendements comme il y a cent ans, sauf les bio puisque c’est leur crédo. Donc ma comparaison reste valable. Que tu l’acceptes ou pas me fait une belle jambe (elles l’étaient déjà avant).





Donc , ta comparaison ne peut pas être valable, mais elle l’est quand même parce qu’il est impossible d’en faire une autre <img data-src=" />







thorspark a écrit :



Je ne comprends pas pourquoi vous continuez à nourrir le troll. Est-ce parce que ça ressemble à un pseudo-débat ?





Parce que l’on pense que nos arguments sont intéressants et que de toute façon, il est tellement extrême qu’il se grille lui-même <img data-src=" />



Et aussi parce que je fous rarement les pieds sur le forum. J’ai toujours préféré débattre dans les coms de news.


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tmtisfree a écrit :



Tu es peut-être « ingé », mais tu n’y connais rien en pratique culturale.





Bon j’arrête là, tout le monde aura compris que tu es un guignolo.



Dis moi là, tu postes de ton tracteur high tech guidé par satellite ou de la plage ?







ActionFighter a écrit :



Même si je doute fortement du discours d’agronomes payés par l’industrie agro-alimentaire, il est possible que l’on ne voit pas d’amélioration de la qualité nutritionnelle sur du bio qui s’est développé en peu de temps sur des parcelles autrefois surexploitées en monoculture.





Et puis il faut bien se dire que cultiver bio, c’est d’abord et avant tout cultiver des variétés adaptées au terrain et aux conditions locales, pas des F1 poussées on se sait où par Syngenta ou Monsanto.

Donc déjà on ne parle pas des même plantes du tout. Et là je ne parle que de bio “commercial”, cultiver bio chez soi, ou en permaculture (ca se developpe et ca devient un phénomène de mode, ce qui est bien mais me chagrine quand même) c’est aussi pourvoir planter des graines / plantes qui sortent du sacrosaint catalogue avec son putain de critère DHS merdique.

Et ces plantes là c’est encore autre chose, c’est pas ce con de tmt que tu verras cultiver un panais rustique issu du jardin des grand pères.


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ActionFighter a écrit :



Donc , ta comparaison ne peut pas être valable, mais elle l’est quand même parce qu’il est impossible d’en faire une autre <img data-src=" />





Non, je dis que les modalités pour une comparaison raisonnable sont réunies. Au demeurant, je voudrais bien savoir comment tu as pu affirmer (sans preuves pour le moment) que les qualités nutritionnelles auraient été diminuées par l’augmentation des rendements sans machine à remonter le temps et sans les méthodes d’analyses modernes qui n’existaient pas quand les rendements étaient faibles. J’attends ta prochaine pirouette avec peu d’empressement.


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ActionFighter a écrit :



j’ai dit que les rendements actuels rendaient les aliments plus pauvres en qualité nutritionnelle.





Sans seulement cibler les rendements (il faudrait parler de la récolter précoce, de la région de culture, etc), il est effectivement vraisemblable que les aliments soient plus pauvres qu’il y a 50 ans.&nbsp;

Et pourtant, toutes les études te prouveront que nous sommes globalement mieux nourris qu’il y a 50 ans (hors sur-alimentation)



Donc j’ai envie de dire: est-ce bien important ? &nbsp;


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Fais donc quelque recherche sur l’alimentation moderne bien trop riche en Omega 6, faisant donc l’impasse sur le ratio Omega 36. Indice: le cerveau / les poules élevées en batterie, alimentation des bêtes pour leurs viandes.




Fais ensuite quelques recherches sur les effets collatéraux de ce déséquilibre. Indice: acidité sanguine.      






Et honnêtement, entre nous, les apports nutritionnels conseillés comme base démonstrative ?
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Drepanocytose a écrit :



Bon j’arrête là, tout le monde aura compris que tu es un guignolo.





Où comment se débiner la queue basse. <img data-src=" />









Drepanocytose a écrit :



Dis moi là, tu postes de ton tracteur high tech guidé par satellite ou de la plage ?





De la plage. Le tracteur avec autoguidage GPS évidemment est conduit par un salarié (j’ai des activités plus lucratives que de tenir un volant).


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Il y a une différence &nbsp;gigantesque entre avoir l’estomac plein, et fournir à son corps les ressources dont il a besoin.



Car dans ce cas, tu vas sur Doctissimo =&gt; besoin journalier moyen pour un homme/femme, et tu t’enfiles ce qu’il faut d’huile d’olive le matin pour monter à 2000kCal. Tu verras le résultat en moins de 3 jours.

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Faith a écrit :



Sans seulement cibler les rendements (il faudrait parler de la récolter précoce, de la région de culture, etc), il est effectivement vraisemblable que les aliments soient plus pauvres qu’il y a 50 ans. 

Et pourtant, toutes les études te prouveront que nous sommes globalement mieux nourris qu’il y a 50 ans (hors sur-alimentation)



Donc j’ai envie de dire: est-ce bien important ?





Evidemment.

Parce que “nous sommes mieux nourris” :




  • d’une ca dépend de qui on parle par “nous”

  • de deux personne ne sait combien de temps ca va durer

  • de trois quand ca va se remettre à decroitre, cette “meilleure nourriture qu’avant pour chacun”, eh bien on aura pris une bien vilaine habitude dont il sera bien difficile de se défaire

  • de quatre, si on est mieux nourri avec de la moins bonne bouffe, alors on sera ENCOTRE mieux nourri avec de la bonne bouffe, et ENCORE ENCORE mieux avec de la meilleure bouffe.

  • de cinq, il y a explosion des intolérances alimentaires, allergies en tous genres, etc…. Est-ce un hasard, ou pas, ou un peu ? Ou au moins n’y a-t-il pas qqch à creuser, là ?


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tmtisfree a écrit :



Non, je dis que les modalités pour une comparaison raisonnable sont réunies. Au demeurant, je voudrais bien savoir comment tu as pu affirmer (sans preuves pour le moment) que les qualités nutritionnelles auraient été diminuées par l’augmentation des rendements sans machine à remonter le temps et sans les méthodes d’analyses modernes qui n’existaient pas quand les rendements étaient faibles. J’attends ta prochaine pirouette avec peu d’empressement.





J’essaierai de retrouver le docu, mais la méthode, elle est simple, et très bien expliquée par Drepa dans son dernier paragraphe juste au dessus : on prend les variétés de l’époque et on la cultive dans une terre saine.







Faith a écrit :



Sans seulement cibler les rendements (il faudrait parler de la récolter précoce, de la région de culture, etc),





Je parle de rendements, mais effectivement, c’est un peu raccourci. La récolte précoce, la monoculture, etc… font aussi partie de la problématique.







Faith a écrit :



il est effectivement vraisemblable que les aliments soient plus pauvres qu’il y a 50 ans.

Et pourtant, toutes les études te prouveront que nous sommes globalement mieux nourris qu’il y a 50 ans (hors sur-alimentation)



Donc j’ai envie de dire: est-ce bien important ?





Dans un contexte où l’on essaie de nous vendre (enfin surtout aux agriculteurs) des aliments avec un rendement maximum et où la suralimentation est un problème de santé publique grave dans bon nombre de pays, je pense qu’il serait temps de reconsidérer notre alimentation et notre culture pour manger moins et mieux.


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tmtisfree a écrit :



Où comment se débiner la queue basse. <img data-src=" />

.





Oui j’ai là queue basse, c’est quand j’ai compris qu’en plus d’être un mytho, t’étais pas une fzemme <img data-src=" />


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tmtisfree a écrit :



J’attendraaaaaai le jour et la nuit<img data-src=" />





C’est là qu’on voit bien que ce que tu manges pose problème <img data-src=" />







Faith a écrit :



Les mecs, vous avez du mal à comprendre les blagues, on dirait…





J’ai hésité mais comme tu me bashes la ligne d’après, j’ai pris l’autre option <img data-src=" />


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Drepanocytose a écrit :



Desfois il est pharmacien, desfois il est véto, desfois il est paysan, desfois il est en calebut à la plage.

A force on ne sait plus trop.







Aujourd’hui “elle” vit de subventions public (PAC), “elle” est fonctionnaire quoi, son rêve enfin réalisé <img data-src=" />


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Cartmaninpact a écrit :



Aujourd’hui “elle” vit de subventions public (PAC), “elle” est fonctionnaire quoi, son rêve enfin réalisé <img data-src=" />





<img data-src=" />


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ActionFighter a écrit :



C’est là qu’on voit bien ce que tu manges pose problème <img data-src=" />





La bouffe, sa qualité, sa provenance, tout cela n’est que construction sociale comme tout le reste, pourquoi vouloir chercher plus loin ? Même Jaurès l’a dit :

“Mais n’est-ce pas l’homme aussi qui créa le blé ? Les productions que l’on appelle naturelles ne sont pas pour la plupart (…) l’oeuvre spontanée de la nature. Ni le blé ni la vigne n’existaient avant que quelques hommes, les plus grands des génies inconnus, aient sélectionné et éduqué lentement quelque grain ou quelque cep sauvage. C’est l’homme qui a deviné, dans je ne sais quelle pauvre graine tremblant au vent des prairies, le trésor futur du froment. C’est l’homme qui a obligé la sève de la terre à condenser sa plus fine et savoureuse substance dans le grain de blé ou à gonfler le grain de raisin.

Les hommes oublieux opposent aujourd’hui ce qu’ils appellent le vin naturel au vin artificiel, les créations de la nature aux combinaisons de la chimie. Il n’y a pas de vin naturel ; il n’y a pas de froment naturel. Le pain et le vin sont un produit du génie de l’homme. La nature elle-même est un merveilleux artifice humain.

L’union de la terre et du soleil n’eût pas suffi à engendrer le blé. Il y a l’intervention de l’homme, de sa pensée inquiète et de sa volonté patiente. (…) Que la science soit près du moissonneur.”





  • Jean Jaurès, 31 juillet 1901. La houille et le blé in La Petite République.



    Ah non, tiens.


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On les connait les “variabilités des résultats des études examinées” c’est très bien expliqué ici, les chercheurs vendus aux multinationales ne veulent pas publier leur méthodologie (et même leur nom <img data-src=" />) qui aboutissent tous à défendre leur généreux maitres, ils ont quelques chose à cacher? ils ont zéro crédibilité (comme l’UE qui continue de les prendre en compte) <img data-src=" />

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Mea culpa alors =)

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Parce que la qualité d’un aliment (je ne parle pas d’une qualité visuelle, mais nutritionnelle) influe sur la santé d’un individu.



Ce n’est pas pour rien que la courbe du &nbsp;poids moyen (et même médian) des pays occidentaux est croissante. Bon c’est également aussi de la responsabilité de chacun de savoir ce qu’il avale, mais ça c’est un autre sujet.

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Faith a écrit :



C’est bien beau de parler de standard régulier, mais on parlait d’allergie.  

Evite de détourner la conversation. Merci.





Ok, désolé j’extrapolais, mais c’est une erreur commune de penser qu’on mange plus varié que les grand pères. On mange clairement moins varié.



Mais sur les allergies :




  • déjà on ne mange plus de saison, ca ca peut jouer

  • ensuite comme dit on mange moins varié (moins de légumes, etc.)

  • ensuite on mange NETTEMENT plus de viande et de produits laitiers (bien plus que necessaries)

  • ensuite si on compare ce qu’on mange de “pareil”, bah en fait c’est pas du tout pareil.



    Deux exemples du dernier point, mais il y en a 10.000 en fait :

  • les tomates : tomate à grand papa : poussée localement, sans trop d’engrais, pleine terre, et surtout MURE. Tomate de maintenant : poussée en Hollande, Portugal ou Maroc. Poussée à blinde d’intrants/ Pussée en hydroponique pour la plupart. Et surtout mangée PAS MURE (le fameux gène RIM)

  • la viande de boeuf : grand papa : pas beaucoup, surtout de la race à viande, surtout des morceaux à bouillir, surtout des morceaux plutôt gras, bête surtout nourrie au foin de base. Nous : à mort en quantité, surtout de la race laitière de réforme, surtout des morceaux maigres (les morceaux gras c’est pour ce qui est transformé), nourrie à tu ne sais pas quoi qui va de la farine animale à du foin qui vient d’Ukraine, des grains, du mais, des antibios à mort, etc.



    Et je passe sur tous les pesticides, fongicides, hormones, antibiotiques, etc.


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