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Kurton

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283 commentaires

Le 13/06/2018 à 14h 42

Je suis totalement d’accord avec toi. Il doit y avoir une différence entre censure et modération. 



Sinon, à la prochaine conférence sur le climat, j’irai parler de ma collection de bouchons de bouteille (fictive !) et je m’insurgerai contre la censure quand on me mettra à la porte manu militari.&nbsp;<img data-src=" />

Le 13/06/2018 à 14h 38

Oui et non.&nbsp;



Parce que je pense que tu comprends Entreprise comme Grande Entreprise. La situation actuelle permet aussi de protéger les familles des petites entreprises. Quand un chef de TPE ou PME fait une grosse boulette qui ruine sa société, c’est bien que sa famille ne se retrouve pas à la rue par exemple.

Le 13/06/2018 à 14h 34

Mea Culpa pour ma méprise. :)

&nbsp;





odoc a écrit :



Voilà c’est répondu <img data-src=" /> (et le fait que j’indique que les hauts fonctionnaires ne sont pas si bêtes que ça n’indique en rien ce que je pense des politiques ^^ là encore pour avoir fait des réunions avec certains ministres c’est à pleurer le niveau incompétence qu’ils peuvent avoir)





Message reçu !&nbsp;<img data-src=" />


Le 13/06/2018 à 14h 05

Pour ma part, je ne mets nullement en doute ton expérience. Je fais un constat qu’un certain nombre de gens font, je pense :

&nbsp;




  1. Les hommes politiques font tout pour se faire élire “pour servir la France”.

  2. Il faut que tout le monde fasse des efforts et la France doit faire des économies.

  3. Ils traînent des pieds quand il s’agit de parler des avantages qu’ils ont issus du lobbyisme et de leur fonctions, il y a le verrou de Bercy, etc.



    Je sais, c’est une caricature à deux balles, mais ça peut mettre le doute sur la neutralité (au delà de leur sensibilité politique) de leur investissement dans les orientations politiques de la France. Combien de fois avons-nous eu des promesses de campagne ou des discours politiques qui changeaient selon le sens du vent ?



    Celle que je ne suis pas prêt d’oublier personnellement, c’est Hollande et l’abrogation d’Hadopi.



    Conséquence directe : si leur neutralité tourne selon le sens du lobbyisme, quelle crédibilité peut on placer dans leurs compétences ?



    (Encore une fois, caricature à 2 balles.. )&nbsp;<img data-src=" />

Le 13/06/2018 à 13h 53

Rho, tu aurais pu me laisser un semblant d’espoir, nondidiou !&nbsp;<img data-src=" />

Le 13/06/2018 à 10h 21

A la première lecture,&nbsp; je me suis demandé ce que le droit à l’interconnexion ou encore les puissances privées venaient faire dans cette sorte de Constitution souhaitée.&nbsp;



Et à la relecture, j’ai compris sa position.. et c’est pas gagné… Il va y avoir beaucoup de boulot et surtout besoin de gens extrêmement compétents et neutres.. Comme je disais, pas gagné…&nbsp;<img data-src=" />

Le 05/06/2018 à 18h 45

Je vais dire le mot qui fâche mais “pubs”… Quand sur une page, tu as une vidéo auto qui se lance, une page chargée en images et autres bandeaux, ça doit pas aider la navigation…

Le 05/06/2018 à 14h 18

C’est vachement limité quand même, en terme de volume de données… Alors qu’on tend à consommer de plus en plus de données (Neflix, jeu vidéo, maj de logiciels, de systèmes d’exploitation, drivers, vidéos en ligne style youtube etc.), qu’on pousse les technologies à aller toujours plus loin, j’ai quand même l’impression que c’est la solution du désespoir pour relever ses emails et surfer sur quelques pages par mois, voire quelques vidéos en se montrant raisonnable..

&nbsp;

Le 05/06/2018 à 07h 10

Y a de fortes chances que si ça passe en l’état, le Conseil Constitutionnel sera saisi pour une QPC..

Le 03/06/2018 à 19h 11

Pas de souci, je respecte ton point de vue. :)

Le 02/06/2018 à 15h 10







Kurton a écrit :



“L’expression « verrou de Bercy » définit le monopole du ministère du budget en matière de poursuites pénales pour fraude fiscale. Seul Bercy dispose du droit de déposer plainte contre un individu soupçonné de malversations fiscales, un procureur ou une partie civile ne le pouvant pas. Selon la décision du ministre des finances, les fraudeurs peuvent donc éviter des poursuites judiciaires. Ce dispositif a été mis en place dans les années 1920, à la suite de la création de l’impôt sur le revenu des personnes physiques en 1917.”



Source :&nbsp;Le Monde



Je maintiens donc ce que je dis : tant que le gouvernement s’amuse à donner le change par ci par là mais ne fait pas sauter le verrou de Bercy avec une vrai transparence et une égalité de traitement entre imposable moyen et imposable politique (et/ou généralement proche du pouvoir politique), l’ouverture des données budgétaires est juste une manoeuvre politique qui ne fait pas vraiment avancer sur les problèmes de fond de la transparence. Mais ce n’est que mon avis. ;)





Rah peux plus éditer. Je développe ma pensée : ces derniers mois, le verrou de Bercy est régulièrement attaqué et est passé au premier plan niveau journalisme ces 3 derniers mois avec une proposition de loi :



Sources :

&nbsp;Le Figaro 17/4/2018

&nbsp;Challenges 16/4/2018

Challenges 20/02/2018Le Monde 30/03/2018&nbsp;La Tribune 16/05/2018&nbsp;Liberation 30/03/2018&nbsp;(oups 27/03/2018).



A l’heure où le verrou de Bercy est chahuté, autant au niveau de l’opinion publique, que du journalisme et que de la législation avec une proposition de loi (qui n’a pas vécu longtemps je crois), je trouve que cette ouverture ressemble à une manoeuvre politique pour dire “hey regardez, on ouvre les données budgétaires, voyez comment on avance sur la transparence” alors qu’en fond, ce qui fait l’actualité ces derniers temps, c’est ce fameux verrou de Bercy en ce qui concerne la transparence.


Le 02/06/2018 à 14h 51

“L’expression « verrou de Bercy » définit le monopole du ministère du budget en matière de poursuites pénales pour fraude fiscale. Seul Bercy dispose du droit de déposer plainte contre un individu soupçonné de malversations fiscales, un procureur ou une partie civile ne le pouvant pas. Selon la décision du ministre des finances, les fraudeurs peuvent donc éviter des poursuites judiciaires. Ce dispositif a été mis en place dans les années 1920, à la suite de la création de l’impôt sur le revenu des personnes physiques en 1917.”



Source :&nbsp;Le Monde



Je maintiens donc ce que je dis : tant que le gouvernement s’amuse à donner le change par ci par là mais ne fait pas sauter le verrou de Bercy avec une vrai transparence et une égalité de traitement entre imposable moyen et imposable politique (et/ou généralement proche du pouvoir politique), l’ouverture des données budgétaires est juste une manoeuvre politique qui ne fait pas vraiment avancer sur les problèmes de fond de la transparence. Mais ce n’est que mon avis. ;)

Le 01/06/2018 à 11h 26

C’est bien joli tout ça mais un des problèmes fondamentaux reste le verrou de bercy. Tant que ce dernier sera en place, ils pourront essayer de mettre toute la transparence qu’ils veulent, ça restera de la poudre aux yeux…

Le 30/05/2018 à 10h 08

Moi, ce que je retiens, c’est que les chinois sont sur le coup… (un peu comme avec le business de la tomate) :p

Le 29/05/2018 à 13h 56

Faudrait aussi s’intéresser au profilage des grandes surfaces avec les cartes de fidélité et les cartes de paiement qu’elles mettent à disposition… Parce que je ne suis pas sûr que ce soit très propre là dedans.&nbsp;<img data-src=" />

Le 25/05/2018 à 16h 46

gros +1



Après, faut pas déconner, si nos pauvres élus nationaux n’arrivent plus à gagner un tant soit peu d’argent, y aura plus personne qui voudra faire de la politique !!!&nbsp;<img data-src=" />

Le 25/05/2018 à 06h 57

J’ai comme dans l’idée que cela ne va pas détendre les relations entre l’Europe et la Chine, au contraire. Les sites commerciaux qui ont pignon sur rue risquent de moyennement apprécier cette RGPD…&nbsp;<img data-src=" />



(je pense entre autre à Alibaba, Wish, etc.)

Le 24/05/2018 à 15h 26

L’internet “gratuit” risque de devenir beaucoup moins gratuit…&nbsp;<img data-src=" />

Le 24/05/2018 à 07h 19

Y a qu’à voir l’affaire Sarkozy. Seul médiapart au eu les cacahuètes de faire le boulot en 2011 ou 2012. Et personne n’a osé se mouiller. Avec ce genre de loi, certains risquent de devenir encore plus frigides…. :‘(

Le 24/05/2018 à 06h 23

J’aime pas trop beaucoup ça… Internet est un des derniers bastions de la presse et du journalisme indépendant. Déjà, Sarkozy à l’époque voulait d’une presse labellisée (entendre contrôlée…). Ce texte ouvre la voie à ce genre de contrôle…&nbsp;<img data-src=" />

Le 23/05/2018 à 13h 42







skankhunt42 a écrit :



&nbsp;Eux aussi doivent ce serrer la ceinture et surtout montrer l’exemple.





Tout est dit : quand on pratique une politique d’austérité, tout le monde doit jouer le jeu et pas simplement le “bas peuple”. On demande au peuple des efforts financiers à tous les étages (service public, salaires au nom de la compétitivité, etc.).



Quand on dit que la France vit au dessus de ses moyens et qu’il faut réduire le service public, autant commencer par ceux chargés d’une mission de service public non ?&nbsp;<img data-src=" />


Le 15/05/2018 à 11h 35

Je suis chez free. Quasiment jamais eu de souci et le SAV a toujours été hyper réactif les rares fois où j’ai eu des soucis…



Mais le peering.. Mon dieu… c’est une horreur. Netflix est impossible à regarder certains soirs alors que j’ai une connexion adsl potable (8mbs)…



Du coup, je check régulièrement les concurrents mais je n’ai rien de mieux et j’hésite à changer… Mais si ça continue, je pense que je sauterai le pas. Et pourtant, j’ai été trèèèès longtemps fidèle à Free.



Côté téléphone, même si c’est HS ici, c’est la même : abonné free mobile, la réception était toute pourrie. Je suis passé chez Bouygues, vive la 4G et la qualité.



Bref..

Le 14/05/2018 à 14h 05

Hummm : donc les sociétés de gestion et de perception perçoivent en substance de l’argent pour des structures qui ne sont pas membres chez elles ??? C’est à hurler….&nbsp;<img data-src=" />

Le 11/05/2018 à 15h 19







GTO a écrit :



&nbsp;



  Ouais enfin, du personnel y'en a pour les articles quasi quotidiens sur la Hadopi, les projets de loi du gouvernement et les données perso, d'ailleurs y'a quasi plus que ça sur NXI, toute la partie "informatique pure" est dans le brief, et je pense qu'il arrivera un moment où les abonnés se lasseront de tout ces articles juridiques et vous perdrez des abonnés.








  Question de point de vue : j'ai pris mon abonnement à NXI et je les soutiens justement pour ces choix là. Comme quoi, les goûts et les couleurs.&nbsp;:smack:  






 Cela étant, je pense qu'on néglige aussi une évolution du mode de consommation et des technologies. &lt;voix de papi&gt; je me souviens d'une époque où on vérifiait les MAJ de DirectX ou OpenGL une fois par mois voire plus souvent tellement les versions sortaient fréquemment... Pareil pour le matos, j'ai souvent fait évoluer mon matos au fil des semestres en fonction des sorties... Comme pas mal de gens que je connaissais à l'époque.       






 Mais ce qui touche aujourd'hui le monde du hardware, c'est le même souci que le monde du jeu vidéo selon moi : la génération qui a commencé dans ce milieu est aujourd'hui plus âgée et n'a pas forcément les mêmes priorités. Le GAP niveau technologies est moins évident qu'avant : mon dernier investissement pour le jeu vidéo a été une 1080 il y a bientôt 2 ans et je n'ai aucun raison d'en changer : à part une 1080 ti(et mon porte monnaie n'est pas d'accord :roll:), j'suis pas sûr de trouver mieux aujourd'hui. Et c'était il y a 2 ans. Du coup, je pense que la flamme de la passion du hardware tend à se tasser aujourd'hui parce qu'il n'y a que des améliorations et que les véritables évolutions technologiques sont plutôt rares à mon sens.     





edit : corrections ^^


Le 25/04/2018 à 10h 09

C’est pas un peu du même genre que quand Numéricable a racheté SFR ? (Prise de contrôle de la société avant l’effectivité du rachat ?)&nbsp;<img data-src=" />

Le 24/04/2018 à 15h 46

J’ai vachement pris goût à votre sujet Bande Annonces.. J’étais tout tristounet la semaine dernière !!!&nbsp;<img data-src=" />&nbsp;J’ai cru que c’était fini pour ce sujet hebdomadaire !&nbsp;<img data-src=" />



<img data-src=" />



&nbsp;

Le 23/04/2018 à 17h 21

Moué… ramener un échantillon sur terre… Je trouve ça un peu délicat. Autant ramener un échantillon de roche lunaire me semblait très intéressant, autant ramener un truc de Mars en sachant qu’il y a eu vraisemblablement de la vie là bas et donc potentiellement des bactéries/virus, je reste un chouilla inquiet… :p



Bon, ok, peut être que le film Life : Origine Inconnue m’a foutu un ptit peu les chocottes sur cette thématique..&nbsp;<img data-src=" />

Le 21/04/2018 à 19h 25

Ce genre de situation ne fonctionne que si le transporteur reconnaît sa responsabilité. Enfin, en ce qui concerne ce genre d’assurance, j’ai déjà eu des soucis avec un transporteur qui refusait d’endosser la responsabilité de la casse…



Quels seront les moyens pour un consommateur de faire appel de la décision du commerçant dans ce genre de cas ?

Le 20/04/2018 à 15h 10

Moué, y a des failles dans le raisonnement de la gentille dame : qui sera responsable, si on renvoie le bien en parfait état, juste après déballage, remballage correct et qu’il y a des dégâts au transport qui fait que le bien sera déprécié ?



Qui contrôlera les critères de dépréciation pour diminuer le remboursement de 10, 20 ou 50% ? qui les définira ?



Bref, évolution du droit toute moisie… Ce sont les vendeurs de vaseline qui en feront leurs choux gras…..&nbsp;<img data-src=" />

Le 20/04/2018 à 10h 19







Patch a écrit :



C’est exactement l’exemple qu’il a donné.



  Le mail dit "hey, je suis ta banque". Quelle différence avec un mec qui vient te voir en disant "hey, je bosse pour ta banque"?








 Non justement, il y a une différence notable.&nbsp; Dans son exemple :       

" Tu donnerais ta CB à quelqu'un au hasard dans la rue qui te dit "hé, je bosse à ta banque et j'en ai besoin" "Il parle d'une personne au hasard.






Là, le client ne reçoit pas un email d'une personne au hasard. Il reçoit un email de sa banque. C'est la toute la différence : le client était certain d'avoir affaire à sa banque. Rien à voir avec un truc au hasard.      






&nbsp;M'enfin, on va pas tourner autour du pot. La Cour de Cassation ne voit pas les choses sous cet angle :&nbsp;Source de l'an dernier&nbsp;&nbsp;"L’an dernier, le tribunal de proximité de Lens dans un autre litige portant sur le Crédit Mutuel avait jugé que "de telles fraudes sophistiquées donnent l’apparence d’une réalité personnalisée”. Si elles rencontrent des difficultés à se faire rembourser, les autres victimes de phishing pourront donc désormais mettre en avant ce jugement de la Cour de Cassation, qui fera jurisprudence…"

Le 20/04/2018 à 08h 46

Encore une fois, on ne sait pas qui est le client et quelles sont ses connaissances/compétences. S’il pense qu’il a reçu un email de sa banque et qu’il doit urgemment renseigner des informations pour des raisons de sécurité, je trouve que ça peut se comprendre. La première technique du phishing est de présenter un contenu anxiogène à sa cible : lui faire peur, pour qu’elle réagisse de façon viscérale.&nbsp;



Et ton exemple de la CB est fallacieux. Ce n’est pas un email de quelqu’un au hasard que le client a reçu, c’est supposément un email de sa banque.



Tout le monde n’est pas à notre niveau de connaissances et de compréhension des risques informatiques. A tout hasard, je me demande quel est le niveau de sensibilisation de la population française par rapport au phishing.&nbsp;



Bref, je ne demande juste qu’un peu de recul et de tolérance vis à vis d’une personne potentiellement victime et ignare en la matière (mais être ignare en matière de sécurité informatique n’est pas un crime…. quoi que avec Hadopi..)



<img data-src=" />

Le 20/04/2018 à 08h 33

Je suis désolé mais je vous trouve très virulent dans vos propos comme d’autres ici.



Connait-on le profil du client de la banque ? Je connais des gens, surtout parmi les personnes âgées qui n’y connaissent pas grand chose à l’informatique et aux TIC et qui essaient de s’y mettre… sans forcément en avoir les compétences.



Et je trouve ce jugement dangereux personnellement. Ca ouvre la brèche à reporter la responsabilité sur le client qui 1) s’est fait avoir par le phishing 2) a perdu de l’argent 3) se fait condamner. Et 7000 euros pour la banque, c’est un goutte d’eau dans un océan…



Ce genre de jurisprudence&nbsp;devrait révolter pour ma part…

Le 19/04/2018 à 13h 38

La dernière fois que j’ai acheté un blu ray, c’était Avengers premier du nom, que je n’ai JAMAIS réussi à lire sur mon lecteur, ce dernier ne le détectait pas…. Du coup, ça m’a bien refroidi pour en acheter d’autres…&nbsp;<img data-src=" />

Le 19/04/2018 à 11h 24

Un autre point sensible qui pose toujours problème en France : la chronologie des médias. Attendre quelques années pour voir un film disponible à la TV, c’est juste insupportable.&nbsp;



Le vrai souci qui n’est jamais discuté face aux pratiques de piratage, c’est l’exhaustivité, la disponibilité et la simplicité.&nbsp;




  • exhaustivité des contenus légaux (comme déjà précisé plus haut).

  • disponible rapidement

  • du contenu simple d’accès, parfois avec de meilleurs sous titres que des versions disponibles légalement, sans 20 minutes de pub pour 40 minutes de visionnage, l’interopérabilité et pas de lecteur blu ray qui n’arrive pas à lire le contenu à cause des protections…&nbsp;



    Bref, ramener le piratage à la simple notion pécuniaire est une erreur qui ne fera pas avancer le débat tant que les problèmes de fond n’auront pas été pris à bras le corps par les pouvoirs publics et les industries concernées.

Le 13/04/2018 à 08h 08

Tout à fait d’accord… On pense souvent aux clients, on oublie ceux qui subissent et doivent appliquer aussi ces politiques pour gagner leur croûte….&nbsp;&nbsp;



&nbsp;

Le 11/04/2018 à 18h 26

Une édition trimestrielle papier de NXI, franchement, ça serait bien. Bon, je me fais pas d’illusion, faut pas que ça fasse double emploi avec le site et faut le financer, mais on a le droit de rêver.&nbsp;<img data-src=" />

Le 10/04/2018 à 18h 48

Fidèle lecteur de longue date, je suis vachement emballé ! Contribution faite !!!&nbsp;



Un seul regret… J’veux le RPG NEXT INPACT !!!!!&nbsp;<img data-src=" />



Sinon,

<img data-src=" />

Le 30/03/2018 à 09h 41

Je pense que ça ne ferait que déplacer le problème.&nbsp; Au lieu d’avoir un seul résultat inexplicable, tu aurais tout un tas de résultats inexplicables, là où parfois le jugement humain peut discuter de différents paramètres.&nbsp;

Imaginons l’exemple du prêt : tu pourrais avoir un paramètre santé et espérance de vie avec un très mauvais scoring et un prêt refusé par une IA, alors q’une personne pourrait discuter, négocier, trouver des solutions à ce genre de paramètres. Le truc, c’est que l’IA ne te dirait pas pourquoi, comment et selon quels paramètres elle définie que ce critère doit rejeter le prêt. En ce qui concerne une personne, il y a toujours matière à discuter.



Enfin, une IA qui dit oui ou non, c’est le principe de base du binaire : les inputs outputs sont des successions de oui/non qui fait que quel que soit l’enrobage que l’on mettra autour, une IA, un algo, tout ce qui touche à l’informatique fonctionnera toujours de façon manichéenne si je ne m’abuse. Même si l’enrobage donnera l’apparence que non. Les algorithmes sont des successions de oui/non, même si l’ensemble peut être d’une très grande complexité. Il n’y a pas de niveaux de gris, sauf en apparence.&nbsp;



Enfin, ce n’est que mon point de vue.&nbsp;<img data-src=" />

Le 30/03/2018 à 07h 12

C’est inquiétant tout ça. D’une part parce que ce système de boîte noire représente un risque absolu. Ex : qui dit qu’une IA ne pourra pas anticiper ces fameux tests d’algo, les audits et les tests d’équité et s’adapter à ça et donc “tricher” d’une certaine façon. A partir du moment où l’IA doit statuer sur un comportement humain, ce n’est ni plus ni moins qu’une forme de jeu d’échec à une toute autre échelle bien sûr, mais on voit dans quelle direction tend tous les jeux où se confrontent humain et IA : l’humain n’a plus les moyens d’anticiper et de prévoir autant qu’une IA et ça ne s’arrangera pas…



D’autre part, en ce qui concerne les SALA, le souci est le top secret. Comment ça se passe pour proposer une loi sur quelque chose qui n’est pas censé exister, qui peut être existe déjà ou en partie et dont on ne sait pas où on en est ?&nbsp;



Bref… comme je le disais, inquiétant. Et y a de plus en plus de convergences sur les inquiétudes liées à l’IA sauf que ça bouge hyper lentement….<img data-src=" />

Le 27/03/2018 à 15h 05

Si je ne m’abuse, un promoteur doit vendre le tout viabilisé : il construit un lotissement de plusieurs habitations/immeubles et chacun doit être raccordé au réseau public de façon individuelle et ce quel que soit le réseau.



En exemple, pour les eaux usées : avant, ils faisaient des collecteurs communs&nbsp; par lotissement de maisons individuelles mais cela a engendré des problèmes de responsabilité en cas de défaut (tout le quartier est impacté sans qu’on puisse déterminer ladite responsabilité). Rapporté du syndicat d’assainissement de mon patelin. ;)



&nbsp;Du coup, maintenant, tout est individuel. De même pour les réseaux d’énergie, la loi impose maintenant que chaque logement ait son propre raccordement individuel car du fait de l’ouverture du marché des énergies à la concurrence, chacun doit pouvoir choisir son fournisseur d’énergie ce qui implique un compteur public individuel (je suis concerné, j’ai divisé ma maison familiale en deux et il a fallu que je me mette aux normes ;) ).



Donc, normalement, un promoteur doit justifier de raccordements réseaux individuels. Exception notable pour les immeubles de plusieurs logements et des réseaux d’eaux usées et potable (qui eux ne sont pas ouverts à la concurrence), si je ne m’abuse mais là, aucune certitude.



Après, charge au promoteur, s’il le souhaite, de répartir les coûts. Cependant, la seule mention de viabilisé (même pour un terrain) est obligatoire et fait référence aux raccordements réseaux déjà effectués. Il arrive, sauf erreur, qu’on puisse retrouver dans le détail une seule mention avec un coût global : “viabilisation”.



Mais je ne suis pas sûr de tous ces éléments. Quelqu’un sera peut être plus à même de pouvoir apporter plus de précisions. ;)

Le 27/03/2018 à 13h 31

Pour être en pleine construction et parfaitement au courant, effectivement tu payes quelque chose : la mise en place du compteur et le raccordement au réseau public.



Mais tu ne payes pas le compteur qui in fine fait partie du domaine public. Quelques soient les sociétés qui font les mises en place (Enedis, la Lyonnaise, GDF, etc.. même si elles sous-traitent), sont chargées de missions de service public, soit de raccordement aux réseaux.



Ces sociétés restent propriétaires des compteurs. Mais le raccordement, lui est payant et à la charge de la personne qui construit (plus les taxes éventuelles, comme pour le raccordement à l ‘eau et aux eaux usées).



En espérant avoir pu t’éclairer.



PS : peut être que le promoteur a fait un raccourci en “vendant” un compteur mais il ne peut pas vendre quelque chose qui ne lui appartient pas. La seule exception sont les compteurs divisionnaires mais qui ne sont pas le point d’accès au réseau, et qui ne sont pas concernés par le Linky. (encore une fois, étant propriétaire, et ayant eu le changement pour le linky, le compteur d’accès au réseau a été changé, les divisionnaires, privés et pour mon usage personnel, soit gestion à la fois de la maison et d’une ferme, eux ne sont pas concernés).

Le 26/03/2018 à 08h 30

Plus qu’à espérer un minimum de retour de qualité…

Le 17/03/2018 à 09h 19

Moué…



Beaucoup de réactions tendance complotistes ici. J’adhère cependant à ce qui a été dit plus tôt : rien n’est jamais acquis et il convient de rester prudent.&nbsp;



Cependant,&nbsp;




  1. la réaction de cette sénatrice arrive un peu tard : Enedis a accéléré son mouvement, sa réaction c’est du vent. Il aurait fallu réagir beaucoup plus tôt.

  2. le principal intérêt d’Enedis est purement mercantile : relevé des compteurs à distance = putain de grosse économie sur le déplacement de milliers de techniciens pour faire lesdits relevés.

  3. Malgré notre excédent de production électrique, il nous arrive, par grands froids, d’en importer. Avoir des outils prédictifs à l’échelle de la population est plus qu’intéressant : les foyers qui se retrouvent privés (rarement certes) d’électricité apprécieront cela. (merci pour eux).

  4. la surveillance des foyers par rapport à ce qui s’allume ou pas se base sur un donnée fausse : c’est forcément le résident qui est en train d’utiliser son équipement. D’une part, il arrive à des gens d’allumer quelque chose et de partir en le laissant allumer (pour raison X ou Y, style madame ou monsieur qui allume sa télévision et qui part faire les courses, soit parce qu’il ou elle a une bonne raison soit parce que c’est oubli, une veilleuse qui reste allumée toute la nuit pour un bébé, c’est forcément qu’un adulte est en train de faire une nuit blanche à lire ?). D’autre part, il y a des systèmes de protection contre le vol qui simule la présence de gens dans une maison ou un appartement.

  5. On n’arrête pas le progrès. Et je pense qu’il faut apprendre à vivre avec. L’usage, est bien sûr à surveiller cependant.

  6. Ce n’est pas Enedis qui fait les interventions, mais des sous-traitants. Quand ils sont venus m’installer le mien, le gars d’Enedis était furax après la boîte de sous traitants parce qu’ils ont coupé le jus sans prévenir. Heureusement, j’avais pas de dossier important sur le grill. Enedis font ce qu’ils peuvent pour que ça se passe bien.

  7. Dernier point : je me trompe peut être mais le compteur appartient à la partie réseau ou pas ? Parce que dans ce cas, la fourniture d’énergie (distribution et donc facturation) est indépendante du l’activité du réseau. Et faut pas oublier qu’il y a plein d’acteurs différents fournisseurs d’énergie. Qui récolte les données ? Normalement le distributeur. Donc le discours sur la surveillance généralisée, j’y crois pas vraiment..&nbsp;



    Mais ça n’engage que moi ^^

Le 14/03/2018 à 09h 32

RIP …&nbsp;<img data-src=" />

Le 08/03/2018 à 23h 30

C’est beau, une telle confiance, une telle innocence !&nbsp;





  1. l’altération de la barrière hémato encéphalique peut entraîner des lésions cérébrales, parfois irréversibles. Un exemple de pathologie liée à ce genre d’altération ? les méningites. Risques ? lésions cérébrales permanentes avec altération de l’audition, de la parole, de la mémoire, épilepsie, etc. et mort.&nbsp;Donc, ce n’est pas juste alarmant, c’est juste gravissime de sous évaluer ce risque… (se renseigner sur le rapport COMOBIO, j’ai pas de lien sous la main ).

    Dans les années 2000 le téléphone portable était déjà bien plus répandu : il est devenu mainstream en France en 1997 ou 1998 avec l’offre OLA d’Orange. A cette époque, 1 français sur 10 possède un mobile. Autre exemple : le Nokia 3310, un des plus célèbres téléphones qui soit pour sa robustesse (à tel point que Nokia l’a ressorti en 2017) est sorti fin 2000 et s’est vendu à plus de 126 millions d’unités dans le monde. Donc je t’invite à revoir tes infos à ce sujet. ;)



    Enfin, dire que la corrélation numérique est simplement que les problèmes au cerveau venaient surtout du fait de cadres supérieurs stressés à un neurophysiologiste, c’est comment dire… lol ? je te parle d’expérimentation en laboratoire, de rapports d’analyses (COMOBIO), et pas d’une analyse statistique sur un échantillon (biaisé d’ailleurs) de la population.



  2. Je crois que tu n’as pas compris : les instances officielles ont murmuré “principe de précaution”,&nbsp; les industriels ont durci le ton, en soulignant avec finesse qu’ils apportaient des financements… et tout le monde a fermé sa gueule, le principe de précaution est passé à la trappe.



    Croire qu’aucun industriel ne peut lutter contre les études scientifiques, c’est surréaliste… Il suffit de taper là où ça fait mal : le porte feuille. Et les structures les plus fragiles face à ce genre de situation sont les laboratoires publics en manque de financement, parfois sur des projets d’envergure. Personnellement, j’ai vu comment ça se passait, et j’imagine sans trop de mal que ça se passe encore aujourd’hui.



    Ce n’est pas pour rien qu’aujourd’hui on parle de “laboratoires indépendants” à tout bout de champ, à tel point que ça en est un argument marketing. Et même là, le journalisme d’investigation tend à trouver de temps en temps des indépendances pas si indépendantes que ça..

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Le 08/03/2018 à 17h 37

Bon, ça c’est un sujet sur lequel je peux causer sans souci et en connaissance de cause.



J’ai bossé sur un projet de recherche européen dans les années 2000 sur les dangers de l’exposition aux ondes des téléphones (mais pas que en fait, y a d’autres choses). Je bossais à l’INSERM à l’époque. C’était un gros projet où tout un tas de structures étaient impliquées. Le sujet est vieux donc, et reste toujours sensible. A l’époque j’avais signé une clause de confidentialité mais elle est maintenant finie. #épisodevismavie&nbsp;<img data-src=" />



Y a plusieurs choses à en savoir sur ces ptites bébêtes là.&nbsp;



Tout d’abord, faut savoir que pour pas mal de labos de recherche, ce genre de projets sont des projets nourriciers. Ce ne sont pas forcément le coeur de leurs projets mais ce sont des projets, généralement à court terme, qui permettent de rentrer des fonds. Les labos publics (comme le CNRS, l’INSERM) doivent jongler entre leurs projets à long terme qui s’étalent sur des décennies et le renouvellement des crédits qui se font tous les 4 ans. Les renouvellements de crédit se font sur la base des publications scientifiques dans des revues professionnelles prestigieuses (Impact Factor, le maître mot ici…) Donc pour pas mal d’entre eux, ça veut dire projets nourriciers, c’est à dire des projets financés parfois par des structures privées parce qu’ils ne peuvent pas forcément produire des résultats sur des échelles de temps aussi courtes.



Et ces études dont je parle dans les années 2000 étaient financées par Orange, Bouygues et SFR, du moins en France. On bossait sur tout un tas d’aspect : l’exposition aux ondes, les effets cellulaires, les effets sur les médicaments absorbés, etc etc.



Un des rapports à l’époque était alarmant : la barrière hémato-encéphalique (la barrière entre le sang et le cerveau, ce qui préserve ce précieux organe de tout un tas de cochonneries) devenait poreuse chez les rats lors d’exposition prolongée au téléphone (pas aux ondes), du fait de la chaleur dégagée par les batteries, si je me souviens bien.



Tous les résultats devaient être présentés à Paris, au QG de R&D d’Orange (un énorme machin qui ressemble à une prison ou une caserne militaire avec des barbelés, des contrôles d’ID et tout et tout :p ). Les industriels étaient là.



Conclusion des débâts :

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Avis des chercheurs : invoquer le principe de précaution, car comme déjà dit ici : l’absence de preuve n’implique pas la non existence de danger (c’est le fondement même du principe de précaution scientifique). Communiquer sur ce principe de précaution.

Avis des industriels : principe de précaution = suicide commercial, trop dangereux pour l’économie française, bla bla, etc.



Consensus : on communique sur les ondes qui n’ont pas été démontrées comme dangereuses… Le DAS ne devait pas être présenté comme un facteur à risque ou à surveiller…. Sauf que le DAS, pas mal de gens ne savaient pas ce que c’était, même en boutique. Je connaissais même un amie qui bossait chez Orange qui pensait que plus le DAS était élevé et mieux c’était !!! (pour dire le niveau d’information des vendeurs à ce sujet à cette époque…)

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Conclusion que j’en ai retenu à l’époque : quand des structures privées aident certains labos à rester à flot en terme de financements, il y en a qui apprennent vite à se faire discrets…



Perso, ça m’est resté en travers de la gorge, ce n’était pas l’idée que je me faisais de la recherche : bye bye ma vocation !&nbsp;



Bref, je suis quasi sûr que si l’on creuse un peu plus ces problématiques, on aura de nombreuses surprises…. et pas que des bonnes…<img data-src=" />



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Le 23/02/2018 à 10h 46

Fausse bonne idée en ce qui me concerne… En fait totalement stupide selon moi, même. Lors de la loi de programmation de finances publiques, l’objectif est de tenir un budget par rapport à un projet de société global. Je ne suis pas sûr que tout un chacun (et je m’inclus largement dans le lot…) ait les données, les capacités et surtout la vision globale nécessaire pour cela.



&nbsp;Aller dans ce sens revient à considérer qu’on vide, en idée, une partie d’un programme politique de son sens. A la fin, et de façon retorse, ça revient à une forme de déni de démocratie. La base des élections, c’est de voter pour des idées et un programme (je rêve, je sais…&nbsp;<img data-src=" />), et les LPFPF sont en quelque sorte l’outil de réalisation et de gestion pour ces programmes et ces idées. Là du coup, c’est soulever l’idée que finalement, un programme politique, ça sert pas à grand chose, et que les LPFP, finalement, c’est naviguer à vue… Parce que bien évidemment, ce n’est pas le cas actuellement….&nbsp;<img data-src=" />



(note : mon discours est nuancé, hein : j’ai bien compris qu’il n’y aurait qu’une dose de proportionnelle dans ce cas là. Je soulève juste l’idée qu’on ouvre une porte de pandore et que j’aime pas ça :p)

La cour des comptes se fera encore plus de cheveux blancs et en plus, si ça passe, le gouvernement pourra dire “c’est pas ma faute, c’est le peuple qui a choisi”…



Ferait mieux de mettre de la proportionnelle dans l’élaboration et le vote des lois, ça serait largement plus démocratique en mon sens… et encore que cela rejoigne en partie ce que j’ai déjà dit sur les LPFP…



Bref…

Le 05/02/2018 à 10h 48

Gloups…



J’ai toujours pensé que la loi s’appliquait aux véhicules en circulation. Il m’est déjà arrivé de vérifier mon tél, lire un sms, ou passer un coup de fil rapide pendant un feu rouge (toujours raccroché ou reposé le tél quand il passait au vert)…



Du coup, merci pour la précision, je vais changer mes habitudes.&nbsp;&nbsp;<img data-src=" />

Le 04/02/2018 à 22h 13

Humm.. Concernant le sexe dans la série, je trouve au contraire que c’est nécessaire. Ca amène une question d’ordre morale : le corps n’est plus quelque chose auquel on s’identifie. Il est “jetable”, donc consommable. Et donc beaucoup de choses sont permises. Ca plante le décor. De la même façon qu’à un moment, certains préfèrent mourir que rester blessés.



Dans le même ordre d’idée, y a la question de la femme qui revient dans un corps d’homme (qui n’a pas le choix d’ailleurs) et qui va voir son mari et ce dernier l’accepte, sans préjugé. Parce qu’à ce niveau là, le préjugé ne se situe plus là. Le rapport à l’homosexualité, à l’âge, à la perspective de la famille font partie intégrante , au même titre que le sexe, de choses qu’on perçoit différemment dans cet univers.



Et ce n’est pas le premier univers où je vois ou lis ce genre de perspective. Peter F. Hamilton présente quelque chose de similaire par exemple, dans Pandore et ses suites ou encore la trilogie du Vide.



Bref, à remettre dans son contexte et dans la perspective d’une compréhension de ce que peut vouloir dire ce genre d’univers.

Le 03/02/2018 à 18h 43

Je me suis fait un binge watching, et ai regardé toute la saison hier. J’ai personnellement vraiment accroché. La série se laisse regarder sans difficulté, du moment que la violence, la nudité et le sexe ne choque pas. D’ailleurs, la plus grande violence dans cette série est morale.



Les acteurs sont plutôt bons, certains pas transcendants, pareils pour les effets spéciaux, mais le tout a une cohérence plutôt agréable.&nbsp;



Ce qui m’a plu finalement, c’est le côté un peu cru et abrupt qui tend à donner une certaine cohérence à l’ensemble : que ce soit pour la perspective de la différence entre riches et pauvres, du rapport au sexe et au virtuel, et même du rapport à la mort, la mayonnaise prend.&nbsp;



Je craignais fortement que la série fasse dans le kitsch ou se loupe sur la cohérence de l’univers qu’elle propose mais pour moi, le piège a été évité.



Seul truc, comme précisé dans l’article, 10 épisodes, c’est court, et beaucoup de questions restent sans réponses. Mon gros regret, finalement, c’est le côté un peu “local” de l’intrigue. Tout ce qui concerne d’autres mondes, d’autres planètes est juste suggéré par des noms et quelques plans où on voit plusieurs lunes sur une planète. Cela dit, je n’ai pas lu les bouquins (prochainement !), et peut être que ça ne fait que respecter le matériel original. ^^



Nota : avis strictement personnel qui vaut juste ce qu’il vaut.&nbsp;<img data-src=" />