Une députée veut des messages d’avertissement sur les risques de consommation excessive de porno
Le 12 février 2020 à 09h38
2 min
Droit
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« Fumer tue », « L'abus d'alcool est dangereux pour la santé », « Pour votre santé, évitez de manger trop gras, trop sucré, trop salé »… Et bientôt « le porno est une drogue, consommez-le avec modération » ?
La députée Agnès Thill aimerait que soit imposé un message d’information « sur les risques d'une consommation excessive pour les adultes ». Ce message serait affiché « avant la consommation de produits pornographiques », et donc pourquoi pas à l’entrée des sites.
« Il n'y a pas la moindre information des risques de dépendance alors que les travaux sur le sujet ne sont plus à démontrer » affirme l’élue dans sa question parlementaire adressée au ministère des Solidarités et de la Santé. « Même si l'addiction à la pornographie ne fait pas encore partie des classifications internationales des maladies mentales, il n'existe guère d'études qui ne sont pas en faveur d'une telle conceptualisation » soutient-elle.
« Aussi bien les études basées sur les électroencéphalographies ou sur l'IRM que les études neuropsychologiques ou comportementales, ou encore les études génétiques soutiennent pour une très grande majorité d'entre elles que la pornographie peut être une drogue ».
Dans la proposition de loi contre les violences conjugales, les députés ont déjà rendu inefficaces les systèmes de déclaration d’âge à l’entrée des sites X. Cette désactivation pénale permettra la sanction des éditeurs de ces sites voire d’initier une procédure de blocage en raison de leur simple accessibilité aux mineurs.
Dans la proposition de loi contre la haine en ligne, les mêmes veulent que les plateformes suppriment images, vidéos, textes, photo porno en moins de 24 heures si ces contenus sont là encore « susceptibles » d’être perçus par des mineurs (notre actualité).
Ces deux textes sont désormais entre les mains des sénateurs.
Le 12 février 2020 à 09h38
Commentaires (58)
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Abonnez-vousLe 12/02/2020 à 10h34
Hallucinant, c’est le grand retour de “se branler rend sourd” " />
Heureusement qu’on est un pays laïc
Le 12/02/2020 à 10h38
Bon, faut rajouter ça à la liste du coup, comme en début d’article, mais si on résume:
pas d’alcool, pas de porno, pas de sel / sucre / gras, pas de clope.
Je pense que la viande n’est pas très loin de passer sur cette liste.
On peut toujours manger 5 fruits et légumes par jour, ouf.
Le 12/02/2020 à 10h44
“L’abus de porno peut irriter le gland”…
Mais dans quel monde d’assister se dirige t on???
A force d’assistanat il y a des tdc qui branchent un appareil électrique dans les sdb. Faut arreter de déresponsabiliser les gens, qu’ils branchent un peu le cerveau!!!
Le 12/02/2020 à 10h47
J’attend le message sonore “si vous n’entendez pas ce son cessez de vous masturbez et consultez un medecin” x)
Le 12/02/2020 à 10h47
“Pour soulager votre poignet, faites une pause toutes les deux heures” " />
Le 12/02/2020 à 10h51
J’attends de voir la définition du seuil de la consommation excessive… nombre et/ou durée des vidéos ? accompagnées de masturbation avec ou sans orgasme (le edging c’est aussi une pratique, donc à prendre en
compte) ? Niveau de “perversion” (on va bien y arriver aussi, comme les tentatives anglaises) des pratiques engagées dans ces vidéos ?
Et en terme de mesures, viendra-t-on à un message en noir sur blanc sur la moitié de la surface des couvs de magazines ?
Le 12/02/2020 à 10h58
Aller ouvrons le bal :
Noooooooooo Must
Le 12/02/2020 à 11h00
On peut discuter de la pertinence des messages de préventions en la matière mais force est de reconnaitre que la généralisation du porno sous sa forme actuelle est très discutablement une bonne chose.
Paupérisation de l’industrie, marchandisation de corps, pratiques de plus en plus violentes généralisées, accès à des population de plus en plus jeunes etc…
Je ne suis pas contre le pron, mais il y a quelque chose à faire en terme d’éducation ou d’accès ou les deux.
Le 12/02/2020 à 11h08
“addiction au porno = maladie mentale”
ah oui d’accord, ça ose tout là
Le 12/02/2020 à 11h22
qui a cinquante ans parmi vous ? (moi ;) )
Lorsque j’étais enfant, tout le monde fumait partout : dans les avions, les trains, les restaurants, la voiture, …
En gros, le discours était “chacun est assez grand pour décider ce qu’il veut faire, fichez nous la paix”.
Et puis, progressivement, les choses ont changé et aujourd’hui la cigarette est reconnue comme un fléau et elle sort du domaine public. Et c’est très bien.
Bref, la réaction de certains ici me fait penser à l’attitude d’autres il y a 20-30 ans… On se revoit dans 20-30 ans pour voir ce qu’il en est devenu du pron ?
@Gawked : “maladie mentale”, ça fait peur. Mais ça ne veut pas dire “dégénéré/taré/…”. Les addictions sont des maladies mentales. En France, pour une raison qui m’échappe, le terme fait mauvais genre.
Le 12/02/2020 à 11h42
Moi. Et à l’époque être bourré quand on avait un accident de voiture, c’était une circonstance atténuante… " />
Le 12/02/2020 à 11h56
Pas moi. Mais je suis d’accord avec toi, l’avenir donnera raison (ou pas).
Une chose est sûre le pron accessible facilement (surtout les pratiques les plus extrèmes) peut constituer un véritable problème pour les plus jeunes.
Pour les adultes c’est une autre affaire, certains cas relèvent probablement d’une dépendance. Mais bon libre à chacun de se toucher sur ce qu’il veut.
Le 12/02/2020 à 11h59
« il n’existe guère d’études qui ne sont pas en faveur d’une telle conceptualisation »
Très jolie double négation, du coup cette phrase n’a aucun sens.
Le 12/02/2020 à 12h15
" />
Le 12/02/2020 à 12h23
” Agnès Thill “ " />
Le 12/02/2020 à 12h25
Elle n’est même pas d’elle cette phrase ni même le paragraphe dont elle est tirée. Premier lien trouvé sur google :
https://lareponsedupsy.info/addiction-cybersex
Il y a du boulot pour copycomic copyPolitic " />
Le 12/02/2020 à 13h00
Le 12/02/2020 à 13h12
J’ignorais que la génétique s’intéresse aux drogues.
Oui c’est la seule information utile que je suis parvenu à tirer de cette brève. " />
Le 12/02/2020 à 13h21
Le 12/02/2020 à 13h23
Le 12/02/2020 à 13h23
Ces restrictions se sont déjà produites il y a 45 ans avec la loi sur le classement X en 1975 qui a mis fin à “l’âge d’or” des films érotiques alors diffusés en salle.
Résultat : l’érotisme a quasi disparu des productions artistiques pour laisser place au porno médiocre produit industriellement à bas coût, d’abord en VHS puis diffusé en masse sur les sites de MindGeek.
En fait le porno serait plus à comparer avec la prohibition aux États-Unis que les interdictions de fumer dans les lieux publics.
Comme d’hab dans ce genre d’histoire les prout-prout saintes nitouches en panique devant un monde qui change sans eux se plantent toujours en beauté et obtiennent l’exact inverse de ce qu’ils voulaient car trop bornés pour vouloir comprendre le sujet et prendre des décisions éclairées.
Dans 30 ans je parie que l’érotisme fera son retour dans les films et séries. D’ailleurs ça a déjà commencé.
Le 12/02/2020 à 13h27
Sauf que quand tu fumais, tu mettais en danger la vie d’autrui, qui n’avais rien demandé. Au restaurant, j’ai été incommodé par la fumée, jamais par un type qui s’astiquait à la table d’à coté.
Le 12/02/2020 à 13h39
« Aussi bien les études basées sur les électroencéphalographies ou sur l’IRM que les études neuropsychologiques ou comportementales, ou encore les études génétiques soutiennent pour une très grande majorité d’entre elles que la pornographie peut être une drogue »
Les études montre que le plaisir “peut être une drogue”, interdisons le plaisir ! " />
Les études montre que le sport “peut être une drogue”, interdisons le sport ! " />
Les études montre que l’amour “peut être une drogue”, interdisons l’amour ! " />
Les études montre que la joie “peut être une drogue”, interdisons la joie ! " />
…
Ou quant des robots, dépourvus de toute sensibilité humaine, ont pris le pouvoir " />
Le 12/02/2020 à 13h40
Le 12/02/2020 à 13h44
D’un autre coté, je ne sais pas quel resto tu fréquentes si tu vois une personnes s’astiquait à la table d’à coté.
Le 12/02/2020 à 13h51
Elle fait de nombreuses publications dans valeurs actuelles, est anti-PMA, a cosigné une tribune de soutien à l’homéopathie, et a fini par se faire virer de LREM tellement elle en faisait.
Le 12/02/2020 à 13h51
Les addictions au porno existent bel et bien, j’ai 1⁄2 exemples autour de moi.
Par ailleurs, la communauté nofap (qui est plus noporn que nofap en réalité) n’existerait pas si ce n’était pas le cas. Les témoignages sont assez divers mais la trame générale qui en ressort c’est que beaucoup de mecs n’arrivent plus à se satisfaire d’une fille “classique” quand ils voient des bimbo faire un peu tout et n’importe quoi.
Ca induit une vraie souffrance puisqu’ils (et elles) n’arrivent pas à désirer leur partenaire ce qui peut-être difficile à vivre pour celui-ci surtout quand on est dans les âges de pleine vigueur (20,30, 40 ans).
J’ai un couple d’amis qui m’en avait parlé et la nana était désespérée car elle ne savait pas comment faire plaisir à son mec, et lui non plus. Les 2 ont pas 30 ans, c’était un peu triste à voir.
Je ne dis pas que c’est la fin du monde, je ne dis pas que c’est le fléau du 21ème siècle, mais je dis qu’elle existe bel et bien et a des conséquences bien concrètes.
En réponse technique, l’idée de forcer tout contenu a être disponibles exclusivement sur des sites XXX me paraissait pas mal. Ce qui faciliterait énormément le blocage pour ceux qui le souhaitent voire qui en ont besoin.
Je ne sais pas si c’est réellement possible car j’imagine qu’il y aura toujours des pays pour s’affranchir de ce genre de législation et hébergeant ce type de contenu.
Le 12/02/2020 à 13h51
Comme le chocolat.
Le 12/02/2020 à 13h54
Le 12/02/2020 à 13h55
Le 12/02/2020 à 14h03
Il faudrait analyser aussi si c’est la politique qui rend con, ou si ce sont les cons qui aiment la politique…
Le 12/02/2020 à 14h18
Attention, on a pas tous la même libido. De mon expérience de quarantenaire, et en utilisant une métaphore, je dirais c’est comme l’apétit.
Certaine-es ne conçoivent pas un repas sans que ce soit, entrée, poisson, viande, fromage et dessert(s) quand d’autres se contentent amplement d’une tomate au sel… Alors forcément l’un-e et l’autre auront du mal à partager un repas qui satisfasse les 2…
Le 12/02/2020 à 14h20
Le 12/02/2020 à 14h31
En l’occurrence leur problème a commencé depuis toujours. Qu’un homme ne désire plus une femme car son attractivité physique déclin, je peux le comprendre.
Dans le cas d’une partenaire choisie (j’insiste là dessus, pas qqn trouvé un peu par hasard), avec un corps jeune j’ai bcp plus de mal.
Le 12/02/2020 à 14h34
C’est tellement évident que dans notre société de consommation excessive, il est besoin d’inscrire un avertissement sur l’emballage des dangers addictifs de certaines activités ou comportements. Le centre de récompense du cerveau, l’économie de l’attention, la publicité, les risques liés à la sédentarité…
Le 12/02/2020 à 14h42
La dépendance à la pornographie se définit par une envie incontrôlable par la raison de s’empêcher à consulter de la pornographie. C’est un peu le principe du problème de l’addiction : le dilemme entre la raison insatisfaite vis-à-vis de l’envie irrépressible qui finit immanquablement par gagner.
C’est comme un alcoolique : ça ne sert à rien de lui dire qu’il détruit sa vie en s’enivrant car il le sait déjà.
Le 12/02/2020 à 14h42
On est d’accord.
A titre personnel, j’ai bientôt 30 ans et ait eu des expériences avec un certain nombre de femmes. Je pense que c’est très important pour trouver ce que l’on aime et donc faire un choix plus serein et plus tenable sur le long terme.
Nous sommes dans un monde où la solitude augmente et les couples plus fragiles il faut donc faire attention si l’on a pour ambition d’avoir une vie de couple un minimum épanouie même si je ne me leurre pas sur la lassitude à terme.
Or dans cet état de fait, je remarque que le porno n’arrange rien car il amène l’idée d’une banalisation de fantasmes, de pratiques et d’une ouverture sexuelle quasi débridée qui n’est pas aussi présente dans le monde réel. D’où une certaine frustration chez les consommateurs réguliers qui finalement ne retrouvent pas le même plaisir dans les relations sexuelles réelles.
Je voudrais bien dire qu’il faut en consommer avec modération mais le propre d’une addiction est de ne pas avoir assez de contrôle sur la situation.
Le 12/02/2020 à 14h44
Le 12/02/2020 à 14h53
Le 12/02/2020 à 15h01
On ne parle pas d’interdire la consommation de porno, on parle seulement de mettre un logo sur l’emballage. La mention “Fumer tue” ne fait pas obstacle à l’addiction du tabac, tu pourras toujours t’intoxiquer avec du tabac et gâcher ta vie sentimentale ou familiale avec des dizaines d’heures hebdomadaires devant ton média porno favori.
Le 12/02/2020 à 15h04
Pfff…elle est cheloue ton histoire.
Quand tu es amoureux la personne désirée peut être objectivement un tas tu ressentiras quand même du désir sexuel au moins lors des premières semaines de la relation. Donc ils ne sont pas amoureux.
Ils n’ont pas non plus d’attirance physique.
Donc que foutent-ils ensemble ?
Des paumés, des immatures qui ne savent pas ce qu’ils veulent et qui s’engagent dans des relations foireuses par obligation sociale ou par paresse j’en ai aussi croisé un paquet. C’est fréquent dans le milieu geek. Mais ça n’a pas forcément de rapport avec le porno.
Le seul recul que j’ai sur le porno se limite à mon cas personnel. À 34 ans j’ai pratiquement la même libido qu’à mes 15. La consommation de porno pendant mes phrases de célibat n’y a rien changé.
En revanche pour avoir fréquenté au cours de ma vie toute sorte de marginaux à la sexualité hyperactive et débridée je connais les effets à long terme de la fatigue sexuelle. Ça ne va pas du tout vers un manque de libido ou des attentes excessives mais plutôt vers des pratiques toujours plus exotiques et physiquement violentes.
Le 12/02/2020 à 15h07
L’addiction au sucre, ça existe aussi. Le centre du plaisir, de manière générale, est indépendant de la fonction du raisonnement dans le cerveau.
Le 12/02/2020 à 15h20
Le 12/02/2020 à 15h51
Le 12/02/2020 à 16h10
En l’occurence pour le couple que je connais, aucun des 2 ne se verrait avec qqn d’autres et ils ont de l’expérience affective. Autrement dit, oui ils ont l’air vraiment amoureux.
Ca m’était arrivé plus jeune, j’étais fou amoureux d’une fille qui ne m’attirait pas. Ca parait bête mais ça existe bien.
Le 12/02/2020 à 16h18
Je n’en suis pas certain, d’ailleurs pas mal de témoignages sur nofap remontent le fait que d’avoir abandonné la consommation de porno leur a permis de se réimpliquer de manière plus significative dans la sexualité avec leur(s) partenaire(s).
A titre personnel, même si on sait ce que valent les expériences personnelles, je me suis forcé et me force toujours à diminuer significativement le porno (disons à peine 1 fois/semaine) et je constate clairement la même chose, à savoir bien plus d’intérêt avec la partenaire IRL. Donc à mon avis il y a un truc à creuser de ce côté là.
Et encore une fois, je rappelle que je ne souhaite pas interdire le porno mais le canaliser plus facilement pour que ceux qui souhaitent le bloquer puisse le faire.
Le 12/02/2020 à 16h41
Oui, je me suis éloigné de la news et du sujet pour répondre à ton commentaire.
Pour y coller à nouveau " /> je dirais que le porno “de consommation de masse”, c’est un sous produit peu cher à produire et toujours pour filer la métaphore nutritionnelle ça mérite un D rouge (voir un Z+++) niveau libidoscore. A terme c’est nocif pour la libido, il faut en avoir conscience.
On reprochait les scénarios naïf aux films des années 80 :
" />
Au final le porno d’aujourd’hui te fait regretter le bon vieux Porn à Brigitte Lahaye (et les poils qui vont avec aussi)
Le 12/02/2020 à 16h42
L’article a omis de le dire : Agnès Thill est députée LREM, ex PS. A l’approche des élections, ce genre de détail a son importance pour ne pas se tromper de bulletin.
Le 12/02/2020 à 16h59
Le 12/02/2020 à 17h01
Oui sûrement car il y une frustration, un envie à satisfaire. Autrement dit, il faut bien vider ses couilles.
Mais en soit, ma question est : y a-t’il vraiment besoin que ça soit avec un partenaire ? qu’est ce qui l’obligerait ?
Le 12/02/2020 à 17h13
Encore de la répression alors qu’un discours écologique du type “utilisez des linges lavables plutôt que des mouchoirs en tissu ou des lingettes jetables” aurait été tellement plus intelligent.
Au moins ça aurait aidé à réduire les déchets.
Bref, il est urgent de ne pas écouter ces gens là.
Le 12/02/2020 à 17h23
C’est une remarque tout à fait intéressante. Rien ne l’oblige, d’ailleurs certains prônent la vie de célibataire.
En revanche en tant qu’êtres sociaux, nous tendons à nouer des relations intimes affectives qui sont très généralement monogames. Pourquoi ? Je ne saurais trop le dire mais c’est un fait social.
Je me suis toujours dit que l’idéal pour un homme était d’avoir une femme de coeur et plusieurs autres pour le sexe, mais bon c’est vraiment de l’expérience et je serai bien incapable de le démontrer " /> A noter que je connais une fille qui l’accepte… :)
Le 12/02/2020 à 17h26
Et encore, si je peux me permettre, tu as 40 ans. Imagine ceux qui baignent là dedans dès 15 ans. Ce qui a été mon cas au passage. Est-ce que ça laisse des traces ? Probablement une attente envers nos dames qu’elles auront du mal à satisfaire, ça a un côté un peu tragique quand on y pense.
Le 12/02/2020 à 18h07
Le 12/02/2020 à 20h33
Vous n’êtes pas sympa avec ces députés qui, pour une fois maîtrisent parfaitement le sujet: ils sont nombreux à se masturber le cerveau en assemblée comme l’atteste les photos et vidéos qui circulent régulièrement. Nous en avons même une version dessinée par Flock dernièrement.
Ils peuvent ainsi témoigner assez facilement des effets liés à l’abus de la pratique.
Le 13/02/2020 à 12h47
Replace ma métaphore sur la bouffe et comprends que tu emmènes dîner une personne qui n’a pas le même appétit que toi ;-)… trouves donc une partenaire qui est sur la même longueur d’onde et tout ira mieux ^^
Le 13/02/2020 à 13h03
C’est facile à dire mais ça ne se trouve pas en claquant des doigts, et puis à force de devenir exigeant on peut rester seul :p
Le 01/05/2020 à 15h03
Bonjour, Je suis AFREG, le webmaster du www.pornodependance.com Mon site traite de l’addiction à la pornographie. Cette forme d’addiction esten grande partie liée à l’essor d’Internet, qui donne accès à une infinité decontenu X à l’Internaute, sans qu’aucun contrôle ne semble possible.
Les effets de l’addiction àla pornographie sont nombreux: dérive vers une sexualité violente, problèmes decouple, problèmes érectiles… Le porno a une telle prégnance dans notresociété contemporaine, que le problème est susceptible de toucher aujourd’huitout le monde.. Mon site propose un forum où les dépendants et leurs prochespeuvent venir s’exprimer librement et s’entraider. Le tout est évidemmententièrement bénévole et GRATUIT. Merci!