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obor2

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287 commentaires

Le 20/01/2023 à 09h 28

D’ailleurs, quelqu’un sait où acheter des écran e-ink de taille raisonnable, genre pour des applications domotiques ? J’en ai trouvé que des tout petits formats, genre 1 pouce ou 2, ce qui n’est pas très pratique

Si c’est avec un RPi, regarde chez thePiHut.com. Il y en a qui sont un peu plus grands dans les offres. Dont un 4” en 7 couleurs.

Le 19/01/2023 à 11h 08

En fait, cette brève met le focus sur le titre de l’article du Time qui est bien plus long et qui aborde d’autres sujets que le salaire, en particulier l’aspect traumatisant (pour certains au moins) du travail.
Donc, la brève m’a permis de lire cet article qui est assez fouillé. Soyons positif.

C’était une des mes principales réflexions: l’impact de ces “données” sur le psychisme des traitants. Le salaire venait en second, mais (en ayant lu en diagonale) ça semble leur apporter plus de richesse que de coutume (que ce soit juste ou non dans un vision mondiale)



Maintenant, je n’ai pas repéré d’info sur la pertinence de leur travail. Car si c’est juste pour dire “est-ce violent ou pas?” et que le gars répond au hasard pour augmenter son efficacité et améliorer ses gains, le système n’en retire aucun bénéfice.

Le 16/01/2023 à 12h 48

Je ne peux m’empêcher de penser que c’est kif-kif bourricot. Il faut aussi que l’avion s’arrache de la gravité terrestre. Le poids de la charge utile restant le même, c’est le poids de la fusée qui varie. En ce, il faut tout de même ajouter celui de l’avion.



A mon avis, c’est plus un avantage économique qu’énergétique. Je pense non seulement au ratio entre le “carburant” de la fusée et celui de l’avion d’un point de vue coût de production. Et certainement, la diversité du vol: fret plus dégagement de la fusée dans le coût commercial.

Le 13/12/2022 à 11h 32

Hmmm, c’est possible que ce soit du fait que bon nombre de personnes aient migré vers Mastodon ? :)

Le 24/11/2022 à 11h 09

Et il faudrait qu’on prouve que les personnes aient un lien entre-elles afin de corroborer l’association de malfaiteurs. C’est donc un devoir d’enquête, il me semble. La dernière ligne de la brève inspire le faits que cela soit toujours possible pour les ONG et les journalistes.



En tant que particulier, je pense qu’on n’a pas le droit d’aller farfouiller dans la sphère privée d’un tiers sans y être légalement/légitimement autorisé(e). Maintenant, il est probable qu’on puisse mener enquête de son propre chef, mais je ne suis pas sûr qu’on pourrait le publier ouvertement en tant que particulier.



Au final, si notre but est de dénicher des malversations, il serait préférable que l’on s’inscrive officiellement en tant qu’enquêteur et avoir accès à ces données et produire un travail révélateur. Et, tutti quanti, garantir une certaines quiétude publique aux personnes de bonne foi.

Le 24/11/2022 à 10h 19

Il suffit de multiplier les hommes de paille, non ?

N’est-ce pas déjà le cas ?

Le 24/11/2022 à 10h 19

Sauf qu’en connaissant le bénéficiaire unique d’une entité, l’identifiant unique n’est plus très anonyme, ce qui permet toujours de faire des recoupements. Et c’est probablement là l’un des intérêt pour que les données ne soient plus disponibles à tous

Non, pas directement. Si cet lien entre identifiant unique et la personnification du bénéficiaire n’est connu que du gestionnaire des données et uniquement accessible, lors de requêtes judiciaires, aux seules personnes en charge du dossier.



Disons que tout personne peut savoir que l’identifiant X soit en relation avec les entités Y, Z et W. On peut constater que identifiant-X semble manigancer et porter son cas à contrôle. En aucun cas, nous ne saurions que X est Monsieur ou Madame Untel vivant en Magouïcompanie… Par ailleurs, même les contrôleurs ne devraient pas connaître ce lien: recherches sur les faits uniquement, suppression d’un possible conflit d’intérêt…



Ce qui, somme toute, anonymise la personne. On ne peut faire le lien entre X et Untel qu’au moment d’un requis judiciaire. Et on évite toute mauvaise action à l’encontre du bénéficiaire au travers de ce moyen.

Le 24/11/2022 à 09h 26

D’un côté, je comprends la décision: Éviter qu’on porte atteinte à quelqu’un me semble une sage initiative. “Il n’y a pas que des crabes dans le panier”



La dernière ligne de la brève souligne, tout de même, qu’il est toujours possible que ces données soient consultées au travers d’[intérêts légitimes].



Malgré tout, la CJUE pourrait imaginer que ses informations individuelles soient anonymisées. Ne plus mettre le nom, l’âge, etc. Mais un identifiant unique à une personne. Cela donnerait toujours la qualité de transparence financière et la possibilité à quidam de détecter les personnalités de pailles. La seule condition serait que les gestionnaires des données garantissent l’unicité de ce lien entre un identifiant unique et une personne physique ou morale. De la sorte, on pourrait porter à jugement par une autorité compétente un fait décelé sans avoir à dévoiler l’identité réelle de l’accusé(e).

Le 24/11/2022 à 10h 06

Ce que semble soulever Carbier est qu’il est dommage que ce prix ne s’adresse qu’à la gente féminine. Un peu comme si on disait “T’es douée pour une nana !” et pas juste “T’es douée !”



Je n’ai pas d’exemple concret mais je ne rejette pas la possibilité qu’une femme surclasse un homme dans un domaine ou l’autre.



Imaginons qu’un jour hypothétique une femme batte le record haltérophile mondial détenu par un homme; que devrions-nous en conclure ? Que parce que c’est une femme elle n’est pas meilleur que le meilleur des hommes ?



Oui, nous ne sommes pas tous égaux que ce soit physiquement, intellectuellement, etc. Certains et certaines nous surclassent et nous en surclassons d’autres et, cela, peu importe notre genre.



Attention, je ne renie pas vos propos sur le fait que le métabolisme joue un rôle dans les performances. Mais ça ne devrait pas être le point d’orgue d’une séparation du mérite qu’on soit un homme ou une femme.



Au moins, dans mon idéal.

Le 04/11/2022 à 10h 39


(reply:2102629:GérardMansoif)


Comme toute comparaison bagnolesque, elle ne fonctionne pas. Éventuellement, tu pourrais comparer aux affréteurs des camions qui transportent leurs marchandises qui devraient payer et en fait, c’est bien le cas, ils payent (mais aux transporteurs le coût de l’autoroute). Après, je ne sais pas ce qu’il faut en conclure au niveau d’Internet quand j’ai fait cette comparaison.



Les réseaux télécoms sont financés par les FAI, pas par les impôts. Avec les licences sur les fréquences, ce sont ces mêmes opérateurs qui financent le budget de l’État et pas l’inverse.



Alors, oui, ce sont les FAI qui financent leurs réseaux, mais c’est justement leur métier : mettre à disposition de leurs clients un réseau qui permet à leurs clients d’accéder dans de bonnes conditions à ce qu’ils veulent et qu’ils choisissent quel que soit ce à quoi ils accèdent (neutralité du net). C’est aux clients de ces FAI de payer pour le financement du réseau de leur FAI et son interconnexion avec le reste d’Internet. Ceux à qui les opérateurs demandent des sous payent de leur côté leurs propres FAI pour accéder à Internet et diffuser leurs données. Comme pour la vidéo, la quantité est importante (et c’est surtout ça le sujet ici), ces fournisseurs de vidéos s’arrangent pour que ça leur coûte le moins cher possible en mettant le plus de caches locaux possible au plus près des consommateurs. Et cela bénéficie aussi aux FAI.
Donc chacun paie sa part.

De plus, les GAFAM doivent bien avoir également un contrat/abonnement auprès d’un FAI comme quiconque ou avoir leur propre infrastructure réseau s’ils ont les moyens. Donc, en finalité, ils participent déjà à la manne. Et j’imagine à des coûts bien élevés (quand je vois ce qu’on peut payer par mois pour de la fibre de base pro dans mon pays, ça doit bien piquer à leur niveau, non ?)

Le 20/09/2022 à 11h 41

Sauf qu’il n’y a pas de barman

Ah bon, et qui a vendu à l’autre l’ETH2 qu’il voudra te revendre ? :)



Enfin, bon, désolé, je suis à un taux ETHilique à la limite de la législation et j’ai plus de coin pour faire un shoot again.

Le 20/09/2022 à 11h 35

Sauf si tu achètes la bière ETH et que tu la revends à quelqu’un d’autres avec un plus-value qui compense l’achat d’un ETH2 supplémentaire. Ainsi tu peux avoir 1 ETH et 1 ETH2 :)



Pourquoi l’acheteur n’aurait-il pas acheté 1 ETH et 1 ETH2 alors ? Ben, parce qu’il veut 1 ETH et qu’il n’aime pas l’ETH2 et qu’il considère qu’il ne pourra pas revendre l’ETH2.



A moins bien sûr s’il savait que tu voulais les deux variations de pintes. Auquel cas, il aurait pu investir sur 1 ETH et 1 ETH2 afin de te les enlever du zinc (celui qui lui aurait coûté la même chose s’il te l’avait acheté comme dans l’alinéa précédent), créer la pénurie et te la revendre avec le surplus que tu t’aurais fait autrement. Ainsi, c’est lui qui aurait 1 ETH au prix d’un 1 ETH et toi une ETH2 au prix de 2 ETH2. Le barman aurait fait un bénef d’une ETH2. Mince, on a spéculé les prix… :)

Le 08/09/2022 à 13h 22

Je voulais dire que j’ai cherché la traduction de bombasse en anglais pour voir si c’était proche du terme français et que je suis tombé sur bombshell.



Mais merci sur ton lien qui explique l’origine du mot en américain.

D’accord. My bad, je ne l’avais pas compris ainsi. Merci de la précision ;-)

Le 08/09/2022 à 08h 44

Urban dictionary est mon ami lorsque je tombe sur des termes étranges :)



https://www.urbandictionary.com/define.php?term=bombshell

Le 08/09/2022 à 08h 41

Je ne suis pas pro du marketing, mais je pratique le bs commercial fréquemment : portfolio year est à priori l’année d’introduction du modèle dans le portfolio, ce qui correspond à l’année de présentation (ou introduction sur le marché) du modèle en question.

La boucle est bouclée, on peut aller déjeuner… ah non, pas encore… pff

Le 08/09/2022 à 07h 36

Si on remonte à la source, càd la com’ d’AMD, ce serait la “portfolio year” (https://cdn.videocardz.com/1/2022/09/ryzen-7000-mobile-new-naming_1-768x432.jpg)



Maintenant, que veut-dire “portfolio year”, j’ai fait quelque recherche infructueuse. Bien que je doute que ce soit la date de production. Si quelqu’un a une expertise en sémantique commerciale américaine, je lui laisse la parole… :)

Le 07/09/2022 à 12h 35

Merci et bonne continuation ! En espérant que tu maintiendras le fer de lance face à la menace des pertes de libertés numériques de ce monde !

Le 12/08/2022 à 09h 44

En plus en France le carton est “à vie” alors que le plastique n’est valide que 15 ans

Oh, en Belgique aussi, le carton est “à vie”. Et en ce qui concerne la photo, aucun agent ne m’avait jamais fait de remarque sur le fait que mes cheveux longs avaient fait place à un œuf. Cependant, la validité administrative du permis “plastique” ne dure que 10 ans chez nous.



Oh, et petite information “Pour 2033 au plus tard, tous les Etats membres de l’Union européenne doivent avoir remplacé les anciens modèles de permis de conduire par des modèles carte bancaire.”



Donc, tu risques de devoir changer le tien, malgré tout d’ici là :)

Le 12/08/2022 à 06h 43

Oui enfin le problème du permis en carton, c’est pas qu’il dure pas longtemps, c’est qu’il se détériore en un seul moment d’inattention. Le mien est resté intact, comme neuf, plus d’une décennie. Il n’a fallu qu’un seul malencontreux passage dans une poche un peu trop étroite pour récupérer un colis et il est ressorti froissé et en deux pièces.



C’est quand même ennuyeux qu’un document que tu es sensé porter sur toi tout le temps (si tu conduis quotidiennement) soit aussi fragile.

J’allais dire qu’il fallait quand même changer le permis si la photo n’est plus ressemblante… Mais je viens de regarder sur LégiFrance et ce n’est pas le cas. En Belgique, c’est inscrit au Moniteur et, donc, une obligation légale.

Le 10/08/2022 à 11h 34


(reply:2087976:::1)


Petite subtilité supplémentaire, il me semble. Lors de récidive ou condamnation durant le délai d’épreuve ou la période probatoire de sursis, ce sursis pourrait être cumulé à la nouvelle peine

Le 09/08/2022 à 10h 43

Par convention, oui. Mais dans les spécificités réelles, un mot est l’unité d’information traitée en une seule fois par un ordinateur. Ce peut être un mot de 8 bits (oui, un octet = un mot), de 16 bits (usage conventionnel actuel), un de 32 bits (ce qui a fait couler beaucoup d’encre vis-à-vis des langages de programmation et qui a finalement découlé sur les termes “mot”, “double-mot”, etc.)



Or, ce peut également être un mot de 4 bits, donc un quartet.



Finalement, si on suit la logique, un mot de 16 bits devrait s’appeler un hexadecatet.

Le 08/08/2022 à 20h 40

Intéressant votre lien.



Partant de ces nomenclatures, quel serai la façon exacte de nommer la partie suivante d’une adresse IPv6 : 2001:db8::1234:5678 ?

Je ne suis pas sûr de comprendre la question, sorry.



Ici, c’est une adresse IPv6 qui est un bloc de 128 bits indissociables. La nomenclature est orientée vers une manipulation humaine et fait intervenir une découpe en 8 blocs de 16 bits, donc 8 mots de 2 octets. Et ceci pour l’écriture de l’adresse. Avec des élisions possibles (le “::” par exemple) et des variations pratiques (comme ::ffff:192.168.0.1)



Mais au-delà de ça, l’adressage IPv6 est plus complexe; ID de réseau, sous-réseau, espaces réservés… Dès lors, la taille d’un champ varie en fonction de la nature de l’adresse et donc le nom exact que l’on pourrait donner à ce groupe de bits dépend de cette nature.



Maintenant, si c’est le fait d’avoir que des chiffres décimaux dans la partie d’adresse, on pourrait appeler un BCD (Binary Coded Decimal). Mais ce serait un abus de langage, car dans les faits ce n’est qu’un nombre hexadécimal sur 2 octets qui s’exprime par des nombres décimaux de façon innée.

Le 04/08/2022 à 09h 03

Oui, c’est commun maintenant de dire un byte = 8 bits. C’est juste. Mais je pense que le terme byte est encore utilisé pour d’autre ensemble de bits. En télécom au niveau des signaux, je crois, mais bon, là, je ne vais pas l’affirmer.

Le 04/08/2022 à 09h 01

Bah, en un mot, un byte, avec ce temps-ci, c’est bon à mettre dans un string. De plus avec un bit, on ne peut faire qu’un bool.



Et on parle de même pas d’informatique quantique et les qbits …

Le 03/08/2022 à 20h 48

Je vais faire mon Mr Gessémyoeuf Kevouhna.



1 octet est égal à 8 bits (en anglais aussi on dit octet bien que le t final soit sonore :)) et
1 byte peut être égal à 8 bits (ce qui est généralement le cas en informatique)



D’ailleurs, un byte en français se dit un multiplet. Et pour la petite histoire rigolote, un byte de 2 bits c’est un doublet (doublet ou doublette en français), 3 c’est triplet (-et ou -ette), quartet, quintet, sextet, septet, octet et un nonet (nonet ou nonette). Et oui, c’est comme en musique, juste un peu normal pour des beats bits.



https://www.electropedia.org/iev/iev.nsf/index?openform&part=721

Le 03/08/2022 à 09h 16

Sur le site de SK hynix (https://news.skhynix.com/sk-hynix-develops-worlds-highest-238-layer-4d-nand-flash/)



The 238-layer products will be first adopted for client SSDs which are used as PC storage devices, before being provided for smartphones and high-capacity SSDs for servers later. The company will also introduce 238-layer products in 1 Terabit (Tb) next year, with density doubled compared to the current 512Gb product.



Donc c’est exprimé en bits

Le 03/08/2022 à 12h 22

Meuh non, mauvaise langue. C’est juste qu’il est dit que l’appli peut fonctionner même sur des smartphones avec 1Go de mémoire.

Le 24/06/2022 à 09h 50

Pour que la comparaison soit pertinente, il faudrait que les taux de transaction, la pénétration dans les sociétés civiles soit équivalentes.



Et clairement, le taux de transaction de BTC ou autre, est à la ramasse par rapport à VISA par exemple (tombé sur https://cryptoast.fr/cryptomonnaies-face-reseaux-traditionnels-vitesse/, ce site me semble pro crypto)

Je suis d’accord. Mais je pense qu’il est possible de faire des projections d’un monde à l’autre. Ce ne sera pas une méthodologie parfaite, bien entendu, car il sera difficile de justement tenir compte des échanges entre ces deux mondes dans la réalité qui créent, de fait, une fluctuation continue.

Le 24/06/2022 à 09h 18

Je vois qu’on parle ici beaucoup de la consommation énergétique de la cryptomonnaie. J’imagine que cela considère son usage dans le domaine financier global.



Je ne suis pas dans la finance (enfin pas trop) et je n’ai pas de bienpensance envers la cryptomonnaie ; mais j’imagine qu’avant de dire que la crypto est énergivore, il serait de bon ton de comparer ce qui est comparable, ne pensez-vous pas ?



S’il y avait une étude qui comparerait l’énergie actuellement utilisée dans ce domaine et celle que pourrait utiliser une cryptomonnaie (laquelle ?) dans le même cas de figure. L’énergie utilisée par les systèmes informatique des banques et autres systèmes financiers actuels. Celle pour la création de monnaie physique. Celle pour les échanges. etc. On pourrait avoir une meilleure relativité des faits.

Le 14/06/2022 à 11h 06

Peu importe. Pour moi, ça devrait fonctionner quelque soit le navigateur récent du moment que la solution proposée et installée est récente. Demander Firefox 51 datant de 2017 ou Chrome 44 datant de 2015… Honnêtement, ça ne fait pas sérieux. Non seulement, cela signale Chrome 44 alors qu’on est sur Edge.



Perso, je peux me débrouiller. Mais c’est loin d’être évident pour mes collègues. Surtout que, selon le cas de figure, il faut utiliser tel ou tel autre navigateur. Et honnêtement, ça m’agace un peu.



Autrement, je viens d’essayer le mode compatibilité dans Edge et ça fonctionne. C’est déjà une petite avancée. Merci.

Le 14/06/2022 à 09h 32

Lorsque je vois que nos versions de Chrome ou Firefox ou Edge sont trop récentes pour exécuter une application web d’une caméra IP installée cette année par un prestataire; je ne suis pas sûr de penser aux mêmes dev que toi ! (oui, mon post est rempli d’aigreur)

Le 09/06/2022 à 07h 02


(quote:2075993:brice.wernet)
Mon rêve: créer un git avec des designs open source d’appareils (machine à laver en premier, pour la démo), documenté, avec les specs de chaque module (programmateur, tambour/moteur, alim) et des interconnexions, histoire que n’importe quel industriel puisse en faire soit directement selon le modèle, soit des alternatives qui “fit”.



Troy2001 a dit:


oui, quand on commencera à standardiser nos biens de consommation courants on pourra vraiment parler réparation et recyclage. Surtout pour des appareils qui n’ont quasiment pas évolués depuis des années.


Cela me rappelle qu’un gars avait eu l’idée de designer une machine à laver, je pense, libre de droit. Il fournissait la description des pièces et le plan de montage. Ainsi tout à chacun pouvait monter ou réparer sa propre machine. En tout cas, c’était l’objectif de la démarche. Je me demande où cela l’a mené. Je n’ai rien trouvé suite à une rapide recherche sur le net.

Le 02/05/2022 à 09h 59

J’aurai préféré “limpidité informative” pour bien coller au fait que le Dataviz est un ensemble de pratiques inter-tolérantes afin de rendre plus clair l’information proposée.



ou “pertinence informative” afin de mettre en exergue le fait que les méthodes sont adaptées à l’information source et à la direction vers laquelle on veut diriger la lecture.



Et quand, je relis mon post, j’arrive à la conclusion que “prisme informatif” est encore plus cohérents avec les définitions que je conçois du Dataviz

Le 29/04/2022 à 13h 26

Cela voudrait dire qu’une transaction n’est pas signée avec la carte en fonction du montant et de l’identifiant du terminal et/ou que celui-ci n’a pas contre-validé la signature en vérifiant que c’était bien le bon montant et son identifiant avant de l’envoyer à la centrale de traitement ?



Ou alors un truc m’échappe.

Le 26/04/2022 à 10h 38

Je suis indépendant, quand je ne bosse pas je ne suis pas payé

Je pensais répondre à une boutade par une boutade… Je dois m’être trompé.



[Ma réaction à brûle-pourpoint]



Jamais de vacance, de congé ? Si c’est le cas, OK. Mais j’ai bien du mal à le croire. Même moi qui ne pars que très rarement en vacance. Bah, je prends des congés, ne fut-ce que pour mes démarches administratives, médicales, etc. J’ai de même mal à imaginer que quelqu’un ne doive pas avoir de telles nécessités dans la vie.



Et, un indépendant, pour garantir les congés, il provisionne ça sur ses revenus, non ? Donc en quelque sorte, il fait payer ses clients pour ses congés, n’est-il pas? C’est pas eux qui vont donner des étrennes pour que l’indépendant puisse se reposer, si? C’est comme les abonnements à tel ou tel prestataires, c’est un coût déporté. Donc au final c’est le client que le paie, d’une manière ou d’une autre.



De par là, si on paie pour les congés de l’indépendant, on doit bien le faire pour ceux d’un employé.



[Après m’être apaisé et avoir lu les autres messages]



Oui, nous payons un abonnement. Oui, nous avons des demandes et des attentes. Mais ça n’empêche personne de prendre des congés s’il ou elle en ressent le besoin. De plus, si j’ai bien suivi la communication de NXI, ils savent qu’il y a des besoins à combler. Je pense notamment à la description de l’Ulule pour le magazine#3; il me semble qu’il était question d’engager un autre collaborateur à partir d’un certain seuil de participation. De manière identique, il me semble avoir lu un news vis-à-vis de ces changements. Ce qui avait fait bruiter les claviers, si je ne m’abuse. Preuve, selon moi, qu’ils sont conscients de ces attentes et veulent y répondre.



De plus dans la charte déontologique de NXI, ils stipulent: “Next INpact s’engage à employer de manière permanente au moins un journaliste professionnel. Il applique la convention collective nationale des journalistes et s’engage à proposer aux membres de sa rédaction un paiement en salaire comme l’exige la loi Cressard.” Et si, on consulte cette CCN, il est stipulé “Les congés payés des journalistes sont calculés sur la base de 2 jours et demi ouvrables par mois de travail effectif tels que définis par l’article L. 223-4 du code du travail et l’article 33 de la présente convention.” Donc, un journaliste chez NXI a droit à des congés. Nous ne pouvons pas l’ignorer ou nous en indigner.



Par ailleurs, comparer NXI à NYT, c’est bancal, selon moi. Avoir 2.000 (source: challenges.fr 2022) journalistes pour 7.500.000 d’abonnés (source: huffingtonpost en 2020) du côté de NYT, face aux 5 journaliste (source: site NXI) pour 7.800 abonnés (source: site NXI). La catégorie est bien différente. Sans compter les sources annexes d’approvisionnement: publicité, partenariats, etc. En outre, je viens de regarder les coût des abonnements de chacun (hors offre): NYT - 60€/an ; NXI 50€/an (et encore, si on prends sur 2 ans l’écart est 120 pour 90). Donc, je me demande comment arriver à respectivement 2$/mois et les 5€/mois. A moins d’avoir des montants préférentiels pour les habitants des USA. Ou de ne pas avoir la TVA comprise dans le prix NYT. Alors en faisant un bête calcul, (7.500.000 60 / 360 / 2000) > (7.800 50 / 360 / 5). Un apport de 625 contre 216. Ainsi, les deux ne sont pas comparables.



Finalement, je crois que nous avons tous ressentis la frustration énoncée et je pense que les membres de NXI vont en prendre compte. Si ce n’était pas déjà le cas.

Le 25/04/2022 à 11h 23

Ouais, moi aussi, je suis pour qu’on t’enlève tes congés payés ! Mais rien que les tiens, faut pas déconner, non plus ! :D

Le 25/04/2022 à 09h 22

Ressourcez-vous bien !

Le 19/04/2022 à 10h 41

OK, merci pour les précisions.

Le 19/04/2022 à 10h 01

Pour préciser ce que je dis et répondre à quelques unes de tes questions. Il s’agit d’une augmentation de capital de Twitter quand un tiers non amical passerait les 15%.



Donc on crée des actions nouvelles, sorties de nulle part, elle viennent s’ajouter aux anciennes existentes. C’est comme imprimer des nouveaux billets dans une planche à billet quoi.
A un prix qu’on décide dans les statuts et ce prix c’est celui que tu veux dans la limite du prix initial de l’action à la création originelle de l’entreprise (genre 1 cents par exemple).
On vote les nouveaux statuts évidemment et tu imagines que ceux qui sont au board sont ceux qui ont la majorité en droits de vote. Donc ils auront ce qu’il voudront.
Et la clause prévoira bien évidemment que seul ceux du board ont le droit d’acheter ces actions à prix préférentiel.



Lorsque le mécanisme se déclenche, une masse d’actions va être mise au marché en vente à destination du board. Cela va créer ce qu’on appelle une dilution.
Il y aura plus d’action qu’avant pour valoriser la même entreprise.
Ainsi Musk qui avait 15% de Twitter avant la pilule peut se retrouver à ne posséder que 10% après.
Mais le deuxième effet kisskool c’est que TOUS les autres actionnaires qui ne sont pas au board vivent la même merde.
Si j’avais 1% de Twitter sur mon compte titres, je n’en ai plus que 0,66% maintenant à cause de Musk.

Donc pour le petits actionnaires, il serait préférable de tout revendre au plus offrant (Musk?) à un prix supérieur à la limite que s’octroyent ceux du board vu que “la clause prévoira bien évidemment que seul ceux du board ont le droit d’acheter ces actions à prix préférentiel” ?

Le 05/04/2022 à 07h 44


(reply:2064746:Idiogène)


Ouais, j’ai vu. Cela a conduit à un BSOD (Blue Star Of Death) :ouioui:

Le 04/04/2022 à 12h 20

Déjà fait! Maintenant, j’installe le fan-mod sunray_tracing, l’add-on cataclysmic_reactions et le patch politic_choice_avoidance-6.2 en plus de modern_wordlwide_warfare-0.1

Le 21/03/2022 à 09h 20

Peut-être que je me trompe, mais ce qui sort du moteur à hydrogène est de la vapeur d’eau, non ? C’est bien de l’H2O, n’est-ce pas ? Et l’H2O est bien un gaz à effet serre, vrai ? Ici, ne devrait-on pas dire “neutre en gaz à effet de serre”, plutôt ?



Maintenant, y aura-t-il une surproduction d’H2O suite à cette nouvelle forme d’énergie (en sus de celle naturellement produite) ? Quel impact aura-t-elle sur le climat ?



Et puis on parle du parc automobile. Cela règlera-t-il (impactera-t-il positivement) vraiment notre soucis climatique ? C’est bien, il faut le faire mais je pense que ce sont les énergies à plus grande échelle qu’il faut en ligne de mire. Celle qui est nécessaire aux fonctionnement des usines.



Enfin, aussi revoir notre mode de consommation et de transhumance.



Sorry, pour ce petit écart de sujet.

Le 17/03/2022 à 12h 14

Imaginons qu’ils mettent les signatures de logiciels légitimes dans la liste des virus, il se passe quoi ? Et pour des logiciels systèmes ? Ils plantent tous les pc non ?

C’est une éventualité, en effet.



Sur un ordinateur de bureau, c’est une moindre mal. Une restauration à partir d’un backup ou d’une image système. Pour quelques PC, ça ira. Pour un grand nombre, il faut espérer que le SI permet le déploiement et la restauration d’image via réseau. Ou bien qu’ils aient opté pour du démarrage réseau directement. Les données ne sont pas impactées. C’est ce qui est le plus important généralement.



Bien entendu, si c’est un système qui doit rester opérationnel 247. Il faut espérer qu’il existe de binômes de relais le temps de remettre la système en fonction correcte. (Binômes auxquels il faudra peut-être opérer une désactivation temporaire de l’antivirus)



De plus, il est toujours possible de ne pas automatiser les mises à jour de la base de données des virus qui, rappelons-le, sont également stockées sur des serveurs hors Russie dont, je suppose, la synchronisation peut être analysée, voire interrompue (mais là, je n’ai aucune preuve ou ouï-dire)

Le 17/03/2022 à 11h 27

[AMHA]



Juste également pour tempérer au niveau SI et potentielle menace de ce côté.



A mon boulot, nous avons du Kaspersky. Le tout est contrôlé via le KSC (Kaspersky Security Center). Ici, les mise à jour de l’antivirus n’est pas automatique. Seule la base de données des virus l’est (ainsi que le déploiement des politiques de sécurités).



Donc, à mon humble avis, il n’y a pas de risque de recevoir un payload virulent depuis l’antivirus en tant que tel (même en prenant compte le cas du KSN) à moins de faire une mise à jour de l’antivirus ou du client d’administration.



Le seul problème potentiel serait que la base de données des virus omet volontairement une signature qu’utiliserait l’état russe pour un virus de leur cru. Mais malgré cela, il faudrait tout de même qu’ils utilisent soit une faille 0-day, soit prennent espoir sur du PEBKAC. Mais alors, est-il encore utile d’omettre la signature dans la base de données ? Surtout que d’autres boîtes de sécurité informatiques vont s’empresser de mettre en avant de pareilles tentatives afin de gagner en visibilité et en crédibilité.



Même en prenant compte les mises à jour logiciels de Kaspersky (Anvitirus et client d’administration) via le KSC, si on ne fait pas les mises à jour dès leur disponibilité et qu’on attend que d’autres analystes de sécurité ou concurrents débunkent d’éventuelles intrusions ou failles, on tempère le risque de sécurité dans notre propre infra.



Il faut, je pense, rester vigilants mais ne pas sombrer dans la paranoïa.



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Le 16/03/2022 à 10h 28

Quelqu’un dans la sécurité informatique a une opinion sur le sujet ? Car personnellement, je vois cette techno comme une porte d’entrée à des contenus malicieux. Quel est le niveau de privilèges accordé à ces routines ? Y-a-t-il des mesures de coercition ou de protection ? Bref, est-ce bien pensé pour (tenter d’) éviter toute malversation par ce biais ?

Le 03/03/2022 à 16h 27

Je pense que c’est avant tout orienté centres de données ou supers ordinateurs. Condenser l’ensemble des éléments apportera un gain de place, une maintenance ou une évolutivité facilitée. Il y a un node qui merdouille, on ne se casse pas la tête de savoir si ça vient du CPU, d’un chip, etc.; on prend un nouveau PoP dans la réserve. Besoin de plus de puissance, Marty ? Va chercher un caisse dans l’arrière salle, on va faire monter les Gigôt-octets.

Le 18/02/2022 à 11h 24

Merci pour ces explications, j’ai encore des zones d’interrogation mais on va en rester là. Ca ne changera pas ma vie de savoir ça en profondeur ;)

Le 16/02/2022 à 12h 05

Quelqu’un sait comment ça fonctionne techniquement parlant ?



De ce que je comprends, c’est du VoIP via WIFI.



Donc cela utilise une connexion Internet via l’interface du WiFi pour se lier à un serveur SIP, c’est bien ça ?



La configuration du serveur est faites sur le portable dès le code envoyé via SMS ?



C’est donc un serveur de l’opérateur ? J’imagine que oui, si il doit y avoir la possibilité de recevoir un appel via cette fonctionnalité.

Le 03/02/2022 à 14h 48

Tiens, un avantage que j’ai avec LibreOffice, c’est que j’arrive à récupérer la plupart des documents qu’Office ne peut plus ouvrir ou de façon complètement bizaroïde. J’en ai essuyé des sueurs froides de collègues.