La fusée Alpha de Firefly explose, la société parle d’un « premier vol très réussi »

La fusée Alpha de Firefly explose, la société parle d’un « premier vol très réussi »

La fusée Alpha de Firefly explose, la société parle d’un « premier vol très réussi »

Malgré cet échec, la société y voit du positif : « Firefly a effectué le premier test en vol de son véhicule Alpha le 2 septembre 2021. Bien qu’il n'ait pas été en orbite, la journée a marqué une avancée majeure pour l’équipe ».

« Nous avons acquis une mine de données de vol qui augmenteront considérablement la probabilité qu'Alpha atteigne l'orbite lors de son deuxième vol. Bref, nous avons eu un premier vol très réussi », affirme la société.

La cause est connue : le moteur 2 (il y en a 4) s’est éteint après la fermeture des vannes d’arrivée du propergol (le moteur en lui-même n’a pas eu de défaillance). La poussée était alors insuffisante pour se placer en orbite. La mission s’est terminée par le déclenchement du Flight Termination System (FTS), entraînant l'explosion.

S’agissant d’un test, la société peut aller de l’avant. Pour rappel, SpaceX a aussi connu de nombreux déboires pour ses premiers lancements, et c’est encore le cas avec Starship.

Firefly compte désormais revenir avec un « Flight 2 » pour sa fusée Alpha « dès que possible ».

Commentaires (38)



Pour rappel, SpaceX a aussi connu de nombreux déboires pour ses premiers lancements, et c’est encore le cas avec Starship.




Le terme “déboires” me paraît exagéré, SpaceX exploite simplement le principe de développement itératif et continu utilisé dans l’informatique. Un proto, crash/succès, on analyse le résultat, on améliore. Une fois stabilisé, on passe à la phase suivante. Ce ne sont pas des problèmes ou des ennuis, juste un cycle de développement / test / amélioration.



Cf le principe du Minimum Viable Product de l’agile.



Cette méthode a depuis fait des émules et une bonne partie des acteurs du new space l’appliquent.


Très belle explosion, c’est effectivement réussi :francais:



SebGF a dit:


Le terme “déboires” me paraît exagéré, SpaceX exploite simplement le principe de développement itératif et continu utilisé dans l’informatique. Un proto, crash/succès, on analyse le résultat, on améliore. Une fois stabilisé, on passe à la phase suivante. Ce ne sont pas des problèmes ou des ennuis, juste un cycle de développement / test / amélioration.



Cf le principe du Minimum Viable Product de l’agile.



Cette méthode a depuis fait des émules et une bonne partie des acteurs du new space l’appliquent.




C’est vrai que c’est une autre maniere de faire par rapport aux methodes ‘classiques’ dans le spatial qui visent un vol parfait pratiquement au premier coup, et qui se lamentent si il y a un ennui. Elon Musk peut se le permettre, je crois avoir lu qu’un Starship lui coute 1 million de dollars, hors ergol, comparé au temps passé en etudes et simulations, ca doit etre un gain de temps et d’argent d’en faire peter qq’uns.




A plus petite echelle, j’ai fait pareil pour mon barbecue en dur, 4 versions et modifications pour optimiser le tirage, etc. Maintenant c’est bien au point, merci le beton cellulaire !



:mad2:


“un premier vol très réussi”
La communication institutionnelle, quelle plaie.
Le jour où ils feront faillite ils appelleront ça “une opération financière très réussie”.


En soit c’est vrai, il y a de la réussite malgré l’échec du lancement. Leurs objectifs étaient les suivants :




“Our really big goal is to get Alpha to space. If we can get to orbit, even better. If we can open up that fairing and deploy those satellites, even better. Our goals are to collect as much data as we possibly can and take Alpha as far as it can go.”




L’objectif primaire est atteint (collecter des données et aller le plus loin possible), l’ultime de l’envoyer dans l’espace a été raté. Rappelons quand même que c’est le tout premier lancement de cette fusée en tant que vol d’essai.



J’ai toujours du mal à comprendre pourquoi il ne faut voir que le négatif. Tirer des enseignements dans un échec montre qu’on progresse, et y’a rien de plus positif.


SebGF

En soit c’est vrai, il y a de la réussite malgré l’échec du lancement. Leurs objectifs étaient les suivants :




“Our really big goal is to get Alpha to space. If we can get to orbit, even better. If we can open up that fairing and deploy those satellites, even better. Our goals are to collect as much data as we possibly can and take Alpha as far as it can go.”




L’objectif primaire est atteint (collecter des données et aller le plus loin possible), l’ultime de l’envoyer dans l’espace a été raté. Rappelons quand même que c’est le tout premier lancement de cette fusée en tant que vol d’essai.



J’ai toujours du mal à comprendre pourquoi il ne faut voir que le négatif. Tirer des enseignements dans un échec montre qu’on progresse, et y’a rien de plus positif.


À la limite “le test a été fructueux en enseignements”, ok.
Mais “un premier vol très réussi” (et j’ai vérifié, c’est bien ce qu’ils écrivent en anglais) non. J’aimerais pas être le client qui enverra son satellite sur leur prochain vol très réussi.


NE0

À la limite “le test a été fructueux en enseignements”, ok.
Mais “un premier vol très réussi” (et j’ai vérifié, c’est bien ce qu’ils écrivent en anglais) non. J’aimerais pas être le client qui enverra son satellite sur leur prochain vol très réussi.


ohhhh, c’était peut être le but, faire exploser la fusée :troll:


NE0

À la limite “le test a été fructueux en enseignements”, ok.
Mais “un premier vol très réussi” (et j’ai vérifié, c’est bien ce qu’ils écrivent en anglais) non. J’aimerais pas être le client qui enverra son satellite sur leur prochain vol très réussi.


Elle a 8 autres vols de planifiés. Le prochain contiendra comme charge utile Carbonite 4, un micro satellite démonstrateur technologique pour des nouveaux capteurs d’observation terrestre.



Pour info, Firefly Alpha est un lanceur pour micro satellites avec une portée à 200km et 500km. Elle vise à concurrencer le lanceur indien PSLV.



Et pour rappel, la Falcon 1 de SpaceX a raté 4 fois avant sa première mission en succès.



Donc bon, les enterrer dès le baptême de leur lanceur parce qu’il a pété 2 minutes après le décollage, je trouve ça prématuré. Les clients évitent généralement de lancer une charge utile précieuse avec un lanceur non éprouvé, donc les vols d’essais réussis ont comme bonus de mettre en orbite un autre test.



Bah c’est comme ça que SpaceX fonctionne aussi, et on voit où ils en sont aujourd’hui. Les acteurs du new space européen ont pris exemple sur leur modèle aussi pour leur propre cycle de développement.


SebGF

Elle a 8 autres vols de planifiés. Le prochain contiendra comme charge utile Carbonite 4, un micro satellite démonstrateur technologique pour des nouveaux capteurs d’observation terrestre.



Pour info, Firefly Alpha est un lanceur pour micro satellites avec une portée à 200km et 500km. Elle vise à concurrencer le lanceur indien PSLV.



Et pour rappel, la Falcon 1 de SpaceX a raté 4 fois avant sa première mission en succès.



Donc bon, les enterrer dès le baptême de leur lanceur parce qu’il a pété 2 minutes après le décollage, je trouve ça prématuré. Les clients évitent généralement de lancer une charge utile précieuse avec un lanceur non éprouvé, donc les vols d’essais réussis ont comme bonus de mettre en orbite un autre test.



Bah c’est comme ça que SpaceX fonctionne aussi, et on voit où ils en sont aujourd’hui. Les acteurs du new space européen ont pris exemple sur leur modèle aussi pour leur propre cycle de développement.


On est bien d’accord, mais je trouvais ça amusant de souligner que les Shadocks avaient développé une méthode Agile dans l’aérospatiale :-D



Le tout est de savoir ce qu’on cherche dans un test. Si eux sont satisfaits des résultats qu’ils ont obtenus, qui peut dire que leur objectif n’est pas atteint?


Cumbalero

On est bien d’accord, mais je trouvais ça amusant de souligner que les Shadocks avaient développé une méthode Agile dans l’aérospatiale :-D



Le tout est de savoir ce qu’on cherche dans un test. Si eux sont satisfaits des résultats qu’ils ont obtenus, qui peut dire que leur objectif n’est pas atteint?


J’ai peut être été un peu sec, mais les réactions qui ne regardent que l’échec sans voir l’axe de progression ont tendance à m’irriter car c’est là un mal trop présent dans le management de nos entreprises.


Avec un nom pareil (Firefly), ils ne peuvent que parler de réussite ! :D


La guerre c’est la paix
La liberté c’est l’esclavage
L’ignorance c’est la force
L’échec c’est la réussite



commit history: author “Firefly” added one line.



SebGF a dit:


J’ai toujours du mal à comprendre pourquoi il ne faut voir que le négatif. Tirer des enseignements dans un échec montre qu’on progresse, et y’a rien de plus positif.




:francais: :francais:


C’est donc un vrai Challenger pour Arianespace et SpaceX.


Je ne sais pas si c’est de l’humour. Ariane espace avait en son temps raté le premier vol d’Ariane V, et il y avait une belle bataille avec certains hommes politiques qui prônaient l’abandon pur et simple du programme. Autre temps, autres mœurs.



Sinon pour l’instant et en supposant qu’elle finisse par fonctionner, ça ne fait pas vraiement concurrence à la plus petite fusée d’Ariane espace : Vega (dont la charge utile est presque deux fois plus élevée).


jb07

Je ne sais pas si c’est de l’humour. Ariane espace avait en son temps raté le premier vol d’Ariane V, et il y avait une belle bataille avec certains hommes politiques qui prônaient l’abandon pur et simple du programme. Autre temps, autres mœurs.



Sinon pour l’instant et en supposant qu’elle finisse par fonctionner, ça ne fait pas vraiement concurrence à la plus petite fusée d’Ariane espace : Vega (dont la charge utile est presque deux fois plus élevée).


C’ets peut être moi qui ai l’esprit mal tourné, mais j’y ai vu une référence à la navette challenger, vu l’explosion.


“Challenger” je ne sais pas si c’est vraiment le mot le plus adapté quand on parle d’explosion d’engin spatiaux ;-)



SebGF a dit:



J’ai toujours du mal à comprendre pourquoi il ne faut voir que le négatif. Tirer des enseignements dans un échec montre qu’on progresse, et y’a rien de plus positif.




Ou comme disaient les Shadoks à propos de leur fusée: “plus ça rate et plus on a de chances que ça réussisse” :xzombi:


Une fusée sans boosters pour démarrer, c’est une première il me semble.
:yes:



barlav a dit:


Une fusée sans boosters pour démarrer, c’est une première il me semble. :yes:




Ou c’est pas clair, ou tu n’as pas entendu parler d’une petite entreprise appelée SpaceX, qui envoie des fusées sans booster par dizaines… (et c’est loin d’être la première)



fred42 a dit:


Avec un nom pareil (Firefly), ils ne peuvent que parler de réussite ! :D




Firefly -> Firefighters! :transpi:



Cumbalero a dit:


On est bien d’accord, mais je trouvais ça amusant de souligner que les Shadocks avaient développé une méthode Agile dans l’aérospatiale :-D




Un lancement toutes les 3 semaines, que l’on soit sûr de soi… ou pas!



jb07 a dit:


Sinon pour l’instant et en supposant qu’elle finisse par fonctionner, ça ne fait pas vraiement concurrence à la plus petite fusée d’Ariane espace : Vega (dont la charge utile est presque deux fois plus élevée).




Pas la même cible, Firefly s’adresse au marché des micro satellites et la portée d’Alpha est de 200 et 500km selon la masse de charge utile à balancer. Un lancement coûte 15 million de dollars d’après leur site.



SebGF a dit:


Le terme “déboires” me paraît exagéré, SpaceX exploite simplement le principe de développement itératif et continu utilisé dans l’informatique. Un proto, crash/succès, on analyse le résultat, on améliore. Une fois stabilisé, on passe à la phase suivante. Ce ne sont pas des problèmes ou des ennuis, juste un cycle de développement / test / amélioration.




Je ne suis pas trop, parce qu’un crash en informatique, ça ne coûte rien (pendant le dev), alors que là le crash d’une fusée ça coûte très cher (même sans charge utile).


En l’occurrence, et pour faire écho à la remarque de the_frogkiller, ici aussi SpaceX est en pleine phase de développement. Le Starship n’est pas encore en service, et à l’époque de la mise en oeuvre de la réutilisation, ils ont pété plusieurs Falcon 9 avant d’y arriver.



A ma connaissance, il n’y a que la Falcon Heavy qui a été un succès quasi complet pour son baptême à l’exception de l’étage central qui a fini dans l’océan. (j’en avais même des frissons devant le live en voyant les deux boosters se poser comme des fleurs de manière synchrone sur les pas de tirs, c’était beau)



Donc non, c’est pas des déboires, c’est des cycles itératifs de conception. Dans le Starship pour rester sur SpaceX, le plus cher c’est les moteurs Raptor perdus avec les protos. Il me semble avoir des estimations à 2 millions de dollars l’unité. Et comme le Starship est retenu dans le programme Artemis, SpaceX n’y est pas que de sa poche, la NASA arrose aussi derrière. (enfin pas pour le moment puisque Blue Origin a contesté)


SebGF

En l’occurrence, et pour faire écho à la remarque de the_frogkiller, ici aussi SpaceX est en pleine phase de développement. Le Starship n’est pas encore en service, et à l’époque de la mise en oeuvre de la réutilisation, ils ont pété plusieurs Falcon 9 avant d’y arriver.



A ma connaissance, il n’y a que la Falcon Heavy qui a été un succès quasi complet pour son baptême à l’exception de l’étage central qui a fini dans l’océan. (j’en avais même des frissons devant le live en voyant les deux boosters se poser comme des fleurs de manière synchrone sur les pas de tirs, c’était beau)



Donc non, c’est pas des déboires, c’est des cycles itératifs de conception. Dans le Starship pour rester sur SpaceX, le plus cher c’est les moteurs Raptor perdus avec les protos. Il me semble avoir des estimations à 2 millions de dollars l’unité. Et comme le Starship est retenu dans le programme Artemis, SpaceX n’y est pas que de sa poche, la NASA arrose aussi derrière. (enfin pas pour le moment puisque Blue Origin a contesté)


Je n’ai pas été assez précis dans mon objection initiale, qui répondait à :
“SpaceX exploite simplement le principe de développement itératif et continu utilisé dans l’informatique.”



Je me doute bien qu’ils ne vont pas faire que des fusées qui fonctionnent parfaitement. Mais de là à dire que c’est souhaité, de péter diverses fusées… Un crash logiciel c’est rien, un prototype de fusée c’est des millions.



Par ailleurs, le programme Apollo était déjà itératif et continu, ils ont prévu plusieurs modèles (une dizaine vu Apollo XI) avant d’envoyer des hommes sur la lune.


OlivierJ

Je n’ai pas été assez précis dans mon objection initiale, qui répondait à :
“SpaceX exploite simplement le principe de développement itératif et continu utilisé dans l’informatique.”



Je me doute bien qu’ils ne vont pas faire que des fusées qui fonctionnent parfaitement. Mais de là à dire que c’est souhaité, de péter diverses fusées… Un crash logiciel c’est rien, un prototype de fusée c’est des millions.



Par ailleurs, le programme Apollo était déjà itératif et continu, ils ont prévu plusieurs modèles (une dizaine vu Apollo XI) avant d’envoyer des hommes sur la lune.


Je n’ai jamais dit qu’ils veulent faire péter du prototype. :non:



J’ai dit qu’ils appliquent le principe du développement itératif via prototypes successifs, rien de plus. Ce qui était assimilé à un “problème” (cf “déboires”) par l’article, vision que je conteste puisque rentrant dans leur cycle de développement (le proto réussi, next step, il échoue, on corrige et retente).


SebGF

En l’occurrence, et pour faire écho à la remarque de the_frogkiller, ici aussi SpaceX est en pleine phase de développement. Le Starship n’est pas encore en service, et à l’époque de la mise en oeuvre de la réutilisation, ils ont pété plusieurs Falcon 9 avant d’y arriver.



A ma connaissance, il n’y a que la Falcon Heavy qui a été un succès quasi complet pour son baptême à l’exception de l’étage central qui a fini dans l’océan. (j’en avais même des frissons devant le live en voyant les deux boosters se poser comme des fleurs de manière synchrone sur les pas de tirs, c’était beau)



Donc non, c’est pas des déboires, c’est des cycles itératifs de conception. Dans le Starship pour rester sur SpaceX, le plus cher c’est les moteurs Raptor perdus avec les protos. Il me semble avoir des estimations à 2 millions de dollars l’unité. Et comme le Starship est retenu dans le programme Artemis, SpaceX n’y est pas que de sa poche, la NASA arrose aussi derrière. (enfin pas pour le moment puisque Blue Origin a contesté)


Un crash logiciel c’est pas rien, c’est du temps (donc de l’argent) pour analyser et corriger :windu:
Et dans un sens le crash en lui même coûte aussi de l’argent, c’est le temps qui a été passé é coder ce qui a fait crasher et le temps de test :langue:


SKN

Un crash logiciel c’est pas rien, c’est du temps (donc de l’argent) pour analyser et corriger :windu:
Et dans un sens le crash en lui même coûte aussi de l’argent, c’est le temps qui a été passé é coder ce qui a fait crasher et le temps de test :langue:


Oui je suis d’accord, mais je ne vois pas le lien avec mon commentaire puisque à aucun je n’ai sous entendu qu’un crash logiciel ne coûtait rien. (ce n’est pas moi qui ait évoqué ce point à la base)


SebGF

Oui je suis d’accord, mais je ne vois pas le lien avec mon commentaire puisque à aucun je n’ai sous entendu qu’un crash logiciel ne coûtait rien. (ce n’est pas moi qui ait évoqué ce point à la base)


Woops, je voulais répondre à ce commentaire :smack: :




OlivierJ a dit:


Je ne suis pas trop, parce qu’un crash en informatique, ça ne coûte rien (pendant le dev), alors que là le crash d’une fusée ça coûte très cher (même sans charge utile).



SKN

Un crash logiciel c’est pas rien, c’est du temps (donc de l’argent) pour analyser et corriger :windu:
Et dans un sens le crash en lui même coûte aussi de l’argent, c’est le temps qui a été passé é coder ce qui a fait crasher et le temps de test :langue:


Le coût est sans commune mesure avec une fusée…


OlivierJ

Le coût est sans commune mesure avec une fusée…


Au prorata du coût total estimé du projet je pense pas que l’écart de coût soit si énorme que ca. Après dans les 2 cas ça dépend aussi du crash :D



Mais je voulais surtout rebondir sur




un crash en informatique, ça ne coûte rien (pendant le dev)
Ça ne coûte certes pas de matériel (quoique :transpi:) mais ça coûte du temps.



SKN

Au prorata du coût total estimé du projet je pense pas que l’écart de coût soit si énorme que ca. Après dans les 2 cas ça dépend aussi du crash :D



Mais je voulais surtout rebondir sur




un crash en informatique, ça ne coûte rien (pendant le dev)
Ça ne coûte certes pas de matériel (quoique :transpi:) mais ça coûte du temps.



On chipote, mais avant qu’une charge de développeurs en jours-hommes arrive au coût d’une fusée, on a le temps :-) .


OlivierJ

On chipote, mais avant qu’une charge de développeurs en jours-hommes arrive au coût d’une fusée, on a le temps :-) .


En coût brut je suis tout à fait d’accord, mais en coût relatif (au coût du projet) pas sûr :windu:



OlivierJ a dit:


Je ne suis pas trop, parce qu’un crash en informatique, ça ne coûte rien (pendant le dev), alors que là le crash d’une fusée ça coûte très cher (même sans charge utile).




Tout dépend de le phase du projet. Ils sont en phase de développement et l’objectif du test est atteint. Donc que reprocher de plus? Ne pas avoir atteint Alpha du Centaure directement ?


Je ne faisais pas de reproche à Firefly mais une objection quant au propos de Seb.



(reply:1895440:John-Ib)
Pour un calembour, c’est le plus adapté.



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