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Rowin

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247 commentaires

Le 23/05/2024 à 15h 13

Et Bruno fustige.

Non, Bruno demande ! Et Bruno convoque de temps en temps

Le 23/05/2023 à 15h 46

A ma connaissance, exclusivement pour du calcul scientifique. Genre modèles météo.

Le 17/05/2023 à 08h 08

Ce qui est beau, c’est que même si techniquement la France, via la CNIL, est le deuxième moins bon élève, c’est presque invisible tellement l’Irlande est loin devant.

Le 02/05/2023 à 07h 36

Quand j’ai installé Ubuntu pour la première fois, on en était déjà au M, avec Maverick Meerkat, ce qui veut dire qu’on a fait le tour de l’alphabet, donc que ça fait 13 ans :phibee:

Le 24/04/2023 à 09h 24


Berbe a dit:


L’autorité fait ce qu’elle peut.



Toute autorité de “contrôle” sans moyens adéquats d’action et/ou de sanction n’est (plus) là que pour un faux-semblant.


La CNIL a pouvoir de sanction, contrairement à la cours des comptes par exemple.

Un pouvoir de sanction contre les entreprises, oui. Contre l’administration, je n’en suis pas sûr !

Le 21/02/2023 à 08h 37

Quoi ? On met en place une plate-forme qui n’est pas distribuée par les FAI, les mêmes qui distribuent Netflix et Disney+, et on s’étonne que ça ne marche pas ? Étonnant.

Après c’est aussi une histoire d’oeuf et de poule : est-ce que les FAI ne distribuent pas Netflix et Disney+ justement parce que ça intéresse les gens ?

Le 13/02/2023 à 10h 07

C’est pas tellement le problème de la CNIL. On lui demande si c’est possible de mettre des caméras de surveillance dans les chambres des résidents des EHPAD, elle indique dans quelles conditions ça peut être possible.



Aux établissements de respecter ce cadre et notamment de prouver la proportionnalité du dispositif envisagé (ce qui comprend entre autre d’expliquer ce que c’est censé résoudre)

Le 24/01/2023 à 16h 32

Petite précision, les USA ne sont pas exactement en 120 V, plutôt en 240 V mais réparti entre deux phases à +120 V et -120 V.
Et ensuite les prises sont soient reliées entre une phase et le neutre, pour fournir du 120 V, soit directement entre les deux phases pour fournir du 240 V (pour les appareils qui consomment plus, pour éviter d’avoir des courants trop important à leur fournir).



Bref, comme d’hab, ils font rien comme tout le monde !

Le 20/01/2023 à 09h 20

Maintenant vu la faible conso des écrans, ça n’a plus trop d’intérêt sur smartphone.



En revanche et par exemple c’est adapté aux montres connectées, stations météo, et tout appareil devant consommer très peu et avec un affichage qui ne se met pas souvent à jour.

D’ailleurs, quelqu’un sait où acheter des écran e-ink de taille raisonnable, genre pour des applications domotiques ? J’en ai trouvé que des tout petits formats, genre 1 pouce ou 2, ce qui n’est pas très pratique

Le 06/01/2023 à 12h 57

Pour un environnement interne de pré-prod ça peut s’envisager, et encore avec des mesures de précautions pour s’assurer que rien ne sorte et que les données soient supprimées lorsque plus nécesssaires.



Des données personnelles vers un prestataire de formation, c’est n’importe quoi. Déjà quelle formation nécessite absolument un jeu de données avec 180 données différentes et plus de 10000 entrées ? Et si c’est vraiment le cas, ça se prépare et suivant la typologie ça peut être assez simple, notamment avec de l’aléatoire sur des listes (prénom, nom, code postal, …).

Il s’agissait d’une formation au langage R pour les statisticiens de la CAF, donc en soit qu’il y ait une besoin d’un aussi gros jeu de données, ça n’est pas surprenant. Maintenant, on peut effectivement s’interroger sur l’utilisation de données réelles ou en tout cas pas assez anonymisées/pseudonymisées, ainsi que sur les relations avec le prestataire, à qui on aurait dû préciser qu’il s’agissait de données réelles et encadrer le transfert.

Le 28/11/2022 à 09h 24

12 jours c’est pas très long, mais ce que critique Edwy Plenel, c’est la dissymétrie : 5h pour prononcer la censure en se passant du contradictoire, puis plus de 10 jours pour revenir dessus.

Le 08/11/2022 à 15h 29

Juste pour clarifier : c’était une plaisanterie

Le 07/11/2022 à 09h 25

Dans ce cas précis, rejoindre l’itinéraire autoroute était aussi long que rejoindre l’itinéraire “nationale”, aucun détour (juste pas la même sortie à un rond point, et pareil à l’arrivée). Il est évident que rouler régulièrement à 80 consomme moins que rouler régulièrement à 110 (carré de la vitesse, touça). Sauf qu’en itinéraire “nationales”, tu as aussi des villes, villages, lieux dits à traverser. Donc passager à 70, 50, 30, 50, 80, 90, feu, stop, dos d’âne, chicanes, etc, toutes choses que tu n’as pas sur l’itinéraire autoroute.
Je peux me tromper (après tout, je ne suis pas mécanicien, loin de là), mais il me semble que redescendre en 1ère, redémarrer, relancer jusqu’à 30/50/80, c’est pas neutre non plus niveau conso.

Faut prendre le meilleur des deux mondes : rouler à 80 km/h sur l’autoroute :chinois: (et tant que tu prends pas la voie de gauche, c’est autorisé)

Le 07/11/2022 à 13h 58

IL est fait mention dans l’article que la dérogation sera vérifiée avant envoi du pv:



Les dernières ne déduisent le droit ou non d’un véhicule à pénétrer la ZFEm qu’après la lecture de la plaque d’immatriculation et le croisement de cette information avec le niveau de pollution du véhicule détecté ou son éventuelle présence dans la liste des dérogations.



Pour info, c’est pareil pour les radars “poids lourd”, les camping car peuvent être pris à tort pour des poids lourds (pour la hauteur) et être flashé car roulant > de la vitesse poids lourd mais < à la vitesse voiture, heureusement c’est contrôlé avant envoie du pv automatiquement, il en sera de même là je suppose.

Tout le problème vient de cette fameuse liste des dérogations…

Le 07/11/2022 à 10h 02

Et bonjour la complexité pour gérer les dérogations !



A titre personnel, je gère la flotte d’une association de secourisme (agréée de sécurité civile), qui compte pas mal de vieilles charrettes très mal classées, genre Crit’air 5, voir pas de Crit’air du tout. Mais le préfet accorde une dérogation aux véhicules des associations agréées. Autant quand c’est la police qui nous arrête (ce qui n’a pas beaucoup de chances d’arriver) on peut facilement expliquer la situation autant face à une caméra… ça va être sympa de devoir envoyer une réclamation pour chaque PV qu’on recevra (sauf si le préfet nous demande de fournir les immats des véhicules concernés, ou si il recoupe avec le fichier des cartes grises pour exclure les associations, mais j’ai des doutes)

Le 31/10/2022 à 08h 32


(reply:2101959:Ami-Kuns)
Une belle preuve d’intégration donc


Le 20/09/2022 à 13h 02

Comme avant : pour espérer falsifier un bloc, il faut, statistiquement, posséder plus de 50% des ETH mis en gage.

Le 12/08/2022 à 13h 55


Fabimaru a dit:


on a obligation de passer par un conciliateur de justice (des bénévoles dont on peut applaudir le dévouement)


Bénévoles et, il me semble, même pas défrayés !

Le 08/08/2022 à 08h 09

Pourquoi ?

Le 29/07/2022 à 08h 04


(reply:2086035:Ami-Kuns)


Faudra en parler à la SACEM, si les prostituées diffusent de la musique dans la camionnette, elles sont bonnes pour passer à la caisse !

Le 29/07/2022 à 07h 38

Sans animosité aucune, je pense que tu n’as pas compris mon propos, ni lu ou compris l’article L227-24 du code pénal, donc décortiquons-le.



Texte entier :




Le fait soit de fabriquer, de transporter, de diffuser par quelque moyen que ce soit et quel qu’en soit le support un message à caractère violent, incitant au terrorisme, pornographique, y compris des images pornographiques impliquant un ou plusieurs animaux, ou de nature à porter gravement atteinte à la dignité humaine ou à inciter des mineurs à se livrer à des jeux les mettant physiquement en danger, soit de faire commerce d’un tel message, est puni de trois ans d’emprisonnement et de 75 000 euros d’amende lorsque ce message est susceptible d’être vu ou perçu par un mineur.



Lorsque les infractions prévues au présent article sont soumises par la voie de la presse écrite ou audiovisuelle ou de la communication au public en ligne, les dispositions particulières des lois qui régissent ces matières sont applicables en ce qui concerne la détermination des personnes responsables.



Les infractions prévues au présent article sont constituées y compris si l’accès d’un mineur aux messages mentionnés au premier alinéa résulte d’une simple déclaration de celui-ci indiquant qu’il est âgé d’au moins dix-huit ans.


Comme c’est toujours peu agréable à lire, on va aérer tout ça :



L’article indique que le fait de :




  • fabriquer

  • transporter

  • diffuser

  • faire commerce



sans distinction du :




  • support

  • moyen



un message à caractère :




  • violent

  • incitant au terrorisme

  • pornographique

  • y compris la zoopornographie

  • pouvant porter atteinte à la dignité humaine

  • pouvant inciter des mineurs à se livrer à des jeux les mettant physiquement en danger



est puni de 3 ans de prison et 75 000€ d’amende s’il est susceptible d’être vu ou perçu par un mineur.



La suite de l’article indique que l’autorité de régulation du secteur d’activité concerné est compétente pour traiter le sujet.



Enfin, le dernier point est celui ajouté en 2020 qui indique que l’infraction reste constituée si l’accès résulte d’un simple déclaration revendiquant une supposée majorité légale.



Dans tous cela, il n’y aucune notion de cause ou de conséquence : tous les types de message sont caractérisées par la loi et leur propagation aussi.



Si je reprend mes exemples que tu estimes comme hors sujet :




  • Les moteurs de recherche sont en infraction car on peut désactiver leur filtre de contenu adulte, et donc leur permettre de diffuser un message à caractère pornographique à des mineurs. Sur Bing, la désactivation du filtre est confirmée par une simple déclaration de celui-ci indiquant qu’il est âgé d’au moins dix-huit ans.

  • Même chose pour Twitter qui avait fait l’objet d’un article ici-même d’ailleurs

  • Les défis ou challenges qui pullulent sur les médias sociaux sont susceptibles d’inciter des mineurs à se livrer à des jeux les mettant physiquement en danger. Les faits divers de gamins ou adultes qui se sont blessés ou tués à la suite de ces “défis” ne sont hélas pas rares à travers le monde.

  • Le dernier exemple de message à caractère violent que j’ai moi-même rédigé peut être lu comme une menace contre l’intégrité physique d’un ou plusieurs élus de la République



A aucun moment il y a considération que ces actes sont plus ou moins graves, ils sont écrits dans le Code Pénal qui est d’application stricte. Seule la peine qui est une valeur maximale peut être adaptée. Moi-même je ne relativise rien puisque je ne fais que de lire l’article L227-24. Si la pornographie avait un caractère absolu vis à vis du reste de la liste, elle aurait fait l’objet d’une interdiction distincte.



Néanmoins je note une évolution de ton propos. Avant tu répétais que “c’est la loi” et que leur “business n’est pas viable” et qu’il “viole la loi” d’une façon très affirmative. D’où le fait que je manifestais un profond désaccord car la portée de cette loi va au-delà de la pornographie et peut mettre en insécurité juridique de nombreux acteurs. Maintenant tu indiques que c’est ton avis personnel et ça je le respecte. Tout comme je respecte celui des personnes qui estiment que la pornographie devrait être interdite dans son ensemble, c’est leur droit d’expression le plus strict aussi. Mais j’ai le droit de ne pas être d’accord avec leurs arguments ou point de vue.



A titre personnel j’estime que tous les messages caractérisés par l’article L227-24 sont nuisibles au développement d’un mineur en l’absence d’une capacité à bien les comprendre et les interpréter. Le cerveau d’un enfant avant l’adolescence est une éponge qui enregistre tout sans discrimination, c’est normal de les protéger de tels contenus. L’ado est déjà plus en capacité d’avoir un esprit critique et rationnel et peut donc acquérir les clés de lecture de ces contenus moyennant l’éducation adaptée. Tout comme j’estime aussi qu’il est dangereux de ne pas éduquer les adolescents à ce qu’est la pornographie sur laquelle ils tomberont de manière inéluctable. A dix-huit ans leur consommation de ce média est parfaitement légale en France, mais que se passe-t-il quand un humain moyen découvre quelque chose qu’il n’a jamais connu ? C’est le même problème que le fait de ne jamais dire non à un enfant, vous engendrez un névrosé qui va piquer des colères noires à la moindre contradiction ou contrariété parce qu’il n’a jamais appris à être frustré et à faire face à cette émotion primaire.



Mais à titre personnel, j’estime aussi que la protection des mineurs ne doit pas se faire uniquement par le biais des interdictions et de la perte de droits (pour les cyniques, non, je ne parle pas de votre droit fondamental imaginaire à regarder du cul) qu’il s’agisse des libertés d’expression ou de la protection de la vie privée. C’est la raison pour laquelle j’ai beaucoup apprécié l’étude que la CNIL a publié cette semaine car elle rappelle qu’Internet est un réseau pensé pour être ouvert et faciliter la propagation de l’information et que la protection d’une population ne doit pas se faire au prix d’une perte de droits. Si le seul moyen d’appliquer une loi mal écrite est que tous les services en ligne se mettent à vérifier de manière hautement intrusive l’identité des leurs utilisateurs, on va perdre quelque chose d’extrêmement précieux. Et perso j’ai pas envie de vivre dans cette version d’Internet.




pierreonthenet a dit:


Juste comme ça, est-ce que le comportement de l’ARCOM ne pourrait pas servir aux sites pornos dans un pourvoit devant le Conseil Constitutionnel pour atteinte au droit d’entreprendre ?


Il y a eu une QPC de portée il me semble durant l’affaire ainsi qu’un recours à la CJUE pour septembre je crois me rappeler. Mais je ne pense pas que cela porte sur la liberté d’entreprendre, ce qui serait de toute manière hors sujet.

Merci de ce rappel qu’on a tendance à oublier : le code pénal est d’interprétation stricte.

Le 29/07/2022 à 07h 33


carbier a dit:


Contrairement à ce que n’arrete pas de répéter NXi, je ne vois pas quelle obligation aurait l’ARCEP à faire le boulot de sites qui brassent beaucoup d’argent et ont les compétences techniques pour trouver la solution à ce problème.


Faut voir. Le problème c’est que les sites concernés ne savent même pas exactement quels sont les attendus précis. Voir l’exemple récent de l’ARCOM qui a décidé que le dispositif mis en place par un célèbre site porno (qui allait au delà de la simple déclaration) n’était pas suffisant (https://www.nextinpact.com/article/69641/larcom-met-en-demeure-jacquie-et-michel-trouver-controle-dage-plus-fiable). Que les sites soient obligés de réfléchir à des solutions, soit, mais si l’ARCOM ne dit pas ce qu’elle attend, elle aura tout loisir de venir à posteriori dire “non, finalement, ce dispositif là ne me plaît pas, vous êtes toujours hors-la-loi”.
Sacré insécurité juridique !

Le 20/07/2022 à 08h 01

Pour être précis, le compte n’a pas été bloqué pour avoir tenter de caviarder la page, mais pour « Obligation de transparence non satisfaite », pour ne pas avoir déclaré qu’il était « rémunéré(e), défrayé(e) ou recev[ait] un quelconque avantage pour effectuer [ses] contributions ».



Source : fr.wikipedia.org Wikipedia

Le 13/07/2022 à 08h 39

On peut être un génie ET un gros blaireau, ça n’est absolument pas incompatible.

Le 10/06/2022 à 09h 04

Cette “logique” est aussi débile que de condamner le titulaire d’un abonnement EDF parce que quelqu’un a utilisé une de ses prises électriques pour commettre un méfait.



Nombre de personnes n’entendent absolument rien à la sécurisation du WiFi, on les accuse donc d’un défaut de compétences techniques. Ce délit de “défaut de sécurisation” n’est qu’un piètre artifice légal qui repose sur une présomptionde culpabilité. Il y a déjà eu des condamnations, mais les personnes sont-elles allées jusqu’en Cassation, pour exposer que l’auteur d’un délit doit être clairement identifié, ce que ne permet pas le simple relevé d’une adresse IP ?

La logique est débile, je suis bien d’accord. Mais affirmer que la loi est débile n’a jamais permis de se prémunir d’une condamnation.

Le 08/06/2022 à 12h 26

Peu importe si j’ai télécharger ou non, tout est question de preuve encore une fois et soyons franc, l’Arcom fait tout à minima en oubliant systématiquement ces obligations (génant pour un référent en charge de l’Autorité de régulation de la communication audiovisuelle et numérique) :




  • Recommandation qui ne tienne pas devant un tribunal car ne respectant l’article L331-20 du code de la propriété intellectuelle => Je mets au défis quiconque de trouver dans les recommandations, je cite “Cette recommandation contient également une information de l’abonné sur l’offre légale de contenus culturels en ligne, sur l’existence de moyens de sécurisation permettant de prévenir les manquements à l’obligation définie à l’article L. 336-3”

  • Raccourci foireux entre faits remonté par les ayants droits et défaut de sécurisation => Ou sont les preuves encore une fois ? l’Arcom est une société d’extralucide ?

  • …..



Après reste éventuellement la procédure en contrefaçon. Pour cela aussi, il existe de multiples solutions pour faire tomber la procédure par manquements ou faits inexacts.
On peut attaquer les PVs des ayants droits ou encore une fois les recommandations assez simplement suivant l’initiateur de la procédure Arcom ou ayant droit :




  • Rapport Zlotty sur le process d’acquision des faits qui prends entre autre pour hypothèse intangible que l’adresse IP est une donnée fiable

  • Etude américaine sur un imprimante qui reçoit des notifications DMCA




Je vais pas énumérer tous les points foireux que j’ai relevé sur un forum public mais tu as quelques points simple utilisable face à un tribunal.



Tout cela conduit direct à la relaxe automatique par le tribunal et suivant le cas, procédure diffamatoire ou escroquerie au jugement si tu as pris le soin de poser systématiquement comme moi les bonnes questions à l’Arcom.

Tu ne trouves peut-être pas logique que les faits de partage d’oeuvre protégées soient constitutifs d’un défaut de sécurisation, mais c’est la loi : “La personne titulaire […] a l’obligation de veiller à ce que cet accès ne fasse pas l’objet d’une utilisation à des fins de reproduction, de représentation, de mise à disposition ou de communication au public d’œuvres[…]”.



Il y a déjà eu des condamnations sur cette base. Après c’est ton problème mais il ne faudra pas venir pleurer après :-)

Le 23/05/2022 à 14h 46

Et surtout, l’un n’empêche pas l’autre. On peut déréférencer, bloquer et cie, tout en cherchant en parallèle les auteurs, en remontant les réseaux… Et c’est probablement ce qui est fait !

Le 16/05/2022 à 14h 22


(reply:2073028:skankhunt42 )


Et c’est potentiellement illégal. Le vendeur est tenu de signaler les vices dont il a connaissance. Je ne pense pas que les voisins bruyants en fasse partie par contre les problèmes d’eau chaude et de nuisibles, oui.

Le 02/05/2022 à 15h 01

Oui, certes. Disons que dans un monde idéal…

Le 02/05/2022 à 09h 01

En fait, je ne vois pas ce que ça a d’irréaliste. A l’écrit ça semble un peu long, mais à l’oral ça prendre littéralement 15 secondes, ça permet de fournir une information claire et précise au client.

Le 26/04/2022 à 07h 29

:cap:
Le chat ne se protège pas de la souris, au mieux il sécurise son gruyère.
La souris, elle, se fait défoncer avec le gruyère au bord des lèvres.



Sinon le distributeur n’est pas modifié ni ouvert, il fait son job en toute intégrité.
Ils rajoutent juste un “wrapper” dessus, genre un truc aimenté et alimenté par batterie qui en profite pour prendre quelques infos au passage.

Depuis quelques temps je vois des stations services qui ont des systèmes plus élaborés au niveau de la fente pour insérer la carte, je suppose pour rendre compliqué l’utilisation de ce genre de systèmes. Et ça rend d’ailleurs la carte moins pratique à insérer ^^

Le 22/04/2022 à 09h 13

Et comme le rappelle la CNIL, ce n’est pas le sujet. Ce qui est sanctionné, ce n’est pas la violation de données (ie la fuite) mais le non respect du RGPD, notamment par l’absence de mesures de sécurité.

Le 14/04/2022 à 09h 10

Ce qui est fou c’est qu’on puisse lire ce genre de choses :




Le président du bureau de vote, à qui le magistrat délégué a signalé cette irrégularité, a refusé d’y mettre fin.


Quand le délégué du Conseil constitutionnel te dis que c’est pas comme ça qu’il faut faire, à quel moment tu refuses ?

Le 15/03/2022 à 09h 04


janvi a dit:




  • Un vendeur m’a obligé a envoyer en réparation un nettoyeur vapeur… Il est revenu avec une belle fiche de réparation indiquant les trucs remplacés : il n’avait rien a voir avec mon problème… Se fut ma seule expérience de réparation…


Ça m’est arrivé une fois sur un ordinateur portable qui avait des problèmes de scintillement de l’écran lorsque celui bougeait (vibration, ajustement de la position…). Parti en réparation, j’avais insisté sur le fait qu’il fallait probablement changer le câble qui connecte l’écran à la CM. Mais il est revenu avec une carte mère toute neuve, un OS fraîchement réinstallé et … le câble d’origine. Et toujours le même problème.



Il y est reparti une seconde fois et cette fois, le câble a bien été changé (ce qui a résolu le problème). Mais bonjour la perte de temps et d’argent (deux transports, le changement de carte mère pour rien…)

Le 22/02/2022 à 09h 34

C’est bizarre, parce que je l’utilise sur plein d’appareils distincts (mes différents ordinateurs, téléphones, box et autres consoles…) et j’ai jamais eu de soucis

Le 10/02/2022 à 13h 55

Bah en fait, ça n’est pas une surprise. Il est évident pour n’importe quel juriste de bonne foi qu’une disposition légale (les lois américaines) prévaut sur des dispositions contractuelles. Et donc que si la CJUE a invalidé le Privacy Shield parce que la loi américaine est trop intrusive, alors, CCT ou pas, les transferts sont impossibles.



La CNIL ne fait que confirmer ce que tout le monde avait vaguement compris, sauf ceux qui ne voulaient pas comprendre.

Le 24/11/2021 à 09h 28

C’est vrai que ça m’étonnait qu’ils attachent un satellite au lanceur avec des tendeurs et des sangles à cliquet comme un meuble Ikea sur le toit d’une voiture :D

Le 18/11/2021 à 08h 46

Alors pour préciser un peu : le 112 est un numéro unique européen, mais en France ça redirige juste vers une plateforme d’appel, soit le CTA du 18, soit le centre 15 (à l’exception de quelques départements qui ont déjà une plateforme commune 1815).
L’idée du numéro unique, au-delà du numéro en lui-même, c’est surtout de réunir tous les services sur un même plateau, avec des opérateurs commun pour le premier décroché, qui bascule ensuite sur un opérateur spécialisé en fonction de l’urgence.
La critique de la SFMU sur le fait que ça va générer des prises en charge inutiles puisque le premier opérateur à répondre n’est pas spécialiste est un peu… étrange, étant donné que le médecin régulateur n’est JAMAIS le premier répondant au SAMU, mais bien un ARM qui n’est pas médecin et déclenche des départs réflexes sur certaines thématiques (arrêt cardiaque, par exemple). Si on forme bien les opérateurs des nouvelles plateformes (et ça sera le cas, sans aucun doute) il n’y aura pas de problèmes.



Ce que ne précise pas le SFMU, c’est que les SAMU sont surtout inquiets de se faire bouffer par les pompiers : certains SDIS ont de mauvaises relations avec leur SAMU local et essaient effectivement de les “remplacer” en décidant à leur place du devenir des victimes….



Mais sur le principe, c’est une bonne idée, qui permet de mutualiser les moyens et de faciliter la coordination, puisque tout le monde est dans la même pièce !

Le 08/11/2021 à 13h 25


Elon Musk pour sa part a publié une image du film Judge Dredd, avec comme légende « You have been judged ».


Comme quoi, on peut avoir 12 ans et diriger l’une des plus grosse sociétés du monde…

Le 08/11/2021 à 13h 22

Tout à fait. On peut exiger l’objectivité, mais pas l’impartialité ni la neutralité. Rien que le choix des sujets que tu couvres, ou non, tu as un biais.

Le 15/09/2021 à 13h 24

ça se tente !

Le 14/09/2021 à 13h 42


v1nce a dit:


Je ne sais pas ; les socialistes utilisent bien “citoyen” dans un mot sur 2.


Et on peut parler de ceux qui utilisent du “républicain” derrière chaque mot ?



Sinon, faut reconnaître que cette fournée de traductions est assez réussi, sans improvisation à base de “biture fissa”

Le 14/09/2021 à 08h 39


Cumbalero a dit:


Il y a autant de sang dans un pénis humain en érection que dans le corps d’un hamster adulte. Fais ce que tu veux de cette information :eeek2:


Un seul :8 ?

Le 06/09/2021 à 12h 17


ecatomb a dit:


A part pour des papiers à livre : livre ou autre. Je ne vois pas trop d’intérêt à ce type d’écran.


Oups, je voulais dire : “papiers à lire”



Mais je ne vois pas beaucoup de cas où le contenu à l’écran est longtemps identique. En dehors de la lecture d’un livre (plusieurs minutes à avoir la même page)

Par chez moi j’ai vu quelques arrêts de bus où les horaires sont affichés avec du e-ink.



Et à titre personnel, j’ai bien quelques petites idées, genre sur de la domotique et cie : affichage de la température par exemple.

Le 06/09/2021 à 08h 18

ça tombe bien, j’ai perdu la mienne récemment…

Le 21/07/2021 à 13h 18

De toute façon, arrêtez de couper les cheveux en quatre. On parle d’un projet de loi, qui peut donc tout à fait introduire des dispositions comme : “tout le monde peut contrôler ton identité”. Que ça soit légal maintenant ou pas, on s’en fout un peu du coup :-)

Le 21/07/2021 à 13h 16

Ouep j’avais trouvé la modification.
Reste qu’il vaut mieux avoir cette information sur soit en plus au cas ou…

Oui tout à fait, parce qu’on a observé plus d’une fois que les FDO ne connaissent pas la réglementation, alors des acteurs privés…

Le 21/07/2021 à 13h 11

Il me semble que ça avait été précisé à moment donné, et avoir déjà lu des forces de l’ordre refusant cette méthode.



En l’occurrence comme ce n’est pas listé précisément et même la directive du gouvernement tend clairement à confirmer le fait que seul tousanticovid est permis cf:
https://www.gouvernement.fr/info-coronavirus/pass-sanitaire
“Le « pass sanitaire » consiste en la présentation, numérique (via l’application TousAntiCovid) ou papier, d’une preuve sanitaire.”



Ce n’est pas marqué “notamment”, ou “par exemple”, mais bien “via”, ce qui ne laisse place à aucune autre alternative.

Le décret du 1er juin précise bien que l’utilisation de TousAntiCovid n’est pas obligatoire. Je cite :




Les justificatifs mentionnés au I peuvent être présentés sous format papier ou numérique, enregistré sur l’application mobile “ TousAntiCovid ” ou tout autre support numérique au choix de la personne concernée.


Source : legifrance.gouv.fr République Française(article 2-3, paragraphe 2)

Le 08/07/2021 à 09h 28

T’as bien Youpi “Le magazine des découvertes et des sciences pour les 5 à 8 ans” :chinois:

Le 08/07/2021 à 09h 06

Bah du coup on peut pas, c’est pour ça que c’est juste une solution de contournement ^^