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Trappist-1 : sept exoplanètes, trois en zone habitable, une découverte majeure !

Des Belges, Trappist, coïncidence ?

Trappist-1 : sept exoplanètes, trois en zone habitable, une découverte majeure !

Le 23 février 2017 à 14h30

Dans le système Trappist-1, sept exoplanètes d'une taille comparable à la Terre orbitent autour de leur étoile en quelques jours seulement, et peuvent abriter de l'eau. Au-delà des effets d'annonce, faisons le point sur ce que l'on sait pour le moment, et ce que l'on peut attendre de cette découverte.

Comme prévu, la NASA tenait hier soir une conférence de presse afin de présenter une « découverte au-delà de notre système solaire ». On sait désormais de quoi il s'agit : un système composé d'une étoile – Trappist-1 – et de sept exoplanètes (Trappist-1b à 1 h, Trappist-1a étant le nom parfois utilisé pour l'étoile). Elles ont toutes une taille proche de celle de la Terre, et trois d'entre elles se trouvent en « zone habitable ». 

Des exoplanètes à la pelle dans l'Univers, mais le système Trappist-1 est singulier

Pour rappel, la découverte d'exoplanètes n'est pas une nouveauté, les scientifiques en identifient régulièrement. On se souviendra par exemple du télescope spatial Kepler qui en a débusqué 1 284 à lui tout seul en mai de l'année dernière. Dans le lot, neuf se trouvent dans la « zone habitable » (mais pas dans le même système), une notion qui signifie simplement qu'elles sont à une distance de leur étoile qui permet d'avoir des températures de surface compatibles avec la présence d'eau liquide à la surface.

Néanmoins, c'est la première fois que sept planètes – probablement toutes rocheuses – sont identifiées dans le même système solaire, d'où l'intérêt porté par les chercheurs. Bien évidemment, ce n'est certainement pas le seul système du genre dans l'Univers, mais celui-ci a été observé et étudié de près par les scientifiques du monde entier. 

Trappist-1
Crédits : NASA

À la recherche de la vie

Lors de la conférence, le scientifique belge Michaël Gillon explique que la présence de trois d'entre elles dans la zone habitable est une première en dehors de notre système solaire. C'est « très prometteur pour la recherche de vie en dehors de notre système solaire » ajoute-t-il. Le mot est lâché, « la vie ». Notez que les sept exoplanètes pourraient renfermer de l'eau, mais pas forcément à la surface pour toutes.

Le but est ainsi de trouver « une seconde Terre » pour les chercheurs de la NASA, pour qui « la question n'est pas de savoir si, mais quand ». Néanmoins, il est important de rappeler qu'il ne s'agit pour le moment que de spéculations déduites à partir de la taille et des orbites des exoplanètes, pas d'observations, comme le reconnait la spécialiste Sara Seager du MIT lors de la conférence de presse.

Interrogé sur une possible « écoute » du système Trappist-1, Michael Gillon indique que le SETI s'est déjà penché sur la question, mais qu'il n'a pour l'instant « pas détecté de signaux artificiels » provenant de ce système. Dans tous les cas, il ne faut pas s'attendre à de nouvelles révélations sur la présence d'une forme de vie (intelligence ou non).

Si proche et si loin de nous

Les planètes se trouvent en effet dans la constellation du Verseau, à un peu moins de 40 années-lumière de la Terre, soit plus de 370 000 milliards de kilomètres, excusez du peu. À titre de comparaison, la sonde Voyager 1 de la NASA se trouve à « seulement » un peu plus de 20 milliards de kilomètres, 40 ans après avoir quitté la Terre.

Alors que la lumière émise par Trappist-1 met 40 ans à nous arriver, les signaux de Voyager 1 (qui voyagent dans l'espace à la vitesse de la lumière ne mettent que... 38 heures. Bref, ce système solaire est à la fois proche comparé à l'immensité de l'Univers (82 milliards d'années-lumière pour la partie observable) et loin de nous (à l'échelle de notre exploration).

Si Trappist-1 est loin, elle n'est d'une certaine manière pas sans rappeler ce que l'on trouve dans notre système solaire, comme l'explique le CNRS : « Par bien des aspects, le cortège des planètes de Trappist-1 rappelle les systèmes de satellites gravitant autour de Jupiter et des autres planètes géantes du système solaire, indiquant peut-être des mécanismes de formation similaires ». De quoi, peut-être, améliorer encore notre compréhension du système solaire.

Qu'est-ce qu'une étoile naine ultra froide ? 

Maintenant que les présentations sont faites, plongeons un peu plus profondément dans ce système. Il est donc articulé autour d'une étoile classée comme étant une « naine ultra froide ». Ne vous y méprenez pas, elle n'est pas si froide que cela : il fait plus de 2 000 °C à sa surface. Cela reste néanmoins largement inférieur à notre Soleil qui dépasse les 5 000 °C.

Comme son nom l'indique, elle est dix fois plus petite que le Soleil (12 fois plus légère) et à peine plus grande que Jupiter. Notez que les naines ultras froides sont fréquentes dans l'Univers, bien plus que des étoiles du type de notre Soleil précisent les scientifiques.

Conséquence, afin d'obtenir une chaleur suffisante et être dans une zone habitable, les planètes sont proches de leur étoile, bien plus que dans notre système solaire. À titre de comparaison, l'exoplanète la plus éloignée (Trappist-1 h) se trouve à 0,06 unité astronomique de son étoile Trappist-1. Une unité astronomique étant la distance qui sépare notre Terre du Soleil (Mercure, la planète la plus proche est à 0,387 UA).

Petit système, orbite de quelques jours et rotation synchrone

Qui dit courte distance, dit également petite période orbitale (temps pour effectuer une rotation autour de l'étoile). Elle oscille en effet entre 1,51 jour pour Trappist-1b et environ 20 jours pour Trappist-1 h, contre un an pour la Terre et trois mois pour Mercure. Si l'on pouvait se rendre sur n'importe laquelle de ces exoplanètes, nul doute que la vue dans le ciel serait magnifique.

Les faibles distances séparant les planètes de leur étoile impliquent que les « forces de marée exercées par l’étoile sont considérables et imposent aux planètes une rotation dite synchrone » indique le CNRS. Pour rappel, une rotation synchrone signifie que c'est toujours la même face qui est exposée à l'étoile. Une situation que l'on retrouve par exemple entre la Terre et Lune : la face cachée n'est jamais visible depuis la Terre, d'où son nom.

Trappist-1Trappist-1

La méthode du transit porte encore ses fruits

Pour arriver à toutes ces conclusions, les scientifiques n'ont pas procédé à une observation directe des exoplanètes, celles-ci étant trop éloignées pour les instruments dont nous disposons pour le moment. Ils ont utilisé une technique bien particulière dite du transit. Cette dernière est également utilisée par Kepler pour identifier des exoplanètes.

Pour faire simple, un télescope mesure l'intensité lumineuse d'une étoile, et plus précisément ses variations dans le temps. Si elle baisse, c'est probablement qu'au moins une des planètes en rotation passe devant, occultant une partie de son rayonnement. Il est alors possible de calculer la taille des exoplanètes (en fonction de la diminution de l'intensité) ainsi que leur période orbitale (suivant la récurrence des passages). Plus l'étoile est petite, plus il est possible d'obtenir des mesures précises selon les scientifiques.

Une estimation de la masse peut être effectuée (sauf pour la dernière pour le moment), ce qui permet de déduire la densité de l'exoplanète et donc sa composition. Dans le cas présent, la conclusion est que toutes les exoplanètes de Trappist-1 seraient rocheuses. Des analyses poussées permettront de savoir non seulement la quantité d'eau qu'elles renferment, mais aussi si elle est présente sous forme liquide.

Des orbites en résonance permettent d'affiner les estimations

Point intéressant, le CNRS explique que les « orbites des planètes de Trappist-1 sont en résonance les unes avec les autres : lorsque la planète g accomplit une révolution autour de son étoile, les planètes b, c, d, e et f en ont fait respectivement 8, 5, 3, 2 et 4/3 ». L'orbite de Trappist-1 h n'est pas encore suffisamment précise pour en tirer des conclusions. 

Cela n'est pas une surprise, c'est même un comportement attendu pour un petit système du genre. Ces résonances « favorisent les rapprochements entre planètes et leurs interactions gravitationnelles. Pour cette raison, les transits ne se succèdent pas de façon parfaitement périodique, mais se produisent avec des avances ou des retards parfois de plus d'une heure » ajoute le centre de recherche français. Avantage pour les scientifiques, cela permet de contraindre les masses et obtenir une estimation plus précise.

Pour en savoir davantage sur les caractéristiques de l'étoile et des exoplanètes, vous pouvez vous rendre sur cette page.

De trois, on passe à sept exoplanètes grâce aux mesures de Spitzer 

La découverte de Trappist-1 ne date pas d'hier. En effet, « début 2016, des observations photométriques (mesure de la luminosité à haute précision), réalisées par le télescope Trappist de l’ESO et le télescope spatial Spitzer de la NASA, avaient révélé autour de l’étoile Trappist-1 la présence de trois planètes de taille terrestre (Trappist-1 b, c et d) » explique le CNRS.

Initialement, les scientifiques pensaient donc que le système était composé de trois planètes, mais cela ne collait pas parfaitement avec les observations de transit. Il fallait donc affiner les mesures et engranger plus d'informations. Finalement, à l'aide d'ordinateurs, les modèles mathématiques et les simulations ont permis de conclure à la présence de sept exoplanètes.

Trappist-1
Crédits : NASA

Pour arriver à ce résultat, il a fallu compiler pas moins de 500 heures de données enregistrées de manière quasi continue par le télescope infrarouge Spitzer (soit un peu plus de 20 jours entre mi-septembre et début octobre 2016), ce qui explique qu'il y a encore des incertitudes pour Trappist-1 h). Cela a permis de valider et surtout d'améliorer les premiers relevés du télescope Trappist au Chili. Bien évidemment, l'étude du système continue, que ce soit avec des télescopes spatiaux, ou bien depuis la Terre. Pour Sean Carey, responsable du Spitzer à la NASA, il s'agit du résultat « le plus excitant qu'il a vu depuis 14 ans » qu'il est en fonctionnement.

Le James Webb Telescope attendu de pied ferme

Les scientifiques attendent maintenant avec impatience l'arrivée du James Webb Telescope. Il sera notamment capable de « détecter les empreintes chimiques de l'eau, du méthane, de l'oxygène, de l'ozone et d'autres composantes de l'atmosphère d'une planète » explique la NASA. Pour rappel, la construction est terminée et il devrait prendre son envol en octobre 2018. Mais Trappist-1 ne sera évidemment pas le seul système sur lequel il se penchera. Les demandes devraient être nombreuses.

Quoi qu'il en soit, cette découverte est une collaboration internationale entre la NASA, le CNRS, le CEA, l’UPMC et d'autres universitaires. Ces travaux ont fait l'objet d'une publication dans la revue spécialisée Nature. De son côté, la Commission européenne, qui a participé au financement de cette découverte, précise qu'elle s'inscrit dans le cadre du projet SPECULOOS (Search for habitable Planets EClipsing Ultra cOOl Stars). Ce dernier est en phase finale et mené par une équipe internationale dirigée par Michaël Gillon.

Sachez enfin qu'un site dédié a été mis en place, avec de nombreuses images, vidéos et explications :

Le 23 février 2017 à 14h30

Commentaires (82)

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Merci encore pour NXI Pour cet article si intéressant. :)

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On y va quand??

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Merci pour l’article, très intéressant <img data-src=" />



projet SPECULOOS <img data-src=" /><img data-src=" />

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J’aime beaucoup ces raccourcis “débiles” : parce que la vie sur terre est basée sur l’eau, il faut de l’eau pour que la vie existe. C’est juste une énormité débile, et prendre une implication (vie sur terre -&gt; eau sous trois états) pour une équivalence. Pour montrer que l’eau est nécessaire pour la vie (et donc montrer l’équivalence), il faudrait avoir exploré TOUT l’univers pour constater qu’AUCUNE autre forme de vie n’existe sans eau.



Bref, si la vie existe, rien n’empêche qu’elle soit basée sur autre chose que l’eau, mais sur d’autres composés chimiques à d’autres conditions de température et pression, et ca, personne ne semble vouloir y penser.

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c’est pour tenir le temps du voyage <img data-src=" />

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Pour info, le site est vachement bien même si le contenu est encore un peu léger.



Allez dans Stories, y’a une bd qui explique plein de trucs intéressants…

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Un smiley qui s’impose, à mon sens.

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dimounet a écrit :



On y va quand??

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Bientôt !

https://exoplanets.nasa.gov/resources/2159/?linkId=34784370


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L’article et les agences ne disent pas autre chose.



Le fait est que sur terre on a un exemple de ce qui marche, donc plutôt que de chercher “on ne sait pas quoi”, on cherche à retrouver ce qu’on connait.

ça me semble normal et logique…

ça ne veut pas dire qu’il n’existe pas d’autre chose, mais si on n’a pas l’élément clef pour le chercher comment veux tu le trouver????



Le jour ou on aura des moyens techniques, ou des éléments pour chercher “autre chose” que notre élément clef nécessaire à la vie (soit l’eau) ça sera surement fait.



D’ailleurs la présence d’eau ne garantie pas qu’il y ait de la vie, mais juste que c’est une possibilité.

Donc c’est bien ce qui est dit et ce que recherche les agences: “des conditions de vie possible”, et pour l’instant le seul élément qu’on est comme base c’est l’eau.



Maintenant si tu as les compétences pour les aider à chercher autre chose contacte les je suis persuadé qu’ils seront ravis de ton aide. <img data-src=" />

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L’eau, c’est bien, mais du houblon à l’état liquide serait encore mieux.

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DayWalker a écrit :



J’aime beaucoup ces raccourcis “débiles” : parce que la vie sur terre est basée sur l’eau, il faut de l’eau pour que la vie existe. C’est juste une énormité débile, et prendre une implication (vie sur terre -&gt; eau sous trois états) pour une équivalence. Pour montrer que l’eau est nécessaire pour la vie (et donc montrer l’équivalence), il faudrait avoir exploré TOUT l’univers pour constater qu’AUCUNE autre forme de vie n’existe sans eau.



Bref, si la vie existe, rien n’empêche qu’elle soit basée sur autre chose que l’eau, mais sur d’autres composés chimiques à d’autres conditions de température et pression, et ca, personne ne semble vouloir y penser.







Si, plein de gens y pensent mais c’est tellement compliqué d’imaginer une forme de vie sans eau ni carbone qu’il devient impossible de savoir quoi chercher… y’a des scientifiques qui ont déjà pas mal philosophé sur le sujet et en gros, ils en arrivent à dire qu’on ne serait même pas capables de reconnaître une forme de vie trop différente de la notre. Déjà, on a même pas catalogué toutes les formes de vie de notre propre planète et on trouve encore des trucs incroyables…



Donc, quand on a un minimum de pragmatisme, on commence par chercher qqch qu’on connaît et qu’on saura reconnaître. Autrement dit : une forme de vie basée sur le carbone et l’eau.

Parce que si on va plus loin, le nombre d’hypothèses risque de faire partir en couille toute recherche.


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Merci pour cet article qui m’a fait me réabonner à lui tout seul&nbsp;<img data-src=" />

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entièrement d’accord!!!



d’ailleurs à Marseille la vie est basée sur le ricard!

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“J’aime beaucoup ces raccourcis “débiles” : parce que la vie sur terre est basée sur l’eau, il faut de l’eau pour que la vie existe”

C’est toi qui fait le raccourci là. Il ne me semble pas que les scientifiques aient dit ça…



Le fait est qu’on sait que dans les conditions de la Terre, la vie est possible. Du coup, c’est logique de concentrer les recherches de vie extra-terrestre sur des planètes similaires à la Terre, où on sait que la vie est possible, plutôt que sur des planètes très différentes, pour lesquelles on ne sait pas…



Et ce d’autant plus que le seul moyen de détecter de la vie sur une exo-planète, c’est de façon indirecte, notamment en analysant la composition de l’atmosphère. Il n’y a aucune chance de voir des espèces extra-terrestre ou de communiquer avec elles, les distances sont trop longues. Or s’il existe des formes de vie très différentes de celles de la Terre (donc pas basées sur l’eau et le carbone), on ne les connaît pas, donc on ne connaît pas leur “signature”. On n’est donc capable de “détecter” (ie suspecter avec une forte probabilité) que des formes de vies vaguement similaires à celles qu’on a sur Terre, pas des formes de vie radicalement différentes.

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Ce système a été découvert par des belges ? <img data-src=" />



Et sinon j’ai pas compris ce passage :



&nbsp;Comme son nom l’indique, elle est dix fois plus petite que le Soleil (12 fois plus légère) et à peine plus grande

que Jupiter.

&nbsp;

Son nom est un indicateur de sa taille ? <img data-src=" />

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Ah ben super.. Vu la période de révolution des planètes, si cest pour payer des impots sur le revenu tous les 10 jours cest pas la peine..

&nbsp;&nbsp;Bon ,je lis l’article maintenant&nbsp;

&nbsp;

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jeje07bis a écrit :



entièrement d’accord!!!



d’ailleurs à Marseille la vie est basée sur le ricard!



Le pastis <img data-src=" />

Il y en a qui boivent autre chose que l’eau colorée que produit ricard <img data-src=" />


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SartMatt a écrit :



“J’aime beaucoup ces raccourcis “débiles” : parce que la vie sur terre est basée sur l’eau, il faut de l’eau pour que la vie existe”



C'est toi qui fait le raccourci là. Il ne me semble pas que les scientifiques aient dit ça...







Non, justement, puisqu’ils proposent qu’il y ait de la vie parce qu’il y a de l’eau et d’autres choses sous la bonne forme. C’est ce qui est clairement écrit dans cet article. Je ne dis pas que ce n’est pas intéressant, je dis juste qu’en l’état de nos connaissances, on ne devrait pas se limiter aux conditions similaires à notre planète pour déduire qu’il y a de la vie possible. Rien ne prouve qu’elle existe sous d’autres formes… tu peux le savoir, toi ? Moi pas, donc pas de raccourcis rapide. L’eau (et les conditions relevées dans cet article) n’est pas une condition suffisante ou nécessaire pour avoir de la vie, c’est juste une condition nécessaire pour une forme SIMILAIRE à la nôtre.


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TheDwarf a écrit :



Ce système a été découvert par des belges ? <img data-src=" />



Et sinon j’ai pas compris ce passage :



&nbsp;Comme son nom l’indique, elle est dix fois plus petite que le Soleil (12 fois plus légère) et à peine plus grande

que Jupiter.

&nbsp;

Son nom est un indicateur de sa taille ? <img data-src=" />





Ben c’est une naine donc oui&nbsp;<img data-src=" />


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Je m’auto réponds …



Trappist est le nom du téléscope belge.

Et la phrase fait référence à “étoile naine”



<img data-src=" />

Et semi-grilled en plus … Merci <img data-src=" />

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On commence à peine à identifier les formes de vie extrêmophilessur Terre dont certains microbes qui arrivent à vivre sans oxygène.

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Je suis prêt à participer financièrement si un vol simple y amène Eric Ciotti.

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Jarodd a écrit :



Je suis prêt à participer financièrement si un vol simple y amène Eric Ciotti.





<img data-src=" />



On peut faire un tir groupé, ce serait dommage de gâcher de l’espace dans la fusée, surtout si la consommation d’air et de ressource n’est pas critique.


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Jarodd a écrit :



Je suis prêt à participer financièrement si un vol simple y amène Eric Ciotti.





T’aura jamais assez de sou sou pour envoyer tous ceux qui le mérite…


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Mais encore une fois à aucun moment il n’est précisé que c’est “LA SEULE” condition de vie…

IL est toujours fait mention “d’une condition de vie possible”.



ALors bien évidement, on recherche quelque chose proche de nous parce que ça on sait que ça marche.

Mais ça ne veut en rien dire que c’est la seule possible.



Comment veux tu chercher autre chose sans savoir ce que tu cherches!

Si on est à l’écoute de signaux, c’est bien justement pour ne pas se cantonner uniquement à ça!

Mais comme il faut une référence pour chercher à côté, faute de mieux on se focalise sur ça.

Mais la pareil, les signaux qu’on est capable d’écouter ne sont pas forcément ce que peuvent emettre les autres.



on peut aller très loin comme ça. On fait juste avec ce qu’on a faute de mieux.

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DayWalker a écrit :



J’aime beaucoup ces raccourcis “débiles” : parce que la vie sur terre est basée sur l’eau, il faut de l’eau pour que la vie existe. C’est juste une énormité débile, et prendre une implication (vie sur terre -&gt; eau sous trois états) pour une équivalence. Pour montrer que l’eau est nécessaire pour la vie (et donc montrer l’équivalence), il faudrait avoir exploré TOUT l’univers pour constater qu’AUCUNE autre forme de vie n’existe sans eau.



Bref, si la vie existe, rien n’empêche qu’elle soit basée sur autre chose que l’eau, mais sur d’autres composés chimiques à d’autres conditions de température et pression, et ca, personne ne semble vouloir y penser.







Joli <img data-src=" />


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Le problème dans tout ca, c’est qu’a chaque fois les scientifiques disent “ La condition essentielle pour la vie c’est l’eau … ”



C’est vrai pour la vie sur terre mais je suis d’accord avec @DayWalker quand il dit que c’est super réducteur …

&nbsp;

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Si on les envoie là bas et qu’on leur paye le trajet, on va pas en plus leur payer de l’oxygène. On les broie et on les déshydrate, ça prendra moins de place pour le voyage.

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Oui, mais là tu touches une question philosophique. C’est quoi “la vie” ?

Je pense que la communauté scientifique cherche avant tout ce qu’on trouve déjà ici. Probablement parce que c’est ce qu’on sait bien comprendre, et donc rechercher.

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Là ce n’est marqué nul part dans l’article.

Les scientifiques cherchaient une “autre terre”. ça veut dire ce que ça veut dire.



Il y a d’autres sujets avec des scientifiques qui travaillent dessus.

Personnellement, je n’ai pas vu des scientifiques dire que SEULES nos conditions permettaient la vie.



Il est évident que tu vois à 99% des news sur ceux qui recherchent une vie comme nous, puisqu’ils ont un point de repère et que du coup forcément ça peut avancer, mais à ma connaissance aucun ne dit que c’est les seules conditions.

Et en l’état, j’ai beau relire l’article ici ce n’est pas du tout ce qui est dit, on cherche un équivalent à notre terre, il n’est pas dit que c’est la seule vie possible.

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DayWalker a écrit :



J’aime beaucoup ces raccourcis “débiles” : parce que la vie sur terre est basée sur l’eau, il faut de l’eau pour que la vie existe.

[…]

Bref, si la vie existe, rien n’empêche qu’elle soit basée sur autre chose que l’eau, mais sur d’autres composés chimiques à d’autres conditions de température et pression, et ca, personne ne semble vouloir y penser.





T’es gentil avec ton commentaire du fond du canapé du gars qui sait mieux que les scientifiques, mais les scientifiques ne font pas ce “raccourci”, et ça fait longtemps que certains essayent d’imaginer une vie basée sur autre chose que le carbone, par exemple le silicium.







Burn2 a écrit :



L’article et les agences ne disent pas autre chose.

Le fait est que sur terre on a un exemple de ce qui marche, donc plutôt que de chercher “on ne sait pas quoi”, on cherche à retrouver ce qu’on connait.





<img data-src=" />







Burn2 a écrit :



Maintenant si tu as les compétences pour les aider à chercher autre chose contacte les je suis persuadé qu’ils seront ravis de ton aide. <img data-src=" />





<img data-src=" />


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La rotation synchrone me semble tout de même être un gros problème pour l’habitabilité humaine ou le développement d’une vie “évoluée”. En gros il y le risque d’avoir un climat qui se réparti en une face chaude, une face froide et un mince espace tempéré entre les deux, l’ensemble étant balayé par d’importants vents liés aux différences de températures entre les deux faces. C’est surement une hypothèse une peu bourrine, mais il me semble que c’est le type de météo qu’on est en droit d’attendre d’une planète avec une rotation synchrone vis-à-vis de son étoile.



&nbsp;Si il en est ainsi, ça ne nous fera pas une planète de secours pour l’humanité, juste un environnement où il sera amusant de voir si la vie s’est développée ou non.

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La voie centriste est la meilleure dans ce cas : pile au milieu à la zone d’interface.

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ErGo_404 a écrit :



Si on les envoie là bas et qu’on leur paye le trajet, on va pas en plus leur payer de l’oxygène. On les broie et on les déshydrate, ça prendra moins de place pour le voyage.





Si on les broie, autant économiser le voyage <img data-src=" />



Autant leur filer un karsher, leur faire croire à une mission interplanétaire et vendre les droits de diffusion des streams.


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Encore un bel exemple <img data-src=" />

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Article très bien fait. Merci Seb.



Pour info pour ceux que cela intéresse et comprendre la technique photométrique des transits, &nbsp;un projet similaire à Trappist et speculoos est en fin d’installation au chili sur le site de La silla de l’eso:

http://extra.obs.ujf-grenoble.fr/



100% français :)

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ActionFighter a écrit :



L’eau, c’est bien, mais du houblon à l’état liquide serait encore mieux.









jeje07bis a écrit :



entièrement d’accord!!!

d’ailleurs à Marseille la vie est basée sur le ricard!









TheDwarf a écrit :



Ce système a été découvert par des belges ? <img data-src=" />





Le club des buveurs <img data-src=" />


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et aussi pourquoi une forme de vie ou d’organisme basée sur le carbone ? on pourrait pas avoir un autre élément de base ? (pour faire suite au débat sur l’eau <img data-src=" /> )

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jb18v a écrit :



et aussi pourquoi une forme de vie ou d’organisme basée sur le carbone ? on pourrait pas avoir un autre élément de base ? (pour faire suite au débat sur l’eau <img data-src=" /> )







Dé mémoire, l’atome de carbone possède une configuration électronique qui permet de faire des liaisons avec d’autres atomes facilement.


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DayWalker a écrit :



Non, justement, puisqu’ils proposent qu’il y ait de la vie parce qu’il y a de l’eau et d’autres choses sous la bonne forme. C’est ce qui est clairement écrit dans cet article.





Oui. Ils considèrent que la vie est éventuellement possible, parce qu’on a des conditions similaires à celles sur la Terre. Ça n’est en aucun cas équivalent à dire que ces conditions sont nécessaires à la vie, soit le “raccourci débiles” que tu donnes au début de ton premier message.

&nbsp;

P =&gt; Q n’est pas équivalent non Q =&gt; non P !



Dire que présence d’eau implique la possibilité d’avoir de la vie n’est pas équivalent à dire que l’absence d’eau implique l’absence de vie !

&nbsp;



L’eau (et les conditions relevées dans cet article) n’est pas une condition suffisante ou nécessaire pour avoir de la vie, c’est juste une condition nécessaire pour une forme SIMILAIRE à la nôtre.



Et personne ne dit le contraire.

Mais comme c’est la seule forme de vie qu’on connaît, c’est de fait la seule forme de vie qu’on est éventuellement capable de détecter à distance. Sachant que tout ce qu’on a à notre disposition, c’est le spectre lumineux de l’étoile, légèrement perturbé par le passage de la planète, c’est déjà assez hasardeux de détecter la signature d’une forme de vie similaire à la nôtre.

Alors détecter la signature d’une forme de vie qu’on ne connaît pas sur une exoplanète, c’est juste impossible. Il n’y a que sur les planètes du système solaire qu’on pourrait éventuellement détecter une forme de vie non similaire à celle sur Terre. Mais encore faudrait-il savoir quoi chercher…



Donc les recherches de signes de vie extra-terrestre se concentrent forcément sur les formes de vies similaires à la notre, car ce sont les seules qu’on a peut-être une chance de détecter. Ce qui ne veut en aucun cas dire qu’il n’y a pas d’autres forme de vie. Prêter ce genre de propos aux scientifiques, c’est un raccourci que TU fais.


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eliumnick a écrit :



Dé mémoire, l’atome de carbone possède une configuration électronique qui permet de faire des liaisons avec d’autres atomes facilement.





C’est ça. Il me semble qu’il y a quelques autres candidats, mais ils sont rares.



De même, l’eau a des propriétés uniques. C’est l’un des meilleurs solvant, c’est le second liquide ayant la plus forte tension de surface, c’est le liquide qui a la chaleur latente d’évaporation la plus élevée, et c’est le seul matériau naturel qui augmente de volume en passant à l’état solide.


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SartMatt a écrit :



P =&gt; Q n’est pas équivalent non Q =&gt; non P !





Lapsus : il fallait bien évidement lire “P =&gt; Q n’est pas équivalent à non P =&gt; non Q !”


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manfried a écrit :



La rotation synchrone me semble tout de même être un gros problème pour l’habitabilité humaine ou le développement d’une vie “évoluée”. En gros il y le risque d’avoir un climat qui se réparti en une face chaude, une face froide et un mince espace tempéré entre les deux, l’ensemble étant balayé par d’importants vents liés aux différences de températures entre les deux faces.





Bonne question, mais je ne suis pas sûr qu’il y aurait des vents permanents et violents, car la rotation de la terre a une conséquence sur l’existence des divers vents (dont les 40e rugissants et 50e hurlants), cf par exemple :https://fr.wikipedia.org/wiki/Circulation_atmosph%C3%A9rique#Cellules_de_Hadley .

Peut-être que l’atmosphère serait relativement stable quasiment sans vents (dépend aussi de la présence de mers/océans et montagnes), la face sombre étant constamment froide (même pas de saison).







Séphi a écrit :



Encore un bel exemple <img data-src=" />





Rigolade et merci <img data-src=" /> .

J’avais dû voir une variante sur le thème, celui-là je le garde dans un coin.


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Bah on ira y mettre des éoliennes

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OlivierJ a écrit :



Bonne question, mais je ne suis pas sûr qu’il y aurait des vents permanents et violents, car la rotation de la terre a une conséquence sur l’existence des divers vents (dont les 40e rugissants et 50e hurlants), cf par exemple :https://fr.wikipedia.org/wiki/Circulation_atmosph%C3%A9rique#Cellules_de_Hadley .

Peut-être que l’atmosphère serait relativement stable quasiment sans vents (dépend aussi de la présence de mers/océans et montagnes), la face sombre étant constamment froide (même pas de saison).





Rigolade et merci <img data-src=" /> .

J’avais dû voir une variante sur le thème, celui-là je le garde dans un coin.







Il se peut aussi que la faible distance entre les planètes fait qu’une planète plus éloignée de l’étoile va réfléchir de la lumière vers la face cachée des planètes plus proches de l’étoile, de la même manière que la Lune nous éclaire beaucoup en pleine nuit pendant les phases de pleine Lune.


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<img data-src=" /><img data-src=" />

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eliumnick a écrit :



Il se peut aussi que la faible distance entre les planètes fait qu’une planète plus éloignée de l’étoile va réfléchir de la lumière vers la face cachée des planètes plus proches de l’étoile, de la même manière que la Lune nous éclaire beaucoup en pleine nuit pendant les phases de pleine Lune.





L’énergie en question est très faible au regard du rayonnement de l’étoile, je ne crois pas que la (pleine) Lune ait un quelconque effet sur la circulation atmosphérique. L’éclairage reste tout de même assez modeste au regard du plein jour, même bien nuageux, ça doit être plusieurs ordres de grandeur, on s’en rend compte si on prend une photo :-) .


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OlivierJ a écrit :



L’énergie en question est très faible au regard du rayonnement de l’étoile, je ne crois pas que la (pleine) Lune ait un quelconque effet sur la circulation atmosphérique. L’éclairage reste tout de même assez modeste au regard du plein jour, même bien nuageux, ça doit être plusieurs ordres de grandeur, on s’en rend compte si on prend une photo :-) .







Dans le cas de ce système, la distance entre les orbites varie entre 600 000km & 1 350 000 km (source graphique en haut : de 0.004 ua à 0.009 ua entre les planètes (j’ai pas compté h)).



La surface réfléchissante est aussi supérieur à celui de la Lune.



Bref, je ne saurais dire quantifier l’énergie mise en jeu dans cet effet, mais il semble être supérieur à celui de la Lune sur Terre.



Évidemment, ca sera toujours moins énergétique que la phase éclairée par l’étoile, mais ca me semble suffisamment important comme effet pour pouvoir dire qu’il doit y avoir des “saisons” sur la face sombre (oui saison n’est pas le bon mot, mais je trouve que ca s’en rapproche).



Edit : et en parallèle, il est possible que les forces de marées dues à ces planètes suffisent à réchauffer localement ces faces sombres.


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Merci pour l’article, ça donne envie d’y aller là-bas même si ça fait un peu loin. <img data-src=" />

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OlivierJ a écrit :



L’énergie en question est très faible au regard du rayonnement de l’étoile, je ne crois pas que la (pleine) Lune ait un quelconque effet sur la circulation atmosphérique. L’éclairage reste tout de même assez modeste au regard du plein jour, même bien nuageux, ça doit être plusieurs ordres de grandeur, on s’en rend compte si on prend une photo :-) .





Pourtant la force gravitationnel de la lune influence la marée.


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DUNplus a écrit :



Pourtant la force gravitationnel de la lune influence la marée.





Certes, et en concurrence avec l’influence gravitationnelle du soleil (petites et grandes marées), mais quel rapport avec le réchauffement atmosphérique dû au rayonnement, qui était le point avancé par mon commentateur ?


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Plutôt étonnant de voir si peu d’influence entre ces planètes alors que les distances sont faibles et les masses plutôt proches. Surtout les 2 premières planètes, on est à une distance même pas 2 fois supérieur à celle séparant la terre et la lune par example.

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Sébastien Gavois a écrit :



Conséquence, afin d’obtenir une chaleur suffisante et être dans une zone habitable, les planètes sont proches de leur étoile, bien plus que dans notre système solaire.





Je l’ai déjà signalé, mais cette phrase est originale et personne n’a relevé je crois, on dirait que les planètes ont choisi de se rapprocher de leur étoile pour avoir plus chaud, comme le lézard qui se met au soleil <img data-src=" /> .


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OlivierJ a écrit :



Certes, et en concurrence avec l’influence gravitationnelle du soleil (petites et grandes marées), mais quel rapport avec le réchauffement atmosphérique dû au rayonnement, qui était le point avancé par mon commentateur ?





Vous parler pas du mouvement de l’atmosphère aussi ?



Je n’ai pas regarder mais je dirais que l’influence gravitationnelle bouge l’atmosphère.


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Sans rien ôter à ces découvertes, je me demande pourquoi on en fait un tel foin.

Du fait de la distance à parcourir pour y aller, elles sont tout bonnement inexploitables pour l’être humain, même pour un voyage sans retour, vu que nous ne sommes pas prêts d’être capables de construire un vaisseau habitable pour plusieurs générations.

Bref, c’est beau de rêver en regardant les étoiles, mais il vaut mieux laisser ça aux scientifiques pour en déterminer l’intérêt. Pour le commun des mortels, c’est complètement inutile de savoir spécifiquement que ces planètes existent. Ces annonces sont des putaclics pour les NASA de ce monde.

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DUNplus a écrit :



Vous parler pas du mouvement de l’atmosphère aussi ?

Je n’ai pas regarder mais je dirais que l’influence gravitationnelle bouge l’atmosphère.





Non (aux deux phrases).

La lune arrive à bouger un peu l’eau des océans, qui constitue une masse énorme (par rapport à celle de l’atmosphère), mais ça reste faible (il y a des endroits où la marée est peu perceptible, et d’autres où des phénomènes de résonance les rendent importantes, mais ça reste quelques mètres).

La terre elle-même est un peu déformée par la Lune (la terre se soulève un peu face à la lune, et s’aplatit sur les côtés, ça reste des centimètres), la déformation est prise en compte par le CERN lors des expériences de collision au LHC si ma mémoire est bonne.

La lune n’a pas plus d’influence gravitationnelle perceptible sur l’atmosphère qu’elle n’en a sur les avions (même si cette comparaison est osée), en tous cas je n’ai jamais entendu que les prévisions météo en tenaient compte.


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Aloyse57 a écrit :



Ces annonces sont des putaclics pour les NASA de ce monde.





Ouais, pareil quand Einstein a publié sa théorie de la relativité ! Ou Crick et Watson sur la structure en hélice de l’ADN.

Aucun intérêt à part pour les scientifiques !



<img data-src=" />


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OlivierJ a écrit :



Non (aux deux phrases).

La lune arrive à bouger un peu l’eau des océans, qui constitue une masse énorme (par rapport à celle de l’atmosphère), mais ça reste faible (il y a des endroits où la marée est peu perceptible, et d’autres où des phénomènes de résonance les rendent importantes, mais ça reste quelques mètres).

La terre elle-même est un peu déformée par la Lune (la terre se soulève un peu face à la lune, et s’aplatit sur les côtés, ça reste des centimètres), la déformation est prise en compte par le CERN lors des expériences de collision au LHC si ma mémoire est bonne.

La lune n’a pas plus d’influence gravitationnelle perceptible sur l’atmosphère qu’elle n’en a sur les avions (même si cette comparaison est osée), en tous cas je n’ai jamais entendu que les prévisions météo en tenaient compte.







Dans l’absolu, la Lune doit faire bouger l’atmosphère, mais probablement sans effet notable.


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Pour les néophytes dans le domaine comme moi : un peu d’explications sur les septs planètes

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Séphi a écrit :



Encore un bel exemple <img data-src=" />









hellmut a écrit :



<img data-src=" /><img data-src=" />





Pardon pour le quasi doublon, j’avais laissé l’onglet ouvert sur le dessin, je ne m’en lasse pas, la dernière case est énorme, c’est tellement ça le mec devant son écran, encore merci <img data-src=" /> .


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DayWalker a écrit :



Non, justement, puisqu’ils proposent qu’il y ait de la vie parce qu’il y a de l’eau et d’autres choses sous la bonne forme. C’est ce qui est clairement écrit dans cet article. Je ne dis pas que ce n’est pas intéressant, je dis juste qu’en l’état de nos connaissances, on ne devrait pas se limiter aux conditions similaires à notre planète pour déduire qu’il y a de la vie possible. Rien ne prouve qu’elle existe sous d’autres formes… tu peux le savoir, toi ? Moi pas, donc pas de raccourcis rapide. L’eau (et les conditions relevées dans cet article) n’est pas une condition suffisante ou nécessaire pour avoir de la vie, c’est juste une condition nécessaire pour une forme SIMILAIRE à la nôtre.







Je dis ca un peu “au pif” mais tout dépend de la définition qu’on du mot “vie”. On va dire que pour le commun des mortels, c’est un être qui boit, qui mange, et qui chie :)



Apres scientifiquement, il y a aura sûrement une autre définition.



My 2cts


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DayWalker a écrit :



Non, justement, puisqu’ils proposent qu’il y ait de la vie parce qu’il y a de l’eau et d’autres choses sous la bonne forme. C’est ce qui est clairement écrit dans cet article. Je ne dis pas que ce n’est pas intéressant, je dis juste qu’en l’état de nos connaissances, on ne devrait pas se limiter aux conditions similaires à notre planète pour déduire qu’il y a de la vie possible. Rien ne prouve qu’elle existe sous d’autres formes… tu peux le savoir, toi ? Moi pas, donc pas de raccourcis rapide. L’eau (et les conditions relevées dans cet article) n’est pas une condition suffisante ou nécessaire pour avoir de la vie, c’est juste une condition nécessaire pour une forme SIMILAIRE à la nôtre.







Pour faire simple, c’est parce que les conditions qui permettent d’avoir de l’eau liquide offre les meilleurs chance d’avoir une vie basée sur le carbone et que le carbone permet une très grande souplesse et une bonne solidité dans les liaison permettant de faire des macro-molécules assez essentiel pour la vie.







jb18v a écrit :



et aussi pourquoi une forme de vie ou d’organisme basée sur le carbone ? on pourrait pas avoir un autre élément de base ? (pour faire suite au débat sur l’eau <img data-src=" /> )







La silice, mais c’est pas top, les double et les trible liaison ne sont pas très stable.



Mais il y au aussi l’azote et le phosphore. Si tu veux, il y a un article Wikipédia sur le sujet.







ForceRouge a écrit :



Je dis ca un peu “au pif” mais tout dépend de la définition qu’on du mot “vie”. On va dire que pour le commun des mortels, c’est un être qui boit, qui mange, et qui chie :)



Apres scientifiquement, il y a aura sûrement une autre définition.



My 2cts





Tu as oublié “se reproduit” que l’on a souvent dans la définition. Mais bon, est ce que ça fait qu’un eunuque est mort (il peut cependant être maures) ?

Bon, si tu demandes à un scientifique, tu auras des définitions très variables selon les besoins (définition à géométrie variable), les biologistes sont parfois bien embêtés avec des cas comme les virus, qui ne sont pas considérés, pour la plupart, comme vivant. Dans le même genre de question à la con à poser au biologiste, tu peux demander la définition d’un gène, en particulier où il commence et où il s’arrête.


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Trop loin, il faudrait bombarder Jupiter avec tous le nucléaire de la Terre pour le transformer en un petit soleil et rendre ces lunes terra-formables.<img data-src=" /> (Je sais je copie un peu sur un Roman, mais au moins les distances sont plus réaliste)

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Et quid du champ magnétique, sur la terre il vient de sa rotation; sans champ magnétique, plus de vie possible en dehors de l’eau.

Il va falloir redevenir des mammifères marins… Bon en même temps on a le temps de se former pendant le voyage.

<img data-src=" />

Ou alors on la colonise pas et on envoie juste une sonde pour que dans 10générations on puisse avoir la réponse à cette question:

Sommes nous les seuls? sachant qu’il a été proposé que si on trouvait une quelconque autre forme de vie passée ailleurs, alors forcément l’univers regorgeait de différentes formes de vie.

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Bon, c’est dredi ( enfin depuis 20 min ) donc je pense que j’ai le droit à un peu de détente après avoir ingurgité toute cette lecture certes passionnante mais qui donne soif <img data-src=" />



Je propose donc de rebaptiser les 7 exoplanètes en question :



Achel

Chimay

La Trappe

Orval

Rochefort

Westmalle

Westvleteren



<img data-src=" />

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C’est que des bières qui piquent! Bon, en meme temps va trouver de la bière belge douce, à part la amstel, ça tape direct dans du brun ambré à 8-12%

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Bel article, merci <img data-src=" />



“Michael Gillon indique que le SETI s’est déjà penché sur la question, mais qu’il n’a pour l’instant « pas détecté de signaux artificiels » provenant de ce système.”



Ahem, compte tenu de la loi en carré inverse, si les Trappistiens n’ont pas orienté précisément vers nous notre planète un signal radio amplifié il y a 39+ ans, c’est mal barré pour détecter quoi que ce soit de potentiellement artificiel émis par là-bas.



Sinon, la vue du ciel depuis Trappist-1e doit être juste bien délire (trop imagerie SF de folie).



En revanche, si il y a des atmosphères les climats doivent être franchement zarbi sur les planètes dans la Goldilocks zone : bonjour les courants d’air à l’interface entre côtés éclairés et côtés obscurs !

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Amstel ??? ce pipi de chat brassée àà Amsterdam ??? la géo n’était sans doute pas ton fort à l’école hein ? <img data-src=" />

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Ah, c’est vrai qu’on était allé à Amsterdam aussi pendant le trip belge; ça aide pas pour l’orientation leurs cafés la bas <img data-src=" />

C’est quoi la blonde de base que tu trouves en pression la bas? jupiler ou stella?

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Merci pour ce lien, du coup ça répond à mes interrogation sur l’influence de la proximité des planètes sur leurs orbites respectives <img data-src=" />

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Par contre, si on veut rester dans le belge, attention, La Trappe, ça vient des Pays-Bas (mais c’est super bon :) )

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La plupart du temps, la pils servie, c’est la Jupiler. On voit aussi souvent la Maes et la Stella, plus quelques autres plus rares.



Mais il y a des bières non pils qui ne sont pas fortes. Dans les cafés d’Anvers, on sert beaucoup de De Koninck, une bière ambrée. Quelques autres exemples : les diverses blanches, la Rodenbach, les diverses « saison », la Taras Boulba, la Biolégère, etc.

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Quelle que soit la définition de la vie, elle est forcément basée sur des réactions chimiques entre des molécules un minimum complexes.

D’une part le carbone présente les propriétés idéales pour y jouer un rôle central, comme aucun autre élément. En plus le carbone est abondant dans l’univers (l’abondance les éléments étant grosso modo inversement proportionnelle à leur numéro atomique).

D’autre part il faut être entre une température et une pression minimum, sinon les réactions chimiques sont difficiles, et une température et une pression maximum, sinon les molécules complexes ne durent pas longtemps. Et il faut aussi la présence d’un milieu liquide pour favoriser les échanges. Il se trouve que l’eau est quasiment le seul corps chimique liquide dans des conditions de température et de pression raisonnables, en plus d’être très abondant dans l’univers (pour les mêmes raisons que le carbone).

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waltos a écrit :



Bon, c’est dredi ( enfin depuis 20 min ) donc je pense que j’ai le droit à un peu de détente après avoir ingurgité toute cette lecture certes passionnante mais qui donne soif <img data-src=" />



Je propose donc de rebaptiser les 7 exoplanètes en question :



Achel

Chimay

La Trappe

Orval

Rochefort

Westmalle

Westvleteren



<img data-src=" />&nbsp;



https://www.franceinter.fr/emissions/si-tu-ecoutes-j-annule-tout/si-tu-ecoutes-j…



à partir de la 47’

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Il y a quelques mois ArrêtSurImages avait fait une très bonne émission sur le sujet des exoplanètes, nous apprenant en particulier que :




  • les images de ces planètes, ce sont évidemment des vues d’artistes, pas des clichés. Ces planètes sont déduites (par exemple quand une planète passe devant une étoile, sa luminosité baisse un coup, ce qui permet de déduire qu’un truc lui est passé devant), très rarement trouvées directement

  • il existe une foule de critères pour dire que c’est une exoplanète habitable : présence d’eau, distance planète-étoile satisfaisante, taille, température, etc. En général il n’y a qu’une seule condition qui est remplie. C’est donc pas gagné pour pouvoir abriter la vie

  • enfin, pourquoi faire tout un pataquesse sur les exoplanètes ? Sans doute que si l’on présentait l’info de manière scientifique, sans exagérations et sans ces fameuses vues d’artistes (et le coup des “petites cousines de la Terre” à chaque JT), le public se désintéresserait encore plus de la recherche



    Abonnez-vous donc à ASI (en plus de NI), ça vaut franchement le coup (quand ça ne cause pas politique) ;-)

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“Bref,&nbsp;ce système solaire est à la fois&nbsp;proche comparé à l’immensité de l’Univers (82 milliards d’années-lumière pour la partie observable) et loin de nous (à l’échelle de notre exploration).”



&nbsp;Je ne comprends pas bien comment on peut avoir des distances de 82 milliards d’années-lumière, alors que le big bang est parti d’un point, il y a 13 milliards d’années. En prenant deux objets qui seraient partis à l’opposé on arriverait logiquement à une distance maximale de 26 milliards d’années-lumière, non ?

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Axonefr a écrit :



“Bref, ce système solaire est à la fois proche comparé à l’immensité de l’Univers (82 milliards d’années-lumière pour la partie observable) et loin de nous (à l’échelle de notre exploration).”



 Je ne comprends pas bien comment on peut avoir des distances de 82 milliards d’années-lumière, alors que le big bang est parti d’un point, il y a 13 milliards d’années. En prenant deux objets qui seraient partis à l’opposé on arriverait logiquement à une distance maximale de 26 milliards d’années-lumière, non ?







Pake du fait de l’expansion, l’Univers grandit plus vite que la vitesse de la lumière.


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Ok, finalement la cosmologie fait appel à des concepts un peu déroutants et difficilement imaginables.

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Jarodd a écrit :



Je suis prêt à participer financièrement si un vol simple y amène Eric Ciotti.



Pourquoi tant de haine vis à vis d’éventuels extra-terrestres ?

Personne ne mérite ça… <img data-src=" />



Trappist-1 : sept exoplanètes, trois en zone habitable, une découverte majeure !

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