Le pacte anti-OPA de Telecom Italia explose, son futur en question

Le dessous des cartes version télécom

Le pacte anti-OPA de Telecom Italia explose, son futur en question

Le 16 juin 2014 à 16h20

Commentaires (15)

votre avatar

Go Numéricâble ! Il y a une offre INtéressante là…



<img data-src=" />

votre avatar

En faite tous les opérateurs historiques sont endettés Orange, Telecom Italia, Telefonica, Deutsche Telekom…

votre avatar







xillibit a écrit :



En faite tous les opérateurs historiques sont endettés Orange, Telecom Italia, Telefonica, Deutsche Telekom…





C’est à dire tous ceux qui ont dû lourdement investir dans la modernisation des réseaux à grande échelle. C’est pourquoi le niveau de prix actuel ne sera (hélas<img data-src=" />!) que temporaire ama, autant en profiter avant une remontée future, surtout qu’on commence déjà eà entrevoir la 5G


votre avatar







Klivan a écrit :



C’est à dire tous ceux qui ont dû lourdement investir dans la modernisation des réseaux à grande échelle. C’est pourquoi le niveau de prix actuel ne sera (hélas<img data-src=" />!) que temporaire ama, autant en profiter avant une remontée future, surtout qu’on commence déjà eà entrevoir la 5G





Suffit d’attendre que la concentration se poursuive et que les gros monopoles émergent.

T’inquiète, tu l’auras bientôt ton forfait “sponsored by competition & liberalism”


votre avatar

Là voilà la porte de sortie pour Bouygues …



(en attendant, je cherche la porte moi aussi)

votre avatar







Drepanocytose a écrit :



Suffit d’attendre que la concentration se poursuive et que les gros monopoles émergent.

T’inquiète, tu l’auras bientôt ton forfait “sponsored by competition & liberalism”







Capitalism Approved



<img data-src=" />



<img data-src=" />


votre avatar







xillibit a écrit :



En faite tous les opérateurs historiques sont endettés Orange, Telecom Italia, Telefonica, Deutsche Telekom…







Une société qui n’est pas endetté est une société qui n’a pas de projet (Hors cas exceptionnel). Tant que l’endettement est maitrisé, l’endettement est bon.Cela veut dire que l’entreprise suppose d’avoir un rendement supérieur a celui du taux du prêt, donc créatrice de valeur nette.


votre avatar







Klivan a écrit :



C’est à dire tous ceux qui ont dû lourdement investir dans la modernisation des réseaux à grande échelle. C’est pourquoi le niveau de prix actuel ne sera (hélas<img data-src=" />!) que temporaire ama, autant en profiter avant une remontée future, surtout qu’on commence déjà eà entrevoir la 5G





Dans le cas des opérateurs nationnaux ils ont hérité des dettes que les Etats avaient contractés pour eux sans leur demander.



C’est le cas aussi dans le transport féroviaire <img data-src=" />


votre avatar







the_Grim_Reaper a écrit :



Dans le cas des opérateurs nationnaux ils ont hérité des dettes que les Etats avaient contractés pour eux sans leur demander.



C’est le cas aussi dans le transport féroviaire <img data-src=" />





Quelques précisions :



1- comme expliqué dans un commentaire plus haut, des dettes remboursables grâce aux bénéfices ne sont pas un problème (et il ne faut pas confondre dettes et déficit).



2- quand une société publique entre en bourse elle n’est pas surendettée, sinon elle se vend mal.



3- les enjeux du secteur télécom sont différents du secteur ferroviaire. Effectivement le secteur ferroviaire en France est très endetté : RFF SNCF Eurotunnel… mais l’Etat prendra en charge une partie de la dette de RFF/SNCF dans le cadre d’une éventuelle introduction en bourse.


votre avatar

Les bâtisseurs d’infrastructures y laissent généralement leur peau. Ce fut le cas des bâtisseurs des grands canaux (Suez, Panama) ou plus proche de nous la majorité des poseurs de fibres noires pour l’Internet.



Les opérateurs nationaux ont eu l’obligation de fournir le lien vers le citoyen-consommateur final, ce qui fait que ces opérateurs sont les plus endettés, cependant la présence des états dans l’actionnariat a en général permis la survie “artificielle” de ces investisseurs.

votre avatar







joma74fr a écrit :



Quelques précisions :



1- comme expliqué dans un commentaire plus haut, des dettes remboursables grâce aux bénéfices ne sont pas un problème (et il ne faut pas confondre dettes et déficit).



2- quand une société publique entre en bourse elle n’est pas surendettée, sinon elle se vend mal.



3- les enjeux du secteur télécom sont différents du secteur ferroviaire. Effectivement le secteur ferroviaire en France est très endetté : RFF SNCF Eurotunnel… mais l’Etat prendra en charge une partie de la dette de RFF/SNCF dans le cadre d’une éventuelle introduction en bourse.





Dans les deux cas on parle de cuivre hein <img data-src=" /> Que ce soit les télécoms ou le férré, même si y’a de la ferraille dans le ferré aussi.



Après j’ai pas parlé de déficit mais de dette. Un déficite c’est que tu ne dégage pas assez de recette pour arriver au moins à l’équilibre buidgétaire, ou mioeux a éponger ta dette.

Les investisseurs prennent des actions de sociétés publiques parce que justement l’état est derrière, mais l’état n’a jamais été un bon actionnaire qui rembourse ce qu’il fait avancer aux autres alors que ça aurait dû être lui.



Eurotunel est une société privée de bout en bout il me semble.

L’Etat ça fait 40 ans qu’il se démerde pour ne pas prendre en charge la dette de la SNCF/RFF, d’où lma sission des années 90. Pour la RATP, idem, avec une envergure moindre, vu que la dette est “légèrement” supérieure à 1 Kerviel. Quand je parle de l’Etat, c’est aussi bien les gouvernements de gauche que de droite…


votre avatar







agauthier51 a écrit :



Les bâtisseurs d’infrastructures y laissent généralement leur peau. Ce fut le cas des bâtisseurs des grands canaux (Suez, Panama) ou plus proche de nous la majorité des poseurs de fibres noires pour l’Internet.



Les opérateurs nationaux ont eu l’obligation de fournir le lien vers le citoyen-consommateur final, ce qui fait que ces opérateurs sont les plus endettés, cependant la présence des états dans l’actionnariat a en général permis la survie “artificielle” de ces investisseurs.





+1 <img data-src=" />


votre avatar







the_Grim_Reaper a écrit :



Eurotunel est une société privée de bout en bout il me semble.



Oui une entreprise commerciale qui a été surendettée au point d’éviter la faillite de justesse. L’activité commerciale ne permettait plus de subvenir au remboursement des emprunts aux échéances initialement prévues avec les banques.





the_Grim_Reaper a écrit :



L’Etat ça fait 40 ans qu’il se démerde pour ne pas prendre en charge la dette de la SNCF/RFF, d’où la scission des années 90.



Pour la RATP, idem, avec une envergure moindre, vu que la dette est “légèrement” supérieure à 1 Kerviel. Quand je parle de l’Etat, c’est aussi bien les gouvernements de gauche que de droite…



La RATP, la SNCF et RFF sont encore aujourd’hui, tous les 3, des établissements publics (EPIC), avec un bémol concernant la SNCF et la RATP car ils détiennent des filiales de droit privé.



Si RFF a hérité de la majeur partie de la dette du chemin de fer français, c’est toujours l’Etat qui rembourse en cas de défaillance (Droit public). Et le but était de rendre la SNCF plus autonome financièrement en vue de son futur changement de statut (d’Etablissement public à Société anonyme).



Sur le reste je suis d’accord <img data-src=" />


votre avatar







Klivan a écrit :



C’est à dire tous ceux qui ont dû lourdement investir dans la modernisation des réseaux à grande échelle. C’est pourquoi le niveau de prix actuel ne sera (hélas<img data-src=" />!) que temporaire ama, autant en profiter avant une remontée future, surtout qu’on commence déjà eà entrevoir la 5G





En Suisse Swisscom à fibré toute les grandes ville en Giga et il se porte très bien.

Quand les opérateurs auront compris qu’il ne faut pas faire la guerre des prix mais de la qualité tout ira mieux.


votre avatar







joma74fr a écrit :



Oui une entreprise commerciale qui a été surendettée au point d’éviter la faillite de justesse. L’activité commerciale ne permettait plus de subvenir au remboursement des emprunts aux échéances initialement prévues avec les banques.

La RATP, la SNCF et RFF sont encore aujourd’hui, tous les 3, des établissements publics (EPIC), avec un bémol concernant la SNCF et la RATP car ils détiennent des filiales de droit privé.



Si RFF a hérité de la majeur partie de la dette du chemin de fer français, c’est toujours l’Etat qui rembourse en cas de défaillance (Droit public). Et le but était de rendre la SNCF plus autonome financièrement en vue de son futur changement de statut (d’Etablissement public à Société anonyme).



Sur le reste je suis d’accord <img data-src=" />





Je sais ce qu’est un épic, y’en a un qui me verse mon salaire <img data-src=" />

Et je bosse dans l’une de ses filiales de droit privée <img data-src=" />



Didioux c’est dur le changement !



La RATP rembourse sa dette comme une grande, et RFF y arrive tout juste de mémoire.


Le pacte anti-OPA de Telecom Italia explose, son futur en question

  • Fin du pacte anti-OPA

  • Un opérateur en crise

  • Telefonica loin de détenir Telecom Italia

  • Le PDG de Telecom Italia veut le départ de l'État

Fermer