votre avatar

Lesgalapagos

est avec nous depuis le 11 janvier 2013 ❤️

453 commentaires

Le 20/08/2019 à 15h 08

Il y a néanmoins un point qui n’a pas été traité dans le deuxième cas. En effet, le fait d’avoir une trame connue de tous, et obligatoire, pour les mots de passe des messagerie est une faute du dirigeant. Pas dans le fait que cela autoriserait un salarier à consulter les messages des autres avec une sorte d’assentiment.



Mais dans le fait qu’il y a un dirigeant n’assure pas tous les moyens possible pour protéger les données de son entreprise, dans ce cas précis, un mot de passe qui part d’une trame commune avec le nom du salarié ne peut être considéré comme un moyen fiable de sécuriser un accès, l’imposer peut donc exposer le dirigeant à une sanction.

Le 20/08/2019 à 15h 03







Ami-Kuns a écrit :



… si je dois envoyer un mail perso pendant les heures de travail, le fait de mon tel.



On parle d’une histoire qui c’est passée en 2010…


Le 19/08/2019 à 10h 12

C’est étonnant que, dans notre pays, on autorise les voleurs à si haut niveau dans l’état.

Le 22/07/2019 à 19h 32

Parce qu’il est particulièrement difficile, pour une majorité d’adultes, de définir ce qu’est un enfant, un adolescent et souvent un adulte. Entre les définitions physiologistes, psychologiste et légales…

Le 22/07/2019 à 19h 26

On retrouve des cas dans la majorité des atteintes sexuelles sur mineur par des mineurs.



On retrouve aussi cela sur les comportements de nombreux enfants qui y ont été exposés. La littérature en psychologie et en pédopsychiatrie en regorge.

Le 22/07/2019 à 19h 25

L’effet des film violent est moins important. Dans notre société, parler en famille d’un film violent est beaucoup plus facile que d’un film pornographique. Du coup l’effet nocif est largement compensé par la famille et dépend essentiellement du contexte familial.



Cela explique le côté nocif de la pornographie, conçue par et pour des adultes, sur l’esprit d’enfants et d’adolescents qui n’ont pas souvent la possibilité d’en parler avec des adultes.



Je suis fondamentalement contre toutes formes de censures. Sauf dans le cas de la pornographie vis à vis des enfants, même si cela doit nous gêner, nous adultes.

Le 22/07/2019 à 10h 58







fred42 a écrit :





  • l’enfance est la période qui va jusqu’à l’adolescence.







    Ce qui implique de savoir quand commence l’adolescence…


Le 22/07/2019 à 10h 55

A la question “es-tu sûr que c’est vraiment l’image de la femme…” la réponse est : oui et non.



Il y a effectivement une partie du porno qui va donner une image négative du sexe, et souvent de la femme comme participant soumis. Pas toujours, souvent.



Mais on a aussi une notion récurrente de soumis et dominant dans l’image véhiculée par la pornographie. Ou de légitimité du viol. Ou de légitimité de la violence dans les rapports… Il doit aussi exister des scènes “normale”, mais elles sont noyées dans le tout et rien n’indiques “ici ce film pornographique est le reflet de ce que doit être la réalité du sexe entre adultes” (et je me demande dans quel mesure faire l’amour devant des caméras peut être conforme à “la réalité du sexe entre adultes”.



L’accès à la pornographie pour les personnes non matures est dangereux pour le développement de leur vision de la relation sexuée. Et je ne suis pas certain que cela ne soit pas aussi nuisible pour certaines personnes matures sexuellement (par précaution, je précise que je ne vise personne en particulier et certainement pas toi).

Le 22/07/2019 à 10h 47

Qu’est-ce qu’un enfant ? Qu’est-ce qu’un adolescent ? En prime qu’est-ce qu’un adulte ?



Les dégâts de la pornographie consommées avant la maturité sexuelle tel qu’elle est perçue dans nos sociétés sont réels. Il est probablement trop tard pour y remédier mais ne pas l’essayer serait encore pire. Vu les dégâts, on pourrait même se demander si interdire purement et simplement la pornographie ne serait pas la solution, même si je pense que nous sommes là face à une utopie.

Le 20/07/2019 à 14h 53

Quand un état met en place un système de vol légal et met les voleurs à la tête du système.

Le 17/06/2019 à 15h 52

Je vois cela encore pire.



C’est appliquer à l’état des possibilités de passer outre des règles d’utilisation que jamais l’état n’accepterait d’une société privée.

Le 14/06/2019 à 12h 43

La “réponse aléatoire” d’ABP n’était que très rare et ne concernait que les cas où il y avait plus de candidats que de places à critères égaux.



Les deux critiques autour de ParcourSup sont :





  • Le système mutli propositions non valorisées d’un candidat. Dans APB un candidat classait ses sélection et la prise en compte était automatique. Ce n’est plus le cas dans PS et cela génère des délais importants dans l’acceptation ou pas d’une formation. De plus cela génère une frustration au niveau des étudiants qui peuvent prendre une formation qui va avoir moins d’attrait que d’autre pour être sur d’avoir qqe chose. Donc des étudiants démotivé en première année qui vont passer une année à trouver comment changer de filière.

  • L’opacité des moyens de sélection pour chaque école. Étonnamment (ou pas), la possibilité pour eux de garder secrète leur popote convient, mais ne pas pouvoir anticiper celle d’autres écoles ou formations universitaire et, donc, de ne pas pouvoir s’adapté déplait beaucoup. Ils seraient presque prêt à rendre la leur publique pour pouvoir connaître celle des autres.





    Les crédits dépendants du nombre d’étudiants et de la réussite, pouvoir en sélectionner un maximum qui vont réussir chez eux est indispensable.



    Je sais bien que 42 est la réponse à toute les questions, mais je vois mal ton intérêt dans une réponse presque systématique à toutes les opinions qui osent mettre en doute la pertinence de cet outil. Tenons-nous là l’inventeur ?

Le 14/06/2019 à 07h 54

D’où une parfaite illustration du proverbe : pour vivre heureux, vivons cachés. Le tout rapporté à l’université.



Pour avoir plusieurs professeurs (d’université) dans mes amis dont quelques-uns sont aussi directeurs de recherches, je n’en ai pas un seul qui considère que ce “truc” (parcoursup) permet un fonctionnement serein de l’admission en post bac. Le plus amusant est qu’ils en viennent a regretter APB et sa prétendue sélection aléatoire.



Il ne reste donc plus qu’à notre gouvernement à faire une réforme de l’inscription pour les études universitaires. Quoi ? On m’annonce qu’il l’a déjà fait et que cela à donné “Parcoursup”. On n’est pas sorti de l’auberge.

Le 17/06/2019 à 15h 49

“La culture, c’est comme la confiture, moins tu en as, plus tu l’étales” <img data-src=" />

Le 14/06/2019 à 08h 12

Hadopi, une des deux plaisanteries qu’il est urgent de faire disparaître. Non content de mentir sur leurs résultats inexistant voilà que maintenant ils veulent s’auto attribuer de nouvelles missions. Vu l’insuccès des premières, il ne me semble pas raisonnable de les laisser exister.



Si l’on avait réparti entre les artistes les dépenses inutiles que ce “truc” engouffre depuis 10 ans, de nombreux créateurs s’en porteraient beaucoup mieux et le téléchargement en serait au même point.



Pour terminer, l’autre truc à faire disparaître est l’assemblée des voleurs réunis sous le nom de CopyPrivé. Je pense même que c’est plus urgent à détruire que l’Hadopi.

Le 06/06/2019 à 17h 21

Le vol légal, c’est pas beau ce type de mafia ? Non seulement ils prennent de l’argent pour un dédommagement imaginaire, mais en plus ils le font avec l’aide de l’état. La camora n’a qu’à bien ce tenir, copy privé va lui ravir des marchés.



Entre cela et les abus sur le copyright, on n’est pas sorti de l’auberge.

Le 05/06/2019 à 10h 54

La censure sous prétexte de droits plus ou moins légaux.



On n’a pas fini de subir les conséquences de l’incompétences de nos gouvernants. Sauf si tout était anticipé et que cette censure était voulue…

Le 04/06/2019 à 13h 29

C’est flou comme c’est vrai !

Le 03/06/2019 à 21h 43

Je ne sais pas trop quel est le niveau de capilotraction autorisée dans les réponses, mais je suis certain qu’en cherchant un peu, on doit pouvoir imaginer des situations encore plus improbables que des statues qui auraient pu être peintes, où la peinture aurait presque disparue et ou les conservateurs ne s’en seraient pas encore rendu compte ce qui fait que l’usage d’un flache pourrai détruire les derniers piments qui auraient pu être observés (cinq conditionnels !).



Si tu avais pris la peine de lire le commentaire en entier (et je ne doute pas que tu l’ais fait), tu eusse remarqué que j’affirme que dans la majorité des musés les flash son interdits, et pas que pour protéger l’œuvre exposée, protéger les yeux des visiteurs aussi, tout comme le confort visuel (imagine la salle d’exposition flashée en permanence) et les œuvre autour de celle qui ne craint rien.



Du coup, quel est l’intérêt de la remarque quintuplement conditionnelle, si ce n’est le plaisir d’aligner trois fois Eldwin dans la réponse ? <img data-src=" />

Le 30/05/2019 à 09h 56

Auriez-vous pensé à lire l’article, le commentaire et à synthétiser la réponse ? Cela me semble légèrement hors sujet.

Le 30/05/2019 à 09h 55

Les statues ne sont pas abimées par des flach photographiques, il n’y a pas de transformation ou de dégradation possible des pigments. Les vitraux non peints n’y sont pas plus soumis et peu de musées exposent des vitraux.



Les problèmes de sur exposition à la lumière concernent essentiellement les tableaux. On voit bien dans cette argumentation, ici déployée, la volonté une fois de plus exprimée, d’utiliser un doute déraisonnables sur un fait non établi pour justifier une interdiction globale.



Et comme déjà remarqué, il est vraiment étonnant que ces dégâts ne touchent que les objets des expositions temporaires.



Si l’on suit les règlements des musées, les flash sont interdit dans l’ensemble du musée, ce qui n’empèche pas de photographier. Donc le flash maîtrisé par une interdiction est maîtrisable.



Dans ce cas l’interdiction ne se justifie en rien, si ce n’est le plaisir d’interdir. Et nous avons, là, une belle étude sociologique qui peut être menée : “Du plaisir d’interdire la prise de vue dans un espace dédié à montrer des oeuvres”.

Le 30/05/2019 à 09h 47

Ce n’est pas la question… Ben si, et c’est même la réponse. Le reste n’est que supposition et dénigrement du droit.

Le 29/05/2019 à 14h 06







Drepanocytose a écrit :



Les flashes détruisent les tableaux



La majorité des tableaux exposés sont aujourd’hui protégé par un verre organique qui protège, entre autre, des lumières trop vives des flash. Par contre, cela se fait par reflet de la lumière, retour à l’envoyeur en quelque sorte, donc photo foutu… Du coup, l’intérêt du flash, c’est pas top, même pour Mme Michu.





Drepanocytose a écrit :



point barre.



“Argument” régulièrement utilisé par ceux qui n’en ont pas (d’arguments) et qui espèrent ainsi, par un ton péremptoire, mettre fin à une discussion qu’ils ne se sentent pas en mesure de construire. Dans ce cas, pourquoi écrire ?





Drepanocytose a écrit :



Et si le preteur ne veut pas, alors fin de l’histoire.



En fait, non. En matière de patrimoine, notamment, la propriété physique d’un objet est décorrélée du droit patrimonial sur l’œuvre qui est, en France, limité à 70 ans après le décès de l’artiste. Donc aucun propriétaire d’une œuvre d’art dont l’auteur est mort depuis plus de 70 ans ne peut s’opposer à la prise ou l’utilisation de l’image. Même si beaucoup essayent.



Sinon, pour faire dans la provoc : laisse nous prendre une photo de tes miches, ca sera moche et inexploitable, et ca ne te coute rien <img data-src=" />[/quote]


Le 03/06/2019 à 17h 49

Tant que les lois seront faites par des individus qui ne comprennent rien aux problèmes, on va se retrouver avec des imbécilités inapplicables de ce type.



Le nombre de routes glissantes vont devenir exponentielles. (Ou chats errants, ou lâché de poulets, ou incident non identifiés).



L’idée de base est bonne, la réalisation impossible.

Le 20/05/2019 à 15h 14

Avoir peur de publier de tels critères n’est pas rassurant quand à l’impartialité des dits critères…

Le 13/05/2019 à 16h 14

Tant qu’il s’agit de protéger ses copains, E. Macron est capable de faire vite.



Et l’idée de rajouter la Hadopi, qui coûte très cher et n’a aucun résultats significatifs à la tête du dispositif répressif est plutôt une bonne idée, s’ils sont aussi efficace ici que sur les “piratages”, finalement, les risques seront minimes…

Le 08/05/2019 à 18h 08

Perso j’utilise Cmder qui permet d’ouvrir de nombreux shell, y compris un linux embed dans Windows.



Et on peut pré-prévoir l’ouverture d’un shell en mode admin. Tout beau, tout propre.

Le 18/04/2019 à 16h 26

Je ne suis pas certain que cela soit aussi simple à envisager que cela. Le système actuel fonctionne plutôt bien. Sauf dans le cas des musiques gratuites. C’est pour cela qu’il y a déjà eu plusieurs tentatives pour faire interdire la licence libre pour la musique.



Les sociétés d’auteurs se battent becs et ongles pour continuer d’exister alors qu’aujourd’hui, grâce à l’informatique, elles n’ont plus vraiment d’intérêt à consommer la majeur partie des encaissements pour leur fonctionnement.

Le 18/04/2019 à 06h 15







Liam a écrit :



Qu’est-ce qui interdit à un certain nombre d’artistes-interprètes, de producteurs et de diffuseurs, de se mettre d’accord pour faire gérer la rémunération équitable par un autre organisme ? Genre, au hasard, MusicMatic ? Ou même de gérer directement eux même leur rémunération équitable ? Pourquoi la SPRE et la SACEM, qui sont des organismes privés d’adhésion volontaire, auraient un monopole sur cette activité ? Ce n’est pas prévu dans l’article L214-1 pour autant que je puisse constater.







Cela impliquerait une gestion très compliquée. Il reviendrait à chaque diffuseur de savoir a qui payer des droits pour chacun des morceaux diffusés. Où alors à conclure un accord avec une société de gestion de droit et à se limiter à se catalogue. On se retrouverait alors avec ce qui est en train d’arriver pour les sites de vidéos qui ont chacun leurs exclusivité dans l’idée de vous faire prendre plusieurs abonnements. Et de relancer le téléchargement illégal.



Pour en revenir à nos diffusion, la décision prise en France a été de confier la collecte des fonds à une seule société, la SACEM charge à elle à redistribuer la manne. Là où nous avons une complication non prévue par le montage originel c’est l’arrivée de créateur qui précisent explicitement qu’ils ne veulent pas toucher de revenu de l’écoute de leurs œuvres. Ceci n’a jamais été envisagé dans le montage initial et va à l’encontre de ce qui avait été imaginé. Il n’y a pas de solution simple, sauf à accepter qu’une société de collecte puisse se substituer avec un catalogue précis à la SACEM, ce qui ne pourrait être réservé à une seule société de collecte, du coup un éclatement complet du système actuel est à prévoir.



En réalité nous allons bien au-delà d’une simple question de musique sans droits de diffusions, nous allons sur une réorganisation de tout le système de prélèvement et de payement de l’écoute d’œuvres.


Le 16/04/2019 à 15h 15

Cela va dépendre du niveau “personnelles” des données du cookies. Et on peut supposer que ce cookie est sans info personnelles et indispensables au fonctionnement du site.



Si le site est correctement fait, on doit retrouver dans la partie expliquant les cookies le fait que ces cookies existent, pourquoi ils sont présent, leur durée de présence. Et s’ils contiennent des données personnelles, la possibilité de s’en passer. Très peu de sites sont aujourd’hui conformes.

Le 10/04/2019 à 15h 05

Mes tests sur Krita datent d’il y a deux ans, depuis… il est plausible que le produit ait évolué. Pour mon travail sur de la photographie, il ne me convenait pas. Ce n’est qu’une partie limité de la création artistique !

Le 08/04/2019 à 10h 19

Gimp reste mon outil favori pour la retouche photo. Je ne veux pas payer Adobe qui est trop cher pour mon usage et je me refuse à utiliser la moindre version craquée d’un produit.

Krita n’est pas mal, mais il reste une pâle copie d’un adobe sans la force d’Adobe, sans les script de Gimp.

Le 10/04/2019 à 15h 03

Sur Twitter c’est historiquement vu comme une politesse. Tu es intéressé par moi, c’est que forcément nous avons des choses en commun donc je vais m’abonner à ton fil.

Le 10/04/2019 à 15h 01

Et on peut imaginer que ce délais ne soit enclanché qu’après le premier cycle désinscription-réinscription.

Le 18/03/2019 à 18h 50

On peut considérer cela comme une gestion chaotique d’entrepôt. On sait quand la marchandise entre et quand elle sort, il en va de même pour les voitures. Il est donc possible de prépositionner les véhicules en fonction des sorties (qui correspondent aux arrivées des avions connues lors de la dépose). Les véhicules qui vont sortir sont donc ramenés près des zones de prélèvement pendant les temps morts. Les arrivées sont stockées en vrac, sans ordre et rangées ensuite. La nuit il est largement possible à 4 robots de bouger tous les véhicules plusieurs fois.



C’est l’avantage de ce type de lieu. Cela ne serait pas aussi simple dans un parking de supermarché où l’on ne sait pas quand la voiture sera réclamée.

Le 12/03/2019 à 10h 01

On est rassuré, dans un pays qui est en train de publier une loi qui interdit de critiquer les décisions du gouvernent, censurer les moyens de communication anonyme, sous n’importe quel prétexte, c’est logique. Tellement logique qu’il n’y a plus moyen de s’en étonner. Vive les dictatures démocratiques.

Le 06/03/2019 à 16h 03

Tant qu’à faire, il est préfarable de bien configurer son logiciel de sauvegarde et de n’y pas inclure les données qui n’ont rien a y faire. Du coup, deux bénéfices : pas de sauvegarde du cache et pas de perte du cache.



Pour la troisième hypothèse, deux bons anti-virus sur le PC, c’est pas mal non plus (oui, j’en fais tourner deux).

Le 01/03/2019 à 18h 11

Quel est donc l’intérêt de vider les caches navigateurs ? Du moins pour récupérer de la place. On peut le faire pour en masquer le contenu, pour un problème de corruption, oui, là il y a un intérêt. Mais ce cache va se reconstruire très vite en fonction de votre utilisation et sera potentiellement moins performant. Du coup, si l’on veut gagner de l’espace disque il est plus intéressant de réduire la taille du cache ou de le déplacer.

Le 01/03/2019 à 10h 15

Si on supprime la notion “mineur” on peut traduire par YouTube prive 20% de l’humanité de droit à la parole.



Parfois un changement de point de vue peut faire apparaître des questions.

Le 21/02/2019 à 10h 47

Que voilà une utilisation abusive, une de plus, d’un droit de la propriété dans l’objectif de faire taire une critique argumentée.



Et ce n’est qu’un début.



La censure est en train d’utiliser le masque de la propriété intellectuelle et la nouvelle directive européenne ne va pas être en reste, bien au contraire. Les beaux parleurs ont encore de beaux jours devant eux, les critiquer va devenir impossible.

Le 15/02/2019 à 15h 18

Il semblerait que les voleurs soient en passe de gagner.

Le 13/02/2019 à 09h 24

Pourquoi confier l’organisation de l’accès à la presse à Apple me semble une tellement mauvaise idée ?

Le 13/02/2019 à 09h 19

A force de vouloir tout régler par la loi et par l’interdiction, on va finir par imaginer que, parce qu’une personne est élue, elle devient omnipotente… D’ici à ce que l’on ait une loi sur la manière de ce tenir devant un urinoir…

Le 11/02/2019 à 16h 28

La démonstration que les besoins des citoyens n’a jamais été une préoccupation pour la république en marche.

Le 30/01/2019 à 16h 19

On paye vraiment des mecs pour faire ça ? Et ils ne regardent pas avant ce qui existent déjà ?



C’est pas possibeleu …

Le 25/01/2019 à 15h 53

Et dire que j’ai travaillé et développé sur une LISA…

Le 18/01/2019 à 11h 52

Et hop, ils ont compris qu’ils allaient gagner moins ! Ne jamais oubliez qu’en cas de payement, ils ont une commission, en cas de remboursement ils ont une deuxième commission. Pas fou les loups de la finances, tant qu’ils peuvent bouffer leurs commissions…

Le 17/01/2019 à 19h 11

Pourquoi cela a-t-il mis aussi longtemps à arriver ? Réfléchissons.



Qui gagne à tous les coups lorsqu’un payement par carte bleu est effectué ? Qui gagne deux fois si un payement CB est annulé ? Et bien oui, dans le lot des gagnants il y a les banques, les psp et les groupement (CB, Visa, Master card). Du coup, mettre fin à un des “machins” qui rapporte, c’est difficile.



Du coup on peut se réjouir de la proposition de Mastercard.

Le 17/01/2019 à 19h 06

Ca c’est du teaser, Zarathustta va se retourner dans sa tombe.

Le 16/01/2019 à 18h 43

Comment peut-on avoir des représentants aussi incompétents ? Ce texte prétendument censé protéger les journaux et les journalistes va en faire ses premières victimes. Si un journal, un article ne peut plus être visible, il ne peut qu’être invisible et disparaître, faute de lecteur.



Adieu la presse.