Les internautes français consomment plus de porno que d'infos

Les internautes français consomment plus de porno que d’infos

Les internautes français consomment plus de porno que d'infos

La majorité des internautes passent moins d’une heure par mois à s’informer, relève Les Décodeurs du Monde. Les internautes de l’échantillon étudié ne passent en moyenne que cinq minutes par jour de connexion à s’informer. Cela ne représente que 3 % du temps qu’ils passent sur Internet – alors qu’ils accordent 4 % de leur temps à la pornographie.

L’étude de la Fondation Descartes, qui se présente comme « citoyen, apartisan, indépendant et européen » et entend alimenter le débat sur les questions liées à l’information en ligne, se base sur l’historique de connexion d’un panel de 2 372 internautes qui se veut représentatif de la population française.

Les auteurs ont eu accès à l’intégralité des adresses Web consultées par chaque utilisateur, sur leurs différents appareils personnels (ordinateurs, téléphones, tablettes, etc.), sur une période d’un mois, du 20 septembre au 19 octobre 2020.

Environ 17 % des participants n’ont pas consulté la moindre source d’information en un mois d’activité. À l’inverse, 5 % ont passé plus de dix heures à lire l’actualité. Cette disparité se retrouve dans le nombre de sources consultées : certains se contentent de visiter une poignée de sites, quand d’autres vont papillonner sur des dizaines de médias.

De plus, si deux internautes sur cinq (39 %) ont consulté au moins un site peu fiable en un mois, ils n’ont représenté que 5 % du temps d’attention consacré aux médias d’information dans leur ensemble. Preuve que la désinformation est, globalement, minoritaire, concluent Les Décodeurs.

Commentaires (39)


Cela dit, est-ce que certaines personnes dans cet échantillon n’auraient pas également évité les sites pornographiques ? Il est toujours possible de faire un lien entre ces personnes et leur historique, vu qu’il est récolté personne par personne (après je ne connais pas les détails de fonctionnement de ce genre d’enquêtes).


C’est je pense assez biaisé
En effet internet ne constitue d’une qu’une part de la façon de s’informer, il est possible de regarder 20minutes dans les transports en commun, regarder la télé la radio, parfois même le discours du collège à la machine a café peut suffire comme source d’information , bref l’information est partout



en revanche la consommation de pornographie est essentiellement sur internet (oui il existe quelque chaines spécialisée, mais si on compare a 4 chaines d’informations en continu gratuite… ) , se consomme de manière plutôt solitaire donc oui c’est presque normal



apres le titre est quand même ultra putaclic
car “Cela ne représente que 3 % du temps qu’ils passent sur Internet – alors qu’ils accordent 4 % de leur temps à la pornographie.” entre 3 et 4 % on est sur l’épaisseur du trait et compte tenu des biais précédents cité on ne peut supposer que l’allégation ne reflète pas la réalité



Au final j’ai une grand interrogation si le panel passe 7% de sont temps sur internet a mater des news et du porno …. que font-ils 93% du temps ????


J’essaye de comprendre cette comparaison avec le porno, alors que dans leurs sois-disant statistique c’est le divertissement qui gagne avec 28%, est-ce une façon détourner pour dire “Misère les internautes préfèrent le porn à l’actualité !” ? Moi-même, je ne consulte pas les sites qui traitent de l’actualité en règle général (Figaro, Le Monde etc…) parce que l’info y est hyper manipulé, puis je n’ai aucunes envies de payer pour m’y abonner, 2 372 internautes est un échantillon représentatif de la population française ? Selon qui ? Je ne fais pas confiance aux statistiques et aux sondages non plus, j’en ai fait quand j’étais en fac, et la plupart du temps c’est biaisé.


Il ne reste plus qu’à lancer la chaîne “Bondage Fuck Mature Teens Video”.
Je pense qu’on peut trouver un acronyme…


Pour le coup j’avoue que l’étude me semble très intéressante dans l’absolu, mais la méthode probablement bancale.



Qu’est-ce qui est compté exactement ? Le nombre de sites consultés, le nombre de pages ?
Si je mate le Brief NXi, ça ne compte que pour un ?
Ou bien le temps de consultation est aussi inclus ? Mais, que je sache, ça ne fait pas du tout partie des données collectées par l’historique de navigation…


C’est indiqué dans l’étude page 2 : le temps passé à s’informer n’est pas pris en compte :




Soulignons que le temps potentiellement consacré par les participants à s’informer sur les sources ou via les supports suivants n’a pas été comptabilisé dans cette étude : les sources d’information en langues étrangères, celles ayant été consultées par les participants sur d’autres objets connectés que leurs objets personnels, les podcasts d’information consultés hors des sources suivies, les contenus d’information téléchargés en ligne mais consultés hors ligne, les informations partagées via des newsletters, des notifications push, des messageries privées (type WhatsApp) ou des groupes privés sur les réseaux sociaux qui ne nécessitent pas de se rendre sur une page Internet externe pour les lire, ainsi que les informations partagées directement sur le « mur » Facebook ou le « fil » Twitter des participants, si la lecture de ces informations peut se faire sans avoir à se rendre sur le site des médias les ayant publiées.




Ce qui limite à pas grand chose la confiance qu’on peut accorder à cette étude.


tmtisfree

C’est indiqué dans l’étude page 2 : le temps passé à s’informer n’est pas pris en compte :




Soulignons que le temps potentiellement consacré par les participants à s’informer sur les sources ou via les supports suivants n’a pas été comptabilisé dans cette étude : les sources d’information en langues étrangères, celles ayant été consultées par les participants sur d’autres objets connectés que leurs objets personnels, les podcasts d’information consultés hors des sources suivies, les contenus d’information téléchargés en ligne mais consultés hors ligne, les informations partagées via des newsletters, des notifications push, des messageries privées (type WhatsApp) ou des groupes privés sur les réseaux sociaux qui ne nécessitent pas de se rendre sur une page Internet externe pour les lire, ainsi que les informations partagées directement sur le « mur » Facebook ou le « fil » Twitter des participants, si la lecture de ces informations peut se faire sans avoir à se rendre sur le site des médias les ayant publiées.




Ce qui limite à pas grand chose la confiance qu’on peut accorder à cette étude.


J’ai cherché « flux », « rss » et « atom », et je n’ai rien trouvé dans le PDF de l’étude. J’ai plus de 150 flux RSS, dont au moins une vingtaine d’informations. Et je suis persuadé qu’un nombre pas si ridicule que ça de gens utilisent le RSS/Atom pour s’informer.


Glandos

J’ai cherché « flux », « rss » et « atom », et je n’ai rien trouvé dans le PDF de l’étude. J’ai plus de 150 flux RSS, dont au moins une vingtaine d’informations. Et je suis persuadé qu’un nombre pas si ridicule que ça de gens utilisent le RSS/Atom pour s’informer.


Pas si convaincu… j’essaie d’en vanter les intérêts tout autour de moi depuis longtemps, toujours la même réponse “bah j’utilise facebook/twitter pour ça, ça marche très bien” :roll:


Voilà un nouveau terrain vierge où le gouvernement va pouvoir poursuivre son offensive de communication.


Du porno avec des membres du gouvernement? Je passe, pas envie de cauchemardé. :transpi:


Ce type d’études n’a vraiment pas beaucoup d’intérêt. Les méthodes d’agrégation utilisées ici ne sont statistiquement pas robustes et celles de catégorisation (ironiquement) non fiables car dépendantes de jugements de valeur subjectifs : leur définition de « désinformation » incluent en fait tous les sites d’informations.



Le seuil retenu pour sélectionner les sites pris en compte est biaisé vers ceux les plus visités (plus de 15 000 / mois), délaissant alors la majorité des sites Web (dont météo et infos TV) pourtant visités tandis que sont arbitrairement ajoutés des sites hors panel.



1 % est bien trop peu pour permette de conclure à une réelle différence. En plus le titre (ainsi que l’article « de référence ») est trompeur puisqu’il laisse supposer que tous les internautes consomment du porno et/ou s’informent, ce qui est évidemment faux puisque contredit par l’étude elle-même.



Le pire est que cette étude s’appuie sur les évaluations (forcément objectives, hein !) des mêmes Farce-checkers que sont les Décodeurs du journal l’iMmonde qui font la promotion non critique de l’étude !



L’entre soi dans les merdias est une réalité.



DanLo a dit:


Pour le coup j’avoue que l’étude me semble très intéressante dans l’absolu, mais la méthode probablement bancale.



Qu’est-ce qui est compté exactement ? Le nombre de sites consultés, le nombre de pages ? Si je mate le Brief NXi, ça ne compte que pour un ? Ou bien le temps de consultation est aussi inclus ? Mais, que je sache, ça ne fait pas du tout partie des données collectées par l’historique de navigation…




Ca dépend. C’est Gimli qui fait le sondage? :D


Merci de faire honneur à la réf :D



monpci a dit:


Au final j’ai une grand interrogation si le panel passe 7% de sont temps sur internet a mater des news et du porno …. que font-ils 93% du temps ????




Ils regardent des conneries d’influenceurs sur instagram, ou des vidéos de tuto make-up sur Youtube.
je caricature, mais clairement je suis convaincu que la plupart des gens passent une énorme partie du temps sur internet à regarder des futilités et des conneries (ou prendre du bon temps selon comment on voit les choses).


Il faut regarder naked news et tu combines les 2.
Et en plus tu apprends l’anglais.



A conseiller en classe :D



tmtisfree a dit:


Le pire est que cette étude s’appuie sur les évaluations (forcément objectives, hein !) des mêmes Farce-checkers que sont les Décodeurs du journal l’iMmonde qui font la promotion non critique de l’étude !




D’accord avec ton analyse, sauf concernant ce passage, que je ne comprends pas trop. En quoi les “facts-checkers” sont mal ? Pour en avoir lu quelques articles, c’est plutôt bien écrit, bien sourcé et pas vraiment sujet à réfuter, non ?


Sur les sujets « normaux », ils sont inutiles.



Sur les sujets polémiques, par ex. politiques, ils sont aussi subjectifs que les autres : ce sont des humains eux aussi, et avec les mêmes biais (cognitifs, idéologiques, préjugés, etc.).



Sur les sujets controversés, scientifiques par ex., ils n’avancent pas d’informations nouvelles ou de meilleures explications qui feraient une différence. Ils se contentent généralement de répéter le jugement de la majorité, une position aisée mais fallacieuse (car d’autorité) qui ne dit rien de sa véracité dans l’absolu.



Pas ex., si tu lis qu’il existe un « consensus » (un concept repris de la politique) sur un sujet scientifique, tu peux en déduire systématiquement qu’il existe une controverse non tranchée, mais avec une majorité qui crie plus fort que les autres.


Le porno sur internet….
20 % disent en consommer… 80% sont des menteurs ^^


Perso, si j’ai arrêté de regarder les infos, c’est parce que j’en ai ras le bol d’entendre parler du Covid …



A la place, je regarde du divertissement (TV ou Youtube).



TofVW a dit:


Il ne reste plus qu’à lancer la chaîne “Bondage Fuck Mature Teens Video”. Je pense qu’on peut trouver un acronyme…




Ça te dit on lance le concept : on tourne l’actualité en porno :fumer:




QTrEIX a dit:


2 372 internautes est un échantillon représentatif de la population française ? Selon qui ? Je ne fais pas confiance aux statistiques et aux sondages non plus, j’en ai fait quand j’étais en fac, et la plupart du temps c’est biaisé.




C’est marrant, j’en ai fait aussi et dans mon souvenir ça marchait bien, considérant qu’une infirme proportion d’une masse suffisamment bien sélectionnée & traitée s’avère un bon indicateur des tendances du total.


Quitte à regarder des gens s’exciter sur un sujet qui n’a aucun intérêt, autant que ce soit du porno plutôt que du “journalisme”.



(reply:1859529:Vekin)
Bon déja les Décodeurs se sont plusieurs fois fait épinglés pour leurs biais voir propagateur de fake.




Sinon en général, il faut rappeler que de tels exercices de vérification constituent la base du métier de journaliste : les présenter comme exceptionnels et innovants est assez révélateur d’une dégradation des pratiques professionnelles.



Plus profondément, le « fact checking » peut traduire une conception simpliste du journalisme : le cliché du journaliste se contentant de relater les événements qui se déroulent sous ses yeux ne suffit pas à faire oublier la réalité quotidienne du tri effectué dans les faits, de leur hiérarchisation dans la mise en page des journaux. Cette manière d’affirmer en creux la neutralité des données qu’on propose à ses lecteurs ou à ses auditeurs. Or on sait par exemple que la presse est l’un des grands propagateurs de ce qu’on appelle la « pensée unique » en matière économique, notamment par la tribune démesurée qu’elle accorde aux experts libéraux, au détriment des représentants d’autres écoles de pensée. Sans oublier par ailleurs que des faits peuvent être ambivalents (voir le Brexit) bref les médias dominants veulent nous faire croire à la chimère d’un journalisme «post-politique» et qui présenterait «objectivement» les faits (sic)…



Preuve que la désinformation est, globalement, minoritaire, concluent Les Décodeurs.




Si un internaute va sur Facebook, est-ce que ça compte pour 1 visite Facebook, donc neutre ? Ou le contenu de la page est vérifié pour savoir si c’est de la désinformation ?



Charly32 a dit:


Ça te dit on lance le concept : on tourne l’actualité en porno :fumer:




Heu… juste nous deux ou…? :eeek2:



Charly32 a dit:


Ça te dit on lance le concept : on tourne l’actualité en porno :fumer:




Tu veux dire, comme le fait depuis des années Naked News? :D


Ah le bon article populiste car très spécieux sur la forme. Les gens s’informent moins qu’ils ne matent de porn SUR LE NET.
On peut s’informer ailleurs, d’ailleurs il me semble que la presse écrite et TV sont les sources principales d’information des gens.
Ce qui n’est pas surprenant quand on voit la merde qui circule sur le net…



Drepanocytose a dit:


Ce qui n’est pas surprenant quand on voit la merde qui circule sur le net…




Tu parles bien de cette brève ? :D


Entre autres.
Nxi fait qd même partie du haut du panier, mais quand on voit ce vers quoi ça derive doucement, ça indique la qualité du reste



refuznik a dit:


Sinon en général, il faut rappeler que de tels exercices de vérification constituent la base du métier de journaliste : les présenter comme exceptionnels et innovants est assez révélateur d’une dégradation des pratiques professionnelles.



Plus profondément, le « fact checking » peut traduire une conception simpliste du journalisme : le cliché du journaliste se contentant de relater les événements qui se déroulent sous ses yeux ne suffit pas à faire oublier la réalité quotidienne du tri effectué dans les faits, de leur hiérarchisation dans la mise en page des journaux. Cette manière d’affirmer en creux la neutralité des données qu’on propose à ses lecteurs ou à ses auditeurs. Or on sait par exemple que la presse est l’un des grands propagateurs de ce qu’on appelle la « pensée unique » en matière économique, notamment par la tribune démesurée qu’elle accorde aux experts non libéraux, au détriment des représentants d’autres écoles de pensée. Sans oublier par ailleurs que des faits peuvent être ambivalents (voir le Brexit) bref les médias dominants veulent nous faire croire à la chimère d’un journalisme «post-politique» et qui présenterait «objectivement» les faits (sic)…




Maintenant, c’est 100 % correct.



fred42 a dit:


Tu parles bien de cette brève ? :D




Ou d’une histoire avec 2 filles et une coupe… :D


Moi c’est simple:




  • quand je suis au bureau je vais sur des sites d’info,

  • quand je télé-travaile …


Tte façon tout le monde s’en branle, de l’info :fumer:


C’est assez fou de savoir qu’aussi peut de monde s’informe en ligne… J’aurais bien aimé avoir également la prise en compte de la radio, télévision et du papier.


Pourquoi se concentrer sur l’info dans cette étude? ça serait intéressant de voir s’ils ne visitent pas d’autres contenus culturels (même si c’est limité sur le net il faut avouer).



En tout cas 3%… ça fait peur



(quote:1859734:skankhunt42 )
C’est assez fou de savoir qu’aussi peut de monde s’informe en ligne… J’aurais bien aimé avoir également la prise en compte de la radio, télévision et du papier.




Tu résumes bien le problème de cette enquête : ce qui lui manque est le diagramme de Venn des deux ensembles de réponses aux questions « que consultent légens sur l’interwebz ? » et « que font légens pour s’informer ? ».



(quote:1859734:skankhunt42 )
C’est assez fou de savoir qu’aussi peut de monde s’informe en ligne… J’aurais bien aimé avoir également la prise en compte de la radio, télévision et du papier.




Moi ça ne me choque pas. L’info gratuite en ligne n’apporte rien de plus que BFMTV. Avec l’aspect putaclic en plus.



Perso je lis la « presse en ligne » gratuite bien plus par addiction (ce dont je suis parfaitement conscient) que par intérêt, et aussi parce que je n’ai pas la TV. Michu qui regarde le 13h tous les jours n’apprendra rien de plus sur 20minutes.fr. Ou alors si mais c’est pire : comme ces sites ne sont pas limités par le temps, ils peuvent taper large dans le fait-divers glauque.



Je pense que tu trouves ça fou (et moi aussi au premier abord) parce que comme moi, de gré ou de force, tu passes ta vie sur internet et on a tendance à oublier que c’est pas le cas de la majorité des gens. Après est-ce que c’est mieux de s’informer sur BFMTV que sur 20minutes.fr, franchement, j’ai pas la question.



Je dis 20minutes parce qu’ils sont les pro de l’actu à audience mais honnêtement, les articles « gratuits » des quotidiens « de référence » sont franchement pas mieux. D’ailleurs pour moi ces articles gratuits ont un impact très négatif sur l’image de quotidiens qui sont pourtant capables de pondre d’excellents articles de fonds.



Du Figaro à Libération en passant par Le Monde, c’est dingue à quel point ces journaux sont tous devenus capables du meilleur (mais payant) comme du pire (mais gratuit, avec en cadeau les commentateurs nauséabonds, qu’on commence d’ailleurs à devoir supporter sur NXI, ce qui me fait honnêtement peur, mais c’est un autre sujet). Parfois j’ai l’impression que ces rédactions sont en fait scindées en deux parties totalement indépendantes qui ne partagent que le titre du journal.



jpaul a dit:


…Après est-ce que c’est mieux de s’informer sur BFMTV que sur 20minutes.fr, franchement, j’ai pas la question




:keskidit:



Winderly a dit:


:keskidit:




J’avais pas encore bu assez de café non plus. Là n’est pas la réponse.



jpaul a dit:


BFM / PUTACLIC / 20MN / les commentateurs nauséabonds




L’avantage de BFM c’est qu’il permet d’avoir un journal télévisé de 15 / 20 minutes à n’importe quelle heure de la journée. L’inconvenant c’est que 15 minutes ce n’est pas assez quand tu traite seulement 2 / 3 sujets.



L’avantage de 20 minutes c’est qu’il couvre énormément de sujet et le titre putaclic est une forme d’information sur des sujets dont tu te fout un peu.



Le gros inconvenant de ces deux formats c’est que l’information est plus ou moins biaise car ce n’est que du copier collé de l’afp. Avantage donc à BFM qui en théorie est mieux car il y à des invités avec débats et des dossiers.



Concernant les commentaire j’aurais deux choses à dire. La première c’est qu’une attaque personnelle du genre “tu raconte n’importe quoi” devrait subit une sword immédiate. La seconde, c’est qu’un pavé comme le tiens aurais eu énormément de chance d’être sword sur 20 minutes.


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