votre avatar Abonné

Sans intérêt

est avec nous depuis le 29 novembre 2013 ❤️

875 commentaires

Le 02/08/2019 à 03h 07

De ce que j’ai compris, en effet, les prix habituellement affichés aux Etats-Unis (ou au Canada) le sont en HT. À cela s’ajoute la TVA fédérale et la TVA locale. À une lointaine époque, Amazon profitait de l’absence de TVA locale sur les produits livrés hors de l’Etat d’où la commande était achetée et/ou expédiée. Cela ne semble plus le cas aujourd’hui.



Cela étant, j’ai quand même l’impression que les entreprises américaines considèrent l’Europe comme une vache à lait, proposant des tarifs plus importants qu’aux Etats-Unis, pour des raisons qui les regardent (et qui dépassent très largement les frais de douane ou autres frais fiscaux).

Le 01/08/2019 à 15h 38

Les “bas prix sur Amazon” est une idée assez répandue. Pourtant, ce ne sont pas les plus bas du marché. Parfois même, loin de là. En revanche, l’enseigne communique souvent sur ce sujet. En fait, les prix sont volatiles, que ce soient ceux d’Amazon même, ou ceux des vendeurs tiers.

Le 24/07/2019 à 16h 40

En effet, police et justice ont accès à nos vies privées, car celles-ci sont désormais devenues publiques, du fait de la méconnaissance de la plupart d’entre nous des options de configuration des réseaux sociaux et de la désinvolture des conséquences concrètes sur nos vies. Quand bien même ces comptes avaient été protégées, une requête de police ou de la justice, si elles avaient été motivées, ou que les réseaux sociaux avaient été peu regardants, aurait probablement suffit à obtenir ces mêmes informations.



Cette surveillance permanente nous oblige à nous censurer, à rentrer dans le moule. Et nous empêche de nous rebeller contre une société qui pourrait s’avérer injuste. Il n’est donc pas très opportun de laisser police et justice creuser dans nos vies, quand celles-ci nous apparaissent privées, probablement sans nous douter que les informations sont en accès public.



J’ai récemment déménagé. Je ne te cache pas que j’ai failli formuler des requêtes liées au droit à l’oubli pour faire disparaître certaines pages des résultats de recherche des divers moteurs. Non pas qu’on y relate des choses illégales ou scandaleuses, mais parce qu’on y relate des choses pouvant déplaire… à un éventuel propriétaire qui pourrait me refuser un logement.



Faut-il réglementer ? Hum… Je l’ignore. Pour autant, donner des conseils individuels semble difficile, vue la pression qu’il y a à être présent sur les réseaux sociaux et d’y dévoiler sa vie aux yeux de tous. Bref, je n’ai pas de réponse.

Le 24/07/2019 à 12h 45

En tant qu’étranger habitant en France (mais, ressortissant de l’UE, n’ayant plus besoin d’un titre de séjour ; je comprends bien que cela ne fait pas de moi un spécialiste de l’immigration, hein !), cette décision ne me choque pas particulièrement.



Au vu des arguments relatés dans l’article, le comportement de l’intéressé semblait clairement inapproprié, et si l’on peut l’envoyer ailleurs, vu les faits relatés pour l’ordre public, ce n’est pas particulièrement gênant. Il est regrettable cependant qu’il en soit arrivé là, et que l’expulsion de fait paraisse nécessaire.



Ce qui est très intéressant, en revanche, d’où l’intérêt de la parution de l’article sur Next INpact, c’est qu’en effet, les services scrutent désormais les réseaux sociaux dans leurs enquêtes. J’avoue ne pas avoir d’avis tranché sur la question. Mes commentaires sur Next INpact, ou sur les blogs, ou sur Facebook, ou encore mes “likes” sur Twitter seraient-ils scrutés avec zèle si je devais demander la nationalité français ? J’ai dû en dire, des bêtises, sur les milliers d’interventions que j’ai faites. Et sortis du lot, j’aurais certainement du mal à m’en justifier, faute de me rappeler du contexte.



Certes, je n’ai pas aimé des décapitations, des photos volées, ou je ne sais quel apologie du terrorisme, mais n’ai-je pas partagé ou aimé un article jugé éventuellement “anti-police”, en ces temps où éborgner un manifestant est devenu la règle, plutôt qu’exception ? Doit-on s’inquiéter tout de suite des dérives potentielles, ou bien seulement si elles devaient se produire, dans quel cas il serait sans doute trop tard ?



Bref, si scruter les réseaux sociaux paraît utile dans le cadre d’une enquête plus approfondie motivée par un passé dangereux avéré ne me choque pas, fouiller dans la vie des gens dont on ne connaît rien de scandaleux en amont dans l’espoir d’en trouver sur les réseaux sociaux me semble plus gênant.

Le 23/07/2019 à 14h 40

Je fais confiance à l’incompétence des implémentateurs d’un tel système, en particulier pour y stocker un maximum d’informations totalement sans lien avec le but recherché. <img data-src=" />

Le 19/07/2019 à 13h 30

Vivement qu’un tel dispositif se fasse pirater, et que la liste des films consultés par les Ministres et Parlementaires devienne publique.

Le 11/07/2019 à 09h 48

Merci d’avoir expliqué ces quelques aspects de la CADA. Je comprends mieux pourquoi les avis prennent du temps. Le budget limité semble donc être un point limitatif. En revanche, je ne comprends pas pourquoi certains intervenants n’y siègent qu’à temps partiel ou de manière ponctuelle.

Le 11/07/2019 à 09h 30

J’ai beau être pour la liberté de choix et permettre aux utilisateurs de choisir par eux-mêmes les logiciels à installer, l’avantage d’une boutique “officielle” centrale est la facilité et la vitesse de réaction. Google Play, du moins, tente d’endiguer la propagation de ce genre de saletés. Mais la plupart des protections visent à protéger le business de Google, plus que l’intérêt des utilisateurs…

Le 01/07/2019 à 15h 26

En effet, les motos et les mobylettes produisent probablement plus de pollution sonore que les voitures. Toutefois, je me serais bien passé de tous ces sons parasites. Demeure la question : est-ce que la sécurité routière est amélioré avec cette pollution sonore, fut-ce-t-elle limitée ?

Le 01/07/2019 à 10h 18

J’ai un doute quant au rapport bénéfice/risque. Le bruit est une plaie dans les villes. Augmenter artificiellement ce bruit, dans nos centre villes de plus en plus piétons ou mixtes, ne paraît pas être pertinent. Est-il démontré qu’un niveau de bruit minimum améliore la sécurité routière ?

Le 01/07/2019 à 10h 10



Les trois parties n’auraient « pas trouvé que le système avait des défauts ».





Tout va bien alors : c’est donc le fonctionnement normal d’une Tesla.

Le 27/06/2019 à 11h 45

Tiens, puisqu’on parle de photo montages, quelqu’un sait ce qu’il est arrivé de la plainte de Quantic Dream ?

Le 25/06/2019 à 13h 56

Je parle bien de la publicité dans l’espace public. Celle-ci n’a jamais permis d’éviter les pénuries. La publicité vise à se faire connaître et donner envie d’acheter au détriment du concurrent, pas de résoudre un quelconque problème sociétal.



Comment faire pour faire connaître son produit ? Faire appel à la presse. Notamment par des tests. À l’instar de ce que fait une association de consommateurs telle que UFC-Que Choisir, qui ne vit pas de la publicité. Ou par des salons. Par exemple. Cela permet de toucher le public visé (car a priori intéressé par le produit proposé), plutôt que d’inonder toute la population sans discernement.



Enfin, il ne faut pas être écologiste ou même comptable pour comprendre que sur une planète aux ressources finies, pousser à une consommation infinie n’est pas concevable.

Le 25/06/2019 à 11h 52

L’interdiction des dispositifs publicitaires numériques dans les rues et les enseignes de magasins serait effectivement la bienvenue, ces dispositifs étant particulièrement intrusifs et anxiogènes.



Cependant, de manière générale, il serait intéressant d’interdire la publicité dans l’espace public, qui favorise la surconsommation, et par conséquent la surproduction. Car il ne s’agit plus de baisser une consommation énergétique marginale, mais bel et bien changer nos modes de vie, pour empêcher, ou du moins limiter, l’épuisement des ressources.

Le 22/06/2019 à 10h 59

De ce que je comprends, le projet de loi Mobilité se propose de légaliser ce qui est illégal aujourd’hui, afin de protéger les plateformes. Car je ne vois pas en quoi cela protégera les salariés déguisés en entrepreneurs, que la loi actuelle, manifestement, protège déjà.

Le 07/06/2019 à 09h 10

Nul besoin d’habiter Paris pour comprendre que l’objectif n’est pas de faire se garer les trottinettes sur les emplacements des voitures ou des motos, mais de les éliminer net du paysage urbain. À moins d’abandonner le free floating au profit de bornes. Par exemple en reprenant celles des voitures électriques Autolib’, qui semblent être à l’abandon ?

Le 07/06/2019 à 09h 06

Ça manque peut-être de crottes de chiens, en effet. En tant que provincial, je ne peux être certain, mais je devine quand même que les panneaux de magasins sont encore écrits en français, à Paris. <img data-src=" />

Le 07/06/2019 à 08h 51

Ahem. Ce n’est pas une photo de Paris, hein. <img data-src=" />

Le 05/06/2019 à 08h 18

Cet article du Figaro indique :





Cela signifie que la moitié des chauffeurs de taxis gagnent, selon les chiffres officiels, moins de 1135 euros nets, tandis que l’autre moitié gagne plus.

Le 31/05/2019 à 20h 31

Ce qui est étonnant, c’est que le modèle économique du taxi est déjà un travail difficile et économiquement fragile. Alors baisser les tarifs pour les clients et rajouter sa marge par dessus pour les chauffeurs ne peut être rentable pour ces derniers, et ne semble pas non plus rentable pour la plateforme. On peut comprendre l’intérêt d’Uber pour la voiture autonome, mais celle-ci coûte très cher et ne semble pas être suffisamment avancée pour remplacer les chauffeurs.



Bref, j’ai l’impression que c’est un puits sans fond, qui ne peut être rentable, en aucune façon, avec le modèle économique actuel.



Du coup, investir dans ce genre d’entreprises côtés mène à quoi ? De la pure spéculation technique ?

Le 31/05/2019 à 10h 38

Je suis perplexe quant à l’intérêt de telles sommes dans un logiciel doublé d’un service certes utiles, mais… ça ne reste qu’un outil finalement assez banal, et que la croissance organique devrait être en mesure de financer.

Le 23/05/2019 à 08h 45

OVH a 27 datacenters dans le monde, dont deux d’une capacité de ~400 000 serveurs à Gravelines et au Québec. La capacité totale est d’un million de serveurs selon la page de présentation de l’entreprise. Quand je suivais de plus près l’actualité de l’hébergeur, il y a une dizaine d’années, l’entreprise hébergeait plus d’un million de domaines et quarante mille serveurs. C’était déjà, à l’époque, le premier hébergeur de solutions Microsoft, avant que ce dernier ne lance Azure. Depuis, l’entreprise propose des serveurs divers, dont des solutions à base de GPU et de FPGA.



C’est dire que vraiment, en termes d’infrastructure, ce ne sont pas les acteurs européens et nationaux qui manquent.

Le 17/05/2019 à 09h 59

Leur positionnement face à la Copyright Directive m’avait déjà fait fuir, les nouveaux éléments ne m’incitent pas à y revenir. Pourtant, ce ne sont pas les acteurs européens qui manquent, en terme d’infrastructure, en particulier.

Le 29/04/2019 à 17h 39

Purée que cette publicité me paraît outrageusement choquante aujourd’hui, alors qu’à l’époque, je me souviens à peine l’avoir vue. (Du coup, cela me fait penser aux ad buddies de la série Maniac.)

Le 15/04/2019 à 09h 33







Obidoub a écrit :



C’est tellement Kerbal comme design <img data-src=" />



Source:https://wiki.kerbalspaceprogram.com/wiki/Stratolauncher







Cette source indique que le modèle du jeu est inspiré du modèle réel. <img data-src=" />


Le 08/04/2019 à 16h 50

L’un des gros avantages de Chrome est qu’il existe sous toutes les plateformes, notamment mobiles. Synchroniser un compte Google permet ainsi de mémoriser onglets et mots de passes, par exemple, et les partager entre mobile et desktop. Pas sûr, en revanche, que les gens, hors geeks, exploitent cette fonctionnalité.



Sur mobile, j’utilise cependant Firefox, qui permet l’installation d’extensions, dont les bloqueurs de publicités. Clairement, Firefox est plus lent, et de manière très sensible. Cependant, l’absence de publicités et la protection de la vie privée permettent de gagner en interface utilisateur et rattrape le coup.



À voir comment Microsoft va adapter Edge pour gagner sur le terrain mobile, de plus en plus important.

Le 02/04/2019 à 17h 23


Developers, Developers, Developers


Steve Ballmer est chez Intel, désormais ? :mdr:

Le 14/03/2019 à 10h 33

C’est légal, ça, autant de headshots dans une seule brève ?

Le 27/02/2019 à 11h 23


guildem a dit:


En même teps, avec des évolutions aussi rapides, et une architecture assez versatile, c’est normal que le consommateur s’y perde. Il va surtout retenir USB, parfois que les connecteurs bleus sont plus rapide, point :)


Oh que non. De ce que j’ai pu constater sur quelques cartes-mères passées entre mes mains, c’est que le bleu semble utilisé pour de l’USB 5 Gbps, et le rouge pour l’USB 10 Gbps. Quant aux versions exactes, je suis paumé. J’abandonne. Je ne cherche plus à savoir.



D’ailleurs, je ne fais guère mieux : le boîtier de mon PC dispose de deux connecteurs USB bleus à l’avant, qui ne sont connectés à la carte-mère qu’en USB 2 (480 Mbps), faute de connectique USB 3.x prévue à cet effet.



Ceci étant, imposer un standard ne semble pas facile.

Le 04/02/2019 à 13h 36


David_L a dit:


Deux éléments ne vont pas : On ne parle pas de donner 50 indications sur des technos, mais des caractéristiques techniques simples à comprendre : endurance, performances hors cache, détails sur la garantie (TBW pris en compte ou pas). L’information du consommateur sur les caractéristiques des produits ne peut pas passer par la presse uniquement. Imagine on te dirait ça pour les specs d’une carte graphique ou d’une carte mère ?


Les dernières fois que j’ai acheté des disques, il me semble avoir trouvé ces informations. Encore faudrait-il qu’elles aient du sens : quel consommateur sait quel est son usage habituel en termes d’écriture ? J’irai plus loin : quel consommateur sait-il ce qu’est un cache ?



Ton article le note lui-même, graphique à l’appui : la vitesse dépend du cache RAM, de caches à base de bidouilles SLC, de la température. Du coup, il faudrait indiquer non plus un simple tableau, mais un graphique. Graphique qui ne serait absolument pas représentatif des usages. Car qui écrit régulièrement 75 s d’affilé à 1,6 Go/s ? En quoi cette information est-elle pertinente pour tout autre usage ?



La standardisation des éléments à fournir de manière synthétique serait un réel problème, compte tenu, en particulier, de l’évolution des technologies. Éléments techniques qui, pour une grande part, sont déjà fournis dans les fiches techniques des produits consultables sur les sites des constructeurs. Du moins, pour les quelques (certes, rares) produits que j’ai consultés récemment. De même que pour les cartes graphiques et les carte mères.



Certes, je n’ai pas ton expertise dans le domaine, mais le consommateur que je suis n’a pas été lésé par un manque d’informations techniques de la part des constructeurs informatiques.

Le 04/02/2019 à 10h 52

Il existe en effet de très nombreuses technologies de stockage, avec de nombreuses optimisations, dont le but est tantôt de privilégier les performances, tantôt la durée de vie, tantôt autre chose. Mais j’avoue ne pas bien comprendre ce que les constructeurs sont censés fournir de plus aux consommateurs.



Lorsque l’on se penche sur les solutions de stockage, en fouillant les caractéristiques techniques, on trouve déjà de nombreux éléments de réponse. Chaque constructeur met en avant ses technologies, et les grandes marques les détaillent avec zèle.



Le consommateur a-t-il besoin d’encore plus de détails ?



J’ai beau être un consommateur averti, qui plus est informaticien de formation et, longtemps, de métier, je ne suis plus capable d’expliquer les différences subtiles entre les technologies employées de par leur seul sigle sans fouiller en détail les documentations. Il faudrait que les constructeurs en donnent encore plus ?!



Du coup, je n’attends pas plus de la part des constructeurs, mais davantage de la part de la presse, avec des tests comparatifs, dans divers scénarios, visant à identifier la perle rare qui répond au mieux de mes critères. Et même là, je n’espère pas de solution miracle, juste une solution satisfaisant mes besoins de manière correcte.



Il est un moment où l’excès d’information tue l’information, et qu’un bon compromis est la pluralité des synthèses indépendantes, en particulier issue de la presse. Presse qui, certes, semble se raréfier, dans le domaine du matériel PC.

Le 30/01/2019 à 19h 09







Kevsler a écrit :



Là j’ai pas compris. Les deux composantes primordiales seraient le RSA (coût de la vie) et les APL (logement). Pourquoi les APLs seraient optionnelles quand la prime d’activité (qui n’est censé concernée que les actifs, à la base) ne le seraient pas ? On a tous besoin d’un logement. C’est la base… le logement. La base…







De ce que je comprends, l’APL est liée au paiement d’un loyer, et non, par exemple, du remboursement d’un crédit. La fusion des diverses aides, et ce, de manière inconditionnelle, permettrait, potentiellement, aux personnes les plus démunies d’accéder à la propriété. En effet, le loyer, ce n’est que le remboursement du crédit de quelqu’un d’autre. Et impose au locataire pauvre une servitude à vie, plutôt que l’espoir de la constitution d’une épargne.



Autre point à ne pas négliger : la plupart de ces aides retranchent les revenus, y compris du capital. Du coup, un épargnant pauvre se voit retrancher ses intérêts d’épargne de ses allocations, rendant l’épargne difficile, ou du moins, non rentable, vu qu’elle devient ponctionnée de fait par l’inflation.


Le 30/01/2019 à 11h 46

Comment explique-t-on cette baisse ? Par le prix élevé des nouveaux produits ? Par l’allongement de la durée de vie des produits ? Par la réparation de produits anciens ?

Le 29/01/2019 à 13h 20

Ce qui confirme bien que la stratégie de Google est la bonne : éditer des sites web dominants et un navigateur web dominant, afin d’imposer la direction du web. Ainsi, concernant YouTube en particulier, celui-ci a changé son interface utilisateur courant 2018. Or, la nouvelle approche était étonnamment performante sous Chrome, et peu performante sous tous les autres navigateurs. Voyant YouTube ramer sous Firefox, des utilisateurs ont abandonné celui-ci au profit de Chrome. La rumeur voudrait que Google l’ait fait en toute connaissance de cause.



Malin. Ou vicieux. Qu’importe. Cela montre surtout que, lorsqu’un acteur domine, il impose sa manière de voir Internet, qu’elle soit bonne ou mauvaise.



Jadis, Opera fonctionnait avec son propre moteur. Le navigateur web supportait le protocole BitTorrent nativement. Pratique pour télécharger des gros fichiers, dont les ISO de Linux. Et puis, il a abandonné son moteur au profit d’un fork de Chromium. Et le protocole BitTorret a sauté.



À côté, Google a inventé le protocole SPDY, devenu HTTP/2. Ou encore imposé, de fait, l’usage du HTTPS. Mais pas le support de BitTorrent, qui aurait du sens, notamment sur YouTube, mais privilégierait peut-être trop les services concurrents ne pouvant s’aligner sur la bande passante et la puissance d’interconnexion de Google.



Ce que je veux dire, c’est qu’à force de mettre tous les oeufs dans le même panier, on finira par avoir un Internet centralisé, bénéficiant à quelques gros acteurs dominants, où l’innovation n’aura plus lieu d’être.

Le 29/01/2019 à 13h 00

Alors j’y vais de mon hypothèse farfelue : l’Office central de la lutte contre la criminalité informatique est infiltré par un Gilet jaune (voire un agent triple, soyons fous !) qui, après avoir vu une récente vidéo sur la réactance, a décidé de tester l’Effet Streisand sans aucun enjeu, sur un réseau mourant, juste pour en observer les effets de propagation. <img data-src=" />

Le 28/01/2019 à 14h 28

Je suis étonné de voir un “amendement anti-Huawei” alors qu’il n’y a rien eu de tel concernant les actes d’espionnage massif et ciblé documentés par les Etats-Unis mettant en péril la sécurité des Etats (Allemagne) et de l’Union européenne (Parlement européen). Bien au contraire, et malgré le Cloud Act américain, la France en particulier continue à s’appuyer massivement sur des technologies américaines, que ce soit au niveau de l’Armée, ou de l’Education nationale, pour ne citer que deux secteurs-clés.

Le 24/01/2019 à 18h 43

En tant qu’ancien chef d’entreprise, je peux comprendre le besoin de flexibilité des ressources, y compris humaines. Toutefois, il est difficile de ne pas considérer les conséquences sur la vie des individus et de leurs familles par la perte d’un emploi. Ou alors, il faut manquer cruellement d’empathie.



De ce que je comprends de la lettre, le but est d’éviter de lever des fonds, à savoir d’éviter de diluer les parts des actionnaires actuels. Reformulé autrement, il aurait été possible de conserver ces emplois dont on salue l’intérêt, mais au détriment d’une perte de contrôle des actionnaires actuels de la boîte. L’auteur du courrier félicite ses collaborateurs de l’avoir rendu riche, mais préfère les virer pour ne pas avoir à partager cette richesse même pas avec les collaborateurs, mais avec de nouveaux entrants au capital.



Comment éviter ce genre de situations ? Je l’ignore. L’appât du gain est un moteurs économique important. Peut-être serait-il utile de rendre les licenciements plus onéreux ? Ou bien, indépendamment des licenciements, augmenter l’assurance chômage, afin que la transition entre deux emplois puisse se faire sans douleur ?



Je n’ai pas de solution au problème, mais ce courrier fait mal à lire.

Le 17/01/2019 à 19h 08

import cv2



Et hop, tu as ton “intelligence artificielle” en Python !

Le 16/01/2019 à 18h 10

S’ils continuent dans cette voie de l’augmentation des prix, je risque de ne plus pouvoir suivre. Autant Netflix est une plateforme intéressante, autant, comme le stipule l’article, des concurrents existent.



Depuis quelques mois, je commence à lorgner du côté des DVD à prix cassés, en particulier de vieilles séries. Ainsi, pour 20 à 40 €, on trouve d’excellentes séries complètes, soit 50 à 100 heures. La dématérialisation reste une étape longue et pénible (surtout si l’on inclus le transcodage), et implique de tenir compte de la RCC dans le coût, mais c’est une piste d’économies pour les vieux nerds fauchés, mais motivés.

Le 07/01/2019 à 18h 48



Notons que ces jeux en ligne sont mis à jour automatiquement par leurs éditeurs. Exploiter des failles connues peut donc être compliqué.



Les mises-à-jour sont faites automatiquement sur les jeux récents et dont le serveur est centralisé par l’éditeur. Toutefois, ce n’est pas le cas de tous les jeux vidéo.



Outre les Counter Strike et consorts qui peuvent être auto-hébergés, il y a aussi d’autres jeux très populaires, dont Minecraft, pour lequel il existe un très large marché de location de serveurs pré-configurés qui ne sont probablement pas infaillibles. Moi-même, j’ai installé un serveur pour le jeu Factorio, qu’il faut mettre à jour manuellement.



En complément, il existe aussi des jeux pirates, aux failles plus difficiles à combler de par le principe même de l’obtention illicite de l’exécutable de la partie serveur. Je pense en particulier aux serveurs “privés” de WoW.

Le 06/01/2019 à 15h 39


KaKi87 a dit:


Manque plus que la coloration syntaxique ;)


Si le site devait comporter davantage de bouts de code, la coloration syntaxique serait en effet la bienvenue.



En complément, il serait utile de faire en sorte que le code ne sorte pas de ses cadres, et de permettre son affichage complet, plutôt que tronqué, en y ajoutant des barres de défilement.

Le 29/12/2018 à 15h 26


David_L a dit:


Franchement, ça me semble un faux problème mis en avant depuis longtemps par certains. A titre perso, je n’ai jamais vu un smartphone sauter parce que seule sa puce Flash avait planté, et je ne vois pas en quoi un stockage externe complémentaire aurait sauvé l’affaire. […]


Sauf lorsqu’ils tombent définitivement en panne (comme le dernier en date, mort sans raison apparente, peut-être un défaut de Flash, mais je n’en sais rien), je conserve mes mobiles aussi longtemps que je peux, et essaye de les recycler en leur redonnant une seconde vie, plutôt que de les jeter. L’un de mes mobiles sert toujours comme tel, malgré ses 5 années révolues.



Si je ne peux avouer ne pas avoir vu de téléphone tomber en panne à cause de la mémoire flash interne surmenée (comment, d’ailleurs, pourrait-on le diagnostiquer, au niveau de l’utilisateur ?), la technologie flash s’use par les écritures, limitées en quantité. Certes, habituellement, le contrôleur est suffisamment malin pour rallonger la durée de vie du stockage malgré des pertes importantes.



Néanmoins, pour donner une idée du volume de données qui transitent sur la mémoire Flash que j’essaye d’économiser, sur l’année 2018, encore en cours, je frôle 200 Gio de photos et vidéos réalisées par mes soins, qui ont transité majoritairement par ma carte microSD, avant d’être sauvegardées localement et dans le cloud. Cela dépasse, je devine, la moyenne des usages.

Le 28/12/2018 à 23h 14


KP2 a dit:


Spéciale cass-dédi à tous qui pensent sincèrement qu’une microSD « c’est pareil que le stockage interne » dans un téléphone ou que « 200€ pour 256Go de stockage interne, c’est de l’arnaque alors que ça vaut 50€ si on prend une microSD » et pis « chez moi ça marche bien comme ça » :love: sur vous, changez rien. Vous êtes parfaits…


Le stockage interne des téléphones repose sur une technologie légèrement différente : la mémoire flash eMMC, qui intègre contrôleur et flash sur un même module.



Ceci étant, s’il est courant que ces solutions soient plus rapides et/ou moins gourmandes en énergie que les cartes SD ou microSD, je ne saurais l’expliquer, sinon que de le constater et faire des suppositions.



Notons tout de même que le stockage interne (flash eMMC) a pour inconvénient majeur d’être non remplaçable (par le commun des mortels, du moins). Or, quelle que soit la technologie de stockage flash employée, elle s’use lors des écritures. C’est la raison pour laquelle je préfère, sauf exceptions, enregistrer mes photos et vidéos mobiles sur carte microSD, plutôt que sur la mémoire interne du téléphone. Dans l’espoir (peut-être naïf ?) d’en rallonger la durée de vie.

Le 28/12/2018 à 21h 54


Tout d’abord avec la mention USB 3.1 qui doit faire la différence avec les produits estampillés USB 3.0. Mais ces clés sont annoncées avec un débit maximal de 420 Mo/s en lecture, 380 Mo/s en écriture. Pour rappel, l’USB 3.1 Gen 1 (ou USB 3.0) affiche un maximum théorique de 5 Gb/s (soit 640 Mo/s). Le double pour l’USB 3.1 Gen 2 : 10 Gb/s, 1,3 Go/s.



Bref, parler d’USB 3.1 plutôt que 3.0 sur ce produit n’a aucun sens, à part tenter de tromper le consommateur sur une amélioration technique qui n’existe pas vraiment.


Je ne connais pas les performances des clés USB 3.0 et USB 3.1, mais en USB 2.0, le protocole a beau tourner à 480 Mbps, la vitesse de transfert maximale lors des transferts de fichiers ne dépasse guère 35 Mio/s. Bref, j’ai l’impression que le transfert de fichiers encapsulé dans de l’USB est particulièrement peu performant.



Peut-être, d’ailleurs, une idée pour un prochain article, qu’un comparatif de performances des diverses clés USB en USB 2.0, 3.0 et 3.1 ?



Toujours est-il que celui-ci, d’article, est rudement chouette, original, et donnant une solution impressionnante de performances à un prix raisonnable.



Je m’étonne, toutefois, que l’aspect RCP ne soit pas abordé, en particulier l’impact de celle-ci sur le prix de la clé USB, là où le SSD en M.2 nu ne semble pas concerné.

Le 22/12/2018 à 19h 33



L’exécutif soutient que ce nouvel accord permettra de lutter contre le piratage « en rendant plus rapidement disponibles les œuvres ». Aucune révolution ne se dessine néanmoins, alors que les services en ligne de type Netflix contournent toujours le système classique, en esquivant toute sortie en salles.





Bien vu, de faire perdurer un système qui, selon l’aveu même de l’exécutif, pousse au piratage. <img data-src=" />

Le 17/12/2018 à 14h 38



Néanmoins, les gabarits faciaux, qui servent de comparaison avec l’image captée par la caméra, seront « enregistré sur un support individuel », à savoir un badge ou une application smartphone. Ces données biométriques resteront donc entre les mains des utilisateurs.



Depuis quand les apps mobiles se contentent de stocker les informations personnelles sur le mobile, sans les transmettre sur un serveur distant ? <img data-src=" />

Le 05/12/2018 à 12h 39

Je roule en trottinette électrique pour aller chercher à manger dans mon fastfood favori, qui se trouve à deux kilomètres de chez moi.



Une partie de la route seulement dispose de pistes cyclables, et l’appareil est incapable ne serait-ce que d’atteindre 20 km/h. Qu’importe.



Le fastfood est dans la ville voisine, matérialisée par un panneau. Je veux dire : c’est la même agglomération, et sans ce panneau, personne n’aurait imaginé qu’il y a une limite de deux villes. Ledit panneau se trouve d’ailleurs le long d’une piste cyclable, ou d’un trottoir, impraticable. Notamment du fait de la présence du panneau. Qu’importe.



Dois-je conclure qu’à l’avenir, je dois m’informer des arrêtés municipaux avant de partir en chasse au sandwich, quitte à changer de voie au niveau du panneau, car notre Ministre considère que chaque maire doit amender le code de la route à sa guise, suivant les infrastructures présentes ou pas ?

Le 05/12/2018 à 11h 59

Cela fait plaisir à lire. Autant je suis contre les optimisations fiscales visant à faire baisser la TVA en ajoutant des offres de presse dont l’abonné n’a même pas conscience, autant je ne peux que me réjouir que la taxe privée qu’est la RCC puisse être intégralement évitée.



Cela dit, il est fort probable que lors d’une prochaine réunion de la commission, cette taxe soit adaptée en conséquence.

Le 28/11/2018 à 11h 44

Hé hé. C’est une piste, en effet. <img data-src=" />

Le 28/11/2018 à 11h 16

L’un des soucis que j’ai constaté avec un proche jouant à un (un autre) FPS sur mobile : la surchauffe du mobile, au point qu’il soit définitivement grillé. Il ne s’agit donc pas seulement d’avoir une dalle capable d’un rafraîchissement suffisant, mais aussi d’un téléphone qui puisse dissiper toute la chaleur que les apps gourmandes engendrent.