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Le gouvernement ouvre le code source de Parcoursup, mais pas ses algorithmes « locaux »

Lundi de Pentecôde

Le gouvernement ouvre le code source de Parcoursup, mais pas ses algorithmes « locaux »

Le 21 mai 2018 à 14h24

Surprise ! Après des semaines de silence, le ministère de l’Enseignement supérieur vient d’ouvrir en ce jour férié le code source de la plateforme Parcoursup. Les algorithmes « locaux », qui aident de nombreuses universités à sélectionner leurs étudiants, restent quant à eux secrets.

Bonne nouvelle : le ministère de l’Enseignement supérieur ne se ridiculise plus en envoyant un algorithme imprimé – comme il l’avait fait en 2016 pour Admission Post-Bac. Pour publier le code source de Parcoursup, l’administration a opté pour un dépôt Git (en l’occurrence celui proposé par Framasoft, Framagit).

Sont ainsi accessibles à tous « les algorithmes et le code Java permettant » le calcul :

  • De « l'ordre d'appel », c’est-à-dire celui dans lequel les propositions d’admission sont envoyées aux candidats.
  • Des « propositions de formations » (pour les candidats retenus par la commission d’examen des vœux).
  • Des propositions d'hébergement en internat.

Si les différents fichiers mis en ligne parleront avant tout aux informaticiens chevronnés, le ministère a publié dans le même temps une notice (PDF) décrivant les principaux calculs effectués par la plateforme.

parcoursup code

Le tout a été placé sous AGPLv3 (licence avec obligation de réciprocité).

Attention au « coup de com' », prévient l'association Droit des lycéens

« La publication du code permettra à chacun de vérifier que le fonctionnement de la plateforme est conforme au droit », se félicite le ministère au travers d’un communiqué. « Elle favorisera également la pleine compréhension des mécanismes de la nouvelle procédure d'entrée dans l'enseignement supérieur : non hiérarchisation des vœux, absence de contraintes ; délais de réponse qui permettent, lorsque chaque candidat fait son choix, de libérer des places qui seront immédiatement proposées à d'autres candidats. »

Hugo Collin-Hardy, président de l’association Droit des lycéens, estime que cet effort de transparence est effectivement « une très bonne nouvelle ». « Il va néanmoins falloir qu'on se penche sur ce code source pour réagir sur son contenu », explique-t-il, contacté par nos soins. Et pour cause : les fichiers mis en ligne aujourd’hui ne correspondent pas aux algorithmes « locaux » qui aident les établissements de l’enseignement supérieur à trier les différents dossiers des candidats.

Autrement dit, il ne s’agit que d’un élément, plutôt accessoire, de la (lourde) machine Parcoursup. « On espère que le ministère publiera ces algorithmes locaux prochainement, faute de quoi la publication d’aujourd’hui ne serait qu'une opération de com’ », prévient ainsi Hugo Collin-Hardy.

Le coeur de la machine Parcoursup en attente de transparence

Mounir Mahjoubi, le secrétaire d’État au Numérique, avait d’ailleurs promis mi-avril que le code source de Parcoursup serait rendu public, de même que « l’algorithme d’affectation utilisé par chacun des établissements [de l’enseignement supérieur] », comme l’avait souhaité le Parlement. Cela n’a pas empêché l’intéressé de se targuer sur Twitter d’avoir tenu son engagement...

Le mois dernier, constatant que le gouvernement ne publiait toujours pas les différents algorithmes de Parcoursup – en dépit de promesses répétées, Next INpact avait pris l’initiative de saisir la Commission d’accès aux documents administratifs (CADA). Puisque l’exécutif n’a pas dévoilé tous les fichiers sollicités, nous maintiendrons naturellement notre demande d’avis auprès de l’autorité indépendante (voir notre article).

Assez curieusement, le gouvernement n’évoque à aucun moment l’éventuelle publication des algorithmes locaux du successeur d’APB. Interrogé à ce sujet, le ministère de l’Enseignement supérieur et le secrétariat d’État au Numérique n'étaient pas revenus vers nous à l'heure où nous publions cet article. Le communiqué de l'exécutif indique simplement que « le travail de pédagogie et de transparence engagé autour de la plateforme se poursuivra tout au long des semaines qui viennent », en « lien étroit » avec le comité éthique et scientifique de Parcoursup.

Les réactions n’ont pas manqué sur les réseaux sociaux, certains félicitant la majorité pour ce pas en avant, d’autres regrettant notamment que les prochains bacheliers n’aient pu avoir ces informations avant de préparer leurs candidatures.

Commentaires (61)

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Mwe, je suis pas etonne de trouve cette fierte francaise un peu pueril dans les ministeres qui pousse a ecrire le code en Francais. Si tu ecris en autre chose qu’en anglais, pour moi ca respresente juste une faiblesse, pas une force. C’est un standard de l’industrie au niveau mondial.



A part quelques exemples particulier ou ca peut etre plus claire en Francais, pour la majorite des cas l’anglais est plus pertinenent. Et c’est sans compte l’ecrasante predominance des ressources, training, tuto, exercicses de code qui sont egalement en anglais. 



Mais bon chacun voit midi a sa porte, no big deal :)

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C’est un logiciel institutionnel français à destination unique de la France, donc l’intérêt de tout mettre en anglais est inexistant. Si l’anglais est un standard de l’industrie mondial pour toi (et c’est vrai dès qu’on commence à sortir de notre voisinage, les espagnols, italiens, etc, ont encore tendance à parler français), le français c’est la langue officielle du pays.



Et sauf erreur de ma part, toute communication issue de l’administration en France doit être rédigée en français. Donc c’est plus une question d’obligation que de petite fierté.

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Baradhur a écrit :



C’est un standard international de tout faire en anglais, notamment car l’intégralité des mots clés de quasi tous les languages sont en Anglais. Même quand je vivais en France, je n’ai jamais écris de code en Français.





Le seul langage en français que je connais, ne m’incite pas vraiment à coder en français <img data-src=" />.



Et puis un problème du code en français, c’est les accents qui sont rarement (jamais ?) acceptés dans les noms…


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Y a pas aussi WinDev qui est en français ? <img data-src=" />

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Baradhur a écrit :



Mwe, je suis pas etonne de trouve cette fierte francaise un peu pueril dans les ministeres qui pousse a ecrire le code en Francais. Si tu ecris en autre chose qu’en anglais, pour moi ca respresente juste une faiblesse, pas une force.





N’importe quoi. <img data-src=" />

Aucun rapport avec une supposée fierté française. Et quelle faiblesse ? Le code va moins bien fonctionner ?



On parle de logiciels à destination de français, pour des besoins liés à nos institutions. On ne va pas s’amuser à traduire ça en anglais, ça n’a aucun sens. J’ai même donné des exemples simples où ça compliquerait les choses.







Baradhur a écrit :



C’est un standard de l’industrie au niveau mondial.





Non, c’est quelque chose qu’on fait dans le logiciel libre pour des raisons évidentes, c’est tout. Ou alors dans les grosses boîtes de logiciel qui ont des développeurs dans différents pays.



Dans la plupart des pays, on code dans la langue native. StarOffice, qui a donné lieu à OpenOffice puis LibreOffice, a été écrit en allemand au départ. Ça ne l’a pas empêché d’en arriver là où il en est.



La plupart des langages informatiques sont en anglais parce que développés aux US (encore que Prolog c’est Marseille par exemple, et il y a au moins un autre qui est plus ou moins français d’origine), ça n’impose pas que le code développé soit en anglais.







Baradhur a écrit :



A part quelques exemples particulier ou ca peut etre plus claire en Francais[/quote

, pour la majorite des cas l’anglais est plus pertinenent





Non.

Et je suis à l’aise en anglais depuis mon adolescence, donc ce n’est pas une question de maîtrise de l’anglais.

Tu parles de supposée “fierté” mais tout vouloir en anglais c’est juste du snobisme, surtout dans le cas présent. C’est totalement ridicule et artificiel de coder ParcoursSup ou le code des impôts en anglais.







Baradhur a écrit :



Et c’est sans compte l’ecrasante predominance des ressources, training, tuto, exercicses de code qui sont egalement en anglais.





J’ai lu le Kernighan et Richie (sur le C) en anglais il me semble, quand j’étais au collège ou lycée, mais ça ne m’a pas empêché de coder en français.







SebGF a écrit :



C’est un logiciel institutionnel français à destination unique de la France, donc l’intérêt de tout mettre en anglais est inexistant. Si l’anglais est un standard de l’industrie mondial pour toi (et c’est vrai dès qu’on commence à sortir de notre voisinage, les espagnols, italiens, etc, ont encore tendance à parler français), le français c’est la langue officielle du pays.



Et sauf erreur de ma part, toute communication issue de l’administration en France doit être rédigée en français. Donc c’est plus une question d’obligation que de petite fierté.





<img data-src=" />

Original ce snobisme de certains, qui confondent l’utilité (quand il y en a) avec la nécessité ou la mode.


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Cast3m est conçu pour un domaine très limité. Pour en avoir fait en école d’ingé, c’est rigolo 5 minutes, mais pour un vrai projet on passe sur logiciel de modélisation tout fait.



De la même façon, Parcoursup est créé pour servir une fois par an, en France, donc le coder avec des éléments lisibles en français n’est pas délirant.

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Mihashi a écrit :



Le seul langage en français que je connais, ne m’incite pas vraiment à coder en français <img data-src=" />.





Il y a windev aussi qui permet du code en français de mémoire.

(et là c’est des trucs plutôt solides pour du petit progiciel)



et Linottehttps://fr.wikipedia.org/wiki/Linotte_%28langage%29

:)


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Autoriser les accents dans les variables (et même davantage, quasiment tout ce qui est connu par l’unicode), c’est plutôt la norme dans les langages modernes. Dans les langages .NET, par exemple, ou en Swift, tu peux déclarer une variable en idéogramme chinois si ça te chante.



Perso, je n’aime pas coder en franglais, mais qu’une institution française l’exige ne me choque pas.

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OlivierJ a écrit :



La plupart des langages informatiques sont en anglais parce que développés aux US (encore que Prolog c’est Marseille par exemple, et il y a au moins un autre qui est plus ou moins français d’origine), ça n’impose pas que le code développé soit en anglais.







Outre le “Prologueu, cong !” citons ADA, Eiffel et OCaml (le précurseur du F# de Microsoft, par conséquent mon 2e langage préféré si jamais un jour je l’essaie).



Par contre Windev est Belge. ET QU’ON NE VIENNE PAS ME PRETENDRE LE CONTRAIRE !!!


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Tu as bien raison de t’emballe et d’essayer de me persuader a quel point j’ai tords. Malheureusement, c’est un debat d’opinion et ca ne changera rien. La vrai question c’est pourquoi est ce que ca te trigger autant que je dise ca?&nbsp;



Un simple “je respecte ton opinion mais je ne suis pas d’accord” suffisait amplement. Aller, bisous quand meme hein!

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le podoclaste a écrit :



Outre le “Prologueu, cong !” citons ADA, Eiffel et OCaml (le précurseur du F# de Microsoft, par conséquent mon 2e langage préféré si jamais un jour je l’essaie).





Pour Eiffel et OCaml il me semblait, mais je n’étais pas sûr.

À l’INRIA on aime bien l’OCaml, c’est là que mon frère s’y est mis.







le podoclaste a écrit :



Par contre Windev est Belge. ET QU’ON NE VIENNE PAS ME PRETENDRE LE CONTRAIRE !!!





Mais c’eye supaaiire ça kette ;-)



(j’ai vécu à côté de Bruxelles quelques années, faut imaginer l’accent)







Baradhur a écrit :



Tu as bien raison de t’emballe et d’essayer de me persuader a quel point j’ai tords.





“tords” je ne sais pas, mais tort oui.







Baradhur a écrit :



Malheureusement, c’est un debat d’opinion





T’as quand même l’air très sûr de toi, comme si c’était plus qu’une opinion.

Mais on est plusieurs à t’expliquer pourquoi tu te trompais, très sincèrement.

Et j’ai déjà dit que j’avais aussi développé en anglais et que ça ne me posait pas de problème, quand c’était justifié.


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J’ai vu passer des commentaires au sujet des noms de variables en français, petit rappel pourquoi on fait pas ça





  • Tout le reste du code est en anglais, mettre des bouts (genre sqlexceptions_inutiles) de français dans de l’anglais c’est assez idiot en soit : ça force le cerveau a switcher de langue pour rien. Et puis&nbsp; a titre perso je comparerais ça a des gruaux dans le jus de fruit du matin…



    &nbsp;- C’est en général fait pour un faux probleme : sur toute la code base, y’aura 3-4 mots dont les devs ne connaissaient pas la traduction ou qui sont réellement spécifiques au pays. (Et encore)



  • La communauté est de toute façon anglaise, si t’écris du code en français et que tu demande de l’aide ou que tu bosses avec un étranger…

    &nbsp;

  • C’est comme le cligno en bagnole, si y’a personne tu le mets quand même, ça devient un réflexe et tu n’y penses plus, sinon quand tu en as besoin tu impliques plus d’efforts pour l’utiliser et tu y perds au change. (Voire tu le mets pas)



    Autant l’indentation (Allman, K&R) ça peut se discuter, autant le français dans l’anglais moins je trouve

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Dommage que vous n’évoquiez pas le rigolo[1] cafouillage de la libération de tout ça :




  • 1ère annonce =&gt; le lien renvoie vers une 404 😛 (le dépôt était encore en mode privé)

  • passage du dépôt en mode public =&gt; y a rien dedans ! twitter.com Twitter

  • et enfin, des pushs dans le dépôt.



    [1] moi ça m’a fait marrer, mais y en a qui ont pas du trouver ça drôle…

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En tout cas, c’est Framasoft qui doit être content, ça fait un bon coup de pub.

J’aurais plutôt imaginer l’EN partir chez les poids lourds genre Github et co.



EDIT : je connais pas le langage mais … c’est si utilisé le PL/SQL ?

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framasky a écrit :



Dommage que vous n’évoquiez pas le rigolo[1] cafouillage de la libération de tout ça :




  • 1ère annonce =&gt; le lien renvoie vers une 404 😛 (le dépôt était encore en mode privé)

  • passage du dépôt en mode public =&gt; y a rien dedans ! twitter.com Twitter

  • et enfin, des pushs dans le dépôt.



    [1] moi ça m’a fait marrer, mais y en a qui ont pas du trouver ça drôle…





    Bof, l’impact d’un retard ils s’en cognent sur un sujet aussi secondaire. Mais ça doit être la même équipe que celle qui a travaillé sur les cartes grises de l’ANTS.


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J’avoue avoir voulu me cantonner à l’essentiel, mais ça a été assez chaotique c’est vrai… Le ministère avait envoyé un beau communiqué, mais personne ne répond derrière pour le SAV. Et puis une telle publication un lundi de Pentecôte, comment dire… ?

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Je vois venir du random() dans les algo locaux…

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Arcy a écrit :



En tout cas, c’est Framasoft qui doit être content, ça fait un bon coup de pub.

J’aurais plutôt imaginer l’EN partir chez les poids lourds genre Github et co.







Oui enfin je trouve pas ça super réglo que les structure étatiques utilise les infrastructure d’une association comme framasoft, j’éspère à minima qu’il font des dons pour gérer ce point là, parce qu’autant j’aime beaucoup framasoft, autant un état doit avoir des obligation de résultat (accessibilité du dit-code) qui coincide assez mal avec un service en ligne porté par une association dont le but est plus le “proof of concept” que l’hébergement professionnel.


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Pas d’interface, algos plutôt simpliste et sources de données multiples (PlSql et Oracle) :/



Perso, ça me pique un peu les yeux !

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Et on est toujours dans le “en même temps…” si cher à macron.



“Je publie le code source et en même temps, je ne publie que la partie accessoire…”



Ça commence à devenir sérieusement lourdingue cette façon de faire.

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PL/SQL est le langage pour attaquer le serveur Oracle…

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Aïe, petit confusion avec PgSql :/ ça m’apprendra !

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La spec semble pas mal complète et utile. C’est la seule livraison qui a un réel intérêt.



Le code par contre est incomplet. Dans les sql il y a des appels à des packages dont les sources ne sont pas fournies.

Et sans la documentation du modèle de données, c’est pas vraiment exploitable.

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Donc on publie 100% du code source de Parcoursup, mais ce n’est pas

vraiment 100% ? Il y a les maths, et les maths à la Mounir…

&nbsp;







Xavier.B a écrit :



Et puis une telle publication un lundi de Pentecôte, comment dire… ?





C’est peut-être justement quelqu’un qui était obligé de bosser un jour férié qui s’est vengé <img data-src=" />







CryoGen a écrit :



PL/SQL est le langage pour attaquer le serveur Oracle…





C’est un langage de pirate ? <img data-src=" />


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hurd a écrit :



autant un état doit avoir des obligation de résultat (accessibilité du dit-code) qui coincide assez mal avec un service en ligne porté par une association dont le but est plus le “proof of concept” que l’hébergement professionnel.





C’est pas faux. Après, sans vouloir se vanter, on a un uptime sur l’ensemble des services qui est très loin d’être dégueulasse ^^ (pour framagit, on doit en avoir un meilleur que github, vu que leurs pannes sont bien plus velues que les nôtres — bah oui, on gère un seul serveur gitlab, là où eux doivent avoir une infrastructure de taré)



&nbsp;Est-ce qu’un service géré par l’état en aurait un aussi bon ? Sans doute. Meilleur ? Pas certain. Mais je suis d’accord avec toi, se soumettre au risque de la loi de Murphy du serveur gitlab qui pète quand je suis en vacances loin de tout, qu’en plus c’est le weekend et que ceux qui pourraient avoir les compétences nécessaires pour remettre le serveur d’aplomb sont partis à la campagne… c’est sans aucun doute assez moyen)



Le seul truc qui me chiffonne dans ce que tu dis, c’est « obligation de résultats ».&nbsp; Non, car ça voudrait dire zéro downtime, ce qui est impossible. Obligation de moyens, ça oui, et le faire reposer sur nos épaules… bof, pourquoi pas.



NB : ceci ne reflète que mon avis perso, pas forcément celui de l’asso.


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Ceci dit, je préfère qu’ils mettent le code sur Framagit que sur Github, plateforme non libre, appartenant à une boîte US. Ça aurait carrément bien plus râlé 😉



Mais oui, le must aurait été d’héberger ça chez eux.

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Y’a que moi que ca pique les yeux de voir du code source en Francais? Voir du “voeuxClasses.add(v)” ca me fait rire. J’ai bien aime les tests qui testent rien <img data-src=" />



J’ai parcouru vite fait l’ensemble, ca me semble bien leger tout ca. Si l’ensemble de parcoursup tient la dedans, ils se foulent pas vraiment….

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Non ca pique pas les yeux.

Ils arrivent souvent que “l’administration” demande que les variables, classes, etc. soient écrit en français dans un soucis de compréhension.



Et puis à quoi bon tout mettre en anglais ? y a des pays qui nous envie ParcourSup ? <img data-src=" />

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J’aimerais savoir combien de personnes qui ont émis un avis (négatif comme toujours) ont les connaissances suffisantes pour analyser à fond le code source ?


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Baradhur a écrit :



Y’a que moi que ca pique les yeux de voir du code source en Francais? Voir du “voeuxClasses.add(v)” ca me fait rire.





Pour du code destiné uniquement à la France, avec des termes métiers spécifiques à la France,&nbsp; et sûrement une partie des lecteurs non anglophones, ça me paraît un choix raisonnable au contraire. A moins qu’il faille délocaliser tout en Inde ensuite, je ne sais pas si c’est prévu.



Commencer à traduire voeux, ou pire “lycée” par “college”, c’est la porte ouverte à un joyeux bazar.


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Y a déja une issue sur le repo <img data-src=" />

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Xavier.B a écrit :



Et puis une telle publication un lundi de Pentecôte, comment dire… ?





Quel est le sens de cette remarque ?



Note que beaucoup de gens travaillent le lundi de Pentecôte, depuis que ce n’est plus vraiment un jour férié.







Jarodd a écrit :



C’est peut-être justement quelqu’un qui était obligé de bosser un jour férié qui s’est vengé <img data-src=" />





En principe ce n’est plus un jour férié.


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framasky a écrit :



C’est pas faux. Après, sans vouloir se vanter, on a un uptime sur l’ensemble des services qui est très loin d’être dégueulasse ^^ (pour framagit, on doit en avoir un meilleur que github, vu que leurs pannes sont bien plus velues que les nôtres — bah oui, on gère un seul serveur gitlab, là où eux doivent avoir une infrastructure de taré)





J’en profite pour saluer ce que vous faites à Framasoft, l’association en général et toi en particulier (et intéressant d’avoir un commentaire d’un des membres).







Baradhur a écrit :



Y’a que moi que ca pique les yeux de voir du code source en Francais? Voir du “voeuxClasses.add(v)” ca me fait rire.





Je ne vois pas bien ce que ça a de drôle. Ça servira à quoi de tout mettre en anglais ?







recoding a écrit :



Pour du code destiné uniquement à la France, avec des termes métiers spécifiques à la France,  et sûrement une partie des lecteurs non anglophones, ça me paraît un choix raisonnable au contraire.

Commencer à traduire voeux, ou pire “lycée” par “college”, c’est la porte ouverte à un joyeux bazar.





Entièrement d’accord. <img data-src=" />


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Le sens de cette remarque ? Qu’une publication un jour férié (ou pendant les fêtes de fin d’années par exemple) n’est en général pas anodine : c’est plus propice à ce que ça fasse moins de bruit.

Et pour avoir travaillé hier, je suis bien évidemment au courant que certaines personnes travaillent le lundi de Pentecôte ;)

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Arcy a écrit :



En tout cas, c’est Framasoft qui doit être content, ça fait un bon coup de pub.

J’aurais plutôt imaginer l’EN partir chez les poids lourds genre Github et co.



EDIT : je connais pas le langage mais … c’est si utilisé le PL/SQL ?





Comme dit par ailleurs, c’est juste utilisé partout où il y a une base Oracle qui a besoin de faire des choses un peu plus complexes que du requêtage de base… donc oui, c’est quand-même pas mal utilisé, en entreprise.



[Edit] Quant au lundi de Pentecôte j’avoue m’être posé la question en entendant une tondeuse à gazon dans mon quartier à 8h15 (en général les jours fériés les activités bruyantes sont en théorie toléré uniquement de 10h à 12h). Et j’en suis arrivé à la conclusion que c’est un magnifique cafouillage à la française où on a su en 2 ans passer d’une situation simple (jour férié) à une situation où un chat n’y retrouverait pas ses petits (c’est férié ? chômé ? normal ?)


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Vu qu’en pratique ça fait toujours autant de bruit (avec le bonus “ils ont fait ça pendant les vacances, vous vous rendez-compte”), surtout auprès de ceux que ça intéresse, l’argument me paraît faible.



Ça fait tellement d’années que j’entends ça (“ils ont publié ça à tel moment pour qu’on en parle moins”), et ça ne fonctionne jamais. Dommage que vous teniez aussi ce discours, je ne compte plus le nombre d’articles que vous avez publiés sur les sujets qui nous (et vous) intéressent, indépendamment du jour de publication (semaine, weekend, jour plus ou moins férié, vacances, etc.), jour qui en fait n’a aucun impact sur l’information, surtout quand c’est un sujet attendu.

(et ici, ça aurait été publié aujourd’hui au lieu d’hier, ça aurait changé quoi ? Rien. A part un jour de retard)

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OlivierJ a écrit :



Quel est le sens de cette remarque ?



Note que beaucoup de gens travaillent le lundi de Pentecôte, depuis que ce n’est plus vraiment un jour férié.





En principe ce n’est plus un jour férié.



C’est toujours un jour férié. Mais un férié non chômé.


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OlivierJ a écrit :



En principe ce n’est plus un jour férié.





De quel principe parles-tu ?



&nbsp;Le lundi de pentecôte est officiellement un jour férié, d’ailleurs la plupart des administrations, pour ne pas dire toutes, étaient fermées hier (écoles, mairies,…).

&nbsp;Dans le privé c’est généralement cette journée qui est choisie pour la journée de solidarité, donc dans ce cas c’est un jour férié et non chômé (« Le salarié reste tenu de travailler durant la journée de solidarité »).


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anagrys a écrit :



Comme dit par ailleurs, c’est juste utilisé partout où il y a une base Oracle qui a besoin de faire des choses un peu plus complexes que du requêtage de base… donc oui, c’est quand-même pas mal utilisé, en entreprise.





J’en ai déjà fait (du PL/SQL d’Oracle ou la variante chez Postgres) ; sauf erreur de ma part, on peut toujours s’en passer, par exemple quand on fait de l’objet et typiquement du Hibernate avec Java, qui gère les accès à la base de données (lecture et écriture).



De ce que j’avais vu dans les années 2000, on utilise principalement le PL/SQL pour accélérer certaines opérations, avec les procédures stockées (dans la base de données), et aussi pour l’utilisation des “triggers” ; comme c’est une procédure déjà interprétée par le moteur de base de données, ça s’exécute généralement plus vite que des appels depuis le langage de programmation. L’inconvénient est qu’il faut bien les documenter pour que quelqu’un qui fait évoluer le code “normal” (hors PL/SQL, celui en C/C++/Java/autre) n’introduise pas des actions qui vont entrer en conflit avec les procédures stockées ou triggers (en ignorant qu’elles font déjà certaines actions).







anagrys a écrit :



[Edit]Quant au lundi de Pentecôte […] j’en suis arrivé à la conclusion que c’est un magnifique cafouillage à la française où on a su en 2 ans passer d’une situation simple (jour férié) à une situation où un chat n’y retrouverait pas ses petits (c’est férié ? chômé ? normal ?)





Pas en 2 ans, car ça fait plus de 10 ans que ça a changé, ça date de vers 2003 et Raffarin était premier ministre.



La journée de solidarité, créée en 2004 pour financer une meilleure prise en charge des personnes dépendantes et initialement fixée au lundi de Pentecôte, devrait rapporter 2,42 milliards d’euros en 2018, estime la Caisse nationale de solidarité pour l’autonomie.



Depuis sa mise en place l’année suivant la canicule meurtrière de 2003, cette journée a permis de collecter près de 30 milliards d’euros, précise dans un communiqué la CNSA, chargée de sa gestion.



Initialement fixée au lundi de Pentecôte, redevenu férié en 2008, elle est depuis laissée à l’appréciation des employeurs publics et privés. Certains suppriment un jour de congé ou de RTT, d’autres offrent cette journée à leurs salariés, mais tous s’acquittent d’une contribution (0,3% de la masse salariale) à la CNSA.



https://www.huffingtonpost.fr/2018/05/20/lundi-de-pentecote-la-journee-de-solida…



J’avais oublié que c’était devenu depuis 2008 à la discrétion de l’employeur. Il faut dire que dans le privé (mon cas), souvent ce jour n’est pas chômé.


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Patch a écrit :



C’est toujours un jour férié. Mais un férié non chômé.









Jarodd a écrit :



Le lundi de pentecôte est officiellement un jour férié, d’ailleurs la plupart des administrations, pour ne pas dire toutes, étaient fermées hier (écoles, mairies,…).

Dans le privé c’est généralement cette journée qui est choisie pour la journée de solidarité, donc dans ce cas c’est un jour férié et non chômé (« Le salarié reste tenu de travailler durant la journée de solidarité »).





Vous avez raison (cf mon commentaire juste avant que j’ai édité), j’en étais resté à la situation entre 2003 et 2008, en gros que le public et certaines grosses boîtes en faisaient du férié, et que le privé en général en faisait une journée travaillée.


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Patch a écrit :



C’est toujours un jour férié. Mais un férié non chômé.





C’est surtout le bordel <img data-src=" />



Autour de moi y a:




  • Des gens en férié (offert par l’entreprise, ou municipalité)

  • Qui bossent

  • Qui sont obligés de poser un RTT



    Donc faudrait le remettre juste en férié comme avant, ça irait très bien à tout le monde <img data-src=" />


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Moins de bruits avec les assos étudiantes et certains journaux qui suivent ce marathon pour faire le 20h avec des pauvres étudiants indignés ? Ca aurait pu sortir un dimanche à 2h du mat’ que personne ne l’aurait loupé <img data-src=" />

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oui, on peut remplacer une store proc en PL/SQL par du Java - après tout, Oracle a racheté Java, c’est pas pour rien. Même pour gérer des triggers. Pour ceux qui développent un client, implémenter la couche “base de données” en PL/SQL, il faut juste être masochiste, n’importe quel langage de haut niveau sera plus simple à maintenir, à comprendre, à tester, à gérer. Ne serait-ce que pour les outils fournis à côté du langage (frameworks de tests, outils de build, etc.)

Quant au remplacement d’un code existant en PL/SQL par du Java, je ne l’ai jamais fait moi-même bien qu’ayant bossé sur une appli qui utilisait énormément les possibilités d’Oracle. Mais il me semble que ça avait été tenté sur l’appli et que ce n’était pas suffisamment convainquant pour justifier une migration du code “legacy” vers Java. Au passage, je crois que quand on fait du Java dans Oracle on n’a pas besoin de frameworks d’abstraction type Hibernate, on est déjà dans la base de données. Mais mon expérience du domaine est limitée.

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Merci pour ton complément <img data-src=" />



Je ne répondais pas tant à toi que de façon générale pour ceux qui ne connaissent pas trop le PL/SQL.

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L’algorithme n’est pas si accessoire que ça. De ce que je lisais d’une personnequi avait déjà commencé à décortiquer le code, le logiciel va refaire son propre ordre de classement. En effet, il doit y avoir un nombre minimum de boursier et un nombre maximum de non-résident dans chaque formation. Donc on re-trie.

Et, de ce que je lisais de cette même personne, les affectations d’internats ont été plutôt dures à faire.



Mais pour les algorithmes locaux, ben ça parait assez évident que peu de formations ont utilisé des logiciels. Autant parler de critères (et encore, il y avait du tirage au sort).

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Jarodd a écrit :



De quel principe parles-tu ?



 Le lundi de pentecôte est officiellement un jour férié, d’ailleurs la plupart des administrations, pour ne pas dire toutes, étaient fermées hier (écoles, mairies,…).



Mais pas chômé même pour les administrations.

On ne travaille pas ce jour, mais on nous ampute d’un jour de congé au passage…







OlivierJ a écrit :



[i]La journée de solidarité, créée en 2004 pour financer une meilleure prise en charge des personnes dépendantes et initialement fixée au lundi de Pentecôte, devrait rapporter 2,42 milliards d’euros en 2018, estime la Caisse nationale de solidarité pour l’autonomie.



Depuis sa mise en place l’année suivant la canicule meurtrière de 2003, cette journée a permis de collecter près de 30 milliards d’euros, précise dans un communiqué la CNSA, chargée de sa gestion.



Je ne comprends toujours pas comment ca peut rapporter un seul centime à d’autres personnes que les entreprises. On travaille plus (pour la gloire), mais notre paye ne change pas d’un centime. Les cotisations sont basées sur la paye. Les cotisations ne changent donc pas d’un centime non plus…


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Patch a écrit :



Mais pas chômé même pour les administrations.

On ne travaille pas ce jour, mais on nous ampute d’un jour de congé au passage…





Pourtant, ma femme était bien en jour férié (fonctionnaire), et elle n’a perdu aucun jour de congé


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eglyn a écrit :



Donc faudrait le remettre juste en férié comme avant, ça irait très bien à tout le monde <img data-src=" />





D’après ce qu’on m’a dit, ce n’est pas la tendance, au contraire. vu que bosser gratos est entré dans les moeurs, que plus personne ne gueule sur cette journée de solidarité, on irait plutôt vers un 2e jour. Ben oui, les caisses sont vides <img data-src=" />



Et ça peut continuer longtemps, il n’y a pas que les vieux qui coûtent de plus en plus cher. On pourrait aussi être solidaires avec :




  • les étudiants

  • les handicapés

  • les roux

  • les non-cathos qui veulent leurs propres jours fériés

  • les parlementaires qui travaillent beaucoup pour le bien commun

  • les cheminots

  • les femmes

  • les journalistes

  • le personnel médical

  • les INpactiens





  • Tant que je gagne, je joue, c’est la devise du gouvernement <img data-src=" />

    (en plus de on peut toujours faire pire)


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Patch a écrit :



Je ne comprends toujours pas comment ca peut rapporter un seul centime à d’autres personnes que les entreprises. On travaille plus (pour la gloire), mais notre paye ne change pas d’un centime. Les cotisations sont basées sur la paye. Les cotisations ne changent donc pas d’un centime non plus…





Ce n’est pas l’employeur qui verse des cotisations en plus ? Vu qu’on bosse gratuitement, il y gagne, c’est donc logique que le prélèvement se fasse à son niveau.


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Jarodd a écrit :



Ce n’est pas l’employeur qui verse des cotisations en plus ? Vu qu’on bosse gratuitement, il y gagne, c’est donc logique que le prélèvement se fasse à son niveau.





ton salaire est quand même payé par la boite (juste à quelqu’un d’autre)

il y gagne uniquement si ton boulot de ce jour rapporte plus que ton coût

vu l’ambiance détente des semi jours fériés / chomés on ne sait plus, je ne suis pas sûr que ce soit tjrs le cas

AMHA pour parler avec les employeurs, ils préférèrent te payer toi plutôt que les caisses “de solidarité”.


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eglyn a écrit :



Pourtant, ma femme était bien en jour férié (fonctionnaire), et elle n’a perdu aucun jour de congé



EN?







oursgris a écrit :



ton salaire est quand même payé par la boite (juste à quelqu’un d’autre)

il y gagne uniquement si ton boulot de ce jour rapporte plus que ton coût

vu l’ambiance détente des semi jours fériés / chomés on ne sait plus, je ne suis pas sûr que ce soit tjrs le cas

AMHA pour parler avec les employeurs, ils préférèrent te payer toi plutôt que les caisses “de solidarité”.



Tu m’étonnes, c’est un poil plus motivant pour l’employé (et donc joue aussi sur sa productivité)


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C’est quoi cette hystérie autour des “algorithmes locaux” ? Dans les filières vraiment sélectives, l’algorithme local, c’est une commission avec de vrais humains dedans.

&nbsp;

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+1 Surtout que la SNCF profite du pont pour fermer des lignes et avancer dans ses travaux de rénovation. Cela incite à poser sa journée.





Chez moi, la bibliothèque municipale était fermée samedi pour rattrapage du lundi de pentecôte, c’était donc bien un jour férié. <img data-src=" />

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Non en bibliothèque <img data-src=" />

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C’est un standard international de tout faire en anglais, notamment car l’intégralité des mots clés de quasi tous les languages sont en Anglais.&nbsp; Même quand je vivais en France, je n’ai jamais écris de code en Français.

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Baradhur a écrit :



C’est un standard international de tout faire en anglais, notamment car l’intégralité des mots clés de quasi tous les languages sont en Anglais.&nbsp;





Justement, je trouve ça hyper lisible d’avoir les variables et méthodes en français, y’a pas de confusion, on repère tout de suite ce qui appartient à une lib ou au langage.&nbsp; Mais ça c’est une question de goût. <img data-src=" />



En général, oui, on code en anglais. (en tout cas au boulot ou dès qu’on envisage de partager son code)


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nerstak a écrit :



L’algorithme n’est pas si accessoire que ça. De ce que je lisais d’une personnequi avait déjà commencé à décortiquer le code





Tu m’as grillé, je venais de voir ce fil intéressant apparaître sur ma TL.







Patch a écrit :



Je ne comprends toujours pas comment ca peut rapporter un seul centime à d’autres personnes que les entreprises. On travaille plus (pour la gloire), mais notre paye ne change pas d’un centime. Les cotisations sont basées sur la paye. Les cotisations ne changent donc pas d’un centime non plus…





Lis l’article que j’ai posté (ou d’autres qui expliquent aussi).


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Baradhur a écrit :



C’est un standard international de tout faire en anglais, notamment car l’intégralité des mots clés de quasi tous les languages sont en Anglais.  Même quand je vivais en France, je n’ai jamais écris de code en Français.





Un standard international ?

Non, sauf si on écrit du code qui devra être lu ou modifié par des équipes internationales. On n’a AUCUNE raison d’écrire tout un tas de logiciels en anglais, quand on est français. J’ai travaillé pour des ministères par exemple, on ne va pas s’amuser à tout traduire y compris des choses franco-françaises. Et quelqu’un dans les commentaires a donné un bon exemple de confusion si on voulait écrire parcoursSup en anglais, comme “college” dont le sens est différent en anglais et français (on pourrait dire pareil de “high school”).

Et dans d’autres cas j’ai écrit du code en anglais parce que c’était dans un boîte avec d’autres nationalités (dont des anglais, rarement polyglottes).







recoding a écrit :



Justement, je trouve ça hyper lisible d’avoir les variables et méthodes en français, y’a pas de confusion, on repère tout de suite ce qui appartient à une lib ou au langage.  Mais ça c’est une question de goût. <img data-src=" />





<img data-src=" />


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alex.d. a écrit :



C’est quoi cette hystérie autour des “algorithmes locaux” ? Dans les filières vraiment sélectives, l’algorithme local, c’est une commission avec de vrais humains dedans.





Chez nous, c’est un classement à partir des notes d’un concours.

Ensuite je ne connais pas les détails, mais je suppose que l’on propose une place aux X meilleurs (avec X le nombre de places dans la formation), puis aux suivants dans le classement si une place se libère.


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Des lycéens qui découvrent que glander pendant 1 à 3 ans n’était pas une bonne idée <img data-src=" />

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OlivierJ a écrit :



Un standard international ?

Non, sauf si on écrit du code qui devra être lu ou modifié par des équipes internationales. On n’a AUCUNE raison d’écrire tout un tas de logiciels en anglais, quand on est français. J’ai travaillé pour des ministères par exemple, on ne va pas s’amuser à tout traduire y compris des choses franco-françaises. Et quelqu’un dans les commentaires a donné un bon exemple de confusion si on voulait écrire parcoursSup en anglais, comme “college” dont le sens est différent en anglais et français (on pourrait dire pareil de “high school”).

Et dans d’autres cas j’ai écrit du code en anglais parce que c’était dans un boîte avec d’autres nationalités (dont des anglais, rarement polyglottes).





<img data-src=" />







Pareil.

A moins de travailler pour un contexte international, mettre de l’anglais ne sert strictement et rigoureusement à rien.



Edit : surtout pour un logiciel institutionnel pour un pays dont la langue officielle est le français <img data-src=" />


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