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4322 commentaires

Le 20/11/2015 à 23h 03







Lafisk a écrit :



Y’a que moi qui a les poils qui ce hérissent des qu’on me parle de faire des appli web au lieu de faire des applis natives ??? <img data-src=" />



Je comprend que y’ai des avantages etc … mais franchement le “web” a toutes les sauces c’est du n’importe quoi je trouve … surtout avec 50000 technos differentes pour faire des trucs qui en natif ne te demande pas plus d’un ou 2 technos/framework …. bon c’est sur c’est plus “portable” mais quand meme, le web c’est a la base une techno statique a laquelle on a ajouté 50 layer pour faire du dynamique dans tout les sens, c’est degueu par moment je trouve. Enfin, c’est que mon opinion de dev …







C’est clair que les technologies web, c’est de plus en plus n’importe quoi. Quand on mesure les ressources CPU qu’ils arrivent a bouffer pour des animations minables, il y a de quoi pleurer. Et encore, je parle du meilleur des cas, c’est à dire quand ça fonctionne.



Au train ou vont les choses, il y a de quoi avoir peur. Dans quelques années et quelques couches supplémentaires, faudra t’il acheter un supercalculateur et 3 centrales nucléaires pour surfer sur le web ?



Et depuis que les développeurs ont découvert Ajax, c’est carrément le festival de l’apothéose.



Comme tu dit, toutes leur tas de spaguettis technologies dynamique tsoin-tsoin codées avec les pieds ne peuvent qu’hérisser les cheveux de tout programmeur sérieux. Il suffit d’ailleurs de constater le nombre de sites qui déconnent.



Mais bien sûr c’est de votre faute : d’abord, vous n’aviez qu’a avoir le même navigateur dans la même version, sur le même système et le même écran que le développeur. Non mais….



J’avoue en avoir mare de prier à chaque achat en ligne de peur que le système de commande se mette à foirer, juste parce que le programmeur s’est cru très intelligent de mettre de l’ajax et des animations partout. Les mots “gestion des cas d’erreur” ne semblent plus évoquer grande chose à la nouvelle génération de saboteurs développeurs.



Certains se demanderont peut être si mon message est un troll.



Hélas, non….


Le 20/11/2015 à 01h 46







Marco07 a écrit :



à peu de choses près!

C’était une licence windows 10, ou 10 jours de bouffe.

Et vu le temps passer à configurer une distro linux sur le nouveau pc, j’ai choisis de jeûner 10 jours pour ma santé mentale!

 :-)







A mon avis, t’aurais du quand même essayer avant de jeûner 10 jours.



J’ai une mauvaise nouvelle pour toi : Linux, ça s’installe tout seul <img data-src=" />





Le 19/11/2015 à 20h 00

Logiquement, les clé de jeu devraient être soumises aux règles générales du commerce : le droit d’acheter, de vendre et de revendre. La notion de “revendeur autorisé” devrait être illégale.


Le 19/11/2015 à 19h 10



Visual Studio Code passe en open source





Le problème de l’usage de termes imprécis qui peuvent désigner plusieurs choses radicalement différentes, c’est qu’on ne sait pas du tout de quoi l’on parle.



Rappelons que le passé du terme “open source” est teinté d’un certain lobbying.



Pour comprendre, je vous engage à étudier l’histoire du terme “Open Source” et de ses implications dans la guerre menée par certains éditeurs contre les logiciel libres.



De fait, il n’est propre qu’a désigner des logiciels propriétaires dont le code source est vaguement consultable.



Dans le cas présent et compte tenue de la licence MIT, la bonne qualification est “logiciel libre”. (Sauf bien sûr, s’il y a des modules non libres dans le package).



Pour ceux qui n’aiment pas le petit côté politique véhiculé par le mot “logiciel libre”, il y a le terme FLOSS pour Free Libre Open Source Software. Attention au terme FOSS souvent utilisé car il est imprécis : le mot “free” en anglais est porteur d’une ambiguïté majeure car il peut être utilisé pour désigner la liberté, mais aussi la gratuité. Un “Freeware” avec un code disponible et une licence restrictive, ce n’est pas du tout la même chose qu’un logiciel libre.



Pour ceux qui ne comprennent pas pourquoi ces différences sont absolument fondamentales et particulièrement en ce qui concerne la participation communautaire ou le droit à réutiliser le code, je vous engage à quelques recherches sur le sujet.



Le problème de l’usage de termes imprécis qui peuvent désigner plusieurs choses radicalement différentes, c’est qu’on ne sait pas de quoi l’on parle.

Le 18/11/2015 à 22h 38







Gigatoaster a écrit :



Ah ces développeurs avec tous ces outils qui leur mâchent leur travail…résultat pleins de bugs et des clients pas content. C’est facile de blâmer le commercial ou les mechants marketeux qui sont uniquement là pour faire du pognon sur le dos de ces pôvres petits dévs.



Voilà c’était un troll commercial. <img data-src=" />







Il faut bien que les dev arrivent à pondre pour la veille la merde que les commerciaux ont déjà vendu pour une bouchée de pain avant même de demander à un technicien si c’est seulement faisable.



Et le jour ou les clients regarderont autre chose que le prix, ils auront autre chose que de la merde.



If you pay peanuts, you get monkeys…



Le 18/11/2015 à 22h 01







007sivade a écrit :



Faut juste avoir envie de garder son téléphone longtemps. Ça répond à un besoin, pas simplement à une désire d’être responsable dans ses achats.







Chacun fait ce qu’il veut, mais dans quelques années, je te suggère de faire le total de ce que tu as dépensé en achat de téléphone mobile (en comptant bien sûr ce que tu paye de manière cachée dans ton éventuel forfait.) et de te demander si les services rendus par ce gadget futile valaient vraiment ces milliers d’euro gaspillés.



Sur une vie entière, le total peut s’avérer plutôt lourd, sans même parler de l’effet négatif sur la balance commerciale de ton pays.


Le 18/11/2015 à 19h 58

Très bonne initiative qui démontre bien à ceux qui en doutaient encore qu’un smartphone qui se démonte est parfaitement possible. Et que c’est une simple question de volonté.



Le rapport qualité/prix de l’appareil démontre également que cela ne fait pas exploser les coûts de production, contrairement à ce que certains prétendaient.


Le 18/11/2015 à 19h 30







Reznor26 a écrit :



Le défi est lancé. Parce que malheureusement réagir comme ça c’est faire le jeu des terroristes, mais en même temps ça reste parfaitement compréhensible au vu de la situation.







Certes, mais est ce qu’on a vraiment le choix ?



A partir du moment ou l’on fait le constat qu’il est impossible d’empêcher toutes les tentatives d’attentats, il faudra bien trouver moyen de s’adapter d’une façon ou d’une autre. On ne va pas non plus se résigner à voir des gens mourir.



Réalisons qu’il est parfaitement possible de travailler à distance, de regarder un spectacle en VOD (même si ce n’est pas tout à fait la même chose) ou de créer des lieux festifs anti attentats avec par exemple de nombreuses sorties, des murs.





Le gouvernement ne cesse de répéter (et même avant les attentats) que le risque zéro n’existe pas et qu’il faut effectivement redouter d’autres évènements de ce genre. On peut, au moins sur ce point précis, leur concéder un certain courage politique, parce que c’est pas le genre de déclarations qui rapportent des voix.





Justement, ils sont loin d’en avoir assez. Parce que l’inflation sécuritaire, c’est en grande partie parce qu’ils cèdent à la démagogie.



Et comme c’est à chaque fois inefficace, pour masquer leur impuissance, ils en rajoutent à chaque fois une couche en essayant de faire croire que la prochaine fois, ça fonctionnera mieux.


Le 18/11/2015 à 18h 27







ludo0851 a écrit :



C’est pas un amalgame, c’est un parallèle. <img data-src=" />

Si tu veux expliquer que sur la base d’un élément d’une situation de départ identique (défiance envers le pouvoir) on peut arriver à une situation finale différente (opposition politique pacifique vs terrorisme), ça je le savais déjà…







Tout à fait.



Il est évident que la misère économique et sociale crée un contexte très favorable pour les islamistes. Les personnes en perte de repère sont légion. C’est un terreau fertile pour les manipulateurs sans scrupules de tous bords. Et pas seulement les islamistes…



C’est pour cela que la lutte contre le terrorisme ne peut pas se contenter de faire de l’inflation sécuritaire. Il faut également stopper d’urgence la dérive économique et sociale du pays.



L’histoire nous enseigne que la guerre civile est un développement possible de ce type de situation.



Mais il y en a une foultitude d’autres. Comme l’exemple de la misère en Italie qui a abouti à la naissance de la mafia, c’est à dire une forme de pouvoir parallèle.





Ça va juste à l’encontre de tous les parallèles avec les temps féodaux ou le IIIeme Reich que tu as pu dresser ici





Comme je l’ai dit, rien n’est jamais écrit d’avance car les facteurs sont nombreux. En allant dans une direction, on prends juste un risque.



Mais quand on voit le nombre de morts potentiels à la clé, as t’on seulement le droit de s’autoriser à prendre ce genre de risque ?



Enfin, même si l’on ne dispose pas d’une boule de cristal, il est évident que la situation sociétale actuelle a toute les chance de mal finir d’une façon ou d’une autre.



Ceux qui ne sont pas inquiets sont fous.


Le 18/11/2015 à 18h 11







Reznor26 a écrit :



Noël (fête chrétienne, choix d’excellence pour créer le chaos, magasins et transports bondés), nouvel an (rassemblements et fêtes qui permettent de passer inaperçu beaucoup plus facilement), COP21 avec les dirigeants du monde entier, premier anniversaire de l’attentat de Charlie Hebdo, représailles face aux bombardements en Syrie, représailles face aux centaines de perquisitions qui rendent d’autant plus fébriles les milieux islamistes, etc.



Voilà tout ce que représente ces trois mois, sans compter tout ce que nous ne savons pas de la part des services secrets. Si tu ne comprends pas qu’après un évènement pareil c’est une combinaison de paramètres plus qu’explosive, y a un sérieux problème d’analyse.







La situation est effectivement préoccupante.



Et cela d’autant plus qu’il me parait naïf de penser que les mesures du gouvernement puisse garantir l’absence d’attentats.



La meilleure réponse qu’on puisse imaginer, c’est certainement de modifier nos habitudes pour compliquer l’action des terroristes.



-Eviter de se rendre dans les grands magasins les derniers jours avant les fêtes.

-Eviter les grands rassemblements.

-Eviter les terrasses de café ou de restaurant.

-Faire nos achats par le web.

-Prendre sa voiture plutôt que les transports en commun (Même si les écolo ne vont pas aimer).

-Penser au co-voiturage.







Le 18/11/2015 à 17h 50







ludo0851 a écrit :



Certains commentaires montrent une énorme défiance envers la classe politique et nos institutions, le tout sur fond de discussions de comptoirs. Certes la confiance aveugle n’est pas mieux mais c’est assez inquiétant quand on considère que c’est une des causes qui a pu en pousser certains à sortir du droit chemin.



Il y a sans doute une part d’impréparation et d’improvisation, mais tout de même…







Pour ma part, ce que je trouve très inquiétant, c’est de voir ce genre de propos qui commencent à faire l’amalgame entre opposition politique et terrorisme.



Pour le reste, il est évident que nos élus n’ont pas les bonnes réponses aux problèmes de notre temps et que c’est une des raisons pour laquelle ils ne font que s’aggraver.



-La situation économique et sociale leur échappe tous les jours un peu plus. L’inflation sécuritaire ne règle en rien le fond des problèmes de société actuels.



-Il est assez visible dans leurs discours politique qu’ils n’ont pas la moindre vision d’un futur positif possible pour le pays. C’est la raison pour laquelle ils gouvernent par réaction aux événements plutôt qu’en imprimant un mouvement. Il est impossible d’imprimer un mouvement fédérateur si l’on n’a pas la moindre idée de la direction ou l’on veut aller.



-Du fait de leur age et de leur profession, ils n’ont pas la moindre base de réflexion sur les dangers potentielles des nouvelles technologies. Ils sont comme des enfants qui jouent avec le feu. Ils voient dans les nouvelles technologies une sorte de baguette magique alors que personne ne maîtrise les travers à long terme de cette surveillance généralisée qu’ils mettent en place un peu plus tous les jours.


Le 18/11/2015 à 08h 51







Guinnness a écrit :



Du haut de leur tour d’ivoire tous ces types ne sont pas seulement avides de pognon et de pouvoir mais ont aussi une peur irraisonnée à l’idée de pouvoir un jour perdre tout ça et sont près à tout pour s’assurer que ça n’arrive jamais.







La encore, l’histoire nous permet d’analyser les motivations. Toute la période du féodalisme nous montre qu’aux raisons que tu as cité, on peut ajouter une raison très puissante : celle de garantir à sa descendance la même situation, le même pouvoir.





Après si tu préfères croire sur parole des mecs capable de sortir, droit dans leurs bottes, que les seuls responsables des attentats c’est Snowden et le cryptage de données après tout pourquoi pas …





Et d’abord, qu’est ce qui prouve que les vrais terroristes ne se contentent pas simplement d’éviter d’utiliser la technologie.



L’histoire nous apprends d’ailleurs que le terrorisme n’est pas né avec internet, ni avec le téléphone.


Le 18/11/2015 à 08h 00







Reznor26 a écrit :



Si loi renseignement = 60 millions de morts, c’est probablement qu’il se sera passé deux-trois petits trucs entre temps dans le pays et dans le monde… Peut-être pas la peine d’aller aussi loin pour évoquer des craintes, parce qu’on frôle le n’importe quoi là.







Visiblement, tu penses que c’est absurde. Sauf que l’histoire nous enseigne que cette “absurdité” s’est bel et bien produite.



La situation est d’autant plus inquiétante que de nombreux facteurs, notamment économiques tendent à créer une situation et des facteurs d’instabilité similaires à la période d’avant seconde guerre mondiale.



Et la montée en flèche des extrémismes de tous bords est un signe avant coureur qui ne présage rien de bon.



Bien sûr, on peut toujours tenter de se rassurer façon méthode Coué en affirmant que tous les mômes qui ont joué avec le feu n’ont pas forcément mis le feu à la maison.



Et pour couronner le tout, la période actuelle ajoute ses propres dangers et des risques nouveaux : la technologie et ses possibilités.



Imaginez Hitler, Staline ou la Stasi avec les moyens technologies d’aujourd’hui.





L’exemple qui correspond à la situation, et celui que tout le monde utilise pour mettre en garde, c’est l’après 11 septembre aux États-Unis. Là ça colle dans une certaine mesure, en époque, en proportions et en protagonistes.





D’abord, la situation des USA diffère sensiblement de celle de l’Europe.



Mais surtout, personne ne peut affirmer que l’inflation sécuritaire aux USA est terminée.


Le 18/11/2015 à 00h 34







ludo0851 a écrit :



Les dictateurs qui me viennent à l’esprit sont arrivés avec leur haine de l’autre et le programme qui va avec.

Ce qui fait la dictature c’est aussi que les personnes qui sont méthodiquement poursuiveies/éliminées n’ont rien fait à part être là et avoir une tête qui ne revient pas au despote local.



Si tu penses que les mecs de l’EI sont dans ce cas, faut sérieusement te remettre en question

Là, j’ai l’impression que tu renverses “un peu” les valeurs.







D’abord, coupons court à ce genre de troll bien velu en précisant bien que personne ici n’éprouve la moindre sympathie pour ces raclures de l’EI.



Mais pour bien comprendre de quoi nous parlons sans tomber dans les réflexions simplistes, je suggère d’étudier l’histoire de la naissance de quelques unes des plus terribles dictatures.



Des lois sécuritaires trop permissives promulguées aujourd’hui dans le but tout à fait légitime de combattre l’EI peuvent malheureusement être détournées demain dans un tout autre but.



Le débat sur les lois ne se résume pas simplement à la seule efficacité, mais doit également mettre en balance les risques qu’elles font courir à la démocratie. Le juste équilibre n’est pas une affaire simple.



Pour illustrer mon propos avec un exemple en rapport avec le terrorisme, je citerais l’histoire de la prise de pouvoir d’Hitler.



fr.wikipedia.org WikipediaL’exploitation d’un attentat terroriste pour promulguer des lois d’exception qui ont été utilisées ensuite contre l’opposition politique fait partie des événements historiques qui on a mené ce dictateur au pouvoir.



Bien que je n’éprouve pas la moindre sympathie pour cette homme, je terminerais par une citation d’Hitler: “Le terrorisme est la meilleure arme politique, puisque rien ne fait réagir davantage les gens que la peur d’une mort soudaine.”



Précisions que cette histoire s’est terminée par plus de 60 millions de morts…



Le 17/11/2015 à 17h 57







Romaindu83 a écrit :



Il est nécessaire de prolonger la durée de l’état d’urgence de 12 jours à 3 mois. Ce que nous avons connu ce week-end est sans précédant depuis la Seconde guerre mondiale. Pour que les policiers puissent mener à bien leurs enquêtes, ils doivent pouvoir perquisitionner et procéder à des arrestations sans avoir l’aval d’un juge et sans être retardé par nos lourdeurs administratives.



Je sais pertinemment que la justice est la garante de nos libertés fondamentales. Cependant, si les policiers avaient du attendre que la justice leur permette de faire leur travail, ils seraient encore en train de poiroter à l’heure où j’écris ces lignes.



D’ailleurs, après l’attentat de Charlie Hebdo, l’état d’urgence aurait du être décrété. A situation exceptionnelle, mesures exceptionnelles, pouvoirs exceptionnels. L’état d’urgence restreint mes libertés fondamentales, mais c’est pour le bien de la société.



Je ne suivrais pas les complotistes et les anarchistes. Grand bien leur fasse de penser que cet état d’urgence n’est que le début d’une France totalitariste. Je les laisse à leur avis, que je respecte, soit dit en passant.



L’état d’urgence restera temporaire. La France restera un état de droit. Le Conseil Constitutionnel y veillera. Mais les populistes trouveront toujours à redire pour me démontrer que le Conseil Constitutionnel n’est qu’une grosse blague…



Enfin, il est urgent d’adapter cet état d’urgence à la France d’aujourd’hui. La loi qui instaure l’état d’urgence date de 1955. Elle est archaïque, comme beaucoup d’autres lois. Nos lois ne suivent pas les avancées technologiques et deviennent donc des trous de gruyères. Il faut les moderniser et, au besoin, les renforcer.







Peut être devriez vous étudier l’histoire pour comprendre en quoi le fait d’affaiblir les garde fous qui garantissent la démocratie peut nous amener sur une pente glissante et très dangereuses.



Quand un pays tombe dans la dictature, ce n’est pas des dizaines de morts, mais des centaines de milliers, voir des millions de morts. C’est la raison pour laquelle on ne devrait transiger sous aucun prétexte avec les principes constitutionnels qui garantissent l’état de droit.



Au passage, je ne crois pas un instant que le fait d’obtenir l’assentiment d’un juge pour perquisitionner chez un dangereux terroriste soit un vrai problème.



Certains veulent nous faire croire qu’on perdrait un temps précieux. C’est simplement ridicule quand on sait que ces individus sont fichés depuis des mois, voir des années.



Le 17/11/2015 à 17h 21

Ce genre de propos est simplement lamentable.



Qu’on réfléchisse aux conséquences d’une surveillance trop poussée des individus qui peut se révéler plus dangereuse au final pour les opposants politiques et la démocratie que pour les terroristes. Les terroristes peuvent parfaitement se passer de téléphone et d’internet pour organiser leurs crimes.



Qu’on se souvienne des leçons de l’histoire et surtout des millions de morts que tous les grands dictateurs (staline, hitler, mao) ont causés.



Daech est en train de faire tomber les démocraties occidentales. A nous faire renier nos valeurs de démocratie et de droits de l’homme. Et tout cela avec des moyens ridiculement réduits.



Et quand nous aurons renié nos valeurs, ils auront gagné. Ils n’auront plus aucun mal à étendre leur pouvoir.



Pour ceux qui ont étudié la guerre du Vietnam et d’Algérie, les méthodes qui font reculer l’occident ont toujours été les mêmes. Elles peuvent se résumer à quelques stratégies très simples.



Et pourtant, nous sommes en train de tomber dans le panneau comme des bleus.

Le 16/11/2015 à 22h 39

Il me semblait bien avoir vu certains tests ou des jeux étaient plus rapides sous Linux que sous Windows.



Mais comme l’article et les commentaires le rappellent, ça dépends de ce qu’on teste.



Il est probable qu’une bonne partie des jeux en question ont effectivement été portés à moindre cout sans véritable codepath natif OpenGL.



La situation s’améliorera dans le futur avec les moteurs graphiques de la génération suivante qui intègrent le support OpenGL/Linux en natif.


Le 11/11/2015 à 14h 09







hurd a écrit :





Bah écouter les gars, ça serait pas mal de par prendre les développeurs de logiciels libres pour des guignols, des boîtes qui font que du libre et qui s’en sortent bien. il y en a pas mal.

Si tout comme le “bio” pour l’agriculture, ce n’est pas le type de développement majoritaire, il serait bon de ne pas les ramener soit à des salarié de chez google , soit à des type “bénévoles”.

Vous êtes étroits d’esprits comme c’est pas permis.







Les logiciels libres ont effectivement des business models qui leur permettent de vivre.



Pour beaucoup d’entreprises du monde libre, c’est le service.



Mais il faut bien reconnaître qu’il y a quand même quelques domaines ou le financement du modèle libre est quasiment inexistant, par exemple dans le jeu vidéo.



C’est hélas grâce à cela que l’hégémonie de Windows se maintient chez les jeunes…


Le 11/11/2015 à 13h 53

Si nos élus refusent de comprendre l’urgence qu’il y a de favoriser le logiciel libre, c’est une génération entière qui sera formée au logiciel propriétaire.



Ensuite, tout est verrouillé :



-Les entreprises et administrations sont obligées d’acheter les logiciels propriétaires sur lesquels les gens sont formés.

-Toutes les entreprises de la chaîne de travail sont obligées d’acheter des licences pour répondre aux appels d’offre de travail.

-L’impossibilité de modifier les logiciels induit des limites qui peuvent se révéler bloquantes.



Bref, c’est une dépendance majeure qui grève l’ensemble de la chaîne économique et le PIB d’une nation.



Bien sûr, les développeurs du libres ne vivent pas de rien et les nations devraient logiquement contribuer financièrement à ces logiciels. Mais les besoins de financement du libre sont inférieurs à leurs équivalents propriétaires.

Le 10/11/2015 à 14h 33

Tiens, fermer un studio en chine alors que les coûts y sont réputés bas. Il serait très intéressant de connaitre les vraies raisons.



Quelques spéculations :



-Une difficulté a trouver de bons programmeurs en chine à cause de la demande.

-Des salaires qui du coup ne sont plus si bas que ça.

-Des employés qui ne se laissent pas stresser pour les délais… car ils peuvent partir facilement ailleurs.

-Des difficultés de management.

-Un peu toutes ces raisons à la fois.



Ajoutons à cela qu’en occident, les programmeurs ont une mentalité d’exploités bien ancrée.

Le 09/11/2015 à 21h 36







usky a écrit :



Pas faux mais :




  • Nettoyer son PC n’est pas facile sans risque et pas forcement nécessaire pendant la garantie







    Avec les machines actuelles, je déconseille de tourner 2 ans sans aucun nettoyage. Et c’est encore plus vrai chez un fumeur.



    Une fois que l’on maîtrise le nettoyage et pour peu qu’on soit capable d’un minimum de soin, les risques sont limités.





  • dans mon cas cela a été souvent des soucis dès la mise en marche, malgré les précautions.





    Au passage, attention à l’électricité statique. C’est une cause de panne plus courante qu’on ne l’imagine.





  • le cas que je cite est un problème mécanique. Quand on voit comment sont emballés certains produit, ils ont du souffrir pendant le transport.





    Pour ma part, j’évite d’acheter par correspondance des disque durs ou des cartes graphiques avec un gros ventirad.



    Sinon, il y a des endroits ou les transporteurs sont particulièrement “doués”. On devrait peut être leur suggérer de se recycler dans le rugby.








Le 08/11/2015 à 00h 01







Patch a écrit :



De mon côté je vois l’inverse : des cahiers des charges qui n’intègrent pas de base la moitié des fonctions nécessaires au bon fonctionnement des établissements. Du coup, faut re-payer pour faire des demandes d’évolution







Il va de soi qu’un cahier des charges mal fichu mènera fatalement à oublier des points importants tout en spécifiant des fonctionnalités inutiles.



Mais contre toute attente, il est parfois plus pragmatique et plus économique de partir d’une base minimale incontestable et d’affiner ensuite par des évolutions.



Pour le coût des évolutions, ne te parait t’il pas normal que le travail se paye ?





pour un logiciel déjà beaucoup, beaucoup trop cher pour ce que c’est (sûrement payé 5 à 10 fois sa vraie valeur), sans compter son côté merdique et buggué depuis l’origine (c’est quand même le seul logiciel que je connaisse qui comprenne une perméabilité non volontaire entre les bases…).





Et pourquoi le public surpayerait t’il les travaux ?



Les appels d’offre sont officiels et les prestataires sont mis en concurrence sur le prix.



Mais le public, ce sont des procédures lourdes et donc du temps. Normal que ça se paye…



Quand à l’aspect qualitatif des logiciels, le contexte dans lequel les informaticiens créent est responsable de ces maux.



La plupart des choix faits dans les logiciels ne sont pas faits par des informaticiens…


Le 07/11/2015 à 14h 23







Patch a écrit :



Et quand l’erreur provient d’un bug logiciel? On prélève quand même sur la partie “prime” du fonctionnaire (qui au passage, a un niveau de vie plus bas qu’un privé) pour le principe?







Non, ça on le prélève sur la prime des directeurs qui n’ont pas su choisir (et payer pour) une bonne prestation informatique. <img data-src=" />



Parce que les problèmes de bug informatiques ne relèvent pas de la magie ni de la fatalité.



Aujourd’hui, la mode c’est d’externaliser les prestations pour faire baisser les coûts. Les informaticiens ne travaillent pas dans de bonnes conditions. On récolte ce que l’on sème…



Ajoutons à cela des cahiers des charges délirants de complexité qui sont écrits par des incompétents et qui ne peuvent que mener à la catastrophe.



Et si cela vous choques que quelqu’un paye en cas de problème, sachez que c’est la règle dans le privé. Si une entreprise foire une prestation, elle le paye : c’est la loi. Et quand une entreprise privée paye, des têtes tombent…



Donc non, cela ne me choquerait pas du tout qu’un fonctionnaire soit licencié quand il commet une erreur dont la conséquence est la faillite d’une entreprise ou des années de galère pour un individu.


Le 06/11/2015 à 15h 15







js2082 a écrit :



En même temps, quand tu vois le temps perdu dans ces administrations à devoir expliquer ta situation, à te balader de services en services et à devoir réexpliquer à chaque fois ton cas, pour obtenir un petit bout de papier qu’ils auraient pu t’envoyer par mail, c’est pas plus mal qu’ils fassent disparaitre ces guichets.



Perso, l’année dernière, j’ai du me balader à faire des aller-retour entre 5 services différents pour régulariser une situation d’auto-entrepreneur parce que l’ursaaf n’avait pas fait son boulot.







Ca sera juste une nouvelle façon de te balader. Et le tout sans vraie preuve légale (l’email n’est pas reconnu en tant que preuve légale).



Déjà avec des vraies LRAR, tu as bien du mal à faire valoir tes droits contre l’administration. Alors avec des copies d’écran, je n’imagine même pas…



Non, ce qu’il faut vraiment, c’est complètement réformer tout ça.



Un erreur ? L’administration devrait indemniser pour le temps perdu. Le tout prélevé sur une partie “prime” du fonctionnaire.


Le 06/11/2015 à 16h 28







Patch a écrit :



C’est vrai, faire des correctifs pour 0,3% des téléphones, quelle avancée dans la sécurité!

Prendre en compte Jellybean et Kitkat ne ferait pas de mal. Ce sont quand même les plus présents, et il a encore des téls vendus avec Kitkat il me semble.

Le pire, c’est que je suis certain que tu serais parmi les gueuleurs si MS appliquait la même méthode avec Windows, en ne mettant plus à jour que 10 et en laissant tomber tout le reste.







Le problème des téléphone mobiles, c’est qu’ils ont ignoré les bonnes pratiques et l’état de l’art utilisé pour les ordinateurs classiques.



Dans un ordinateur de type PC, le matériel est indépendant de l’OS grace aux Bios/UEFO. Et l’Os est dans une certaine mesure indépendant des versions de drivers.



Pour les téléphones mobiles, il faut customiser une ROM pour un appareil donné, avec les drivers appropriés. Mais avec ce système archaïque, les mises à jour sont ingérables car il faut consacrer un temps important pour chaque mise à jour de chaque modèle d’appareil.



La solution pour résoudre ce problème ne pourra passer que par des normes fixées par les états. Comme sur PC, le matériel doit simplement devenir indépendant de l’OS.



Autrement dit, un téléphone mobile (qui n’est autre qu’un ordinateur miniaturisé) doit pouvoir aussi être vendu sans système d’exploitation.


Le 03/11/2015 à 16h 34

Au passage, à quoi de faire un système démocratique si c’est pour autoriser de pareilles dérogations au débat démocratique ?



D’ailleurs, est ce que le risque terroriste est si grave que cela justifie pareilles mesures ?



Le terrorisme ne fait que quelques dizaines de morts par an. Même si c’est triste, ce n’est rien à côté des 10000 à 20000 morts par an (selon une étude de l’inserm) causés par le chômage.


Le 03/11/2015 à 16h 09

Au passage, la CNIL, quand est ce qu’ils prévoient de nous épargner ces bandeaux “cookie” ridicules et pénibles qui ont fleuri sur tous les sites internet ?

Le 03/11/2015 à 15h 16







Guinnness a écrit :



Tu n’as pas l’impression d’être un peu beaucoup hors sujet ?

Ici on parle d’un bidule pour générer vite fait des petites applis simples via des briques préfabriquée sans avoir besoin de connaissances particulières pas d’un outils de travail pour un dev professionnel.







Personne ne prétends le contraire.



Mais pourquoi préjuger du fait qu’un amateur se contentera forcément des limites des outils simplifiés ?



Moi, dans tous les domaines ou je suis un simple amateur, je préfère quand même me servir si possible des mêmes outils que les pro.



C’est effectivement plus dur, mais avec le temps, on apprends et on progresse….





Faut savoir se sortir un peu la tête de son cadre pro et se rendre compte que la très grande majorité des gens n’a absolument aucune envie de devoir consacrer des mois à l’apprentissage d’un langage de programmation complexe





Il est évident que personne n’a envie de faire des efforts inutiles.



Mais parfois, il est bon de rappeler que les efforts, c’est un investissement qui rapporte. Dans la vie, on n’obtient rien sans effort.



Apprendre les maths, les sciences, les langues, ça demande des années, c’est très dur. Mais tout le monde consent à apprendre cela pour ne pas devenir un handicapé pour toute sa vie.



En informatique, c’est la même chose. La programmation, c’est la base qui permet de tenir la puissance de l’ordinateur dans ses mains. C’est ce qui permet à un utilisateur de s’affranchir de toutes les limites.



Au final, c’est aussi la voie du moindre effort global, puisqu’une fois l’outil maîtrisé, on peut tout faire. Et l’automatisation fait gagner beaucoup de temps.



Ce n’est d’ailleurs pas un hasard si la programmation a été remis au programme scolaire dans la plupart des pays du monde.





juste pour bricoler un petit truc de temps en temps et c’est précisément à ces gens là que ce genre de “jeu de Lego” s’adresse.



Bien sur on ne pourra probablement jamais faire un truc un tant soit peu complexe avec, ça tombe bien ça n’est justement pas du tout le but.





On peut tout autant jouer “utile” avec un langage de programmation.



Même si c’est un peu plus frustrant au départ, ça permet de s’éclater beaucoup plus par la suite.



Tous les jeunes en sont capables.





Parcequ’il faut toujours une analogie foireuse avec l’automobile <img data-src=" /> on te parle voiturette électrique et toi tu extrapole victoire au général au Mans <img data-src=" />





L’analogie se résume mieux ainsi : Préfères-tu passer ton permis ou te contenter d’une voiturette ?



Faut t’il faire le choix d’une voiturette sous prétexte que passer son permis, c’est beaucoup plus difficile ?


Le 02/11/2015 à 21h 15







parnetiel a écrit :



Tout est bon pour faire naitre des vocations y compris toucher un peu du doigt ce que l’on peut faire et comprendre par l’exemple le potentiel derrière!! car tout le monde ne sautera pas à pieds joints direct dans le dur non plus <img data-src=" />







La dessus, par contre, je suis totalement d’accord.



C’est une bonne initiation à la création en première approche.













Le 02/11/2015 à 16h 57







manu0086 a écrit :



Langage de programmation généraliste ? style C++, Java ?  

Bon ok c’est cool de connaitre les bases de la programmation, mais quand tu dois développer une application sur 3 plateformes complètement différentes, t’as beau connaitre les bases, tu vas y passer un sacré bout de temps ^^







De toute façon, autant t’y résoudre, si tu veux écrire une application sérieuse, tu y passera un certain temps <img data-src=" />



Mais si tu veux en passer encore plus, tu peux aussi essayer les 2500 outils “simplificateurs” du marché juste pour voir jusqu’où tu peux aller avec l’un ou l’autre avant d’être limité.



Si tu est un pur amateur sans objectif précis, il va de soit que tu pourrais très bien te contenter de ce que ces outils peuvent faire.



Mais si tu doit réaliser des objectifs précis, la question, c’est de savoir à quel moment tu abandonne l’idée de vouloir te “simplifier la vie” et te résoudre à prendre les outils qui permettent de boucler à coup sûr 100% de tes impératifs.



Au sujet des plateformes mobiles qui nous la jouent “retour au grand bordel incompatible façon années 80”, personne n’a de solution miracle à cette situation ubuesque, à ce retour vers le passé.



Je pense que la solution consistant à rajouter une surcouche par dessus tout ça pour rendre compatible ce qui ne l’est pas n’est pas n’est pas une bonne solution.



La vraie solution, c’est d’attendre que la crise d’adolescence des plateformes mobiles passe, qu’ils s’équipent de vrais Os acceptant (logiquement) tous les langages de programmation, ce qui permettra (enfin) de porter simplement ses applications d’une plateforme mobile à l’autre.

 



Surtout que les bases de la programmation aident assez peu en fin de compte pour la majorité des applications… ce qui est nécessaire, c’est l’apprentissage de l’outil mis à disposition et une bonne recherche des tutoriels ^^





Il va de soi que l’apprentissage du langage seul n’est pas suffisant. Il faut également apprendre l’utilisation de l’environnement qui va avec.


Le 02/11/2015 à 15h 05







tazvld a écrit :



Les “langages informatiques” ne sont que des IHM comme les autres. Ils répondent au besoin des développeur à pouvoir donner des instructions dans la machine à la fois dans un langage simple et pourtant sans ambiguïté.

Du coup, la ligne de code n’est qu’une façon de présenter la “programmation”. C’est quelque chose de très technique très précis et très puissant quand on sais l’utiliser. Je suis peut être optimiste, mais je pense qu’il est possible de proposer quelque chose de moins puissant mais beaucoup plus simple, plus instinctif pour le grand public. C’est un peut ce qui s’est passer lorsque l’on est passer de l’interface “console/terminal” à l’interface “clicable” et même plus récemment les interfaces tactiles. Qu’un enfant de 4 an sache utiliser un smartphone, je trouve ça génial, ça veut dire que l’aspect technique n’est plus la frontière limitante dans l’utilisation de ce genre d’appareil.

Je vois par exemple les programme comme IFTTT (if this then that) qui propose déjà une interface facile à prendre en mains. Scratch est plus traditionnel dans son approche pour rendre accessible la programmation.



Le but n’est pas de dénigrer le travail de développeur, c’est de de rendre accessible les possibilités offerte par les technologie sans avoir à entrer dans les détail technique. Et justement, ça c’est le travail des informaticiens, faire en sorte que faire quelque chose avec un ordi ne soit limité que par l’imagination de l’utilisateur et non la technicité de l’action. Le but n’est pas de débiliser comme certain se plaisent à dire, c’est de rendre accessible à tous, en particulier celui qui aurait passer son chemin à l’évocation du mot “code”.







Je souscrirait volontiers à l’idée si une longue pratique professionnelle ne m’avait pas enseigné que lorsqu’on cherche trop à se simplifier la vie, on aboutit exactement à l’extrême opposé.



Au delà d’un certain niveau de complexité, vouloir se passer de programmation à tout prix aboutit juste à se compliquer la vie…



Tu parlais de scratch plus haut, c’est tout mimi pour des exemples simples. Tu ira regarder à quoi ressemble un exemple qui dépasse le cas trivial, juste histoire de se marrer devant le beau tas de spaghetti…





Mon rêve pour le grand public, c’est qu’un jour, il puisse tout simplement demander de vive voix à l’ordinateur de la même manière qu’il l’aurait fait avec une autre personne ce qu’il souhaite faire.





C’est beau de rêver.



Mais dites vous qu’on en parlait déjà il y a fort longtemps, quand la plupart d’entre vous n’étiez pas né.



Et depuis, on a pas tellement progressé…



Le problème, c’est qu’un microprocesseur a un niveau d’intelligence si faible que tu aura plus vite fait d’apprendre la programmation au plus crétin des humain qu’a apprendre à un microprocesseur à programmer à sa place. <img data-src=" />



D’ailleurs, il y a fort à parier que le jour ou l’ordinateur parviendra au niveau d’intelligence requis pour programmer, d’autres problèmes se poseront avec ces “I.A” qui pourraient bien rejoindre les scénario catastrophes de la science fiction.


Le 02/11/2015 à 14h 28







manu0086 a écrit :



Très intéressant, j’ai une application à réaliser.  

J’y ai jeté un oeil et cela ne sera guère possible…ce n’est pas encore assez poussé mais c’est un début…  J’espère qu’ils en feront une version pour “développeur”, car il faut un minimum de compétences pour comprendre le fonctionnement complet d’une application. Un outil complet (et bien pensé) peut être un gros gagne temps pour les développeurs multiplateforme.







Tous les concepts de création sans apprentissage ont toujours impliqué (en pratique) des limites assez rapidement atteintes.



Penser qu’on pourrait combiner simplicité extrême et puissance de création, c’est de l’utopie. Parce que simplicité et puissance sont conceptuellement antinomiques quand bien même on arrive parfois à les combiner de manière marginale.



Même les environnements “simplificateurs” a destination des programmeur ont fini par perdre mon estime : toujours des limites à un moment ou un autre… qui aboutissent finalement à plus de perte de temps que de gain dès lors qu’il y a des impératifs fixés a respecter.



Mon conseil personnel pour ceux qui veulent vraiment gagner du temps : apprenez plutôt d’emblée un vrai langage de programmation généraliste qui peut TOUT faire. Et pour vous simplifier la vie, trouvez un bon framework et de bonnes bibliothèques.


Le 31/10/2015 à 12h 43







parnetiel a écrit :



Tu te bases sur des considérations de particuliers voire de geeks même plutôt pour dire ça, mais dans le monde pro les 5 ans d’Ubuntu LTS c’est beaucoup trop court et donc ce que je dis est bien vrai.

Tu m’aurais cité l’exemple des offres de support de Red Hat ou de Suse encore… <img data-src=" />







Sauf que même dans le monde pro, tout le monde est loin d’être demandeur d’un support à 10 ans.



Garder aussi longtemps un Os, même avec du support top niveau, cela présente des inconvénients techniques certains.



Ces pratiques discutables révèle plus d’une logique de réduction des coûts que de vrai professionnalisme.


Le 31/10/2015 à 10h 04







parnetiel a écrit :



Je dirai plutôt que toi si ça te dérange pas à ta guise, t’es le genre de client idéal dont toutes les boites peu scrupuleuses comme sony rêvent, grand bien t’en fasse et à eux aussi!! mais aies au moins le minimum de décence à ne pas défendre l’indéfendable enfin… <img data-src=" />



surtout que sur Ubuntu le problème est présent aussi, en moindre certes, mais en tout cas il faut toujours réinstaller trop régulièrement les nouvelles versions de l’OS pour garde son PC à jour, alors que pendant ce temps là Microsoft propose plus de 10 ans de mises à jour sur chaque version de Windows encore en support, et de même pour leurs devices!!



alors certes c’est payant (et je parle même pas des prix de la Surface Book parce que là c’est carrément un rein <img data-src=" />) et c’est pas du tout la même chose niveau philosophie qu’Ubuntu ok, mais par contre on comprend mieux le succès de Microsoft sur ce point là au moins, il y a un vrai service et un vrai suivi derrière qui est fourni clé en main aux clients !







C’est faux.



Il suffit d’installer une versions LTS d’ubuntu qui est supportée pendant 5 ans.



http://doc.ubuntu-fr.org/lts



Un support de 10 ans n’aurait pas trop de sens dans le monde Linux parce que les distributions sont gratuites et qu’au delà de 5 ans, rare sont les utilisateurs qui ne voudraient pas une mise à jour…



La situation particulière de la longévité de Windows XP s’explique non seulement par le cout des licences, mais également par le fait que sont successeur Windows Vista demandait du matériel plus puissant.


Le 31/10/2015 à 09h 16



Chaque constructeur a ses défauts.



Même si Apple est bien niveau maj, il ne faut pas oublier que le plus important c’est la stabilité et la fluidité de l’OS, chose qui se perd de plus en plus sur IOS je trouve. Entre les apps qui crash plus souvent que sur Android, et la perte de fluidité suivant les iphones… m’enfin bref.



Peut être qu’avec Android c’est chiant pour les majs, mais du moment qu’on l’a, et qu’en attendant l’OS soit stable, c’est le plus important.



Je prends exemple avec mon Honor 6, acheté en 4.4.2, tout allait très bien, j’ai eu la maj Lollipop il y a genre 1 mois, et tout va toujours bien, j’étais pas pressé et de toute façon ça ne change pas grand chose.



J’attends quand même Android M et le mode Doze, enfin, on l’aura durant l’année 2016 peut être, c’est pas grave, en attendant j’ai un OS stable, fluide, et tout va bien…





Un OS qui ne reçoit plus de mise à jour de sécurité pour corriger ses failles, c’est un problème.



Pour rappel, une bonne distribution Linux reçoit des correctifs journaliers pendant des années.



On ne peut donc pas considérer que c’est une situation correcte.

Le 30/10/2015 à 17h 14







Zerdligham a écrit :



Moi je comprends très bien : 1ct 20 économies de bout de chandelle 5M de machine = 1M€ de plus dans la poche. Sur des appareils qui margent peu (je ne parle donc pas d’Apple <img data-src=" />), c’est pas forcement négligeable.

Le fait de comprendre ne veut pas dire que j’approuve. Je préfèrerais moi aussi un appareil facilement démontable,







Oui, il est compréhensible que les industriels conçoivent les appareils d’une façon qui sers leur intérêt.



Mais leur intérêt n’est pas le nôtre.





mais je reconnais que c’est pas un critère auquel je donne beaucoup d’importance au moment de l’achat, donc implicitement, je suis complice.





C’est tout à fait logique.



Par nature, le consommateur est peu sensibilisé aux détails techniques. Et le marketing finit de lui faire oublier ces questions.



C’est bien pour cela que ce type de problème ne peut se régler que par des normes.



On peut d’ailleurs constater que certaines normes produisent déjà des effets positifs, comme le connecteur usb pour les chargeurs.





Les agent économiques agissant de façon rationnelle et à long terme, j’en ai jamais vu que dans mes cours d’économie <img data-src=" />





En matière d’économie, on peut oublier les aspect rationnels. Mais seulement pendant un certain temps.



Les importations de téléphones pèsent sur notre balance commerciale.





Et pourtant ça reste un argument marketing (moins qu’avant, c’est vrai). Sinon je suis bien d’accord avec toi, pour moi, jusqu’à 1-1,2cm, l’épaisseur n’est pas très importante.





Cela reste un argument marketing pour une raison simple : plus fin, il se distingue de l’ancien. L’acheteur peut montrer qu’il a le dernier.



Les leviers du marketing se basent sur des ressorts psychologiques profonds.





Les smartphone réparables aussi ça existe. Mais c’est frustrant d’avoir aussi peu de choix.





Oui, clairement.



Le 30/10/2015 à 10h 45







Zerdligham a écrit :



C’est con, mais mettre un point de colle et fermer le truc, si une chaîne de prod, c’est largement moins cher que de prévoir un pas de vis, et la machine capable de viser la pièce.







En quantité industrielle, la visserie de ce genre ne coûte quasiment rien. C’est vraiment peanuts…



Et la colle, ça n’est pas non plus gratuit. D’ailleurs, c’est beaucoup plus compliqué à appliquer correctement sur une chaîne qu’on ne pourrait l’imaginer.



Mais ce genre d’économie de bout de chandelle sur des appareils qui valent quand même plusieurs centaines d’euros, pour ma part, je ne comprends pas.





Même si je suis d’accord avec toi que dans certains cas, on ne comprend vraiment pas pourquoi ils ont fait tel ou tel choix.

La majorité des gens n’en n’ont rien à faire que leur gadget soit démontable, et râleraient d’avoir à payer leur smartphone 10e plus cher ou qu’il fasse 1mm de plus à cause de ça, je te parle même pas des critiques sur le design si jamais il y avait des têtes de vis apparentes.





Et puis quand l’écran est cassé, ils vont quand même pleurer chez le premier réparateur venu pour essayer de le faire réparer à moindre coût <img data-src=" />



Au passage, un assemblage par visse, ça ne coûte pas 10e. Et ça ne fait pas augmenter l’épaisseur. La preuve, certains constructeurs le font bien.



D’ailleurs, à propos de l’épaisseur, au début ça apportait un plus, mais maintenant, ça devient ridicule. Les appareils trop fins ne tiennent plus bien en main et les autonomies s’en ressentent.





Moi ce que je voudrais, c’est un téléphone avec une semaine de batterie, quitte à ce qu’il fasse 3 ou même 5mm d’épaisseur de plus. Ça n’existe pas non plus, mais je vais pas exiger qu’on fasse des lois pour que les industriels répondent à mon besoin minoritaire.





Pour les appareils qui ont une batterie amovible, ça existe. On trouve des batteries qui font plusieurs fois la capacité de celle d’origine. Le tout livré avec un dos spécifique. Et la meilleure c’est qu’avec ça l’appareil tient beaucoup mieux dans la main.





OK, j’avais pas compris ça.

Cela dit, je pense que tu sous-estimes la compétence nécessaire pour réparer certaines choses.

L’automobile par exemple, je suis ingénieur, mais je ne vais certainement prétendre que si c’est faisable par un CAP, c’est que c’est facile. Dans son domaine, n’importe quel CAP (ou même non-diplomé) est infiniment meilleur que moi.





La réparation, c’est effectivement un métier.



Mais un appareil bien conçu met la réparation à la portée de toute personne un peu dégourdie.



Même pour ceux qui ne veulent pas le faire eux même, il y a un gain : ça fait nettement diminuer le coût des réparations. (temps passé par un réparateur = argent facturé).



Le 29/10/2015 à 21h 54







Xaelias a écrit :



Pour les montres, si elle est un minimum water-resistant, tu peux difficilement faire quoi que ce soit toi-même :-)







Sur certaines montres étanches, la difficulté se résume à 4 visses et le joint qu’il faut bien remettre.



Si un smartphone se démonte comme ça et qu’en plus il est étanche, cela me va.





Pour les voitures, j’avoue mon ignorance, mais de ce que j’ai entendu, sur n’importe quel modèle récent, les réparations sont très vites problématiques…





Tous les passionnés de mécanique te confirmeront qu’il y a une dégradation notable (et préoccupante) sur certains modèles récents.



Pour ma part, devant des cas concrets et vécu (genre 12 journée pour changer… une ampoule), j’en ai conclu que c’est plus une affaire de mauvaise conception qu’autre chose.



D’un autre côté, tout n’est pas à jeter : des groupements de sociétés d’assurances (notamment allemands)font maintenant pression pour que certains éléments se remplacent plus facilement.



Ce qui montre bien que c’est avec des normes et des pressions qu’on incitera les constructeurs, tout domaine confondus à des progrès en la matière.



Le 29/10/2015 à 20h 58







Zerdligham a écrit :



Donc tu veux interdire à la vente en France (liste non exhaustive):



la microélectronique (outils spécifiques + compétences fortes)







On obligerait simplement a ce que des modules raisonnablement découpés soient remplaçables individuellement.



Pour un smartphone, il serait exigé de pouvoir facilement désassembler la coque externe, le LCD, la batterie, la carte principale et éventuellement les quelques modules.



Les cas de panne sur un smartphone, c’est souvent l’écran cassé et la batterie qui vieillit. Donc ces éléments doivent pouvoir se remplacer.





l’horlogerie (outils spécifiques + compétences fortes)





Pour ma part, j’ai toujours démonté mes montres sans difficulté et avec des outils standard.



Quand je parle d’outils spécifiques, c’est d’outils spécifiques à un modèle précis.



Le but ne serait pas d’interdire l’usage d’outils standards et raisonnablement nécessaire comme un jeu de tournevis standards.



Par contre, quand un constructeur crée un objet qui utilise sans justification des procédures de démontage complexes ou des outils spéciaux alors même qu’il pourrait utiliser du standard, cela doit être interdit.



De même quand un montage collé pourrait être remplacé par des visses.





les voitures, et de façon générale tout ce qui contient un moteur à explosion (compétences fortes)





La très grande majorité des opérations de maintenance sur une automobile n’a pas besoin d’outillage spécifique.



Un moteur n’est ni soudé, ni collé : tout se démonte.



Certains mécano ont de l’outillage qui date de leurs parents.



Pour les compétences fortes, les mécaniciens sont des CAP, pas des ingénieurs…





la plomberie (outils spécifiques)





En plomberie tout est standardisé. C’est aussi valable pour l’outillage.



Et les rares choses qui ne le sont pas (exemple, entre axe de fixations de cumulus) devraient l’être.


Le 29/10/2015 à 14h 02

On pourrait suggérer une loi à nos élus. Elle pourrait s’écrire de la façon suivante : “Tout appareil qu’un réparateur moyennement qualifié, non spécialement formé et non muni d’outils spécifiques n’arrive pas à démonter sans dommage est interdit de vente en France”.

Le 30/10/2015 à 10h 59







js2082 a écrit :



C’est bien la première fois que j’entends ça.

 Faudra m’expliquer comment cela peut bien arriver.



Si un tel n’est pas capable de subir une simple pression dans une poche sans se dégrader, c’est qu’il y a vraiment un problème de conception, à moins que ton pantalon et toi-même ne soient en réalité une presse à métal.







Bah, les téléphones deviennent tellement fins de nos jours que logiquement, ils ont plus de mal à résister aux contraintes.


Le 28/10/2015 à 13h 44







HarmattanBlow a écrit :





La bonne solution ce n’est pas d’appliquer les mêmes règles à tous, c’est de reconnaître la nécessité en certaines circonstances de barrières douanières et légales et de mesures protectionnistes. Par exemple face à des pays qui se livrent au dumping, ou pour sauver temporairement une industrie ou défendre des intérêts stratégiques. Le problème réside dans le marché libre dogmatique et l’unification.









Clairement.



D’ailleurs, si nous avons vécu pendant des siècles avec des barrières douanières et du protectionnisme, c’est qu’il y a bien une raison.



Comme tu dit, il y a du dogmatisme dans l’affaire. Tout ces gens qui sont sortis des écoles ou l’on apprends que le protectionnisme c’est mauvais. Et qui pensent naïvement qu’il suffit simplement de le supprimer.



Malheureusement, la réalité n’est pas aussi simple, le protectionnisme est un bouclier nécessaire qu’on peut éventuellement abaisser a partir du moment ou un partenaire joue le jeu : et dans ce cas la, c’est positif. Mais certainement pas de manière inconditionnelle.



Aujourd’hui, il est évident qu’un entreprise française qui paye son salarié beaucoup plus cher qu’une entreprise chinoise ne peut pas tenir la compétition, elle finira inéluctablement par fermer.


Le 28/10/2015 à 12h 33



Nous voulons être le continent qui peut, sur le numérique, être le meilleur au monde. Certes, il y a une concurrence – et on sait d’où elle vient. (…) Alors soit nous suivons, soit nous anticipons. Nous avons fait le choix d’anticiper et, dans certains domaines, de prendre de l’avance.





Que de beaux discours.



Mais peut être devrions nous surtout remplacer ces politiques par des gens qui comprennent vraiment ce que c’est le numérique <img data-src=" />





Paris et Berlin se sont d’autre part engagées à signer une « convention bilatérale portant sur la création d’un statut de « Jeune entreprise innovante », qui permettra aux start-ups de bénéficier d’un régime favorable dans les deux pays pendant leurs premières années d’activité, sous la forme d’avantages fiscaux ou sociaux ou de subventions ».





Tout cela en échange de formalités inouïes et d’une immense perte de temps a remplir des dossiers.



On connait depuis longtemps, c’est complètement inadapté.



Et toujours ce fabuleux mythe de la startup alors même que la R&D dans le domaine numérique est également le fait d’entreprises qui existent depuis longtemps.



Visiblement, la seule vraie solution, c’est à dire laisser leur argent aux entreprises pour qu’elles puissent investir n’est toujours pas à l’ordre du jour.

Le 28/10/2015 à 08h 45

Cette caméra doit être rendue obligatoire. Cela éviterait bien des polémiques.



Pour répondre au problème d’une possible défaillance, on peut très bien doubler, voir tripler le dispositif dans un même boitier.



Les caméra sont peu chères et très petites, ce n’est pas un problème.

Le 28/10/2015 à 05h 32







kade a écrit :



Au prix de la main d’œuvre, du risque de tout péter, je doute que un appareil en panne ne soit reconditionné en dehors d’une poubelle municipale.







Tu te trompes. Il suffit de demander à google pour constater qu’il existe de nombreux réparateurs qui le proposent.



Mais il est évident que les difficultés de démontage aboutissent à plus de temps de travail facturé et que ce n’est pas bon pour le consommateur.



L’état devrait donc édicter des normes en la matière, voir interdire de vente les appareils trop difficiles à réparer.



Les constructeurs devraient par ailleurs être astreints à la fourniture de pièces de rechange. Et cela, à un tarif raisonnable.



Si vous pensez que ma vision est trop dure, demandez vous à quelle hauteur tout ces appareils électroniques importés contribuent au déficit de notre balance commerciale.



Et pour ceux qui pensent que les pièces collées sont une fatalité sur un appareil compact, je vous suggère d’aller faire un petit tour du côté de l’industrie de l’horlogerie pour vous en détromper.


Le 28/10/2015 à 05h 19







levieuxtoby a écrit :



Ça me fait doucement rigoler ce genre de remarques, qui interviennent en 2015, après 40 ans d’attaques sur le principe d’impôt qui ont vu le niveau d’impôts et de taxes diminuer drastiquement. Certes surtout au profit des gros portefeuilles. Tout ça pour maintenant faire croire que si y’a plus assez d’eau dans la baignoire, c’est qu’il faut réduire le trou. Alors qu’il suffit d’ouvrir un peu plus le robinet.

Plutôt que de faire une critique bas-du-front du principe de taxe, je sais pas, on pourrait imaginer une critique de sa répartition, qui après avoir fait couler les pauvres s’attaque aux couches moyennes ? Mais nan, les socialos sont des irresponsables.







Comme la plupart des gens, tu ne considère que les impôts directs : tu ne connait pas l’ensemble des sources de prélèvement de l’état qui sont nombreuses et variées. Et surtout bien cachées du citoyen lambda qui n’est pas expert en la matière.



Beaucoup se font d’ailleurs par le biais des entreprises qui répercutent des prélèvement à la source sur le prix de produits que tu achètes. La TVA, les charges sociales et la TIPP sont un exemple, mais il y en a une pléthore.



Ce qui importe, c’est bien sûr le total. Et ce total n’a fait qu’augmenter en France depuis la seconde guerre mondiale pour atteindre un niveau record par rapport à la plupart des pays du monde.



Le 27/10/2015 à 05h 41







Obidoub a écrit :



Juste que cette mode de la publicité comme solution à tous les maux m’exaspère.

De plus tout le monde sait que 90% des utilisateurs ne changeront pas les réglages du navigateur.







Tout le monde veut du logiciel libre, mais personne ne veut mettre la main à la poche pour les financer.



C’est bien dommage que certains projets aient décidé d’intégrer de la pub. Mais on peut imaginer qu’ils ne l’ont pas fait de gaité de cœur, mais parce que leur survie est en jeu.



D’une manière générale, le logiciel libre est victime de la confusion entre libre et gratuit.



Je pense qu’il est grand temps d’expliquer aux gens les vrais avantage du logiciel libre et pourquoi ce modèle est indispensable. Mais également que les développeurs du libre ne vivent pas d’amour et d’eau fraiche et ne logent pas dans un carton a une sortie de métro…



Si vous utilisez des logiciels libre, alors vous devriez contribuer à leur financement. (Selon vos moyens, bien sûr).


Le 26/10/2015 à 11h 56







paradise a écrit :



… ensuite Ubuntu n’est pas forcément le meilleur exemple, il s’agit bien d’une entreprise privée à but lucratif, et rien d’autre.







Le but lucratif, c’est juste une forme juridique.



Dans la réalité, le bon usage de l’argent dépendra toujours plus des volontés des dirigeants que de la forme juridique.



On peut voir des dirigeants grassement payés dans des associations. On trouve également des patrons de boites “lucratives” qui se payent très modestement, parfois moins que leurs employés.



Au passage, si Shuttleworth n’avait eu que l’argent comme préoccupation, il aurait mieux fait d’investir dans des actions Apple, Microsoft ou Google.



Et même si Ubuntu est souvent critiqué (et a juste titre IMHO), le monde du libre leur doit quand même beaucoup.


Le 26/10/2015 à 10h 42







paradise a écrit :



La réalité de ce monde est aussi l’existence de beaucoup de bénévolat, tout le monde n’est pas forcément cynique et passionné par le pognon.



Et oui, cela fait chaud au cœur que des bénévoles contribuent à Linux, ensuite Ubuntu n’est pas forcément le meilleur exemple, il s’agit bien d’une entreprise privée à but lucratif, et rien d’autre.

Il ne manque pas de projets plus ou moins communautaires auxquels on peut contribuer : Mageia, Slackware, Arch, Gentoo, et bien d’autres, de même que de nombreux forks intéressants existent ceux-là à 100% communautaires.







“l’argent c’est mal, le bénévolat c’est bien”



Si seulement les choses étaient aussi simples…



Par exemple, les informaticiens qui écrivent des logiciels libres ont besoin comme tout le monde de manger et d’habiter ailleurs que dans un carton…



L’énorme revers de la médaille d’un modèle basé sur le bénévolat : s’il faut travailler toute la semaine à écrire des logiciels propriétaires pour pouvoir contribuer a des logiciels libres quelques heures sur son maigre temps libre, c’est au bout du compte assez contre productif.


Le 21/10/2015 à 21h 23







DotNerk a écrit :



<img data-src=" /> Je vais expliciter mon propos

 

Je parle ici d’un manque à gagner, auquel participe la fraude, et aucunement de la faillite du système uniquement due à la fraude <img data-src=" />.







En même temps, il faut arrêter d’être naïf à propos de ce que nos politiques appellent des fraudes.



Un chômeur au RSA qui vends par nécessité ses vieux meubles pour gratter 25€ pour payer une facture, c’est techniquement un fraudeur.



Par contre, une multinationale qui défiscalise des milliards dans les paradis fiscaux, ça n’est pas de la fraude (et une armée d’avocats et de fiscalistes s’en est assuré.) <img data-src=" />



Gouvernement après gouvernement, le scénario est toujours identique. Pour tenter de justifier leur incompétence sans attaquer la toute puissante finance, les politiques s’en prennent toujours au même bouc émissaire : les plus pauvres.



Et comme ils sont techniquement incapables de faire baisser le chômage, il leur faut trouver des prétextes pour exclure des gens des listes.