Amendes automatiques pour piratage ? Pas si simple, selon une étude commandée par la Hadopi
Une amende pas si honorable
Le 19 février 2018 à 10h23
15 min
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Next INpact a eu accès à l’analyse juridique produite par deux maîtres des requêtes au Conseil d’État, commandée par la Hadopi. Elle dessine les pistes d’évolution de la riposte graduée, cette dernière étant jugée trop peu sévère par les ayants droit.
Avant que le gouvernement et le législateur ne se penchent sur l’opportunité politique de lancer le chantier d’une loi Hadopi 3, l’autorité indépendante a demandé une étude juridique sur les différents scénarios possibles.
Dans le document que nous avons pu lire, Louis Dutheillet de Lamothe et Bethânia Gaschet, les deux magistrats du Conseil d’État, ont épluché chacune des étapes pour y mesurer les marges de manœuvre. La première vise à faciliter le constat de l’infraction de négligence caractérisée.
Une transmission automatique des dossiers au juge ?
Depuis l’origine, la réponse graduée oblige à démontrer que l’abonné plusieurs fois averti n’a su prévenir de multiples mises à disposition d’œuvres protégées sur les réseaux P2P par l’usage de moyens de sécurisation. La qualification des faits revient in fine au juge à l’aide des éléments matériels glanés par la Hadopi.
Sur ce point, l’analyse couchée sur le papier est sans appel : « en l’état actuel des moyens de sécurisation et des constats opérés par les ayants droit, il nous semble impossible de procéder autrement que ne le fait actuellement la commission de protection des droits ».
Il serait du coup contre-productif d’adresser automatiquement l’ensemble des dossiers arrivant à la troisième recommandation au juge. Pourquoi ? Car « si rien ne fait juridiquement obstacle à cette transmission systématique, elle conduirait à transmettre des dossiers dont les éléments ne sont pas suffisants pour caractériser l’infraction ».
Le rapport imagine le cas d’un abonné qui aurait, dans l’intervalle de deux recommandations, mis en place des moyens de sécurisation. Cette action viendrait dès lors tuer dans l’œuf la procédure devant le juge. Dit autrement, le travail d’instruction de la Hadopi quoique long, est inévitable.
Il y aurait bien un moyen : surveiller très régulièrement une ligne en démultipliant les constats et considérer qu’à partir d’un certain seuil, la négligence caractérisée est établie. Mais les coûts d’un tel mécanisme seraient beaucoup trop élevés.
Une liste noire implantée dans les box ?
Un autre scénario de réforme viserait à agir cette fois sur le levier des logiciels de sécurisation. À l’origine, Hadopi devait labelliser une série de moyens de sécurisation, mais la démarche a été abandonnée (laissant aux seuls abonnés le soin de déterminer comment prévenir les échanges illicites).
Des différents entretiens organisés en amont de ce rapport (avec Olivier Henrard, Pascal Rogard, David El Sayegh, etc.), les deux magistrats abordent la constitution d’une liste noire de sites massivement illicites incrustée sur les box des opérateurs.
Mais ce moyen n’aurait aucune emprise suffisante : un constat de mise à disposition de fichiers sur les réseaux P2P ne permettrait finalement pas de déduire une négligence, ou une absence d’activation de cette liste noire. En effet : « les constats de mise à disposition illégale de téléchargements ne comportent pas l’indication du site internet où a été téléchargé le torrent ou du site-annuaire utilisé pour accéder à ce torrent ».
Un blocage du protocole BitTorrent ?
Si, juridiquement, le plus simple serait d’imposer une action au niveau de la box afin de sécuriser l’ensemble des appareils s’y connectant, la fausse bonne idée se heurte à quelques évidences.
Certes, un blocage du protocole BitTorrent faciliterait le travail de la Hadopi puisqu’en cas de nouvelle mise à disposition, on saurait qu’il y a négligence caractérisée. Cependant, « le principal inconvénient de cette solution est que le protocole BitTorent, comme tout protocole de pair à pair, peut théoriquement servir à du partage légal d’œuvres qui sont dans le domaine public ou d’œuvres libres ».
Une infraction axée simplement sur le défaut de surveillance ?
Pour faciliter l’appétit pénal des ayants droit, serait-il envisageable de modifier l’infraction pour « ne plus l’appuyer sur les moyens de sécurisation, mais seulement sur le défaut de surveillance » ?
Non, pense le rapport : « seul peut être sanctionné un manquement à la surveillance qui est raisonnablement exigible de l’abonné, sans faire peser sur lui une charge disproportionnée par rapport aux intérêts défendus ». Prendre une telle direction engendrerait un risque de censure en raison de l’imprécision de la loi.
Faire sauter l’obligation d’information sur les moyens de sécurisation ?
Un tel dispositif supposerait que l’obligation née de la loi Hadopi soit « suffisamment précise et faisait l’objet d’une publicité adaptée ». Mais on en est loin : l’infraction n’est pas simple, la sécurisation non plus. « Une information appropriée semble donc préférable, même si elle pourrait reposer sur d’autres intermédiaires ».
On pourrait également découpler l’obligation de sécurisation avec le constat d’une nouvelle contrefaçon. Cela reviendrait à obliger l’abonné averti une première fois pour une mise à disposition depuis sa ligne, d’être puni pour ne pas avoir installé de moyens de sécurisation. Indépendamment du fait qu’une nouvelle infraction a été constatée. Cependant, une telle construction est jugée impossible par les deux magistrats.
Instaurer une présomption de culpabilité ?
Cette présomption reviendrait à déduire d’une mise à disposition d’un fichier musical ou un film sur les réseaux P2P que par définition, l’abonné n’a pas sécurisé sa ligne ni utilisé de moyen de sécurisation. Il serait de facto éligible à la sanction.
Le rapport rappelle que le Conseil constitutionnel n’admet ces présomptions de culpabilité que de manière exceptionnelle en matière contraventionnelle, « dès lors qu’elles ne revêtent pas de caractère irréfragable, qu’est assuré le respect des droits de la défense et que les faits induisent raisonnablement la vraisemblance de l’imputabilité » (décision du 16 juin 1999 n° 99 - 411 DC). C’est le cas des infractions routières, où le titulaire de la carte grise est présumé coupable.
Un tel mécanisme ne peut être transposé dans le périmètre Hadopi puisque la production des seuls constats de contrefaçon sur réseaux P2P ne suffit pas à démontrer la négligence caractérisée ou que l’utilisateur n’a pas utilisé de moyens de sécurisation.
En d’autres termes, l’analyse faite par la commission de protection des droits reste nécessaire pour déterminer « si les éléments au dossier rendent vraisemblable un manquement de l’abonné à son obligation de surveiller avec diligence l’utilisation qui est faite de son accès à internet ».
Réduire le nombre d’étages de la riposte graduée ?
Peut-on jouer sur la phase pédagogique de la riposte graduée et ses fameux étages d’avertissement ? Alors que nul n’est censé ignorer la loi, même s’agissant d’une contravention, faire disparaitre cette pédagogie serait malgré tout malvenu : « la négligence caractérisée ne sanctionne pas le vol commis par l’auteur de la mise à disposition illégale, qui ne peut être identifié, mais le fait de ne pas l’avoir suffisamment prévenu ».
Faute de moyen de sécurisation 100 % fiable, il serait impossible de prévoir une sanction sans pédagogie préalable.
Les deux auteurs pensent toutefois envisageable de raboter le nombre d’avertissements. Comment ? En supprimant par exemple l’envoi de l’avertissement par mail à l’adresse ouverte auprès du FAI. Elle ne laisserait en place qu’un envoi par lettre simple puis dans les six mois un envoi par lettre recommandée. Mais cette solution serait très onéreuse.
Une autre solution consisterait à ne laisser en vigueur qu’un avertissement par lettre remise contre signature. Elle a ses charmes, mais oublie que c’est la succession d’avertissements laissés sans conséquence qui permet de fonder la négligence caractérisée dans le temps. Il serait du coup délicat de constituer un solide dossier.
Armer la Hadopi d’un pouvoir de sanction ?
Aujourd’hui, la Hadopi transmet au parquet les dossiers d’abonnés récalcitrants. Ils risquent alors une contravention de 1500 euros maximum ou une mesure alternative (transaction, rappel à la loi, etc.). De nombreux ayants droit ne se satisfont pas du faible nombre de transmission, à savoir plus de 2 000… pour 10 millions d’avertissements. Ils tirent de ces chiffres un échec patent de la Hadopi et militent pour que l'institution puisse prononcer elle-même ces sanctions.
La Hadopi serait ainsi maitresse de sa politique pénale, et non plus dépendante de l’engorgement des tribunaux. Trois pistes envisagées : la sanction administrative, la transaction pénale, l’amende forfaitaire pénale.
L’amende administrative
La question de l’amende administrative avait déjà été discutée dans le passé. En 2015, l’ancienne présidente de la commission de protection des droits, Mireille Imbert-Quaretta, l’avait estimé malgré tout impossible. Dans une note adressée au Sénat, révélée par nos soins, elle rappelait deux passages pivots de la décision de 2009 du Conseil constitutionnel :
- « L’autorisation donnée à des personnes privées de collecter les données permettant indirectement d’identifier les titulaires de l’accès à des services de communication en ligne conduit à la mise en œuvre, par ces personnes privées, d’un traitement de données à caractère personnel relatif à des infractions »
- « Qu'une telle autorisation ne saurait, sans porter une atteinte disproportionnée au droit au respect de la vie privée, avoir d'autres finalités que de permettre aux titulaires du droit d'auteur et de droits voisins d'exercer les recours juridictionnels dont dispose toute personne physique ou morale s'agissant des infractions dont elle a été victime »
Le Conseil estimait donc que le recueil des IP par les sociétés de défense des ayants droit ne pouvait avoir qu’une finalité : celle du recours juridictionnel. Doter Hadopi d’un pouvoir de sanction administrative reviendrait donc à priver le juge d’agir au premier degré.
Au Sénat, le rapport Bouchoux-Hervé avait imaginé une solution alternative : confier à la Hadopi le soin de glaner elle-même les IP pour ensuite les identifier auprès des FAI. Cependant, cette solution engendrerait des conséquences financières lourdes pour le budget de l’autorité publique. Elle supposerait aussi que la Hadopi dispose de l’entier catalogue des ayants droit, privant d’une certaine manière ces derniers d’un champ d’action.
Une jurisprudence constitutionnelle pas si incontournable
Selon les deux maîtres des requêtes, ces contraintes peuvent être contournées. Il faut d’abord toujours se méfier des interprétations a contrario des décisions du Conseil constitutionnel. Ainsi, en 2017, les Sages ont validé la création d’un fichier privé des hooligans qui permet aux clubs de sport d’interdire les accès au stade aux personnes qui y sont inscrites. Preuve qu’un tel fichier peut avoir d’autres finalités que des recours juridictionnels.
Avec prudence, les deux magistrats pensent qu’un tel dispositif pourrait donc juridiquement être envisagé, en le bordant de solides garanties. La Hadopi devrait être dotée du pouvoir « de contrôler la véracité des données transmises et la fiabilité des systèmes utilisés », outre des capacités d’instruction « lui permettant de compléter les éléments du dossier ».
Quel niveau de sanction ? Rien n’est dit sur le quantum, si ce n’est que la sanction administrative devrait nécessairement être limitée. Le principe de proportionnalité cher au Conseil constitutionnel oblige à prévoir une sanction à la hauteur des moyens de sécurisation disponibles pour les internautes.
En d’autres termes, le travail d’instruction restera le même, d’autant que la sanction ne pourra pas être automatique et devra tenir compte de chaque cas particulier. Du coup, « même transformées en sanctions administratives, le volume des sanctions sera proche de celui des transmissions actuelles au parquet, et non pas du nombre de constats initiaux et de premières recommandations », avancent les deux rapporteurs.
L'amende forfaitaire pénale
Introduire l’amende forfaitaire pénale reviendrait à un système similaire aux contraventions routières. Si le contrevenant paye, l’action publique cesse. S’il ne paye pas, l’amende est majorée. Un recours est néanmoins envisageable devant le tribunal de police.
Juridiquement, l’amende forfaitaire pénale « ne doit être proposée que lorsque l’infraction a été constatée », relève le rapport. « Il n’est donc pas possible de prévoir l’intervention d’une amende forfaitaire pénale systématique à partir du deuxième ou du troisième constat de contrefaçon effectué par les agents assermentés des ayants droit ». Le mécanisme doit donc s’imposer dès lors que la commission de protection des droits a des éléments suffisamment solides, sans passer nécessairement par les différentes strates de la riposte graduée.
Selon les conseillers d’État, cette solution ne se heurte pas aux obstacles constitutionnels, mais « en l’état des moyens de sécurisation, elle conduit à utiliser un outil d’abord conçu pour des contraventions facilement constatables à une infraction particulièrement complexe ».
De plus, cette solution serait une innovation dans notre ordre juridique, puisque la Hadopi se verrait confier un pouvoir de police judiciaire. « Cela constituerait un précédent nouveau, qui troublerait encore un peu plus la ligne de partage entre sanction pénale et sanction administrative, d'autant que le juge judiciaire serait alors compétent pour se prononcer sur une décision prise par une autorité administrative indépendante ».
La transaction pénale
Gérée par un officier de police judiciaire ou le procureur de la République, la transaction est en principe homologuée par le président du tribunal de grande instance. En cas d’accord, le ministère public s’engage à ne pas engager de poursuite, en contrepartie du paiement d’une somme.
Ce mécanisme a depuis été étendu aux autorités administratives, mais à condition d’être homologué par le parquet. C’est le cas du Défenseur des droits par exemple.
« Il pourrait donc être envisagé de donner le même pouvoir à la Hadopi, qui se verrait reconnaître la capacité de proposer des transactions pénales aux personnes dont la commission de protection des droits constaterait qu’elles ont commis l’infraction de négligence caractérisée », soutient le rapport.
Cependant, contrairement au Défenseur des droits, cette faculté constituerait « un changement d’échelle ». Le rapport y voit des avantages : « La personne contrevenante, soit sait qu'elle a été négligente (voire qu'elle est l'auteure de la mise à disposition illégale) et peut accepter de transiger et de payer la somme demandée. Soit elle s’estime innocente et elle la refusera. Pour le « tout-venant » de la négligence caractérisée, cela permet d'avoir une procédure rapide, fondée sur une forme de reconnaissance par la personne de sa culpabilité ».
Autre bonus : l’approche au cas par cas est maintenue, tout comme le caractère pénal de la sanction et le contrôle du parquet. Enfin, les modifications des textes ne sont pas trop lourdes.
Quand le rêve d'une machine à prunes s'éloigne
En conclusion, les auteurs se refusent de préconiser telle ou telle solution, leur mission consistant à identifier les différents obstacles à chaque scénario. Les impossibilités d’hier seraient aujourd’hui moins nettes, mais la machine à distribuer des prunes rêvée par les ayants droit reste de l’ordre de l’imaginaire collectif. On comprend mieux du coup les propos de Christian Phéline, président du collège jusqu'en janvier dernier, lorsqu'il saluait un document pointu et très nuancé.
Pour finir, précisons qu’un tel chantier supposerait que soient d’abord levés les doutes sur la compatibilité de la réponse graduée avec la récente jurisprudence de la Cour de justice de l’Union européenne sur la conservation et l’accès aux données de connexion.
La juridiction a posé clairement que ces modalités devaient être réservées à la criminalité grave. D’après le rapport, qui rejoint visiblement une étude interne de la Hadopi, le droit français serait dans les clous européens, parce que spécialisé, et entouré de garanties suffisantes.
Si cette loi Hadopi 3 est lancée, il faudrait surtout que le gouvernement accepte de prendre le risque de rouvrir des débats parlementaires durant lesquels, en 2009, la rue de Valois avait laissé quelques plumes.
Amendes automatiques pour piratage ? Pas si simple, selon une étude commandée par la Hadopi
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Une transmission automatique des dossiers au juge ?
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Une liste noire implantée dans les box ?
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Un blocage du protocole BitTorrent ?
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La transaction pénale
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Quand le rêve d'une machine à prunes s'éloigne
Commentaires (109)
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Abonnez-vousLe 19/02/2018 à 11h41
Le 19/02/2018 à 11h52
Cette infraction de “négligence caractérisée” était bancale dés le départ.
Plutot que d’essayer de créer une infraction autour de l’utilisation d’un point d’accès, il aurait été plus malin de faire évoluer le droit d’auteur.
Si le législateur s’était posé la question “comment faire coexister le droit d’interdire/limiter la reproduction d’une oeuvre dans un monde numérique où il est si facile de copier/transférer des données ?”, on aurait peut-être remis en cause le modèle économique de rémunération “à la copie”.
Comme d’habitude dans ces cas là, c’est le marché qui s’est occupé du problème en abandonnant les DRM et l’offre d’achat unitaire pour proposer le modèle actuel: l’offre d’accès au contenu (svod, abonnement/catalogue).
Le 19/02/2018 à 11h56
Le travail des deux maîtres des requêtes semble de qualité et rappelle des principes élémentaires.
Dommage qu’il ne soit pas public car certains rappels de principes feraient du bien à d’autres AAI …
Le 19/02/2018 à 11h57
L’idée du dossier est pas mal, par contre ça risque de demander pas mal de travail et il y aura probablement pas mal de variables nécessaires inaccessibles rendant le dossier potentiellement bancal selon moi.
Le 19/02/2018 à 12h07
Le 19/02/2018 à 12h09
Le 19/02/2018 à 12h15
On peut effectivement trouver dommage (voire plus…) qu’un rapport concernant un domaine bien loin du secret défense ne soit pas public. Tous devraient l’être par défaut (la Chose Publique, tout ça tout ça) " />
Le 19/02/2018 à 12h32
Le 19/02/2018 à 12h33
Je suis tout a fait d’accord, personnellement, je télécharge mais je suis a mon avis très loin d’être le dernier a contribuer au financement de l’offre (environ 50€ par mois pour tout types de contenus vidéo)
Sinon d’expérience le pas a été franchis pour l’animation japonaise ou les offres légales se sont largement développées, et sans entrer dans le détail les prix sont relativement correct.
Et pour la question du 100€ :
Rien qu’avec ces deux exemples une tendance se dessine, et pourtant l’offre la plus rentable mérite d’être étudier car a mon avis ce n’est pas le blue-ray le plus rentable.
Le 19/02/2018 à 12h35
Ou Beyond Good & Evil 2 ? " />
Le 19/02/2018 à 12h39
Le 19/02/2018 à 12h43
Pour du torrent, seedbox faut prendre pas VPN, comme ça tu seeds ailleurs qu’avec ta propre connexion (pour les trackers avec ratio).
Le 19/02/2018 à 12h44
Dans le cadre d’une licence globale (obligatoire pour tout les foyers donc) si on divise simplement le marché de la vidéo et de la musique (hors “live”) ont est sur un marché de 1,8 Mds d’euros en France par le nombre de foyer (25M) on arrive bon an mal an à une contribution annuelle de 72€ par foyer et par an pour accéder à l’ensemble de la création musicale et audiovisuelle. 72€ c’est quelques mois de deezer ou de netflix mais sans contrainte lié à l’exploitation des catalogues. Rien n’empêche qu’une partie des foyers soient pris en charge par la solidarité nationale (ça fera ça d’économisé dans les médiathèques publiques d’un autre coté…).
Après ça pète le business model de netflix, deezer, des chaines ciné, …
Le 19/02/2018 à 12h44
Le 19/02/2018 à 12h46
Mes abonnements depuis des années (avec le nombre de factures mensuelles qui vont avec) : Netflix / AmazonPrimeVideo / Wakanim / AnimedigitalNetwork / Crunchyroll.
A côté de ça j’ai 3 To de seedbox.
Donc bon, faudrait aussi qu’ils arrêtent de mentir en disant que l’offre de qualité existe hein, c’est loin d’être le cas si avec tout mes abonnements je me retrouve obligé de pirater pour satisfaire mes besoins vidéo-ludiques. Et c’est pas une question d’argent.
Le 19/02/2018 à 12h49
Le 19/02/2018 à 23h02
Le 20/02/2018 à 06h16
Le 20/02/2018 à 08h45
Les opérateurs ont des politiques différentes à ce niveau.
L’adresse de contact peut être soit une externe avec laquelle tu t’es inscrit, celle qu’ils t’ont créé de force et tu peux ou non en changer.
Orange te crée une adresse et c’est celle-là par défaut. Tu peux en changer, ce que j’ai fait (je suis chez Sosh), mais je viens de constater il y a quelques jours qu’ils m’envoient quand même quelques mails (dont 2 pour orangebank !)
Chez Free, tu n’as pas forcément d’adresse mail de chez eux.
Les autres, je ne sais pas.
Le 20/02/2018 à 08h49
Je ressent beaucoup de critique et peu de vergogne dans ton commentaire " />
Je suis plus nuancé dans l’avis de la qualité de ce qu’on trouve aujourd’hui. On trouve des trucs chouette, bien plus qu’avant, mais il y a également une plus grande diversité des contenus, ce qui peut donner l’impression qu’il y a globalement + de contenus qu’on aime pas que de contenus que aime.
Personnellement je suis assez satisfait de ce qu’on trouve sur les youtube & cie. Il suffit généralement de chercher ce qu’on veut pour le trouver. Il y a de tout pour tous les goûts, et si ça inclut aussi des contenus moins intéressant (de son propre point de vue subjectif), c’est tant mieux car ça intéressera d’autres publics.
Je regarde entres autres des vidéos dont tu as visiblement horreur (type twitch, jeux multi jouées par des gens), et je m’en porte très bien. Je trouve ça bien plus intéressant que de se coller devant la télé-(ir)réalité. C’est du divertissement au même titre que le jeu-vidéo ou le visionnage de série.
Le 20/02/2018 à 09h19
Le 20/02/2018 à 10h15
Le 20/02/2018 à 10h16
Le 20/02/2018 à 12h04
Le 20/02/2018 à 14h05
Le 20/02/2018 à 14h12
Newsgroups : SabNZB + Sonarr pour gestion des Dl, NewsHosting + XSNews en fournisseurs d’accès usenet, NZBGeek comme moteur de recherche.
Toutes les connexions sont cryptées en SSL 256, pas de limite de vitesse, pas de logs, mais pas gratuit (avec les promos qu’on peut trouver, environ 50 - 60€/an).
Le 20/02/2018 à 15h01
Certes, mais ce ne sont pas les même usages.
Exemple : la majeure partie des soirées en semaine je n’ai ni envie de me coller 1h devant un jeu-vidéo, ni envie de regarder un épisode de 45 minutes. Et je n’ai pas forcément envie de lire non plus. (ma) Solution : nxi (" />), twitch, youtube (youtube = pas forcément pour regarder des gens jouer, ça peut être pour plein d’autre types de contenus).
Donc je suis bien content de trouver du contenu pour toutes les envies, les humeurs et les courages :)
Le 20/02/2018 à 15h16
Le 20/02/2018 à 15h19
Le 20/02/2018 à 17h29
Bouygues Tel et Numéricable j’ai eu une adresse de contact différente aussi à la souscription.
Après comme je change pas d’opérateur tous les 6 mois… " />
Le 21/02/2018 à 01h11
Le 21/02/2018 à 01h11
Le 19/02/2018 à 10h44
Bon, j’ai toujours pas mon VPN, va falloir que je me bouge là-dessus.
" />" />" />" />" />
Le 19/02/2018 à 10h46
Elle devrait arriver entre Half-Life 3 et Left for Dead 3, à priori " />
Le 19/02/2018 à 10h51
Le 19/02/2018 à 10h53
Peut-être un teaser à la fin de Duke Nukem ForEver ?
Le 19/02/2018 à 10h55
Sinon c’est quand que les ayants droits comprendront que de proposer des alternatives légales (abordable) a de fortes chances de limiter la fraude ?
Parce que se concentrer sur la sanction plutôt que l’évolution de l’offre me semble contre productif.
Pour ma part quand je télécharge illégalement c’est principalement quand je ne trouve pas d’alternative légal facilement accessible.
Je suis tout ouïe si vous avez des solutions a proposer.
Le 19/02/2018 à 11h00
Le 19/02/2018 à 11h02
Merci pour cet article ! " />
J’ai réussi a prendre le temps de le lire …
Le 19/02/2018 à 11h02
Dans pas si longtemps ça fera 20 ans que ça dure cette affaire, de ce doux rêve, devrais-je dire, de juguler le téléchargement illégal. Ça va bientôt faire 20 ans que des idées aussi farfelues les une que les autres sont essayées pour cet objectif aussi atteignable que l’horizon.
La seule solution est la licence globale. Sinon la musique, le cinéma, la littérature… ne sont pas morts contrairement à ce que les producteurs disaient.
On l’avait dit dans le livre “la bataille Hadopi” dont Marc avait apporté sa pierre, et on avait eu raison. " />
Le 19/02/2018 à 11h06
Ils diminueraient déjà l’absurdité du nombre d’année de rentabilité des œuvres, la reconnaissance de paternité est déjà pas mal, il ne faut pas abuser
Le 19/02/2018 à 11h09
Non, pas de licence globale. Je ne veux pas payer parce que vous voulez télécharger comme des gorets. Tout comme certains ne veulent pas payer la redevance parce qu’ils ne regardent pas la tv ou n’écoutent pas la radio publique.
D’autant plus que je ne veux pas donner le moindre centime à cette industrie qui criminalise ses propres clients et a infiltré tous les niveaux du pouvoir.
Le 19/02/2018 à 11h10
https://chiffrer.info/ " />
Le 19/02/2018 à 11h14
Le 19/02/2018 à 11h16
Le 19/02/2018 à 11h19
Si les ayants droit jugent les lois de la république, je propose de juger les ayants droit pour leur attachement à des formes commerciales dépassées.
De toute façon, ils auront toujours un train de retard, je ne comprends même pas pourquoi l’état lève le petit doigt contre eux.
Personne n’a soutenu les video-clubs face à la vod, pourquoi on soutient ces dinosaures ?
Le 19/02/2018 à 11h34
Le 19/02/2018 à 11h35
J’ai hâte qu’un rapport mette noir sur blanc “stopper les activités de la Hadopi” ^^
Le 19/02/2018 à 13h08
Je ne pense pas que cette hypothèse tienne la route sur la masse totale : ce que tu trouve inintéressant, d’autres trouveront ça intéressant. Sur la quantité d’internautes, c’est une quasi-évidence. les contenu qui font 100% de consensus à leur encontre sont rare, heureusement.
Merde, on vieillit en fait…. " />
Le 19/02/2018 à 13h09
Le 19/02/2018 à 13h10
Le 19/02/2018 à 13h15
Après une seedbox est “privé” au sens site internet, les fichiers sortent par le protocole Bittorrent, mais y’a pas “d’interface” publique pour le site, tu tombes sur un popup d’authentification.
En fait, quand j’avais la fibre vu mon upload, j’avais une seedbox chez moi pour le légal chez Orange, genre libreoffice, des jeux open-source, raspberryPi etc " />
Surtout que sur mes seedbox, j’ai un mix des deux, j’ai de l’illégal car malgré mes abonnements VODs, l’offre légal ne suis pas (même si je veux payer pour) et j’ai du légal genre les OS de raspberry que j’utilise ou libreoffice car depuis les sites généralement c’est plus lent que en torrent " />
Le 19/02/2018 à 13h18
Perso, étant un geek enthousiaste, je suis pas mal de nouveau projet / techno, et j’avais trouvé sur Zer0Net qui permet d’avoir des sites en P2P, un service de torrent.
Bon malheureusement c’était sur des trackers publique, seul le “site” était en P2P, mais ça m’aurait bien fait marrer d’avoir un site de torrent qui lui même est en full P2P " />
Le 19/02/2018 à 13h22
Le 19/02/2018 à 13h31
Le 19/02/2018 à 13h44
Le 19/02/2018 à 14h01
" /> tu as juste AmazonPrimeVideo de plus que moi.
Le 19/02/2018 à 14h23
Le 19/02/2018 à 14h24
Je pense que c’est très compliqué d’obtenir des infos de ce genre les contrats entre ces boites étant secret.
Le 19/02/2018 à 14h39
“peut théoriquement servir à du partage légal d’œuvres”
J’aime le “théoriquement”. " />
Le 19/02/2018 à 14h45
Quand je disais que c’était pas une question d’argent, je parlais pour moi.
Je pirate car l’offre légal ne me laisse pas le choix, avec 5 abonnements vod ce n’est pas que j’y met pas du miens et ce n’est pas un problème d’argent.
Et c’est pas du tout au delà de la question de la HADOPI justement, elle sert exactement à ça, quand une œuvre n’est pas disponible, je sollicite la HADOPI pour qu’ils aient au moins du boulot et qu’ils aillent chatouiller l’ayant droit pour savoir pourquoi l’œuvre n’est pas disponible légalement.
Si jamais tu veux les faire bosser parce que tu trouves pas une offre légalement :https://hadopi.fr/outils-usages/signaler-une-oeuvre-introuvable " />
Bon bizarrement, j’ai jamais eu de vrai résultat, donc toujours obligé de pirater l’œuvre que je serais prêt à acheter " />
Le 19/02/2018 à 14h47
Et encore, j’évite pour des raisons politiques les services de Orange ou Canal " />
Le 19/02/2018 à 14h59
Le 19/02/2018 à 15h01
Le 19/02/2018 à 10h44
Super post ;)
Des news de la licence globale ?
Le 19/02/2018 à 15h03
Le 19/02/2018 à 15h16
Le 19/02/2018 à 16h10
Hummmmm.
Difficile à mettre en oeuvre, anti-constitutionnel, voire carrément mafieux.
Aucun doute, ce gouvernement va nous pondre une ordonnance." />
Le 19/02/2018 à 16h24
Merci pour l’article, pour une fois que j’avais un peu de temps. Ca fait plaisir de lire ce type d’analyse.
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Le 19/02/2018 à 16h40
Sans le codex tu ne sais pas décrypter cette nouvelle écritures qu’on trouve souvent dans les cryptes vouées à des cultes secrets, à moins d’avoir un spécialiste ou un chaman pour comprendre (ce sont souvent des sigles ésotériques, runique ou autre). Défricher le terrain te permet déchiffrer une réponse clair ou obscure (ça jette une ombre dans la compréhension) " />
" />" />
Le 19/02/2018 à 16h47
J’adore le mail qui vient dans la boite mail du fournisseur. Je l’ai lu après avoir lu la lettre de relance qui me disait que j’avais été avertis par mail. Il y a vraiment des gens qui utilise encore l’adresse de l’opérateur ? Si il avait envoyé le mail a une adresse que je consulte j’aurais pu éviter la relance.
La conclusion c’est que cette jolie lettre explique comment enlever sont client torrent sur windows et mac …. Pour linux en version serveur ben forcément c’est pas écrit … Lol
Pour le moment j’ai foutu un VPN niveau applicatif.
Mais pour m’amuser, vu que je sors juste de mon semestre de cours de Sécurisation réseau.
Je suis entrain de préparer mon job pour les vacances. Récupérer tous le flux torrent du réseau et tout balancer sur une passerelle IPSEC (j’ai une rasperry 3 qui traine). L’avantage de cette solution c’est que ça m’évitera : Le blocage de site via liste noir, l’éventuel blocage du protocole torrent et sa marchera avec tout mes PC sans exception et sans configuration.
C’est surement une machine de guerre mais ça sera rigolo, et ça me fera découvrir pleins de truc quand j’en chierai grave. Mon seul doute est l’impact du chiffrage sur la vitesse de dowload
En gros, vu que l’offre global est creuse : Tous ce qui n’est pas sur netflix ou qui passe au cinéma et qui m’intéresse y passe. La chronologie des médias n’aide pas. Ce qui me fait rire c’est que je vais passer plus de temps à mettre ça en place que de temps a regarder ce que je télécharge.
Bref au lieu de travailler sur le problème à la source : “L’accès au contenu video de manière legal dans un monde moderne qui va vite est quasiment impossible aujourd’hui”, il mette en place des solutions qui seront dépassé au moment même de leur implémentation. Tristesse et gaspillage … Bon sur ce je vais allez mater Cloverfield pour lutter contre la chronologie des médias 😁
Le 19/02/2018 à 17h32
Le 19/02/2018 à 19h50
Le 19/02/2018 à 19h56
IP pro non concernée par Hadopi " />
Le 19/02/2018 à 20h01
Le 19/02/2018 à 20h03
Les IP pro sont ignorés par l’HADOPI. Mais ça n’empêche pas les ADs de saisir directement le juge c’est clair " />.
Après est-ce que les IP pro sont transmis avant d’être ignorées, ça c’est autre chose.
Le 19/02/2018 à 20h05
Les AD dont il parle ne sont pas l’Hadopi et peuvent s’adresser directement à la justice qui obtiendra les informations sur l’utilisateur de l’IP.
Edit : oups grillé.
Le 19/02/2018 à 20h06
C’est ce que j’ai dis " />
Le 19/02/2018 à 20h07
Enfin les commentaires se croisent entre ceux qui font “citer” et ceux qui font “répondre” " />
Le 19/02/2018 à 20h16
Le 19/02/2018 à 22h44
Le 21/02/2018 à 08h14
Le 21/02/2018 à 08h37
Le 21/02/2018 à 08h39
Quoi ? " />
Le 21/02/2018 à 11h13
Pourrais-je avoir des précisions SVP ?
Le 21/02/2018 à 11h46
https://chiffrer.info/
Le 21/02/2018 à 14h32
Nope, et d’ailleurs je ne vois pas pourquoi ?
Le 21/02/2018 à 15h15
Merci !
Le 21/02/2018 à 15h29
Le 21/02/2018 à 15h39
Comme tout le monde je suppose, mais pas spécifiquement plus que ça ^^
Le 21/02/2018 à 23h36
Le 22/02/2018 à 15h30
Pour moi il aurait fallu que les box opérateurs puisse avoir une partie en mode “bridge” sans perdre les services BoxTV, Téléphones Fixes, Test de connexion… En gros pouvoir construire son propre réseau derrière la box avec de “vrais” routeurs/firewall.
Ainsi le papa geek pourrait filtrer les connexions des utilisateurs connectés, bloquer certains protocoles, avoir des logs de connexion pour surveiller les heures de connexion des ados qui sont sensé dormir, mettre en place des VLAN que les PC des enfants moisis jusqu’à l’OS de spyware n’infectent le reste du réseau…
Pour l’instant, tant que Madame veut avoir le fixe et la télé, pas de mode bridge. Mais bon avec TF1 qui n’est plus sur la box, on peut espérer qu’un jour ca soit la réalité :)
Le 22/02/2018 à 15h55
Le 19/02/2018 à 12h49
Une adresse d’un service de seedbox j’ai pas.
Généralement je prends un dédié Kimsufi chez OVH sous debian et je lance le script d’installation Bonobox et rulz. Comme c’est une IP pro, hadopi tombe à l’eau, et OVH ne fourre pas son nez dedans tant qu’il n’y pas de demande de justice (normal, ils ne sont qu’hébergeur, t’imagine le nombre de client qui se barrent si ils foutent leur nez dedans au vu du nombre d’entreprise).
Et tu as la proximité pour récup ensuite les fichiers (par web, ftp, sftp etc).
Le 19/02/2018 à 12h50
Le 19/02/2018 à 12h50
La personne contrevenante, soit sait qu’elle a été négligente (voire qu’elle est l’auteure de la mise à disposition illégale) et peut accepter de transiger et de payer la somme demandée. Soit elle s’estime innocente et elle la refusera.
Donc Dominique Strauss-Kahn, le président parfait vanté dans TOUS les journaux subventionnés à l’époque, a bien reconnu être un VIOLEUR (justice à l’américaine) " />
Le 19/02/2018 à 12h52
Tu comptes trop à la baisse, ça fais beaucoup plus que 20 ans, tu avais déjà le piratage des VHSs et si tu remontes, même des vinyles " />
Le 19/02/2018 à 12h52
Une question de ne pas avoir d’offre légal.
Si te faut un exemple, j’en est un parfait sous le coude " />
Le 19/02/2018 à 12h54
Le 19/02/2018 à 12h55
tu tiens ton information où ? Ça dois faire 5 / 10 ans que la mienne tourne, j’ai juste eu un changement de disque et c’était reparties.
Et dans le monde du warez, un gros pourcentage tourne chez Kimsufi.
Après à l’étranger faut trouver avec bande passante illimitée.
Le 19/02/2018 à 12h56
Question qui n’a rien à voir : c’est autorisé d’avoir un billet comme image de l’article, s’il n’est pas barré par la mention « spécimen » ou autre ? Je parle au niveau légal/contrefaçon de billets
Le 19/02/2018 à 12h57
Le 19/02/2018 à 12h59
ah oui, selon leur CGV c’est possible, mais pratiquement tout ceux qui ont un peu de connaissance pour le faire soi-même utilise un kimsufi ou un dédié chez OVH.
Après à voir hein, tu peux prendre à l’étranger si tu veux, c’est ce que je ferais si OVH me supprime mes seedbox, mais alors je déménagerais mes autres serveurs légaux ailleurs que chez eux " />
Le 19/02/2018 à 13h01
Le 19/02/2018 à 13h02
Ils le dev, mais prennent bien leur temps surtout, donc tu peux attendre encore quelques années au bas mot " />
Le 19/02/2018 à 13h04
Plutôt Duke Nukem Fornever " />
Le 19/02/2018 à 13h04
Le 19/02/2018 à 13h06
Le 19/02/2018 à 13h08