Personne n’a encore dit : “Nintendo va mourir” " />

deepinpact a écrit :



Ah et puis accessoirement on sait bien qu’ils sont pétés de thunes aussi " />







Ça je ne te le fais pas dire hein ! A l’époque de la N64, beaucoup criait à la mort de Niintendo fasse aux ventes moroses de la N64. Or c’est l’époque ou il ont fait le plus de thunes, car il n’y avait aucune licence sur N64 pour concurrencer les titres Nintendo. Comme le catalogue était “restreins” bah les titre made in Nintendo se sont vendus à foison.



Aujourd’hui leurs poches déborde de brouzoufs. " />

BreizFenrir a écrit :



Euh, je veux bien croire que les graveurs ne couraient pas les rues jusqu’à environ la mi-vie de la console, mais du moment que des petits jeunes pouvaient se rembourser leur graveurs en vendant 30, 20, 10 copies aux amis et amis d’amis, ça a été la folie furieuse.







Oui, mais ça c’est un phénomène qui est apparu franchement vers 2002. 1 an avant, c’était encore marginal. Il ne faut pas oublier dans ton observation que la PSX a vécue commercialement plus de 10 ans. Elle a été commercialisée en 1994, et la ruée vers les puces et les backup a été clairement démocratisée en ²⁰⁰¹⁄₂₀₀₂, pour devenir très commune vers 2005. La console se vendait encore en 2007 en grande surface. le dernier titre connu ayant eu une sortie mondiale est Fifa en 2005.



Lorsque la N64 est sortie en 96, 1 an après tu pouvais te procurer pour “pas trop cher” des “copieurs” sous diverses formes (le Doctor 64 par exemple) et pour un prix raisonnable par rapport à un graveur. Il fallait compter environ 300€ pour un graveur SCSI, alors que les copieurs N64 se trouvaient à 200€ pour les plus chers.



Alors après je te l’accorde, les graveurs étaient plus facile à trouver que les copieurs réservés à l’import. Mais pour en revenir à la remarque initiale, la copie sur N64 / PSX c’est kifkif, ça a juste été moins flagrant en France en fait. Mais au niveau jeux vidéo, notamment sur le hard, on est un peu une exception par rapport au reste du monde.

Citan666 a écrit :

1. Les Playstation ont été puçables dès fin 1996, je le sais vu que je l’ai fait pour pouvoir jouer aux RPG imports. Et dès cette époque les puces permettaient de lire les jeux gravés.
   
   
   
   
   
   
   
   Je ne dis pas le contraire. D’ailleurs, les PIC pour la PSX ont été dispo quasiment dès le début de commercialisation. Sauf que les premiers modèles n’en avaient pas besoin puisqu’ils démarraient directement les CD-R avec un simple swap… sans puce.
   
   
   
   
   
   
   
   Citan666 a écrit :
   
   
   
   Les graveurs CD étaient encore chers (avoisinant le millier de francs) et les disques vierges à l’avenant mais ça représentait pour celui qui voulait vraiment pirater un investissement tout à fait léger par rapport au prix d’un jeu neuf (entre 450 et 600 Fr pour les extrêmes genre import rare). En moins d’une dizaine de jeux c’était plié.
   
   
   
   
   
   
   
   Pas dans la période ⁹⁴⁄₂₀₀₀ sauf d’être 1) fortuné, 2) bricoleur , 3) n’avoir aucun scrupule à revendre un backup. Le dernier point me fait grincer des dents.
   
   
   
   
   
   
   
   Citan666 a écrit :
   
   
   
   Note : pourquoi taper le SCSI, le format IDE/PATA était déjà répandu à la fin du siècle.
   
   
   
   
   
   
   
   Les premiers graveurs IDE sont apparus au grand public courant 99. Avant c’était le SCSI ou du propio. Avec CDRWin la plupart du temps, pas ce qu’il y a de plus simple à utiliser. Rien d’autre. Si tu me relis bien je parle de la période pré 2000 soit toute la 1ère moitié de vie de la PSX. Ce n’est quand même pas rien, si ?
   
   
   
   
   
   
   
   Citan666 a écrit :
   
   
   
   Graver un cd, sur un équipement standard, c’était simple. À comparer à l’achat d’un matériel dédié à la copie de cartouches n64, plus difficilement trouvable comme tu le soulignes.
   
   
   
   
   
   
   
   Entre faire un rip d’un jeu PSX et faire un dump d’une rom N64, le plus simple n’est pas celui que l’on croit. Dans le 1er cas il te faut copier les pistes, connaitre la différence entre le BIN et l’iSO, et surtout combler les gap ECC des jeux PSX sous peine d’avoir une copie illisible (je parle d’une copie à partir d’un original). Dans le second cas, tu branches la cartouche, tu copies et c’est finit.
   
   
   
   
   
   
   
   Citan666 a écrit :
   
   
   
   Bref, pour un usage particulier, le piratage de Playstation était largement aussi accessible, si ce n’est plus, que celui de la n64.
   
   
   
   
   
   
   
   Accessible pour trouver le matos. Mais pour s’en servir la simplicité est du coté des copieurs N64 et de loin.
   
   
   
   
   
   
   
   Citan666 a écrit :
   
   
   
   C’est l’industrialisation du piratage qui elle n’est jamais arrivée sur 64 alors qu’elle est apparue dans les années 2000 pour Playstation. Tout simplement parce que le coût des cartouches restait élevé par rapport au coût des disques optiques.
   
   
   
   
   
   
   
   En France, car l’import de ce type de matériel était très marginal. Mais dans le reste du monde tout du moins aux US et au japon (oui même au Japon) les copieurs N64 se trouvaient aisément. Et contrairement à ce que tu crois, inutile d’avoir la cartouche quand les ROM se trouvaient très aisément sur les canaux IRC. (qui a dit Emuchina… " /> )

Citan666 a écrit :



Anthology (les 5 et 6, identiques aux versions SNES sauf chargements en plus )







Oh que non malappris ! Ils sont loin d’être identiques. La musique est passée à la moulinette, les graphismes bavent et comme tu le précise les temps de chargement sont intolérables. Surtout sur le remake du VI, à chaque combat.



Après, il y a assez de très bon J-RPG sur PSX, pour éviter de faire de mauvaises conversions. Les FF SNES bah c’est sur…. SNES. Il me semble également que la PS2 a accueillie un remake du VI, mais avec des BGM légèrement remixées. Mais je ne me souviens plus du nom précis du remake.

Citan666 a écrit :



Musiques passées à la moulinette ??? En es-tu bien sûr ? Ne confonds-tu pas avec l’exécrable version GBA (vive le chipset sonore tout pourri qui ruine les compositions) ?







Étant assez fan de FF6 pour l’avoir fait sur tout les supports (oui à ce point " />), je peux affirmer sans détour que la version GBA est meilleure que la version PSX. J’ai fais la version GBA sur le GB Player du Gamecube.



Effectivement c’est pas top niveau musique, mais le pire reste l’animation qui lag lorsque la musique est trop complexe pour la GBA (le continent flottant par exemple, le scrolling saccade quand il y a trop de canaux sonore en même temps ! ).



Après, je ne sais pas si tu as joué à FF6 sur SNES ou sur ému, mais la version PSX est bien en dessous. En fait les BGM sont sourdes par rapport à la SNES, elles manquent de punch. Certaines sont même remixées. Tu peux comparer avec un ému audio (foobar + GEP ou HE) en trouvant des dump SPC pour la version SNES et PSF pour la version PSX.



Pour le coup on est complètement HS là !

Et puis on est Dredi on parle de ce que l’on veut " />



Moi j’avais l’adaptateur AD29, quand j’allais sur la map et que je voulais aller à l’écran des stat/équipements pour sauvegarder, bah j’avais un écran noir. Le pire étant la fin du jeu qui se freeze au bout de 5min (systématique) … J’ai attendu des années avant de me procurer une SNES US (vers ⁹⁷⁄₉₈) pour pouvoir réellement terminer le jeu.



Mais, franchement ça valait le coup, le jeux de cette trempe sont rares.

Cypus34 a écrit :



Du coup pareil avec la WiiU alors, vu que la plupart des tiers la boudent !

\(\_\) euh, pardon… ¥_¥ " />







bah ca dépend, le contexte est différent, sur N64 quand Nintendo sortait un Paper Mario, un Mario Party ou un Perfect Dark il n’y avait rien en face pour donner la réplique.



Su Wii U ça peut se répéter, sauf que la console est plus puissante qu’une N64 et développer un jeu de qualité dessus demande un peu plus de temps et surtout d’argent. La durée de vie des machines devient de plus en plus courte, du coup c’est, je pense, beaucoup plus difficile de réaliser le même exploit qu’avec la N64.