Alors non, le problème ne vient pas de Windows. Le problème vient de la différence de comportement entre le monde Unix et le monde Windows (plus particulièrement, les caractères d'échappement à utiliser lors de la création d'un processus, où, sous Linux les spawn, popen, etc. utilise le backslash tandis que CreateProcess (l'API WIndows donc) utilise le caret (^).
Le fait que la même erreur ait été faite par plusieurs équipes distinctes dans plusieurs langages n'en fait pas un problème de Windows. Quand on appelle mal une API, il ne faut pas rejeter la faute sur l'API.
Des comportements Unix ont été calqués sur Windows, et après on vient dire que c'est de la faute de Windows. Le problème aurait tout aussi bien pu être dans l'autre sens, et là, personne n'aurait remis en cause Linux.
Comme expliqué dans l'article, on peut regretter que la communication soit axée sur Rust alors que la faille touche de nombreux langages. C'est juste que la faille a été découverte via Rust en premier.
Il faut se le dire aussi : la clientèle smartphone n'est pas la même que la clientèle PC. Et quand ça coïncide la vision, l'utilisation et l'attention n'est pas la même (amha les OS/GUI "hybrides" type Windows 8 ont expérimentés défavorablement cette différenciation ).
Aussi il faut se mettre a la place de l'utilisateur lambda : l'OS pas maintenu sur le téléphone ne donnera lieu à aucune notification donc pas d’inquiétude, par contre pour Windows en plus des notification il y aura surement un passage au JT et différents sites d'actualités donc inquiétude.
Pour le reste je suis relativement d’accord.
Aussi il faut se mettre a la place de l'utilisateur lambda : l'OS pas maintenu sur le téléphone ne donnera lieu à aucune notification donc pas d’inquiétude, par contre pour Windows en plus des notification il y aura surement un passage au JT et différents sites d'actualités donc inquiétude.
Justement, c'est bien ça qui me chiffone. Microsoft est transparent et averti longtemps avant, et se prend plein de skud sur le sujet.
Par contre, si on met tout sous le tapis, personne n'en parle, même si les pratiques sont encore pire
Le
12/04/2024 à
08h
57
Il te suffit d'aller dans les paramètres > Windows Update > et de cliquer sur "Obtenir un bilan de santé du PC".
Tu auras toutes les démarches nécessaires ;)
Cela va te permettre d'ouvrir (ou d'installer avant si besoin) l'application de contrôle d'intégrité du PC. Tu as un encart qui correspond à Windows 11. Si tu cliques sur "Vérifier maintenant", tu sauras si ton PC est compatible ou pas, si non, pourquoi.
Le
12/04/2024 à
08h
51
Ou sinon, on reste sous Windows 10 sans support. C'est sur, c'est pas top d'un point de vue sécurité, mais c'est déjà ce qui est fait aujourd'hui avec les smartphones et personne ne s'en plaint. Donc, à mon avis, beaucoup le feront.
Surtout que la fin du support de signifie pas que cela ne fonctionnera plus du jour au lendemain. Quand on voit la durée de vie de XP, il y en a encore pour des années. Ce qui a vraiment "motivé" les derniers récalcitrants à changer, c'est les applications qui ne supportaient plus XP, à commencer par les navigateurs.
Vu la part de marché de Windows 10 sur Windows 11 actuellement (pour les Windows installés, grosso modo 70% de Win10 contre 30% de Win11), je vois plusieurs possibilité : - Microsoft fait comme XP : la durée de vie a été étendue à plusieurs reprises - Microsoft a continué de réaliser des mises à jour de sécurité lorsqu'il s'agissait de failles critiques (jusqu'en 2019 je crois) alors que le support de XP SP3 date de 2014 (date de support étendu !). - Microsoft autorise l'installation de Win11 sur des PC "non compatible", en désactivant certaines fonctionnalités (comme celles requérants la présence d'un TPM) - Microsoft ne fait rien. La part de Windows 10 restera tout simplement importante.
Après, les gens peuvent aussi réfléchir 2s. Sur les portables, c'est un point plus compliqué (je le concède), mais sur les tours, rajouter un module TPM à la carte mère est souvent possible pour un coût dérisoire (quelques dizaines d'€). Donc quand je lis que les entreprises devront changer leur parc informatique, c'est surtout que ces entreprises devraient changer d'équipe informatique. Sans compter le nombre d'équipement en réalité matériellement compatible, dont une fonctionnalité est désactivée dans l'UEFI (coucou le TPM).
Microsoft n'a pas changé les prérequis matériels depuis au moins Windows Vista (oui oui, Vista !). La migration d'une version à l'autre est gratuite depuis Windows 7. Des versions successives de Windows auront donc eu comme prérequis la même configuration matériel pendant près de 20 ans ! 20 ans, c'est trèèèèès long en informatique.
Ca me tue aujourd'hui de lire que Microsoft fait de l'obsolescence programmée avec Windows 11, alors que justement, de ce point de vue, c'est un des acteurs privés qui fait le plus d'effort à ce sujet, bien loin devant ses confrères des GAFAM comme Apple.
Enfin, les gens auront le choix, c'est aussi à eux de prendre leur responsabilité : - continuer d'utiliser Windows 10, sans support donc - installer un OS alternatif - changer de matos
Donc non, Microsoft n'oblige pas a changé son matériel. Les utilisateurs ont juste un choix à faire. Mais est-ce qu'ils se posent la question alors que leur téléphone n'a pas reçu de mise à jour depuis 2 ans ?
Ce RS se porte bien mieux depuis le rachat justement.
D'autres ne sont pas de cet avis apparemment. En résumé : baisse du nombre d'utilisateurs de 30% en 1 an. Pas certains que l'on puisse dire que ce réseau social se porte bien du coup.
Je suis d'accord. Ce qui est surprenant c'est que StatCounter affiche des résultats bruts et non retravaillés (au moins a posteriori). Ces glitchs sont des bugs majeurs dans leur mesure qui perd quand même beaucoup de son intérêt. Ils doivent être capables de les détecter et de les neutraliser (le moins de l'un correspond au plus de l'autre à l'œil). Toutes les fortes variations sur unknown sont en fait des Windows non reconnus.
Toutes les fortes variations sur unknown sont en fait des Windows non reconnus.
On distingue que ChromeOS est aussi impacté par ces pics. Une baisse de Chrome OS se traduit souvent par une hausse de Unknown. Il y a souvent un pic correspondant avec Windows presque au même instant, mais parfois un peu décalé (ce qui rend très difficile toutes interprétations).
Il faudrait analyser les données brutes pour aller plus loin...
Le
11/04/2024 à
11h
23
Y a aussi des problèmes coté Linux, hein. C'est loin d'être tout rose pour une utilisation quotidienne desktop/laptop par le grand public.
Mais j'ai tout de même l'impression que Linux avance dans la bonne direction. Alors que windows va dans le sens opposé...
Oui, je suis plutôt d'accord avec ta conclusion.
Maintenant, Windows, même si pas parfait, à un mécanisme de mise à jour plutôt bien rodé, dans le sens où si ça foire, il arrive à revenir tout seul dans une situation stable dans la grande majorité des cas. Ca fait même des années que je n'ai pas eu à "réparer" un Windows manuellement après une mise à jour en erreur (depuis Windows 7).
Sous Linux, je ne comptais plus les kernel panic (parce qu'il manquait un argument au boot par rapport au modèle du portable ou que le nom du périphérique de boot avait changé par exemple), au DE qui ne démarrait plus, quand ce n'était pas purement et simplement X/Wayland après une mise à jour. Bref, sous Linux, j'avais toujours un live CD dans un coin pour réparer ma bécane en cas de problème
Le
11/04/2024 à
11h
14
Avec un graphique comme ça, j'ai tendance à me dire que les crêtes sont simplement des erreurs dans la détermination des OS (surtout que c'est avec Unknown).
Il y a tellement de chose qui peuvent influencer la détermination de l'OS, a commencer par le UserAgent. Il suffit donc qu'il y ait une mise à jour d'un navigateur ou de l'OS pour générer ce genre de pic.
Le
11/04/2024 à
10h
37
C’est surtout que je suis adepte du ça marche c’est stable, c’est cool. Et pour le moment Windows depuis windows 10 c’est plutôt : ça marche, on met à jour pour mettre à jour, ça marche plus.
Au delà des mises à jour de sécurité, je me souviens pas avoir vu de grandes améliorations après Windows 7.
Les services packs c’était pas mal car on les installait à la main et ils sortaient pas tous les 4 matins.
Comme quoi on a tous des ressentis différents. Je suis aussi un adapte du ça marche, c'est stable, c'est cool. Du coup, c'est à cause de ça que je suis repassé sous Windows, après une nième mise à jour de Linux qui avait flingué ma machine, et j'avais la flemme de passer encore des heures à résoudre le problème.
Et si au début, ça m'a fait un peu bizarre de repasser à windows, j'ai bien moins de soucis à gérer avec les mises à jour depuis.
On est d'accord que ça me fait chier aussi les mises à jour imposées. Mais dans un sens, c'est pas plus mal, car c'est bien le genre de truc que je suis capable de dire plus tard, plus tard, plus tard et de remettre cela beaucoup trop longtemps.
Windows n'est pas parfait (loin de là), mais ça m'a fait gagner du temps.
Pour pouvoir réaliser une synchronisation parfaite de 2 antennes différentes (et si c'est possible !), il faudrait déployer des moyens colossaux, à commencer par une synchronisation parfaite des 2 antennes. Un décalage ne serait-ce que d'1 microseconde et la lumière parcours 300m de plus ou de moins par rapport à ce qui était prévu, et c'est donc raté pour la synchronisation des signaux.
Avant tout je suis néophyte. Pour mon regard naïf (de néophyte donc) ça me semble relativement simple :-) les antennes en questions sont sur le même pylône, je ne vois pas la difficulté particulière à les synchroniser très précisément. On y arrive avec des constellations satellites de GPS en mouvements espacés de plusieurs milliers de km, pourquoi ne pourrait-t-on pas le faire pour des antennes séparées de quelques cm ?
Ce n'est pas pour faire interférer les ondes d'antennes différentes entre elles.
Wikipedia écrit exactement l'inverse : Ceci est réalisé en combinant les éléments d'un réseau d'antennes à commande de phase de telle façon que dans des directions particulières, les signaux interfèrent de façon constructive tandis que dans d'autres directions les interférences soient destructives. Le beamforming peut être utilisé du côté émetteur ou du côté récepteur pour obtenir une sélectivité spatiale.
Avant tout je suis néophyte. Pour mon regard naïf (de néophyte donc) ça me semble relativement simple :-)
Rien n'est simple en mécanique ondulatoire, et encore moins lorsqu'il s'agit d'électromagnétisme ;) Regarde le principe d'interférence des ondes électromagnétiques, comme l'expérience de Young par exemple.
Wikipedia écrit exactement l'inverse :
Wikipédia parle des ondes en général. Ce qui est vrai à première vue pour les ondes mécaniques (avec support, comme le son par exemple) ne l'est pas forcément pour les ondes électromagnétiques et inversement.
Pour réaliser des interférences électromagnétiques, il faut que les deux sources soient en cohérence spatiale et temporelle.
Et cela ça nécessite des conditions très strictes. Les interférences, au sens ondulatoire du terme, on ne l'atteint à ce jour que par des lasers (à ma connaissance). Et encore, il faut que les 2 faisceaux qui interfèrent soient issus du même laser (sinon, il n'y a pas la cohérence temporelle, donc pas d'interférence).
On y arrive avec des constellations satellites de GPS en mouvements espacés de plusieurs milliers de km, pourquoi ne pourrait-t-on pas le faire pour des antennes séparées de quelques cm ?
Parce que ce ne sont pas les mêmes besoins. Pour que le GPS fonctionne, il faut effectivement une synchronisation avec les satellites. Mais les besoins de synchronisation pour pouvoir réaliser des interférences lumineuses sont beaucoup, beaucoup plus importants.
Quand tu parlais d'antennes, je pensais antenne distance, pas sur le même pylône. Mais cela ne change pas grand chose en pratique, tant les conditions pour avoir des interférences lumineuses sont drastiques.
Si tu prends l'expérience de Young, et qu'au lieu d'éclairer chaque fente avec le même faisceau, tu l'éclaires avec 2 sources différentes (2 lasers identiques), tu observeras... l'absence d'interférence !
Bref, le beamforming, est utilisé, selon moi, pour avoir une diffusion anisotropique du signal. Cela permet de diffusion plusieurs signaux sur la même fréquence et en même temps, mais dans des directions différentes. Mais absolument par pour faire interférer des signaux provenant de multiples antennes comme tu le sous-entends dans ton commentaire #5.3 ;)
Le
11/04/2024 à
08h
48
Je ne suis pas certain d'avoir bien tout saisi, mais j'ai l'impression, avec le beamforming, que tu reçois beaucoup plus fort ton signal, et le second est bien moins fort : au niveau du bruit, il suffit alors de le filtrer.
D'un point de vue liaison il y'a bien 2 transmissions simultanées sur le même canal (et donc multiplication des pains). C'est la position géographique, et l'exploitation du phénomène de beamforming, qui permet à chacun de filtrer ses données et donc de partager la même fréquence.
Wikipedia semble en phase avec mon propos. Chaque antenne émet les deux signaux, en calculant le décalage exact pour qu'à telle position géographique, ils arrivent en même temps et se superposent : - ton signal arrive d'une soixantaine d'antennes parfaitement synchronisées, et donc se cumulent et augmentent le gain l'endroit précis de ta position, - celui (ceux ?) destiné(s) à d'autres utilisateurs t'arrivent en décalé donc ne se cumulent pas voire s'annulent.
De mes cours lointain, notamment en électromagnétique, pour que deux signaux puissent interférer (au sens ondulatoire du terme), il faut qu'il soit totalement synchronisé. Le caractère constructif ou destructif provient alors de la différence de phase.
La méthode pour que les 2 signaux soient totalement synchronisés, c'est qu'ils proviennent de la même source (attention, c'est uniquement le cas pour les ondes électromagnétiques, pour les ondes mécaniques, pas besoin).
Donc l'effet beamforming dont tu parles, est utilisé au sein de chaque antenne, pour envoyer un même signal avec plus ou moins de force en fonction de l'angle vis-à-vis de l'antenne, pas pour faire interférer des signaux d'antenne entre eux.
Pour pouvoir réaliser une synchronisation parfaite de 2 antennes différentes (et si c'est possible !), il faudrait déployer des moyens colossaux, à commencer par une synchronisation parfaite des 2 antennes. Un décalage ne serait-ce que d'1 microseconde et la lumière parcours 300m de plus ou de moins par rapport à ce qui était prévu, et c'est donc raté pour la synchronisation des signaux.
Même en descendant à 1 nanoseconde, (30cm), c'est encore beaucoup trop pour pouvoir faire de l'interférence ondulatoire entre 2 sources différentes.
Donc en fait, de ce que je comprends, l'effet beamforming, c'est pour que chaque antenne émette une onde qui ne soit pas la même en fonction de la direction de la diffusion. Ce n'est pas pour faire interférer les ondes d'antennes différentes entre elles.
Pas d'accord. Si la note n'est pas super précise, avec un bon barême, elle permet tout à fait de noter chaque notion évoquée en cours.
Quand à l'oral, c'est ce qui se fait en étude supérieures avec les colles. Mais c'est une pression énorme pour les élèves, il y a une proportion non négligeable qui craque avant/pendant/après une colle. Alors que dans les fait, une colle c'est juste une interro orale, mais le côté "personnel"/"intime" est un énorme poids.
Je pense que l'IA peut être une bonne idée pour préparer une interro: une IA capable de soulever des points noirs dans les réponses, de faire réagir l'élève, peut être un énorme plus dans l'apprentissage.
Beaucoup d'élèves se noient dans le cours: n'y voient que du par coeur, n'y voient pas le cheminement. Il n'y a qu'en s'entraînant qu'on peut progresser. Or, les élèves ont beaucoup trop de sollicitations à côté, et comme ils ont des exigences d'animation énormes maintenant, le travail et la progression personnelle ne leur apporte pas assez de satisfaction/amusement. Donc un coach numérique IA, un truc qui pré note, je trouve cela très intéressant pour essayer de remédier au gap énorme entre les attentes/exigences des élèves et les possibilités de l'éducation nationale.
Quand à l'oral, c'est ce qui se fait en étude supérieures avec les colles. Mais c'est une pression énorme pour les élèves, il y a une proportion non négligeable qui craque avant/pendant/après une colle. Alors que dans les fait, une colle c'est juste une interro orale, mais le côté "personnel"/"intime" est un énorme poids.
J'ai fait classe prépa, et je n'ai pas vraiment vécu les khôlles comme une contrainte ou ajoutant une pression énorme. La pression vient du rythme effréné entre les heures de cours, les heures de khôlles, les DS, les DM et les devoirs à la maison. Mais ce n'est pas les khôlles en particulier qui ajoute de la pression.
J'ai envie de dire au contraire même. Cela permettait d'avoir un moment privilégié avec un professeur (qui n'est pas forcément le sien !) pour poser des questions s'il y a un truc qui est mal compris ou pas clair tout en s'assurant d'avoir compris d'autres notions. C'est un bon point de validation, mais je suppose qu'on n'aborde pas tous de la même manière ce genre d'exercice, et cela dépend aussi du prof qui fait passer la khôlle (j'ai eu la chance d'être dans un lycée où l'ambiance était plutôt bonne, les profs aussi)
Je me suis posé la même question, et j'ai donc décidé de compléter ma lecture en allant jeter un oeil au rapport (dont le lien est dans la brève).
Microsoft sait certaines choses, mais pas d'autres.
Ce qui est su : l'attaque c'est déroulé via une clé de chiffrement volée. Le laxisme reproché à Microsoft à ce sujet concerne plusieurs points : - la clé devait initialement être retirée en mars 2021 => la clé a été prolongée - la clé ne devait servir que pour générer des tokens OWA (Outlook Web Access) => la clé pouvait aussi générer des tokens pour MSA (Microsoft Account Service). Il y avait donc un problème de séparation et une réutilisation de la clé - la clé, au moment des faits, n'était plus sensée être utilisée. Cela aurait donc pu être détecté. - ce n'est pas Microsoft qui a détecté l'attaque, mais des clients.
Ce qui n'est pas su : comment l'attaquant à eu accès à la clé de chiffrement. Microsoft a pourtant fait de longues investigations à ce sujet, allant jusqu'à établir 46 hypothèses, chacune vérifiée par différentes équipes de Microsoft. Aucune des hypothèses envisagées n'a pu être validée à ce jour.
Il s'agit là d'un grossier résumé d'une lecture en diagonale, mais qui, je l'espère, permet de mieux comprendre un peu les tenants et aboutissants de cette histoire.
Si par distribution web, on entend bien la distribution direct en dehors de tout store (que ce soit celui d'Apple ou un store alternatif), alors, chez Apple, se sont des génies pour s'assurer une rente :
- Autre condition identique et « sévère », avoir une application dont le nombre de premières installations dans l’Union européenne a dépassé le million. - pour exploiter la distribution web, les développeurs et éditeurs devront obligatoirement passer par les nouvelles conditions tarifaires. - Problème, en cas de passage aux nouvelles conditions (réservées à l’Europe),la Core Technology Fee entre en piste. Celle-ci prévoit un paiement supplémentaire à Apple de 0,5 euro pour chaque nouvelle installation de l’application au-delà du premier million et en fonction des gains générés par celle-ci.
Autrement dit, de ce que je comprends, Apple vient de s'assurer que tout éditeur qui pourraient utiliser la distribution web se retrouve dans des conditions telles qu'il devra obligatoirement payer la Core Technology Fee. J'aurais presque envie d'applaudir si cela n'était tout simplement pas abject.
[edit] Je viens de trouver un bogue. Si on met de multiples citations, il n'y en a qu'une seule qui apparait. J'ai modifié le message en conséquence.
Tu as raison, les conséquences pour les personnes sont à prendre en compte. Mais les raisonnements entreprises restent ainsi même pour des cas plus importants. Je vais continuer à essayer de répandre le bon point de vue CNIL dans ma boite mais c'est que la peur du gendarme fait peur !
Je ne peux malheureusement qu'être d'accord...
J'ai en tête un prestataire de messagerie sécurisée pour la santé, qui malgré plusieurs incidents ces dernières années, n'a pas fait de déclaration, ni de communication auprès de ses utilisateurs.
Pourtant, des mails qui sont bien marqués comme envoyés mais jamais reçus par les destinataires, dans le cadre de la prise en charge de patient (données de santé), c'est bien une violation de données...
C'est pourtant pas compliqué de dire aux utilisateurs que "de telle date à telle date, les emails que vous avez envoyés ne sont pas arrivés à destination. Merci de les renvoyer."
Mais bon, je suis aussi prestataire. J'ai informé mon propre client, mais ne peut pas faire beaucoup plus, n'étant pas RT...
Le
03/04/2024 à
11h
45
Je partage ton ressenti sur les impacts en terme d'image. Les organismes pensent d'abord à l'impact sur leur image avant de répondre à leurs obligations légales.
Par contre, attention aussi : un incident n'est pas forcément une violation de données. Exemple : des données sont écrasées (erreur humaine), mais restaurable via des sauvegardes. Il y a une perte de disponibilité, mais temporaire, et qui ne rentre donc pas vraiment dans la définition d'une violation au sens propre, d'autant plus qu'un tel cas ne présente généralement aucun risque pour les personnes physiques (cf. article 33 paragraphe 1 du RGPD).
Car il est bon de le rappeler : la déclaration de violation de données est obligatoire en cas de risque pour des personnes physiques. S'il n'y a aucun impact, il n'y a pas de déclaration obligatoire (on peut toujours la faire, mais c'est facultatif). Mais il faut qu'il n'y ait aucun impact (je le remets en gras volontairement). S'il y a un risque, même faible, alors oui, la déclaration est obligatoire. Ainsi, une fuite de données, même chiffrées, est toujours à déclarer à la CNIL, car présente toujours un risque, aussi faible soit-il.
En cas de doute sur l'impact (par exemple, on constate une violation, sans pouvoir en définir pour l'instant l'ampleur, ni les données concernées, etc.) alors, dans le doute, il faut faire une déclaration préalable à la CNIL, que l'on viendra ensuite compléter au fur et à mesure.
Il faut aussi dissocier la notification à la CNIL de la communication aux personnes concernées. La première est une obligation dès qu'il y a une violation avérée. La seconde uniquement si la violation présente un risque élevé pour les personnes concernées (article 34).
Un autre argument que j'ai entendu, pour ne pas déclarer à la CNIL une violation, c'était la peur que cela déclenche un contrôle. Il faut savoir qu'il ne sera jamais reprochés d'avoir fait une déclaration "inutile", mais qu'il nous sera toujours reproché de ne pas avoir fait de déclaration. Et pour ma part, je serai à la CNIL, si j'ai le choix entre 2 organismes à contrôler, un qui fait des déclarations de temps en temps, un autre qui n'en fait jamais, je choisirai celui qui n'en fait jamais !
On parlait de Samsung, il ne me semble pas qu'ils pratiquent ces arnaques.
Franchement je suis aller jeter un œil sur la fiche du S24, c'est plutôt bien fait y'a un manuel de réparation de 127pages en FR et en EN. Pour installer un lineageOS c'est simplement 8 étapes, rien d'insurmontable tous les liens sont là, pas besoin de googler quoi que ce soit en parallèle.
J'avoue ne pas savoir ce qu'il en est aujourd'hui avec les derniers modèles. Mais à une époque pas si lointaine, ils avaient ce genre de pratique oui.
Pour installer un lineageOS c'est simplement 8 étapes, rien d'insurmontable tous les liens sont là, pas besoin de googler quoi que ce soit en parallèle.
Rectification : rien d'insurmontable pour toi. Dans mon entourage, j'ai des personnes qu'il faut assister pour l'installation et/ou la configuration d'applications via le store. C'est clairement le genre de personne à qui je ne donnerait pas la documentation pour changer l'OS de leur tel.
Les choses ont peut être changées aussi depuis, car cela fait un certains temps que je n'ai pas fait de changement de ROM, mais j'avais grosso modo 1/3 des cas où cela se passe mal, et il fallait des compétences plus avancées pour résoudre le soucis. J'ai depuis, décidé d'arrêter (trop d'emmerdes et de sueurs froides !).
Et non, le problème ne venait pas de la documentation qui n'était pas suivi à la lettre, mais d'une documentation parfois incomplète ou erronée, et c'est souvent en conjuguant plusieurs docs ou en consultant les forums que j'arrivais finalement à faire l'installation. A l'époque, ce n'était pas Linéage, mais Cynogenmod.
Le
30/03/2024 à
16h
15
La seule compétence nécessaire est de lire l'anglais, car la doc est quasi tout le temps en Anglais.
Il n'y a pas vraiment de risque, si un flashage plante (câble pourri plus de batterie ou t'as sauté une étape), bah tu recommences :)
Le flashage ne désactive rien du tout, tu peux à tout moment retourner sur l'image Stock et retrouver ton téléphone comme à l'origine.
La seule compétence nécessaire est de lire l'anglais, car la doc est quasi tout le temps en Anglais.
L'anglais ne suffit pas. Il faut connaitre suffisamment son téléphone, savoir déterminer avec précision son modèle, choisir les bonnes versions des ROMs, les logiciels, la ligne de commande. Non, ce n'est pas trivial
ll n'y a pas vraiment de risque, si un flashage plante (câble pourri plus de batterie ou t'as sauté une étape), bah tu recommences :)
Tu parles de soft brick. Oui, en général, on peut s'en sortir (mais là, il faut généralement un peu plus de connaissance que simplement l'anglais).
Bien que plus rare de nos jours, il y a également le hardbrick. Et là, rien à faire, à part le jeter à la poubelle
Le flashage ne désactive rien du tout, tu peux à tout moment retourner sur l'image Stock et retrouver ton téléphone comme à l'origine.
Certains téléphones ont un compteur indiquant le nombre de flashage. S'il est supérieur à 0, certaines fonctionnalités (comme le NFC) peuvent être irrémédiablement désactivé, car même la réinstallation de la ROM d'origine ne remettra pas en route la fonctionnalité.
Il existe sur certains modèles de téléphone la possibilité de réinitialiser le compteur. Mais là encore, c'est une opération non triviale, qui, si mal faite, peut briquer le téléphone.
L'option "installe un Android vierge" n'est pas une option grand public. C'est une opération qui nécessite un minimum de compétence et qui présente toujours un risque.
Le
28/03/2024 à
09h
39
À ma connaissance, aucun Samsung ne bloque pas quoi que ce soit, tu enlèves l'option "OEM unlocking" dans le menu développeur du téléphone, et installe un android tout vierge.
Sur un iPhone, tu n'as cette option donc iOS doit permettre la désinstallation des softs inutiles.
Ouais, je reste perplexe. C'est techniquement faisable, mais nécessite un minimum de connaissances et n'est pas sans risque (car il ne faut pas oublier que tout flashage présente un risque).
De l'autre, l'utilisateur fait comme d'habitude pour désinstaller une application.
Et c'est sans compter qu'un flashage désactive certaines fonctionnalités du téléphone (paiement sans contact par exemple)
Je me souviens du logiciel Tor, quand je l'avais essayé, qui conseillait de garder la taille de la fenêtre par défaut, et non pas de la mettre en plein écran (critère supplémentaire)
Maintenant, TorBrowser réduit légèrement et aléatoirement la taille de la fenêtre d'affichage à l'intérieur de la fenêtre du navigateur pour « casser » ce paramètre de suivi.
Il me semblait justement que ce n'était pas aléatoire mais fixe. Pour que toutes les personnes utilisant Tor renvoi, grosso modo, les mêmes info dans les entêtes, limitant ainsi les risques de pistage.
Le
29/03/2024 à
11h
46
Attention, il a aussi été critiqué, mais je ne retrouve pas où, mais il permet de comprendre le principe.
Par exemple, pour mon navigateur, il met en avant en début de page :
"Tout le temps" (l'afichage par défaut) : gnu/linux based : 24,91 % Firefox : 40,90 % fr : 4,73 % UTC+01:00 : 14,34 %
On peut en conclure que leur échantillon est biaisé : Il n'y a pas de telles proportions d'utilisateurs de Linux et de Firefox (actuellement pour ce dernier), par contre, ceux qui sont intéressés par le sujet ont probablement plus tendance à utiliser Linux et Firefox. L'outil est français et est probablement utilisé actuellement surtout par des Français (et peut-être des Belges) : fr + fuseau horaire qui sont surreprésentés sur le 90 jours.
En allant plus loin, mon user agent est très discriminant (0,75 % sur 90 ; ça n'a aucun sens sur tout le temps puisque les versions du navigateur changent tout le temps) : en effet, j'utilise une version ESR de Firefox sous Linux ce qui est assez rare.
L'en-tête Referer (next.ink ou framablog.org) correspondent tous les 2 à 0 % (pour 90 jours). Si je fais un accès direct au site, donc sans Referer, ça ne change rien à mon unicité.
En parcourant le reste, les point très discriminants sont liés à mon OS et ma distribution Linux (Debian).
Je ferais donc les reproches suivants :
- afficher par défaut une comparaison " de tout temps" (le projet à environ 10 ans) renforce l'unicité ne serait-ce que par le numéro de version du navigateur. - les utilisateurs du site ne sont pas représentatifs des utilisateurs du Web et ceux qui l'utilisent ont plus facilement des particularités discriminantes.
Attention, il a aussi été critiqué, mais je ne retrouve pas où, mais il permet de comprendre le principe.
Il faut rester dans l'optique du projet et ne pas lui prêter des intentions qui ne sont les leurs ;)
L'objectif du site, rappelé dès la page d'accueil, est le suivant :
Ce site web a pour but d'étudier la diversité des empreintes de navigateur et de fournir à des développeurs des pointeurs pour créer des contre-mesures efficaces aux techniques de suivi. Vous pouvez nous aider en permettant de récolter votre empreinte. Vous aurez une présentation de celle-ci ainsi que des statistiques présentant son unicité pour chaque attribut.
Que la détermination de quelques critères soit un peu biaisé n'a pas forcément d'impact réel sur les objectifs suivis, qui sont plutôt d'ordre pédagogique. L'idée est de montrer comment, rien qu'avec les entête HTTP, ou via le javascript, il est possible de faire une empreinte plus ou moins fiable. Si tu couples cela avec une adresse IP (très discriminant) tu peux vite avoir une empreinte unique quasi à coup sur à un instant T (pour la plus grande joie de Facebook, Google, X, etc. bref ceux qui ont des trackeurs sur n'importe quel site et qui peuvent donc suivre quelqu'un, même sans cookie).
Je me souviens du logiciel Tor, quand je l'avais essayé, qui conseillait de garder la taille de la fenêtre par défaut, et non pas de la mettre en plein écran (critère supplémentaire)
Mais sinon, je suis d'accord que l'affichage par défaut devrait être 90 jours (ou en tout cas, pas tout le temps !)
Le
29/03/2024 à
10h
52
Génial ce lien !
A mettre dans les LIDD alors :p
Le
29/03/2024 à
09h
28
De plus, beaucoup cherche un VPN pour les aspects sécurités et vie privée. S'il n'y a rien à redire jusqu'à présent niveau sécurité, Wireguard ne peut pas agir comme un no-logs VPN (pour des raisons techniques, l'IP est utilisée en interne), car les traces de l'IP sont conservées bien au delà de la durée de vie de la connexion.
Le masquage de l'IP n'a jamais été, de mon point de vue, un gage de protection de la vie privée contrairement à ce que les vendeurs de VPN disent. Les attaques contre la vie privée se font avant tout par fingerprinting du navigateur, l'IP v4 étant partagée elle n'a plus aucune signification ou alors très vague. Et ça, un VPN n'y peut rien à ma connaissance en dehors de filtrer les scripts et URL malicieuses comme un bloqueur de contenu ferait.
Depuis que j'ai récupéré une FTTH, je suis actuellement identifié à Calais. Pas de bol, j'habite bien plus loin, mais bon, OK, c'est la même région. Quand j'étais en box 4G pendant plusieurs mois, je me suis baladé dans toute la France d'un point de vue IP et je me suis tapé à peu près systématiquement les CAPTCHA anti bots en raison des IP partagées sur le réseau mobile. Car mon navigateur efface les cookies/caches/sessions à chaque fin de session sur un site (quand le dernier onglet est fermé), sauf exceptions.
Perso la question que je pose souvent quand on me dit qu'un VPN protège la vie privée c'est : pourquoi un site sur lequel je suis identifié continue de m'identifier lorsque le VPN est actif ? S'il protégeait ma vie privée, la session aurait sauté car considérée comme différente. Là non, on est tout autant traqué car c'est le client qui est scanné, par sa connexion.
Le masquage de l'IP n'a jamais été, de mon point de vue, un gage de protection de la vie privée contrairement à ce que les vendeurs de VPN disent.
Alors je parlais de vie privée par rapport aux logs de connexion, pas par rapport au site sur lequel tu navigues (où effectivement le calcul d'empreinte est sacrément efficace, et pour ceux qui ne connaissent pas, je recommande le site Am I unique pour un petit test ;))
Après, c'était plus pour répondre que Wireguard est différent, avec des avantages et des inconvénients par rapport aux solutions existantes, car on a l'impression en lisant certains, que wireguard est le saint graal (comme systemd, wayland, btrfs, pulseaudio et j'en passe ^^) et que ne pas l'utiliser est une hérésie méritant lapidation et buché !
Le
29/03/2024 à
08h
06
C'est oublier que Wireguard nécessite l'installation d'un logiciel sur chaque appareil (en plus du serveur bien sur), là où d'autres VPN, comme OpenVPN, peuvent offrir des solutions basées sur des protocoles standardisés et plus ou moins inclus de base dans les OS (donc sans installation supplémentaire).
Wireguard s'intègre profondément dans le système (installation de drivers spécifiques). Par exemple, sur mon NAS synology, je ne peux pas l'installer sans faire des trucs hyper compliqués, car il n'est pas supporté par le noyau.
De plus, beaucoup cherche un VPN pour les aspects sécurités et vie privée. S'il n'y a rien à redire jusqu'à présent niveau sécurité, Wireguard ne peut pas agir comme un no-logs VPN (pour des raisons techniques, l'IP est utilisée en interne), car les traces de l'IP sont conservées bien au delà de la durée de vie de la connexion.
Le
28/03/2024 à
09h
14
FDN : File des Data Now ?
--> je suis déjà dehors....
Le
28/03/2024 à
08h
48
bah justement je cherchais quels blocages en France, si blocage il y'a c'est probablement une loi à laquelle FDN devra aussi se confronter. En 4G / 5G peut-être ?
Par contre ydamiain a trouvé la raison majeure : les wifi publiques.
A ma connaissance, en France, les seuls blocages que l'on a ne sont pas au niveau du trafic réseau, mais des DNS des principaux FAI, qui doivent mentir pour rediriger certains sites.
Ou le débranchage du site par le fournisseur (OVH, Scaleway, ...), mais là, c'est tout le monde, donc pas sur qu'on puisse parler de blocage (ou en tout cas, pas de blocage de trafic).
Après, c'est surtout le retrait de Wordpad installé par défaut. En lisant l'annonce de Microsoft, on voit que wordpad, c'est 2 exe et 1 dll. Il doit être assez simple de mettre ça dans un coin pour le conserver. Il n'est pas impossible non plus qu'on voit apparaitre Wordpad directement sur le store.
Pour ceux qui utilisent encore réellement Wordpad, il y aura bien une solution pour l'installer, car Wordpad ne va pas magiquement ne plus fonctionner d'un coup (et quand on voit la durée de vie du démineur de Windows 98, installable même sous Windows 10, on peut être confiant ^^).
Le titre des articles est souvent trop court pour exprimer une nuance, un fois qu'on l'a compris, on est plus compréhensif.
Par contre, ces utilisateurs n'étaient pas ciblés en tant que tels. Ils servaient juste à étudier les échanges de l'appli Snapchat avec les serveurs afin de comprendre pourquoi ils avaient une supériorité au niveau de la publicité.
Le titre des articles est souvent trop court pour exprimer une nuance, un fois qu'on l'a compris, on est plus compréhensif.
Je suis d'accord, mais là, : - la nuance est facilement exprimable - et elle me semble importante (au final, cela ne concerne que très peu d'utilisateurs)
Le
28/03/2024 à
08h
06
Je ne suis pas d'accord avec toi sur le titre. Le trafic (avec un seul f en français) espionné suffisait à Facebook pour comprendre comment Snapchat attirait plus d’annonceurs et pour modifier ses propres applications afin d'être au même niveau que Snapchat. Et le titre ne dit pas qu'il s'agit de tout le trafic, je l'ai compris comme espionner les échanges en lisant le chapeau de l'article (qui permet d'en dire un peu plus tout en utilisant la même expression que dans le titre).
En tout cas, le sous-titre est très bon.
Je me fais avoir à chaque fois sur le nombre de F. Je crois que la prochaine j'en mettrai 3 pour être sûr de me planter !
Pour le titre, je suis peut être trop tatillon, mais la langue française est pleine de nuance, et les affirmations suivantes, bien que globalement identique, sont très différentes : - comment Facebook a espionné le trafic chiffré de Snapchat - comment Facebook a espionné (une partie) du trafic chiffré de Snapchat
Dans le premier cas, je comprends tout le trafic (avec un seul F !!! ;) ). Dans le second, qu'il s'agit plutôt d'un espionnage ciblé.
L'ambiguïté est vite levé en lisant l'article, mais il faut quand même attendre la section suivant l'introduction (Demande explicite de Mark Zuckerberg) pour comprendre que la surveillance ciblait des utilisateurs particuliers (en l'occurrence, ceux du VPN d'Onavo).
[edit]
Par contre, on est d'accord, pas d'ambiguïté sur le sous-titre.
Le
27/03/2024 à
17h
28
Du coup, je trouve le titre de l'article très trompeur. On a l'impression que Facebook a espionné tout le traffic de snapchat, ce qui n'est pas le cas. Ce n'est qu'une petite partie du trafic, ce qui est quand même très différent. Et cela, avec l'accord* des personnes intéressées.
une astérisque pour dire que c'est un accord technique*, mais pas un véritable accord (dans le sens consentement) dans le sens où bien peu avait réellement connaissance du sujet je pense.
S'il faisait cela, le traité d'extradition avec le RU tomberait. Je ne suis pas sûr qu'il soit prêt à cela.
En plus, je ne suis pas sûr qu'il ait le pouvoir de retirer ces garanties, mais tu as peut-être une connaissance plus forte que moi des lois des USA vu ton affirmation ci-dessus.
S'il faisait cela, le traité d'extradition avec le RU tomberait. Je ne suis pas sûr qu'il soit prêt à cela.
J'irais plus loin, ce sont tous les traités d'extradition avec les USA qui risqueraient de tomber.
Lors d'une formation que j'ai suivi il y a quelques années sur le sujet, une des raisons évoquée pour expliquer la peur du projet SAFARI, c'était l'occupation allemande durant la seconde guerre mondiale, notamment à travers la chasse aux juifs, homosexuels, etc. avec la complicité du gouvernement de Vichy.
A l'époque, sans fichiers informatisés, cela à conduit à des désastres, comme la rafle du Vel D'Hiv. Alors je n'ose imaginé ce que cela aurait pu être en présence de tels fichiers.
Le projet SAFARI a pris place quelques décennies à peine après, la mémoire des disparus étant encore bien présente.
Autre temps, autres mœurs. "rares" sont celles et ceux à avoir connu la 2nd guerre mondiale. Aujourd'hui, j'ai l'impression qu'on va bien plus loin que ce qui était initialement prévu pour le projet SAFARI (déjà que certaines entreprise comme Facebook ou Google ont à disposition des profils très détaillés sur certains aspects, comme l'orientation sexuel, les convictions politiques ou la religion).
On est parfaitement d'accord sur ce point, mais il doit être sanctionné par l'Ordre (radié, interdit d'exercer etc...), pas par le juge qui traite l'affaire dans laquelle il plaide.
Je ne connais pas suffisamment la justice américaine pour répondre à cela, mais en France, il existe des motifs "par négligence" par exemple, jugeable par des juges, pas forcément par les ordres.
Un avocat qui présente de fausses jurisprudences, ou qui inventerait des lois, c'est suffisamment grave pour que la sanction ne soit pas uniquement du ressort de l'ordre. Je me demande même si présenter une fausse jurisprudence ne pourrait pas relever du parjure dans le droit américain.
Le
25/03/2024 à
10h
22
Dire des conneries de bonne foi n'est pas puni par la loi. S'il doit être sanctionné, c'est au niveau du conseil de l'ordre des avocats (ou ce qui en tient lieu aux USA) et non au niveau judiciaire.
Dire des conneries n'est pas punissable en tant que telle par la loi, c'est vrai. Par contre, faire preuve de manquement professionnel et/ou d'incompétence, ça oui, ça peut l'être ;)
Un avocat qui ne vérifie pas une jurisprudence, c'est pour moi un manquement professionnel.
Le
25/03/2024 à
08h
21
Son avocat, David M. Schwartz, avait lui-même produit ces citations « hallucinées » au tribunal. Le juge, Jesse M. Furman, a déclaré que l'épisode était « embarrassant et malheureux », mais qu'il acceptait l'explication de M. Cohen selon laquelle il ne comprenait pas le fonctionnement de Google Bard et n'avait pas l'intention d'induire M. Schwartz en erreur. Le juge a également conclu que M. Schwartz n’avait pas « agi de mauvaise foi ».
Il n'y a peut être pas de mauvaise intention à la base et il s'est fait avoir par son manque de connaissance de l'outil, il n'en reste pas moins qu'il est avocat. A ce titre, il a des obligations (ou en tout cas, il devrait en avoir), dont celle de vérifier les citations. Qu'une personne lambda qui décide de se représenter elle-même face cette erreur est, pour moi, acceptable. Qu'un professionnel du droit fasse cette erreur, c'est par contre inadmissible.
M. Scharwtz est le plus fautif à mes yeux, car c'est lui qui agit en tant qu'avocat dans cette affaire. Il a le devoir de vérifier ses éléments, qu'importe que ses éléments lui aient été fourni par son client qui est aussi avocat. Un client, ça ment. D'ailleurs, "tout le monde ment", d'après le Dr en médecin Grégoy HOUSE.
J'aurais comparé à un moment avec VSCode (car quitte à enrichir Notepad, autant passer sur le framework Monaco et basta) mais lui-même ne fait pas de vérif ortho par défaut.
C'était plus à une référence à l'arrêt de Wordpad. 1) Microsoft arrête Wordpad 2) Microsoft fait évoluer le blocnote en Wordpad xD
Le
21/03/2024 à
09h
39
A continuer ainsi, le bloc note va devenir le nouveau Wordpad...
Et pour ajouter «une couche» @Patatt , je suis moi aussi horripilé des prix de la littérature française électronique où, pour moi, il n'y a que l'auteur (s'il est vivant) à rémunérer… et aussi l'entretien du site de vente (bon ! les informaticiens ont peut-être des salaires de footballeurs )
Je me demande dans quelle mesure la loi n'y est pas pour quelque chose. Nous avons en France (comme dans beaucoup de pays) un prix unique pour les livres papiers (notamment pour permettre aux petites librairies de survivre face à des mastodons).
Quand un livre est disponible à la fois au format papier et au format numérique, n'y a-t-il pas une loi qui viendrait caler le prix du livre numérique en fonction du livre papier ? Cela ne m'étonnerait pas (mais je n'ai rien trouvé pour l'instant à ce sujet).
J'ai trouvé ça : https://www.elevenforum.com/t/change-name-of-user-profile-folder-in-windows-11.2133/
C'est du bidouillage, mais à priori, c'est ce qu'un "Independent Advisor" a conseillé sur le forum de MS : Microsoft
Oui, c'est possible de le faire, et depuis longtemps. Mais comme tu dis, ça reste du bidouillage, et il vaut mieux le faire sur un compte fraichement créé que sur un "vieux" compte le jour où tu as un programme qui ne passe pas par exemple. Car tu ne mets à jour que Windows, pas les différents programmes qui peuvent avoir stockés dans leur configuration le chemin vers le home.
Après, l'astuce du lien qui propose ensuite de créer un lien symbolique est pas mal, justement pour éviter des soucis avec ces programmes. Mais c'est moche
Le
21/03/2024 à
08h
22
Pour voir l'occupation du disque, je recommande WInDirStat (open source, existe en version portable). Interface légèrement plus austère, ce logiciel propose une visualisation graphique de la taille des fichiers. Cliquer sur un gros rectangle permet de savoir tout de suite où il est !
Un autre conseil que je peux donner, c'est qu'à moins d'avoir besoin de déboguer les crashs Windows, il est possible d'activer des dump léger plutôt que des dumps complets. Pour ma machine sur Windows 11 qui a 64Go de mémoire, ça fait toute la différence !
Au niveau réinstallation et choix du compte, un dernier élément. Cela ne me gène pas d'avoir un compte lié à mon compte Microsoft. Par contre, ça me gène que je ne puisse pas choisir le nom de mon répertoire personnel. Car comme moi, quand on a un prénom avec des caractères diacritiques (François), j'ai toujours, à un moment ou à un autre, un logiciel qui ne fonctionne pas/mal à cause de ça. Du coup, je crée toujours un compte local que je rattache ensuite à mon compte Microsoft.
[edit] J'ai rajouté la précision que WinDirStat est open-source. Je voulais la mettre initialement, mais je l'avais oubliée ! J'ai rajouté aussi l'existence d'une version portable, pratique pour emporter pour avec soi sur une clé USB pour des dépannages :)
C'est plus fait pour faire tourner 800000 doom, mais à 2 FPS.
(matériellement, je ne sais pas s'il y a tout ce qu'il faut pour faire un pipline 3D classique, et logiciellement, je crains qu'il n'y ait pas les bibliothèques nécessaires. Et de toute façon, il n'y a pas de sortie vidéo)
2777 commentaires
Une faille critique dans le langage Rust, Windows trinque
12/04/2024
Le 12/04/2024 à 17h 51
J'ai regardé l'article de blog cité pour plus de détails techniques.Alors non, le problème ne vient pas de Windows. Le problème vient de la différence de comportement entre le monde Unix et le monde Windows (plus particulièrement, les caractères d'échappement à utiliser lors de la création d'un processus, où, sous Linux les spawn, popen, etc. utilise le backslash tandis que CreateProcess (l'API WIndows donc) utilise le caret (^).
Le fait que la même erreur ait été faite par plusieurs équipes distinctes dans plusieurs langages n'en fait pas un problème de Windows. Quand on appelle mal une API, il ne faut pas rejeter la faute sur l'API.
Des comportements Unix ont été calqués sur Windows, et après on vient dire que c'est de la faute de Windows. Le problème aurait tout aussi bien pu être dans l'autre sens, et là, personne n'aurait remis en cause Linux.
Comme expliqué dans l'article, on peut regretter que la communication soit axée sur Rust alors que la faille touche de nombreux langages. C'est juste que la faille a été découverte via Rust en premier.
Windows 10 : Microsoft commence à prévenir les utilisateurs de la fin du support
12/04/2024
Le 12/04/2024 à 09h 29
Par contre, si on met tout sous le tapis, personne n'en parle, même si les pratiques sont encore pire
Le 12/04/2024 à 08h 57
Il te suffit d'aller dans les paramètres > Windows Update > et de cliquer sur "Obtenir un bilan de santé du PC".Tu auras toutes les démarches nécessaires ;)
Cela va te permettre d'ouvrir (ou d'installer avant si besoin) l'application de contrôle d'intégrité du PC. Tu as un encart qui correspond à Windows 11. Si tu cliques sur "Vérifier maintenant", tu sauras si ton PC est compatible ou pas, si non, pourquoi.
Le 12/04/2024 à 08h 51
Ou sinon, on reste sous Windows 10 sans support. C'est sur, c'est pas top d'un point de vue sécurité, mais c'est déjà ce qui est fait aujourd'hui avec les smartphones et personne ne s'en plaint. Donc, à mon avis, beaucoup le feront.Surtout que la fin du support de signifie pas que cela ne fonctionnera plus du jour au lendemain. Quand on voit la durée de vie de XP, il y en a encore pour des années. Ce qui a vraiment "motivé" les derniers récalcitrants à changer, c'est les applications qui ne supportaient plus XP, à commencer par les navigateurs.
Vu la part de marché de Windows 10 sur Windows 11 actuellement (pour les Windows installés, grosso modo 70% de Win10 contre 30% de Win11), je vois plusieurs possibilité :
- Microsoft fait comme XP : la durée de vie a été étendue à plusieurs reprises
- Microsoft a continué de réaliser des mises à jour de sécurité lorsqu'il s'agissait de failles critiques (jusqu'en 2019 je crois) alors que le support de XP SP3 date de 2014 (date de support étendu !).
- Microsoft autorise l'installation de Win11 sur des PC "non compatible", en désactivant certaines fonctionnalités (comme celles requérants la présence d'un TPM)
- Microsoft ne fait rien. La part de Windows 10 restera tout simplement importante.
Après, les gens peuvent aussi réfléchir 2s. Sur les portables, c'est un point plus compliqué (je le concède), mais sur les tours, rajouter un module TPM à la carte mère est souvent possible pour un coût dérisoire (quelques dizaines d'€). Donc quand je lis que les entreprises devront changer leur parc informatique, c'est surtout que ces entreprises devraient changer d'équipe informatique. Sans compter le nombre d'équipement en réalité matériellement compatible, dont une fonctionnalité est désactivée dans l'UEFI (coucou le TPM).
Microsoft n'a pas changé les prérequis matériels depuis au moins Windows Vista (oui oui, Vista !). La migration d'une version à l'autre est gratuite depuis Windows 7. Des versions successives de Windows auront donc eu comme prérequis la même configuration matériel pendant près de 20 ans ! 20 ans, c'est trèèèèès long en informatique.
Ca me tue aujourd'hui de lire que Microsoft fait de l'obsolescence programmée avec Windows 11, alors que justement, de ce point de vue, c'est un des acteurs privés qui fait le plus d'effort à ce sujet, bien loin devant ses confrères des GAFAM comme Apple.
Enfin, les gens auront le choix, c'est aussi à eux de prendre leur responsabilité :
- continuer d'utiliser Windows 10, sans support donc
- installer un OS alternatif
- changer de matos
Donc non, Microsoft n'oblige pas a changé son matériel. Les utilisateurs ont juste un choix à faire. Mais est-ce qu'ils se posent la question alors que leur téléphone n'a pas reçu de mise à jour depuis 2 ans ?
Enquête ouverte au Brésil contre Elon Musk
09/04/2024
Le 11/04/2024 à 14h 03
Linux représenterait plus de 4 % des ordinateurs de bureau
11/04/2024
Le 11/04/2024 à 11h 30
Il faudrait analyser les données brutes pour aller plus loin...
Le 11/04/2024 à 11h 23
Maintenant, Windows, même si pas parfait, à un mécanisme de mise à jour plutôt bien rodé, dans le sens où si ça foire, il arrive à revenir tout seul dans une situation stable dans la grande majorité des cas. Ca fait même des années que je n'ai pas eu à "réparer" un Windows manuellement après une mise à jour en erreur (depuis Windows 7).
Sous Linux, je ne comptais plus les kernel panic (parce qu'il manquait un argument au boot par rapport au modèle du portable ou que le nom du périphérique de boot avait changé par exemple), au DE qui ne démarrait plus, quand ce n'était pas purement et simplement X/Wayland après une mise à jour. Bref, sous Linux, j'avais toujours un live CD dans un coin pour réparer ma bécane en cas de problème
Le 11/04/2024 à 11h 14
Avec un graphique comme ça, j'ai tendance à me dire que les crêtes sont simplement des erreurs dans la détermination des OS (surtout que c'est avec Unknown).Il y a tellement de chose qui peuvent influencer la détermination de l'OS, a commencer par le UserAgent. Il suffit donc qu'il y ait une mise à jour d'un navigateur ou de l'OS pour générer ce genre de pic.
Le 11/04/2024 à 10h 37
Et si au début, ça m'a fait un peu bizarre de repasser à windows, j'ai bien moins de soucis à gérer avec les mises à jour depuis.
On est d'accord que ça me fait chier aussi les mises à jour imposées. Mais dans un sens, c'est pas plus mal, car c'est bien le genre de truc que je suis capable de dire plus tard, plus tard, plus tard et de remettre cela beaucoup trop longtemps.
Windows n'est pas parfait (loin de là), mais ça m'a fait gagner du temps.
[FAQ] Notre antisèche sur la 5G
05/04/2024
Le 11/04/2024 à 10h 11
Wikipédia parle des ondes en général. Ce qui est vrai à première vue pour les ondes mécaniques (avec support, comme le son par exemple) ne l'est pas forcément pour les ondes électromagnétiques et inversement.
Pour réaliser des interférences électromagnétiques, il faut que les deux sources soient en cohérence spatiale et temporelle.
Et cela ça nécessite des conditions très strictes. Les interférences, au sens ondulatoire du terme, on ne l'atteint à ce jour que par des lasers (à ma connaissance). Et encore, il faut que les 2 faisceaux qui interfèrent soient issus du même laser (sinon, il n'y a pas la cohérence temporelle, donc pas d'interférence).
Parce que ce ne sont pas les mêmes besoins. Pour que le GPS fonctionne, il faut effectivement une synchronisation avec les satellites. Mais les besoins de synchronisation pour pouvoir réaliser des interférences lumineuses sont beaucoup, beaucoup plus importants.
Quand tu parlais d'antennes, je pensais antenne distance, pas sur le même pylône. Mais cela ne change pas grand chose en pratique, tant les conditions pour avoir des interférences lumineuses sont drastiques.
Si tu prends l'expérience de Young, et qu'au lieu d'éclairer chaque fente avec le même faisceau, tu l'éclaires avec 2 sources différentes (2 lasers identiques), tu observeras... l'absence d'interférence !
Bref, le beamforming, est utilisé, selon moi, pour avoir une diffusion anisotropique du signal. Cela permet de diffusion plusieurs signaux sur la même fréquence et en même temps, mais dans des directions différentes. Mais absolument par pour faire interférer des signaux provenant de multiples antennes comme tu le sous-entends dans ton commentaire #5.3 ;)
Le 11/04/2024 à 08h 48
La méthode pour que les 2 signaux soient totalement synchronisés, c'est qu'ils proviennent de la même source (attention, c'est uniquement le cas pour les ondes électromagnétiques, pour les ondes mécaniques, pas besoin).
Donc l'effet beamforming dont tu parles, est utilisé au sein de chaque antenne, pour envoyer un même signal avec plus ou moins de force en fonction de l'angle vis-à-vis de l'antenne, pas pour faire interférer des signaux d'antenne entre eux.
Pour pouvoir réaliser une synchronisation parfaite de 2 antennes différentes (et si c'est possible !), il faudrait déployer des moyens colossaux, à commencer par une synchronisation parfaite des 2 antennes. Un décalage ne serait-ce que d'1 microseconde et la lumière parcours 300m de plus ou de moins par rapport à ce qui était prévu, et c'est donc raté pour la synchronisation des signaux.
Même en descendant à 1 nanoseconde, (30cm), c'est encore beaucoup trop pour pouvoir faire de l'interférence ondulatoire entre 2 sources différentes.
Donc en fait, de ce que je comprends, l'effet beamforming, c'est pour que chaque antenne émette une onde qui ne soit pas la même en fonction de la direction de la diffusion. Ce n'est pas pour faire interférer les ondes d'antennes différentes entre elles.
« Made with AI » : des deepfakes volent les corps d’influenceuses, Meta ajoute une étiquette
10/04/2024
Le 10/04/2024 à 16h 01
Les enseignants utilisant des IA pour noter leurs élèves et étudiants posent eux aussi problème
08/04/2024
Le 08/04/2024 à 20h 24
Simple : aie aie aie xDLe 08/04/2024 à 09h 47
J'ai envie de dire au contraire même. Cela permettait d'avoir un moment privilégié avec un professeur (qui n'est pas forcément le sien !) pour poser des questions s'il y a un truc qui est mal compris ou pas clair tout en s'assurant d'avoir compris d'autres notions. C'est un bon point de validation, mais je suppose qu'on n'aborde pas tous de la même manière ce genre d'exercice, et cela dépend aussi du prof qui fait passer la khôlle (j'ai eu la chance d'être dans un lycée où l'ambiance était plutôt bonne, les profs aussi)
665e édition des LIDD : Liens Intelligents Du Dimanche
07/04/2024
Le 07/04/2024 à 10h 39
Cela ferait un excellent sous-titre.Et avec un autre derrière : on en a gros xD
Un rapport US reproche à Microsoft sa sécurité médiocre et son manque de sincérité dans sa réponse au piratage chinois
04/04/2024
Le 04/04/2024 à 09h 01
Je me suis posé la même question, et j'ai donc décidé de compléter ma lecture en allant jeter un oeil au rapport (dont le lien est dans la brève).Microsoft sait certaines choses, mais pas d'autres.
Ce qui est su : l'attaque c'est déroulé via une clé de chiffrement volée. Le laxisme reproché à Microsoft à ce sujet concerne plusieurs points :
- la clé devait initialement être retirée en mars 2021 => la clé a été prolongée
- la clé ne devait servir que pour générer des tokens OWA (Outlook Web Access) => la clé pouvait aussi générer des tokens pour MSA (Microsoft Account Service). Il y avait donc un problème de séparation et une réutilisation de la clé
- la clé, au moment des faits, n'était plus sensée être utilisée. Cela aurait donc pu être détecté.
- ce n'est pas Microsoft qui a détecté l'attaque, mais des clients.
Ce qui n'est pas su : comment l'attaquant à eu accès à la clé de chiffrement. Microsoft a pourtant fait de longues investigations à ce sujet, allant jusqu'à établir 46 hypothèses, chacune vérifiée par différentes équipes de Microsoft. Aucune des hypothèses envisagées n'a pu être validée à ce jour.
Il s'agit là d'un grossier résumé d'une lecture en diagonale, mais qui, je l'espère, permet de mieux comprendre un peu les tenants et aboutissants de cette histoire.
iOS 17.5 va permettre le « vrai » sideloading, mais à des conditions très strictes
03/04/2024
Le 03/04/2024 à 18h 29
Si par distribution web, on entend bien la distribution direct en dehors de tout store (que ce soit celui d'Apple ou un store alternatif), alors, chez Apple, se sont des génies pour s'assurer une rente :- Autre condition identique et « sévère », avoir une application dont le nombre de premières installations dans l’Union européenne a dépassé le million.
- pour exploiter la distribution web, les développeurs et éditeurs devront obligatoirement passer par les nouvelles conditions tarifaires.
- Problème, en cas de passage aux nouvelles conditions (réservées à l’Europe),la Core Technology Fee entre en piste. Celle-ci prévoit un paiement supplémentaire à Apple de 0,5 euro pour chaque nouvelle installation de l’application au-delà du premier million et en fonction des gains générés par celle-ci.
Autrement dit, de ce que je comprends, Apple vient de s'assurer que tout éditeur qui pourraient utiliser la distribution web se retrouve dans des conditions telles qu'il devra obligatoirement payer la Core Technology Fee. J'aurais presque envie d'applaudir si cela n'était tout simplement pas abject.
[edit]
Je viens de trouver un bogue. Si on met de multiples citations, il n'y en a qu'une seule qui apparait. J'ai modifié le message en conséquence.
La CNIL fait le bilan des 17 483 violations de données notifiées en cinq ans
03/04/2024
Le 03/04/2024 à 14h 54
J'ai en tête un prestataire de messagerie sécurisée pour la santé, qui malgré plusieurs incidents ces dernières années, n'a pas fait de déclaration, ni de communication auprès de ses utilisateurs.
Pourtant, des mails qui sont bien marqués comme envoyés mais jamais reçus par les destinataires, dans le cadre de la prise en charge de patient (données de santé), c'est bien une violation de données...
C'est pourtant pas compliqué de dire aux utilisateurs que "de telle date à telle date, les emails que vous avez envoyés ne sont pas arrivés à destination. Merci de les renvoyer."
Mais bon, je suis aussi prestataire. J'ai informé mon propre client, mais ne peut pas faire beaucoup plus, n'étant pas RT...
Le 03/04/2024 à 11h 45
Je partage ton ressenti sur les impacts en terme d'image. Les organismes pensent d'abord à l'impact sur leur image avant de répondre à leurs obligations légales.Par contre, attention aussi : un incident n'est pas forcément une violation de données. Exemple : des données sont écrasées (erreur humaine), mais restaurable via des sauvegardes. Il y a une perte de disponibilité, mais temporaire, et qui ne rentre donc pas vraiment dans la définition d'une violation au sens propre, d'autant plus qu'un tel cas ne présente généralement aucun risque pour les personnes physiques (cf. article 33 paragraphe 1 du RGPD).
Car il est bon de le rappeler : la déclaration de violation de données est obligatoire en cas de risque pour des personnes physiques. S'il n'y a aucun impact, il n'y a pas de déclaration obligatoire (on peut toujours la faire, mais c'est facultatif). Mais il faut qu'il n'y ait aucun impact (je le remets en gras volontairement). S'il y a un risque, même faible, alors oui, la déclaration est obligatoire. Ainsi, une fuite de données, même chiffrées, est toujours à déclarer à la CNIL, car présente toujours un risque, aussi faible soit-il.
En cas de doute sur l'impact (par exemple, on constate une violation, sans pouvoir en définir pour l'instant l'ampleur, ni les données concernées, etc.) alors, dans le doute, il faut faire une déclaration préalable à la CNIL, que l'on viendra ensuite compléter au fur et à mesure.
Il faut aussi dissocier la notification à la CNIL de la communication aux personnes concernées. La première est une obligation dès qu'il y a une violation avérée. La seconde uniquement si la violation présente un risque élevé pour les personnes concernées (article 34).
Un autre argument que j'ai entendu, pour ne pas déclarer à la CNIL une violation, c'était la peur que cela déclenche un contrôle. Il faut savoir qu'il ne sera jamais reprochés d'avoir fait une déclaration "inutile", mais qu'il nous sera toujours reproché de ne pas avoir fait de déclaration. Et pour ma part, je serai à la CNIL, si j'ai le choix entre 2 organismes à contrôler, un qui fait des déclarations de temps en temps, un autre qui n'en fait jamais, je choisirai celui qui n'en fait jamais !
XZ Utils : comment une porte dérobée dans un composant de Linux a fait craindre le pire
02/04/2024
Le 02/04/2024 à 20h 08
Et ça se comprend : cela permet d'éviter de devoir downgrader des paquets qui auraient comme dépendance une des versions infectées.
Le 02/04/2024 à 19h 53
J'ai du mal à voir si ce commentaire est ironique ou non.La Commission européenne lance des procédures d’infraction du DMA contre Google, Apple, Meta et Amazon
25/03/2024
Le 31/03/2024 à 15h 11
Rectification : rien d'insurmontable pour toi. Dans mon entourage, j'ai des personnes qu'il faut assister pour l'installation et/ou la configuration d'applications via le store. C'est clairement le genre de personne à qui je ne donnerait pas la documentation pour changer l'OS de leur tel.
Les choses ont peut être changées aussi depuis, car cela fait un certains temps que je n'ai pas fait de changement de ROM, mais j'avais grosso modo 1/3 des cas où cela se passe mal, et il fallait des compétences plus avancées pour résoudre le soucis. J'ai depuis, décidé d'arrêter (trop d'emmerdes et de sueurs froides !).
Et non, le problème ne venait pas de la documentation qui n'était pas suivi à la lettre, mais d'une documentation parfois incomplète ou erronée, et c'est souvent en conjuguant plusieurs docs ou en consultant les forums que j'arrivais finalement à faire l'installation. A l'époque, ce n'était pas Linéage, mais Cynogenmod.
Le 30/03/2024 à 16h 15
Tu parles de soft brick. Oui, en général, on peut s'en sortir (mais là, il faut généralement un peu plus de connaissance que simplement l'anglais).
Bien que plus rare de nos jours, il y a également le hardbrick. Et là, rien à faire, à part le jeter à la poubelle
Certains téléphones ont un compteur indiquant le nombre de flashage. S'il est supérieur à 0, certaines fonctionnalités (comme le NFC) peuvent être irrémédiablement désactivé, car même la réinstallation de la ROM d'origine ne remettra pas en route la fonctionnalité.
Il existe sur certains modèles de téléphone la possibilité de réinitialiser le compteur. Mais là encore, c'est une opération non triviale, qui, si mal faite, peut briquer le téléphone.
L'option "installe un Android vierge" n'est pas une option grand public. C'est une opération qui nécessite un minimum de compétence et qui présente toujours un risque.
Le 28/03/2024 à 09h 39
De l'autre, l'utilisateur fait comme d'habitude pour désinstaller une application.
Et c'est sans compter qu'un flashage désactive certaines fonctionnalités du téléphone (paiement sans contact par exemple)
[Édito] Internet vaut infiniment plus que la tribune de Najat Vallaud-Belkacem
29/03/2024
Le 29/03/2024 à 20h 40
Le FLNJ approuve. Ils en ont marre de ces prédateursFDN propose un VPN en accès libre « pour toutes et tous »
28/03/2024
Le 29/03/2024 à 15h 13
Le 29/03/2024 à 11h 46
L'objectif du site, rappelé dès la page d'accueil, est le suivant :
Que la détermination de quelques critères soit un peu biaisé n'a pas forcément d'impact réel sur les objectifs suivis, qui sont plutôt d'ordre pédagogique. L'idée est de montrer comment, rien qu'avec les entête HTTP, ou via le javascript, il est possible de faire une empreinte plus ou moins fiable. Si tu couples cela avec une adresse IP (très discriminant) tu peux vite avoir une empreinte unique quasi à coup sur à un instant T (pour la plus grande joie de Facebook, Google, X, etc. bref ceux qui ont des trackeurs sur n'importe quel site et qui peuvent donc suivre quelqu'un, même sans cookie).
Je me souviens du logiciel Tor, quand je l'avais essayé, qui conseillait de garder la taille de la fenêtre par défaut, et non pas de la mettre en plein écran (critère supplémentaire)
Mais sinon, je suis d'accord que l'affichage par défaut devrait être 90 jours (ou en tout cas, pas tout le temps !)
Le 29/03/2024 à 10h 52
Le 29/03/2024 à 09h 28
Après, c'était plus pour répondre que Wireguard est différent, avec des avantages et des inconvénients par rapport aux solutions existantes, car on a l'impression en lisant certains, que wireguard est le saint graal (comme systemd, wayland, btrfs, pulseaudio et j'en passe ^^) et que ne pas l'utiliser est une hérésie méritant lapidation et buché !
Le 29/03/2024 à 08h 06
C'est oublier que Wireguard nécessite l'installation d'un logiciel sur chaque appareil (en plus du serveur bien sur), là où d'autres VPN, comme OpenVPN, peuvent offrir des solutions basées sur des protocoles standardisés et plus ou moins inclus de base dans les OS (donc sans installation supplémentaire).Wireguard s'intègre profondément dans le système (installation de drivers spécifiques). Par exemple, sur mon NAS synology, je ne peux pas l'installer sans faire des trucs hyper compliqués, car il n'est pas supporté par le noyau.
De plus, beaucoup cherche un VPN pour les aspects sécurités et vie privée. S'il n'y a rien à redire jusqu'à présent niveau sécurité, Wireguard ne peut pas agir comme un no-logs VPN (pour des raisons techniques, l'IP est utilisée en interne), car les traces de l'IP sont conservées bien au delà de la durée de vie de la connexion.
Le 28/03/2024 à 09h 14
FDN : File des Data Now ?--> je suis déjà dehors....
Le 28/03/2024 à 08h 48
Ou le débranchage du site par le fournisseur (OVH, Scaleway, ...), mais là, c'est tout le monde, donc pas sur qu'on puisse parler de blocage (ou en tout cas, pas de blocage de trafic).
WordPad disparaitra de Windows 11 avec la mise à jour 24H2
29/03/2024
Le 29/03/2024 à 09h 36
Après, c'est surtout le retrait de Wordpad installé par défaut. En lisant l'annonce de Microsoft, on voit que wordpad, c'est 2 exe et 1 dll. Il doit être assez simple de mettre ça dans un coin pour le conserver. Il n'est pas impossible non plus qu'on voit apparaitre Wordpad directement sur le store.Pour ceux qui utilisent encore réellement Wordpad, il y aura bien une solution pour l'installer, car Wordpad ne va pas magiquement ne plus fonctionner d'un coup (et quand on voit la durée de vie du démineur de Windows 98, installable même sous Windows 10, on peut être confiant ^^).
Projet Ghostbusters : comment Facebook a espionné le trafic chiffré de Snapchat
27/03/2024
Le 28/03/2024 à 09h 48
- la nuance est facilement exprimable
- et elle me semble importante (au final, cela ne concerne que très peu d'utilisateurs)
Le 28/03/2024 à 08h 06
Pour le titre, je suis peut être trop tatillon, mais la langue française est pleine de nuance, et les affirmations suivantes, bien que globalement identique, sont très différentes :
- comment Facebook a espionné le trafic chiffré de Snapchat
- comment Facebook a espionné (une partie) du trafic chiffré de Snapchat
Dans le premier cas, je comprends tout le trafic (avec un seul F !!! ;) ). Dans le second, qu'il s'agit plutôt d'un espionnage ciblé.
L'ambiguïté est vite levé en lisant l'article, mais il faut quand même attendre la section suivant l'introduction (Demande explicite de Mark Zuckerberg) pour comprendre que la surveillance ciblait des utilisateurs particuliers (en l'occurrence, ceux du VPN d'Onavo).
[edit]
Par contre, on est d'accord, pas d'ambiguïté sur le sous-titre.
Le 27/03/2024 à 17h 28
Du coup, je trouve le titre de l'article très trompeur. On a l'impression que Facebook a espionné tout le traffic de snapchat, ce qui n'est pas le cas. Ce n'est qu'une petite partie du trafic, ce qui est quand même très différent. Et cela, avec l'accord* des personnes intéressées.une astérisque pour dire que c'est un accord technique*, mais pas un véritable accord (dans le sens consentement) dans le sens où bien peu avait réellement connaissance du sujet je pense.
IA : Zuckerberg écrit à des data scientists de Google pour tenter de les débaucher
28/03/2024
Le 28/03/2024 à 08h 52
L'idée doit être double :- recruter des talents ;
- freiner la concurrence.
Extradition de Julian Assange : Londres demande des garanties aux États-Unis et temporise
27/03/2024
Le 27/03/2024 à 14h 22
50 ans d’histoire de la CNIL : de Safari au bourbier du Health Data Hub
25/03/2024
Le 26/03/2024 à 09h 22
Lors d'une formation que j'ai suivi il y a quelques années sur le sujet, une des raisons évoquée pour expliquer la peur du projet SAFARI, c'était l'occupation allemande durant la seconde guerre mondiale, notamment à travers la chasse aux juifs, homosexuels, etc. avec la complicité du gouvernement de Vichy.A l'époque, sans fichiers informatisés, cela à conduit à des désastres, comme la rafle du Vel D'Hiv. Alors je n'ose imaginé ce que cela aurait pu être en présence de tels fichiers.
Le projet SAFARI a pris place quelques décennies à peine après, la mémoire des disparus étant encore bien présente.
Autre temps, autres mœurs. "rares" sont celles et ceux à avoir connu la 2nd guerre mondiale. Aujourd'hui, j'ai l'impression qu'on va bien plus loin que ce qui était initialement prévu pour le projet SAFARI (déjà que certaines entreprise comme Facebook ou Google ont à disposition des profils très détaillés sur certains aspects, comme l'orientation sexuel, les convictions politiques ou la religion).
Guerre froide technologique : la Chine bannit AMD, Intel et Windows de ses administrations
25/03/2024
Le 25/03/2024 à 16h 32
Si tu es sous Firefox, non. C'est un petit bogue qui sera sans doute très vite corrigé ;)Des avocats, dont celui de Donald Trump, ont plaidé des jurisprudences « hallucinées » par IA
25/03/2024
Le 25/03/2024 à 11h 17
Un avocat qui présente de fausses jurisprudences, ou qui inventerait des lois, c'est suffisamment grave pour que la sanction ne soit pas uniquement du ressort de l'ordre. Je me demande même si présenter une fausse jurisprudence ne pourrait pas relever du parjure dans le droit américain.
Le 25/03/2024 à 10h 22
Un avocat qui ne vérifie pas une jurisprudence, c'est pour moi un manquement professionnel.
Le 25/03/2024 à 08h 21
Il n'y a peut être pas de mauvaise intention à la base et il s'est fait avoir par son manque de connaissance de l'outil, il n'en reste pas moins qu'il est avocat. A ce titre, il a des obligations (ou en tout cas, il devrait en avoir), dont celle de vérifier les citations. Qu'une personne lambda qui décide de se représenter elle-même face cette erreur est, pour moi, acceptable. Qu'un professionnel du droit fasse cette erreur, c'est par contre inadmissible.M. Scharwtz est le plus fautif à mes yeux, car c'est lui qui agit en tant qu'avocat dans cette affaire. Il a le devoir de vérifier ses éléments, qu'importe que ses éléments lui aient été fourni par son client qui est aussi avocat. Un client, ça ment. D'ailleurs, "tout le monde ment", d'après le Dr en médecin Grégoy HOUSE.
La CJUE valide « l’insertion obligatoire dans les cartes d’identité de deux empreintes », mais…
22/03/2024
Le 22/03/2024 à 11h 38
Le Bloc-notes de Windows aura bientôt un correcteur orthographique
21/03/2024
Le 21/03/2024 à 19h 04
1) Microsoft arrête Wordpad
2) Microsoft fait évoluer le blocnote en Wordpad xD
Le 21/03/2024 à 09h 39
A continuer ainsi, le bloc note va devenir le nouveau Wordpad...Hachette et trois autres éditeurs accusent Internet Archive d’être le Napster du livre
21/03/2024
Le 21/03/2024 à 17h 52
Je me demande dans quelle mesure la loi n'y est pas pour quelque chose. Nous avons en France (comme dans beaucoup de pays) un prix unique pour les livres papiers (notamment pour permettre aux petites librairies de survivre face à des mastodons).Quand un livre est disponible à la fois au format papier et au format numérique, n'y a-t-il pas une loi qui viendrait caler le prix du livre numérique en fonction du livre papier ? Cela ne m'étonnerait pas (mais je n'ai rien trouvé pour l'instant à ce sujet).
[Tuto] Comment nettoyer Windows 11
21/03/2024
Le 21/03/2024 à 08h 59
Après, l'astuce du lien qui propose ensuite de créer un lien symbolique est pas mal, justement pour éviter des soucis avec ces programmes. Mais c'est moche
Le 21/03/2024 à 08h 22
Pour voir l'occupation du disque, je recommande WInDirStat (open source, existe en version portable). Interface légèrement plus austère, ce logiciel propose une visualisation graphique de la taille des fichiers. Cliquer sur un gros rectangle permet de savoir tout de suite où il est !Un autre conseil que je peux donner, c'est qu'à moins d'avoir besoin de déboguer les crashs Windows, il est possible d'activer des dump léger plutôt que des dumps complets. Pour ma machine sur Windows 11 qui a 64Go de mémoire, ça fait toute la différence !
Au niveau réinstallation et choix du compte, un dernier élément. Cela ne me gène pas d'avoir un compte lié à mon compte Microsoft. Par contre, ça me gène que je ne puisse pas choisir le nom de mon répertoire personnel. Car comme moi, quand on a un prénom avec des caractères diacritiques (François), j'ai toujours, à un moment ou à un autre, un logiciel qui ne fonctionne pas/mal à cause de ça. Du coup, je crée toujours un compte local que je rattache ensuite à mon compte Microsoft.
[edit] J'ai rajouté la précision que WinDirStat est open-source. Je voulais la mettre initialement, mais je l'avais oubliée ! J'ai rajouté aussi l'existence d'une version portable, pratique pour emporter pour avec soi sur une clé USB pour des dépannages :)
Le GPU Blackwell B200 coûtera entre 30 000 et 40 000 dollars pièce
20/03/2024
Le 20/03/2024 à 20h 15