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Amazon peut compter sur ses Web Services pour compenser ses pertes à l’international

La puissance du Cloud

Amazon peut compter sur ses Web Services pour compenser ses pertes à l'international

Le 23 octobre 2015 à 14h15

Amazon a lui aussi publié ses résultats trimestriels aujourd'hui, dans les pas de Google et Microsoft. Le cybermarchand peut avoir le sourire car ses ventes se portent bien, mais il flirte toujours avec la limite entre pertes et bénéfices.

Alors qu'il prépare en ce moment ses équipes à devoir encaisser le rush de la période des fêtes de fin d'année, Amazon vient de dévoiler ses résultats financiers pour le troisième trimestre. Premier constat, la croissance est toujours au rendez-vous avec une hausse de 23 % de son chiffre d'affaires sur un an. Celui-ci s'établit donc à 25,4 milliards de dollars sur les trois derniers mois, malgré des taux de change défavorables pour l'entreprise, qui représentent un manque à gagner de 1,3 milliard de dollars.

Un équilibre difficile à atteindre

Le résultat net d'Amazon n'est par contre pas aussi impressionnant que son chiffre d'affaires. Avec un bénéfice net de 79 millions de dollars au dernier trimestre, l'entreprise est rentable au sens strict du terme, mais il suffirait de pas grand-chose pour que la tendance s'inverse. D'ailleurs, sur les trimestres précédents, le cybermarchand est régulièrement passé d'un côté ou de l'autre du seuil de rentabilité, avec notamment un pic de pertes de 437 millions de dollars il y a tout juste un an. 

Amazon Q3 15Amazon Q3 15

 

L'un des facteurs dont dépend cette rentabilité concerne les coûts d'expédition des produits. Au dernier trimestre, Amazon a déclaré des coûts à hauteur de 2,72 milliards de dollars au dernier trimestre, soit 11,7 % du montant total de ses ventes, en ne récoltant que 1,494 milliard de dollars de revenus liés à l'expédition de colis. Amazon fait donc face à un trou de 1,226 milliard de dollars dû à ce poste de dépenses, en augmentation de 26 % sur un an. 

Amazon doit également faire attention à un autre point : sa masse salariale. L'entreprise a recruté sans compter ces derniers temps, et est passée en l'espace d'un an de 149 500 employés à 222 400 aujourd'hui, soit un total de 72 900 embauches en un an et une augmentation de 49 % sur cette période. Il est à noter que ce chiffre ne tient pas compte des prestataires, sous traitants et intérimaires, et ne comprend que les employés d'Amazon à temps plein ou partiel.

Prophète en son pays, Amazon perd de l'argent à l'international

Le géant du commerce en ligne fait également face à un autre problème récurrent : ses activités à l'international lui coûtent de l'argent. En Amérique du Nord, Amazon réalise 59 % de son chiffre d'affaires, mais c'est aussi là qu'il parvient à afficher un bilan opérationnel positif, avec un bénéfice de 528 millions de dollars. 

Amazon Q3 15Amazon Q3 15Amazon Q3 15

À l'étranger, les choses se gâtent. Les ventes ne progressent pas au même rythme qu'outre-Atlantique, avec une hausse de 7 % à l'international contre 27 % dans son fief. Un problème principalement dû aux variations du taux de change du dollar, puisqu'à change constant, la hausse serait de 24 %. Taux de change ou pas, Amazon reste chroniquement déficitaire à l'étranger, et après des pertes de 174 millions de dollars l'an passé, et deux autres trimestres dans le rouge, sur les trois derniers mois Amazon a perdu 56 millions de dollars.

Les Web Services à la rescousse

Il y a par contre un secteur sur lequel Amazon peut compter pour assurer sa croissance : ses Web Services. Il s'agit pour rappel d'un éventail de services dont les plus connus sont sans doute Amazon Elastic Compute Cloud (EC2) qui propose aux entreprises de louer des serveurs virtuels ou Glacier et S3, ses offres de stockage en ligne. Dernièrement, l'enteprise a lancé son offre Snowball, pour l'envoi de données volumineuses... par transporteur. 

Amazon Q3 15 

A l'instar de l'offre Azure de Microsoft, la croissance est au rendez-vous, bien aidée par le boom que connait actuellement ce secteur. Les Web Services d'Amazon comptent ainsi pour 7 % du chiffre d'affaires de l'entreprise, une part en constante augmentation. Mais surtout, son bénéfice opérationnel a été multiplié par 5 en un an, pour atteindre 521 millions de dollars, soit autant que ce que rapporte l'activité e-commerce en Amérique du Nord.

Les marchés financiers ont quant à eux apprécié les performances d'Amazon, ce qui se traduit par une hausse de 7,5 % du cours de l'entreprise en bourse au moment où nous rédigeons cette actualité. Cela valorise Amazon à plus de 260 milliards de dollars, tandis que les deux autres grands gagnants du jour, Microsoft et Google, sont respectivement valorisés à 425 et 495 milliards de dollars.

Commentaires (37)

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Pas le Comic-Con? C’est proche de l’univers du jeu vidéo.<img data-src=" />

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SrBelial a écrit :



@Ellierys : Il faudrait si possible éviter l’emploi du terme “web services” et le remplacer par “services web” … La différence parait minime mais est énorme : car cela prête à confusion et un développeur ou n’importe qui qui manipule vraiment des web services sera confus et s’imaginera qu’il s’agit d’échanges REST ou SOAP alors que ça n’a strictement rien à voir.

Un service web c’est un service au sens commercial du terme, un web service c’est de la couche réseau.



;)







Pourtant il s’agit bien là de web services. Tout leur cloud est fronté par des web services, comme Azure.


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Tu veux dire des microservices? <img data-src=" />

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A ta décharge le sous-titre est plus explique que le titre. <img data-src=" />

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Avec 23% de croissance pour une entreprise de cette taille, un petit déficit dans le bilan, c’est pas important.

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oui, comme le cas NC-SFR ou Vivendi Universal : du moment que la croissance de la société permet la confiance des investisseurs et des banques, il n’y a pas de soucis. C’est en cas de retournement de la situation des marchés financiers que la vie devient plus dure pour ces entreprises en croissance qui s’endettent.

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js2082 a écrit :



Il suffit de voir la photo d’illustration et la joie de vivre qui émane du regard de l’employé d’Amazon.

T’as pas du tout envie de te pendre quand tu vois ça…<img data-src=" />





js2082 découvre la manutention… (Et les travaux de main d’oeuvre ouvrière en général). Un job de merde (travail répétitif, éprouvant physiquement et/ou mentalement, ne nécessitant aucune capacité de réflexion, pouvant aisément être remplacé par un automate) restera un job de merde où que tu sois, peu importe l’enseigne.



Une des rares variable d’ajustement reste le salaire, or comme la demande est largement supérieur à l’offre dans le secteur de l’emploi, la rémunération est aux minima faute de concurrence à l’embauche.



Du coup, vivement que l’on remplace ces jobs de merde par des automates, on pourra alors embaucher des ingénieurs pour concevoir et paramétrer ces robots et des technicien pour en assurer la maintenance: Jobs qui sont autrement plus sympa que manipuler des colis.







Flyman81 a écrit :



(Reste qu’Amazon n’est pas au top niveau conditions de travail de ce que l’on peut entendre…)



Les conditions de travail sont les mêmes chez les autres acteurs internet. On parle beaucoup d’Amazon parce qu’il est leader sur le marché (et étranger). De la même manière que l’on tape sur Apple pour les conditions de travail chez ses sous-traitant en Chine, alors que la concurrence fait appel aux mêmes entreprises.


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oldchap a écrit :



D’où la question qui se pose sur la stratégie à très long terme : le but avoué n’est il pas d’asphyxier les concurrents ?





Je ne suis pas certain qu’Amazon asphyxie ses concurrents via les tarifs appliqués, Amazon est rarement le moins cher. Par contre, le service est largement au dessus de bien des concurrents.

A titre d’exemple je viens d’acheter (le 1510) un WD Caviar Green de 3To à 82€30 sur Cdiscount:




  • Le colis arrive le 20 au matin, le colis mesure 50x40x15cm (pour un seul disque dur) qui se ballade dedans sans rien pour le caler. (Ce qui démontre le “j’en ai rien à foutre” du manutentionnaire)

  • Le disque tombe panne 5 heures plus tard (ce que je considère être une panne au déballage).

  • Après avoir affronté le SAV en ligne qui bogue le 34 du temps. J’ai quand même réussi à faire une réclamation en ligne, ils promettent une réponse sous 72 heures.

  • 4 jours plus tard, pas de réponse. Impossible de relancer le SAV en ligne, site web du SAV “indisponible”.

  • Après avoir cherché 30 min un numéro de SAV gratuit dans les CGV : choix 2: “Mon produit est en panne” Personne ne répond au bout de la ligne.

  • Je tente le “choix 1” : Et l’opératrice qui me sort: Pas de retour possible, aucune garantie prise en charge par cdiscount, aucun remplacement ou remboursement possible y compris pour un produit livré en panne, veuillez traiter avec le constructeur.

  • Je tente d’appeler WD : aucun numéro sur leur site web n’est valide… C’est parti pour une réclamation en ligne.



    ==&gt; Je regrette très amèrement de ne pas avoir lâché 17€ de plus sur Amazon. Au moins chez eux c’est simple, clair et sans embrouille: Ils t’envoient une étiquette et le retour se fait gratuitement.


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Tu compares un discounter avec un magasin en ligne : en général, Amazon ne vend pas des fins de stocks. Donc, c’est un peu logique que Cdiscount soit moins cher que Amazon.



D’ailleurs la centrale d’achat de Casino/Intermarché n’a rien à envier à Amazon.



En revanche, Amazon pratique un tarif de frais de transport très agressif. Et les concurrents les plus petits (qui n’ont pas de filiales de transport ou qui n’ont pas les volumes de vente de Amazon pour négocier avec La Poste ou UPS ou DHL) sont bien dans l’impossibilité de rivaliser avec ce GAFAM de la vente à distance.

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joma74fr a écrit :



oui, comme le cas NC-SFR ou Vivendi Universal : du moment que la croissance de la société permet la confiance des investisseurs et des banques, il n’y a pas de soucis. C’est en cas de retournement de la situation des marchés financiers que la vie devient plus dure pour ces entreprises en croissance qui s’endettent.





Faut pas non plus oublier le principe du bilan qui est un état des lieux à un moment donné. Si avant le bilan, je fais de grosses dépenses d’investissements avant d’avoir de grosses rentrées après le bilan, ça alourdit les dépenses dans le bilan.

Pour une entreprise qui s’étend comme les nouvelles technologies et font de gros investissements, c’est pas si étonnant que ça qu’elles soient en déficit.


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kwak-kwak a écrit :



Du coup, vivement que l’on remplace ces jobs de merde par des

automates, on pourra alors embaucher des ingénieurs pour concevoir et

paramétrer ces robots et des technicien pour en assurer la maintenance:

Jobs qui sont autrement plus sympa que manipuler des colis.





Et on met les manutentionnaires au chômage ou en ingénieur.



la question a l’air béte car qui a envie de faire un travail de merde? Mais il ne faut pas oublier l’autre question qui veut perdre sa source de revenue?


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Je pensais plus aux bénéfices colossaux annoncés par Microsoft, Google et Intel qui reçoivent des éloges des journalistes. Alors qu’au final ce n’est pas du tout dans l’intérêt du consommateur.



Pour la concurrence d’Amazon aux petites librairies et autres plus petites structures c’est effectivement autre chose, et c’est à nous consommateurs d’y être attentif et de continuer à les faire travailler.

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Pourquoi ne pas l’avoir renvoyé sans rien dire ?



Tu as 14 jours pour renvoyer un article qui ne te plaît pas sans justification&nbsp;



Tant qu’on est dans ce labs de temps il ne faut jamais dire que ça marche plus car ils peuvent en profiter pour dire que c’est de ta faute&nbsp;



Tu as encore le temps de le renvoyer&nbsp;



Rappelle les et demande un retour pour rétractation. &nbsp;Je crois que tu peux le faire sur le site aussi sans passer par la hotline&nbsp;





&nbsp;







kwak-kwak a écrit :



Je ne suis pas certain qu’Amazon asphyxie ses concurrents via les tarifs appliqués, Amazon est rarement le moins cher. Par contre, le service est largement au dessus de bien des concurrents.

A titre d’exemple je viens d’acheter (le 1510) un WD Caviar Green de 3To à 82€30 sur Cdiscount:




  • Le colis arrive le 20 au matin, le colis mesure 50x40x15cm (pour un seul disque dur) qui se ballade dedans sans rien pour le caler. (Ce qui démontre le “j’en ai rien à foutre” du manutentionnaire)

  • Le disque tombe panne 5 heures plus tard (ce que je considère être une panne au déballage).

  • Après avoir affronté le SAV en ligne qui bogue le 34 du temps. J’ai quand même réussi à faire une réclamation en ligne, ils promettent une réponse sous 72 heures.

  • 4 jours plus tard, pas de réponse. Impossible de relancer le SAV en ligne, site web du SAV “indisponible”.

  • Après avoir cherché 30 min un numéro de SAV gratuit dans les CGV : choix 2: “Mon produit est en panne” Personne ne répond au bout de la ligne.

  • Je tente le “choix 1” : Et l’opératrice qui me sort: Pas de retour possible, aucune garantie prise en charge par cdiscount, aucun remplacement ou remboursement possible y compris pour un produit livré en panne, veuillez traiter avec le constructeur.

  • Je tente d’appeler WD : aucun numéro sur leur site web n’est valide… C’est parti pour une réclamation en ligne.



    ==&gt; Je regrette très amèrement de ne pas avoir lâché 17€ de plus sur Amazon. Au moins chez eux c’est simple, clair et sans embrouille: Ils t’envoient une étiquette et le retour se fait gratuitement.&nbsp;





    &nbsp;


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Perso, je partirais plus sur la garantie de conformité.



Je ne suis pas certain que ça s’applique en cas de panne, ce qui demanderait une petite recherche que j’ai la flemme de faire, mais l’avantage par rapport au droit de rétractation c’est que tu ne paies pas les frais de retour.



Et après tout,&nbsp;il voulait un disque dur qui marche, le disque dur&nbsp;ne&nbsp;marche pas et ça le rend impropre à son usage.

&nbsp;

J’ai fait ça sur un bouquin cet été avec un vendeur sur le site de la FNAC. J’ai fait le mange merde. Un livre qui coûte environ 50€ neuf. Je trouve une édition 2013 à 3€ port compris, ce qui est pas idéal mais largement utilisable. Le risque est limité, je me lance.

Je reçois une édition 2005 complètement obsolète.



J’ai écrit au mec pour lui expliquer le souci et que je ne pourrai pas utiliser son bouquin. Il me rembourse et me laisse le garder.

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J’ai l’habitude de commander sur ce genre de site et je peux te dire que le moindre mal c’est de jouer sur le délai de rétractation.&nbsp;



En théorie tu as raison mais dans la pratique tu as affaire à de grosse boîte contre lesquelles tu n’as aucun poids et qui vont faire traîner le truc comme il l ont fait avec kwak-kwak, te renvoyer vers le constructeur qui au final risque de te dire que c’est suite à une utilisation non conforme que le produit est en panne. Et comme tu vas pas porter l’affaire en justice pour 50 euros…&nbsp;



Toi tu as eu affaire à un vendeur sympa, &nbsp;lui il s’agit de cdiscount avec une hotline qui ne peux rien faire d’autre qu obéir aux ordres.&nbsp;



&nbsp;



&nbsp;

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Et encore, faudrait aussi que le fabricant accepte l’échange, j’ai déjà eu le cas où des disques WD achetés au rabais étaient en fait des versions OEM, donc WD ne les prend pas en charge…

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14 jours de delais de retractation pas besoin de justifier quoi que ce soit

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Kevin Hottot

Journaliste spécialisé dans l’univers du jeu vidéo



Ça s’arrête quand la saison des résultats financiers ? <img data-src=" />

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Si on tient compte du fait qu’amazon ne paye qu’une partie infime des impôts qu’il devrait payer, on peut considérer que l’entreprise est déficitaire en permanence.



D’où la question qui se pose sur la stratégie à très long terme : le but avoué n’est il pas d’asphyxier les concurrents ?

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on en fait tout un plat de la réussite de Amazon. Finalement, ça commence juste à être rentable. Peut-être le début d’une meilleure rentabilité ?… ou pas ?

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Début novembre <img data-src=" />

Fin je vais échapper à quelques-uns (genre ceux d’Altice) pendant que je serai à la Paris Games Week <img data-src=" />

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A quand un test dOverwatch? <img data-src=" />

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Une entreprise qui est à l’équilibre ça ne me gêne pas, tant qu’elle peut dégager de l’investissement. Par contre une entreprise qui génère des bénéfices colossaux sur le dos de ses employés et de ses clients je trouve ça beaucoup plus dérageant.



Donc au final je préfère cette situation, ça me parait être une gestion raisonnable.



(Reste qu’Amazon n’est pas au top niveau conditions de travail de ce que l’on peut entendre…)

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J’espère avoir un accès bêta pour ça. (Mais c’est pas trop l’endroit pour en parler <img data-src=" />, je reste joignable sur Twitter ou le forum pour ce genre de questions <img data-src=" />)

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Flyman81 a écrit :



Une entreprise qui est à l’équilibre ça ne me gêne pas, tant qu’elle peut dégager de l’investissement. Par contre une entreprise qui génère des bénéfices colossaux sur le dos de ses employés et de ses clients je trouve ça beaucoup plus dérageant.



Donc au final je préfère cette situation, ça me parait être une gestion raisonnable.



(Reste qu’Amazon n’est pas au top niveau conditions de travail de ce que l’on peut entendre…)







Enfin, je vois surtout qu’il cherche surtout à tuer à concurrence. Parce que la perte sur les frais de port, c’est ce que les plus petites seront incapable d’encaisser. Bref, plein d’emploi en moins chez la concurrence, pour le seul bénéfice des actionnaires d’Amazon. Bref, quand plus personne n’aura les moyens d’acheter, que ce passera-t-il ?


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@Ellierys : Il faudrait si possible éviter l’emploi du terme “web services” et le remplacer par “services web” … La différence parait minime mais est énorme : car cela prête à confusion et un développeur ou n’importe qui qui manipule vraiment des web services sera confus et s’imaginera qu’il s’agit d’échanges REST ou SOAP alors que ça n’a strictement rien à voir.

Un service web c’est un service au sens commercial du terme, un web service c’est de la couche réseau.



;)

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La concentration du capital permet de choisir combien on veut payer d’impôts, et à qu’elle vitesse on veut tuer nos concurrents <img data-src=" />

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Ellierys a écrit :



Début novembre <img data-src=" />

Fin je vais échapper à quelques-uns (genre ceux d’Altice) pendant que je serai à la Paris Games Week <img data-src=" />





Oh c’est dommage, je comptais vraiment sur ces résultats ! Si on est assez nombreux, l’équipe peut peut-être annuler ta venue à la PGW <img data-src=" />


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Pour faire écho au mail de signalement d’erreur et que tout le monde puisse profiter de la réponse, ici Web Services est utilisé comme un nom propre (les majuscules ont leur importance ici), le produit dont il est question s’appelant “Amazon Web Services”



Nulle question de couche réseau ou d’autres trucs compliqués, on cite simplement une marque.



;)

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Pas moyen, j’ai des interviews plutôt sympa de prévues pour cette semaine <img data-src=" />

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Ellierys a écrit :



Pas moyen, j’ai des interviews plutôt sympa de prévues pour cette semaine <img data-src=" />





Il y a Motive Studios dans les exposants ?



—&gt; []


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ActionFighter a écrit :



Il y a Motive Studios dans les exposants ?



—&gt; []





<img data-src=" />


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( ͡° ͜ʖ ͡°)

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merci pour la réponse &nbsp;:)

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Flyman81 a écrit :



(Reste qu’Amazon n’est pas au top niveau conditions de travail de ce que l’on peut entendre…)





Il suffit de voir la photo d’illustration et la joie de vivre qui émane du regard de l’employé d’Amazon.



T’as pas du tout envie de te pendre quand tu vois ça…<img data-src=" />


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Dans le Cloud, on parle d’AWS pour citer Amazon et ses produits, cités dans la News. <img data-src=" />


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Gigatoaster a écrit :



Dans le Cloud, on parle d’AWS pour citer Amazon et ses produits, cités dans la News. <img data-src=" />





Je plussoie, c’est vrai que j’ai rien compris au titre à la première lecture, c’est ça de jouer avec des web services en permanence ^^


Amazon peut compter sur ses Web Services pour compenser ses pertes à l’international

  • Un équilibre difficile à atteindre

  • Prophète en son pays, Amazon perd de l'argent à l'international

  • Les Web Services à la rescousse

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