Je ne peux que citer et recommander chaudement "La Fabrique du crétin digital", de Michel DESMURGET, paru en 2019.
C'est une analyse profonde, sourcée, avec de très larges références bibliographiques (et chacune d'entre elle est précisée, il y en a plus de 1000 !).
Pour résumer (très très grossièrement hein, donc pardonnez moi pour les raccourcis), l'auteur pointe 2 choses : - l'usage de l'écran n'a aucun effet positif sur le développement (au mieux, il n'a pas d'effet négatif) - les effets négatifs liés à l'usage de l'écran ne sont pas dus à l'usage même, mais au fait que le temps d'usage d'un écran vienne remplacer un temps "social", (c'est-à-dire d'intereaction avec ses parents, ses frères/soeurs, ses amis, etc...) et trop généralement, de manière passive (simple visionnage). Ce qui est hautement problématique durant les plus jeunes années car le cerveau est toujours en pleine évolution et que le manque de sollicitations tends à ralentir le développement cognitif.
Je ne suis pas chez eux, donc cela ne reflète que mon avis : - spotify : c'est de la musique. On a tendance à le lancer en tâche de fond et on l'oublie. On reste rarement scotché devant. Et je ne suis pas sur que l'expérience utilisateur soit des plus optimales à écouter longuement de la musique avec un casque plus ou moins lourds sur la tête - youtube : Google, concurrent à Apple => on met des batons dans les roues ?
Je n'ai jamais entendu dire que les caisses automatiques étaient plus rapide qu'une caisse normale, mais qu'elle permettait de fluidifier le trafic, notamment pour les petits achats.
D'un point de vue surface, 4 caisses automatiques prennent à peu près autant de place que 2 caisses classiques. Donc augmentation du nombre de caisse pour une même superficie -> bon pour fluidifier.
D'un point de vue de l'utilisateur, en général, c'est plus long car : il faut déballer ses articles et les scanner un à un, les poser sur le plateau, payer, et ensuite ranger ses courses (rien n'est parallélisable). Avec un hôte de caisse, on peut déballer pendant qu'on est dans la file d'attente, et remballer pendant qu'il scanne. Les mêmes actions, mais qui peuvent être faite "en même temps".
Le sentiment de "rapidité" vient, pour moi, d'un effet de ressenti : - une queue unique pour 4 caisses automatiques, forcément, ça avance plus vite qu'une seule queue pour une seule caisse. - on est actif tout le long du processus, et pas actif/passif comme dans le cas d'une caisse classique.
Là où je perds du temps parfois en caisse auto, c'est lors du paiement. Je fais beaucoup de sans contact. Et dans certains enseignes (pas toutes, je le précise !), si le sans contact échoue, il faut attendre l'employé, qui doit biper son badge pour permettre un retour en arrière. Alors que dans d'autres, pas de souci, le retour en arrière se fait directement par le client, qui peut choisir un autre moyen de paiement, rechoisir carte bancaire et l'insérer à l'ancienne.
A noter aussi que le temps le plus long en caisse, c'est le paiement. Donc permettre aux petits paniers d'y aller et de tout gérer eux-mêmes permet de fluidifier les caisses classiques, en limitant la queue aux caisses classiques et en limitant le nombre de caisses -10 articles (j'en vois beaucoup moins qu'avant).
Par contre, je fustige aussi certains centres qui continuent d'imprimer un ticket de sortie même si on ne prend pas de ticket. Je ne suis pas certains que cela soit vraiment efficace pour la lutte contre le vol, car : - je pense que le vol c'est plus un article pas scanné qu'un panier entier - les 3/4 du temps, je n'ai pas besoin de scanner le ticket pour sortir : je profite du client qui me précède ! (et l'hôte de caisse qui gère les caisses automatique de me souhaiter une bonne journée)
je n'irai pas jusque dire mauvaise foi ;) mais Arret Sur Images, Canard PC, et bien d'autres médias généralistes et spécialistes ont des tarifs pour faibles revenus et surtout ne sont pas aussi cher. Pour moi (comme discuté aux assises du journalismes où le sondage dans la salle avait fait apparaitre que 5€ par média semblait le plus consensuel pour un maximum de personnes), je vise 5€ par média (j'y arrive même sur médiapart le soirée de promo depuis quasi leur création !) et même le monde diplo avec un abo partagé (l'autre solution). C'est pas parce que Porche ou roberto-auto font des voitures à 1 millions que Renault doit aussi faire ce prix.
Je comprend donc que votre politique est de viser peu d'abo mais à un prix haut (pas tant d'ailleurs), plutôt que plus d'abo à moins cher (5€). L'optimalité du système (fisher information) est difficile à calculer et surtout varie dans le temps, je ne vous jette donc pas la pierre.
Dommage pour moi, pas grave pour vous :'(
Il me reste à tenter de trouver un pote qui veuille partager un abo prix fort pour vous lire de nouveau (siiivouplèè, moi avoir faiiiim touça touça). Je serai près à avoir un abo 5€ pour lire les articles sans autres contreparties commenter, préference affichage, ... (genre juste un pdf ou un txt envoyé par mail)
A toute fin, je rappelle que le salaire médian en France est de 2150 € net, que le loyer médian est entre 671 € pour un appartement et 902 € pour une maison en France. Que 76% des français.e.s consomme un média payant par mois au minimum, dont 46 % au moins un journal en ligne ou papier, 47% jusque 5€ par mois, 21% entre 5€ et 10€ par mois, 32% plus de 10 €. C'est mon cas (+ de 10€), mais vous ne couvrez pas tous les domaines, donc si comme votre tarif, je dépense 8€ par média, il me faudrait ~80€ par mois pour couvrir actualité générale à la médiapart, et médias spécialisés (on est loin de netflix qui suffit en soit à avoir TOUS les films et séries souhaitées)
alleeeez sivouplaiiiiiiit noeildechatpoté
Sans jugement, je trouve quand même l'argumentaire du prix "trop cher" mal placé. Je connais peu de média (pour ne pas dire aucun autre) qui rendent accessible, gratuitement, l'ensemble des contenus au bout d'un certain temps (de mémoire, c'était un mois sur NextINpact, et je crois que cela a été conservé avec Next).
Donc, si tu trouves que c'est trop cher, je n'aurais qu'une chose à dire : attends et lit les articles avec un mois de décalage ;) (mais ne le répète pas trop fort, il ne faudrait pas que Ferd capte l'astuce )
on est loin de netflix qui suffit en soit à avoir TOUS les films et séries souhaitées
Euh non. Netflix est loin d'être suffisant si tu veux avoir un catalogue complet. Il va falloir multiplier un peu les abonnements de ce côté là aussi ;)
Le
15/01/2024 à
10h
54
1/ c'est voulu par l'équipe, et dis je ne sais combien de fois par Ferd et d'autres : l'idée est de passer à un abonnement au mois, plutôt qu'un abonnement par année, pour lisser les revenus
Pour la promo, je ne sais pas s'il va y avoir des promo ponctuelles, mais la volonté de l'équipe était aussi de mettre un terme à la promo d'ancienneté.
Le
14/01/2024 à
10h
38
Comment ça preum's ?
Le
14/01/2024 à
00h
14
Je confirme… Je regarde
Ok. Merci. Et courage
[edit] c'est bon, c'est corrigé. Merci Seb !
Le
14/01/2024 à
00h
09
J'ai l'impression que les LIDD sont incomplets. 2 titres, et aucun paragraphe derrière le dernier ?
Ha mais oui j'allais féliciter Vincent, mais j'ai bine fait de lire les commentaires lol. bravo
Le précédent n'était pas mal non (Oh API day !), mais moins percutant vu le sujet ;)
Le
15/01/2024 à
10h
00
Je pense que tu confonds contenu et contenant. 50 % du trafic peut être du porn ou du spam et transiter par des API.
Pour le coup, je pense aussi que cela dépend de ce que l'on entend par "trafic" : - est-ce le nombre de requêtes ? - est-ce la quantité de données en transit ?
Pour le coup, je pencherai pour 50% des requêtes HTTP sont vers des API.
Le problème de la notification de nouvelle connexion est que la plus part de ceux qui s'en servent, dont Google, sont des crétins car ils considèrent les adresses IPv6 en entier alors que les appareils en changent parfois plusieurs fois par jour.
Du coup, validation Google pour toutes les connexions et cela fait franchement chier.
La moindre des choses serait de ne garder que le préfixe 64 bits pour les adresses IPv6.
Le problème de la notification de nouvelle connexion est que la plus part de ceux qui s'en servent, dont Google, sont des crétins car ils considèrent les adresses IPv6 en entier alors que les appareils en changent parfois plusieurs fois par jour.
C'est bizarre, car je n'ai pas d'adresse IP fixe. Pourtant, cela ne m'a jamais posé de souci. Cela fait même bien longtemps que je n'ai pas eu à me reloguer sur mon compte Gmail. Et quand je travaille en itinérance (espace de coworking ou client), idem, jamais eu de souci. Et parfois je suis en IPv6 (chez moi), parfois en IPv4 (en extérieur).
De plus, il faut bien avoir conscience que derrière une seule adresse IP (notamment en IPv4), il peut y avoir plusieurs appareils différents (impossible donc de se servir de l'adresse IP pour identifier de manière sûre un appareil). Et en IPv6, il est impossible de savoir si une adresse IP avec le même préfixe (qu'il faut connaitre !) désigne un autre appareil ou le même appareil avec un changement d'IP.
La moindre des choses serait de ne garder que le préfixe 64 bits pour les adresses IPv6.
C'est ça qui serait crétin. Rien, dans la norme IPv6, indique que le prefix est de 64 bits. C'est à la discrétion des fournisseurs d'accès et des gestionnaires de réseau. C'est souvent l'usage, mais rien n'est imposé.
En bref, j'ai l'impression que ton problème n'est pas lié aux IPs, mais plutôt à la connexion elle-même (navigation privée, ou navigateur configuré pour supprimer tous les cookies, logiciel antivirus, ...)
Le
13/01/2024 à
13h
45
C'est toujours bon, ça ne coûte rien et évite bien des soucis, car si une nouvelle connexion arrive, on peut très rapidement agir et changer son mot de passe.
Bof. Je te pirate en pleine nuit, le temps que tu vois la notif le lendemain matin j'aurai fais mon office depuis plusieurs heures.
Même si c'est pas en pleine nuit, du moment que l'attaque est automatisée les dégâts seront faits en quelques secondes. Peut-être même avant que la notif arrive jusqu'à toi.
Changer de mot de passe suite à une telle notif c'est comme changer de serrure une fois qu'un cambrioleur est passé. Ca peut l'empêcher de revenir mais ça n'empêchera pas les dégâts de son premier passage.
D'ailleurs c'est même pire que ça : De nombreux sites ne virent pas les utilisateurs actuellement connectés à ton compte si tu changes de mot de passe. Donc c'est un peu comme changer la serrure alors que le cambrioleur est toujours chez toi, sans possibilité de le forcer à partir. Sur ce sujet cf par exemple les classements de Bitwarden comme https://bitwarden.com/blog/industry-leaders-security-rankings-personal-email-services-edition/, regardez le nombre de sites qui ont "Does not require login using new password". Ca a tendance à être le cas notamment des services utilisant JWT, car par défaut le JWT est décorrelé des informations du compte utilisateur, et ne sera donc pas impacté si elles changent (mot de passe, adresse email...). Le JWT restera donc valide jusqu'à sa péremption, ce qui peut prendre plusieurs minutes à plusieurs heures voire jours.
Donc au mieux une telle notif va te permettre de prendre tes dispositions pour contrer le piratage en prévenant les gens que ça pourrait impacter, en bloquant ta CB, etc. Mais elle n'empêche pas le piratage, qui a déjà eu lieu.
Deuxième intérêt d'une telle notif : Ca peut éviter à un pirate de maintenir dans le temps un accès furtif à ton compte. Et encore, cf ce que j'ai dis sur les services qui ne virent pas les utilisateurs actuellement connectés quand tu changes ton mot de passe.
Edit: Pas dingue votre nouveau WYSIWYG Next, ça gère pas les URLs automatiquement, pas de bouton pour en créer une (donc faut connaître le markdown), et même en connaissant le markdown impossible de faire une citation.
Bof. Je te pirate en pleine nuit, le temps que tu vois la notif le lendemain matin j'aurai fais mon office depuis plusieurs heures.
Encore faut-il connaitre mon fuseau horaire :p
Changer de mot de passe suite à une telle notif c'est comme changer de serrure une fois qu'un cambrioleur est passé. Ca peut l'empêcher de revenir mais ça n'empêchera pas les dégâts de son premier passage.
C'est ne pas savoir comment fonctionne une partie du Dark Web. Une partie, c'est de vendre des comptes piratés. Donc empêcher les gens de revenir, c'est quand même loin d'être négligeable.
Par contre, tu as raison sur les services qui ne déconnectent pas au changement de mot de passe, et la mauvaise gestion des jetons JWT (qui doivent avoir une durée de vie très courte en réalité pour être sécurisés).
Maintenant, comme dit, dans mon précédent message, ce n'est pas un mécanisme de protection, c'est un mécanisme de détection. Donc la finalité n'est pas du tout la même, et en complément de mesures de protection, cela forme un système assez efficace.
Le
13/01/2024 à
10h
08
J'avoue que parfois, j'ai du mal avec le 2FA. Pas sur le principe (c'est très bien !), mais sur sa mise en oeuvre.
Bien trop souvent, le 2FA, c'est : - un login / mot de passe (pas que, mais c'est le plus courant) - 1 méthode alternative (très souvent, SMS)
Trop rarement, le 2FA c'est : - un login / mot de passe - x méthodes alternatives (et x méthode en même temps, pas juste une)
La mise en pratique du 2FA idéal, pour moi, c'est de permettre de choisir son ou ses moyens alternatifs. Quand on est incapable d'utiliser son téléphone parce que perdu/volé mais aussi cassé (exemple personnel : écran cassé, qui n'affichait que 20% de l'écran et insensible au tactile), c'est très compliqué d'utiliser les SMS ou l'application TOTP !
Le TOP aussi niveau sécurité, même si ce n'est plus de la prévention, ce sont les notifications de nouvelles connexion. Quand un nouvel appareil se connecte à un compte => un mail. C'est toujours bon, ça ne coûte rien et évite bien des soucis, car si une nouvelle connexion arrive, on peut très rapidement agir et changer son mot de passe.
J'entends, et la CNIL ne mentionne pas ce problème d'arnaques ; mais je ne pouvais pas ne causer que de la seule amende de la CNIL et faire l'impasse sur les (très) nombreuses arnaques, depuis des années, alors que le principal problème des utilisateurs de Neosurf, ce n'est pas le RGPD, mais ces arnaques...
Je suis du même avis que Fred42. Ou au moins, changer le titre. La moitié de l'article concerne les arnaques, et on s'attend exclusivement de par le titre à un article sur une décision de sanction de la CNIL.
ex: "entre sanction CNIL et cible d'arnaques, Neosurf dans la tourmente"
Et si le principal problème rencontré par les utilisateurs ce sont justement les arnaques, n'aurait-il pas été plus judicieux de faire un article pointant cela, quitte à parler ensuite des amendes CNIL, et non l'inverse ?
Quoi qu'il en soit, cela n'empêche absolument pas l'article d'être très intéressant.
Le
13/01/2024 à
09h
31
Pour être précis, la solution de Google reCaptcha nécessite un consentement car les données recueilli par Google servent également d'autres finalités que la simple sécurisation (analyse du trafic par exemple).
Si ie seul traitement de reCaptcha concernait la sécurisation du site, pour éviter les bot, il n'y aurait pas besoin du consentement. Mais c'est loin d'être le seul traitement, et les autres sont des traitements d'analyse de comportement, trafic, etc. D'où l'obligation, du point de vue de la CNIL, de recueillir le consentement avant l'utilisation de cette solution.
C'est donc au responsable de traitement de faire son boulot correctement : - soit il continue d'utiliser reCaptcha, auquel cas il doit demander le consentement avant - soit il choisi une autre solution, plus respectueuse de la vie privée.
Attention, les casques 7.1 ne sont compatibles qu'à la condition d'être utilisé avec un câble Wifi blindé. Je ne comprends pas pourquoi personne ne le souligne...
Il a surtout compris que les peines sont cumulatives et qu'il valait mieux être condamné pour 1 chef d'accusation que plutôt que pour 8
J'ai toujours trouvé ce principe de "justice" à la limite de la menace/intimidation.
C'est clair : - un innocent qui plaide non coupable peut risquer des peines qui seraient l'équivalent d'une peine à perpétuité. - un innocent qui plaide coupable pour un chef d'accusation risquera beaucoup moins (par ex. 2 ans).
En plaidant coupable, la personne sait à l'avance ce qu'elle va avoir. En plaidant non coupable, cela peut se révéler très risqué...
Ah bah voilà. Je ne sais pas trop à quel point notre responsabilité d'hébergeur est engagée si la ressource est stockée à l'extérieur tiens.
Normalement, et si j'ai bien suivi, la responsabilité d'hébergeur est engagée pour les contenus effectivement hébergés. Pour les contenus référencés, c'est autre chose... (mais je ne suis pas juriste).
Le
10/01/2024 à
17h
51
C'est le bon dieu qui t'a puni !
@fdorin En vrai, je ne sais pas trop si on va intégrer les images vu ce que ça peut impliquer de débordements. Ce qui est certain, c'est qu'on a pas mal de pain spirituel sur la planche avant.
Ah ben en fait, ça marche avec la syntaxe markdown. J'avais du faire une fôte de frappe
;) (sinon, à quand la possibilité d'inclure des images dans les commentaires ?)
Le
10/01/2024 à
10h
59
La difficulté est qu'aujourd'hui, le terme IA est utilisé tellement vaguement qu'il peut désigner de nombreuses choses.
Pour certains, IA = réseau de neurones. Pour d'autre, IA = apprentissage sur la base de données. Pour la seconde définition, une simple régression linéaire est une IA.
Autant je suis d'accord avec ce que tu dis lorsqu'il s'agit de réseau de neurones, où, au final, on ne sait pas trop ce qui se passe, autant cela a du sens dans le cadre de la seconde définition. Je donnais l'exemple de régression linéaire, mais un algorithme de scoring rentre aussi dans cette catégorie par exemple. De même que les réseaux de Markov. Et ce ne sont que quelques exemples... Il en existe bien d'autres.
Et comme IA est un buzzword, on essaie aujourd'hui de le caser à toutes les sauces. Il y a quelques mots comme ça, tellement dénaturé qu'ils ne signifient plus grand chose...
Le
10/01/2024 à
10h
46
ps: A quand la transformation des smiley Inpactant vers l'Inkitude ?
Cela risque de faire couler beaucoup d'encre ça...
Les offres multi-gig (>1Gb/s) pour particuliers se multiplient en FTTH ce n'est donc pas incohérent. La plupart des SSD supportent déjà des débits supérieurs à 1Gb/s.
Il y a aussi d'autres usages comme la VR qui peuvent nécessiter d'envoyer un flux peu compressé pour limiter la latence, ou encore les backups / migrations de téléphone où ils se connectent entre eux directement et ont des mémoires UFS 4.0 déjà multi-gig.
Les offres multi-gig (>1Gb/s) pour particuliers se multiplient en FTTH ce n'est donc pas incohérent. La plupart des SSD supportent déjà des débits supérieurs à 1Gb/s.
Au delà des offres, pour le Wifi 6, il faudrait déjà des offres 10Gb pour atteindre la limite et que le Wifi deviennent le goulot d'étranglement.
Qui plus est, même si c'était le cas, il faudrait pour profiter des avantages de cela, une consommation qui soit véritablement améliorée. Qu'est-ce qui aujourd'hui nécessite une telle bande passante ? D'un point de vue du particulier j'entends. La VOD non. Le téléchargement ? Il faudrait des téléchargements colossaux, et à part pour certains jeux qui font plusieurs dizaines de Go, je ne vois pas vraiment l'intérêt.
Les débits annoncés me semblent tellement "disproportionnés" par rapport aux besoins du quotidien. La chose qui pourrait effectivement être intéressante, c'est sur la latence.
Même moi, qui fait pourtant un usage professionnel, avec un NAS, le Wifi 5 (pas le 6, le 5 !) est déjà suffisant au quotidien. Mon autre ordi, avec Wifi 6, c'est vrai c'est agréable lors du transfert de grosses quantités de données, mais c'est tellement anecdotique que cela relève du simple confort.
Bref, comme apporté par les autres commentaires, la latence peut apporter un plus dans certains usages (comme les jeux vidéos, la VR, etc.) mais reste aussi une cible assez restreinte par rapport aux usages des utilisateurs lambda.
Le
09/01/2024 à
09h
31
Cette norme prend en charge des blocs de 320 MHz (bon courage en France…)
Est-ce que cela signifie que réglementairement, cela ne passe pas ? Si oui, tout appareil Wifi 7 serait donc hors norme ?
Sinon, à part en entreprise, y a-t-il vraiment un intérêt d'avoir du Wifi 7 ? La bande passante est telle que le goulot d'étranglement ne sera jamais le Wifi, mais toujours la connexion internet (pour un particulier j'entends), même avec une connexion fibre 1Gb.
Et même avec un NAS à la maison, le goulot risque d'être le NAS plutôt que la connexion ! Mon ordi en Wifi 5 me "bride" pour le NAS, mais pas sur ma connexion fibre (qui "n'est que" de 300Mb).
Du coup, je m'interroge vraiment, pour les particuliers, est-ce qu'il y a d'autres choses qui feraient que cela soit utile ? Moindre consommation ou meilleure portée ?
301 et 302 sont des codes de messages HTTP retournés par le protocole (comme 404 pour "File not found").
Dans le cas de 301, "Moved permanently", le serveur renvoie ce code au client avec l'adresse (Location) du nouveau document à consulter pour lui indiquer que le chemin désiré a été déplacé de manière permanente.
Par exemple, mon site répondait avait sous monsite.fr/index.php et depuis c'est monsite.fr/index.html, le serveur renvoie cette info au client avec le code 301. Ce code a aussi pour effet de demander aux moteurs de recherche de mettre à jour leur index.
Dans le cas de l'URL réduite, il s'agit de l'étape où le lien court est traduit avec l'URL complète.
Cependant, la "vraie" URL renvoie un HTTP 302 ("Found") qui est un code ayant une petit particularité : les moteurs de recherche ne mettent pas à jour leur index quand ils reçoivent ce message. Car il s'agit d'une redirection considérée comme temporaire. Là où le navigateur du client va suivre l'adresse de redirection.
C'est là que les bactéries attaquent car l'URL malveillante répondant un code 302, elle trompe les clients qui ne sont pas des navigateurs Web et renvoie une carte réputée être la destination de l'URL raccourcie.
En fait, de ma compréhension, c'est un usage détourné du code HTTP 302 qui est utilisé comme si c'était HTTP 307 ("Temporary redirect") qui profite du fait que tous les clients ne l'ont pas forcément implémenté comme la spécification l'attendait.
Il y a des différences, parfoit subtile, entre les différents code HTTP : - 301 : redirection permanente - 302 : redirection temporaire - 307 : redirection temporaire (bis)
Sur le côté permanent / temporaire : cela permet de gérer soit un déménagement, soit des travaux de maintenance par exemple. Pour donner des idées : lors du déménagement de nextinpact vers next.ink, le site nextinpact redirige vers next.ink via une redirection permanente. Il n'y a plus de raison de conserver l'ancienne URL (le contenu a été déplacé) si ce n'est pour indiquer où il se trouve maintenant pour permettre d'y accéder. En analogie routière : la route est définitivement fermée, prenez la rocade qui a été mise en place.
Le temporaire, est, comme son nom l'indique bien... temporaire (vous ne vous y attendiez pas, avouez !!!). Une redirection temporaire peut avoir plein de cause. Maintenance serveur, mode dégradé, ... et dénote, normalement, une situation exeptionnelle qui n'est pas sensée durer. Quand le site ne nextinpact a connu un gros plantage il y a quelques mois, et que le site a été redirigé vers la beta, c'était de manière temporaire. En analogie routière : la route est temporairement fermée (réfection, installation électricité / gaz / autre, etc.), suivez les panneaux de déviation.
Pour terminer, une redirection permanente peut être mise en cache par le navigateur, alors qu'une temporaire ne doit surtout pas l'être.
Maintenant, la différence entre le 302 et le 307 (hormis que cela pourrait être des gammes de voiture). Tout se joue au niveau des verbes HTTP. En HTPP, il en existe plusieurs, le plus connu est le GET (on récupère les ressources) et le POST (en envoie des données, par exemple, un formulaire). Mais avec les API REST, on a vu se démocratiser les autres verbes (PUT, DELETE, ...).
Pour une redirection GET, il n'y a aucune différence entre le 302 et le 307. Donc, dans le cas du raccourcisseur d'URL, aucune importance.
Par contre, dans le cas des autres verbes, cela à son importance : - (client) requête POST vers URL monurl.fr/123soleil => (serveur) réponse HTTP 302 vers bidule.fr/temporary-redirect => (client) requête GET vers URL monurl.fr/123soleil - (client) requête POST vers URL monurl.fr/123soleil => (serveur) réponse HTTP 307 vers bidule.fr/temporary-redirect => (client) requête POST vers URL monurl.fr/123soleil
Ce besoin provient initialement d'une mécompréhension de la RFC qui défini les verbes HTTP. Normalement, seules les redirections permanentes devaient changer le verbe en GET. Mais beaucoup de clients (les navigateurs par exemple) ont appliqué la même stratégie aux redirections temporaires. Changer cet état de fait aurait créé de nombreux problèmes de compatibilité.
Aussi, il a été décidé de créer un deuxième code d'erreur, le 307, qui fait comme le 302, mais interdiction formel de changer le verbe HTTP.
Le
08/01/2024 à
10h
28
Une raison supplémentaire de détester les réducteurs d'URL : les URL peuvent être temporaire.
Si une URL apparait dans un document par exemple, et si l'URL a expiré, alors on a une erreur 404. Mais pire ! Il y a déjà eu des attaques où l'URL raccourcie était réutilisée par des attaquants pour rediriger vers un contenu malveillant ! (certains raccourcisseur d'URL permettent de choisir l'URL générée) On avait donc des documents "officiels" qui pointaient sur des contenus vérolés.
Le
06/01/2024 à
13h
25
Non, ce n'est pas un bogue. Et c'est même mieux d'un point de vue vie privée.
Si X s'occupe de l'aperçu, le site en question ne sait pas qui voit l'aperçu, tant que l'utilisateur n'aura pas cliqué sur le lien (si il clique).
Si X ne s'occupe pas de l'aperçu, mais que c'est un javascript côté client, alors le site en question saura qu'il y a un aperçu. A noter également que l'aperçu côté client poserait sans doute problème d'un point de vue consentement et dépôt des cookies.
De plus, d'un point de vue de X, si c'est X qui gère l'aperçu, il peut optimiser l'affichage (notamment le temps) via une mise en cache, du contenu au moment où il est posté. Chose impossible à faire si le rendu est géré côté client.
Bref, X (ou tout autre site d'ailleurs) a de nombreux intérêts à gérer les aperçus côtés serveur. L'aperçu de la card à donc
Le
06/01/2024 à
10h
09
Aucun DNS non, mais un raccourcisseur d'URL - un client A visite une URL : http//raccour.ci/sdlfiugt - le site raccour.ci redirige via une redirection HTTP (HTTP, pas DNS !) vers le site derrière. Par exemple, http://monsitemalveillant/?p1209843 - le site malveillant est interrogé, et pour répondre au client A, il va regarder le UserAgent qui est dans la requête - si le UserAgent correspond à un navigateur classique, alors le client A va avoir le contenu malveillant (de la pub, des scripts malveillants, ou que sais-je encore, sur fond de copie légitime parfois) - si le UserAgent ne correspond pas à un navigateur classique, alors le client A est redirigé vers le site "original" (par exemple, le monde).
Ainsi, les moteurs d'indexation ou ceux qui font apparaitre des miniatures voient le site légitime, tandis que les véritables utilisateurs voient le contenu vérolé.
déjà , il existe qu'une entreprise qui a le droit de faire une exploitation commerciale du logo coca cola, c'est... coca cola !
Encore une fois, Midjourney n'exploite pas le logo coca-cola.
c'est donc du commerce
et une exploitation d'un logo sous droit des marques et auteur
Non, ça ne marche pas comme ça.
le seul fait d'avoir mis dans le jeu de donnée d'entrainement est DÉJÀ un problème juridique.
Absolument pas. Renseignes-toi sur le fair use. C'est un vieux débat qui a déjà eu lieu sur le crawling et tout un tas de NTIC et qui a été clos.
Encore une fois, Midjourney n'exploite pas le logo coca-cola.
Les magasins qui diffusent de la musique n'exploite pas commercialement la musique. Pourtant, ils payent pour la diffusion.
Absolument pas. Renseignes-toi sur le fair use. C'est un vieux débat qui a déjà eu lieu sur le crawling et tout un tas de NTIC et qui a été clos.
Il est difficile ici de parler de fair use. Dans le cas des moteurs de recherche par exemple, c'est du fair use, car chacun y trouve son compte : le moteur enrichie son indexe, et la cible est référencée (donc trouvable).
Ici, on est dans une nouvelle zone, une zone grise, à la frontière entre tout ce qui était connue jusqu'à présent. On peut faire beaucoup d'analogie, mais il y a toujours le détail qui vient mettre un grain de sable dans l'engrenage.
On aimerait qu'il soit simple d'apporter une réponse, et que tout soit blanc ou noir. Mais ce n'est pas le cas ici. La problématique des oeuvres dérivées (car pour moi, c'est de cela donc cela se rapproche le plus) est délicate, car placer le curseur sur ce qu'est une nouvelle oeuvre, un plagiat, une inspiration, une caricature, etc... c'est extrêmement compliqué.
J'ai juste envie de prendre l'exemple des oeuvres sous licences CC-BY-NC-SA par exemple. On a le droit de les modifier, de les partager, mais pas d'en tirer profiter (que ce soit de l'oeuvre original ou de la modification). Une IA génératrice qui ressort une oeuvre inspirée d'une oeuvre sous licence CC-BY-NC-SA, respecte-t-elle la licence ? Où se situe la limite ? Réponse : il n'y a pas de réponse toute faite.
Surtout que la notion d'exploitation commerciale peut être très vague : pour certaines licence, cela ne va concerner que la vente directe. Pour d'autre, la vente de tout service incluant, de près ou de loin, la présence de l'oeuvre.
En bref, c'est un véritable bordel car derrière chaque notion, chaque terme, il peut y avoir mille interprétations différentes, et répondre à la question du droit d'auteur, cela va nécessiter de répondre à de multiples questions, qui n'acceptent pas une réponse simple : - qu'est-ce qu'une exploitation commerciale ? - qu'est-ce qu'une oeuvre dérivée ? - où commence l'inspiration et où se termine le plagiat ? - quelle est la part de responsabilité de l'utilisateur et celle de l'éditeur de l'outil ? - où se situe la limite du fair use ? - quid des droits moraux ?
Quand on voit que des procès d'un ayant droit à un autre, peuvent prendre des années (par exemple, le célèbre cas de scrat, dont le procès initial a débuté en 2003 pour être clos en... 2022 !
Alors on peut dire tout ce que l'on veut, sauf que c'est simple. Cela ne l'était déjà pas avant les IA génératrice. La situation étant encore plus floue qu'avant, cela ne peut être que plus compliquée encore...
Mais si cela te pose problème, pas de souci, je peux procéder à sa suppression immédiate.
Le
08/01/2024 à
09h
40
Je pense que non resterons sur nos positions. Je donne quand même un dernier exemple vu que c'est l'épqoue des stages de 3èmes. Un stagiaire et une photocopieuse. Si son maitre de stage lui fait photocopier des choses, le responsable c'est le stagiaire ou son maître ?
Un stagiaire et une photocopieuse. Si son maitre de stage lui fait photocopier des choses, le responsable c'est le stagiaire ou son maître ?
Le maitre de stage est légalement responsable de tout ce que fait son stagiaire. Donc le maitre de stage.
Mais cette comparaison me semble déjà beaucoup plus pertinente que le photocopieur ou photoshop. Avec le comparatif IA/Stagiaire, se pose la question de l'intermédiaire humain / pas humain.
Le
08/01/2024 à
09h
01
Bic, Faber-Castell, Stabilo ou encore Wacom, voir adobe photoshop etc sont des produit commerciaux aucun d'autres eux ne sont attaqués lorsque des contrefaçons sont faites. Ne pas confondre outils de productions et producteurs.
Midjourney, sans action d'un utilisateur sur son prompt ne produit rien ne communique rien.
Bic, Faber-Castell, Stabilo ou encore Wacom, voir adobe photoshop etc sont des produit commerciaux aucun d'autres eux ne sont attaqués lorsque des contrefaçons sont faites.
Le grosse différence entre les produits que tu cites et l'IA générative, c'est que les premiers ne peuvent produire une oeuvre qui contrevient aux droits d'auteur ou aux marques sans la volonté manifeste de la part de celui qui l'utilise. Avec l'IA, sans volonté manisfeste de l'utilisateur, cela devient malheureusement possible.
Différence minime mais ô combien importante dans le cas qui nous intéresse ici.
Et voici aussi la vidéo dont je parlais. Une vidéo de grande qualité, dans la thématique des LIDD, et qui risque de vous faire voir un peu rouge (et vous ne pourrez pas dire que je ne vous avais pas prévenu !) : https://www.youtube.com/watch?v=o-YBDTqX_ZU
Le
07/01/2024 à
09h
53
Fait gaffe on pourrait aussi te faire payer un loyer
Et moi demander une pige
Le
07/01/2024 à
00h
55
fdorin, à qui on va devoir proposer une chair dans les LIDD.
lol
Il faudrait que je retrouve, mais Flock m'avait fait une caricature sur le sujet. J'essaierai de la partager. J'avais aussi une autre vidéo intéressante pour compléter. Mais je ferais tout ça demain. Là, c'est dodo time :)
En 2016 j'ai acheté une imprimante à pas cher (pas de sous et besoin urgent d'une imprimante) j'ai donc acheté une HP 3630 à 39€. Cela fait donc maintenant plus de 7 ans que je l'ai et c'est l'imprimante que j'ai gardé le plus longtemps. Et elle ne me pose aucune difficulté donc je pense que je vais la garder encore quelques années. Je n'ai pas de gros besoins quelques papiers administratifs, deux ou trois photos pour mamie ou papy, les devoirs du gamin, quelques scans, de rares photocopies, ... Et bien la prochaine je pense que je ferais pareil : une imprimante à pas chère.
Pourtant j'en ai acheté des imprimantes à trois chiffres... avec le recul je me dis que j'ai été bien con.
Edit : le seul soucis la qualité des photos est détestables du coup j'imprime sur des bornes ou bien un distance pour des grandes quantités.
Bien évidemment, il faut faire aussi en fonction de ses besoins. Si tu imprimes peu et que cela te suffise, c'est tout bon !
Pourtant j'en ai acheté des imprimantes à trois chiffres... avec le recul je me dis que j'ai été bien con.
Pour ma part, j'ai une imprimante à 3 chiffres comme tu dis. Mais j'imprime pas mal (pour le boulot). Et j'ai pris une imprimante avec réservoir plutôt qu'à cartouche : l'encre est terriblement moins cher. 15,99€ sur le site du constructeur pour... une bouteille d'encre noire de 127ml par exemple !
Avantage : encre beaucoup moins chère, et c'est fini de jeter une cartouche parce qu'on croit qu'elle est vide, ou quand c'est une cartouche qui gère les 3 couleurs, parce que l'une d'elle est effectivement vide mais pas les autres.
J'ai acheté plus chère l'imprimante, mais j'ai fais de bonnes économies ensuite sur l'encre. Mais bon, j'imprime assez régulièrement, et parfois en grosse quantité.
Et l'imprimante reste assez compacte. Ce qui est pas mal quand on n'a pas non plus énormément de place.
Le
06/01/2024 à
10h
17
Je fais le même travail et j’ai fait exactement la même chose, c’est à dire que j’ai tout abandonné après avoir vu le prix de l’audit de structure (720€ TTC chez moi) et les montants minimums à facturer pour rentrer dans le cadre du dispositif.
A ce propos, je rajouterais que le montant minimum nécessaire au déclenchement du dispositif ne concerne que la seule prestation de réparation, pas des pièces ou autres prestations (genre démontage etc..). 150€ de main d’œuvre pour la seule réparation c’est clairement dissuasif, même dans le cas de matériel de pointe ou de réparation complexe.
D’autre part, dans le cas du remplacement de matériels, la liste des pièces détachées à remplacer doit être envoyé à l’organisme Qualirepar pour validation car ils doivent s’assurer de la provenance « locale » de ces dernières avant de valider quoi que se soit. C’est pas une mauvaise idée, mais c’est pas vraiment applicable pour des petites structures.
Et c’est clairement le problème principal de ce dispositif : ce n’est pas pour les petites structures qui n’ont ni le temps administratif à consacrer, ni l’argent nécessaire pour le déployer correctement afin « d’absorber » ce coût dans le fonctionnement global.
Je ne suis même pas étonné que les professionnels adhérents augmente leurs prix, puisque de l’avis même des conseillers Qualirepar qui m’ont suivi sur le montage de dossier c’était un moyen de répercuter le coût de la certification.
A ce propos, je rajouterais que le montant minimum nécessaire au déclenchement du dispositif ne concerne que la seule prestation de réparation, pas des pièces ou autres prestations (genre démontage etc..).
150€ de main d’œuvre pour la seule réparation c’est clairement dissuasif, même dans le cas de matériel de pointe ou de réparation complexe.
Merci, c'est effectivement très intéressant à savoir. Cela rend donc quasiment le processus inutile pour les petites réparations....
Par exemple, les "petites imprimantes" (les jets d'encre qu'on a dans le commerce), même des multifonctions, elles sont affichées pour beaucoup à moins de 100€ (et on en trouve même à partir de 50). Donc, comment inciter, dans ces conditions, les gens à réparer plutôt qu'à jeter, alors que pour pouvoir bénéficier de la prime, il faut déjà 2 à 3x le prix de base de l'imprimante en main d'oeuvre ? (sans compter le coût des éventuelles pièces de rechange donc...)
Sur des imprimantes un peu plus haut de gamme, qui valent plusieurs centaines d'€, là, peut être que cela peut être intéressant. D'ailleurs, est-ce que la prime réparation est réservé aux particuliers, ou est-elle aussi ouverte aux entreprises ?
Dommage que certaines grandes distributions, notamment Debian, ait oublié leur raison d'être en y basculant. Par conception, ce machin fourrant ses dépendances partout, le remplacer devient progressivement impossible, à mesure que le temps passe.
Il reste quelques Mohicans barbus permettant de faire tourner des fork plus confidentiel, mais sans retour à la raison d'une distribution majeure, l'avenir est bien sombre pour un PID 1 respectable. L'exercice permet au moins d'illustrer la réalité de l'hydre, le fort couplage de tout un tas de mécanismes tiers à un machin qui veut à la fois être l'hyperviseur principal et le gestionnaire d'à peu près tout (et surtout n'importe quoi). Le tout codé avec l'arrière-train.
Heureusement qu'il existe encore des implémentations d'init qui répondent encore à la philosophie UNIX et qui permettent d'éviter l'hydre systemd.
A ce niveau, ta position s'éloigne de la philosophie pour relèver du dogmatisme.
Surtout que systemd respecte le principe d'unix. Eh oui, ce n'est pas un truc qui fait tout, ce sont des dizaines et des dizaines de binaire, chacun avec un rôle bien défini.
Dommage que certaines grandes distributions, notamment Debian, ait oublié leur raison d'être en y basculant.
A croire que systemd, c'est le diable Surtout que la raison d'être de Debian (je prends cette distribution en exemple car c'est celle que tu cites), c'est d'être 100% libre, stable et d'avoir un cycle de maintenance et de nouvelle version plus ou moins prédictible. Je n'ai pas eu l'impression qu'en passant à systemd, ils avaient oublié cela...
Par conception, ce machin fourrant ses dépendances partout, le remplacer devient progressivement impossible, à mesure que le temps passe.
Je suis allé faire un tour sur la distribution Gentoo, où il y a une page qui trace les paquets dépendant explicitement de systemd. J'en compte 9 (si on met de côté les paquets qui fournissent une application ou une bibliothèque dont le but premier est d'interagir avec systemd). 9 sur 19042 au moment où j'écris ces lignes. Effectivement, c'est partout.
Il est remarque aussi de voir à quel point l'ensemble des mainteneurs des grandes distributions sont des imbéciles qui ne comprennent rien et vendent leur âme au diable, pour avoir tous fait le même choix. Ces "imbéciles" n'ont donc absolument pas compris l'intérêt d'utiliser systemd (pourtant nombreux) et ne le fond que parce qu'ils ont "perdu la raison". Il est vrai que des démarrages plus rapides, une meilleure gestion des dépendances au démarrage, l'augmentation de la sécurité en facilitant grandement l'usage des cgroups et compagnie, et un système presque homogène d'une distribution à l'autre, c'est de la gnognote.
Je propose de ne pas revenir plus profondément sur le débat systemd/pas systemd, car ce n'est pas vraiment le sujet du brief. Surtout que généralement, ce n'est que de la résistance au changement de la part de personnes qui ne font que gueuler sans vraiment contribuer...
Le tout codé avec l'arrière-train.
Qui es-tu pour te permettre de juger ainsi la qualité du travail des autres, sans même être aller jeter un oeil à leur travaux ? Montre moi ton code et tes contributions. J'ai envie de rigoler un peu...
Oui. Et ? Cette interface plait à beaucoup. Peut être pas à toi, mais à d'autres oui.
un support commercial
Oui. Et ? La grande majorité des distributions linux n'en ont pas (et non, l'aide communautaire n'est pas un support commercial)
une dépendance à une entreprise
Où est la dépendance ? De plus, Zorin OS est libre
Mais à quel paradigme ces utilisateurs (consommateurs ?) s'accrochent-ils ?
Il y a une chose incroyable qui existe aujourd'hui, c'est la liberté de choix, et le respect des autres. Ce n'est pas parce que les autres n'ont pas le même avis que toi sur un sujet qu'ils ont tord.
Sans surprise, un dérivé d'Ubuntu, distribution faite pour les prisonniers qui veulent prétendre ne plus l'être.
Zorin OS ne te convient pas ? Très bien. Prends une autre distribution. Il y a beaucoup de choix. Ce n'est pas pour autant qu'il faut manquer de respect envers celles et ceux qui ne partagent pas de ton avis.
Pour rappel, il faut parler de distribution GNU/Linux, car Linux n'étant que le noyau, l'écrasante majorité des outils l'entourant (et avec lequel l'utilisateur s'interface 100% du temps) sont des outils pour la majorité GNU… et d'autres qui ne sont pas libres.
Et blablabla. Ce débat, sur le nom, bien qu'intéressant sur certains aspects, n'a pas sa place ici, car on est très loin du sujet. ZorinOS, c'est pour des néophytes, des non-initiés. Et croire que c'est GNU/Linux parce que la majorité des outils sont GNU, c'est ne strictement rien avoir compris au problème sous-jacent (et ce n'est pas ma position, mais celle de Richard Stallman, père du projet GNU). Mais sinon, moi je milite pour une convention du style Grub/GNU/Linux/SystemD/Flatpak/Kde/Firefox :p
[edit] J'avais oublié le chargeur de démarrage dans ma convention. Je l'ai rajouté
commentaire de test pour illustrer le rapport de bogue github 278
Oui enfin justement, on le sait qu'il y a un besoin de contrôle d'âge. C'est valable pour le contenu 18+ (pr0n, alcool, etc.), pour le 13+ (réseaux sociaux) et certains niveaux en dessous pourraient aussi y trouver leur compte.
Un système un peu universel permettrait d'être transverse, ça serait quand même bien qu'un seul paramètre sur un device puisse sélectionner le catalogue Netflix, l'accès à NextPorn, le SafeSearch de Google et définir les droits de consultation sur les contenus violents de Twitter.
Aujourd'hui, le débat est le même aux US qu'en France : les plateformes ne veulent pas assumer la responsabilité du contrôle d'âge, sujet ô combien complexe... et coûteux, pour CHAQUE site. Permettre d'envoyer une info "Ici, contenu 18+" en en-tête qui soit interprétée par le navigateur/logiciel/OS serait une solution qui remettrait la responsabilité là où elle est : c'est aux parents qui fournissent les dispositifs d'empêcher les gamins de regarder des contenus inadaptés.
Alors oui, ça s'outrepasse, ça se hack, les parents trouvent que le jeu 13+ est largement jouable par un 12 ans, etc., mais au moins ça permet à n'importe quel site de mettre en place un verrou fiable en quelques minutes, et vu les OS verrouillés qu'on commence à avoir, ça serait pas compliqué que le contrôle parental puisse être efficace. En tout cas, sur Google Family Link par exemple, ça se grefferait très bien à un tel dispositif.
Aujourd'hui, le débat est le même aux US qu'en France : les plateformes ne veulent pas assumer la responsabilité du contrôle d'âge, sujet ô combien complexe... et coûteux, pour CHAQUE site.
La problématique va bien au delà de ça (en tout cas, en France). D'un coté, on a un législateur qui a dit, on veut du filtrage, mais c'est pas notre problème de vous fournir une solution. De l'autre, on a des sites qui ont proposé de nombreuses solutions : - plus ou moins viables ; - plus ou moins attentatoire à la vie privée ; - plus ou moins efficace et qui ont TOUTES été retoquées soit par la CNIL, le CSA ou l'Arcep (c'était avant la fusion de mémoire).
La seule solution retenue, en France toujours, est semble-t-il le recours à un tiers de confiance. Il devait y avoir des expérimentations, mais je ne sais pas où cela en est aujourd'hui, ni si le principe a été validé.
La problématique, c'est surtout d'avoir une solution faisable et qui satisfasse l'ensemble des organes de contrôles : - qui ne soit pas attentatoire à la vie privée - qui soit efficace.
Crème titillanus : vous permet de vous la mettre bien profond tout en vous rendant content de payer un prix exorbitant !
Le
05/01/2024 à
12h
06
Après réflexion, et si c'était un coup de com "de génie" de la part de Guerlain ?
Je m'explique : vu le prix, ce n'est clairement pas une crème pour M. et Mme. tout le monde, mais bien pour des gens riches (pas aisés, riches !). Ils sont en train de faire parler d'eux à vitesse grand V. Quand bien même c'est de la "merdification", si certains pensent "et si c'était vrai ? Ca ne coute* rien d'essayer" (ou vu le niveau de certain, ce sera un complot pour continuer de nous faire mourir jeune).
Bref, la clientèle cible pour ce produit est très restreinte. Sera-t-elle sensible au débunkage ? Aucune idée. Mais c'est en tout cas très efficace pour faire parler de son produit...
----- * ça ne coute rien d'essayer pour les gens riches, je le reprécise
Le
05/01/2024 à
10h
49
« J’entends d’ici les cadavres de Schrödinger, Dirac et Heisenberg faisant des rotations dans leur tombe »
Des rotations dans les deux sens, en même temps (quantique oblige).
Et Guerlain ne peut pas être attaqué sur la base de publicité mensongère ? Voire tromperie ? Parce que là, c'est du haut niveau quand même...
[edit] Et surtout, est-ce que leur crème peut réparer les secteurs défectueux des disques durs ??
2771 commentaires
10 experts ont 72 jours pour « déterminer le bon usage des écrans : il en va de l’avenir de nos démocraties »
19/01/2024
Le 19/01/2024 à 11h 22
Je ne peux que citer et recommander chaudement "La Fabrique du crétin digital", de Michel DESMURGET, paru en 2019.C'est une analyse profonde, sourcée, avec de très larges références bibliographiques (et chacune d'entre elle est précisée, il y en a plus de 1000 !).
Pour résumer (très très grossièrement hein, donc pardonnez moi pour les raccourcis), l'auteur pointe 2 choses :
- l'usage de l'écran n'a aucun effet positif sur le développement (au mieux, il n'a pas d'effet négatif)
- les effets négatifs liés à l'usage de l'écran ne sont pas dus à l'usage même, mais au fait que le temps d'usage d'un écran vienne remplacer un temps "social", (c'est-à-dire d'intereaction avec ses parents, ses frères/soeurs, ses amis, etc...) et trop généralement, de manière passive (simple visionnage). Ce qui est hautement problématique durant les plus jeunes années car le cerveau est toujours en pleine évolution et que le manque de sollicitations tends à ralentir le développement cognitif.
Les applications Spotify, Netflix et YouTube ne seront pas disponibles sur le Vision Pro d’Apple
19/01/2024
Le 19/01/2024 à 09h 06
Je ne suis pas chez eux, donc cela ne reflète que mon avis :- spotify : c'est de la musique. On a tendance à le lancer en tâche de fond et on l'oublie. On reste rarement scotché devant. Et je ne suis pas sur que l'expérience utilisateur soit des plus optimales à écouter longuement de la musique avec un casque plus ou moins lourds sur la tête
- youtube : Google, concurrent à Apple => on met des batons dans les roues ?
Les promesses non remplies des caisses automatiques
18/01/2024
Le 18/01/2024 à 08h 31
Je n'ai jamais entendu dire que les caisses automatiques étaient plus rapide qu'une caisse normale, mais qu'elle permettait de fluidifier le trafic, notamment pour les petits achats.D'un point de vue surface, 4 caisses automatiques prennent à peu près autant de place que 2 caisses classiques. Donc augmentation du nombre de caisse pour une même superficie -> bon pour fluidifier.
D'un point de vue de l'utilisateur, en général, c'est plus long car : il faut déballer ses articles et les scanner un à un, les poser sur le plateau, payer, et ensuite ranger ses courses (rien n'est parallélisable). Avec un hôte de caisse, on peut déballer pendant qu'on est dans la file d'attente, et remballer pendant qu'il scanne. Les mêmes actions, mais qui peuvent être faite "en même temps".
Le sentiment de "rapidité" vient, pour moi, d'un effet de ressenti :
- une queue unique pour 4 caisses automatiques, forcément, ça avance plus vite qu'une seule queue pour une seule caisse.
- on est actif tout le long du processus, et pas actif/passif comme dans le cas d'une caisse classique.
Là où je perds du temps parfois en caisse auto, c'est lors du paiement. Je fais beaucoup de sans contact. Et dans certains enseignes (pas toutes, je le précise !), si le sans contact échoue, il faut attendre l'employé, qui doit biper son badge pour permettre un retour en arrière. Alors que dans d'autres, pas de souci, le retour en arrière se fait directement par le client, qui peut choisir un autre moyen de paiement, rechoisir carte bancaire et l'insérer à l'ancienne.
A noter aussi que le temps le plus long en caisse, c'est le paiement. Donc permettre aux petits paniers d'y aller et de tout gérer eux-mêmes permet de fluidifier les caisses classiques, en limitant la queue aux caisses classiques et en limitant le nombre de caisses -10 articles (j'en vois beaucoup moins qu'avant).
Par contre, je fustige aussi certains centres qui continuent d'imprimer un ticket de sortie même si on ne prend pas de ticket. Je ne suis pas certains que cela soit vraiment efficace pour la lutte contre le vol, car :
- je pense que le vol c'est plus un article pas scanné qu'un panier entier
- les 3/4 du temps, je n'ai pas besoin de scanner le ticket pour sortir : je profite du client qui me précède ! (et l'hôte de caisse qui gère les caisses automatique de me souhaiter une bonne journée)
Les ondes gravitationnelles, un « nouvel âge d’or pour l’astronomie »
16/01/2024
Le 16/01/2024 à 10h 37
La punchline du sous-titre657e édition des LIDD : Liens Intelligents Du Dimanche
14/01/2024
Le 15/01/2024 à 18h 59
Donc, si tu trouves que c'est trop cher, je n'aurais qu'une chose à dire : attends et lit les articles avec un mois de décalage ;) (mais ne le répète pas trop fort, il ne faudrait pas que Ferd capte l'astuce )
Euh non. Netflix est loin d'être suffisant si tu veux avoir un catalogue complet. Il va falloir multiplier un peu les abonnements de ce côté là aussi ;)
Le 15/01/2024 à 10h 54
1/ c'est voulu par l'équipe, et dis je ne sais combien de fois par Ferd et d'autres : l'idée est de passer à un abonnement au mois, plutôt qu'un abonnement par année, pour lisser les revenusPour la promo, je ne sais pas s'il va y avoir des promo ponctuelles, mais la volonté de l'équipe était aussi de mettre un terme à la promo d'ancienneté.
Le 14/01/2024 à 10h 38
Comment ça preum's ?Le 14/01/2024 à 00h 14
[edit] c'est bon, c'est corrigé. Merci Seb !
Le 14/01/2024 à 00h 09
J'ai l'impression que les LIDD sont incomplets. 2 titres, et aucun paragraphe derrière le dernier ?Cloudflare pointe les dangers d’un déferlement d’API non sécurisées
15/01/2024
Le 15/01/2024 à 13h 56
Le 15/01/2024 à 10h 00
- est-ce le nombre de requêtes ?
- est-ce la quantité de données en transit ?
Pour le coup, je pencherai pour 50% des requêtes HTTP sont vers des API.
Le 15/01/2024 à 09h 17
[Édito] Mots de passe, double authentification : grrrrr… il est temps d’agir !
12/01/2024
Le 14/01/2024 à 18h 05
De plus, il faut bien avoir conscience que derrière une seule adresse IP (notamment en IPv4), il peut y avoir plusieurs appareils différents (impossible donc de se servir de l'adresse IP pour identifier de manière sûre un appareil). Et en IPv6, il est impossible de savoir si une adresse IP avec le même préfixe (qu'il faut connaitre !) désigne un autre appareil ou le même appareil avec un changement d'IP.
C'est ça qui serait crétin. Rien, dans la norme IPv6, indique que le prefix est de 64 bits. C'est à la discrétion des fournisseurs d'accès et des gestionnaires de réseau. C'est souvent l'usage, mais rien n'est imposé.
En bref, j'ai l'impression que ton problème n'est pas lié aux IPs, mais plutôt à la connexion elle-même (navigation privée, ou navigateur configuré pour supprimer tous les cookies, logiciel antivirus, ...)
Le 13/01/2024 à 13h 45
C'est ne pas savoir comment fonctionne une partie du Dark Web. Une partie, c'est de vendre des comptes piratés. Donc empêcher les gens de revenir, c'est quand même loin d'être négligeable.
Par contre, tu as raison sur les services qui ne déconnectent pas au changement de mot de passe, et la mauvaise gestion des jetons JWT (qui doivent avoir une durée de vie très courte en réalité pour être sécurisés).
Maintenant, comme dit, dans mon précédent message, ce n'est pas un mécanisme de protection, c'est un mécanisme de détection. Donc la finalité n'est pas du tout la même, et en complément de mesures de protection, cela forme un système assez efficace.
Le 13/01/2024 à 10h 08
J'avoue que parfois, j'ai du mal avec le 2FA. Pas sur le principe (c'est très bien !), mais sur sa mise en oeuvre.Bien trop souvent, le 2FA, c'est :
- un login / mot de passe (pas que, mais c'est le plus courant)
- 1 méthode alternative (très souvent, SMS)
Trop rarement, le 2FA c'est :
- un login / mot de passe
- x méthodes alternatives (et x méthode en même temps, pas juste une)
La mise en pratique du 2FA idéal, pour moi, c'est de permettre de choisir son ou ses moyens alternatifs. Quand on est incapable d'utiliser son téléphone parce que perdu/volé mais aussi cassé (exemple personnel : écran cassé, qui n'affichait que 20% de l'écran et insensible au tactile), c'est très compliqué d'utiliser les SMS ou l'application TOTP !
Le TOP aussi niveau sécurité, même si ce n'est plus de la prévention, ce sont les notifications de nouvelles connexion. Quand un nouvel appareil se connecte à un compte => un mail. C'est toujours bon, ça ne coûte rien et évite bien des soucis, car si une nouvelle connexion arrive, on peut très rapidement agir et changer son mot de passe.
La plateforme Neosurf de paiement en ligne sans carte bancaire écope d’une amende de la CNIL
12/01/2024
Le 13/01/2024 à 09h 37
ex: "entre sanction CNIL et cible d'arnaques, Neosurf dans la tourmente"
Et si le principal problème rencontré par les utilisateurs ce sont justement les arnaques, n'aurait-il pas été plus judicieux de faire un article pointant cela, quitte à parler ensuite des amendes CNIL, et non l'inverse ?
Quoi qu'il en soit, cela n'empêche absolument pas l'article d'être très intéressant.
Le 13/01/2024 à 09h 31
Pour être précis, la solution de Google reCaptcha nécessite un consentement car les données recueilli par Google servent également d'autres finalités que la simple sécurisation (analyse du trafic par exemple).Si ie seul traitement de reCaptcha concernait la sécurisation du site, pour éviter les bot, il n'y aurait pas besoin du consentement. Mais c'est loin d'être le seul traitement, et les autres sont des traitements d'analyse de comportement, trafic, etc. D'où l'obligation, du point de vue de la CNIL, de recueillir le consentement avant l'utilisation de cette solution.
C'est donc au responsable de traitement de faire son boulot correctement :
- soit il continue d'utiliser reCaptcha, auquel cas il doit demander le consentement avant
- soit il choisi une autre solution, plus respectueuse de la vie privée.
Le son binaural, ou comment ne pas se faire avoir en 7.1
12/01/2024
Le 12/01/2024 à 14h 25
Attention, les casques 7.1 ne sont compatibles qu'à la condition d'être utilisé avec un câble Wifi blindé. Je ne comprends pas pourquoi personne ne le souligne...Un hacker français condamné à trois ans de prison aux États-Unis
12/01/2024
Le 12/01/2024 à 11h 15
- un innocent qui plaide non coupable peut risquer des peines qui seraient l'équivalent d'une peine à perpétuité.
- un innocent qui plaide coupable pour un chef d'accusation risquera beaucoup moins (par ex. 2 ans).
En plaidant coupable, la personne sait à l'avance ce qu'elle va avoir. En plaidant non coupable, cela peut se révéler très risqué...
Plainte pour violation du Copyright : OpenAI répond au New York Times
11/01/2024
Le 12/01/2024 à 11h 10
Question du jour : le pipotron peut-il être considéré comme une IA générative ? xD
Next saisit la CADA à propos de MIA, l’IA d’enseignement de Gabriel Attal
10/01/2024
Le 10/01/2024 à 18h 05
Le 10/01/2024 à 17h 51
Le 10/01/2024 à 15h 42
;) (sinon, à quand la possibilité d'inclure des images dans les commentaires ?)
Le 10/01/2024 à 10h 59
La difficulté est qu'aujourd'hui, le terme IA est utilisé tellement vaguement qu'il peut désigner de nombreuses choses.Pour certains, IA = réseau de neurones. Pour d'autre, IA = apprentissage sur la base de données. Pour la seconde définition, une simple régression linéaire est une IA.
Autant je suis d'accord avec ce que tu dis lorsqu'il s'agit de réseau de neurones, où, au final, on ne sait pas trop ce qui se passe, autant cela a du sens dans le cadre de la seconde définition. Je donnais l'exemple de régression linéaire, mais un algorithme de scoring rentre aussi dans cette catégorie par exemple. De même que les réseaux de Markov. Et ce ne sont que quelques exemples... Il en existe bien d'autres.
Et comme IA est un buzzword, on essaie aujourd'hui de le caser à toutes les sauces. Il y a quelques mots comme ça, tellement dénaturé qu'ils ne signifient plus grand chose...
Le 10/01/2024 à 10h 46
Cela risque de faire couler beaucoup d'encre ça...Un cartel mexicain a obligé la population à utiliser son Wi-Fi sous menace de mort
10/01/2024
Le 10/01/2024 à 17h 53
Le 10/01/2024 à 08h 11
Francis La LAN désapprouve ces pratiques, parce que plus personne ne l'écoute !Du coup, la population locale n'a plus internet ? Double peine...
Wi-Fi 7 : le programme de certification est là !
09/01/2024
Le 09/01/2024 à 13h 49
Le 09/01/2024 à 13h 48
Qui plus est, même si c'était le cas, il faudrait pour profiter des avantages de cela, une consommation qui soit véritablement améliorée. Qu'est-ce qui aujourd'hui nécessite une telle bande passante ? D'un point de vue du particulier j'entends. La VOD non. Le téléchargement ? Il faudrait des téléchargements colossaux, et à part pour certains jeux qui font plusieurs dizaines de Go, je ne vois pas vraiment l'intérêt.
Les débits annoncés me semblent tellement "disproportionnés" par rapport aux besoins du quotidien. La chose qui pourrait effectivement être intéressante, c'est sur la latence.
Même moi, qui fait pourtant un usage professionnel, avec un NAS, le Wifi 5 (pas le 6, le 5 !) est déjà suffisant au quotidien. Mon autre ordi, avec Wifi 6, c'est vrai c'est agréable lors du transfert de grosses quantités de données, mais c'est tellement anecdotique que cela relève du simple confort.
Bref, comme apporté par les autres commentaires, la latence peut apporter un plus dans certains usages (comme les jeux vidéos, la VR, etc.) mais reste aussi une cible assez restreinte par rapport aux usages des utilisateurs lambda.
Le 09/01/2024 à 09h 31
Est-ce que cela signifie que réglementairement, cela ne passe pas ? Si oui, tout appareil Wifi 7 serait donc hors norme ?Sinon, à part en entreprise, y a-t-il vraiment un intérêt d'avoir du Wifi 7 ? La bande passante est telle que le goulot d'étranglement ne sera jamais le Wifi, mais toujours la connexion internet (pour un particulier j'entends), même avec une connexion fibre 1Gb.
Et même avec un NAS à la maison, le goulot risque d'être le NAS plutôt que la connexion ! Mon ordi en Wifi 5 me "bride" pour le NAS, mais pas sur ma connexion fibre (qui "n'est que" de 300Mb).
Du coup, je m'interroge vraiment, pour les particuliers, est-ce qu'il y a d'autres choses qui feraient que cela soit utile ? Moindre consommation ou meilleure portée ?
Sur les réseaux sociaux, une redirection peut en cacher une autre
05/01/2024
Le 09/01/2024 à 09h 15
- 301 : redirection permanente
- 302 : redirection temporaire
- 307 : redirection temporaire (bis)
Sur le côté permanent / temporaire : cela permet de gérer soit un déménagement, soit des travaux de maintenance par exemple. Pour donner des idées : lors du déménagement de nextinpact vers next.ink, le site nextinpact redirige vers next.ink via une redirection permanente. Il n'y a plus de raison de conserver l'ancienne URL (le contenu a été déplacé) si ce n'est pour indiquer où il se trouve maintenant pour permettre d'y accéder. En analogie routière : la route est définitivement fermée, prenez la rocade qui a été mise en place.
Le temporaire, est, comme son nom l'indique bien... temporaire (vous ne vous y attendiez pas, avouez !!!). Une redirection temporaire peut avoir plein de cause. Maintenance serveur, mode dégradé, ... et dénote, normalement, une situation exeptionnelle qui n'est pas sensée durer. Quand le site ne nextinpact a connu un gros plantage il y a quelques mois, et que le site a été redirigé vers la beta, c'était de manière temporaire. En analogie routière : la route est temporairement fermée (réfection, installation électricité / gaz / autre, etc.), suivez les panneaux de déviation.
Pour terminer, une redirection permanente peut être mise en cache par le navigateur, alors qu'une temporaire ne doit surtout pas l'être.
Maintenant, la différence entre le 302 et le 307 (hormis que cela pourrait être des gammes de voiture). Tout se joue au niveau des verbes HTTP. En HTPP, il en existe plusieurs, le plus connu est le GET (on récupère les ressources) et le POST (en envoie des données, par exemple, un formulaire). Mais avec les API REST, on a vu se démocratiser les autres verbes (PUT, DELETE, ...).
Pour une redirection GET, il n'y a aucune différence entre le 302 et le 307. Donc, dans le cas du raccourcisseur d'URL, aucune importance.
Par contre, dans le cas des autres verbes, cela à son importance :
- (client) requête POST vers URL monurl.fr/123soleil => (serveur) réponse HTTP 302 vers bidule.fr/temporary-redirect => (client) requête GET vers URL monurl.fr/123soleil
- (client) requête POST vers URL monurl.fr/123soleil => (serveur) réponse HTTP 307 vers bidule.fr/temporary-redirect => (client) requête POST vers URL monurl.fr/123soleil
Ce besoin provient initialement d'une mécompréhension de la RFC qui défini les verbes HTTP. Normalement, seules les redirections permanentes devaient changer le verbe en GET. Mais beaucoup de clients (les navigateurs par exemple) ont appliqué la même stratégie aux redirections temporaires. Changer cet état de fait aurait créé de nombreux problèmes de compatibilité.
Aussi, il a été décidé de créer un deuxième code d'erreur, le 307, qui fait comme le 302, mais interdiction formel de changer le verbe HTTP.
Le 08/01/2024 à 10h 28
Une raison supplémentaire de détester les réducteurs d'URL : les URL peuvent être temporaire.Si une URL apparait dans un document par exemple, et si l'URL a expiré, alors on a une erreur 404. Mais pire ! Il y a déjà eu des attaques où l'URL raccourcie était réutilisée par des attaquants pour rediriger vers un contenu malveillant ! (certains raccourcisseur d'URL permettent de choisir l'URL générée) On avait donc des documents "officiels" qui pointaient sur des contenus vérolés.
Le 06/01/2024 à 13h 25
Non, ce n'est pas un bogue. Et c'est même mieux d'un point de vue vie privée.Si X s'occupe de l'aperçu, le site en question ne sait pas qui voit l'aperçu, tant que l'utilisateur n'aura pas cliqué sur le lien (si il clique).
Si X ne s'occupe pas de l'aperçu, mais que c'est un javascript côté client, alors le site en question saura qu'il y a un aperçu. A noter également que l'aperçu côté client poserait sans doute problème d'un point de vue consentement et dépôt des cookies.
De plus, d'un point de vue de X, si c'est X qui gère l'aperçu, il peut optimiser l'affichage (notamment le temps) via une mise en cache, du contenu au moment où il est posté. Chose impossible à faire si le rendu est géré côté client.
Bref, X (ou tout autre site d'ailleurs) a de nombreux intérêts à gérer les aperçus côtés serveur.
L'aperçu de la card à donc
Le 06/01/2024 à 10h 09
Aucun DNS non, mais un raccourcisseur d'URL- un client A visite une URL : http//raccour.ci/sdlfiugt
- le site raccour.ci redirige via une redirection HTTP (HTTP, pas DNS !) vers le site derrière. Par exemple, http://monsitemalveillant/?p1209843
- le site malveillant est interrogé, et pour répondre au client A, il va regarder le UserAgent qui est dans la requête
- si le UserAgent correspond à un navigateur classique, alors le client A va avoir le contenu malveillant (de la pub, des scripts malveillants, ou que sais-je encore, sur fond de copie légitime parfois)
- si le UserAgent ne correspond pas à un navigateur classique, alors le client A est redirigé vers le site "original" (par exemple, le monde).
Ainsi, les moteurs d'indexation ou ceux qui font apparaitre des miniatures voient le site légitime, tandis que les véritables utilisateurs voient le contenu vérolé.
[MàJ] Midjourney recrache des images Pixar et d’œuvres protégées, parfois sans qu’on le lui demande
04/01/2024
Le 08/01/2024 à 19h 48
Il est difficile ici de parler de fair use. Dans le cas des moteurs de recherche par exemple, c'est du fair use, car chacun y trouve son compte : le moteur enrichie son indexe, et la cible est référencée (donc trouvable).
Ici, on est dans une nouvelle zone, une zone grise, à la frontière entre tout ce qui était connue jusqu'à présent. On peut faire beaucoup d'analogie, mais il y a toujours le détail qui vient mettre un grain de sable dans l'engrenage.
On aimerait qu'il soit simple d'apporter une réponse, et que tout soit blanc ou noir. Mais ce n'est pas le cas ici. La problématique des oeuvres dérivées (car pour moi, c'est de cela donc cela se rapproche le plus) est délicate, car placer le curseur sur ce qu'est une nouvelle oeuvre, un plagiat, une inspiration, une caricature, etc... c'est extrêmement compliqué.
J'ai juste envie de prendre l'exemple des oeuvres sous licences CC-BY-NC-SA par exemple. On a le droit de les modifier, de les partager, mais pas d'en tirer profiter (que ce soit de l'oeuvre original ou de la modification). Une IA génératrice qui ressort une oeuvre inspirée d'une oeuvre sous licence CC-BY-NC-SA, respecte-t-elle la licence ? Où se situe la limite ? Réponse : il n'y a pas de réponse toute faite.
Surtout que la notion d'exploitation commerciale peut être très vague : pour certaines licence, cela ne va concerner que la vente directe. Pour d'autre, la vente de tout service incluant, de près ou de loin, la présence de l'oeuvre.
En bref, c'est un véritable bordel car derrière chaque notion, chaque terme, il peut y avoir mille interprétations différentes, et répondre à la question du droit d'auteur, cela va nécessiter de répondre à de multiples questions, qui n'acceptent pas une réponse simple :
- qu'est-ce qu'une exploitation commerciale ?
- qu'est-ce qu'une oeuvre dérivée ?
- où commence l'inspiration et où se termine le plagiat ?
- quelle est la part de responsabilité de l'utilisateur et celle de l'éditeur de l'outil ?
- où se situe la limite du fair use ?
- quid des droits moraux ?
Quand on voit que des procès d'un ayant droit à un autre, peuvent prendre des années (par exemple, le célèbre cas de scrat, dont le procès initial a débuté en 2003 pour être clos en... 2022 !
Alors on peut dire tout ce que l'on veut, sauf que c'est simple. Cela ne l'était déjà pas avant les IA génératrice. La situation étant encore plus floue qu'avant, cela ne peut être que plus compliquée encore...
Le 08/01/2024 à 13h 12
Merci pour ce boulot.Comme les téléchargements sont limités, je me suis permis de repartager les infos sur mon instance de Lufi (logiciel open source de partage de fichier). Le lien est disponible ici et valable 1 an : https://file.custom-dev.fr/r/wespF3pM9A#VBrpAO4tyu8J8D7Hh3lgJy2zIDIHSfyvr41Yuk8uGX0=
Mais si cela te pose problème, pas de souci, je peux procéder à sa suppression immédiate.
Le 08/01/2024 à 09h 40
Mais cette comparaison me semble déjà beaucoup plus pertinente que le photocopieur ou photoshop. Avec le comparatif IA/Stagiaire, se pose la question de l'intermédiaire humain / pas humain.
Le 08/01/2024 à 09h 01
Différence minime mais ô combien importante dans le cas qui nous intéresse ici.
656e édition des LIDD : Liens Intelligents Du Dimanche
07/01/2024
Le 07/01/2024 à 15h 15
Voilà, j'ai retrouvé la caricature de Flock (désolé, je n'arrive pas à inclure directement l'image).caricature : https://raw.githubusercontent.com/francois-dorin/blog/master/assets/images/flock-caricature-expert.webp
Et voici aussi la vidéo dont je parlais. Une vidéo de grande qualité, dans la thématique des LIDD, et qui risque de vous faire voir un peu rouge (et vous ne pourrez pas dire que je ne vous avais pas prévenu !) : https://www.youtube.com/watch?v=o-YBDTqX_ZU
Le 07/01/2024 à 09h 53
Le 07/01/2024 à 00h 55
lolIl faudrait que je retrouve, mais Flock m'avait fait une caricature sur le sujet. J'essaierai de la partager. J'avais aussi une autre vidéo intéressante pour compléter. Mais je ferais tout ça demain. Là, c'est dodo time :)
Bonus réparation : quel bilan au bout d’un an ?
04/01/2024
Le 07/01/2024 à 09h 52
Pour ma part, j'ai une imprimante à 3 chiffres comme tu dis. Mais j'imprime pas mal (pour le boulot). Et j'ai pris une imprimante avec réservoir plutôt qu'à cartouche : l'encre est terriblement moins cher. 15,99€ sur le site du constructeur pour... une bouteille d'encre noire de 127ml par exemple !
Avantage : encre beaucoup moins chère, et c'est fini de jeter une cartouche parce qu'on croit qu'elle est vide, ou quand c'est une cartouche qui gère les 3 couleurs, parce que l'une d'elle est effectivement vide mais pas les autres.
J'ai acheté plus chère l'imprimante, mais j'ai fais de bonnes économies ensuite sur l'encre. Mais bon, j'imprime assez régulièrement, et parfois en grosse quantité.
Et l'imprimante reste assez compacte. Ce qui est pas mal quand on n'a pas non plus énormément de place.
Le 06/01/2024 à 10h 17
Merci, c'est effectivement très intéressant à savoir. Cela rend donc quasiment le processus inutile pour les petites réparations....
Par exemple, les "petites imprimantes" (les jets d'encre qu'on a dans le commerce), même des multifonctions, elles sont affichées pour beaucoup à moins de 100€ (et on en trouve même à partir de 50). Donc, comment inciter, dans ces conditions, les gens à réparer plutôt qu'à jeter, alors que pour pouvoir bénéficier de la prime, il faut déjà 2 à 3x le prix de base de l'imprimante en main d'oeuvre ? (sans compter le coût des éventuelles pièces de rechange donc...)
Sur des imprimantes un peu plus haut de gamme, qui valent plusieurs centaines d'€, là, peut être que cela peut être intéressant. D'ailleurs, est-ce que la prime réparation est réservé aux particuliers, ou est-elle aussi ouverte aux entreprises ?
Linux représenterait près de 4 % des utilisateurs d’ordinateurs de bureau
05/01/2024
Le 05/01/2024 à 21h 45
Le 05/01/2024 à 21h 00
Surtout que systemd respecte le principe d'unix. Eh oui, ce n'est pas un truc qui fait tout, ce sont des dizaines et des dizaines de binaire, chacun avec un rôle bien défini.
A croire que systemd, c'est le diable Surtout que la raison d'être de Debian (je prends cette distribution en exemple car c'est celle que tu cites), c'est d'être 100% libre, stable et d'avoir un cycle de maintenance et de nouvelle version plus ou moins prédictible. Je n'ai pas eu l'impression qu'en passant à systemd, ils avaient oublié cela...
Je suis allé faire un tour sur la distribution Gentoo, où il y a une page qui trace les paquets dépendant explicitement de systemd. J'en compte 9 (si on met de côté les paquets qui fournissent une application ou une bibliothèque dont le but premier est d'interagir avec systemd). 9 sur 19042 au moment où j'écris ces lignes. Effectivement, c'est partout.
Il est remarque aussi de voir à quel point l'ensemble des mainteneurs des grandes distributions sont des imbéciles qui ne comprennent rien et vendent leur âme au diable, pour avoir tous fait le même choix. Ces "imbéciles" n'ont donc absolument pas compris l'intérêt d'utiliser systemd (pourtant nombreux) et ne le fond que parce qu'ils ont "perdu la raison". Il est vrai que des démarrages plus rapides, une meilleure gestion des dépendances au démarrage, l'augmentation de la sécurité en facilitant grandement l'usage des cgroups et compagnie, et un système presque homogène d'une distribution à l'autre, c'est de la gnognote.
Je propose de ne pas revenir plus profondément sur le débat systemd/pas systemd, car ce n'est pas vraiment le sujet du brief. Surtout que généralement, ce n'est que de la résistance au changement de la part de personnes qui ne font que gueuler sans vraiment contribuer...
Qui es-tu pour te permettre de juger ainsi la qualité du travail des autres, sans même être aller jeter un oeil à leur travaux ? Montre moi ton code et tes contributions. J'ai envie de rigoler un peu...
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04/01/2024
Le 05/01/2024 à 19h 18
- plus ou moins viables ;
- plus ou moins attentatoire à la vie privée ;
- plus ou moins efficace
et qui ont TOUTES été retoquées soit par la CNIL, le CSA ou l'Arcep (c'était avant la fusion de mémoire).
La seule solution retenue, en France toujours, est semble-t-il le recours à un tiers de confiance. Il devait y avoir des expérimentations, mais je ne sais pas où cela en est aujourd'hui, ni si le principe a été validé.
La problématique, c'est surtout d'avoir une solution faisable et qui satisfasse l'ensemble des organes de contrôles :
- qui ne soit pas attentatoire à la vie privée
- qui soit efficace.
Et ça... c'est très complèxe.
[MàJ] Guerlain ne parle plus « quantique » ni « Gold Quantum™ » pour sa crème à 650 euros
06/01/2024
Le 05/01/2024 à 15h 47
Crème titillanus : vous permet de vous la mettre bien profond tout en vous rendant content de payer un prix exorbitant !Le 05/01/2024 à 12h 06
Après réflexion, et si c'était un coup de com "de génie" de la part de Guerlain ?Je m'explique : vu le prix, ce n'est clairement pas une crème pour M. et Mme. tout le monde, mais bien pour des gens riches (pas aisés, riches !). Ils sont en train de faire parler d'eux à vitesse grand V. Quand bien même c'est de la "merdification", si certains pensent "et si c'était vrai ? Ca ne coute* rien d'essayer" (ou vu le niveau de certain, ce sera un complot pour continuer de nous faire mourir jeune).
Bref, la clientèle cible pour ce produit est très restreinte. Sera-t-elle sensible au débunkage ? Aucune idée. Mais c'est en tout cas très efficace pour faire parler de son produit...
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* ça ne coute rien d'essayer pour les gens riches, je le reprécise
Le 05/01/2024 à 10h 49
Des rotations dans les deux sens, en même temps (quantique oblige).Et Guerlain ne peut pas être attaqué sur la base de publicité mensongère ? Voire tromperie ? Parce que là, c'est du haut niveau quand même...
[edit] Et surtout, est-ce que leur crème peut réparer les secteurs défectueux des disques durs ??