C’est pas tout d’obtenir 40 postes. Il faut recruter les 40 personnes. Plus remplacer la trentaine qui sont partis. 70 recrutements tech dans l’administration …. bon courage !
Sans blague … Et comment s’assure-t-on que les marqueurs biométriques restent en local sur le terminal et ne viennent pas alimenter notre “profil Google” ?
La communauté s’assagit, on dirait. J’aurais parié qu’il y aurait quelques grincheux pour rouspéter sur la déontologie de ce mouvement ANSSI -> Docapost, mais rien ! Incroyable
Réaction salutaire de Reworld. Les salariés de Gamekult décident de partir ? C’est leur choix. Mais ça ne leur donne pas le droit d’utiliser leur outil de travail pour leur ouin-ouin ou pour dégoûter les autres salariés qui ont choisi de rester.
Ce Philippe Latombe est décidément formidable. Le seul député qui comprend vraiment les enjeux du numérique, et qui cherche à soutenir notre autonomie en la matière.
Cette décision du ministère de l’éducation nationale est l’application stricte de la stratégie cloud au centre de l’administration, qui déclare les offres non agréées secnumcloud incompatibles avec les besoins du service public.
8 mois de recherche pour trouver quelqu’un. Tout ça pour finir avec un parachutage de conseiller ministériel, qui ne semble pas vraiment expert du numérique d’après son parcours pro (mais un polytechnicien est expert de tout, c’est bien connu).
A noter que c’est l’examen du projet par la DINUM, examen obligatoire pour tout projet émanant d’un ministère et supérieur à 5 M€, qui a levé le loup. Cet examen est censé vérifier que le projet est correctement cadré, correctement budgeté et staffé, mais n’est pas censé regarder s’il respecte les données personnelles ou pas.
Oui, c’est ce que j’ai trouvé flippant. C’est presque un hasard que ce projet ait été bloqué. Ou alors des convictions du directeur de la dinum qui vont au-delà de son mandat administratif. A moins qu’on considère que le risque politique d’échec du projet aurait été tellement élevé qu’il valait mieux l’arrêter dès le début, plutôt que de claquer des dizaines de meuros.
Ben non. Les banques n’interconnectent pas leurs informations. Les GAFAM n’accèdent pas à mes transactions si je décide de ne pas les leur partager. Et la fintech non plus. Libre à chacun d’exposer ce qu’il veut sur la place publique. Ce qui n’est pas acceptable, c’est de se voir imposer des restrictions de libertés individuelles.
N’empêche que ça fait peur. Si le directeur de la DINUM ne s’était pas ému de cette extension du projet, le projet aurait pu continuer tranquilou …. Et le flicage temps réel de nos mouvements bancaires aurait pu être mis en place par Big Fisc Brother, en mode furtif ?
Un peu trop de réactions de type vierges effarouchées. Le lobbying est copieusement pratiqué par de très nombreuses multinationales. Les groupes français ne sont pas en reste, et la proximité culturelle de leurs dirigeants (dont un certain nombre sont passés par les cabinets des gouvernements des années passées) facilite cette porosité.
La question à se poser est “est-ce bon pour la France” ?
C’est bien qu’il y ait des députés qui réfléchissent et défendent l’intérêt des citoyens. Philippe Latombe (LREM) est couillu de mettre la pression sur le gouvernement, si tôt.
La circulaire cloud au centre était claire et empêchait les Gafam de vendre leurs services aux administrations, et Office365 s’est fait jeter officiellement de l’Etat (même s’il reste des poches de résistance). Mais la communication gouvernementale (avec Lemaire, O et Montchalin en porte-drapeaux) avait été catastrophique, puisqu’elle a mis en avant plutôt la possibilité de repeindre une offre US en une offre FR, sans rappeler que pour y parvenir, il fallait organiser un véritable transfert de compétence pour que l’entreprise française qui portera l’offre soit autonome dans son opération, et que tout cela allait prendre du temps et … de la bonne volonté.
La communication de Thalès, c’est clairement de l’enfumage. Microsoft avait fait pareil, en promettant de basculer ses clients Azure sur Bleu quand l’offre sera dispo (vers la saint-glinglin). Le parallèle avec le bio, fait par Latombe, est savoureux : “achetez mes pâtes maintenant parce qu’elles seront bio demain”.
Merci. J’en étais resté à une volonté de Microsoft de laisser possible facilement (= avec un trick accessible à tous sans interférer dans le process d’installation) l’installation de W11 sans obliger à créer un compte online. C’était évidemment mal les connaitre.
Omg. Ils nous font le même coup à chaque remaniement. Si au final c’est pour multiplier les confs de presse, les coupages de ruban et servir de passe plat aux lobbies, je ne vois pas bien l’intérêt.
Ses motifs sont louables : voir ses enfants, vivre dans la vraie vie.
Il ne vient pas de la politique et n’y reste pas. C’est plutôt une bonne chose qu’on ait des personnes qui y font un tour, puis s’en vont. Et tant mieux pour lui s’il gagne bien sa vie en travaillant dur (et pas uniquement en partageant son carnet d’adresse).
La vie politique est pleine de usual suspects qui ne croisent jamais la route d’une vraie entreprise, d’un client mécontent, du cycle de vie d’un produit, qui ne subissent pas la complexité réglementaire qu’ils ont fabriquée eux-mêmes, et pour qui le marketing est uniquement la promotion de leur propre image.
PS : il est possible qu’il n’y ait pas de place pour lui dans la prochaine équipe. Et pour le moment, EM est très peu disert sur son programme numérique). Peut-être pas une priorité…
Vous avez déjà assisté aux auditions de l’assemblée nationale sur le numérique ? Le niveau des députés est, sauf exception vraiment exceptionnelle (je peux en citer 2 qui savent de quoi ils parlent), proche de zéro.
S’il s’agit de fixer des orientations stratégiques pour le numérique en France, c’est le rôle du gouvernement. Et ces orientations donnent lieu, souvent, à des propositions de loi, qui donnent alors lieu à débat avec le parlement.
S’il s’agit de les mettre en oeuvre : c’est le rôle de l’administration.
N’oublions pas le CESE, qui s’en mêle souvent, le CNNum, le défenseur des droits, la CNIL, et au moins une demi-douzaine d’autorités de toutes nature qui poussent dans un sens, ou tirent dans le sens contraire.
Continuons à empiler des strates sur ce sujet, comme ça on sera sur qu’il ne se passera rien…
Des documents administratifs…. Quel foutage de gueule de la CADA.
La loi pour une république numérique avait un objectif de transparence sur les décisions administratives. C’est comme ça que les députés l’ont votée. Elle n’avait pas du tout pour objet d’exfiltrer des données patrimoniales pour faciliter le piratage ou la création de NFT par des faussaires qui ne possèdent pas les droits sur les oeuvres.
Bravo au musée Rodin de résister à ceux qui pervertissent les lois d’intérêt général … à leur propre profit.
Ça a l’air pas mal ce projet mon france connect. Si on peut savoir ce que deviennent nos données entre les mains de l’état, c’est déjà du mieux au niveau transparence. Bravo à Marc Rees pour avoir dégoté cette interview. (Je suis toujours halluciné de lire autant de conneries dans les commentaires. Pas autant que sur Twitter mais pas loin quand même)
Désolé mais je ne comprends pas à quoi ça correspond. Quelqu’un pour expliquer ce que c’est que la collecte IP ?
Les petits ruisseaux font les grandes rivières. Un réseau de collecte, c’est les raccordements locaux qui permettent de brancher des sites sur le backbone du réseau privé virtuel de l’organisation.
Jean-Paul Smets tombe dans la caricature (ou alors c’est la retranscription dans l’article). Il devrait se renseigner auprès de ceux qui travaillent vraiment sur ces sujets, en particulier la DINUM qui promeut tout particulièrement les logiciels français. Voir par exemple le catalogue gouvtech (dont fait partie Jamespot, et des centaines d’autres).
Sous couvert de simplification, c’est encore une nouvelle usine à gaz informatique à laquelle vont devoir se conformer / se connecter toutes les TPE, PME et autres structures. Pour quelques % de fraudeurs on va emmerder 100% des entreprises. Le tout pour permettre à la Dgfip de mieux cibler les fraudeurs.
Quel est l’intérêt de ce “leak” ? Ce super pouvoir octroyé aux professionnels de santé est volontaire (il a été évoqué à plusieurs reprises) et fait sans doute gagner un temps très important à de très nombreux soignants en face de très nombreux patients.
Qu’il puisse y avoir des effets de bord indésirables mais sans réelle portée, quand ces professionnels sont indélicats, c’est le même sujet que lorsque les administrateurs de base de données sont en capacité d’accéder aux données.
Le sujet, c’est ce qu’ils en font, et là cela relève du champ de la faute professionnelle.
“la liberté de choisir ses dépendances, la capacité à maitriser ses choix et la possibilité de revenir en arrière” : belle définition. Très juste. Où peut-on télécharger le rapport ? Je ne l’ai pas trouvé
Pour le moment on n’a vu que le dossier de presse et la conférence des ministres. Où peut-on lire le document décrivant vraiment la stratégie ? Ca évitera de réagir à du flou.
Verre à moitié vide ou à moitié plein ? Plutôt que de pleurnicher, les éditeurs et hébergeurs français ont l’occasion de montrer ce qu’ils savent faire. S’ils ont des bons produits, un bon service client et une stratégie marketing qui tient la route, ils trouveront des clients. Et c’est quand même bien mieux que les biberonner avec des subventions, payées avec nos impôts.
Le cloud de confiance va rendre plus difficile que précédemment pour les hyperscalers américains de conquérir les administrations. Ca fait quand même une belle occasion pour les Européens.
Ca commence toujours comme cela. Et à un moment, cela deviendra obligatoire pour les entreprises de plus de 5.000 salariés, puis de 500, puis de 5. La pieuvre administrative s’étend toujours un peu plus.
40 commentaires
Le 12/06/2023 à 07h47
Quel dommage qu’une scientifique se sente obligée d’écrire son thème en écriture inclusive, pour espérer grappiller quelques votes additionnels.
Le 04/04/2023 à 07h59
C’est pas tout d’obtenir 40 postes. Il faut recruter les 40 personnes. Plus remplacer la trentaine qui sont partis. 70 recrutements tech dans l’administration …. bon courage !
Le 15/03/2023 à 18h36
Et pas mal de réchauffé, non ? Le journaliste a comparé avant/après ?
Datalab, c’est le nouveau nom d’Etalab ?
La brigade, ça fait 3 ans qu’elle existe. Il y a eu plusieurs annonces et même sur le site numérique.gouv.fr
Le 15/03/2023 à 18h31
Beaucoup de blabla. Mais aucun jalon. Aucun livrable. Aucun calendrier. Ce n’est pas une feuille de route. C’est une collection d’intentions.
Le 09/02/2023 à 09h01
Sans blague … Et comment s’assure-t-on que les marqueurs biométriques restent en local sur le terminal et ne viennent pas alimenter notre “profil Google” ?
Le 26/01/2023 à 07h51
Plutôt sympa, ce site. Et une très bonne initiative de mettre ce sujet sur le devant de la scène. Merci pour l’info.
Le 23/12/2022 à 15h54
J’ai du mal à voir l’intérêt de cet article. Voyeurisme ? Haine anti riches ? Polémique à 2 balles ?
Le 14/12/2022 à 11h06
La communauté s’assagit, on dirait. J’aurais parié qu’il y aurait quelques grincheux pour rouspéter sur la déontologie de ce mouvement ANSSI -> Docapost, mais rien ! Incroyable
Le 23/11/2022 à 08h29
Réaction salutaire de Reworld. Les salariés de Gamekult décident de partir ? C’est leur choix. Mais ça ne leur donne pas le droit d’utiliser leur outil de travail pour leur ouin-ouin ou pour dégoûter les autres salariés qui ont choisi de rester.
Le 16/11/2022 à 08h51
Ce Philippe Latombe est décidément formidable. Le seul député qui comprend vraiment les enjeux du numérique, et qui cherche à soutenir notre autonomie en la matière.
Cette décision du ministère de l’éducation nationale est l’application stricte de la stratégie cloud au centre de l’administration, qui déclare les offres non agréées secnumcloud incompatibles avec les besoins du service public.
Le 28/09/2022 à 09h08
8 mois de recherche pour trouver quelqu’un. Tout ça pour finir avec un parachutage de conseiller ministériel, qui ne semble pas vraiment expert du numérique d’après son parcours pro (mais un polytechnicien est expert de tout, c’est bien connu).
Il y a du y avoir un paquet de désistements…
Le 26/09/2022 à 09h17
Oui, c’est ce que j’ai trouvé flippant. C’est presque un hasard que ce projet ait été bloqué. Ou alors des convictions du directeur de la dinum qui vont au-delà de son mandat administratif.
A moins qu’on considère que le risque politique d’échec du projet aurait été tellement élevé qu’il valait mieux l’arrêter dès le début, plutôt que de claquer des dizaines de meuros.
Le 24/09/2022 à 13h03
Ben non. Les banques n’interconnectent pas leurs informations. Les GAFAM n’accèdent pas à mes transactions si je décide de ne pas les leur partager. Et la fintech non plus.
Libre à chacun d’exposer ce qu’il veut sur la place publique. Ce qui n’est pas acceptable, c’est de se voir imposer des restrictions de libertés individuelles.
Le 24/09/2022 à 12h09
N’empêche que ça fait peur.
Si le directeur de la DINUM ne s’était pas ému de cette extension du projet, le projet aurait pu continuer tranquilou …. Et le flicage temps réel de nos mouvements bancaires aurait pu être mis en place par Big Fisc Brother, en mode furtif ?
Le 11/07/2022 à 09h08
Un peu trop de réactions de type vierges effarouchées. Le lobbying est copieusement pratiqué par de très nombreuses multinationales. Les groupes français ne sont pas en reste, et la proximité culturelle de leurs dirigeants (dont un certain nombre sont passés par les cabinets des gouvernements des années passées) facilite cette porosité.
La question à se poser est “est-ce bon pour la France” ?
Le 08/07/2022 à 09h49
C’est bien qu’il y ait des députés qui réfléchissent et défendent l’intérêt des citoyens. Philippe Latombe (LREM) est couillu de mettre la pression sur le gouvernement, si tôt.
La circulaire cloud au centre était claire et empêchait les Gafam de vendre leurs services aux administrations, et Office365 s’est fait jeter officiellement de l’Etat (même s’il reste des poches de résistance). Mais la communication gouvernementale (avec Lemaire, O et Montchalin en porte-drapeaux) avait été catastrophique, puisqu’elle a mis en avant plutôt la possibilité de repeindre une offre US en une offre FR, sans rappeler que pour y parvenir, il fallait organiser un véritable transfert de compétence pour que l’entreprise française qui portera l’offre soit autonome dans son opération, et que tout cela allait prendre du temps et … de la bonne volonté.
La communication de Thalès, c’est clairement de l’enfumage. Microsoft avait fait pareil, en promettant de basculer ses clients Azure sur Bleu quand l’offre sera dispo (vers la saint-glinglin). Le parallèle avec le bio, fait par Latombe, est savoureux : “achetez mes pâtes maintenant parce qu’elles seront bio demain”.
Le 30/06/2022 à 09h34
Merci. J’en étais resté à une volonté de Microsoft de laisser possible facilement (= avec un trick accessible à tous sans interférer dans le process d’installation) l’installation de W11 sans obliger à créer un compte online. C’était évidemment mal les connaitre.
Le 28/06/2022 à 09h49
C’est facile à contourner sans cela : il suffit de se mettre hors ligne lors de la configuration initiale du compte
Le 21/06/2022 à 09h46
Argh
J’adore ce magazine, et tout particulièrement leur supplément sur les jeux de plateaux
J’espère vraiment qu’ils vont tenir.
Le 16/06/2022 à 09h12
Bon timing concernant Matomo
Pile au moment où Google analytics est en train de se faire houspiller par la cnil
Le 15/06/2022 à 10h04
Pas trop tôt
Le 05/05/2022 à 09h51
Omg. Ils nous font le même coup à chaque remaniement. Si au final c’est pour multiplier les confs de presse, les coupages de ruban et servir de passe plat aux lobbies, je ne vois pas bien l’intérêt.
Le 03/05/2022 à 11h36
Cette déclaration de Google m’a arraché une larme. On lance un Googlethon ?
Le 01/04/2022 à 09h32
Ha ha. Le McKinsey a vendu la mèche.
Le 15/03/2022 à 10h43
Oulah. C’est parti en live, cette discussion. Dommage, ça commençait pas mal.
Le 09/03/2022 à 14h02
Ses motifs sont louables : voir ses enfants, vivre dans la vraie vie.
Il ne vient pas de la politique et n’y reste pas. C’est plutôt une bonne chose qu’on ait des personnes qui y font un tour, puis s’en vont. Et tant mieux pour lui s’il gagne bien sa vie en travaillant dur (et pas uniquement en partageant son carnet d’adresse).
La vie politique est pleine de usual suspects qui ne croisent jamais la route d’une vraie entreprise, d’un client mécontent, du cycle de vie d’un produit, qui ne subissent pas la complexité réglementaire qu’ils ont fabriquée eux-mêmes, et pour qui le marketing est uniquement la promotion de leur propre image.
PS : il est possible qu’il n’y ait pas de place pour lui dans la prochaine équipe. Et pour le moment, EM est très peu disert sur son programme numérique). Peut-être pas une priorité…
Le 04/03/2022 à 15h04
Vous avez déjà assisté aux auditions de l’assemblée nationale sur le numérique ? Le niveau des députés est, sauf exception vraiment exceptionnelle (je peux en citer 2 qui savent de quoi ils parlent), proche de zéro.
S’il s’agit de fixer des orientations stratégiques pour le numérique en France, c’est le rôle du gouvernement. Et ces orientations donnent lieu, souvent, à des propositions de loi, qui donnent alors lieu à débat avec le parlement.
S’il s’agit de les mettre en oeuvre : c’est le rôle de l’administration.
N’oublions pas le CESE, qui s’en mêle souvent, le CNNum, le défenseur des droits, la CNIL, et au moins une demi-douzaine d’autorités de toutes nature qui poussent dans un sens, ou tirent dans le sens contraire.
Continuons à empiler des strates sur ce sujet, comme ça on sera sur qu’il ne se passera rien…
Le 10/02/2022 à 11h25
Des documents administratifs…. Quel foutage de gueule de la CADA.
La loi pour une république numérique avait un objectif de transparence sur les décisions administratives. C’est comme ça que les députés l’ont votée. Elle n’avait pas du tout pour objet d’exfiltrer des données patrimoniales pour faciliter le piratage ou la création de NFT par des faussaires qui ne possèdent pas les droits sur les oeuvres.
Bravo au musée Rodin de résister à ceux qui pervertissent les lois d’intérêt général … à leur propre profit.
Le 13/12/2021 à 18h18
Ça a l’air pas mal ce projet mon france connect. Si on peut savoir ce que deviennent nos données entre les mains de l’état, c’est déjà du mieux au niveau transparence.
Bravo à Marc Rees pour avoir dégoté cette interview.
(Je suis toujours halluciné de lire autant de conneries dans les commentaires. Pas autant que sur Twitter mais pas loin quand même)
Le 25/11/2021 à 16h30
Les petits ruisseaux font les grandes rivières. Un réseau de collecte, c’est les raccordements locaux qui permettent de brancher des sites sur le backbone du réseau privé virtuel de l’organisation.
Le 23/10/2021 à 05h55
Jean-Paul Smets tombe dans la caricature (ou alors c’est la retranscription dans l’article).
Il devrait se renseigner auprès de ceux qui travaillent vraiment sur ces sujets, en particulier la DINUM qui promeut tout particulièrement les logiciels français. Voir par exemple le catalogue gouvtech (dont fait partie Jamespot, et des centaines d’autres).
Le 21/09/2021 à 14h35
Sous couvert de simplification, c’est encore une nouvelle usine à gaz informatique à laquelle vont devoir se conformer / se connecter toutes les TPE, PME et autres structures.
Pour quelques % de fraudeurs on va emmerder 100% des entreprises.
Le tout pour permettre à la Dgfip de mieux cibler les fraudeurs.
Le 27/08/2021 à 17h13
Quel est l’intérêt de ce “leak” ? Ce super pouvoir octroyé aux professionnels de santé est volontaire (il a été évoqué à plusieurs reprises) et fait sans doute gagner un temps très important à de très nombreux soignants en face de très nombreux patients.
Qu’il puisse y avoir des effets de bord indésirables mais sans réelle portée, quand ces professionnels sont indélicats, c’est le même sujet que lorsque les administrateurs de base de données sont en capacité d’accéder aux données.
Le sujet, c’est ce qu’ils en font, et là cela relève du champ de la faute professionnelle.
Le 10/07/2021 à 08h26
“la liberté de choisir ses dépendances, la capacité à maitriser ses choix et la possibilité de revenir en arrière” : belle définition. Très juste.
Où peut-on télécharger le rapport ? Je ne l’ai pas trouvé
Le 03/06/2021 à 20h01
Pour le moment on n’a vu que le dossier de presse et la conférence des ministres.
Où peut-on lire le document décrivant vraiment la stratégie ? Ca évitera de réagir à du flou.
Le 29/05/2021 à 13h39
Verre à moitié vide ou à moitié plein ? Plutôt que de pleurnicher, les éditeurs et hébergeurs français ont l’occasion de montrer ce qu’ils savent faire. S’ils ont des bons produits, un bon service client et une stratégie marketing qui tient la route, ils trouveront des clients. Et c’est quand même bien mieux que les biberonner avec des subventions, payées avec nos impôts.
Le cloud de confiance va rendre plus difficile que précédemment pour les hyperscalers américains de conquérir les administrations. Ca fait quand même une belle occasion pour les Européens.
Le 28/05/2021 à 12h36
Ca commence toujours comme cela. Et à un moment, cela deviendra obligatoire pour les entreprises de plus de 5.000 salariés, puis de 500, puis de 5.
La pieuvre administrative s’étend toujours un peu plus.
Le 25/05/2021 à 18h05
L’annonce fait également la part belle au cloud interne de l’Etat, comme celui des impôts.
Le 21/05/2021 à 11h48
Un peu déceptif pour ceux qui ont eu 19 ans cette année, et qui n’étaient pas domiciliés dans les 14 départements expérimentaux.
Le 20/05/2021 à 18h59
Moi j’y crois ! Ca prend une bonne tournure.