L’utilisation des ports 2.5GB/S à domicile est encore couteuse. Il faut avoir une carte réseau 2.5GB/S (50€), et un bon câblage ethernet mural ainsi qu’un switch 2.5GB/S (150€) selon la topologie du logement. Mais on n’est qu’au début du processus de commercialisation de cette nouvelle norme!
L’open-source est très utilisé dans le spatial. C’est même pas le sujet. La vaccination de tous est l’affaire de tous, ça n’est pas un projet mercantile ou de défense requérant de la discrétion. Brevet ouvert ? Il y a beaucoup de laboratoires et d’usines prêtes à jouer le rôle de cuisine ultra-rentable à grand renfort d’argent publique et de vente forcée.
ça impliquerait des vaccins génériques , ça ne permettrait plus au producteur actuel de d’imposer ses conditions de façon très agressive aux représentants politiques, désavantageuses économiquement pour la collectivité, qui n’a de toute façon pas été consultée vu que les décisions sont prises, en France, par un conseil sanitaire opaque, qui consulte lui même un cabinet privé sous contrat.
Une flopée de ces représentants a d’ailleurs des intérêts financiers actuels ou passés en lien avec l’entreprise qui détient le brevet du sérum le plus imposé dans le monde, mais une autre flopée de décideurs serait toute aussi prête à faire jouer ses intérêts dans le cadre d’un marché ouvert avec un brevet libre et d’autres producteurs.
Une forme d’équilibrisme d’influence en somme.
En outre, avec la plus grande énergie scientifique déployée en l’absence de brevet, il serait plus difficile de garantir l’opacité des procédés de fabrication ainsi que la discrétion sur le contrôle d’un produit que la population est contrainte par les mêmes représentants politiques de consommer tous les 6 mois.
Une personne qui n’est pas assez vaccinée selon les critères du moment a d’autant plus d’intérêt à se faire dépister vu qu’elle est supposée plus à risque.
Le collectif peut aussi décider de lutter contre la propagation d’un virus en prenant en compte l’intégralité de la population, et de ne pas s’arrêter à l’injection ou non d’un des vaccins par la patientèle.
Le but n’est pas de faire des économies budgétaires en pressurisant les plus précaires des pas vaccinés mais de déterminer la présence ou non d’un virus dans l’organisme.
On dépiste, on ne contrôle pas.
C’est l’objet d’un des nombreux points la proposition de loi, vous pouvez demander à vos élus de la rejeter.
On en revient toujours au même point : une personne aisée n’est pas contrainte financièrement par le coût des tests, la contrainte vaccinale est moindre. Ça n’est pas le seul vecteur décisionnel qui amène à un choix vaccinal, il y en a plusieurs, ça en fait parti.
Le fait de ne plus avoir le droit d’être d’exercer et donc d’être rémunéré pour son travail en est un autre.
Vous voyez bien qu’on parle d’une société de contrôle social de façon banale.
Dès lors je ne vois pas l’intérêt de privatiser (individualiser) cette charge que représente le coût de la réalisation du test par le laboratoire, qui promet d’améliorer la santé du collectif. Le manque d’argent d’un individu ne doit pas l’amener à une difficulté supplémentaire pour se faire dépister.
100 balles et un mars ? C’est si terrible de ne pas différencier un patient aisé d’un patient sans moyens financiers suffisants ? Le dépistage de la maladie ne constitue pas une lourde charge pour certains, et est inaccessible à d’autres. La gratuité d’accès permet le dépistage massif. Ça n’était pas une recommandation de l’OMS ?
Il est plus dangereux covidement parlant (c’est dire la relative intensité du risque) de côtoyer un parterre de vaccinés que de personnes testées négativement.
De toute façon il y aura toujours des gens résignés ou convaincus par la société de contrôle tant que leur contrôle se passe bien.
Un pavé dans la marre de l’inaction politique face à l’émergence du commerce en ligne, avec ses marges colossales, ses domiciliations fiscales optimisées, ses géants monopolistiques, ses entreprises de ecommerce de petite taille, son impact sur les économies régionales. Une fiscalité adaptée aux caractéristique d’un secteur, c’est une brique parmi d’autres que LFI n’hésite pas à aborder.
Ça a le mérite de lancer le débat plutôt que de se contenter de déplorer la perte de souveraineté numérique.
Ça fera forcément jaser les partisans du laisser—faire ou de l’Union nounou.
Beaucoup ne regardent même plus leur propre ombre. Il serait assez malvenu de s’enfoncer encore plus profondément dans la crise (c’est en cours) par “techno-prophétisme”.
“politiquement correct” ça ne veut rien dire, politiquement correct libertarien ou politiquement correct humaniste ? Etc…
Non-contents de la concentration des médias, voici un beau petit cadeau aux grands groupes de presse pas si étatiques qu’on voudrait nous le faire croire, il y a une vraie ligne politique derrière, on s’en rendra beaucoup plus compte quand il y aura d’autres gens au pouvoir
Jouer les libéraux dispurto-créatifs c’est marrant cinq minutes, mais les maréchaux ferrans comme les garagistes, profitant du marché français, ont travaillé avec le régime fiscal de ce même pays.
if grep $programme_lrem /var/log/grand_debat ; then echo “les français expriment un réel désir de réforme pour s’intégrer plus efficacement dans la mondialisation” ; fi
“Nous ne reviendrons pas sur les mesures que nous avons prises pour corriger cela afin d’encourager l’investissement et faire en sorte que le travail paie d’avantage”
Une telle mise en garde idéologique laisse peu de place au changement de cap, comme on dit…
Cela ne m’étonne pas qu’un communiste fasse fi de la propriété intellectuelle et demande la publication du savoir faire de société privées.
C’est en effet peu étonnant qu’un député communiste soit attentif à la façon dont sont traitées les données des citoyens. Les libéraux haïssent la démocratie.
La proposition rappelle des exigences de transparence méthodologie évidentes… Il semble assez aisé de faire ressortir une forte envie de “libérer l’économie”, et de “dégraisser le mammouth” à partir de mots clés si la façon de traiter les données n’est pas expliquée. Taille des échantillons, différenciation de l’émetteur de la proposition (lobbying?), il y a tellement de points essentiels à la tenue d’un débat démocratique.
L’ISF est surtout là pour compenser les disparités de la redistribution du fruit du travail effectué par les salariés. Le PS n’a absolument rien fait en ce sens en cinq ans, au contraire il a enfoncé le clou de la libéralisation du marché du travail, entériné des réformes qui renforcent le poids de l’employeur dans le rapport de force contractuel. Tout ça plus une prime d’activité pour éviter que les travailleurs pauvres ne puissent même plus bouffer. Donc qu’ils fassent un référendum c’est mignon et circonstancié mais ça ne compensera jamais toutes les politiques asocialistes qu’ils ont mené.
Le rapport des capitalistes a la démocratie est passionnant et étonnement lié à leurs intérêts particuliers, quand il s’agit des pays d’Afrique et du MO, tout est OK, exploitation, dictature, oppression, homophobie, famines et pénuries liées à des intérêts d’autres capitalistes, mais quand on parle de maintenir des liens avec les pays de l’Amérique du Sud, tout de suite les médias libéraux majoritaires se cantonnent au totalitarisme sanguinaire assassin et cruel de ces nostalgiques de l’URSS.
Oui à la démocratie, non aux totalitarisme, non aux spéculateurs et à la main-mise occidentale sur ce qui doit se faire ou non selon ses intérêts…
A ce niveau là si on veux vraiment exprimer l’ensemble des capacités humaine à la création (enfin au moins Française) je suis carrément plus pour un revenu universel. Ce qui me semble inéluctable à horizons 10 / 15 ans.
Pour avoir été 12 ans en couple avec une Artiste, je connais un peu le milieu de l’Art, et c’est pas facile de percer. Donc là c’est tout l’intérêt de donner de quoi vivre décemment, à tout le monde sans discrimination plutôt que chacun chope son bout de gras dans son coin avec une opacité dans le traitement final et tout le lobbyng qui va derrière.
Ben pour revenir à la politique de ce mois d’avril, et au sujet de l’article, JLM propose de passer le RSA au seuil de pauvreté, et de le rendre systématique, donc pour apporter un revenu à tous ceux qui n’en ont pas au travers d’un travail lucratif.
Je vois pas aujourd’hui l’intérêt de le donner à ceux qui travaillent déjà, pour eux il faut plutot porter des mesures pour qu’ils aient un salaire décent.
Le rsa peut être re-renommé en un truc plus moderne après… Mais c’est un revenu pour ceux qui n’en ont pas avec le travail !
Oui c’est sur. Mais si t’as pas de carottes pour te faire trimer longtemps sans revenues c’est un peu dur de s’y mettre. Mais après si un patron veux garder les bons éléments il faut les payer à leur justes mesures.
Je voie un artiste (en tous genre) comme un entrepreneur qui se créer son business. Si ce qu’il fait marche pas, je voie pas quoi faire pour.
Pour faire vivre l’art !
La musique, la peinture, la littérature… Tout ça n’est pas nécessairement rentable de son vivant !
Utopique ? C’est pas à moi qu’il faut l’dire jsuis pas artiste. Et tant mieux is ça l’est, vu le résultat (les œuvres d’art non rentables qui ont marqué l’histoire).
Bien sûr, cela s’applique à des entreprises capitalistes, qui ont pour objectif la rentabilité. :)
Comme le dit bien Martino, différents modes d’organisations sont possibles et existent déjà ! Et tous ne cherchent pas à être rentable, du service public à certaines scop…
Après on répond aussi aux problématiques qui touchent les entreprises capitalistes, car c’est une bonne majorité ici, et c’est pas l’Melenchon qui va dire le contraire,du coup il porte des idées que je partage avec lui, d’où mon vote. 😆
Bah si je crée une boite qui n’est pas rentable je vais avoir du mal à payer les employés. Mais bon ils vivront d’amour et d’eau fraiche ^^
L’utopie c’est beau mais dés fois la réalité de la vie te rattrape.
Je ne trouve rien à redire sur ça car je suis d’accord.
Mais je ne nie absolument pas ça, je décrit le rapport des travailleurs (qui vont eux aussi travailler à rendre la boîte rentable, de la main d’œuvre aux commerciaux, en passant par le marketing etc.), au patron (qui joue un rôle important).
On ne peut pas tronquer ça à l’initiative patronale (qui existe).
Je sais pas si j’exprime quelque chose de clair après, mais je ne tiens pas un discours autour de l’utopie ou de ce qui n’est pas encore, juste de ce qu’on fait tous les jours.
Et je rappelle donc qu’il ne faut pas oublier l’histoire des luttes sociales. Les congés payés, le temps de travail réglementé, le droit au chômage, etc.
C’est de ça que je parle !
Et j’en parle à ceux qui voient ça comme une atteinte à leur liberté individuelle d’entrepreneur. Car ça bride leur possibilité d’accumuler de l’argent grâce à la mise en mouvement d’autrui.
Mais je ne nie pas qu’une boîte puisse se vautrer hein, quand les résultats sont pas là ils n’y sont pas :)
Et “on” essaye (vous nous, peut importe, ça s’adresse à qui lutte ou porte des idées à ce propos) à notre échelle de changer ce que vous pouvez appeler péjorativement, et nous aussi, un politicien.
La vie de la cité n’a donc plus vocation à être discutée et ses décisions débattues ? Bien sûr que si, répondrais-je tout chargé d’idéologie que je suis. :)
Oui aux initiatives dites apolitiques, mais selon le référentiel on peut les qualifier de hautement politiques (positivement).
Oui on peut se passer des politiciens tels qu’ils sont, en tant que classe dominante à part qui légifère pour des intérêts qui sont très discutables.
C’est d’ailleurs “notre projet”.
Impossible ? Ah bah c’est tout le propos, c’est l’objet de la lutte en question.
Et puis sans les politiciens, mais qui sont les politiciens ?
L’école gratuite et obligatoire et laïque vient d’où ?
De non-politiciens pendant la commune de Paris.
Mais du coup ils étaient les politiciens de leur aventure, mais là politicien dans un tout autre sens alors. Qui furent massacrés par des bras armés de politiciens. Puis cette idée fut portée par des politiciens pour rester vivante.
OK aux généralités anti-communistes, mais on veut des exemples camarade !
Le seul problème, c’est que la plupart des activités de l’humain sont lucratives, y compris le logiciel libre.
Parce que lucratif, c’est juste un synonyme d’avoir quelque chose a manger dans son assiette après une journée de travail.
L’art et la culture ne sont pas toujours lucratifs, parfois, souvent, c’est juste une activité créative, avec pour vocation soit de devenir lucratif (en effet) soit de simplement créer. Faire vivre l’art. Vraiment.
Mais du coup, taxer l’utilisation des œuvres du domaine public à des fins lucratives, pour combler l’absence de lucrativité (j’aime bien) des artistes qui essaient d’vivre, ça va mettre qui a mal ?
Qui utilise pleinement des éléments du domaine public à des fins lucratives ? (c’est une vraie question là).
Là je vois par exemple les rééditeurs de livres libres sur amazon, on est loin d’l’artiste.
Un patron qui a 50 salariés, c’est une entreprise de 51 personnes, donc on tape dans une participation d’environ 2% par individu, donc le patron contribue lui aussi pour 2%, à la louche.
Dans un cas théorique où tous les employés font la même chose. Hein.
Une entreprise avec 51 personnes ne peut se résumer en un patron plus fort que 99% de la civilisation.
Mais non, on va te répondre que le SMIC est un salaire minimum, et qu’il convient très bien au travailleur de base qui n’avait pas envie de se faire chier à faire des études pour occuper sa vie.
Que la somme est déjà conséquente, et qu’en tant que glandu moyen, il devrait déjà s’estimer heureux que l’on ai plus recours au fouet et que le travail dans les champs de coton est bien plus agréable qu’a l’époque.
Et qu’il est de plus, bien normal que le patron qui possède le champ s’en mette plein les fouilles, après tout, le champ est à lui, et des gens pour travailler sur son champ, il lui suffit de mettre un coup de pied dans un plant, il y en a 10 qui tombent.
Que tu es pragmatique et réaliste, une qualité qui montre que tu as les pieds sur terre ! 👍
Entre la culture complètement étatisée (ici Mélenchon) et la culture vendue à 3 monopoles sanctionnés par l’État (Macron,Fillon), le choix est dur…
Il faut tout de même noter que l’état en question sera régit par la 6eme République donc : mandat impératif donc avec le droit de révoquer un élu qui ne fait pas ce pourquoi il a été élu, rédaction d’la nouvelle constitution (c’est important mais c’est un travail difficile), et la loi s’applique aux élus, si ils sont condamnés pour corruption il ne brigueront plus de mandat auprès du peuple.
Et la liste est longue, mais l’état ne sera plus l’état avec lequel on traite aujourd’hui.
Et pour ce qui est de Jean Luc lui même, il s’inspire aussi du travail des associations comme la Quadrature du Net, la Ldh, des écologistes, etc.
Et pour les amoureux d’la liberté au travail, longue vie à la CGT, au PCF, le PS avant, bien avant, et à tous ceux qui ont pris part aux luttes sociales pour “libérer” le travail.
Quand on compare l’obtention d’une limite d’heures de travail (40h, 38h, 35h) à la liberté pour un employeur de supprimer des postes sans apporter d’autres éléments que la recherche du profit, ou l’augmentation du temps de travail des salariés pour cette même recherche de profit, on peut se demander ce qu’est cette liberté.
Quand d’la valeur est produite (matériellement), il y a un “smicard” au bout d’la chaîne. Aujourd’hui en tout cas. Et pour ce qui est produit en France, bien sûr, vu qu’on parle de SMIC.
Si il y a bien quelqu’un qui “prend une partie de son argent”, c’est son employeur en se permettant de payer les travailleurs au minimum pour optimiser ses revenus ou ceux de sa société (sans pour autant redistribuer les richesses produites aux producteurs de cette richesse, vu qu’on parle toujours à la fin de ce message de “smicards”).
Et vu que c’est une critique récurrente, avant de critiquer l’impôt , on peut se pencher sur la redistribution des richesses par l’ENTREprise, c’est drôlement plus significatif.
Surtout quand on parle de ceux qui perçoivent le moins d’argent. Après tout ils l’ont mérité, ils sont libres de partir ? Oui, libre de n’ plus manger et d’étudier pour “réussir”. “Réussite” qu’on encourage par ailleurs, mais “réussite” pour les uns ne résout rien pour les autres.
Sauf qu’un truc qui rapporte est un truc que les gens veulent. A ce moment là selon ton idée, on finance absolument n’importe quoi. Tiens, j’ai pas de talent pour faire de la BD?N mais je veux du fric, pouf, finance moi ?
A quel point est-ce dur de comprendre que cet argent ne vient pas de nulle part, mais des gens qui bossent pour le créer ? Et que quand tu finances un truc non rentable, ça revient àprendre cet argent aux travailleurs pour décider à leur place de leur payer des choses dont ils ne veulent pas ?
Jesais pas, visualise la situation humaine: imagine toi aller voir un smicard, lui prendre une partie de son argent, et lui dire “oui mais je veux financer des auteurs de BD avec, même si t’as rien à foutre de la BD”. Ca ne te choquerait pas un peu ?
Pourquoi vouloir encore et toujours décider à la place des autres ce qu’ils veulent faire de leur corps, de leur travail, de leur argent ? Pourquoi vouloir sans arrêt contrôler la vie des autres ?…
Donc les autres ne doivent produire que ce qui est rentable dans ce système capitaliste.
Vous souhaitez donc exercer un contrôle sur le corps, le travail, et l’argent des gens, car vous les contraignez à exercer une activité “rentable” selon VOTRE point de vue. Et en prenant pour principe l’accumulation de ce même argent. Drôle de vision ? Non, plutôt honnête, car c’est ce qui se passe aujourd’hui. Mais c’est là qu’intervient la question du politique et du changement. :)
Constater la situation à un instant t ne permet pas d’affirmer avec mépris comme vous le faites que vous avez trouver l’bon truc, et que chacun doit accumuler.
C’est précisément vous qui voulez décider de ce que les autres font, par la fausse abstraction de l’argent.
58 commentaires
Le 17/01/2023 à 06h53
Le Graal c’est la finance, moins l’industrie, l’artisanat et leurs pratiques!
Le 16/12/2021 à 19h27
L’utilisation des ports 2.5GB/S à domicile est encore couteuse. Il faut avoir une carte réseau 2.5GB/S (50€), et un bon câblage ethernet mural ainsi qu’un switch 2.5GB/S (150€) selon la topologie du logement. Mais on n’est qu’au début du processus de commercialisation de cette nouvelle norme!
Le 10/12/2021 à 10h19
Ils pré-remplissent le formulaire 2086 ?
Le 03/12/2021 à 11h26
Le KYC est déjà la norme dans pas mal de pays
Le 03/12/2021 à 11h13
L’open-source est très utilisé dans le spatial. C’est même pas le sujet.
La vaccination de tous est l’affaire de tous, ça n’est pas un projet mercantile ou de défense requérant de la discrétion.
Brevet ouvert ? Il y a beaucoup de laboratoires et d’usines prêtes à jouer le rôle de cuisine ultra-rentable à grand renfort d’argent publique et de vente forcée.
ça impliquerait des vaccins génériques , ça ne permettrait plus au producteur actuel de d’imposer ses conditions de façon très agressive aux représentants politiques, désavantageuses économiquement pour la collectivité, qui n’a de toute façon pas été consultée vu que les décisions sont prises, en France, par un conseil sanitaire opaque, qui consulte lui même un cabinet privé sous contrat.
Une flopée de ces représentants a d’ailleurs des intérêts financiers actuels ou passés en lien avec l’entreprise qui détient le brevet du sérum le plus imposé dans le monde, mais une autre flopée de décideurs serait toute aussi prête à faire jouer ses intérêts dans le cadre d’un marché ouvert avec un brevet libre et d’autres producteurs.
Une forme d’équilibrisme d’influence en somme.
En outre, avec la plus grande énergie scientifique déployée en l’absence de brevet, il serait plus difficile de garantir l’opacité des procédés de fabrication ainsi que la discrétion sur le contrôle d’un produit que la population est contrainte par les mêmes représentants politiques de consommer tous les 6 mois.
Le 03/12/2021 à 10h17
Une personne qui n’est pas assez vaccinée selon les critères du moment a d’autant plus d’intérêt à se faire dépister vu qu’elle est supposée plus à risque.
Le 02/12/2021 à 10h47
Le collectif peut aussi décider de lutter contre la propagation d’un virus en prenant en compte l’intégralité de la population, et de ne pas s’arrêter à l’injection ou non d’un des vaccins par la patientèle.
Le but n’est pas de faire des économies budgétaires en pressurisant les plus précaires des pas vaccinés mais de déterminer la présence ou non d’un virus dans l’organisme.
On dépiste, on ne contrôle pas.
C’est l’objet d’un des nombreux points la proposition de loi, vous pouvez demander à vos élus de la rejeter.
Le 02/12/2021 à 10h38
On en revient toujours au même point : une personne aisée n’est pas contrainte financièrement par le coût des tests, la contrainte vaccinale est moindre. Ça n’est pas le seul vecteur décisionnel qui amène à un choix vaccinal, il y en a plusieurs, ça en fait parti.
Le fait de ne plus avoir le droit d’être d’exercer et donc d’être rémunéré pour son travail en est un autre.
Vous voyez bien qu’on parle d’une société de contrôle social de façon banale.
Le 02/12/2021 à 10h33
Dès lors je ne vois pas l’intérêt de privatiser (individualiser) cette charge que représente le coût de la réalisation du test par le laboratoire, qui promet d’améliorer la santé du collectif.
Le manque d’argent d’un individu ne doit pas l’amener à une difficulté supplémentaire pour se faire dépister.
Le 02/12/2021 à 10h25
100 balles et un mars ?
C’est si terrible de ne pas différencier un patient aisé d’un patient sans moyens financiers suffisants ? Le dépistage de la maladie ne constitue pas une lourde charge pour certains, et est inaccessible à d’autres. La gratuité d’accès permet le dépistage massif.
Ça n’était pas une recommandation de l’OMS ?
Il est plus dangereux covidement parlant (c’est dire la relative intensité du risque) de côtoyer un parterre de vaccinés que de personnes testées négativement.
De toute façon il y aura toujours des gens résignés ou convaincus par la société de contrôle tant que leur contrôle se passe bien.
Le 10/11/2021 à 10h17
La télé est toujours aussi détestable en dépit de l’innovation technique
Le 12/10/2021 à 08h04
Un pavé dans la marre de l’inaction politique face à l’émergence du commerce en ligne, avec ses marges colossales, ses domiciliations fiscales optimisées, ses géants monopolistiques, ses entreprises de ecommerce de petite taille, son impact sur les économies régionales.
Une fiscalité adaptée aux caractéristique d’un secteur, c’est une brique parmi d’autres que LFI n’hésite pas à aborder.
Ça a le mérite de lancer le débat plutôt que de se contenter de déplorer la perte de souveraineté numérique.
Ça fera forcément jaser les partisans du laisser—faire ou de l’Union nounou.
Le 15/09/2020 à 09h46
Beaucoup ne regardent même plus leur propre ombre.
Il serait assez malvenu de s’enfoncer encore plus profondément dans la crise (c’est en cours) par “techno-prophétisme”.
Le 29/06/2020 à 09h43
“politiquement correct” ça ne veut rien dire, politiquement correct libertarien ou politiquement correct humaniste ? Etc…
Non-contents de la concentration des médias, voici un beau petit cadeau aux grands groupes de presse pas si étatiques qu’on voudrait nous le faire croire, il y a une vraie ligne politique derrière, on s’en rendra beaucoup plus compte quand il y aura d’autres gens au pouvoir
Le 10/03/2020 à 09h46
Dès lors que les deux candidats restants à la primaire s’opposent toujours radicalement l’un l’autre…
Le 25/11/2019 à 09h41
Jouer les libéraux dispurto-créatifs c’est marrant cinq minutes, mais les maréchaux ferrans comme les garagistes, profitant du marché français, ont travaillé avec le régime fiscal de ce même pays.
Le 03/07/2019 à 16h04
L’idéologie libérale ne répond pas à tout.
Le 03/07/2019 à 09h33
Tout comme il existe encore des images des mutilés et des eborgnés
Le 03/07/2019 à 09h29
Qui de plus concernés que les utilisateurs d’un service ou les résidents d’un pays pour réclamer le respect ou l’évolution des règles communes ?
Le 03/05/2019 à 08h41
Et depuis le premier mai, au moins, il semblerait qu’on ne dise plus fake news mais vérité!
Le 09/04/2019 à 09h42
if grep $programme_lrem /var/log/grand_debat ; then echo “les français expriment un réel désir de réforme pour s’intégrer plus efficacement dans la mondialisation” ; fi
Le 07/03/2019 à 13h22
D’ailleurs on peut citer aussi :
“Nous ne reviendrons pas sur les mesures que nous avons prises pour corriger cela afin d’encourager l’investissement et faire en sorte que le travail paie d’avantage”
Une telle mise en garde idéologique laisse peu de place au changement de cap, comme on dit…
Le 07/03/2019 à 13h12
Le 06/03/2019 à 09h53
“elle craint que le dispositif ne se répercute finalement sur le consommateur final”
Je suis rassuré, leurs salaires innovants resteront à six chiffres!
Le 26/02/2019 à 12h45
J’imagine pas ce que ça peut donner le jour où Macdo sera implanté.
Le 26/02/2019 à 09h35
C’est l’histoire d’une licorne européiste qui mange des jeunes pousses de Soja au petit déj ?
On peut remercier la novlangue d’avoir préservé l’écosystème !
Le 21/12/2018 à 14h58
L’ISF est surtout là pour compenser les disparités de la redistribution du fruit du travail effectué par les salariés. Le PS n’a absolument rien fait en ce sens en cinq ans, au contraire il a enfoncé le clou de la libéralisation du marché du travail, entériné des réformes qui renforcent le poids de l’employeur dans le rapport de force contractuel. Tout ça plus une prime d’activité pour éviter que les travailleurs pauvres ne puissent même plus bouffer. Donc qu’ils fassent un référendum c’est mignon et circonstancié mais ça ne compensera jamais toutes les politiques asocialistes qu’ils ont mené.
Le 12/12/2018 à 10h04
Je vais aussi essayer d’éviter d’acheter des yaourts dans la grande distribution…
Le 14/04/2017 à 13h01
Le rapport des capitalistes a la démocratie est passionnant et étonnement lié à leurs intérêts particuliers, quand il s’agit des pays d’Afrique et du MO, tout est OK, exploitation, dictature, oppression, homophobie, famines et pénuries liées à des intérêts d’autres capitalistes, mais quand on parle de maintenir des liens avec les pays de l’Amérique du Sud, tout de suite les médias libéraux majoritaires se cantonnent au totalitarisme sanguinaire assassin et cruel de ces nostalgiques de l’URSS.
Oui à la démocratie, non aux totalitarisme, non aux spéculateurs et à la main-mise occidentale sur ce qui doit se faire ou non selon ses intérêts…
Peace ✌
Le 13/04/2017 à 16h43
Un bon europhile a tout intérêt à travailler à la refonte des traités de la dite union.
Enfin sauf si sa vision de l’union européenne est autoritaire. #2005 😆
Le 12/04/2017 à 15h43
Vos références répétées à la situation du Venezuela sont assez surprenante quand on analyse un peu les rapports de force la bas.
Surtout pour la question de la santé hein.
Le 12/04/2017 à 15h35
Le 12/04/2017 à 15h21
Le 12/04/2017 à 15h19
Bien sûr, cela s’applique à des entreprises capitalistes, qui ont pour objectif la rentabilité. :)
Comme le dit bien Martino, différents modes d’organisations sont possibles et existent déjà ! Et tous ne cherchent pas à être rentable, du service public à certaines scop…
Après on répond aussi aux problématiques qui touchent les entreprises capitalistes, car c’est une bonne majorité ici, et c’est pas l’Melenchon qui va dire le contraire,du coup il porte des idées que je partage avec lui, d’où mon vote. 😆
Le 12/04/2017 à 15h07
Le 12/04/2017 à 14h56
Et “on” essaye (vous nous, peut importe, ça s’adresse à qui lutte ou porte des idées à ce propos) à notre échelle de changer ce que vous pouvez appeler péjorativement, et nous aussi, un politicien.
La vie de la cité n’a donc plus vocation à être discutée et ses décisions débattues ? Bien sûr que si, répondrais-je tout chargé d’idéologie que je suis. :)
Oui aux initiatives dites apolitiques, mais selon le référentiel on peut les qualifier de hautement politiques (positivement).
Oui on peut se passer des politiciens tels qu’ils sont, en tant que classe dominante à part qui légifère pour des intérêts qui sont très discutables.
C’est d’ailleurs “notre projet”.
Impossible ? Ah bah c’est tout le propos, c’est l’objet de la lutte en question.
Le 12/04/2017 à 14h48
Et puis sans les politiciens, mais qui sont les politiciens ?
L’école gratuite et obligatoire et laïque vient d’où ?
De non-politiciens pendant la commune de Paris.
Mais du coup ils étaient les politiciens de leur aventure, mais là politicien dans un tout autre sens alors. Qui furent massacrés par des bras armés de politiciens. Puis cette idée fut portée par des politiciens pour rester vivante.
OK aux généralités anti-communistes, mais on veut des exemples camarade !
Le 12/04/2017 à 14h45
Justement on ne se base pas sur la France vu qu’on cherche à la faire changer pour ce qu’on évoque.
Donc non, nous ne sommes pas cantonné à une vision française, bien au contraire.
Et l’état socialiste, marrante comme appellation pour notre état.
Le 12/04/2017 à 14h40
Le 12/04/2017 à 14h15
J’aime bien les restrictions de liberté selon les libéraux.
~~
C’est que pour les plus riches, par les impôts.
Les travailleurs ?
Mais ils sont libres, ils travaillent, en plus on est sympa on leur file au moins le salaire minimum, qui est déjà trop haut :x
Ils sont même plus libres, ces smicards flemmards ne payent pas ou peu d’impôts (la TVA ? Osef)
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Le 12/04/2017 à 14h09
Un patron qui a 50 salariés, c’est une entreprise de 51 personnes, donc on tape dans une participation d’environ 2% par individu, donc le patron contribue lui aussi pour 2%, à la louche.
Dans un cas théorique où tous les employés font la même chose. Hein.
Une entreprise avec 51 personnes ne peut se résumer en un patron plus fort que 99% de la civilisation.
Liberals come back please… 😆
Le 12/04/2017 à 14h06
Le 12/04/2017 à 13h56
Un SMIC à 1100€ pour un travailleur n’est-ce pas confiscatoire ?
Vous voulez moins d’état, soit, mais dans quel but ?
Les libéraux qui concourent au rôle de président veulent pouvoir réduire les droits des travailleurs et les avantages sociaux.
Un SMIC est confiscatoire. Pour le travailleur.
Toujours à juger l’état (c’est autoritaire et méchant) jamais les entreprises et la redistribution (c’est libre et gentil)
Le 12/04/2017 à 13h52
Oui je m’attarde sur le mot rentable car il veut dire beaucoup de choses. #marchandisation
Ne vous inquiétez pas, à aucun moment je n’ai prétention à définir ce qui est bon pour le peuple.
A aucun moment dans mes commentaires je ne l’ai fait, mais vous tenez à m’ attribuer cette caractéristique….
Le 12/04/2017 à 12h32
Le 12/04/2017 à 11h39
Edit
Le 12/04/2017 à 11h38
Et pour les amoureux d’la liberté au travail, longue vie à la CGT, au PCF, le PS avant, bien avant, et à tous ceux qui ont pris part aux luttes sociales pour “libérer” le travail.
Quand on compare l’obtention d’une limite d’heures de travail (40h, 38h, 35h) à la liberté pour un employeur de supprimer des postes sans apporter d’autres éléments que la recherche du profit, ou l’augmentation du temps de travail des salariés pour cette même recherche de profit, on peut se demander ce qu’est cette liberté.
Liberté, pour qui ?
Le 12/04/2017 à 11h29
Quand d’la valeur est produite (matériellement), il y a un “smicard” au bout d’la chaîne. Aujourd’hui en tout cas. Et pour ce qui est produit en France, bien sûr, vu qu’on parle de SMIC.
Si il y a bien quelqu’un qui “prend une partie de son argent”, c’est son employeur en se permettant de payer les travailleurs au minimum pour optimiser ses revenus ou ceux de sa société (sans pour autant redistribuer les richesses produites aux producteurs de cette richesse, vu qu’on parle toujours à la fin de ce message de “smicards”).
Et vu que c’est une critique récurrente, avant de critiquer l’impôt , on peut se pencher sur la redistribution des richesses par l’ENTREprise, c’est drôlement plus significatif.
Surtout quand on parle de ceux qui perçoivent le moins d’argent. Après tout ils l’ont mérité, ils sont libres de partir ? Oui, libre de n’ plus manger et d’étudier pour “réussir”. “Réussite” qu’on encourage par ailleurs, mais “réussite” pour les uns ne résout rien pour les autres.
Le 12/04/2017 à 11h14
Le 03/01/2017 à 23h29
Capteur d’empreintes …… non non non.
Dommage, good bye serie A !