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Le gouvernement veut des cours en ligne dans chaque université d’ici 2017

C'est trop FUN !

Le gouvernement veut des cours en ligne dans chaque université d'ici 2017

Le 15 janvier 2013 à 11h12

Après le ministre de l’Éducation nationale Vincent Peillon, qui a présenté le mois dernier son plan pour « le numérique à l’École », c’est au tour de Geneviève Fioraso, ministre de l'Enseignement supérieur et de la recherche de dévoiler les grandes lignes de son projet de loi relatif aux universités. Le numérique est une fois de plus au programme, puisqu'une des mesures retenues prévoit que d’ici quatre ans, 20 % des cours soient proposés sur Internet par les universités françaises.  

Le député Jean-Yves Le Déaut a remis hier au Premier ministre un rapport tirant les conséquences des Assises de l'enseignement supérieur et de la recherche, qui se sont déroulées de juillet à novembre 2012, tant à l'échelon national que régional. Dans ce document (PDF), l’élu formule plusieurs propositions, qui ont vocation à être traduites sur le plan législatif. La ministre compétente, Geneviève Fioraso, doit d’ailleurs présenter en mars prochain un projet de loi.

 

déaut rapport

« Le numérique déplace les lignes »

Dans une partie intitulée « Le numérique déplace les lignes », Jean-Yves Le Déaut fait valoir que « la prise en compte des NTIC va révolutionner l’enseignement supérieur ». Selon lui, « un pays qui ne prendrait pas cette orientation se verrait déclassé et (...) on assisterait à un détournement, de l’intérieur, des cerveaux de notre enseignement supérieur, à un affaiblissement de notre culture et de notre rayonnement ».

 

Toutefois, si l’évolution des pratiques pédagogiques apparaît comme une nécessité, le député conclut qu’il faut d’abord réfléchir avant de déterminer précisément le sens que celles-ci doivent prendre. Il en appelle ainsi au lancement de travaux de recherche, portant sur les outils numériques de l’enseignement et aux évolutions pédagogiques, ainsi que sur les modifications de notre rapport au savoir induit par l’utilisation généralisée du numérique. « Les modèles d’enseignement qui doivent évoluer dès à présent devront être améliorés suivant les résultats de ces recherches », conclut le rapport.

 

En attendant, l’élu préconise le lancement d’un plan national, intitulé France Universités Numérique. « Cette initiative devrait permettre de développer une offre ambitieuse de contenus pédagogiques multimédia en ligne. Ces contenus pourraient aussi bien être utilisés en complément des cours pour les formations diplômantes classiques, que dans le cadre de formations à distance », explique Jean-Yves Le Déaut. Le parlementaire propose en outre que les établissements universitaires diffusent en ligne, sur demande, des cours actualisés à leurs anciens étudiants.

Lancement de France Université Numérique dans les prochains jours

Les préconisations du député semblent d’ailleurs avoir trouvé un écho favorable auprès de la ministre de l'Enseignement supérieur et de la recherche, qui a annoncé au Figaro le lancement de France Université Numérique (FUN) dans les prochains jours. L’objectif de cette structure ? Piloter les universités françaises, afin que 20 % des cours soient proposés sur Internet d’ici 2017, soit dans quatre ans. Geneviève Fioraso a ainsi reconnu que la France était « en retard » en matière de cours en ligne, notamment vis à vis de pays tels que les États-Unis.

 

La question de la forme des contenus (vidéo, texte, son...) qui seront mis en ligne reste pour l’instant relativement floue. En termes de mise en place, il s’avère que le projet devrait d’abord faire l’objet d’expérimentations sur des sites pilotes, avant une extension aux autres universités. Les vice-présidents des établissements concernés auraient selon les vœux de la ministre un rôle particulier, et se transformeraient en « M. Internet ».

 

Notons enfin que Geneviève Fioraso exclut à terme la formation d’étudiants dans une version 100 % en ligne. « Les étudiants ne sont pas vraiment mûrs pour ça. Le contact, c’est important », a-t-elle expliqué.

Commentaires (94)

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sscrit a écrit :



tu es sur de l’avoir eu ton BTS, c’est un diplôme SANS mention <img data-src=" />





<img data-src=" /> je suis démasqué



<img data-src=" />



Oui, je l’ai eu avec 13,7. Je confond avec mon bac où j’ai eu mention AB.


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Si c’est faire du numérique pour faire du numérique, ça sert - au mieux - à que dalle.



Par contre, mettre les cours en ligne c’est une bonne idée, mais il faut qu’ils soient complémentaires du cours en amphi/salle de TD (et si ces feignasses d’étudiants* ne font que chopper les cours et s’en battent les reins des cours “live”, faut les sacquer durant les exams <img data-src=" />)





* je l’ai été me souffle t on dans l’oreillette <img data-src=" />

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Payant ?

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methos1435 a écrit :



Voilà le genre de réactions qui n’aide en rien pour la démocratisation des supports numériques…







Comme si ça changeait quoi que se soit à la présence des étudiants en cours !!!! <img data-src=" /> <img data-src=" />



J’ai connu à la fois les amphis blindés et les amphis complètement vides, dans les deux cas les cours était dispo en ligne. La différence : la sélectivité des filière et la motivation des étudiants. Les cours en ligne ne changent rien.


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ze_fly a écrit :



T’as déjà été à la fac? Parce que c’est quand même le degré zéro de l’échange hein. Des amphis blindés ou personnes n’entend rien, même pas chauffé l’hiver avec le prof qui fait son speech tout seul sans regarder si qui que se soit le suit (que l’amphi soit plein ou vide d’ailleurs), etc…









Ah les souvenirs des cours de cristallographie … <img data-src=" /> Enomissime de voir un prof partir dans son trip,des étudiants qui essayent tant bien que mal de recopier une résolution d’équation sur 6 ou 7 tableaux, puis voir les stylos se poser les un après les autres parce que toute façon ça fait déja bien longtemps que plus personne ne capte quoi que ce soit …

Et voir ce prof continuer son trip sans s’en rendre compte, le bon temps <img data-src=" />


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Dans ma fac actuelle (Sciences sociales), tous les supports de cours sont en ligne sur la plateforme de l’université… pour les cours d’informatique et d’économie. Pour les autres filières, c’est pas encore ça <img data-src=" />.



À mon avis le blocage est surtout technologique; dans les filières pas très technophiles, les profs ne sont pas formés à utiliser ce genre d’outils, n’en connaissent pas forcément l’utilité, et s’imaginent probablement des trucs sur l’absentéisme.

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ze_fly a écrit :



Comme si ça changeait quoi que se soit à la présence des étudiants en cours !!!! <img data-src=" /> <img data-src=" />



J’ai connu à la fois les amphis blindés et les amphis complètement vides, dans les deux cas les cours était dispo en ligne. La différence : la sélectivité des filière et la motivation des étudiants. Les cours en ligne ne changent rien.







J’ai pas fait l’Université dirtectement mais un IUT où les cours sont plus proches niveau organisation de ce qu’on trouve au lycée. Donc oui, du moins à mon niveau, le social est important. Bien plus enrichissant de pouvoir échanger avec ses profs que de plancher sur un PDF. Même si le PDF est un atout énorme pour progresser et voir les choses d’une façon différente.



Le PDF pour moi c’est pas (du moins pour les étudiants, pas les “autodidactes”): “j’apprend des choses”, mais “ah oui effectivement j’ai vu ça en cours mais pas de la même façon”, ou “oui j’ai vu ça mais j’avais pas compris ça comme ça”…


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methos1435 a écrit :



Ah les souvenirs des cours de cristallographie … <img data-src=" /> Enomissime de voir un prof partir dans son trip,des étudiants qui essayent tant bien que mal de recopier une résolution d’équation sur 6 ou 7 tableaux, puis voir les stylos se poser les un après les autres parce que toute façon ça fait déja bien longtemps que plus personne ne capte quoi que ce soit …

Et voir ce prof continuer son trip sans s’en rendre compte, le bon temps <img data-src=" />







Putain la cristallo quoi….Heureusement qu’ils avait couplé ça à la chimie, ça ma évité les rattrapages!

Et dans le cas de cette matière, avec ou sans les cours, en numérique ou en version papier, avec ou sans prof, le résultat pour moi reste le même : matière chiante et note de merde au partiel ^^


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ze_fly a écrit :



Putain la cristallo quoi….Heureusement qu’ils avait couplé ça à la chimie, ça ma évité les rattrapages!

Et dans le cas de cette matière, avec ou sans les cours, en numérique ou en version papier, avec ou sans prof, le résultat pour moi reste le même : matière chiante et note de merde au partiel ^^









Me suis jamais autant emmerdé qu’à l’examen de cristallo, mais je crois que j’étais pas le seul <img data-src=" />


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xertux a écrit :



C’est surtout qu’à la différence du e-learning, un cours traditionnel est un réel échange entre enseignant et élève. Donc c’est plus enrichissant et plus sociale.







<img data-src=" /> <img data-src=" /> <img data-src=" />



Excusez-moi, j’ai cru que vous sous-entendiez que les profs interagissent avec les élèves !



Nan sérieusement, ça fait 3 ans que je fais une école en e-learning et les profs qui interagissent en cours, interagissent aussi en cours à distance (nous c’était tableau blanc + téléphone + forum + cours en ligne), et les profs qui n’en ont rien à faire des élèves à distance, n’en ont rien à faire en cours réel !!



Donc un “cours réel” est un “vrai échange” … ou pas, et un cours à distance peut donner lieu à de vrais échanges !



Le vrai problème ce sont nos profs archaïques qui considères qu’il ne doivent surtout pas revoir leurs cours tous les ans ni les adaptés à leur public et à la méthode (et qui sont réfractaire à toute remarques - qui peut être constructive - venant de la part d’un élève) ! (imaginer des cours d’info en école d’ingé où on vous apprend que la disquette 5,25” est LE moyen de stockage en progression …..)


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tibubu257 a écrit :



<img data-src=" /> <img data-src=" /> <img data-src=" />



Excusez-moi, j’ai cru que vous sous-entendiez que les profs interagissent avec les élèves !



Nan sérieusement, ça fait 3 ans que je fais une école en e-learning et les profs qui interagissent en cours, interagissent aussi en cours à distance (nous c’était tableau blanc + téléphone + forum + cours en ligne), et les profs qui n’en ont rien à faire des élèves à distance, n’en ont rien à faire en cours réel !!



Donc un “cours réel” est un “vrai échange” … ou pas, et un cours à distance peut donner lieu à de vrais échanges !



Le vrai problème ce sont nos profs archaïques qui considères qu’il ne doivent surtout pas revoir leurs cours tous les ans ni les adaptés à leur public et à la méthode (et qui sont réfractaire à toute remarques - qui peut être constructive - venant de la part d’un élève) ! (imaginer des cours d’info en école d’ingé où on vous apprend que la disquette 5,25” est LE moyen de stockage en progression …..)







Je comprends ce que vous voulez dire, j’ai eu des profs comme ça, mais j’ai également eu la chance d’avoir des profs qui étaient très motivé et donnaient l’envie d’assister à leurs cours.



Après, les plateformes de e-learning que j’avais eu ne permettait pas d’intéragir avec une personne. Au mieux, on pouvait envoyer un mail et espérer une réponse….


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methos1435 a écrit :



La mise à disposition de supports numériques n’est pas une cause d’absentéisme. Par contre une remise en cause sur la façon d’enseigner serait très bénéfique pour lutter contre ce problème.





J’ai connu un prof en IUT, pour lutter contre l’absentéisme et s’assurer le calme en classe, il commençait en faisant

l’appel en amphi (oui oui l’appel de 150 élèves…), et après son cours consistait à afficher un powerpoint, rempli de texte (un bon gros pavé par slide du genre 20-25 lignes par slide) qu’il lisait à voix haute pendant que nous on recopiait. Alors évidemment il donnait des explications sur ce qu’il écrivait, mais vu qu’on était trop occupé à écrire ce qui était affiché on en profitait pas.

Et il t’engueulait si tu n’écrivais pas pendant qu’il lisait.



Au bout d’une semaine on a compris, on est venu à 3 avec nos PC portables, on se partageait les slides et on tapait le cours puis on le le mettait ensuite à disposition sur le réseau de l’école.



Si le prof ne faisait pas l’appel, on aurait été 3 en classe.



Et le pire c’est qu’on l’avait le vendredi matin, à 8h, et le lundi matin, à 8h…


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Khalev a écrit :



J’ai connu un prof en IUT, pour lutter contre l’absentéisme et s’assurer le calme en classe, il commençait en faisant

l’appel en amphi (oui oui l’appel de 150 élèves…), et après son cours consistait à afficher un powerpoint, rempli de texte (un bon gros pavé par slide du genre 20-25 lignes par slide) qu’il lisait à voix haute pendant que nous on recopiait. Alors évidemment il donnait des explications sur ce qu’il écrivait, mais vu qu’on était trop occupé à écrire ce qui était affiché on en profitait pas.

Et il t’engueulait si tu n’écrivais pas pendant qu’il lisait.



Au bout d’une semaine on a compris, on est venu à 3 avec nos PC portables, on se partageait les slides et on tapait le cours puis on le le mettait ensuite à disposition sur le réseau de l’école.



Si le prof ne faisait pas l’appel, on aurait été 3 en classe.



Et le pire c’est qu’on l’avait le vendredi matin, à 8h, et le lundi matin, à 8h…









Mon prof de physique en première année d’IUT faisait également l’appel. Ou, non , il appelait pas il faisait passer une feuille d’émargement dans l’amphi. Résultat: 8 personnes dans l’amphi et une soixantaine de noms sur la feuille. Sans compter les signatures de batman, mario, dieu … <img data-src=" /> (d’ailleurs, mario sur TI-89 à cette époque ça n’avait pas de prix lol)



Oui ce prof là faisait partie des “chiants” à mourir. Mais ils étaient rares. J’en ai eu d’autres ou personne n’aurait manqué un cours, même en amphi, tellement le tout était intéressant et dynamique (Informatique par exemple).


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En Master, j’avais des examens qui comptaient pour le diplôme à 8h00 tout les vendredis pour lutter contre l’absentéisme post-soirées étudiantes…

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ActionFighter a écrit :



En Master, j’avais des examens qui comptaient pour le diplôme à 8h00 tout les vendredis pour lutter contre l’absentéisme post-soirées étudiantes…







Ah, les soirées du Jeudi <img data-src=" />


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methos1435 a écrit :



Ah, les soirées du mercredi Jeudi <img data-src=" />





Après on s’étonne que les étudiants en info ne pécho pas et sont associables <img data-src=" />



<img data-src=" />


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Holly Brius a écrit :



C’est que tu n’as pas compris le principe de la fac. Le prof n’est pas là pour venir te tenir la main, si tu n’as pas compris, à toi de faire le nécessaire.











Oui c’est vrai. D’ailleurs la France à le meilleur système d’enseignement au monde. C’est bien connu… <img data-src=" />



Sérieux mais tu te rend compte des conneries que tu balances des fois ? Tu te sens visé ou quoi ?


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Holly Brius a écrit :



T’es un marrant toi…

On parle de prof de fac donc de chercheurs qui publient dans de grande revue. Ne t’inquiète pas, ces gens ne t’ont pas attendu pour utiliser le net et ces gens sont autrement plus apte à juger ce qui est bon ou pas pour l’enseignement que toi ou flamby…









Ce n’est probablement pas vrai, je sais de quoi je parle j’enseigne à l’université (au future enseignante d’école primaire) en terminant mon doctorat.



La recherche en éducation montre que les techniques archaïques d’enseignement ne sont pas efficaces (du moins, ne sont pas les plus efficaces) pour permettre de véritablement apprendre.



Et non, ce n’est pas un professeur qui étudie le cycle de reproduction de la grenouille depuis 20 ans qui sait comment bien transmettre son savoir. Ils ont appris sur le tas et reproduisent tout simplement ce que leurs collègue font. Ils vont devoir évoluer, tout comme leurs collègues d’autre pays l’ont appris.





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methos1435 a écrit :



Un excellent chercheur ne fait pas systématiquement un bon enseignant.





C’est vrai!

Et c’est çà la différence entre le collège et la fac! Le monsieur n’est pas forcement pédagogue, mais là on est plus dans un endroit qui doit faire aboutir 100% des étudiants au BAC, mais dans un endroit ou on forme des gens qui doivent aboutir théoriquement à de la recherche. Et tu sais quoi, a ce niveau là, on ne va pas pleurer dans les jupes de maman, on se sort les doigts du cul pour y arriver…


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methos1435 a écrit :



Sérieux mais tu te rend compte des conneries que tu balances des fois ? Tu te sens visé ou quoi ?





Contrairement à toi, je suis de l’autre coté du miroir… <img data-src=" />

Alors je ne peux pas laisser passer tes délires…


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Holly Brius a écrit :



C’est vrai!

Et c’est çà la différence entre le collège et la fac! Le monsieur n’est pas forcement pédagogue, mais là on est plus dans un endroit qui doit faire aboutir 100% des étudiants au BAC, mais dans un endroit ou on forme des gens qui doivent aboutir théoriquement à de la recherche. Et tu sais quoi, a ce niveau là, on ne va pas pleurer dans les jupes de maman, on se sort les doigts du cul pour y arriver…









Il ne faut pas non plus se reposer sur nos lauriers. De plus ne plus de pays (chine inde , etc.), produise de plus en plus de diplômés qui inonderont le marché d’ici les 20 prochaines années.



Le diplôme français, ou canadien, dois lui donner une valeur ajoutée, un plus, une raison qui font que nos diplômes sont mieux que ceux d’un million de chinois avec un Doctorat.



Les universités de la France aussi vont changer et s’adapter ou elles seront inutiles.


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Holly Brius a écrit :



C’est vrai!

Et c’est çà la différence entre le collège et la fac! Le monsieur n’est pas forcement pédagogue, mais là on est plus dans un endroit qui doit faire aboutir 100% des étudiants au BAC, mais dans un endroit ou on forme des gens qui doivent aboutir théoriquement à de la recherche. Et tu sais quoi, a ce niveau là, on ne va pas pleurer dans les jupes de maman, on se sort les doigts du cul pour y arriver…







Tu ne comprend réellement rien toi. T’es enseignant à la fac ? Ceux pour qui avoir 4 élèves présents à l’amphi est un exploit ? Non sérieusement ? Vivement la retraite hein…





Je clame haut et fort que le système éducatif français est dépassé. Et qu’un diplôme dans ces conditions ne vaudra bientôt plus rien du tout fasse à d’autre pas qui se sont tirés les doigts du cul pour réformer tout cela.


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von-block a écrit :



Ce n’est probablement pas vrai, je sais de quoi je parle j’enseigne à l’université (au future enseignante d’école primaire) en terminant mon doctorat.



La recherche en éducation montre que les techniques archaïques d’enseignement ne sont pas efficaces (du moins, ne sont pas les plus efficaces) pour permettre de véritablement apprendre.



Et non, ce n’est pas un professeur qui étudie le cycle de reproduction de la grenouille depuis 20 ans qui sait comment bien transmettre son savoir. Ils ont appris sur le tas et reproduisent tout simplement ce que leurs collègue font. Ils vont devoir évoluer, tout comme leurs collègues d’autre pays l’ont appris.





Tout n’est pas parfait, mais y a tellement de chose d’autre à faire…

Mettre des PDF sur le net ne changera rien à la division du budget du labo par 4 depuis l’an dernier…


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methos1435 a écrit :



Ceux pour qui avoir 4 élèves présents à l’amphi est un exploit ?





Va faire un tour dans un amphi avant de dire ce genre de chose…

Quand une matrice 4x4 fait peur aux étudiants, t’as beau être le meilleurs prof de la terre, la matrice fait toujours peur au étudiants…

Mais bon, tu sais tout et tu va sans doute trouver une manière révolutionnaire de faire de la 3D sans matrice…



Et non, je ne suis pas prof.


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Holly Brius a écrit :



Tout n’est pas parfait, mais y a tellement de chose d’autre à faire…

Mettre des PDF sur le net ne changera rien à la division du budget du labo par 4 depuis l’an dernier…







Le budget recherche, ça c’est une autre histoire.


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methos1435 a écrit :



Je clame haut et fort que le système éducatif français est dépassé.





C’est vrai et pour une raison simple : l’école ne fait plus son travail et ça va pas s’arranger avec flamby qui veut interdire les devoirs…


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von-block a écrit :



Le budget recherche, ça c’est une autre histoire.









+1 encore une fois.



Autre problème. Réel également. Faut pas s’étonner de voir une fuite des cerveaux..



Mais donner du budget aux labos: oui. Donner les moyens aux facs oui si c’est pour rendre le tout plus moderne et dynamique, pas pour encourager le système actuel.


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Holly Brius a écrit :



C’est vrai et pour une raison simple : l’école ne fait plus son travail et ça va pas s’arranger avec flamby qui veut interdire les devoirs…







Pour répondre à ce point sur une note légère.



Plusieurs recherche montrent qu’à des tests standardisés, les élèves de l’élémentaire qui ne faisaient pas de devoir avait de meilleurs résultats que ceux qui en avaient.


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Holly Brius a écrit :



C’est vrai et pour une raison simple : l’école ne fait plus son travail et ça va pas s’arranger avec flamby qui veut interdire les devoirs…







ode

Une chose n’empêche pas l’autre. Je suis bien d’accord la dessus. La France, ou le seul pays à vouloir systématiquement baisser le temps d’études des élèves…



Je n’ai jamais dit le contraire. Je dit juste qu’il ya aujourd’hui des méthodes beaucoup plus efficaces que celle employées pour former des étudiants et les amener à réfléchir par eux même, par la même occasion.


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Holly Brius a écrit :



Va faire un tour dans un amphi avant de dire ce genre de chose…

Quand une matrice 4x4 fait peur aux étudiants, t’as beau être le meilleurs prof de la terre, la matrice fait toujours peur au étudiants…

Mais bon, tu sais tout et tu va sans doute trouver une manière révolutionnaire de faire de la 3D sans matrice…



Et non, je ne suis pas prof.









Peut être que partir d’un problème concret, d’un sujet à rendre pour aborder le sujet, est plus efficace que de balancer des cours et des fonctions purement théoriques…



Pour reprendre ce sujet en particulier. Et je ne suis pas développeur pro. Je me suis mis assez récement à la 3D avec openGL. Et bien des exemples de code de base commentés sont beaucoup plus parlant que 10 pages de cours théoriques.

Et a partir d’un petit bout de code que l’on comprend, on se met à en rajouter un peu, à expérimenter. C’est bien plus efficace qu’un cours théorique lu de bout en large et partir duquel on ne sais toujours pas par où commencer. Et au final, le petit exemple particulier, en le maitrisant, on peux plus facilement généraliser et là miracle, en relisant du théorique ça rentre bien mieux…

Ca c’est du concret.


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von-block a écrit :



Plusieurs recherche montrent qu’à des tests standardisés, les élèves de l’élémentaire qui ne faisaient pas de devoir avait de meilleurs résultats que ceux qui en avaient.





Il y a tellement à dire sur la recherche… et sur les recherches “orientés”.

Un gosse qui fait moins de travail en arrivant avec de meilleurs résultats avec le même prof, le même cours etc, ça ne tient pas la route une seule seconde.


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methos1435 a écrit :



Pour reprendre ce sujet en particulier. Et je ne suis pas développeur pro. Je me suis mis assez récement à la 3D avec openGL. Et bien des exemples de code de base commentés sont beaucoup plus parlant que 10 pages de cours théoriques.

Et a partir d’un petit bout de code que l’on comprend, on se met à en rajouter un peu, à expérimenter. C’est bien plus efficace qu’un cours théorique lu de bout en large et partir duquel on ne sais toujours pas par où commencer. Et au final, le petit exemple particulier, en le maitrisant, on peux plus facilement généraliser et là miracle, en relisant du théorique ça rentre bien mieux…

Ca c’est du concret.





C’est valable dans l’informatique, essaye ça sur de la chimie histoire de rire…


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Est-ce que des non étudiants auront accès aux cours???

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J’ai étudié en Suède en 2002 et tout (absolument TOUT: cours, cours des années précédentes, anciens exams et exercices, horaires…) était en ligne.



J’ai ensuite étudié à l’ESCP (sup de co Paris) en 2008, et à l’idée de mettre en ligne les cours en PDF plutôt que de les imprimer pour chaque élève, la responsable m’a rembarré : “on va voler nos cours et les vendre”.



En France on a plus de 10 ans de retard sur le sujet :/

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Ca serait en effet une bonne chose de voir ces cours accessibles pour tous.

Ils devraient même aller au delà: proposer des cours de ce type (PDF et vidéos) dès le collège. Non pas pour remplacer les cours traditionnels, mais donner aux élèves des moyens alternatifs de progresser. Une autre vue, un autre support pour aider les aider.



Combien de fois je me suis retrouvé moi même à ne rien comprendre sur des cours, uniquement parce que je captait rien à ce qu’expliquait le prof. Pourtant avec une recherche alternative sur le même sujet ça allait beaucoup mieux.

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« Les étudiants ne sont pas vraiment mûrs pour ça. Le contact, c’est important »





C’est surtout qu’à la différence du e-learning, un cours traditionnel est un réel échange entre enseignant et élève. Donc c’est plus enrichissant et plus sociale.



Pauvres enfants qu’on cantonne au numérique jusqu’à leur mort <img data-src=" />

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tanguy_k a écrit :



J’ai étudié en Suède en 2002 et tout (absolument TOUT: cours, cours des années précédentes, anciens exams et exercices, horaires…) était en ligne.



J’ai ensuite étudié à l’ESCP (sup de co Paris) en 2008, et à l’idée de mettre en ligne les cours en PDF plutôt que de les imprimer pour chaque élève, la responsable m’a rembarré : “on va voler nos cours et les vendre”.



En France on a plus de 10 ans de retard sur le sujet :/





j’en déduis que la responsable estime que les profs de l’ESCP ont une valeur ajoutée nulle ou faible ? <img data-src=" />

Dans mon cas, la plupart des cours (pas tous mais une majorité quand même) étaient dispo si et seulement si on se connectait depuis le LAN de l’école… C’est un peu mieux mais pas encore ça.


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xertux a écrit :



C’est surtout qu’à la différence du e-learning, un cours traditionnel est un réel échange entre enseignant et élève. Donc c’est plus enrichissant et plus sociale.



Pauvres enfants qu’on cantonne au numérique jusqu’à leur mort <img data-src=" />





Avoir un cours disponible en ligne ne dispense pas de le donner en physique.

On peut très bien demander à des élèves de regarder une vidéo/lire un texte avant de venir en cours où le prof approfondira le sujet en étant beaucoup plus interactif. (qu’est-ce que vous avez compris/pas compris, etc…)

Ca a le gros avantage que l’élève a déjà vu le sujet, a eu le temps de digérer la base-base et le prof peut réexpliquer par derrière ou aller beaucoup plus vite si tout le monde a compris.

Ca permet également de revoir le cours après si on a pas compris parce qu’on a été distrait pour une raison X ou Y (ça arrive à tout le monde, se concentrer 8h d’affilée ça n’est pas très naturel).

Autre avantage, avoir une “préparation” du cours permet de réduire la durée du cours à des blocs de 40-45min et quand même pouvoir aller aussi loin qu’un cours de 1h, avec une compréhension meilleure…

Bref le numérique n’est pas une substitution, mais un complément pour accompagner le cours, qui a l’avantage d’être plus flexible.


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methos1435 a écrit :



Ca serait en effet une bonne chose de voir ces cours accessibles pour tous.

Ils devraient même aller au delà: proposer des cours de ce type (PDF et vidéos) dès le collège. Non pas pour remplacer les cours traditionnels, mais donner aux élèves des moyens alternatifs de progresser. Une autre vue, un autre support pour aider les aider.







Malheureusement, en France on n’a pas la même culture de partage de savoir qu’aux Etats Unis..<img data-src=" />



Quand tu vois que les cours, conférences etc.. de Stanford, MIT, Yale, Harvard..sont disponibles en accès gratuits sur iTunes U depuis un PC, Mac, iBidules



En France, ç’est pas demain la veille que les univ et Grande écoles, vont prendre en masse ce genre d’initiative.<img data-src=" />


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the true mask a écrit :



Quand tu vois que les cours, conférences etc.. de Stanford, MIT, Yale, Harvard..sont disponibles en accès gratuits sur iTunes U depuis un PC, Mac, iBidules







S’ils voulaient vraiment les partager, ils les partageraient via torrent <img data-src=" />


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Le disque 5.25” <img data-src=" /> (quand il n’y a pas de port usb ou SD, CF, etc)



<img data-src=" />

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tanguy_k a écrit :



J’ai étudié en Suède en 2002 et tout (absolument TOUT: cours, cours des années précédentes, anciens exams et exercices, horaires…) était en ligne.



J’ai ensuite étudié à l’ESCP (sup de co Paris) en 2008, et à l’idée de mettre en ligne les cours en PDF plutôt que de les imprimer pour chaque élève, la responsable m’a rembarré : “on va voler nos cours et les vendre”.



En France on a plus de 10 ans de retard sur le sujet :/







Ce n’est pas 10 ans de retard, c’est en fait plusieurs siècles de mentalité progressivement déformée par différents facteurs concernant la propriété intellectuelle, ce qu’est la copie, ou encore les notions de société et de vivre ensemble.



Il me semble que l’exemple suivant illustre de manière édifiante l’un de ces processus prenicieux d’altération de la conscience collective :

À l’école les enfants/étudiants sont supposés apprendre à imiter l’enseignant. C’est-à-dire copier sa manière de faire — plus généralement, c’est ce même comportement que l’on attend d’eux dans tout le processus d’éducation.



Mais pour mesurer la progression de chacun et adapter individuellement l’attitude du corps enseignant, il est nécessaire de mesurer l’avancement lors d’épreuves individuelles. Lors de ces contrôles, il est indispensable de prévenir la tricherie ; aussi fait-on anôner bêtement à qui veux bien le répéter que la « la copie c’est mal » ; au point de parfois l’entendre jusque dans les bacs à sable, « arrête de me copier ! PAPA, il arrête pas de m’imiter. » Ainsi l’imitation, fondement essentiel de la civilisation, est devenu culturellement prohibée, presque une forfaiture.



Il n’y a plus qu’un pas pour que des enseignants bornés laissent ressurgir l’atavisme anti-copie, au détriment de la mission qui leur est assignée : la diffusion des savoirs. Ce n’est plus tristes tropiques, c’est triste France.



Edit : Excellent ce système d’ajout automatique de liens publicitaires sur les commentaires. J’avais déjà été intrigués par quelques liens donnés dans des commentaires et n’ayant apparemment rien à voir avec la choucroute. Je comprends mieux désormais. Donc apparemment si j’écris « bacs à sable » j’aurais droit à mon petit lien. Juste pour voir quelques autres mots au hasard : piles, batteries, corde, zèbre, cheval, poney, test, disque dur, télévision, pomme, agrume.


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le plus gros problème du système éducatif supérieur est-il que les cours ne sont pas présent en ligne ou que 80% des élèves se dirigent vers des sections inutile / sans espoir ?



zatiszekweshtion

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tanguy_k a écrit :



J’ai étudié en Suède en 2002 et tout (absolument TOUT: cours, cours des années précédentes, anciens exams et exercices, horaires…) était en ligne.



J’ai ensuite étudié à l’ESCP (sup de co Paris) en 2008, et à l’idée de mettre en ligne les cours en PDF plutôt que de les imprimer pour chaque élève, la responsable m’a rembarré : “on va voler nos cours et les vendre”.



En France on a plus de 10 ans de retard sur le sujet :/







Je me souviens que pendant mes études, quelqu’un de ma promo prenait en note les cours de maths directement en latex, parfaitement, avec les formules justes, les lettres grecques respectées, etc (et vu la cadence du cours, c’était déjà pas évident de tout reprendre sans erreur sur papier).



Il s’était aussi pris une soufflante pour avoir mis ses notes de cours en ligne sur son espace ftpperso free.fr (sans en faire spécialement la pub).

La réaction du prof, c’est que c’était son travail et son cours, et qu’on avait pas le droit de le redistribuer comme ça.



Je trouve ça assez triste en fait…



Dans un autre genre, j’ai aussi vu des équipes de profs qui se sont dit que c’était bien de donner des cours au format powerpoint avec un fond bleu foncé, des slides complètement surchargés, structure du document invisible et impossible à imprimer sans utiliser une cartouche d’encre. En fait, ça revient quasiment à ne pas donner de cours au format numérique…


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John Shaft a écrit :



S’ils voulaient vraiment les partager, ils les partageraient via torrent <img data-src=" />







Hum je craint que ce soit désorganisé <img data-src=" />



Sur iTunes U, tout est bien archivé et bien organisé, malgré la quantité d’uploads énorme ^^, c’est très facile de s’y retrouver donc.



De plus on peut s’abonner à une université et/ou à une matière particulière, du coup on reçoit une notification à chaque fois qu’une nouvelle vidéo ou conférence audio est mise en ligne.



On peut également visionner seulement les vidéos, sans besoin de les télécharger.


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pmanglade a écrit :



Ce n’est pas 10 ans de retard, c’est en fait plusieurs siècles de mentalité progressivement déformée par différents facteurs concernant la propriété intellectuelle, ce qu’est la copie, ou encore les notions de société et de vivre ensemble.



Il me semble que l’exemple suivant illustre de manière édifiante l’un de ces processus prenicieux d’altération de la conscience collective :

À l’école les enfants/étudiants sont supposés apprendre à imiter l’enseignant. C’est-à-dire copier sa manière de faire — plus généralement, c’est ce même comportement que l’on attend d’eux dans tout le processus d’éducation.



Mais pour mesurer la progression de chacun et adapter individuellement l’attitude du corps enseignant, il est nécessaire de mesurer l’avancement lors d’épreuves individuelles. Lors de ces contrôles, il est indispensable de prévenir la tricherie ; aussi fait-on anôner bêtement à qui veux bien le répéter que la « la copie c’est mal » ; au point de parfois l’entendre jusque dans les bacs à sable, « arrête de me copier ! PAPA, il arrête pas de m’imiter. » Ainsi l’imitation, fondement essentiel de la civilisation, est devenu culturellement prohibée, presque une forfaiture.



Il n’y a plus qu’un pas pour que des enseignants bornés laissent ressurgir l’atavisme anti-copie, au détriment de la mission qui leur est assignée : la diffusion des savoirs. Ce n’est plus tristes tropiques, c’est triste France.





N’importe quoi <img data-src=" />

Confondre le plagiat avec le partage de savoir <img data-src=" />


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jinge a écrit :



Avoir un cours disponible en ligne ne dispense pas de le donner en physique.

On peut très bien demander à des élèves de regarder une vidéo/lire un texte avant de venir en cours où le prof approfondira le sujet en étant beaucoup plus interactif. (qu’est-ce que vous avez compris/pas compris, etc…)

Ca a le gros avantage que l’élève a déjà vu le sujet, a eu le temps de digérer la base-base et le prof peut réexpliquer par derrière ou aller beaucoup plus vite si tout le monde a compris.

Ca permet également de revoir le cours après si on a pas compris parce qu’on a été distrait pour une raison X ou Y (ça arrive à tout le monde, se concentrer 8h d’affilée ça n’est pas très naturel).

Autre avantage, avoir une “préparation” du cours permet de réduire la durée du cours à des blocs de 40-45min et quand même pouvoir aller aussi loin qu’un cours de 1h, avec une compréhension meilleure…

Bref le numérique n’est pas une substitution, mais un complément pour accompagner le cours, qui a l’avantage d’être plus flexible.







C’est un exemple que quelque chose qui ne marche pas.

Beaucoup d’enseignants ont essayé, mais quand les 34 de la classe ne le font pas, bah tu te retrouves à avoir le cour normal et celui qui avait préparé s’ennuie.



Sinon je vois beaucoup de réponses de gens qui veulent obliger la présence de l’étudiant si les cours sont en ligne. Pourquoi ?

Si l’étudiant arrive à valider son année sans venir en cours c’est soit :

-Le professeur n’apporte rien de plus que les documents, je ne vois donc aucun intérêt à venir en cour.

-Soit il fournit le travail nécessaire à coté pour réussir à valider son année, du coup aucun intérêt à lui refuser l’année.



Tout le monde a eu des cours de 2h où l’on se dit qu’on aurait pu le faire en 30 min chez soit. C’est un gain d’efficacité, de motivation et de temps. Et le temps ce qui manque le plus quand t’es étudiant <img data-src=" />


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the true mask a écrit :



Hum je craint que ce soit désorganisé <img data-src=" />



Sur iTunes U, tout est bien archivé et bien organisé, malgré la quantité d’uploads énorme ^^, c’est très facile de s’y retrouver donc.



De plus on peut s’abonner à une université et/ou à une matière particulière, du coup on reçoit une notification à chaque fois qu’une nouvelle vidéo ou conférence audio est mise en ligne.



On peut également visionner seulement les vidéos, sans besoin de les télécharger.







Oui mais un logiciel comme iTunes ne me semble pas taillé pour propager le savoir et la culture au contraire du P2P dont c’est le rôle par nature. <img data-src=" /> (et iTunes, c’est Windoze et Mac, et les manchots l’ont encore une fois dans le baba)



Ensuite, rien ne les empêche de faire de trier leur torrents et de les proposer au téléchargement sur un site qui reprend ce classement <img data-src=" />



Pour ce qui est des vidéos, tu les charges in fine quelque part pour les voir


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the true mask a écrit :



Malheureusement, en France on n’a pas la même culture de partage de savoir qu’aux Etats Unis..<img data-src=" />



Quand tu vois que les cours, conférences etc.. de Stanford, MIT, Yale, Harvard..sont disponibles en accès gratuits sur iTunes U depuis un PC, Mac, iBidules



En France, ç’est pas demain la veille que les univ et Grande écoles, vont prendre en masse ce genre d’initiative.<img data-src=" />





Tout petite, minscule différence par rapport à la France… 40 000$ de frais d’inscription par an dans ce genre d’université.

Qui parle de moyens différents ?


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carbier a écrit :



N’importe quoi <img data-src=" />

Confondre le plagiat avec le partage de savoir <img data-src=" />





Donc quand vous vous lanciez dans la construction d’un château de sable suite à l’observation de magnifiques édifices construits par d’autres sur la plage, il s’agissait de plagiat ? Quand vous avez appris à former délicatement des lettres sur votre feuille en imitant votre maîtresse, il s’agissait de plagiat ? Merci pour votre propos qui fait office, simultanément, de caisse de résonance et de de démonstration par l’exemple (et l’absurde) du mien.


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methos1435 a écrit :



Ca serait en effet une bonne chose de voir ces cours accessibles pour tous.

Ils devraient même aller au delà: proposer des cours de ce type (PDF et vidéos) dès le collège. Non pas pour remplacer les cours traditionnels, mais donner aux élèves des moyens alternatifs de progresser. Une autre vue, un autre support pour aider les aider.



Combien de fois je me suis retrouvé moi même à ne rien comprendre sur des cours, uniquement parce que je captait rien à ce qu’expliquait le prof. Pourtant avec une recherche alternative sur le même sujet ça allait beaucoup mieux.





Je crois que tu vis sur une autre planète….





carbier a écrit :



Histoire vraie.



Un ami à moi, jeune prof’ à l’université a décidé de prendre sur son temps pour mettre à disposition des supports de cours sur Internet.

Au bout de quelques temps et devant le j’m’en’foutisme de ses étudiants (filière scientifique, Licence et +), il a décidé d’arrêter les frais…



Tout mettre sur Internet ne résoudra pas tout… cela peut aider mais cela ne suffira pas…





Voila qui est malheureusement bien plus réaliste…


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the true mask a écrit :



On peut également visionner seulement les vidéos, sans besoin de les télécharger.





Là faut que tu m’expliques comment tu fais.


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Holly Brius a écrit :



Je crois que tu vis sur une autre planète….









Et pourquoi donc ? Expliques moi je comprend pas là … C’est quoi le problème ? Supporter la fainéantise d’un enseignant qui à autre chose à foutre que de diffuser son Savoir efficacement, ou qui considère que Savoir = valeur marchande donc surtout pas le diffuse gratuitement ?



Laisser les gens dans l’ignorance ?



Honnêtement, je ne vois aucun mal dans la diffusion du Savoir. Le numérique en support du physique, c’est une bonne solution.



Et si les enseignants refusent d’accepter cette évolution qu’on remplace tout ça…







Ya toujours eu du jemenfoutisme de la part de certains. Mais ça doit pas empêcher les bonnes pratiques pour ceux qui justement ne s’en foutent pas. Autrement on avance pas. Le “jemenfoutisme”, c’est une excuse bidon. Un enseignant qui n’a aucun problème à diffuser son Savoir, il s’en branle royalement des petits merdeux qui veulent pas bosser.


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Histoire vraie.



Un ami à moi, jeune prof’ à l’université a décidé de prendre sur son temps pour mettre à disposition des supports de cours sur Internet.

Au bout de quelques temps et devant le j’m’en’foutisme de ses étudiants (filière scientifique, Licence et +), il a décidé d’arrêter les frais…



Tout mettre sur Internet ne résoudra pas tout… cela peut aider mais cela ne suffira pas…

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xertux a écrit :



C’est surtout qu’à la différence du e-learning, un cours traditionnel est un réel échange entre enseignant et élève. Donc c’est plus enrichissant et plus sociale.



Pauvres enfants qu’on cantonne au numérique jusqu’à leur mort <img data-src=" />









Le but n’est pas de remplacer le cours traditionnel, mais apporter une autre vision et des supports pour progresser. C’est sure qu’à se borner à ce genre de commentaires, la France va tomber bien bas…


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WereWindle a écrit :



Dans mon cas, la plupart des cours (pas tous mais une majorité quand même) étaient dispo si et seulement si on se connectait depuis le LAN de l’école… C’est un peu mieux mais pas encore ça.





Pareil pour moi.



Mais certains profs ne voulaient pas mettre leur cours en ligne, car selon eux, cela favorisait l’absentéisme.


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non rien finalement

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et pendant ce temps, le MIT et d’autre grandes ecoles on leur cours sur internet depuis mmmh au moins 5 ans, ils ont des expérience d’étudiant ne suivant que les cours par internet avec succés, et surtout c’est accessible à toute la terre entière :). une recherche avec ‘Open course’ nous montre pas mal d’université prestigieuse.



d’autre école fournissent aussi des support de cours en PDF. (le MIT)



J’avais tenté le CNAM, avec cours video en 2011. C’etais a chier, une webcam pour la vidéo, le son en 8khz compressé, le micro a coté du rétroprojecteur équipé d’une soufflerie. et bien sur moulte identifiant et mots de passe pour y avoir accès. impossibilité de sauvegarder.



Je vois d’ici la plateforme vidéo mis en oeuvre, à partir de 50 étudiant ca va ramer, il faudra le numéro d’étudiant de l’université avec une cotisation numérique kivabien, impossibilité de se connecter entre université. le rayonnement de la france et de la connaissance = 0


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ActionFighter a écrit :



Pareil pour moi.



Mais certains profs ne voulaient pas mettre leur cours en ligne afin de “lutter contre l’absentéisme”.









La mise à disposition de supports numériques n’est pas une cause d’absentéisme. Par contre une remise en cause sur la façon d’enseigner serait très bénéfique pour lutter contre ce problème.



Un bon enseignant saura captiver ses étudiants.

Ca me rappelle mes cours de SVT en terminale <img data-src=" /> j’avais commencé l’année avec des notes se comptant sur les doigts d’une main… J’ai terminé avec 19 de moyenne et un 18 au bac. La qualité des cours (et surtout la façon d’enseigner du professeur) à joué un rôle clef la dedans…


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methos1435 a écrit :



Le but n’est pas de remplacer le cours traditionnel, mais apporter une autre vision et des supports pour progresser. C’est sure qu’à se borner à ce genre de commentaires, la France va tomber bien bas…









Notons enfin que Geneviève Fioraso exclut à terme la formation d’étudiants dans une version 100 % en ligne.





Chose qui a donc déjà été pensé pendant la création du plan, et qui de mémoire à déjà était évoqué par le passé. Faut dire que c’est très tentant pour l’état si au bout du compte, les cours sont dématérialisés.



Après je ne suis pas contre que les supports soient accessibles à distance et pour tous bien sûr.


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carbier a écrit :



Histoire vraie.



Un ami à moi, jeune prof’ à l’université a décidé de prendre sur son temps pour mettre à disposition des supports de cours sur Internet.

Au bout de quelques temps et devant le j’m’en’foutisme de ses étudiants (filière scientifique, Licence et +), il a décidé d’arrêter les frais…



Tout mettre sur Internet ne résoudra pas tout… cela peut aider mais cela ne suffira pas…





cela ne m’étonne pas vraiment. Ça me rappelle un peu la mouvance éducative qui pensait que si on laissait un môme devant un livre, il le lirait de lui-même dans 100% des cas :/



Trois pensée sur la news :



La ministre compétente, Geneviève Fioraso, doit d’ailleurs présenter en mars prochain un projet de loi.



contresens ou découverte à faire breveter !





Jean-Yves Le Déaut fait valoir que « la prise en compte des NTIC va révolutionner l’enseignement supérieur ».



elles restent “N” pendant encore combien de temps ? parce que bon, accuser les université d’être à la bourre, pourquoi pas mais il faut alors être soi-même un tout petit peu à la page…







methos1435 a écrit :



Le but n’est pas de remplacer le cours traditionnel, mais apporter une autre vision et des supports pour progresser. C’est sure qu’à se borner à ce genre de commentaires, la France va tomber bien bas…





ah bah j’allais dire un truc du genre en 3ème point…

En ajout pour ceux qui veulent, c’est une bonne chose. À disposition de ceux qui veulent, même non étudiant, c’en est une encore meilleure. En revanche il n’est pas question de remplacer les cours par des versions en ligne… autant s’inscrire au CNED dans ce cas-là.


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carbier a écrit :



Histoire vraie.



Un ami à moi, jeune prof’ à l’université a décidé de prendre sur son temps pour mettre à disposition des supports de cours sur Internet.

Au bout de quelques temps et devant le j’m’en’foutisme de ses étudiants (filière scientifique, Licence et +), il a décidé d’arrêter les frais…

.







l’erreur est là, il ne faut pas mettre sur internet pour ses élèves, c’est très égoïste comme pensée, surtout si c’est pour arreter ! il faut penser au francophone qui ne peuvent pas venir en france. A l’etudiant non francophone qui fait une thèse sur le sujet, ou qui a besoin d’approfondir ses connaissances avec un cours de qualité même en français.


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J’ai ça pour certains cours dans mon université et c’est vachement utile étant donné que j’ai des facilités ça me permet de sécher les cours où il n’y a pas d’appel pour ensuite réviser tranquillement dans mon coin.



Au final ce qu’un cours de deux heures en classe m’aurait vaguement appris je peux l’apprendre correctement en lisant le cours pendant 30 minutes chez moi.

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Le numérique ne doit JAMAIS remplacer un cours traditionnel.

Mais apporter des supports pour ceux et celles qui le veulent: oui et grand oui.



Le Savoir avec un grand S c’est pas le dernier album de la Star Ac…. Il devrait être finit le temps où certains soi-disant érudits pensaient qu’il était dangereux d’avoir un peuple cultivé et pensant par lui même.



Ce Savoir là devrait être accessible à tous. Celui qui en à rien à branler n’ira pas l’utiliser donc ça change rien pour lui. Par contre il ya énormément de monde qui sera intéressé par tout ça et bien au delà des étudiants inscrits à l’Université.

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methos1435 a écrit :



La mise à disposition de supports numériques n’est pas une cause d’absentéisme. Par contre une remise en cause sur la façon d’enseigner serait très bénéfique pour lutter contre ce problème.





Entièrement d’accord.



De plus, je trouve ça dommage d’infantiliser les étudiants jusqu’en Master, comme cela a été mon cas.

Les étudiants sont censés être adultes. Ils devraient être libres de suivre ou non les cours.

Les connaissances et les compétences se vérifient très vite lors des examens.



En 2ème année de BTS, j’ai été absent pendant presque 2 tiers de l’année. J’ai eu 0 de moyenne en info au deuxième semestre parce que j’avais loupé des contrôles, et ça ne m’a pas empêché d’avoir le diplôme en loupant de 0,3 point la mention Bien, et un 18 en info.







methos1435 a écrit :



Un bon enseignant saura captiver ses étudiants.

Ca me rappelle mes cours de SVT en terminale <img data-src=" /> j’avais commencé l’année avec des notes se comptant sur les doigts d’une main… J’ai terminé avec 19 de moyenne et un 18 au bac. La qualité des cours (et surtout la façon d’enseigner du professeur) à joué un rôle clef la dedans…





J’ai eu la même expérience mais en physique.



Mais c’est plus facile d’accuser les étudiants que de se remettre en question.


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Wapaca a écrit :



J’ai ça pour certains cours dans mon université et c’est vachement utile étant donné que j’ai des facilités ça me permet de sécher les cours où il n’y a pas d’appel pour ensuite réviser tranquillement dans mon coin.



Au final ce qu’un cours de deux heures en classe m’aurait vaguement appris je peux l’apprendre correctement en lisant le cours pendant 30 minutes chez moi.









Voilà le genre de réactions qui n’aide en rien pour la démocratisation des supports numériques…


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ActionFighter a écrit :



et ça ne m’a pas empêché d’avoir le diplôme en loupant de 0,3 point la mention Bien, et un 18 en info.







tu es sur de l’avoir eu ton BTS, c’est un diplôme SANS mention <img data-src=" />


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WereWindle a écrit :



cela ne m’étonne pas vraiment. Ça me rappelle un peu la mouvance éducative qui pensait que si on laissait un môme devant un livre, il le lirait de lui-même dans 100% des cas :/





Cela ne m”étonne pas comme pensée, cela me rappelle mon passage dans une université US ou si tu ne te bouges pas tout seul pour résoudre tes problèmes (devoirs) personne ne le fera à ta place.

Je comprends le désarroi du pauvre étudiant français obligé de se débrouiller pour résoudre un problème… en effet, ce n’est pas comme si il faisait des études pour SON avenir <img data-src=" />



Après cela est à mettre directement en relation avec les étudiants qui viennent passer des entretiens d’embauche <img data-src=" />


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xertux a écrit :



C’est surtout qu’à la différence du e-learning, un cours traditionnel est un réel échange entre enseignant et élève. Donc c’est plus enrichissant et plus sociale.



Pauvres enfants qu’on cantonne au numérique jusqu’à leur mort <img data-src=" />







T’as déjà été à la fac? Parce que c’est quand même le degré zéro de l’échange hein. Des amphis blindés ou personnes n’entend rien, même pas chauffé l’hiver avec le prof qui fait son speech tout seul sans regarder si qui que se soit le suit (que l’amphi soit plein ou vide d’ailleurs), etc…Ya rien de moins sociale et de moins enrichissant que les cours en université. Franchement, à choisir, qu’ils commencent par chauffer les univ’ plutôt que d’avoir les cours sur le net. D’ailleurs, pourquoi ne pas laisser les universités se démerder toute seule ? Certaines y arrivent déjà pas trop mal (l’UPMC, et particulièrement sa filière médecine).


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ActionFighter a écrit :



Pareil pour moi.



Mais certains profs ne voulaient pas mettre leur cours en ligne, car selon eux, cela favorisait l’absentéisme.





Ce qui se vérifie malheureusement….



Il faudrait d’abord redonner des moyen aux universités et revenir en arrière sur bon nombre de réforme.

Là ou je suis, les profs donnent bien plus d’heure de cours que théoriquement par manque de personnel : s’ils respectent l’horaire légal, y a plus de cours dés janvier… certains donnent même des dizaines d’heures de cours GRATUITEMENT pour que la fac tourne….


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pmanglade a écrit :



Donc quand vous vous lanciez dans la construction d’un château de sable suite à l’observation de magnifiques édifices construits par d’autres sur la plage, il s’agissait de plagiat ? Quand vous avez appris à former délicatement des lettres sur votre feuille en imitant votre maîtresse, il s’agissait de plagiat ? Merci pour votre propos qui fait office, simultanément, de caisse de résonance et de de démonstration par l’exemple (et l’absurde) du mien.





C’est bien ce que je dis tu confonds tout







pmanglade a écrit :



Mais pour mesurer la progression de chacun et adapter individuellement l’attitude du corps enseignant, il est nécessaire de mesurer l’avancement lors d’épreuves individuelles. Lors de ces contrôles, il est indispensable de prévenir la tricherie ; aussi fait-on anôner bêtement à qui veux bien le répéter que la « la copie c’est mal »





En quoi le fait de recopier ce que son petit voisin écrit lors d’un controle est-il un transfert de savoir et/ou de compétence ? <img data-src=" />



Tu as été traumatisé dans ta prime jeunesse c’est cela ? <img data-src=" />



Ensuite la ou c’est le plus risible, c’est quand tu finis par “triste France”, essaie juste pour voir de “copier” lors d’une épreuve dans une université américaine <img data-src=" />


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methos1435 a écrit :



Et pourquoi donc ? Expliques moi je comprend pas là … C’est quoi le problème ? Supporter la fainéantise d’un enseignant qui à autre chose à foutre que de diffuser son Savoir efficacement, ou qui considère que Savoir = valeur marchande donc surtout pas le diffuse gratuitement ?



Laisser les gens dans l’ignorance ?



Honnêtement, je ne vois aucun mal dans la diffusion du Savoir. Le numérique en support du physique, c’est une bonne solution.



Et si les enseignants refusent d’accepter cette évolution qu’on remplace tout ça…





1- Depuis l’avenement d’internet, le savoir est déjà disponible pour celui qui veut se donner la peine.

2- L’enseignant n’a aucune valeur marchande à retirer de ses cours, si tu veux t’en prendre à quelqu’un tu n’as qu’à taper à la porte des présidents d’université

3- Fainéantise de l’enseignant en fac ? Tu devrais te renseigner sur que beaucoup d’entre eux font à coté… Après les brebis galeuses peuvent exister comme partout









methos1435 a écrit :



Ya toujours eu du jemenfoutisme de la part de certains. Mais ça doit pas empêcher les bonnes pratiques pour ceux qui justement ne s’en foutent pas. Autrement on avance pas. Le “jemenfoutisme”, c’est une excuse bidon. Un enseignant qui n’a aucun problème à diffuser son Savoir, il s’en branle royalement des petits merdeux qui veulent pas bosser.





Donc il se fout royalement de plus de la moitié de sa classe dans le cas dont je parlais ?

Dans ce cas particulier, les cours dispos sur Internet étaient destinés principalement aux plus mauvais afin de les aider… les autres n’en avaient pas besoin…



PS: je ne suis pas prof’ mais je cotoie pas mal le milieu universitaire.


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Holly Brius a écrit :



Ce qui se vérifie malheureusement….



Il faudrait d’abord redonner des moyen aux universités et revenir en arrière sur bon nombre de réforme.

Là ou je suis, les profs donnent bien plus d’heure de cours que théoriquement par manque de personnel : s’ils respectent l’horaire légal, y a plus de cours dés janvier… certains donnent même des dizaines d’heures de cours GRATUITEMENT pour que la fac tourne….





Tout à fait, sans compter toutes les tâches administratives de plus en plus à leurs charges <img data-src=" />


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carbier a écrit :



Donc il se fout royalement de plus de la moitié de sa classe dans le cas dont je parlais ?

Dans ce cas particulier, les cours dispos sur Internet étaient destinés principalement aux plus mauvais afin de les aider… les autres n’en avaient pas besoin…



PS: je ne suis pas prof’ mais je cotoie pas mal le milieu universitaire.









Supports numériques ou non, tu ne feras pas bosser quelqu’un qui n’en a rien à faire. Par contre tu trouveras pas mal de personnes, en difficulté ou non (et faut arreter de dire qu’une personne en difficulté est une personne qui ne bosse pas …) qui seront heureuses d’avoir ces cours.

Le coup du “le numérique favorise l’absentéisme” c’est bidon. Un étudiant de merde sera absent si il le souhaite, numérique ou non.

Il ya d’autres façons de régler le problème. Un meilleur contrôle de l’absentéisme. Une suppression des bourses, une exclusion temporaire voir définitive. Là tu ne touches que ceux qui l’ont cherché.



Mettre de coté les supports numériques, ça touche tout le monde donc ce n’est pas la bonne solution.



Et non, je ne traite pas tous les enseignants de faignants. Je suis le premier à défendre mon corps de métier en ce qui concerne ce type de préjugés, alors je me garde bien d’en faire pour les enseignants… Je dit juste, comme pour tout métier, qu’il y en a certains qui effectivement n’en branlent pas une et se trouvent de fausses excuses pour justifier cela. Encore heureux que ca n’en concerne que certains…



D’autres Pays sont beaucoup plus avancés que nous là dessus. Les arriérés c’est nous et il serait temps que ça change.



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methos1435 a écrit :



Et pourquoi donc ? Expliques moi je comprend pas là … C’est quoi le problème ? Supporter la fainéantise d’un enseignant qui à autre chose à foutre que de diffuser son Savoir efficacement, ou qui considère que Savoir = valeur marchande donc surtout pas le diffuse gratuitement ?





Ce n’est pas de cet aspect des choses dont je parle. Toi tu pars dans une envolée lyrique à la satlman LOL.

Déjà, tu peux trouver sur le net un bon paquet de cours et ceux bien avant que flamby soit arrivé.

Systématiser les cours sur le net, ça fera juste qu’on va passer de 30 cours de thermodynamique disponible sur le net à 200. Ca changera sans doute bien des choses <img data-src=" />

Par contre, flamby ne propose pas ce qui se fait au MIT et ailleurs : le principe d’atelier. En gros, les profs ne donnent plus de cours et proposent au étudiant des projets ardus. Les profs ne sont là que pour apporter de la valeur ajouté en répondant au questions des étudiants qui ont acquis seuls les connaissances… les prof partant du principe qu’il ne sert à rien de publier un nième cours sur OpenGL, les ressources étant déjà disponible sur le net…

Et hollande propose quoi LOL, l’inverse….









methos1435 a écrit :



Laisser les gens dans l’ignorance ?





Il y a déjà tout ce que tu veux d’accessible sur le net…





methos1435 a écrit :



Honnêtement, je ne vois aucun mal dans la diffusion du Savoir. Le numérique en support du physique, c’est une bonne solution.





Moi non plus….





methos1435 a écrit :



Et si les enseignants refusent d’accepter cette évolution qu’on remplace tout ça…





<img data-src=" />



Franchement, va faire un tour dans une fac ou en école, et tu verras que les problèmes dont il faut s’occuper sont bien différent :




  • manque de moyen

  • manque de prof

  • niveau catastrophique des bacheliers qui n’a de cesse de s’effondrer

    etc…




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L’école n’est plus source de savoir et de connaissance.



Le rôle du professeur doit donc évoluer.



L’objectif n’est plus de simplement transmettre la connaissance, mais de convaincre les étudiants de les acquérir eux même (c’est pas facile).



L’ensemble des recherches montre d’ailleurs que les cours où le prof ne fait que parler sont les plus inefficaces dans l’acquisition de connaissance chez l’élève. L’une des solutions provient entre autres de l’interaction constante prof étudiant, mais aussi (entre autres) de type de cours APP (apprentissage par problème).



Une fois que le professeur comprend cette notion, il comprend aussi qu’il peut mettre son cours ou ses notes de cours en ligne sans craindre un certain droit intellectuel. Le plus gros de la tache devrait l’être pour lui, réaliser son cours pour que l’acquisition des connaissances se fasse de manière efficace.



Ce modèle est de plus en plus utilisé aux É.-U. et Canada.



En France il semblerait que vous avez un second défi à surmonter, soit celui de la sacro sainteté du professeur et de son autorité hiérarchique qui fait de lui un dieu dans la classe. Ceux-ci devront apprendre à descendre de leur Piédestal et davantage vouloir voir comment leurs étudiants veulent apprendre.

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von-block a écrit :



L’école n’est plus source de savoir et de connaissance.



Le rôle du professeur doit donc évoluer.



L’objectif n’est plus de simplement transmettre la connaissance, mais de convaincre les étudiants de les acquérir eux même (c’est pas facile).



L’ensemble des recherches montre d’ailleurs que les cours où le prof ne fait que parler sont les plus inefficaces dans l’acquisition de connaissance chez l’élève. L’une des solutions provient entre autres de l’interaction constante prof étudiant, mais aussi (entre autres) de type de cours APP (apprentissage par problème).



Une fois que le professeur comprend cette notion, il comprend aussi qu’il peut mettre son cours ou ses notes de cours en ligne sans craindre un certain droit intellectuel. Le plus gros de la tache devrait l’être pour lui, réaliser son cours pour que l’acquisition des connaissances se fasse de manière efficace.



Ce modèle est de plus en plus utilisé aux É.-U. et Canada.



En France il semblerait que vous avez un second défi à surmonter, soit celui de la sacro sainteté du professeur et de son autorité hiérarchique qui fait de lui un dieu dans la classe. Ceux-ci devront apprendre à descendre de leur Piédestal et davantage vouloir voir comment leurs étudiants veulent apprendre.









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Un bon prof n’a pas à craindre l’absentéisme ou la fuite de ses cours. Un bon prof sait garder ses élèves attentifs.

Se cacher derrière ces excuses pour ne pas évoluer: c’est bidon.



Je connais moi aussi de jeunes ensaignants qui ont voulu utiliser des supports ou des méthodes plus en adéquation avec notre temps et qui se sont vu mettre de coté par des plus “vieux” ou par l’administration carrément. Parce que certains ne veulent surtout rien changer.



Ces profs qui refusent d’évoluer, qu’ils prennent leur retraite sérieux. Il faut bien admettre que certains font plus de mal qu’autre chose actuellement. Ces années perdues avec des cours pourris et totalement dépassés sont difficilement rattrapables.


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Holly Brius a écrit :



Par contre, flamby ne propose pas ce qui se fait au MIT et ailleurs : le principe d’atelier. En gros, les profs ne donnent plus de cours et proposent au étudiant des projets ardus. Les profs ne sont là que pour apporter de la valeur ajouté en répondant au questions des étudiants qui ont acquis seuls les connaissances… les prof partant du principe qu’il ne sert à rien de publier un nième cours sur OpenGL, les ressources étant déjà disponible sur le net…





Gros +1 si il fallait changer quelque chose dans l’enseignement en France, c’est bien cela. Essayer de rendre les étudiants plus indépendants.


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carbier a écrit :



C’est bien ce que je dis tu confonds tout





En quoi le fait de recopier ce que son petit voisin écrit lors d’un controle est-il un transfert de savoir et/ou de compétence ? <img data-src=" />



Tu as été traumatisé dans ta prime jeunesse c’est cela ? <img data-src=" />



Ensuite la ou c’est le plus risible, c’est quand tu finis par “triste France”, essaie juste pour voir de “copier” lors d’une épreuve dans une université américaine <img data-src=" />







Je ne fais nullement l’apologie de la tricherie. Vous me lisez de travers. J’utilise simplement cet exemple pour illustrer comment une injonction fort à propos (ne pas tricher lors des examens) sortie de son contexte finit par contaminer tout le système de pensée des moins philosophes.


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methos1435 a écrit :



Un bon prof n’a pas à craindre l’absentéisme ou la fuite de ses cours. Un bon prof sait garder ses élèves attentifs.

Se cacher derrière ces excuses pour ne pas évoluer: c’est bidon.





<img data-src=" /> non mais franchement tu délire au plus haut point…

Le meilleur prof de la terre n’apprendra rien à celui qui ne veut pas apprendre…

Histoire de rire, en master informatique, les profs sont obligés de faire des rappel sur le produit scalaire…

Ca c’est la réalité.


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methos1435 a écrit :



+1000



Un bon prof n’a pas à craindre l’absentéisme ou la fuite de ses cours. Un bon prof sait garder ses élèves attentifs.

Se cacher derrière ces excuses pour ne pas évoluer: c’est bidon.



Je connais moi aussi de jeunes ensaignants qui ont voulu utiliser des supports ou des méthodes plus en adéquation avec notre temps et qui se sont vu mettre de coté par des plus “vieux” ou par l’administration carrément. Parce que certains ne veulent surtout rien changer.



Ces profs qui refusent d’évoluer, qu’ils prennent leur retraite sérieux. Il faut bien admettre que certains font plus de mal qu’autre chose actuellement. Ces années perdues avec des cours pourris et totalement dépassés sont difficilement rattrapables.









L’évolution du monde de l’éducation n’est pas rapide, peu importe pour quel type de changement.



C’est probablement l’univers où la pratique et la recherche scientifique sont le moins en adéquation, les préjugés ont la vie dure et les mythes sont difficilement déracinables.



Heureusement l’histoire montre que les changements se font malgré tout avec le temps.



Dans ce cas-ci, de par la nature des évolutions technologiques et de l’inutilité de simplement savoir la connaissance, ce changement sera tout simplement nécessaire à la viabilité économique du pays. Les entreprises auront et ont besoin de personnel qualifié pour être rapidement capable d’interaction entre divers savoirs et une capacité accrus d’adaptabilité, finis le jour ou une personne fait la même chose jusqu’à la fin de sa vie.



L’apprentissage des étudiants doit donc se faire de la même façon, créer des jeunes capables d’apprendre par eux même et non capable de répéter efficacement ce que le prof dit.





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Holly Brius a écrit :



<img data-src=" /> non mais franchement tu délire au plus haut point…

Le meilleur prof de la terre n’apprendra rien à celui qui ne veut pas apprendre…

Histoire de rire, en master informatique, les profs sont obligés de faire des rappel sur le produit scalaire…

Ca c’est la réalité.









C’est toi qui ne comprend rien à ce que je dis: les élèves qui ne veulent rien apprendre je m’en branle royalement. Ils ont qu’à aller faire la manche si ça leur chante.

Moi je parle de ceux qui veulent apprendre, ceux qui veulent s’en sortir. Leur donner des outils plus efficaces et plus en adéquation avec le monde actuel.

Tu peux être sérieux dans ton travail et avoir du mal fasse à un ringard qui te lis sa feuille A4 avec un ton monotone et qui se branle royalement de savoir si t’as compris ou pas. Et crois moi, par expérience, que t’es bien content de trouver à coté des supports mieux expliqués, plus simple à aborder.


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methos1435 a écrit :



Ces profs qui refusent d’évoluer, qu’ils prennent leur retraite sérieux. Il faut bien admettre que certains font plus de mal qu’autre chose actuellement. Ces années perdues avec des cours pourris et totalement dépassés sont difficilement rattrapables.





T’es un marrant toi…

On parle de prof de fac donc de chercheurs qui publient dans de grande revue. Ne t’inquiète pas, ces gens ne t’ont pas attendu pour utiliser le net et ces gens sont autrement plus apte à juger ce qui est bon ou pas pour l’enseignement que toi ou flamby…


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Holly Brius a écrit :



T’es un marrant toi…

On parle de prof de fac donc de chercheurs qui publient dans de grande revue. Ne t’inquiète pas, ces gens ne t’ont pas attendu pour utiliser le net et ces gens sont autrement plus apte à juger ce qui est bon ou pas pour l’enseignement que toi ou flamby…









Un excellent chercheur ne fait pas systématiquement un bon enseignant.


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methos1435 a écrit :



Tu peux être sérieux dans ton travail et avoir du mal fasse à un ringard qui te lis sa feuille A4 avec un ton monotone et qui se branle royalement de savoir si t’as compris ou pas.





C’est que tu n’as pas compris le principe de la fac. Le prof n’est pas là pour venir te tenir la main, si tu n’as pas compris, à toi de faire le nécessaire.


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Holly Brius a écrit :



Il y a tellement à dire sur la recherche… et sur les recherches “orientés”.

Un gosse qui fait moins de travail en arrivant avec de meilleurs résultats avec le même prof, le même cours etc, ça ne tient pas la route une seule seconde.







Ce n’est pas simplement de faire moins de travail, mais de le faire différemment.



Bien sûr, reprendre exactement la même formule, mais simplement retiré les devoir… ça risque de mal fonctionner (quoi que dans certain cas, surtout chez les plus jeunes, il semble que ça fonctionne bien)


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Holly Brius a écrit :



C’est valable dans l’informatique, essaye ça sur de la chimie histoire de rire…









Ce n’est qu’un exemple concret dans un domaine précis j’en conviens.



Là où je veux en venir, c’est qu’il ya des méthodes bien plus efficaces que d’autres pour accumuler du Savoir.



Mon niveau de Chimie s’arrête à celui d’un programme scientifique au Lycée alors je suis très mal placé pour en parler concrètement. Mais là également, il ya surement des méthodes d’enseignement bien plus efficace que du simple bourrage de crane monotone.



Il ya plusieurs façons d’aborder un sujet. Nous avons tous une réceptivité meilleure avec telle ou telle méthode. On est tous différent sur la façon d’apprendre. Donc avoir accès à des supports autre que les cours suivis permet souvent d’aborder un problème sous un angle différent, de justement s’affranchir de la méthode du seul enseignant en face de nous.



Une même information, présentée sous un angle différent peut souvent tout changer…


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methos1435 a écrit :



Voilà le genre de réactions qui n’aide en rien pour la démocratisation des supports numériques…







Je suis totalement d’accord avec la réaction que tu n’approuves pas. Lors de mon cours de physique de terminale S, je ne comprenais rien au cours du prof. Je lisais dans le livre chez moi et ça rentrait tout de suite… Je ne vois pas trop la différence avec la présence du cours sur internet, un livre ou autre chose.





Et puis juste comme ça, hier dans ma fac je lisais sur un écran qu’il est interdit de mettre les cours en ligne (sans autorisation du professeur). Comme si les cours dispensé par des professeurs payés par nos impôts leur appartenaient.*

Bien sûr, sur le cours PDF, il n’y a pas les petites blagues pas drôle du professeur mais quand on a à choisir entre raté un cours à 17h en direct et prendre son train à 22h, je vous promet que le choix est vite fait.

*On ne doit pas mettre le cours que l’on retranscrit sur le net, mais le professeur peut faire un livre, dire exactement les mêmes mots que dans le livre et dire d’acheter le livre… (30€ le livre)


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En médecine au Canada et au USA, dans quasi toutes les universités, plus aucun cours ne se donne de façon traditionnelle (prof qui parle en classe) AUCUN



L’ensemble des cours se font par APP (apprentissage par problème), l’élèves a un problème, un livre et doit résoudre le problème. Le prof ne sert que de guide pour les élèves.



La médecine est toujours assez rapide quant aux avancés scientifiques.

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AntonyToku a écrit :



Je suis totalement d’accord avec la réaction que tu n’approuves pas. Lors de mon cours de physique de terminale S, je ne comprenais rien au cours du prof. Je lisais dans le livre chez moi et ça rentrait tout de suite… Je ne vois pas trop la différence avec la présence du cours sur internet, un livre ou autre chose.





Et puis juste comme ça, hier dans ma fac je lisais sur un écran qu’il est interdit de mettre les cours en ligne (sans autorisation du professeur). Comme si les cours dispensé par des professeurs payés par nos impôts leur appartenaient.*

Bien sûr, sur le cours PDF, il n’y a pas les petites blagues pas drôle du professeur mais quand on a à choisir entre raté un cours à 17h en direct et prendre son train à 22h, je vous promet que le choix est vite fait.

*On ne doit pas mettre le cours que l’on retranscrit sur le net, mais le professeur peut faire un livre, dire exactement les mêmes mots que dans le livre et dire d’acheter le livre… (30€ le livre)









Peut être parce que le cours en direct comme tu dis ne t’apportera rien de plus que le PDF en ligne…



J’ai été habitué à une autre méthode d’enseignement bien plus efficace selon moi: des cours distribués par l’intranet ou copies papier avec très peu de théorique sur le temps de présence. Et surtout de la mise en pratique à l’IUT, avec des problèmes plus concrets, des enseignants disponibles pour revenir sur des points précis, et un accès à du matériel que tu n’auras ni sur le net ni chez toi.



Alors bien sure il restait des cours en amphi mais je dirai presque minoritaires face au temps “d’expérimentation” ou de mise en pratique.


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Quote de l’article et de notre cher député : “la prise en compte des NTIC va révolutionner l’enseignement supérieur “…. Mais mon bon Monsieur, vous n’avez rien compris, mais vraiment rien !!! ça ne VA pas révolutionner, mais ça a DEJA revolutionné l’enseignement supérieur !!!! En France, on veut mettre en ligne des cours, mais attention, pas un cursus entier, hein, les étudiants ne sont pas prêts pour ça… Mais c’est n’importe quoi !!!!! Les US développement actuellement plusieurs MOOC (Massive Online Open Courses), suivis par des dizaines voire centaines de milliers d’étudiants. Christensen, un prof de Harvard, a co-écrit un bouquin sorti en 2008 ou 2009 intitulé “disrupting class”, où il explique comment le numérique peut faire faire des économies au système éducatif US sans perdre en qualité, juste en faisant différemment les choses ! Et en France, en 2013, on lit encore ce genre de conneries de la part d’un député et d’une ministre !!!! Mais qu’ils sortent d’ici et qu’ils aillent voir un peu ce qui se passe ailleurs, bon sang !!!



Plus d’infos pour ceux que ça intéresse ici :! http://cursus.edu/dossiers-articles/articles/18077/cours-ligne-gratuits-encore-rien/

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telperien a écrit :



C’est un exemple que quelque chose qui ne marche pas.

Beaucoup d’enseignants ont essayé, mais quand les 34 de la classe ne le font pas, bah tu te retrouves à avoir le cour normal et celui qui avait préparé s’ennuie.



Sinon je vois beaucoup de réponses de gens qui veulent obliger la présence de l’étudiant si les cours sont en ligne. Pourquoi ?

Si l’étudiant arrive à valider son année sans venir en cours c’est soit :

-Le professeur n’apporte rien de plus que les documents, je ne vois donc aucun intérêt à venir en cour.

-Soit il fournit le travail nécessaire à coté pour réussir à valider son année, du coup aucun intérêt à lui refuser l’année.



Tout le monde a eu des cours de 2h où l’on se dit qu’on aurait pu le faire en 30 min chez soit. C’est un gain d’efficacité, de motivation et de temps. Et le temps ce qui manque le plus quand t’es étudiant <img data-src=" />





Mouep sauf s’il y a une interro de 5 min en début de cours…



Pour la présence, le fait que le professeur ne fasse pas son boulot n’est pas une bonne excuse pour ne pas être présent (même si je l’accorde c’est totalement contre-productif).

Une école donne un diplôme pour un certain enseignement suivi ET validé. Il n’y a pas que la validation qui compte, il y a également le fait d’avoir suivi les cours et fait la pratique, etc… On peut valider sans, mais ça n’est pas l’objectif…


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cid_Dileezer_geek a écrit :



Est-ce que des non étudiants auront accès aux cours???





Déjà si l’IUTL pouvait mettre autre chose en ligne que de l’auto-promotion.


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xertux a écrit :



C’est surtout qu’à la différence du e-learning, un cours traditionnel est un réel échange entre enseignant et élève. Donc c’est plus enrichissant et plus sociale.



Pauvres enfants qu’on cantonne au numérique jusqu’à leur mort <img data-src=" />





Personne n’a dit qu’il fallait limiter les cours à un document numérique… <img data-src=" />



En ce qui me concerne, je dis merci à internet à qui je dois 80% de ma culture générale: les enseignants ne font pas tout et l’aspect social d’un cours n’est pas intéressant pour tout le monde.


Le gouvernement veut des cours en ligne dans chaque université d’ici 2017

  • « Le numérique déplace les lignes »

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