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Le Raspberry Pi 3B+ disponible pour 35 dollars : SoC plus rapide, Wi-Fi 802.11ac et Ethernet Gigabit

Le Raspberry Pi 3B+ disponible pour 35 dollars : SoC plus rapide, Wi-Fi 802.11ac et Ethernet Gigabit

Le 15 mars 2018 à 07h53

À l'occasion du Pi Day, la fondation lance une nouvelle version de son micro-ordinateur de poche. Baptisée Raspberry Pi 3 B+, il s'agit d'une légère évolution du 3B.

Le processeur Cortex-A53 gagne 200 MHz pour arriver à 1,4 GHz. Wi-Fi 802.11ac (dual band) Bluetooth 4.2 et port Ethernet Gigabit (« over USB 2.0 » seulement, débit maximum théorique de 480 Mb/s) sont au programme.

Parmi les autres nouveautés, il est question de la prise en charge du Power over Ethernet (PoE), à condition d'acheter un « HAT » séparément. Pour cela, un connecteur quatre broches a été ajouté sur le PCB, mais l'accessoire nécessaire pour alimenter le Raspberry Pi ne sera disponible que dans un second temps.

Citons également des améliorations sur la gestion thermique et sur la prise en charge des périphériques de boot en USB. Un Raspberry Pi A+ pourrait arriver en « temps voulu ». La fondation Raspberry Pi annonce une disponibilité immédiate pour 35 dollars pour le 3B+, exactement comme le 3B de base. Kubii le propose d'ores et déjà pour 38,90 euros.

Le 15 mars 2018 à 07h53

Commentaires (70)

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port Ethernet Gigabit (« over USB 2.0 » seulement, débit maximum théorique de 480 Mb/s) sont au programme.



Parmi les autres nouveautés, il est question de la prise en charge du Power over Ethernet (PoE), à condition d’acheter un « HAT » séparément. Pour cela, un connecteur quatre broches a été ajouté sur le PCB, mais l’accessoire nécessaire pour alimenter le Raspberry Pi ne sera disponible que dans un second temps.







Mais mettez un vrai port Ethernet RJ45, bordel !! C’est le seul truc qui manque sur le RPI pour des projets vraiment “industriels”.

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et un vrai port SATA !

LePCDuino V3B que j’ai acheté pour avoir quelque chose qui commence à ressembler à un PC à processeur ARM est globalement décevant.

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127.0.0.1 a écrit :



Mais mettez un vrai port Ethernet RJ45, bordel !! C’est le seul truc qui manque sur le RPI pour des projets vraiment “industriels”.





La fondation RPi s’en tape des projets industriels… c’est une plateforme à visée éducative.



De plus, jense que si le port passe en USB2, c’est que cela doit être moins cher que de mettre un “vrai” port.


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Faudrait quand même qu’ils se mettent à niveau vis-à-vis des cartes qui se font ailleurs…

On peut maintenant en trouver avec un vrai port ethernet Gigabit, un port (ou plus) SATA, de l’USB3, etc, pour le même prix voire à peine plus cher.



Les Raspberry restent une source sûre, ne serait-ce que par la communauté et leur suivi, mais au niveau technique ils sont à la ramasse…

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Furanku a écrit :



Faudrait quand même qu’ils se mettent à niveau vis-à-vis des cartes qui se font ailleurs…

On peut maintenant en trouver avec un vrai port ethernet Gigabit, un port (ou plus) SATA, de l’USB3, etc, pour le même prix voire à peine plus cher.



Les Raspberry restent une source sûre, ne serait-ce que par la communauté et leur suivi, mais au niveau technique ils sont à la ramasse…





Je suis intéressé, tu aurais des exemples ?


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Depuis la vidéo indiquée dans l’article, je suis tombé sur celle-ci :youtube.com YouTubeoù une fille fait des tests entre le 3B et le 3B+, dont le WiFi et l’Ethernet, mais elle a l’air de faire des transferts en scp en direction de la carte mémoire, ce qui limite je pense (vu les taux qu’elle obtient, jamais 100 Mb/s), y compris du fait du chiffrement, alors que j’aurais plutôt fait un “netcat” depuis (un “dd” avec) /dev/zero au départ et vers /dev/null à l’arrivée.

Dans tous les tests, les 3B+ est nettement plus rapide.



Dans cette vidéo elle indique que côté spécification, le port Ethernet peut atteindre 330 Mb/s, ce qui me paraît le maximum possible avec de l’USB 2 (au lieu des 480 Mb/s très théoriques), soit 41 Mo/s, ce qui est même sensiblement supérieur au débit d’une excellente clé USB 2, plutôt vers 35 Mo/s soit 280 Mb/s. C’est déjà pas mal de faire x 3 sur une spécification.

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Bio Teckna a écrit :



Je suis intéressé, tu aurais des exemples ?







Pour ne citer qu’elles :




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de ce que j’avais lu sur RPI, ils ne feront pas de RPI 4 avant 2019, alors en lisant ça je me suis pris une RPI 3 en janvier :o maintenant ça me fout les boules, même si c’est pas du vrai gigabits, ça reste bien mieux que 5Mo/s en port ethernet



y a aussi la Asus Tincker pas plus cher que Banana Pi 

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Elwyns a écrit :



de ce que j’avais lu sur RPI, ils ne feront pas de RPI 4 avant 2019, alors en lisant ça je me suis pris une RPI 3 en janvier :o






J'ai failli faire la même chose, mais finalement j'ai reporté l'achat, ce qui a été judicieux, et j'ai commandé le RPi 3B+ hier !

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Même un port SATA qui passerait par le bus USB ca éviterait d’être obligé d’avoir un adaptateur.



J’ai aussi du mal à comprendre l’utilisation d’un micro-USB pour l’alimentation.

Depuis que j’ai découvert que l’on pouvait alimenter par un port USB-A femelle je passe par là, le micro c’est trop sensible.



Sinon, le boot USB est possible depuis quelle version? J’ai lu que maintenant le boot PXE était aussi possible

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bilbonsacquet a écrit :



La fondation RPi s’en tape des projets industriels… c’est une plateforme à visée éducative.



De plus, jense que si le port passe en USB2, c’est que cela doit être moins cher que de mettre un “vrai” port.





Moins cher que le RJ45, système utilisé depuis un nombre incalculable d’années, dans quasiment tous les terminaux du monde (exceptés les mobiles) ?

Rien que le cout de la licence USB doit être plus élevé que le prix d’achat et mise en place d’un RJ45…


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js2082 a écrit :

Rien que le cout de la licence USB doit être plus élevé que le prix d’achat et mise en place d’un RJ45…



Et ton RJ45 Gigabit natif il parle comment avec le processeur ? C’est la même raison qu’il n’y a pas de SATA

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PtiDidi a écrit :



Sinon, le boot USB est possible depuis quelle version? J’ai lu que maintenant le boot PXE était aussi possible





Comme le boot USB, le pxe est dispo depuis le Pi3 et amélioré sur le +


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PtiDidi a écrit :



Même un port SATA qui passerait par le bus USB ca éviterait d’être obligé d’avoir un adaptateur.



 

Insuffisant. Si on veut utiliser un SSD, ça va poser des pb pour le trim. J’ai un adaptateur USB -> SATA prétendument compatible avec le trim des SSD et la raspbian de ma RPi3 n’est pas d’accord.


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Merci pour le les liens! Je crois que je vais me laisser tenter par un Udoo.

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@PtiDidi et @bilbonsacquet

Le boot USB est exploitable sur toutes les versions , plus ou moins aléatoirement suivant les clés.

https://www.raspberrypi.org/documentation/hardware/raspberrypi/bootmodes/README….

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j’ai reçu mon 3B le 13 …&nbsp;<img data-src=" />

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Furanku a écrit :



Pour ne citer qu’elles :



- PINE64 / ROCK64 : https://www.pine64.org/  

- Banana Pi :http://www.banana-pi.org/

- Udoo (plus cher mais plus complet, c'est du x86) :https://www.udoo.org/

- ODROID :http://www.hardkernel.com/main/main.php






Et même sur les cartes éducatives beaucoup font moins cher (et plus adapté). Micro:bit par exemple.







Pour le coup, aucune n’intègre de wifi AC, et seules deux proposent de l’ajouter sous forme d’add-on USB ou M2, ce qui rend leur solution plus grosse, cher et gourmande. Et Micro:bit ça a l’air sympa mais leur offre est plus complexe : ce n’est pas une carte polyvalente mais un lego. Au total ils n’ont pas l’air moins cher vu que le moindre bout coute 15€.



Ce que ces solutions gagnent d’un coté elles le perdent de l’autre, Raspberry n’a vraiment pas à rougir de la concurrence en l’état.


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une interface entre le niveau MAC généralement intégrée dans le SOC et un composant PHY qui fait l’interface physique ethernet, c’est dans les 25 PIN, ce qui est énorme pour un SOC de ce type.



Il est donc bien plus économique de passer par un bus USB qui peut servir à d’autres choses et réserver les PIN qui sont une ressource rare pour d’autres usages.



Je ne sais pas si le SOC broadcom embarque ou non la gestion d’ethernet, je n’ai pas trouvé son datasheet, mais je pense que cette raison est vraisemblable surtout vu la surface de la carte électronique.



Je sais que c’est le choix que l’équipe électronique avait fait sur un produit sur lequel j’ai bossé alors même que sa carte électronique avait une surface plus grande et que le SOC gérait ethernet: ils avaient besoin des PIN pour des fonctions nécessaires au produit et la fonction réseau était donc gérée par de l’USB.

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bilbonsacquet a écrit :



La fondation RPi s’en tape des projets industriels… c’est une plateforme à visée éducative.



De plus, jense que si le port passe en USB2, c’est que cela doit être moins cher que de mettre un “vrai” port.





Le RPi est clairement utilisé dans l’industrie, pour faire des prototypes, ou pour des utilisations à usages unique, voire pour faire des petites séries d’appareils custom.



Un pote qui bosse dans les show audiovisuels en utilise régulièrement, leur boîte en achete par dizaines. Ils ont reçus des sample du RPi3+ hier :-)


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Et la partie graphique n’a pas bougée? j’ai rien lu a ce propos.

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Furanku a écrit :



Pour ne citer qu’elles :

[…]

Après je ne crache pas sur les Raspberry pour autant. J’en ai un et j’en suis très satisfait.

Mais disons que là je m’attendais à ce qu’ils fassent un véritable upgrade de leur carte…





Je ne suis pas un expert mais je crois qu’un des avantages du RPi c’est la faible consommation, et je ne sais pas si c’est le cas des matériels que tu cites.







Elwyns a écrit :



de ce que j’avais lu sur RPI, ils ne feront pas de RPI 4 avant 2019, alors en lisant ça je me suis pris une RPI 3 en janvier :o maintenant ça me fout les boules, même si c’est pas du vrai gigabits, ça reste bien mieux que 5Mo/s en port ethernet





As-tu déjà fait une mesure purement réseau (sans écriture sur disque / carte mémoire) ?

En tous cas dans la vidéo que j’ai indiquée précédemment (les tests par la jeune femme), le transfert par “scp” est de 46 Mb/s (5,7 Mo/s) sur le RPi 3B et de 83 Mb/s (10,3 Mo/s) sur le RPi 3B+, à titre indicatif.







PtiDidi a écrit :



J’ai aussi du mal à comprendre l’utilisation d’un micro-USB pour l’alimentation.

Depuis que j’ai découvert que l’on pouvait alimenter par un port USB-A femelle je passe par là, le micro c’est trop sensible.





En quoi c’est trop sensible, que veux-tu dire ?

Sinon, c’est très pratique le micro-USB, d’une part c’est disponible très facilement du fait que ça sert à la recharge des mobiles, et d’autre part c’est compact sur la carte mère.







js2082 a écrit :



Moins cher que le RJ45, système utilisé depuis un nombre incalculable d’années, dans quasiment tous les terminaux du monde (exceptés les mobiles) ?

Rien que le cout de la licence USB doit être plus élevé que le prix d’achat et mise en place d’un RJ45…





Le coût de la licence USB ?







heret a écrit :



Insuffisant. Si on veut utiliser un SSD, ça va poser des pb pour le trim. J’ai un adaptateur USB -&gt; SATA prétendument compatible avec le trim des SSD et la raspbian de ma RPi3 n’est pas d’accord.





C’est mieux d’avoir le TRIM sur du très long terme, cela dit j’ai un SSD grand public Intel acheté en 2009 qui ne fait pas le TRIM et qui se porte comme un charme, dans mon PC principal. L’absence de TRIM n’est souvent pas un réel problème.







Bejarid a écrit :



Pour le coup, aucune n’intègre de wifi AC, et seules deux proposent de l’ajouter sous forme d’add-on USB ou M2, ce qui rend leur solution plus grosse, cher et gourmande. […]

Ce que ces solutions gagnent d’un coté elles le perdent de l’autre, Raspberry n’a vraiment pas à rougir de la concurrence en l’état.





<img data-src=" />


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bilbonsacquet a écrit :



Comme le boot USB, le pxe est dispo depuis le Pi3 et amélioré sur le +





On le dit plus bas que le boot USB est possible sur toutes les versions :/

J’étais persuadé que c’était pas possible sur les premières.









heret a écrit :



&nbsp;

Insuffisant. Si on veut utiliser un SSD, ça va poser des pb pour le trim. J’ai un adaptateur USB -&gt; SATA prétendument compatible avec le trim des SSD et la raspbian de ma RPi3 n’est pas d’accord.





Oui, mais ca permettrait de brancher un truc de grosse capacité sans passer par un adaptateur qui fait la taille du RPI. Bon maintenant les clefs USB atteignent des tailles démentes.

Perso après avoir tester le RPi, j’ai rallumé une petite machine. C’est plus gros mais je suis moins limité







dyox a écrit :



@PtiDidi et @bilbonsacquet

Le boot USB est exploitable sur toutes les versions , plus ou moins aléatoirement suivant les clés.

https://www.raspberrypi.org/documentation/hardware/raspberrypi/bootmodes/README….





Il ne me semblait pas que c’était possible sur les premières versions. Je vais creuser un peu


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OlivierJ a écrit :



C’est mieux d’avoir le TRIM sur du très long terme, cela dit j’ai un SSD grand public Intel acheté en 2009 qui ne fait pas le TRIM et qui se porte comme un charme, dans mon PC principal. L’absence de TRIM n’est souvent pas un réel problème.





Oui monsieur je-sais-tout, bien monsieur je-sais-tout, et encore merci monsieur moi-je…


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Trop sensible aux mouvements du cable par exemple.



Je préfère largement un jack pour de l’alimentation.

Les mobiles, le choix du USB se comprend vu qu’il sert aussi à la DATA.

Dans le cas du RPI, il n’a pas d’intérêt.

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PtiDidi a écrit :



Oui, mais ca permettrait de brancher un truc de grosse capacité sans passer par un adaptateur qui fait la taille du RPI. Bon maintenant les clefs USB atteignent des tailles démentes.





Pour avoir testé, une clé USB, même un modèle rapide genre Corsair de qualité, est loin des performances d’un SSD ; pas tant pour l’écriture linéaire que pour le nombre d’IOPS et la capacité multi-tâche (quand 2 programmes accèdent en même temps au disque). Du coup ça se ressent pas mal à l’utilisation.







PtiDidi a écrit :



Trop sensible aux mouvements du cable par exemple.





Tu as des chats chez toi ? ;-)







heret a écrit :



Oui monsieur je-sais-tout, bien monsieur je-sais-tout, et encore merci monsieur moi-je…





Tu passes une mauvaise journée apparemment.

Je te donne juste un avis, tu en fais ce que tu veux. J’ai bien précisé que le TRIM a une utilité (celle d’aider à prolonger la vie d’un SSD, même si en pratique les SSD sont assez robustes et qu’on en change avant d’arriver en fin de vie).


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PtiDidi a écrit :



Oui, mais ca permettrait de brancher un truc de grosse capacité sans passer par un adaptateur qui fait la taille du RPI. Bon maintenant les clefs USB atteignent des tailles démentes.

Perso après avoir tester le RPi, j’ai rallumé une petite machine. C’est plus gros mais je suis moins limité





Tu penses à quelque chose en particulier pour le truc de grosse capacité ? Sur chacun des 2 RPi qui me servent à sécuriser mon réseau, j’ai mis il y a 3 mois un disque dur USB 2,5 pouces de 500 Mo en espérant qu’ils aient une durée de vie supérieure à la carte µSD et chaque disque prend déjà autant de place que la carte. Et tout dépend de ce que l’on fait. Avant ces 2RPi, j’avais un PC dans un boîtier micro ITX pour remplir les mêmes fonctions. Je préfère la solution à 2 RPi qui consomme sensiblement moins. Mais je préfèrerais un PC à processeur ARM.


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OlivierJ a écrit :



Tu passes une mauvaise journée apparemment.





Et toi ? Dans l’autre thread, tu dis me laisser le dernier mot. Tu sais ce que tu veux ? Tu sais ce que tu fais ?


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L’autre thread n’a aucun rapport avec celui-ci…

Franchement, respire un coup et prends du recul, et évitons de polluer les commentaires ici aussi.

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toujours donneur de leçon, et schizophrène par dessus le marché !

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Multi-tâche avec un raspberry.. Tu utilises le même bus pour l’USB et le port Ethernet (et d’autres j’imagine).

Ca marche mais ca vaut 30€ quoi..



Pour le disque dur 2.5, faut un adaptateur.

Pour alimenter le disque, il te faut donc un hub USB avec alimentation externe



J’ai testé le RPi plein d’entousiasme, puis j’ai ressorti une petite machine du placard.

Ca consomme plus mais ca fait plus aussi



Edit: et ouais, ya des animaux

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Par curiosité, qu’est ce qui leur fait préférer un Raspberry à une autre plateforme (au hasard, Arduino) ?

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OlivierJ a écrit :



Sinon, c’est très pratique le micro-USB, d’une part c’est disponible très facilement du fait que ça sert à la recharge des mobiles, et d’autre part c’est compact sur la carte mère.







Belle idée à la base, sauf qu’avec le temps, les PI ont grimpé en puissance.



Le PI 3 ne se contente plus vraiment d’un chargeur pour téléphone mobile. L’alimentation PI “officielle” peut donner 2.5A. (Vu son faible prix, ne prenez pas de PI sans son alim).



Pour ma part, je dirais que c’est beaucoup pour ce petit connecteur, même si en pratique je n’ai pas noté de souci particulier.



Pas de soucis non plus avec les mouvements de câble sur le micro usb : ce connecteur est bien mieux tenu que le mini usb.



Maintenant, le choix d’un connecteur d’alimentation plus traditionnel aurait pu être plus cohérent. Mais il en existe de nombreux modèles. Et il y a toujours le risque qu’un utilisateur mal informé branche le chargeur de son ordinateur portable.



Bref, ce n’est pas un choix parfait, mais ils ont certainement pesé les avantages et inconvénients de toutes les solutions.


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PtiDidi a écrit :



Même un port SATA qui passerait par le bus USB ca éviterait d’être obligé d’avoir un adaptateur.



J’ai aussi du mal à comprendre l’utilisation d’un micro-USB pour l’alimentation.

Depuis que j’ai découvert que l’on pouvait alimenter par un port USB-A femelle je passe par là, le micro c’est trop sensible.



Sinon, le boot USB est possible depuis quelle version? J’ai lu que maintenant le boot PXE était aussi possible







Je n’ai pas vérifié, mais il y a certainement une forme de fusible sur les ports USB. Ca ne me parait donc pas une bonne idée.



Si tu veux faire vraiment mieux que le connecteur d’origine, le plus simple est certainement de souder des fils et de mettre au bout le connecteur de puissance de ton choix.


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Ben moi à la base c’était pour remplacer un petite machine qui faisait office de serveur de fichier mais le RPI remplit mal cette fonction, il te faut un plus :




  • un adaptateur

  • un disque

  • une alimentation externe.



    Tu te retrouves avec un truc 4 fois plus gros que le RPI (au minimum)

    Sachant qu’avec un vrai PC tu peux faire du RAID, tu as plus de mémoire, et de CPU.

    Bref j’ai ressorti la machine après quelque semaines de test.





    Tu fais quoi du coup sur tes RPis?

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De ce que je comprends ici (backpowering) :https://www.raspberrypi.org/documentation/hardware/raspberrypi/power/README.md



C’est prévu pour marcher, par contre il n’y a pas de protection contre les surtentions.

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Je n’ai pas non plus trouvé les spec du SOC.

J’étais aussi curieux de voir si celui-ci gérait ou pas l’Ethernet (pour mieux comprendre le pourquoi du passage sur le l’USB).



Autant je peux comprendre qu’ils n’intègrent pas le support d’un port SATA par manque de place. Autant pour le port Ethernet, même s’il faut autant de pins que tu dis, ça me semble déjà un peu plus critiquable quand tu vois les usages principaux qui sont fait du Pi (media center, etc).

Ou au moins passer sur de l’USB3 pour avoir un débit proche du Gigabit, même si l’ethernet reste transporté dessus.









Bejarid a écrit :



Pour le coup, aucune n’intègre de wifi AC, et seules deux proposent de l’ajouter sous forme d’add-on USB ou M2, ce qui rend leur solution plus grosse, cher et gourmande.





En même temps je pense que la majorité des Pi sont connectés en Ethernet si besoin il y a. Et que si tu as besoin de Wifi, cela va principalement être pour de la domotique ou un usage de ce type où le débit n’est pas une priorité.

Du moins c’est le ressenti que j’ai vis-à-vis de mon Pi et ses perf, ainsi que les usages moyens, où l’Ethernet aurait bien plus d’intérêt que du Wifi AC amha (par exemple).







Bejarid a écrit :



Et Micro:bit ça a l’air sympa mais leur offre est plus complexe : ce n’est pas une carte polyvalente mais un lego. Au total ils n’ont pas l’air moins cher vu que le moindre bout coute 15€.





C’est juste un exemple donné pour dire qu’au niveau pédagogique ce type de support me semble plus pertinent qu’un Pi.

Enfin, après tout dépend de ce que tu souhaite enseigner, bien entendu.







Bejarid a écrit :



Ce que ces solutions gagnent d’un coté elles le perdent de l’autre, Raspberry n’a vraiment pas à rougir de la concurrence en l’état.





Logique.

Sinon ça revient à acheter un PC ^^







OlivierJ a écrit :



Je ne suis pas un expert mais je crois qu’un des avantages du RPi c’est la faible consommation, et je ne sais pas si c’est le cas des matériels que tu cites.





Mis à part le UDOO, qui selon le modèle se rapproche plus d’un micro-PC, les autres ont une faible consommation aussi.

Après tout va dépendre des besoins. Mais ça fait un petit moment que je trouve que les Pi commencent à être à la traîne technologiquement parlant (malgré les avantages que je leur reconnais et mon utilisation du Pi3B).


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Après tout dépend de l’utilisation : si on veut se faire un lecteur HD/NAS c’est sur que c’est pas vraiment adapté.

Mais en domotique par exemple c’est franchement le pied.

Perso j’en ai 3 qui tournent :





  • 1 avec un serveur domotique (un truc maison en PHP) + émetteur 433MHz pour les prise chacon + un système IR pour le videoproj



  • 2 autres dans 2 pièces avec des micro USB pour le controle vocal



    Ca tourne nickel, consomme peu, c’est facile à programmer, suffisamment rapide pour mon utilisation et ca s’intègre plus facilement sur un réseau que des arduino par exemple vu que c’est sous linux.



    Bref pour bricoler c’est vraiment parfait.

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PtiDidi a écrit :



Multi-tâche avec un raspberry..





Je n’ai pas compris le sens de ta phrase.

Si tu penses que le RPi ne peut pas faire de multi-tâche, je te dirais seulement qu’on faisait du multi-tâche il y a 30 ans avec des machines bien moins puissantes (par exemple, un Amiga avec un 68000 à 7 MHz).







sr17 a écrit :



Pas de soucis non plus avec les mouvements de câble sur le micro usb : ce connecteur est bien mieux tenu que le mini usb.

[…]

Bref, ce n’est pas un choix parfait, mais ils ont certainement pesé les avantages et inconvénients de toutes les solutions.





Je trouve aussi que le micro-USB est bien tenu, en tous cas quand je branche le fil du chargeur dans la prise de mes mobiles (il y a un déclic et une paire d’ergots qui retient la prise du câble).

Je suppose comme toi qu’ils ont pesé tout ça.







PtiDidi a écrit :



Ben moi à la base c’était pour remplacer un petite machine qui faisait office de serveur de fichier mais le RPI remplit mal cette fonction, il te faut un plus :




  • un adaptateur

  • un disque

  • une alimentation externe.

    Tu te retrouves avec un truc 4 fois plus gros que le RPI (au minimum)





    Il me semble que côté double alimentation USB (celle du RPi et celle du disque externe 3,5 pouces - tu parles d’un tel disque j’imagine), on en trouve pas mal à pas cher (voire des triple ou quadruple), du coup ça prend moins de place.

    De quel adaptateur parles-tu ?







    PtiDidi a écrit :



    Sachant qu’avec un vrai PC tu peux faire du RAID, tu as plus de mémoire, et de CPU.

    Bref j’ai ressorti la machine après quelque semaines de test.





    Perso j’ai un mini-PC en boitier Mini-ITX avec une petite configuration, qui me sert pour enregistrer la TNT et occasionnellement regarder un DVD ; cela dit j’ai hésité à un moment à prendre un RPi pour faire la même chose (juste un disque externe à brancher, et une clé tuner TNT) ; l’intérêt est que ça prend encore moins de place et que c’est encore moins cher.

    En fin de compte j’ai gardé mon mini-PC, de fait il est plus polyvalent, mais dans mes potes geeks certains utilisent un RPi comme “media center” et d’autres pour faire des sauvegardes.


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y a aussi un effet masse : on produit plus de transfo 5V pour téléphone que d’autres, du coup les prix sont automatiquement plus faible.

Parce que s’il faut mettre le meme prix dans l’alim que dans le Rpi, on perd un peu l’intérêt de truc <img data-src=" />

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Furanku a écrit :



Pour ne citer qu’elles :




  • PINE64 / ROCK64 : https://www.pine64.org/

  • Banana Pi :http://www.banana-pi.org/

  • Udoo (plus cher mais plus complet, c’est du x86) :https://www.udoo.org/

  • ODROID :http://www.hardkernel.com/main/main.php





    Après je ne crache pas sur les Raspberry pour autant. J’en ai un et j’en suis très satisfait.

    Mais disons que là je m’attendais à ce qu’ils fassent un véritable upgrade de leur carte…







    La concurrence ne peut qu’apporter du bon. Et aussi mieux convenir à tel ou tel usage particulier.



    Cela dit, sur les benchs que j’ai pu voir, le PI3 se tenait vraiment bien face à la concurrence.



    Et surtout, le PI à l’avantage d’un bon suivi dans le temps et d’une grande communauté.



    Mais on ne va pas cracher non plus sur d’autres alternatives qui ont le mérite d’exister, qui stimulent le marché et qui ont chacune leurs petits avantages.





    Et même sur les cartes éducatives beaucoup font moins cher (et plus adapté). Micro:bit par exemple.





    Sauf que ce n’est pas du tout la même chose. Pas la même finalité.



    Le PI est un véritable ordinateur. Le Microbit est une carte d’expérimentation à microcontrôleur.



    Et pour ma part, je ne suis pas pour les cartes d’apprentissage qui facilitent trop la vie genre programmable en python ou javascript.



    Vous voulez vraiment apprendre ? Faites du C et de l’assembleur.


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Effectivement, le RPi n’est pas le plus adapté pour ton cas d’usage.



L’un de mes RPi sert de passerelle à Internet et se trouve entre mon LAN et ma box, avec 2 prises ethernet (USB/ethernet pour être précis). Il contrôle tous les paquets IP qui entrent et qui sortent. Il a aussi un détecteur d’intrusion avec contre-mesure.

L’autre sert de serveur DNS (unbound), de proxy web filtrant les pubs et les trackers avec squid3 et squidGuard.



Ce qui m’intéresse dans la RPi pour ces usages, c’est sa petite taille, sa très faible consommation et son µP ARM qui fait que le système n’est pas sensible aux mêmes failles que les µP Intel (et donc j’espère être un peu plus en sécurité).



Mais le PCDuino et sa vraie prise SATA me sert pour un serveur de fichiers et c’est pour cette fonction que j’aimerais un PC avec un µP ARM au lieu d’un µP Intel ou AMD.

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Je prends ce post mais je réponds à ta question, j’ai pas fais de tests de débits, la dernière fois que j’ai fais un test c’était en wifi 2,4ghz ( natif RPI3 ) en scp ( pas le mieux pour la vitesse de transfert ) c’était genre 1-2Mo/s .



Mais bon je voulais m’en servir comme front devant un NAS très performant mais perfectible et manque d’apps sur l’OS , sur du 40Mo/s ça m’aurait plus, mais là 6mo/s&nbsp; .

&nbsp;

&nbsp; Ce que je n’ai pas test c’est une clé wifi 5ghz



pour la news ça m’a étonné que RPI sorte un truc&nbsp; cette année ( RIP&nbsp; @LordZup : j’ai fais la même connerie avec le RPI 1 )

de ce que j’ai lu sur plusieurs news c’est le RPI 4 pour 2019http://www.alphr.com/raspberry-pi/1005103/raspberry-pi-4-release-date-rumours-sp…

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zhebulonn a écrit :



Par curiosité, qu’est ce qui leur fait préférer un Raspberry à une autre plateforme (au hasard, Arduino) ?







&nbsp;Le RPi est bien plus puissant et fait tourner un Linux complet avec tout ce que ça implique en facilité de configuration, en compatibilité des logiciels etc.


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Le rpi fait bien ce pour quoi il est conçu: le bidouillage.



On a beau le tuner avec des refroidisseurs, des extensions, des cartes SD “classe 9999”, ça restera toujours trop faible et trop contraignant pour une utilisation en serveur.

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wagaf a écrit :



Le RPi est clairement utilisé dans l’industrie, pour faire des prototypes, ou pour des utilisations à usages unique, voire pour faire des petites séries d’appareils custom.





Je n’ai pas dis qu’il n’était pas utilisé ailleurs que dans l’éducation, j’ai d’ailleurs vu une plateforme de Konica-Minolta basée dessus…



Un truc à savoir, les Pi récents sont fabriqués au Royaume-Uni, donc c’est un peu normal qu’ils coutent plus cher que des équivalent chinois…


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OlivierJ a écrit :



Le coût de la licence USB ?





L’USB n’est pas une technologie gratuite ni libre de droits. Comme nombre de connecteurs, une licence/redevance est à payer pour avoir le droit d’inclure cette techno dans ton produit.



L’USB 2.0 date de 2000, son brevet n’est normalement pas arrivé à expiration, tout intégrateur doit donc payer la licence correspondante (sauf si accord spécifique que je ne connais pas)


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Après une recherche rapide, j’ai l’impression qu’il y a une somme à verser pour avoir le droit d’apposer le logo USB (qui est déposé) sur un produit, après avoir passé un test de conformité. La somme semble être de 3500 dollars, cfhttp://www.usb.org/developers/logo_license/ . Je ne connais pas les autres coûts éventuels, mais pour un truc vendu à des millions d’exemplaires (le RPi), ça doit vite être dilué.



PS : pas sûr que l’USB soit breveté, c’est plus un format physique (+ un protocole) qu’une invention à part entière. En tous cas breveté au sens non-US.

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PtiDidi a écrit :



Ben moi à la base c’était pour remplacer un petite machine qui faisait office de serveur de fichier mais le RPI remplit mal cette fonction, il te faut un plus :




  • un adaptateur

  • un disque

  • une alimentation externe.



    Tu te retrouves avec un truc 4 fois plus gros que le RPI (au minimum)

    Sachant qu’avec un vrai PC tu peux faire du RAID, tu as plus de mémoire, et de CPU.

    Bref j’ai ressorti la machine après quelque semaines de test.



    Tu fais quoi du coup sur tes RPis?







    Conclusion : Prendre un PI pour faire un serveur de fichiers, c’est vouloir absolument s’emmerder. Les PI ne sont clairement pas fait pour ça. Ils n’ont pas ce qu’il faut.



    Rappelons que la vocation des Raspberry PI n’est pas de faire des serveurs. C’est d’être des petits ordinateurs économiques pour l’éducation qui sont bidouillables, ouverts et interfaçables facilement avec des petits montages.



    Dans l’industrie, ils peuvent faire de bonnes cartes de contrôle pour des produits a forte valeur ajoutée qui sont fabriqués en petite série.



    En terme de serveur, leur faible consommation(et leur bonne fiabilité) les rends adaptés à tout ce qui demande un fonctionnement permanent sans trop de bande passante. Par exemple, la domotique/IOT.



    Mais si vous voulez faire un serveur de fichiers, je vous recommande plutôt de prendre une petite carte mère x86.


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zhebulonn a écrit :



Par curiosité, qu’est ce qui leur fait préférer un Raspberry à une autre plateforme (au hasard, Arduino) ?







Le Raspberry PI et l’Arduino sont deux choses utiles, complémentaires et différentes.



Le Raspberry PI est un véritable ordinateur complet avec un vrai système d’exploitation, un processeur ARM doté d’une confortable puissance de calcul et un circuit graphique capable de supporter l’accélération 3D matérielle. Bien qu’il dispose de quelques entrées sorties, ce n’est pas vraiment complet. Le système d’exploitation évolué et le processeur sophistiqué (cache) au timing peu prévisible limitent les usages pour le contrôle matériel à des besoins modestes.



L’Arduino est au contraire une carte exposant les fonctionnalités d’un micro contrôleur. Pas de système d’exploitation, fonctionnement orienté temps réel et vocation a contrôler directement du matériel et des capteurs. Tous les rafinements nécéssaires pour interfacer du matériel : PWM, entrées sorties à profusion, entrées analogiques, compteurs, I2C, SPI, etc. Le processeur est par contre un vieux 8 Bits complètement dépassé à faible puissance de calcul, mais son timing à l’avantage d’être complètement prévisible.



A l’usage, ces deux cartes ont des usages différents. Raspberry PI et Arduino peuvent souvent être complémentaires.


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+1,

perso mes capteurs DIY sont des ESP8266 (en gros “arduino”+wifi) qui envoient des requêtes http au Rpi qui se charge du reste.



Rpi + arduino/ESP c’est un très bon combo ^^

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je parle de l’adaptateur USB-SATA

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heret a écrit :



Effectivement, le RPi n’est pas le plus adapté pour ton cas d’usage.



Mais le PCDuino et sa vraie prise SATA me sert pour un serveur de fichiers et c’est pour cette fonction que j’aimerais un PC avec un µP ARM au lieu d’un µP Intel ou AMD.





Oui, je suis arrivé à cette conclusion aussi.

Et vu que j’ai rallumé une machine, ben je mets tout dessus..









sr17 a écrit :



Conclusion : Prendre un PI pour faire un serveur de fichiers, c’est vouloir absolument s’emmerder. Les PI ne sont clairement pas fait pour ça. Ils n’ont pas ce qu’il faut.





Clairement oui. Enfin ca se fait, mais ce n’était pas suffisant pour répondre à mon besoin


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sr17 a écrit :



Et pour ma part, je ne suis pas pour les cartes d’apprentissage qui facilitent trop la vie genre programmable en python ou javascript.



Vous voulez vraiment apprendre ? Faites du C et de l’assembleur.







+1. Après tout, les gosses de primaire ont autre chose à foutre que d’apprendre à compter et écrire correctement.

Mieux vaut leur apprendre l’intérêt d’un pointeur en C et de l’assembleur…. <img data-src=" />


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Ricard a écrit :



+1. Après tout, les gosses de primaire ont autre chose à foutre que d’apprendre à compter et écrire correctement.

Mieux vaut leur apprendre l’intérêt d’un pointeur en C et de l’assembleur…. <img data-src=" />







Non.



Il faut réaliser que les “puces” envahissent complètement notre environnement vital.



Celui qui méconnaît le fonctionnement de ces systèmes devient de fait une sorte d’analphabète.



En outre, cette ignorance a des conséquences politiques plus graves que la plupart des gens l’imaginent.



Pour dire les choses simplement : Les puces, soit vous les contrôlez, soit elles serviront à vous contrôler.



Si les objets qui entrent dans notre environnement de vie peuvent faire des choses sans que nous ne soyons parfaitement informés de ce qu’ils font et des buts de ceux qui les ont programmés, cela peut avoir des conséquences dangereuses.



Donc il est indispensable que le peuple apprenne comment cela fonctionne. C’est aussi important que d’apprendre à lire et à écrire.


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sr17 a écrit :



Le Raspberry PI et l’Arduino sont deux choses utiles, complémentaires et différentes.



Le Raspberry PI est un véritable ordinateur complet avec un vrai système d’exploitation, un processeur ARM doté d’une confortable puissance de calcul et un circuit graphique capable de supporter l’accélération 3D matérielle. Bien qu’il dispose de quelques entrées sorties, ce n’est pas vraiment complet. Le système d’exploitation évolué et le processeur sophistiqué (cache) au timing peu prévisible limitent les usages pour le contrôle matériel à des besoins modestes.



L’Arduino est au contraire une carte exposant les fonctionnalités d’un micro contrôleur. Pas de système d’exploitation, fonctionnement orienté temps réel et vocation a contrôler directement du matériel et des capteurs. Tous les rafinements nécéssaires pour interfacer du matériel : PWM, entrées sorties à profusion, entrées analogiques, compteurs, I2C, SPI, etc. Le processeur est par contre un vieux 8 Bits complètement dépassé à faible puissance de calcul, mais son timing à l’avantage d’être complètement prévisible.



A l’usage, ces deux cartes ont des usages différents. Raspberry PI et Arduino peuvent souvent être complémentaires.





Merci pour les réponses.



&nbsp;Je n’ai pas encore mis mon nez dans un arduino. Mais je pense que ça viendra bientôt.


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Ricard a écrit :



+1. Après tout, les gosses de primaire ont autre chose à foutre que d’apprendre à compter et écrire correctement.

Mieux vaut leur apprendre l’intérêt d’un pointeur en C et de l’assembleur…. <img data-src=" />





Encore trop haut niveau. Il faudrait leur apprendre à développer le processeur transistor par transistor, au fer à souder. Voire même à fabriquer eux-même les transistors.



S’il fallait tout comprendre, on demanderait aux joueurs de guitare de savoir résoudre l’équation différentielle qui explique pourquoi la note change quand on met son doigt sur une corde.


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sr17 a écrit :



[…] Le processeur est par contre un vieux 8 Bits complètement dépassé à faible puissance de calcul, mais son timing à l’avantage d’être complètement prévisible.



A l’usage, ces deux cartes ont des usages différents. Raspberry PI et Arduino peuvent souvent être complémentaires.





Les micro-contrôleurs 8bits utilisés ne sont pas dépassés. On est d’ailleurs pas près de les voir disparaître !

Ils sont plus simple à fabriquer, plus petit, plus facile d’emploi, beaucoup moins gourmand en énergie et moins cher. De même qu’on utilise pas un ordinateur là ou un micro-contrôleur suffit, on emploie pas un µc 32bits là ou un 8bits suffit (industrie, médecine, télécom, sécurité sont des secteurs qui utilisent en masse ces µc).

&nbsp;

Si tu parles spécifiquement du ATmega328, c’est vrai qu’il est vieux… mais pas obsolète. Il a d’ailleurs été récemment dépoussiéré. Regarde les specs du ATmega328PB


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Je suis du même avis que SR17.

Les cartes type arduino c’est bien quand tu veux réaliser un projet déjà fait par la communauté, faire un proto vite fait etc. Bref c’est pour ceux qui ne veulent pas “se prendre la tête” pour concrétiser un projet, qui veulent gagner du temps. Le problème c’est que ces gens,&nbsp; s’il veulent sortir des sentiers balisés, ne sauront pas comment faire, se tourneront vers les forums et posterons 50 sujets basiques différents pour un même projet. Le gain de temps dans ce cas, bah y’en a pas c’est même le contraire.



Programmer un µc seul, hors environnement pré-mâché, c’est plus tendu au début (et encore, si tu sais te servir de google, pas tant que ça), mais c’est un gain de temps sur le long terme car on sait ce qu’on fait, on sait pourquoi tel ou tel chose produit tel ou tel effet etc.&nbsp;



Après, pour ce qui est des enfants en primaire, mon très humble avis est qu’ils ont d’autres choses à vivre que ça.

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sr17 a écrit :



Non.



Il faut réaliser que les “puces” envahissent complètement notre environnement vital.



Celui qui méconnaît le fonctionnement de ces systèmes devient de fait une sorte d’analphabète.



En outre, cette ignorance a des conséquences politiques plus graves que la plupart des gens l’imaginent.



Pour dire les choses simplement : Les puces, soit vous les contrôlez, soit elles serviront à vous contrôler.



Si les objets qui entrent dans notre environnement de vie peuvent faire des choses sans que nous ne soyons parfaitement informés de ce qu’ils font et des buts de ceux qui les ont programmés, cela peut avoir des conséquences dangereuses.



Donc il est indispensable que le peuple apprenne comment cela fonctionne. C’est aussi important que d’apprendre à lire et à écrire.









Si.



Apprendre le C (ou l’assembleur, ou même un language de prog) ne servira qu’à 1% de la population. Tout comme la trigonométrie ou les statistiques.

Le RPi à été crée pour l’initiation des enfants, pas pour en faire des ingénieurs éléctroniciens.

T’as pas besoin de savoir comment on fabrique une culasse de voiture pour t’en servir. Juste savoir comment on fait l’entretien de base, c’est assez.


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Transistance a écrit :



Je suis du même avis que SR17.

Les cartes type arduino c’est bien quand tu veux réaliser un projet déjà fait par la communauté, faire un proto vite fait etc. Bref c’est pour ceux qui ne veulent pas “se prendre la tête” pour concrétiser un projet, qui veulent gagner du temps. Le problème c’est que ces gens,  s’il veulent sortir des sentiers balisés, ne sauront pas comment faire, se tourneront vers les forums et posterons 50 sujets basiques différents pour un même projet. Le gain de temps dans ce cas, bah y’en a pas c’est même le contraire.



Programmer un µc seul, hors environnement pré-mâché, c’est plus tendu au début (et encore, si tu sais te servir de google, pas tant que ça), mais c’est un gain de temps sur le long terme car on sait ce qu’on fait, on sait pourquoi tel ou tel chose produit tel ou tel effet etc. 



Après, pour ce qui est des enfants en primaire, mon très humble avis est qu’ils ont d’autres choses à vivre que ça.







D’accord. Tu as donc monté ton propre PC, tu n’utilises pas Windows et tu tournes avec une LFS que tu as mis 2 mois à compiler. Parfait. Tout le monde doit donc le faire.


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Parfois je me demande sérieusement si vous lisez les messages autrement qu’en diagonale.



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Transistance a écrit :



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Parfois je me demande sérieusement si vous lisez les messages autrement qu’en diagonale.





Perso… jamais. Les autres, je sais pas. <img data-src=" />


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Le fait est que mon message se termine en allant dans ton sens et comme tu n’es pas d’accord avec mon message que tu n’as pas lu en diagonale tu n’es donc pas d’accord avec toi même… <img data-src=" />

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Transistance a écrit :



Le fait est que mon message se termine en allant dans ton sens et comme tu n’es pas d’accord avec mon message que tu n’as pas lu en diagonale tu n’es donc pas d’accord avec toi même… <img data-src=" />







Plus il y a de Gruyère, plus il y a de trous. Plus il y a de trous, moins il y a de Gruyère.

Plus il y a de Gruyère, moins il y a de Gruyère.<img data-src=" />


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Ricard a écrit :



Plus il y a de Gruyère, plus il y a de trous. Plus il y a de trous, moins il y a de Gruyère.

Plus il y a de Gruyère, moins il y a de Gruyère.<img data-src=" />





le gruyère n’a pas de trou. Débat clos .


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Elwyns a écrit :



le gruyère n’a pas de trou. Débat clos .





Le gruyère SUISSE n’a pas de trou <img data-src=" />

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le gruyère français n’est que récent dans l’IGP, fumisterie du lobby du fromage





et Techniquement le fromage “ le gruyère” est de facto Suisse et sans trou, sinon on doit dire Gruyère Français

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Ricard a écrit :



Si.



Apprendre le C (ou l’assembleur, ou même un language de prog) ne servira qu’à 1% de la population. Tout comme la trigonométrie ou les statistiques.







Vous remarquerez que quantité de connaissances apprises à l’école ne sont pas directement utilisées par la suite. Certains pensent qu’elles sont inutiles. Mais ce n’est pas vrai. Ce sont des connaissances racines dont l’utilité est juste de faciliter l’acquisition d’autres connaissances.



Quelqu’un qui apprends la programmation en C et Assembleur gagnera une facilité pour apprendre a utiliser des logiciel : la programmation permet de comprendre instinctivement leur fonctionnement.



Quelqu’un qui n’a pas appris la programmation ne fera qu’appliquer des procédures toutes faites apprises par coeur. Cela fait des éternels débutants qui sont perdu au moindre imprévu. Sorti des situations qu’ils connaissent, ils sont incapables de comprendre et d’extrapoler.





Le RPi à été crée pour l’initiation des enfants, pas pour en faire des ingénieurs éléctroniciens.





Avec le PI, on peut faire du C et de l’assembleur.



J’ai connu une époque ou les jeunes arrivaient à faire de l’assembleur. Et ne rêvez pas, ingénieur électronicien, c’est beaucoup plus que ça.



Il faut arrêter de se mentir, on ne peut pas apprendre des choses en utilisant des environnements qui permettent de faire des choses… sans devoir apprendre et comprendre.









T’as pas besoin de savoir comment on fabrique une culasse de voiture pour t’en servir. Juste savoir comment on fait l’entretien de base, c’est assez.





Oui, le cadre bien payé, il peut se contenter de poser sa voiture au garage sans se soucier de rien.



Du moins tant que le dit cadre ne se fait pas lourder à 50 ans… avec pour seul moyen de continuer à posséder une voiture que de foutre les mains dans le cambouis.



Et comme ça du jour au lendemain, sans connaissances, j’en connais qui ont vécu des moments très durs.



Quand à l’informatique, dire que la programmation, ne servirait à rien au commun des mortels, c’est une idée reçue. Une idée reçue qui a été créée à grand renfort de pub par les fabricants de matériel informatique.



Combien d’entreprises voient leur organisation du travail pourrie par d’immondes bidouilles de feuilles de tableur au lieu d’écrire de vrais programmes ?



Combien de gens n’ont pas le sens de l’efficacité du travail parce qu’ils n’ont pas compris les logiques de l’automatisation.



Combien de chef d’entreprises prennent des décisions stupides et mettent en place des process dépassés parce qu’ils n’ont pas été initiés aux logiques d’automatisation.



Combien de pays ratent leur entrée dans le 21ième siècle parce que leurs politicards n’ont pas compris que le travail humain, c’est le passé et que l’automatisation et la robotique c’est l’avenir.



Le fait que tout le monde devrait être formé à la programmation n’est pas juste mon opinion personnelle.



De nombreux pays au monde ont remis la programmation dans l’enseignement général. Ce n’est pas pour rien.


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Ricard a écrit :



D’accord. Tu as donc monté ton propre PC, tu n’utilises pas Windows et tu tournes avec une LFS que tu as mis 2 mois à compiler. Parfait. Tout le monde doit donc le faire.







Monter son PC, tout le monde peut apprendre à le faire avec un peu d’aide. Alors pourquoi s’en priver ?



Installer Linux, ça se fait les doigts dans le nez pour peu qu’on ait pris la précaution de vérifier la compatibilité Linux du matos avant achat. La encore, il suffit d’un peu d’aide.



Suivre la démarche Linux From Scratch, pourquoi pas. C’est un peu long, mais ça serait formateur.



Cela dit, c’est déjà loin du fonctionnement du coeur de l’ordinateur : compiler un noyau et des bibliothèques n’implique pas de comprendre leur fonctionnement.



A la base, on pourrait préférer l’étude d’un tout petit système d’exploitation simplifié à l’extrême mais qui serait exploré de A à Z, depuis les couches les plus basses jusqu’aux couches les plus hautes.



Et ceux qui pensent que les jeunes n’en seraient pas capables se trompent…


Le Raspberry Pi 3B+ disponible pour 35 dollars : SoC plus rapide, Wi-Fi 802.11ac et Ethernet Gigabit

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