Dans l’écologie, « la littérature scientifique est dominée par les hommes et une poignée de pays »

Dans l’écologie, « la littérature scientifique est dominée par les hommes et une poignée de pays »

Dans l’écologie, « la littérature scientifique est dominée par les hommes et une poignée de pays »

C’est la conclusion d’une étude publiée dans Conservation Letters à laquelle sont arrivés des chercheurs, comme le rapporte le CNRS.

« Les articles scientifiques dans les domaines de l’écologie et de la biologie de la conservation sont très majoritairement signés par des hommes travaillant dans quelques pays occidentaux », explique le Centre national de la recherche scientifique. Ce dernier ajoute que « des signes d’amélioration peuvent toutefois être soulignés ».

Les chiffres sont sans appel : « Ils représentent 90 % des 1 051 auteurs et autrices qui ont le plus abondamment publié au sein des 13 plus grandes revues scientifiques de leur domaine depuis 1945 […] La diversité géographique du pays de travail des auteurs et autrices a augmenté aussi sensiblement de 15 % depuis 1980 ».

De plus, « parmi ces hommes, les trois quarts sont affiliés à des institutions de seulement cinq pays (États-Unis, Canada, Australie, Royaume-Uni et Allemagne) ». 

Ce n’est pas sans conséquence pour la suite, car « les scientifiques qui publient le plus et dans les journaux les plus prestigieux accèdent généralement à une plus grande notoriété mais aussi à de plus hautes responsabilités ».

Commentaires (32)



Ce dernier ajoute que « des signes d’amélioration peuvent toutefois être soulignés ».




En quoi cela constitue une amélioration ?


Tout ce qui peut aboutir à une forme de diversité est une amélioration : différents points de vue par exemple.


numerid

Tout ce qui peut aboutir à une forme de diversité est une amélioration : différents points de vue par exemple.


Et en quoi les modèles climatiques féminins vont être différents des modèles masculins ?
Elles rajoutent de la cannelle ?



L’argument du sexe me laisse perplexe, je suis beaucoup plus convaincu par la diversité géographique (stromatolithes vs cernes arbres vs … en paléoclimatologie)


numerid

Tout ce qui peut aboutir à une forme de diversité est une amélioration : différents points de vue par exemple.


La diversité est une idée généreuse, mais ici le terme masque seulement l’envie d’un égalitarisme autoritaire et idéologique qui nie les différences naturelles dans les traits homme-femme.



Il fait partie du triplet DIE (Diversité, Inclusivité, Equité) d’origine gauchiste, comme toutes les immondices postmodernes qui ont infestées les humanités des facs et de certaines institutions de recherche.



Ici le but est clairement de gangrener les départements de Science semi dures (bio, éco) en attendant de s’attaquer aux STEM, un peu plus imperméables à ces inepties. Mais à l’aide d’idiots utiles, la résistance naturelle à cette infamie ne durera pas.


les femmes font de plus en plus partie des auteurs qui publient le plus, elles représentent 18 % des signataires les plus jeunes alors qu’elles ne représentent que 3 % des signataires les plus âgés



C’est une amélioration car dans les labo y a que des mecs et c’est chiant :smack:


E s’il y avait plus d’autrices d’articles à Next inpact ? Perso, je connais Stéphanie Chaptal 👍


Très honnêtement, je les soupçonne d’être un peu trop machos… :keskidit:



numerid a dit:


Tout ce qui peut aboutir à une forme de diversité est une amélioration : différents points de vue par exemple.




Ce n’est pas cela qu’il relate. Si tu as une proportion dominante d’homme, il ne peut être conclu que c’est la société machiste qui est responsable. Tout simplement, il se peut très bien que les femmes soient moins intéressées par le sujet ou qu’il y a tout simplement moins de femmes dans le domaine.



Avancer que ce c’est une amélioration ne se base que sur un argument fallacieux qui voudrait que les hommes et femmes soient représentées à égalité. Le commentaire de V1nce est parfaitement légitime.



Et le pire de tout avec ce genre de bourrage de crane égalitaire c’est que si on applique la règle on met de coté le désir humain de coté. “Ha désolé monsieur on ne peut pas vous embaucher… On a déjà 50%+1 d’homme dans les effectifs. Ça va trop déséquilibrer.” Et le mec qui aurait pu nous apporter le voyage plus rapide que la lumière (du genre 100 facteurs de ‘c’) se retrouve à faire employé municipale des espaces verts. Ce serait un peu con…



Il n’y a pas de besoin. Le seul besoin de la science aujourd’hui c’est de redorer un peu ses galons.
Un très bon doc sur le sujet


+1000



Y’a qu’à voir dans certains domaines, où les patrons comme les employés seraient sans doute bien contents de pouvoir obtenir une distribution de genres plus équilibrée…



Sauf que s’il n’y a pas d’offre, peu importe qu’il y ait de la demande.
Au-delà des métiers un peu rugueux et pas socialement valorisés comme éboueur, des métiers physiquement difficiles donc relativement ignorés par les femmes (mineur, technicien de chantier, livreur, vigile etc), on a aussi des métiers pour lesquels ce sont plutôt des tendances culturelles qui aboutissent à une offre limitée (typiquement l’informatique et d’autres métiers de science, bien qu’heureusement ça change progressivement). Et encore d’autres pour lesquelles il faut un état d’esprit ou des valeurs que ne partagent pas généralement les femmes (typiquement: boucher).



Il est donc profondément stupide et contre productif de vouloir imposer la parité par dogme. Mieux vaudrait donner encore plus de moyens à l’école doublés d’initiative de promotion de métier qui aille à l’encontre des acquis culturels pour renforcer la tranquille tendance de fond vers la mixité dans toutes les couches socio-culturelles.



IL serait également de bon ton que les femmes elles-mêmes (en plus des hommes bien évidemment) participent à l’égalité de genre en faisant évoluer leur propre perception de certains métiers : une femme de ménage, c’est “normal”, un homme de ménage, c’est “un boulet”. Une femme au foyer, c’est “une mère investie”, un homme au foyer, c’est un “branleur”. Etc
Ce genre de clichés est partagé par tous à travers la société, hommes ET femmes.



numerid a dit:


Tout ce qui peut aboutir à une forme de diversité est une amélioration : différents points de vue par exemple.




Y’a qu’à voir sur NXI… on adore les avis divergents…


Du coup c’est la faute d’hommes blancs travaillant dans des pays occidentaux si c’est seulement depuis 1980 que les autres pays commencent a publier sur le sujet et que des femmes deviennent signataires?


l’ [ informatique ] est dominée par des hommes et une poignée de pays.
la [ cosmétique ] est dominée par des femmes et une poignée de pays.



En vrai on pourrait remplacer par n’importe quoi, mais l’inverse peux aussi être vrai tout comme l’opposée de l’inverse :keskidit: pourrait être considéré comme stéréotype et réducteur façonnée par la société au fil des décennies (l’homme a l’usine, la femme au fourneau!).


Y’a deux sujets ici : les femmes publient peu, et les creve la faim du tiers monde aussi.
A qui la faute ?
Et qu’est ce qu’on s’en fout ?



Et quelqu’un interdit-il aux mamas du Zimbabwe ou du Pérou de publier ? Si ça les dérange, qu’elles se bougent et bossent un peu.



TexMex a dit:



Et le pire de tout avec ce genre de bourrage de crane égalitaire c’est que si on applique la règle on met de coté le désir humain de coté. “Ha désolé monsieur on ne peut pas vous embaucher… On a déjà 50%+1 d’homme dans les effectifs. Ça va trop déséquilibrer.” Et le mec qui aurait pu nous apporter le voyage plus rapide que la lumière (du genre 100 facteurs de ‘c’) se retrouve à faire employé municipale des espaces verts. Ce serait un peu con…




Lui je le connais, il m’a dit “le problème dans cette dimension c’est que si j’apporte cette invention l’humain pourrira 1000 planètes au lieu d’une seule” puis il est reparti sur sa tondeuse en grognant “putain de pente a 3°”.




v1nce a dit:


Et en quoi les modèles climatiques féminins vont être différents des modèles masculins ? Elles rajoutent de la cannelle ?





Elles rajoutent de la protection, des câlins…



:D



Perso, je ne vois pas ou ça vous énerve “Pas beaucoup mais ça s’améliore” c’est pas ce qu’on dit aux mauvais élèves pour les encourager ? :fumer:


Qu’on cherche l’égalité femme homme dans le gouvernement et les comités de direction des grosses boîtes je comprends très bien, mais dans la recherche écologique franchement ça me dépasse complètement.
La recherche scientifique, surtout française, a bien d’autres problèmes plus importants que cette absurdité idéologique.


C’est vrai l’écologie est un domaine où se retrouvent les dominants qui ont échoué ailleurs, donc majorité de mâles testiboulés du striatum cerebellum.


La grande ironie de l’article d’origine, surtout quand il prétend que la situation est le résultat d’un « processus de discrimination » – l’habituelle machination du méchant patriarcat blanc raciste anti-féministe telle que fabriquée par la mouvance néomarxiste – est que tous les auteurs sauf une sont des hommes et que tous sont blancs : où comment se tirer dans les 2 pieds avec une seule balle… :roll:



Ce type d’article est typique de l’infestation parasite de la vermine idéologique post-moderne dans les institutions de recherche : il est regrettable qu’un support sérieux en fasse la promotion.


Ton language ordurier limite énormément la capacité de tes commentaires à convaincre.



Pourtant sur ce sujet je suis en partie d’accord.



D’après mon expérience perso, la présence de femmes dans une équipe est toujours très bénéfique, autant pour l’ambiance que pour la diversité des points de vue et au final la qualité des résultats. J’ai eu des échos de millieux féminins, et il semble que l’inverse est vrai aussi : avoir au moins quelques hommes dans une équipe est bénéfique.



Cependant il me semble absurde de souhaiter que dans chaque domaine il y ait exactement 50% de femmes, ou de penser que le faible nombre de femmes dans la recherche n’est dû qu’à la discrimination, alors qu’il y a clairement un aspect culturel : les femmes préfèrent certains métiers, les hommes d’autres, ce qui n’est pas nécéssairement un problème, c’est même plutôt sain à mon avis. Ces préférences culturelles peuvent évoluer avec le temps mais je ne voit pas de raison de souhaiter que les hommes et les femmes aient exactement les mêmes intérêts professionels en moyenne.


wagaf

Ton language ordurier limite énormément la capacité de tes commentaires à convaincre.



Pourtant sur ce sujet je suis en partie d’accord.



D’après mon expérience perso, la présence de femmes dans une équipe est toujours très bénéfique, autant pour l’ambiance que pour la diversité des points de vue et au final la qualité des résultats. J’ai eu des échos de millieux féminins, et il semble que l’inverse est vrai aussi : avoir au moins quelques hommes dans une équipe est bénéfique.



Cependant il me semble absurde de souhaiter que dans chaque domaine il y ait exactement 50% de femmes, ou de penser que le faible nombre de femmes dans la recherche n’est dû qu’à la discrimination, alors qu’il y a clairement un aspect culturel : les femmes préfèrent certains métiers, les hommes d’autres, ce qui n’est pas nécéssairement un problème, c’est même plutôt sain à mon avis. Ces préférences culturelles peuvent évoluer avec le temps mais je ne voit pas de raison de souhaiter que les hommes et les femmes aient exactement les mêmes intérêts professionels en moyenne.


j’ai déjà bossé dans une boite à 97% de femmes ( un peu plus de 100 personnes ) , c’est sympa quand tu n’es pas de leur service , mais j’ai jamais vu des hyènes à ce point :o ça se tire tous dessus à la machine à café d’une violence inouie



dans des plus petits boite d’info avec quelques femmes ( pas 5050 ) j’avais pas cette ambiance malaisante .


wagaf

Ton language ordurier limite énormément la capacité de tes commentaires à convaincre.



Pourtant sur ce sujet je suis en partie d’accord.



D’après mon expérience perso, la présence de femmes dans une équipe est toujours très bénéfique, autant pour l’ambiance que pour la diversité des points de vue et au final la qualité des résultats. J’ai eu des échos de millieux féminins, et il semble que l’inverse est vrai aussi : avoir au moins quelques hommes dans une équipe est bénéfique.



Cependant il me semble absurde de souhaiter que dans chaque domaine il y ait exactement 50% de femmes, ou de penser que le faible nombre de femmes dans la recherche n’est dû qu’à la discrimination, alors qu’il y a clairement un aspect culturel : les femmes préfèrent certains métiers, les hommes d’autres, ce qui n’est pas nécéssairement un problème, c’est même plutôt sain à mon avis. Ces préférences culturelles peuvent évoluer avec le temps mais je ne voit pas de raison de souhaiter que les hommes et les femmes aient exactement les mêmes intérêts professionels en moyenne.


Je n’ai pas d’autres prétention que d’exposer les ordures et la vermine pour ce qu’elles sont, ceci explique peut-être cela. Sinon, je ne cherche à convaincre personne : les adultes avec un cerveau sont capables de se faire une opinion par et pour eux-mêmes pendant que les autres restent dans leur fange.



Sur le fond, les observations montrent que plus les pays implémentent des législations et réglementations égalitaristes (c’est-à-dire pour favoriser les femmes), plus ce que tu décris apparaît : les préférences et les différences de traits entre les sexes sont exacerbées.



Il va sans dire que ceux qui ont publiés ces études (exemple, PDF), qui vont toutes dans ce même sens, avaient l’hypothèse inverse comme point de départ.



Mais apparemment le CNRS n’est pas au courant de ces résultats…


tmtisfree

Je n’ai pas d’autres prétention que d’exposer les ordures et la vermine pour ce qu’elles sont, ceci explique peut-être cela. Sinon, je ne cherche à convaincre personne : les adultes avec un cerveau sont capables de se faire une opinion par et pour eux-mêmes pendant que les autres restent dans leur fange.



Sur le fond, les observations montrent que plus les pays implémentent des législations et réglementations égalitaristes (c’est-à-dire pour favoriser les femmes), plus ce que tu décris apparaît : les préférences et les différences de traits entre les sexes sont exacerbées.



Il va sans dire que ceux qui ont publiés ces études (exemple, PDF), qui vont toutes dans ce même sens, avaient l’hypothèse inverse comme point de départ.



Mais apparemment le CNRS n’est pas au courant de ces résultats…


Comparer des humains à de la vermine, c’est vraiment malsain, ça sous-entend que certaines personnes devraient disparaitre (c’est en général ce qu’on souhaite à la vermine), ça implique que certains humains (la “vermine”) sont inférieurs. Surtout que tu ne fais aucun effort pour séparer les idées des personnes. Donc avant même de rendre ton argumentaire convaincant tu pourrais déjà le rendre moins repoussant (surtout pour les gens “avec un cerveau” qui savent où mène ce genre de chose).



Surtout qu’en pratique ceux que tu appelles la vermine sont parfois ceux qui créent le plus de richesse. Et même des gens qui ne créent pas de richesse ont leur place dans la société. On peut avoir des opinions différentes sur l’organisation de la société sans être de la “vermine”.


wagaf

Comparer des humains à de la vermine, c’est vraiment malsain, ça sous-entend que certaines personnes devraient disparaitre (c’est en général ce qu’on souhaite à la vermine), ça implique que certains humains (la “vermine”) sont inférieurs. Surtout que tu ne fais aucun effort pour séparer les idées des personnes. Donc avant même de rendre ton argumentaire convaincant tu pourrais déjà le rendre moins repoussant (surtout pour les gens “avec un cerveau” qui savent où mène ce genre de chose).



Surtout qu’en pratique ceux que tu appelles la vermine sont parfois ceux qui créent le plus de richesse. Et même des gens qui ne créent pas de richesse ont leur place dans la société. On peut avoir des opinions différentes sur l’organisation de la société sans être de la “vermine”.


Libre à toi d’interpréter et de faire l’assimilation entre les 2, surtout quand je passe l’essentiel de mes commentaires à exposer les travers anti-humains (mais pas que) de l’idéologie rouge-verte…



Note qu’il existe toujours des humains inférieurs à d’autres selon le critère et la métrique considérés.


Et après les mêmes vont s’étonner que les sciences sociales se fassent cracher dessus…



tmtisfree a dit:


La grande ironie de l’article d’origine, surtout quand il prétend que la situation est le résultat d’un « processus de discrimination » – l’habituelle machination du méchant patriarcat blanc raciste anti-féministe telle que fabriquée par la mouvance néomarxiste – est que tous les auteurs sauf une sont des hommes et que tous sont blancs : où comment se tirer dans les 2 pieds avec une seule balle… :roll:



Ce type d’article est typique de l’infestation parasite de la vermine idéologique post-moderne dans les institutions de recherche : il est regrettable qu’un support sérieux en fasse la promotion.




J’ai sûrement rien compris au truc (ou trop bien) mais quand je lis :
“des mesures concrètes pour enrayer cette surreprésentation des hommes et des pays occidentaux.”



Je comprend qu’il faut motiver les femmes a s’investir dans ce domaine.



Le mauvais élève de ces chiffres (si il existe) ne peut pas être le SWM existant vu que c’est lui même qui formule l’invitation, ni les femmes déjà présentes puisqu’elles ont déjà fait leur preuves.



L’idée de discrimination pouvant inclure l’auto-discrimination, ça reste cohérent.



Le cas échéant :




Ce type d’article est typique de l’infestation parasite de la vermine idéologique post-moderne dans les institutions de recherche : il est regrettable qu’un support sérieux en fasse la promotion.




;)


Je ne m’attendais pas à un tel nombre de commentaires sexistes ici.
On progresse mais vraiment lentement…



(quote:1857951:jt_69.V)
Je ne m’attendais pas à un tel nombre de commentaires sexistes ici. On progresse mais vraiment lentement…




Un commentaire sexiste, c’est bien un commentaire qui laisse penser qu’un homme et une femme sont tellement différents qu’il faudrait les deux pour obtenir de “meilleurs résultats” ?



Je suis au contraire plutôt heureux de voir tant de commentateurs considérer que les hommes et les femmes, c’est intellectuellement équivalent et qu’on s’en fout un peu du sexe de la personne qui produit une étude…


+10



Citan666 a dit:


Mieux vaudrait donner encore plus de moyens à l’école doublés d’initiative de promotion de métier qui aille à l’encontre des acquis culturels pour renforcer la tranquille tendance de fond vers la mixité dans toutes les couches socio-culturelles.




Tu tombes toi aussi dans le panneau des égalitaristes en considérant que le problème est culturel, alors que les déterminants génétiques primes dans les différences intersexes.



En STEM par exemple, ce sont dans les pays (scandinaves) ayant le plus promus l’accès aux femmes dans ces activités typiquement masculines que les différences dans la répartition H-F sont les plus marquées. En clair, quand on élimine les soit disant obstacles culturels, la génétique s’impose.



Le même déni existe à l’Éducation Nationale où on considère que les élèves ne sont que des pages blanches, et que si différences il y a, les causes sont culturelles et qu’avec assez de moyens on pourra les éradiquer. La génétique qui explique plutôt intuitivement que l’intelligence (qu’on peut mesurer) est variable d’un individu à l’autre n’est jamais prise en compte. D’où le lent déclin du niveau du système éducatif qui sacrifie les moins aptes sur l’autel de cette idéologie.


Je suis navré mais balancer un vieux graphique sans le moindre contexte ce n’est pas spécialement probant.



Par ailleurs s’il est certain qu’il existe nombre de différences génétiques et partant physiologiques qui influent sur nos besoins fondamentaux et notre manière d’être (ce qui rend la notion “d’égalité hommes femmes” complètement stupide tandis que la notion “d’équité homme femmes” est aussi pertinente qu’essentielle, mais je m’égare)…



Mais ces différences ont àmha assez peu d’impact sur une large majorité de métiers, et la capacité d’une personne quelque soit son sexe à l’exercer correctement.
Sur le plan intellectuel, il me semble que si une étude avait réussi à démontrer une différence de capacité significative selon la “génétique du sexe” à réfléchir de telle manière, raisonner selon telle logique, cela aurait fait grand bruit. :mdr:



Sur le plan physique, à moins de viser une performance extrême de rendement (du genre championnat d’haltérophilie) ou un contexte d’exécution du travail particulièrement éprouvant, il n’ y pas de raison particulière qu’une personne soit moins apte du fait de son sexe. Au pire elle mettra juste un peu plus de temps à s’aligner sur le niveau des autres si elle était moins apte physiquement, mais là encore, l’entraînement et la volonté sont à mon sens bien plus influentes sur cette capacité à devenir efficace que l’aptitude naturelle du corps à se renforcer musculairement. Notons d’ailleurs que de toute façon il y a un mouvement de fond depuis des décennies pour réduire ou supprimer l’effort physique autant que possible par l’outil ou la machine automatisée, parce que homme ou femme globalement s’épuiser au taff personne n’aime ça. XD



Sur ce postulat que dans la grande majorité des activités humaines il n’y a donc aucun véritable “frein à son exercice” basé sur le sexe, mais qu’on constate tout de même une forte prédominance d’un genre particulier sur certains métiers, quelle serait la part de détermination “physiologique” (manière d’être profonde, influence hormonale sur le comportement, schéma de développement physiologique etc) par rapport à la part de détermination “culturelle” (réplication de modèles parentaux, répétition de schémas d’éducation menant à s’intéresser aux mêmes domaines ou manières de vivre que les générations parentes ou famille proche, moyens bruts donnés à l’enfant pour son éducation physique, intellectuelle et morale, milieu social et “regard de l’autre” par rapport à ses aspirations profondes, soutien -ou non- familial…).



Je réfute comme toi à priori l’idée selon laquelle il n’y aurait aucune influence de notre corps même sur notre manière d’être et d’agir (on ne peut nier des codes de développement et de comportement peaufinés sur des millions d’années, tout spécialement quand on se retrouve confronté à des situations où on a tendance à passer la main à l’instinct ^^).
En revanche contrairement à toi semble-t-il je soupçonne que cette influence reste limitée comparativement à tous les autres facteurs d’influence externes, en tout cas en ce qui concerne le choix d’un métier. :)


Citan666

Je suis navré mais balancer un vieux graphique sans le moindre contexte ce n’est pas spécialement probant.



Par ailleurs s’il est certain qu’il existe nombre de différences génétiques et partant physiologiques qui influent sur nos besoins fondamentaux et notre manière d’être (ce qui rend la notion “d’égalité hommes femmes” complètement stupide tandis que la notion “d’équité homme femmes” est aussi pertinente qu’essentielle, mais je m’égare)…



Mais ces différences ont àmha assez peu d’impact sur une large majorité de métiers, et la capacité d’une personne quelque soit son sexe à l’exercer correctement.
Sur le plan intellectuel, il me semble que si une étude avait réussi à démontrer une différence de capacité significative selon la “génétique du sexe” à réfléchir de telle manière, raisonner selon telle logique, cela aurait fait grand bruit. :mdr:



Sur le plan physique, à moins de viser une performance extrême de rendement (du genre championnat d’haltérophilie) ou un contexte d’exécution du travail particulièrement éprouvant, il n’ y pas de raison particulière qu’une personne soit moins apte du fait de son sexe. Au pire elle mettra juste un peu plus de temps à s’aligner sur le niveau des autres si elle était moins apte physiquement, mais là encore, l’entraînement et la volonté sont à mon sens bien plus influentes sur cette capacité à devenir efficace que l’aptitude naturelle du corps à se renforcer musculairement. Notons d’ailleurs que de toute façon il y a un mouvement de fond depuis des décennies pour réduire ou supprimer l’effort physique autant que possible par l’outil ou la machine automatisée, parce que homme ou femme globalement s’épuiser au taff personne n’aime ça. XD



Sur ce postulat que dans la grande majorité des activités humaines il n’y a donc aucun véritable “frein à son exercice” basé sur le sexe, mais qu’on constate tout de même une forte prédominance d’un genre particulier sur certains métiers, quelle serait la part de détermination “physiologique” (manière d’être profonde, influence hormonale sur le comportement, schéma de développement physiologique etc) par rapport à la part de détermination “culturelle” (réplication de modèles parentaux, répétition de schémas d’éducation menant à s’intéresser aux mêmes domaines ou manières de vivre que les générations parentes ou famille proche, moyens bruts donnés à l’enfant pour son éducation physique, intellectuelle et morale, milieu social et “regard de l’autre” par rapport à ses aspirations profondes, soutien -ou non- familial…).



Je réfute comme toi à priori l’idée selon laquelle il n’y aurait aucune influence de notre corps même sur notre manière d’être et d’agir (on ne peut nier des codes de développement et de comportement peaufinés sur des millions d’années, tout spécialement quand on se retrouve confronté à des situations où on a tendance à passer la main à l’instinct ^^).
En revanche contrairement à toi semble-t-il je soupçonne que cette influence reste limitée comparativement à tous les autres facteurs d’influence externes, en tout cas en ce qui concerne le choix d’un métier. :)


2018 c’est vieux ? :roll: Le lien vers l’étude complète, qui a été répliquée à de nombreuses reprises, est donné plus haut dans un autre de mes commentaires.
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Mais ces différences ont àmha assez peu d’impact sur une large majorité de métiers, et la capacité d’une personne quelque soit son sexe à l’exercer correctement.




Ton « avis » sur la question ne vaut pas grand chose sans analyse :
1/ tous les métiers en activité extérieure ou qui nécessitent de la force sont quasi exclusivement masculin : la raison est évidemment génétique.
2/ la plupart des métiers qui s’intéressent aux personnes (santé, libéral, etc.) sont en très forte proportion féminin : la raison est aussi génétique – une grande majorité des femmes s’intéressent plus aux personnes qu’aux choses (comme c’est le cas d’une grande majorité d’hommes qu’on retrouve donc surtout en STEM).



Ce n’est pas pour dire que l’environnement et le hasard n’ont pas leur place ou qu’il n’existe pas d’exception. Simplement que la génétique est prépondérante une fois qu’on parvient à supprimer les autres variables (ce que montre clairement le graphique). Il est donc simpliste et erroné de croire que ces différences vont disparaître en édictant des législations (ou en déversant des tombereaux de pognon, ce qui était mon point relativement à l’éducation).



tmtisfree a dit:


Note qu’il existe toujours des humains inférieurs à d’autres selon le critère et la métrique considérés.




Non, pas au point d’assimiler des gens à des insectes nuisibles (je ne fais pas d’interprétation, tes propos sont explicites).
Tu auras beaucoup de mal à exposer les travers “anti-humains” de qui que ce soit si tu les compare toi même à de la vermine..


Moi je trouve qu’il n’a pas assez de femmes sur les chantiers du BTP. Il est urgent de s’y attaquer et de ramener l’équilibre afin que les goudrons de nos autoroutes soient posés avec plus de finesse !!


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