“Vigoureuse contestation de Patry, pour qui ces arguments sont purement
parisiens, alors qu’en province, les films restent plus longtemps à
l’affiche ou s’étalent sur la première fenêtre. ”
Sacré menteur ! Il y a beaucoup moins de salle en province. Les petits films a succès dégage très rapidement pour faire la place au prochain blockbuster.
Les seuls gagnant la dedans, ce sont les salles de cinéma et surtout pas les films qui pourraient continuer leur vie en ligne surfant sur leur buzz.
“C’est une puissance inouïe. La logique de Netflix, c’est la captation de la valeur et des droits ».”
N’importe quoi. Netflix est producteur ! il capte rien du tout.
En parlant de devoir sécuriser son matériel, j’aimerais bien que l’Hadopi et/ou l’état oblige un peu les constructeurs à fournir des mises à jour de sécurité sur le moyen ou long terme.
Je prends l'exemple de mon smartphone. Un Motorola G3. Acheté il y a ~2 ans, il fonctionne encore très bien et est performant, mais voilà : la faille BlueBorne (grosse faille liée au Bluetooth) n'est pas patchée, et Motorola ne diffuse plus de MaJ depuis avril. Rien, nada, je peux juste désactiver mon Bluetooth, sinon accepter la faille et donc potentiellement transformer mon smartphone en outil à la solde de pirates.
Donc si je veux continuer à utiliser toutes les fonctionnalités de mon appareil, je fais quoi ? Motorola ne devrait-il pas avoir l'obligation de faire son job ? Que dira l'Hadopi si mon smartphone se met à télécharger illégalement plein de trucs ? Si je vivais aux US, je me retournerais contre Motorola, j'aurais peut être une chance (avec leur système judiciaire de ouf-malade), mais je ne me fais aucune illusion en france.
C'est bête, mais je ne vois pas de solution à part racheter un smartphone tous les 1~2 ans, les ROMs alternatives ne fonctionnant généralement pas bien (et de toute façon ce genre de solution n'est que du bidouillage). La solution Apple ? Certes, ils supportent leurs produits plus longtemps, mais les modèles neufs sont excessivement chères. Modèle d'occaz ? On se rapproche du moment où le modèle ne sera plus supporté, en plus c'est de l'occaz quoi :p
Bref, je ne vois pas. Que fait-on pour les clients lorsqu'ils veulent justement respecter leur obligation de sécurisation ?
A mon avis, il doit y a voir un moyen de recourt entre la garanti légal de conformité de 2 ans, et le vice caché. En gros, la faille est un vice caché connu avant la fin de la garanti, il sont donc censé la corrigé. Le problème est qu’il faudrait aller en justice pour ça…
Pourtant c’est ce crétin de peuple qui a voter oui en 1958 à un référendum qui propose le modèle actuel. Il existe des candidats qui proposent des réformes pour avoir un appareil démocratique plus direct : ils font rarement plus que quelques % aux élections.
Oui mais il ne propose pas que ça, et le reste peut aussi être jugé très négativement.
On a besoin d’expertise métier ( il manquait les services du ministères, par exemple, qui n’ont pas participé à la consultation de Lemaire sur la loin numérique), on a besoin de responsables qui tranchent, et on a besoin de ceux qui ont les “mains dedans”, car 2 experts ne peuvent pas avoir toute l’information sous la main .
Le
06/10/2017 à
10h
07
OlivierJ a écrit :
Il me semble qu’à Paris la mairie fait des consultations sur ces sujets.
La vraie démocratie, ce n’est pas la démocratie directe. La politique de la ville en terme d’aménagement n’a pas besoin d’un vote pour chaque détail, il y a aussi les réunions publiques pour ça, et les échanges normaux entre la mairie et ceux qui proposent des idées, ça ne manque pas. On élit aussi des gens pour prendre en charge des domaines complexes sur lesquels ils peuvent passer du temps. Je pense par exemple à la prévision des écoles et centres de loisirs, en fonction de la démographie (naissances), qui doit être faite à moyen terme (nettement au-delà d’un mandat), idem pour ce qui est lié à d’autres époques de la vie.
Je ne suis pas d’accord. Pour juger de la qualité de l’exécution, il faut un minimum d’informations supplémentaire. Il faut pouvoir voir les études, au moins voir qu’elles existent. Certaine villes donnent des permis de construire à tour de bras, et 2 ans plus tard, ils s’étonnent que les écoles sont saturées !
Il faut pouvoir faire des comparaisons. Je ne parlais même pas de la
prise de décision, mais au moins de la présence de toutes les
informations pour juger de l’action passé et à venir.
Le
06/10/2017 à
10h
02
skankhunt42 a écrit :
Du genre l’année prochaine à tel endroit vous voulez :
. Rien
. Un terrain de tennis
. Un terrain de foot
. Un skatepark
C’est quand même fou qu’en fin 2017 il est toujours pas possible de voter pour des petits trucs comme ça :/ Après je pense que pas mal d’élus n’ont pas envies d’ouvrir la boite de pandore surtout sur des sujet plus complexe. M’enfin ça serait de la vrai démocratie !
Non pas du tout ça. ça c’est n’est pas la loi, mais la gestion d’un budget. Pour un budget, il faut le montant, l’exercice précédent, les différentes évaluations (comme l’affectation genré : foot + skatepark c’est à 90% masculin), le cout d’entretien, la durée de vie moyenne, les différents devis, etc…
Non, c’est plus concernant la loi sur le terrorisme : les cas ou les policiers ont été géné par la loi actuelle qui nécessite un changement, un sorte de feedback à l’origine de la nouvelle loi. En face, on peut mettre les atteintes aux principes de droit de l’homme, etc…
Le
06/10/2017 à
08h
12
Le minimum du minimum serait un site qui permet de mettre en avant le pour et le contre d’une proposition, de façon participative et Exhaustive avec un classement d’importante fait par vote des internautes.
Dans un débat, il y a toujours “oublis” du point qui arrange celui qui parle et seul le talent d’un opposant peut le rappeler. Ici, une série d’arguments étayés, sourcés, détaillés, évalués, classés serait bien plus intéressant qu’une liste d’argumentations incomplètes.
On pourrait ainsi connaitre les vrai motifs de mise en place d’une disposition, et pourrait ainsi exiger une meilleur rédaction de la loi qui peut être parfois ambiguë, pour masquer un objectif caché.
Sans connaitre l’émetteur, la source, d’un avis sur quelque chose, j’ai du mal à en comprendre la pertinence et la portée.
Faut-il faire accorder du crédit à un buveur de Coca qui fait la critique d’un Julienas?
Du coup, c’est pour moi sans intérêt et c’est à chacun de faire son choix avec ses propres mesures.
Si tu as le choix entre 36 montres connectés, tu es bien content d’avoir les retours sur une série qui ne marche pas ou qui est massivement incompatible avec certain smartphone par exemple.
Ou encore qu’une superbe imprimante sur le papier tombe en panne au bout de 18 mois, selon plusieurs commentaires concordant.
Le
06/10/2017 à
10h
08
Old Bear a écrit :
En lui-même, le processus d’avis client tel qu’il existe est bancal.
Demander à quelqu'un, juste après achat, si le produit qu'il a choisi sur impulsion ou après mure réflexion est bien ou pas comporte un biais psychologique bien connu des spécialiste, techniquement ça s’appelle la
“dissonance cognitive”.
Après avoir choisi un produit précis, une personne va avoir tendance à valoriser les points positifs et à oublier
les points négatifs en quelque sorte pour éviter de se trouver en contradiction avec elle-même.
Pour que le point de vue change, il faut que le défaut soit massif.
Par ailleurs, un produit quel qu'il soit doit-être utilisé pendant un certain temps pour qu'il soit possible de donner un avis qui ait du sens.
La seule chose qui peut être jugée juste après achat, c'est la conformité apparente immédiate avec la description du produit.
Tout ceux qui ont fait des expériences "exotiques" avec les MarketPlaces peuvent en témoigner.
Il faudrait donc que les sites acceptent les avis différés, ce n'est pas toujours le cas.
amazon le permet et je l’ai fait pour des produits mort au bout de 6 mois .
Le
06/10/2017 à
07h
28
jackjack2 a écrit :
+1, mon cousin pour moi
Chlorate de soude il a dit le monsieur
Le monsieur a dit que cela se décomposait en eau et en sel…
Le
05/10/2017 à
15h
54
vizir67 a écrit :
et après….. vas toi avoir confiance dans des avis “d’experts” qui se présentent comme “indépendants” !
s’ils annonçaient DES le départ la couleur :
“bonjour …tartenpion..employé chez…voici mon avis d’expert” = OK !
on saurait à-quoi-s’en-tenir, mais là …..
C’est plus subtile que ça. C’est “vous voulez pas signez notre papier qui est vachement bien écrit”. Ou “pouvez vous écrire un papier qui dit que notre produit n’est pas du tout ou très légèrement dangereux avant de renouveler le financement de votre labo.” Ou si vous voulez être inviter au super colloque roi dans votre discipline, évitez d’emmerder le principal sponsors.
Le
05/10/2017 à
15h
48
sscrit a écrit :
c’est dommage il existait un super desherbant, non toxique pour l’homme qui ne laissait qu’un peu de sel et de l’eau lors de la decomposition.
le chlorate de soude, bon après comme il y a eu tellement de main arraché, mort, handicapé, perte d’un oeuil suite a son utilisation comme explosif amateur. Qu il ont fini par l’interdire :( dans toute l’europe.
j’arrive a en avoir un peu pour désherber les plantes tenace, chez les retraité au fond de leur garage. Mais ca va etre fini un jour ou l’autre
Le sel ? c’est pas le genre de désherbant ultime, qui fait que l’on ne sel plus les routes en hiver ?
Le
05/10/2017 à
10h
11
Network_23 a écrit :
Et à la fin ils t’encouragent à voter “commentaire utile”
oui, je l’avais oublié celle-là. “c’est signé”
Le
05/10/2017 à
10h
11
2show7 a écrit :
La plante pourra sans doute repousser par après, elle s’adaptera à la longue , mais laissera à jamais un sol toxique et des nappes phréatiques toxiques
A priori, le round up ne tue qu’en passant par les feuilles d’herbe. C’est la différence avec les désherbants précédent qui tuaient tout, et plus rien ne pouvait pousser.
A priori, les racines ne peuvent pas l’absorber, mais j’ai lu qu’il limiterait en apport d’un élément ce qui diminuerait la résistance des plantes au maladie.
Le
05/10/2017 à
09h
44
J’accorde plus d’importance au texte qu’au note. Une mauvaise note peut être bien tempéré si le commentaire est idiot.
Mais je ne comprends pas qu’il n’y a pas plus “d’anti spam” sur les commentaires. Ils ont une tonne d’information pour vérifier la qualité du commentaire (adresse IP, vpn ou non, compte récent, acheteur, commentaires passées, type de vocabulaire, commentaire sollicité, etc…)
D’ailleurs, avez-vous vu une seul fois un commentaire “sollicité” (envois du produit gratuitement à un serial commentateur chez amazon) négatif ? Ils sont facile à détecter , il y a plein de photo, il parle du déballage et une utilisation du produit qui ne dépasse pas un “teste”.
Ça ne se passe pas en France, et je peux te dire qu’à Montréal, ça n’est pas grassement payé.
Certes tu peux te battre devant les tribunaux pour contester un contrat que tu as signé pour “avoir le droit de bosser”, mais ça va te coûter tes reins en frais d’avocats.
Ok. En france une telle clause c’est 50 à 80% du salaire pendant son exercice après une démission, cela dure 1 ans max, avec une limite territorial (maximum un département en gros) et un domaine restreint, cela ne peut pas couvrir tous les emplois auquel tu pourrais prétendre.
Le
03/10/2017 à
16h
11
tifounon a écrit :
Bah de quoi alors ? Du débauchage effectué au sein même des locaux de google ? précise
A lire l’article, Levandowski a préparé avec minutie son arrivée chez Uber, ca pue la magouille à plein nez.
Edit: le temps de tapé mon texte, over toasted..
On dirait qu’on lui reproche la débauche. C’est bizarre.
Le
03/10/2017 à
16h
10
H4rvester a écrit :
Les ingénieurs de ce calibre ont également souvent des clauses de non-concurrence dans leurs contrats. Cela évite justement ce genre d’affaires, ces derniers s’engageant à ne pas travailler sur des sujets connexes pour des concurrents.
C’est assez grassement rémunéré normalement, enfin, en France. Et on ne peut pas t’interdire de bosser. En France, la clause légal est dimensionner pour qu’un commercial ne parte pas avec ses clients locaux à la concurrence. Donc, t’interdire de bosser chez un concurrent qui fait de la voiture dans le monde entier, cela ne marche pas.
Le
03/10/2017 à
15h
59
Sheepux a écrit :
Lire l’article, il est illégal de partir avec les documents de sa boite. Encore plus quand y’a marqué confidentiel dessus.
Je ne parle pas de ça.
Le
03/10/2017 à
15h
53
J’ai pas bien compris, depuis quand c’est illégal de changer de boite par ce que c’est la concurrence de la première ?
Non, le vote doit être anonyme ET unique. La blockchain est une identification forte, qui n’a en plus aucun intérêt ici. Une simple signature numérique présente les mêmes avantages et les mêmes inconvenants. La chaine n’apporte rien.
Eviter de truquer le vote ? sinon, il suffit de faire “disparaitre”les votes qui ne t’intéressent pas.
Le
03/10/2017 à
16h
05
letter a écrit :
Question bête mais comment font VISA et MasterCard? J’ai toujours entendu parler de fraude par vol de numéro de carte mais pas par interception des coordonnées lors de transactions.
Qu’en serait-il si la carte d’électeur était une CB avec code pin? Et chacun aurait juste à avoir un lecteur. Vu le coût des élections, il pourrait être fourni gratuitement par la mairie une première fois.
Le seul souci à résoudre serait l’anonymisation des électeurs. Et il doit bien y avoir des solutions pour cela.
Non justement, il n’y en a pas. tout nos systèmes actuels fonctionnent bien car ce n’est pas anonyme.
Le
03/10/2017 à
15h
59
versgui a écrit :
Tu te contredis : en quoi on a besoin de garantir l’identité de la personne si elle doit être anonyme ?
Tout ce dont a besoin, c’est d’un jeton à usage unique pour chaque votant (par exemple, une carte à gratter récupérable en mairie plusieurs mois avant le vote). Il suffit de compter le nombre de jetons déposés dans la blockchain pour obtenir le nombre de votants.
On doit garantir l’identité de la personne pour vérifier qu’elle a le droit de vote et qu’elle n’a pas déjà voté : tu montres bien une carte d’identité au bureau de vote.
Le problème du jeton unique, c’est qu’il peuvent être voler (malware, intrusion) et qu’il sera impossible de faire la différence entre la personne légitime et le voleur.
Et puis même c’est idiot, si pour avoir un jeton unique tu dois faire l’équivalent de l’émergement (prouver ton identité pour avoir ton jeton), cela revient au même que de voter avec une identité connu. Il suffit de ne pas faire de liaison dans la blockchain entre l’identité et le vote. En gros, tu récupères ton jeton avec un système à blockchain.
Le
03/10/2017 à
09h
53
versgui a écrit :
Autant il y a 5-6 ans j’étais farouchement contre, autant aujourd’hui je suis plus nuancé : on voit apparaitre des solutions techniques qui permettent de garantir l’intégrité et la vérifiabilité du vote. Je pense notamment à la blockchain.
Il reste deux problème en suspend :
comment garantir qu’une personne ne fait pas l’objet de pression ? Une personne peut profiter des lacunes d’une autre (connaissance informatique, tutelle, etc) pour falsifier son vote.comment garantir le droit à tout citoyen de vérifier par lui-même de la sincérité du vote (aujourd’hui, quiconque peut assister au dépouillement) ? La blockchain demande des connaissance très avancées, et demande à faire confiance à un tiers pour 99,99% des gens.
La bloc chaine ne peut pas garantir l’identité de la personne qui vote. Elle n’a qu’un numéro de compte, si il s’agit d’une identité numérique, chaque ordinateur qui fera le décompte de ton vote saura pour qui tu as voté.
En gros, tu dois pouvoir faire facilement une liste d’émargement, avec la liste des votants, tu peux faire le comptage final et le vérifier de façon sécurisé et vérifiable. Mais tu ne peux pas garantir qui a lancé le bulletin de vote (ex: virus sur l’ordinateur, pression physique, etc…), tu ne peux pas garantir le secret du vote, ni l’anonima.
Justement, non, quelques pourcent c’est largement au dessus du taux de fraude qui pourrait passer inaperçu avec un décompte partiel. Cf mon message du 30⁄09 à 20h18 où j’ai fait les calculs précis.
Une fraude sur 1% des bulletins (donc qui au maximum donne +1 point à un candidat, à supposer qu'il soit le seul bénéficiaire de cette fraude, et retire un point à la somme des autres candidats), sur un bureau, en vérifiant 100 bulletins (quelque soit la taille du bureau) tu as déjà moins de 36.6% de chances qu'elle passe inaperçu (si le bureau a plus de 100 votants bien sûr, sinon c'est 0% ^^). Bien sûr, à l'échelle d'un bureau, 36.6% de chances de rater une fraude, c'est énorme. Mais à l'échelle de 70 000 bureaux, c'est une autre affaire.
Avec 36.6% de chances de rater une fraude de 1% sur un bureau, tu n'as plus que 13.4% de chances de la rater sur deux bureaux, 4.9% de la rater sur trois bureaux, etc... Dès 5 bureaux tu as moins de 1% de chances de la rater. À 10 bureaux, tu tombes à 0.004% de chances... Alors avec 70 000 bureaux, on peut bel et bien considérer qu'il n'y a aucune chance qu'une fraude sur 1% des votes passe inaperçu en vérifiant 100 bulletins par bureau.
En fait, grâce au très grand nombre de bureau, même en ne vérifiant que dix bulletins par bureau, la probabilité qu'une fraude de 1% passe inaperçu est déjà nulle en pratique. On a 90% de chances qu'elle passe inaperçu sur un bureau, mais dès 44 bureaux on a moins de 1% de chances , à 100 bureaux moins de 0.0027%, etc...
Les probabilités baissent très vite quand on multiplie le nombre de cas indépendants testés.
Tu pars d’un point de départ faux : ce n’est pas une erreur ou un risque que tu mesures mais une attaque intelligente. Donc, plein d’hypothèse devient hasardeuse ou fausse comme “retire un point à la somme des autres candidats”, le point peut être retirer à n’importe qui, n’importe comment (même au vote blanc). Il n’y a pas de répartition ou de tirage au sort qui compte (cf les “swing state” bizarre au USA).
Et tu pars du principe qu’il n’y aura pas “d’erreur naturelle”, de faux positif à cause de mal fonction (bulletin imprimer en double, oublie de bulletin de tests, bourrage papier…), et ce nombre d’erreur augmente avec le nombre de machine.
Le
02/10/2017 à
10h
51
SartMatt a écrit :
Tiens d’ailleurs, maintenant que j’y pense, avec ce système on pourrait même envisager un niveau de “vérifiabilité” par l’électeur sans commune mesure avec ce que permet le vote papier…
En effet, aujourd’hui, un électeur ne peut pas avoir la certitude absolue que son bulletin a été pris en compte. Il peut arriver qu’un bulletin soit perdu lors du décompte, abîmé en le sortant de l’enveloppe (ce qui le rend nul si personne ne se rend compte qu’il était intact dans l’enveloppe), etc… Je peux affirmer que ça m’est arrivé au moins une fois : j’ai un jour voté pour un candidat du Partie Pirate, mais dans le décompte final il avait 0 voix sur mon bureau…
Avec le système d’id unique, les préfectures pourraient mettre en ligne les listings des votes enregistrés par les machines, et chaque électeur pourrait donc s’il le souhaite relever l’identifiant de son vote lors du scrutin et aller ensuite vérifier en ligne ce qui a été enregistré pour son vote.
Ce n’est pas un vote démocratique si il y a une preuve de vote, car cela permet l’achat de vote ou la menace.
Le
02/10/2017 à
10h
47
G1 a écrit :
Aprés avoir essayé de lire l’intégralité des notes, quelques remarques , vous êtes beaucoup à faire des remarques finalement sans savoir comment se passe un voté ou une élection et surtout en machine à voter petites explications :
_ les machines sont testés et validés par l’entreprise qui les fournit régulièrement
_ avant les votes des formations ont lieu pour ceux qui vont tenir les bureaux
_ un test et scellement des machines a lieu AVEC huissier et sont invités les représentants des candidats qui peuvent tester ( avant le scellement)
_ les machines sont stockées dans un lieu sécurisé et scellés
_ le jour du vote on enlève les scellés qui sont conservés pour la préfecture
_ avant l’ouverture du vote on contrôle les machines et programmations
d’autres parts :
_ il y a eu des recours contre les machines mais régulièrement rejetés car elle sont autorisés depuis des décennies et qu’il faut prouver qu’il y a eu modification de la sincérité du scrutin : le doute ou l’absence de confiance ne compte pas.
_ il y a des fraudes en papier : bourrage d’urne, et annulation de bulletin et autres qui n’ont pas lieu avec la machine
_ ce qui prend du temps en vote c’est l’émargement les gens mettent 1000 ans à signer ou se retrouver, avec les machines ou non, et il faut recompter manuellement a la fin le nombre d’émargement : je prie pour qu’un jour ce soit sur tablette pour simplifier la vie de tout le monde…
_ ne pas confondre les machines américaines et les néerlandaise qui sont en France.
nextinpact pourrait en faire un vrai dossier différences et avantages/risques mais en situation et pas empiriquement : il faut aussi voir avec les villes qu’ils l’ont, et pas ce contenter de dire : l’informatique c’est mal…
on ne peux pas pirater les machines a distances : pas de liaison sans fils : il faut avoir accès et le temps ce qui avec les scellés et locaux sécurisés est plutôt tendu.
Les “garanties” dont tu parles n’en sont pas, puisque n’importe quelle citoyen qui sait lire et écrire ne peut pas contrôler le vote. Ensuite, dire que les machines sont sûr car aucun recours n’a pu fonctionner est très fort : car on reproche justement qu’il est impossible de montrer une fraude avec ces machines.
Le
02/10/2017 à
10h
39
digital-jedi a écrit :
De toute façon, moi, je vous le dis, il sera impossible de faire atterrir une fusée sur une barge en pleine mer, de faire voler un avion au dessus de l’Atlantique, de poser une fusée sur la Lune, ou d’avoir une voiture autonome sans pilote.
Oh wait… " />
Tous les jours, on met en jeu notre vie ou on place notre confiance dans l’informatique et dans l’humain pour faire voler un avion, conduire un train, et gérer électroniquement la signalisation ferroviaire à 320 km/h, etc. Et on ne pourrait pas atteindre la même sécurité et fiabilité électronique et informatique avec une pauvre machine à voter pour une élection (dont tout le monde se fout d’ailleurs, vu comment les médias nous manipulent). " />
Ce n’est pas les machines à voter en premier lieu qu’il faut contrôler, ce sont les médias et nos politiques.
Tu confonds tout, on a pas de solutions différentes pour traverser l’atlantique avec un avion, pour le vote, la méthode manuel est la seul qui remplit toutes les garanties.
Le
02/10/2017 à
10h
36
SartMatt a écrit :
Si tu valides 10% des votes de chaque bureau, choisis aléatoirement APRÈS extraction du résultat électronique (pour qu’il ne puisse pas être trafiqué en fonction des 10% sélectionnés), le risque qu’il y ait manipulation alors que le compte partiel a validé le résultat électronique est statistiquement extrêmement faible. Les premiers résultats donnés lors des soirées électorales sont le plus souvent basés sur des échantillons beaucoup plus faibles, et on voit en général qu’il sont assez proches du résultat final (pas forcément au dixième de % près, mais l’ordre est en général le bon).
Surtout qu'après, on peut même adapter ce pourcentage compté en fonction du résultat du vote électronique : on peut par exemple décider qu'on part sur une base de 10% de compte si l'écart entre le dernier qualifié est le premier éliminé est de plus de 10 points, mais qu'ensuite on ajoute 10% de compte pour chaque point d'écart en moins, pour réduire encore plus le risque statistique.
Cela ne suffit pas, les écarts au premier tour sont de qq pourcents, largement dans des taux d’erreurs “possible”. Si il y a systématiquement des erreurs, il faudrait tout recompter. Dans ce cas, il feront à un “nombre d’erreur acceptable” et le tour est joué.
Le
29/09/2017 à
15h
08
digital-jedi a écrit :
Je parlais d’une machine à voter, pas d’un vote sur internet.
Pour la sécurisation de la machine à voter :
Pour le code sécurisé, il suffit d’un code open source (comme cela visible de tous) et validé par une autorité de certif.
Ensuite, tu programmes et claques en dur les composants, tu mets un scellé sur la machine, tu mets les autorités de contrôle sur le flux de production et distribution des machines. Et tu as ton système non manipulable*.
Une imprimante au fil de l’eau écrit ton vote de façon visible pour l’électeur, en plus de l’enregistrement numérique de la machine à voter, et à la fin de la journée, tu compares résultats papier et enregistrements de la machine à voter.
* On retrouve les mêmes difficultés de sécurité à gérer qu’avec une urne physique et des bulletins papier qu’il faut sécuriser puis décompter.
Rien ne garanti que ton code open source est celui dans la machine,
comment avoir confiance dans 2 personnes pour se genre de validation si sensible ? Ton imprimante n’a de valeurs que si les papiers écrit sont recompter après, si il y a du sampling, cela fait toujours un risque de manipulation. Si tu dois recompter du papier, cela revient au même qu’un vote classique.
Le
29/09/2017 à
15h
00
digital-jedi a écrit :
Oui, le lien ne m’est pas accessible au travail, donc je n’ai pas pu le lire. jusque-là.
Je viens de le lire sur mon portable, c’est bien ce que je pensais, les 3 raisons énoncées sont fumeuses " />
En se basant sur une machine à voter sécurisée informatiquement, je peux penser à au moins une manière inviolable de procéder au même vote et de remballer les 2 contre arguments.
tu peux dire ce que tu veux, il est impossible d’avoir une machine électronique de vote qui respecte les conditions d’un vote démocratique :
anonima
secret
non preuve de vote
et le plus dure : verification du comptage du vote par n’importe qui
A l’inverse, on peut dire que les pays européens (dont la France) qui sont pour la taxe d’égalisation sont ceux qui ont une fiscalité trop élevée pour attirer le siège social des GAFAM.
Sinon comment expliquer l’absence de “champions européens” dans le domaine du web ?
1) Facile, ces pays préfèrent les miettes de la France et de l’ Allemagne plutôt que pas de miettes du tout.
2) Vous croyez que l’absence de GAFA français est dû à la fiscalité ?! Et pas du tout au dinosaures français des Telecom ou de l’électronique ? Et OVH et Free ils sont quoi ?
Le vrai scandale est surtout qu’il n’y a pas assez de place à l’université.
Ensuite, concernant APB, au lieu de lui demander une réponse simple, il faut qu’il sorte le “raisonnement” qui a conduit à la décision (détail du scoring, rang de scoring, classement, etc…), et que celui-ci soit contestable en appel.
Le spectacle vivant est censé être le but de ces 25%. Au final, cela revient à combien de % de la somme ? Et combien pour la défense de leurs intérêts ?
mouais, dans mon coin, j’ai souvent de la 4g avec 2 ou 3 bar, et presque rien qui passe.
Il existe 36 applications de teste de débit, certain avec de la cartographie mais uniquement concernant le niveau de signal. Je pense que l’idéal serait simplement un “ping” local, c’est n’est pas le débit mais cela donne une bonne idée du confort de navigation. Il faudrait des point du style : point gps et heure de départ du ping, point gps et heure de retour + réseau en cours. Cela ferait des cartes de latences, par opérateur.
Les développeurs de Kodi “désapprouvent le commerce de boxes dédiées au piratage ainsi que certaines extensions tierces, non officielles et parfois payantes”. La belle affaire. Je ne supporte plus ce type de déclaration. Je le redis : les développeurs savent dès le départ que l’utilisation de leur programme sera détournée à des fins moins nobles. Qu’ils prennent leurs responsabilité plutôt que de se cacher derrière d’aussi piètres déclarations. Ou alors qu’ils se la ferment, ce sera mieux…
Bien sur, qu’ils pensent à ce type d’usage, mais il est impossible pour eux de le dire publiquement sans avoir des ennuis judiciaires.
L’idée de co-construction de la loi est vraiment novatrice. C’est bien plus que de simple référendum contraignant. On peut mesurer l’intérêt de la chose en quantité d’information retourné par le public vers les dirigeants. Les votes actuels représenteraient 6bits/an d’informations !
Concernant la co-construction des lois, je pense qu’il vaut mieux l’avis de 1000 personnes concernées, que la rédaction par 4 conseillés ministériels influencés par des dizaines de lobbys privé, puis voté par 10 députés qui n’ont pas vraiment tout compris. Je pense que finalement les 1000 personnes actives sont plus représentatifs de la France, que le système actuel.
Il y a une petite chance que l’UE ne bouge pas dans la mesure, où la fiscalité des entreprises reste la chasse gardée des états. Une décision de leur part pourrait créer un précédent qui ouvrirai une brèche contre Google ( arbitrage des cas irlandais ou luxembourgeois)
Vu l’Etats des finances publiques, il y a des quoi être très motivé pour enfin faire payer des impôts aux grosses boites.
Le
22/08/2017 à
09h
42
Kerghan a écrit :
Tout juste, en effet, reste à voir comment la loi sera adaptée ceci dit.
Avant d’en arriver là, je pense qu’il faudrait surtout dans un premier temps revoir la convention fiscale franco-irlandaise déjà en vigueur avant de chercher à mettre en place de nouveaux textes ou de nouvelles conventions… surtout que le but final de cette proposition franco-allemande, si j’ai bien suivi, c’est ensuite de la mettre au débat avec le reste des états membres de l’Union européenne, le temps que tout le monde se mette d’accord dessus, ça pourrait prendre pas mal de temps…
La convention est européenne pas seulement avec l’Irelande. Ensuite, L’OCDE discute déjà d’une convention fiscale identique pour tous (ils ont fait passé le 1er paquets comme le reporting par pays).
Au niveau EU, il discute de l’ACCIS qui est un mécanisme discuté depuis l’an 2000 sans cesse repoussé pour se mettre d’accord sur le calcul de l’assiette d’imposition des sociétés (et on ne parle même pas des taux minimum !).
La fiscalité international a été faite pour taxer les biens importés dans les pays qui les ont produit, cela permettait de vendre au pays du tier monde et de taxer ici nos entreprises. Maintenant que les multinationales facturent depuis ailleurs, on veut renverser la règle, avec une taxation dans le pays des clients. Et cela défrise beaucoup de monde, on dirait.
Le
22/08/2017 à
09h
05
La députée devrait commencer par aller voir ses homologues Allemands pour se mettre d’accord.
En gros l’Etat est encore à l’époque des grosses DSI qui estimaient que tout n’était pas assez cher il y a 15 ans.
Depuis, les grosses DSI sont devenues plus proches de leurs sous, mais pour l’Etat, il s’agit d’argent public, A.K.A. “cheat code argent illimité”. " />
non, c’est pas vraiment ça. C’est plutôt, on paye 100k€ un truc qui en vaux 22, et on saccarifie 80k€ d’investissement ailleurs (genre stockage informatique au lieu de stockage papier…).
Le
18/08/2017 à
16h
15
sscrit a écrit :
si les personnes avec pouvoir passer leur temps a travailler plutôt que de trouver des excuses, ca irait mieux.
c’est presque devenu une methode de travail sur appel d’offres avec gros groupes, faire tout pour que cela foire, les responsable politiques du fiasco feront tout pour se dedouanner et abandonner le projet au bout de 10 ans car trop chère mais c’etait pas notre fautes.
il devrait faire des appel d’offres genre: donne argent gratuit sur 10 ans sans contre partie.
C’est le cas pour tout appel d’offre où le donneur d’ordre n’est pas compétant dans le domaine. Les entreprises minimisent les cout et le risque pour se présenter au mieux, l’Etat ne le vois pas, car non compétent sur le sujet, et ensuite, ils rament.
Le
18/08/2017 à
07h
42
Avez vous des contacts dans la police pour savoir si les anciens systèmes avaient aussi autant de problèmes ?
Lehman est la seule banque à être tombée, pas le système. Ils ont clairement déconné et le GVT n’a pas suivi et a refusé de la renflouer. Le meilleur exemple est l’Islande qui a laissé creuvé les banquiers et les a même mis en taule pour certains. Les banques se permettent n’importe quoi justement car elles savent qu’elles seront toujours sauvé (par de l’argent public) Les risques, elles s’en foutent.
Tu confonds des choses qui n’ont rien à avoir. Le problème de la crise des subprimes, c’est la vente d’un produit pourris à des gens qui ne pouvais pas le payer, sans que le vendeurs n’assume le risque grâce à la titrisation. Le mécanisme est ici différent.
Le
11/08/2017 à
09h
35
Ricard a écrit :
C’est le principe de l’effet de levier pour les banques (leverage). Une banque qui n’a que 100 millions de fonds propres peut prêter 1 milliard légalement. Création monétaire, too big to fail etc…
Alors qu’il n’y a aucun actif tangible derrière. C’est comme si tu avais une maison à 1million d’euros, et que la banque te l’hypothèque pour 10 millions. Dans la vraie vie, personne ne te prêterait un rond, mais là, ça passe.
Entre requins, on se comprend et on s’entraide. " />
N’importe quoi. Ce qui compte pour la banque, c’est de lui payer les intérêts, et donc que la boite génère suffisamment de cash par mois pour le faire.
C’est d’abord Altice qui prend le risque, pas les banques. Une banque “loue de l’argent”, dans un LBO, c’est le cash de la boite achetée qui permettait de rembourser le prêt, le problème, ce sont les boites acheté 2 ou 3 fois par LBO, qui n’ont plus de cash, qui ne peuvent plus investir.
Ha si seulement on pouvait arrêter avec ces parités de sexes ou de cultures et embaucher la personne qui correspond au profil tout simplement. Autant il reste des problèmes de discrimination, autant forcer des quotas est contre productif. En revanche que les femmes soient peu présentes dans ce secteur est à mon avis un problème plus au niveau de l’image inculquée par la société (éducation, culture, séparation des aptitudes entre les sexes) et il faut agir à ce niveau.
Image véhiculée en grande parti par l’absence d’exemple de parité, d’où l’intérêt des quotas.
De façon général, j’ai l’impression que tous les domaines où il existe, un simulateur peut aider à faire une IA.
Le problème des IA est d’avoir suffisamment de données. Mais avec un simulateur, on peut simuler le rendu d’un exemple et l’entrainer dessus. Tout comme le moteur de jeu Go qui a joué contre lui-même, après avoir étudier les grand-maitres.
On peut imaginer un compilateur de langage, un “routeur” de netlist Hardware, un optimiseur de design CAD mécanique, hydraulique, magnétique, thermique, …
1465 commentaires
Six mois pour dénouer la difficile réforme de la chronologie des médias
18/10/2017
Le 19/10/2017 à 07h 37
“Vigoureuse contestation de Patry, pour qui ces arguments sont purement
parisiens, alors qu’en province, les films restent plus longtemps à
l’affiche ou s’étalent sur la première fenêtre. ”
Sacré menteur ! Il y a beaucoup moins de salle en province. Les petits films a succès dégage très rapidement pour faire la place au prochain blockbuster.
Les seuls gagnant la dedans, ce sont les salles de cinéma et surtout pas les films qui pourraient continuer leur vie en ligne surfant sur leur buzz.
“C’est une puissance inouïe. La logique de Netflix, c’est la captation de la valeur et des droits ».”
N’importe quoi. Netflix est producteur ! il capte rien du tout.
Françoise Nyssen : la lutte contre le piratage, une « priorité absolue »
13/10/2017
Le 16/10/2017 à 16h 41
De nouvelles obligations d’Open Data « par défaut » pour les administrations
10/10/2017
Le 10/10/2017 à 10h 04
En tout cas se genre de résistance, ne sera pas pour embellir l’image des fonctionnaires encore une fois.
La justice valide la clause « Hadopi » du contrat de téléphonie mobile Prixtel
06/10/2017
Le 09/10/2017 à 08h 32
Démocratie numérique : feuille de route chargée pour les députés
06/10/2017
Le 06/10/2017 à 10h 46
Le 06/10/2017 à 10h 07
Le 06/10/2017 à 10h 02
Le 06/10/2017 à 08h 12
Le minimum du minimum serait un site qui permet de mettre en avant le pour et le contre d’une proposition, de façon participative et Exhaustive avec un classement d’importante fait par vote des internautes.
Dans un débat, il y a toujours “oublis” du point qui arrange celui qui parle et seul le talent d’un opposant peut le rappeler. Ici, une série d’arguments étayés, sourcés, détaillés, évalués, classés serait bien plus intéressant qu’une liste d’argumentations incomplètes.
On pourrait ainsi connaitre les vrai motifs de mise en place d’une disposition, et pourrait ainsi exiger une meilleur rédaction de la loi qui peut être parfois ambiguë, pour masquer un objectif caché.
Les avis de consommateurs plus strictement encadrés sur Internet à partir de 2018
05/10/2017
Le 06/10/2017 à 10h 10
Le 06/10/2017 à 10h 08
Le 06/10/2017 à 07h 28
Le 05/10/2017 à 15h 54
Le 05/10/2017 à 15h 48
Le 05/10/2017 à 10h 11
Le 05/10/2017 à 10h 11
Le 05/10/2017 à 09h 44
J’accorde plus d’importance au texte qu’au note. Une mauvaise note peut être bien tempéré si le commentaire est idiot.
Mais je ne comprends pas qu’il n’y a pas plus “d’anti spam” sur les commentaires. Ils ont une tonne d’information pour vérifier la qualité du commentaire (adresse IP, vpn ou non, compte récent, acheteur, commentaires passées, type de vocabulaire, commentaire sollicité, etc…)
D’ailleurs, avez-vous vu une seul fois un commentaire “sollicité” (envois du produit gratuitement à un serial commentateur chez amazon) négatif ? Ils sont facile à détecter , il y a plein de photo, il parle du déballage et une utilisation du produit qui ne dépasse pas un “teste”.
Affaire Levandowski : Waymo joue son va-tout en retournant contre Uber ses propres preuves
03/10/2017
Le 04/10/2017 à 11h 48
Le 03/10/2017 à 16h 11
Le 03/10/2017 à 16h 10
Le 03/10/2017 à 15h 59
Le 03/10/2017 à 15h 53
J’ai pas bien compris, depuis quand c’est illégal de changer de boite par ce que c’est la concurrence de la première ?
Emmanuel Macron veut un retour du vote par Internet dès 2020
03/10/2017
Le 03/10/2017 à 16h 06
Le 03/10/2017 à 16h 05
Le 03/10/2017 à 15h 59
Le 03/10/2017 à 09h 53
Le gouvernement songe à interdire les machines à voter et à réformer le vote électronique
29/09/2017
Le 02/10/2017 à 13h 39
Le 02/10/2017 à 10h 51
Le 02/10/2017 à 10h 47
Le 02/10/2017 à 10h 39
Le 02/10/2017 à 10h 36
Le 29/09/2017 à 15h 08
Le 29/09/2017 à 15h 00
Taxe d’égalisation sur les GAFAM : plusieurs pays européens y sont opposés
02/10/2017
Le 02/10/2017 à 10h 56
La CNIL épingle Admission Post-Bac pour de multiples violations à la loi de 1978
28/09/2017
Le 28/09/2017 à 08h 56
Le vrai scandale est surtout qu’il n’y a pas assez de place à l’université.
Ensuite, concernant APB, au lieu de lui demander une réponse simple, il faut qu’il sorte le “raisonnement” qui a conduit à la décision (détail du scoring, rang de scoring, classement, etc…), et que celui-ci soit contestable en appel.
AidesCreation.org, la base de données retraçant les 25 % de la copie privée
25/09/2017
Le 27/09/2017 à 07h 34
Le spectacle vivant est censé être le but de ces 25%. Au final, cela revient à combien de % de la somme ? Et combien pour la défense de leurs intérêts ?
Dans votre département et région, la couverture 2G, 3G et 4G par opérateur
18/09/2017
Le 18/09/2017 à 08h 03
mouais, dans mon coin, j’ai souvent de la 4g avec 2 ou 3 bar, et presque rien qui passe.
Il existe 36 applications de teste de débit, certain avec de la cartographie mais uniquement concernant le niveau de signal. Je pense que l’idéal serait simplement un “ping” local, c’est n’est pas le débit mais cela donne une bonne idée du confort de navigation. Il faudrait des point du style : point gps et heure de départ du ping, point gps et heure de retour + réseau en cours. Cela ferait des cartes de latences, par opérateur.
La Hadopi s’alarme de l’essor des Box Kodi avec extensions dédiées au piratage
01/09/2017
Le 04/09/2017 à 14h 20
Paula Forteza, une geek à l’Assemblée nationale
23/08/2017
Le 23/08/2017 à 08h 02
L’idée de co-construction de la loi est vraiment novatrice. C’est bien plus que de simple référendum contraignant. On peut mesurer l’intérêt de la chose en quantité d’information retourné par le public vers les dirigeants. Les votes actuels représenteraient 6bits/an d’informations !
Concernant la co-construction des lois, je pense qu’il vaut mieux l’avis de 1000 personnes concernées, que la rédaction par 4 conseillés ministériels influencés par des dizaines de lobbys privé, puis voté par 10 députés qui n’ont pas vraiment tout compris. Je pense que finalement les 1000 personnes actives sont plus représentatifs de la France, que le système actuel.
Fiscalité : après l’échec face à Google, une députée LREM réclame une réforme
22/08/2017
Le 22/08/2017 à 12h 55
Le 22/08/2017 à 09h 42
Le 22/08/2017 à 09h 05
La députée devrait commencer par aller voir ses homologues Allemands pour se mettre d’accord.
121,2 millions d’euros pour la plateforme nationale des interceptions judiciaires
18/08/2017
Le 21/08/2017 à 14h 58
Le 18/08/2017 à 16h 15
Le 18/08/2017 à 07h 42
Avez vous des contacts dans la police pour savoir si les anciens systèmes avaient aussi autant de problèmes ?
Altice voudrait croquer le 2e câblo-opérateur américain, une cible à 186 milliards de dollars
10/08/2017
Le 11/08/2017 à 13h 11
Le 11/08/2017 à 09h 35
Chez Google, un employé licencié après un texte controversé sur la diversité
08/08/2017
Le 10/08/2017 à 14h 27
OpenAI : une intelligence artificielle entraînée avec des images de synthèses et de la VR
17/05/2017
Le 17/05/2017 à 12h 22
De façon général, j’ai l’impression que tous les domaines où il existe, un simulateur peut aider à faire une IA.
Le problème des IA est d’avoir suffisamment de données. Mais avec un simulateur, on peut simuler le rendu d’un exemple et l’entrainer dessus. Tout comme le moteur de jeu Go qui a joué contre lui-même, après avoir étudier les grand-maitres.
On peut imaginer un compilateur de langage, un “routeur” de netlist Hardware, un optimiseur de design CAD mécanique, hydraulique, magnétique, thermique, …
Au Journal officiel, le décret Photoshop sur les photos de mannequins retouchées
05/05/2017
Le 09/05/2017 à 15h 16
Le 05/05/2017 à 08h 07