Qwant lance un programme de fidélité, en attendant sa future techno de recherche
Clic toujours
Qwant, chantre historique du respect de la vie privée, lance un « programme de fidélité » qui propose de gagner jusqu'à 10 euros par semaine, en échange d'une utilisation régulière de son moteur de recherche et d'un consentement sur les données personnelles. Un grand écart parfaitement assumé par l'entreprise, qui, à cette occasion, précise à Next ses développements parallèles en matière d'IA et de recherche.
Le 23 octobre à 17h37
9 min
Internet
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Mis en ligne discrètement dans le courant de l'été, le nouveau programme de fidélité de Qwant fait désormais l'objet d'une communication officielle. « Le principe est simple : faites des recherches, gagnez des points et grimpez au classement, recevez jusqu'à 10 euros. Et ça toutes les semaines », annonce le moteur de recherche.
Pourquoi ce lancement en deux temps ? « On avait besoin de roder un peu la mécanique, notamment pour être sûr de privilégier les utilisateurs réguliers et loyaux aux opportunistes », répond à Next Olivier Abecassis, ancien responsable de l'innovation et du numérique chez TF1, devenu directeur général de Qwant en octobre 2023. Cette nomination suit pour mémoire le rachat de Qwant par les frères Klaba (Miroslaw et Octave Klaba à 75 %, avec la Caisse des dépôts et consignations à 25 %), au sein d'une coentreprise, Synfonium, qui détient également le service Shadow.
1 à 10 euros à gagner, pour 1 320 participants
Si l'entreprise communique sur un gain maximal de 10 euros par semaine, n'espérez pas atteindre le plafond tous les sept jours. Seuls les dix premiers du classement ont droit à 10 euros, on passe ensuite à 5 euros et même à 1 euro seulement à partir de la 27e position et jusqu’à la 1320e. Au total, Qwant distribue donc un peu moins de 1 500 euros par semaines, soit 6 000 euros par mois environ.
« Les récompenses reçues chaque lundi vont directement dans votre porte-monnaie Qwant. Vous pouvez transférer votre argent sur votre compte bancaire personnel dès que vous avez atteint la somme de 5 euros. Attention ! Une fois les 5 euros atteint, vous avez trois mois pour retirer votre argent avant qu'il n'expire », explique Qwant.
Des mécaniques incitatives
Le système de récompenses prend la forme d'un classement, au sein duquel l'utilisateur monte en utilisant Qwant pour ses recherches, sous réserve qu'il soit connecté à son compte et qu'il ait consenti au traitement des données publicitaires. Le calcul des points intègre à la fois des mécaniques incitatives (utiliser Qwant à la fois sur un ordinateur et sur un téléphone via l'application dédiée est valorisé) et des protections contre le spam.
Le règlement donne quelques précisions supplémentaires : il faut par exemple 30 secondes entre deux recherches pour que celles-ci soient comptabilisées, et les points rapportés par une recherche diminuent progressivement au fur et à mesure que le volume augmente.
Qwant se réserve par ailleurs la possibilité d'utiliser des critères secondaires pour départager les utilisateurs de son programme, parmi lesquels la fréquence de participation, les créneaux horaires pendant lesquels les recherches ont été effectuées, ou « toute autre métrique jugée pertinente ».
La société prévient enfin que chaque virement des gains sera associé à des frais bancaires de 0,70 centime, automatiquement déduits du montant transféré par le prestataire de paiement, Memo Bank.
« Participez à notre modèle économique basé sur la publicité »
Pour gagner des points et participer au programme, l'internaute doit évidemment surfer connecté à son compte Qwant, mais il doit aussi et surtout impérativement donner son consentement publicitaire. Une contrepartie parfaitement assumée par le moteur de recherche.
« À travers ce programme de fidélité, nous avons décidé de partager avec nos utilisateurs la valeur issue des revenus publicitaires que nous générons sur Qwant, et cela car vous êtes au centre de l’expérience et du modèle économique de notre moteur de recherche. En étant identifié, vous permettez une meilleure valorisation des espaces publicitaires affichés et nous avons décidé de vous redistribuer une partie de cette plus-value », explique Qwant.
De quoi motiver un petit détour par la politique de confidentialité associée au programme. De façon classique, Qwant explique que lors de votre utilisation du programme, des identifiants techniques sont récoltés (identifiant de cookie et adresse IP) ainsi que des caractéristiques techniques relatives à l’appareil utilisé (smartphone, ordinateur, version de l’OS, langue, date et heure du système, etc.). Ces données sont par ailleurs toujours agrégées par Qwant puis transmises à Microsoft, du fait de l'utilisation de Bing, qui conserve l'adresse IP en intégralité pendant six mois, puis « les identifiants de cookies et autres identifiants intersessions qui sont utilisés pour identifier un compte » pendant 18 mois.
Contrairement aux sites médias qui multiplient les centaines de cookies (Next aura l'occasion d'y revenir dans de prochains articles !), le moteur affiche ici une liste de partenaires limitée en ce qui concerne le traitement de ces données, dont le principal n'est autre que Microsoft Advertising, la régie publicitaire de Qwant, qui pousse également le consentement sur Clarity, son outil d'analyse comportementale.
Les cookies associés ont ici vocation à permettre à des partenaires publicitaires de vous afficher des publicités personnalisées, tandis que l'analyse comportementale, qui ne répond pas aux appels Do Not Track, mesure les performances associées et les réactions suscitées par les réclames.
Sans consentement préalable et au titre de l’exécution du contrat, les « Données de compte fidélité » sont par ailleurs partagées aux partenaires suivants : Memo Bank (pour les virements), Batch (prestataire des pushs notification de l'application Qwant), Shadow (administration du compte fidélité seulement) et Datadome (prestataire de sécurité, notamment chargé de la lutte contre l'abus de ressources). Bref, rien de radicalement différent de la version avec pub et consentement du moteur de recherche.
Encourager une navigation connectée
Le programme s'affiche désormais de façon très visible dès la page d'accueil de Qwant, avec la promesse d'1 euro offert dès l'inscription. Il jouxte l'autre nouveauté récente lancée par le moteur de recherche en mai dernier : la possibilité de bénéficier de réponses générées par une IA au sein des résultats de recherche, sous réserve de surfer connecté à son compte. Dans les deux cas, la société utilise une mécanique incitative pour encourager l'utilisateur à lui donner son consentement (facultatif dans le cas de l'IA).
La démarche, qui s'entend d'un point de vue économique, peut cependant surprendre, dans la mesure où Qwant a longtemps fait de la défense de la vie privée son cheval de bataille. Les deux logiques ne seraient cependant pas incompatibles selon le moteur, qui se retranche derrière le choix laissé à ses utilisateurs. « Pour accéder au programme de fidélité, il faut accepter de donner votre consentement. Par contre, notez que même en refusant le consentement, TOUTES les autres fonctions restent disponibles avec le mode le plus élevé de privacy possible du marché », promet ainsi l'un des porte-paroles de Qwant sur le Discord du moteur.
Une équation économique alternative
« La vision de la vie privée se joue à deux niveaux », explique à Next Olivier Abecassis :
« Ceux qui ont un problème de fond avec la donnée, soit 90% de l'utilisation de Qwant, et ceux qui sont en ligne avec l'idée selon laquelle un service qui utilise la donnée peut proposer une meilleure qualité. Parmi ces derniers, il y a des gens qui pensent que l'équation économique n'est pas totalement juste si elle va vers le cours de bourse du leader. De la même façon que certains essaient de rediriger une partie de l'équation vers une cause environnementale, par exemple, nous essayons de le partager en direction de l'utilisateur, ce qui n'avait pas encore été fait. »
Les tests conduits entre août et octobre se seraient révélés « suffisamment probants », même si Qwant ne donne à ce stade aucun chiffre. « Nous attendons bien sûr de voir, mais les gens ont réagi », commente le directeur général.
L'IA comme fondation des prochains outils de recherche
Introduite en mai dernier, sous forme d'un module de réponse rapide, l'IA générative devait constituer l'un des grands chantiers stratégiques de Qwant en 2024, et l'entreprise, qui réunit aujourd'hui une équipe de 70 personnes, continue ses travaux sur le sujet, nous confie Olivier Abecassis :
« Il y a un vrai avantage à être un moteur de recherche quand il s'agit d'identifier les sources les plus pertinentes pour répondre aux questions d'un internaute. La version actuelle de notre module fonctionne mais elle propose des réponses courtes, pas toujours assez complètes, nous travaillons donc sur une nouvelle version beaucoup plus exhaustive qui sortira dans les prochaines semaines. »
L'autre grand sujet d'interrogation, c'est bien sûr celui du développement d'une technologie de recherche propre à Qwant, promis dès 2023 par les nouveaux repreneurs, alors que le moteur exploite encore les outils de Bing (Microsoft), dont il n'a jamais réussi à se départir.
« Nous travaillons intensément depuis un an avec des progrès considérables et déjà des résultats encourageants, même si ça n'est pas encore branché. Nous n'avons ni les moyens, ni même l'ambition d'atteindre la qualité de Google, mais on pense pouvoir faire quelque chose de vraiment bien pour l'utilisateur », indique le directeur général.
L'IA sera-t-elle l'un des piliers de cette promesse ? « Il y a une appétence du marché, certains accords rebattent les règles et on voit bien que le combo recherche et IA générative va créer une forme d'hybridation autour de laquelle Qwant va essayer des choses ».
Qwant lance un programme de fidélité, en attendant sa future techno de recherche
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1 à 10 euros à gagner, pour 1 320 participants
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Des mécaniques incitatives
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« Participez à notre modèle économique basé sur la publicité »
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Encourager une navigation connectée
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Une équation économique alternative
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L'IA comme fondation des prochains outils de recherche
Commentaires (36)
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Abonnez-vousModifié le 23/10/2024 à 18h06
HS: Le bouton des smilies ne fonctionne pas chez moi.
autre HS: C'est quoi le script podlove.org ?
Le 23/10/2024 à 18h10
Le script c’est pour les podcasts j’imagine mais c’est bizarre qu’il soit appelé sur une page article.
On va regarder.
Modifié le 23/10/2024 à 18h07
J'ai un peu du mal à comprendre la stratégie, surtout sur le "chantre historique du respect de la vie privée", quelle blague.
Modifié le 23/10/2024 à 23h16
Le 24/10/2024 à 23h16
Donc bon, avec Qwant, cela a au moins le mérite de proposer une parrtie des revenues
Modifié le 25/10/2024 à 14h46
De n'est donc pas vraiment une distribution des gains aux utilisateurs, ça se rapproche plus d'un jeu concours/compétition.
Comme les gains expirent en seulement 3 mois après avoir dépassé 5€, ils comptent manifestement sur le fait que la plupart des gens ne réclameront pas leur argent ou oublieront de le retirer à temps.
Et ça c'est une forme de vol, et c'est incroyablement radin vu les faibles sommes distribuées au total.
Ils essayent de récupérer quelques milliers d'euros sur le dos de ceux qui ont gagné qques euros en jouant leur jeu.
Le 26/10/2024 à 11h58
Google incite sans cesse à se connecter à un compte Google et même en dehors de ces services. Je ne sais pas comment ils ont mis la pression à des webmaster pour faire apparaitre leur boite de connexion.
Modifié le 24/10/2024 à 11h21
Hmmm.... Ariane 6 ?
Le 23/10/2024 à 18h07
Après, j'ai quand même quelque doute sur la validité du consentement. Peut-il est considéré comme libre sachant qu'il y a une "carotte" au bout ? Pas sur...
Le 23/10/2024 à 18h33
Le 23/10/2024 à 18h53
Modifié le 23/10/2024 à 19h59
Il n'y a pas de conséquence négative, c'est vrai. Par contre, il est influencé (par la "carotte"). Du coup, il ne semble pas respecter les critères définis par la CNIL.
Modifié le 23/10/2024 à 19h52
Par contre, il n'y a pas de conséquences négatives dans le fait de refuser (recherche ralentie, certains fonctionnalités sont retirées, ...).
Du coup je suis curieux du résultat.
Modifié le 23/10/2024 à 20h09
Exemple : Monoprix
Le 23/10/2024 à 20h14
La carte de fidélité, le but premier c'est pour te faire revenir et te fidéliser, pas pour revendre tes données (ce qui ne l'exclue pas pour autant, je le concède).
De plus, cela relève certainement plus d'un contrat que du consentement. J'ai toujours du dater et signer un papier pour obtenir une carte de fidélité.
Modifié le 24/10/2024 à 12h05
Autre exemple : Carrefour Media
• https://www.linkedin.com/pulse/carrefour-m%C3%A9dia-la-r%C3%A9gie-publicitaire-de-une-priorit%C3%A9-v%C3%A9ronique-wasa/
• https://www.hubinstitute.com/articles/carrefour-media-x-artefact-accompagner-les-marques-et-partenaires-grace-a-la-donnee-carrefour
• Cash investigation : Marketing : les stratégies secrètes (Intégrale) (2015)
Pour participer au programme de fidélité Qwant, on doit nécessairement aussi accepter des conditions (c'est un contrat) : https://about.qwant.com/legal/qwant-search/conditions-particulieres-programme-de-fidelite/
Modifié le 25/10/2024 à 13h53
Depuis sa sortie Qwant promet toujours "quelque chose de neuf dans quelques mois vous allez voir ce que vous allez voir"
Aujourd'hui on ne sait pas si tous les utilisateurs sont au courant de ces changements.
Rappelons qu'ils ont osés faire une pub sur l'anonymat en 2019 alors que la CNIL était en train de les sanctionner pour de la revente de données issues de données perso (psanon) sans que les utilisateurs ne soient au courant.
Ils disent s'être mis en conformité en 2020, cependant leur page de site n'existe que depuis 2021.
Qu'ils se sont défendus dans la presse en utilisant l'argument "CNIL Verified", et aux prud'hommes, qui était faux.
Encore aujourd'hui dans leur pub ils confondent anonymat et pseudonymat.
Et vous en faite la pub sans le remarquer.
Plus d'informations ici : Qwant confond anonymat et pseudonymat
Je suis très étonné que vous n'en parliez pas dans votre article, qui pardon de le redire, ressemble à de la pub.Et ici sur le phénomène d'escroquerie en bande organisée autour de Qwant
edit: Vous avez précisé l'envoi de l'IP fait par Microsoft, ce qui est fait depuis 2019 semble-t-il.
edit 2 : l'IP est une donnée personnelle avant d'être technique, ce qui me semble important de souligner.
Le 24/10/2024 à 07h59
Vu l'historique de Next sur le sujet, il me semble difficile de nous taxer de complaisance à leur égard.
Le 24/10/2024 à 13h20
Il ne s'agit pas de refaire l'historique puisque l'envoi de l'IP entière est "nouvelle" (depuis 2021 personne n'en parle).
Modifié le 24/10/2024 à 11h24
Et dire que Qwant devait en mettre une grosse à Google et que le gouvernement Macron avait émis une circulaire pour faire changer le moteur de recherche par défaut sur tous les postes des fonctionnaires de la fonction publique d'État.
Très fort le fondateur / escroc de Qwant !
Le 24/10/2024 à 23h22
Leur objectif était seulement d'être une alternative sans prétention de remplacer Google
Le 25/10/2024 à 22h12
Le 25/10/2024 à 22h24
Attention ! Beaucoup de mensonges de la part d'Eric Léandri (dès qu'il ouvre la bouche en fait ; j'en sais quelque chose ;) )
Modifié le 26/10/2024 à 05h14
(Voir ma réponse à lexiii aussi)
Modifié le 26/10/2024 à 05h43
Comme je l'avais mentionné, le gouvernement français avait demandé à faire changer le moteur de recherche par défaut sur les postes informatiques des fonctionnaires (plusieurs centaines de milliers de postes au bas mot au passage...)
Bon, ils ne savaient pas non plus que c'était du Bing@90% et les 10% restant, du Qwant pour Juniors, et en plus du Qwant Juniors tout bien moisi & tout bien périmé de 3-4 ans en arrière (constaté par huissier quand Qwant a attaqué un lanceur d'alerte qui justement alertait sur l'arnaque Qwant).
Ça fait pitié pour un ex-futur champion national d'avoir fini aussi bas et au final de finir dans les poubelles de l'histoire de l'informatique.
Et accessoirement, sur une note plus personnelle, il a été mentionné plusieurs fois par plusieurs personnes différentes qu'Eric Léandri faisait régner une ambiance détestable mais surtout tyrannique dans son entreprise, notamment grâce - au travers - à l'aide d'une personne qui était directrice générale de chez Qwant, ha et aussi accessoirement... la maîtresse d' Eric Léandri... (Ils devaient se voir genre 20h/24h tous les jours, même les weekends).
(Et peut-être susurré à l'oreille sur un oreiller - juste une imagination ici - :
- "tu vas voir, je vais les faire chie..."
- " Donne moi leurs noms mon amour, ils vont morfler grave ! ")
Voilà où ça en était avant le gros coup de balai de toute cette vermine malsaine (les 2 ont été virés illico presto... juste avant la faillite & et le dépôt de bilan...)
(NB1: Qwant a englouti des dizaines de millions d'€ de subventions publiques à cette époque...)
(NB2: oui ça m'a pris un peu de temps à rédiger ma réponse. Néanmoins personne ne m'obligeait à le faire, sauf une seule personne... moi-même...)
Le 24/10/2024 à 09h18
Le 24/10/2024 à 09h21
C´est une évidence.
Le 24/10/2024 à 09h40
Je ne dis pas que ce serait une mauvaise chose en soit, je pense juste que le public qui est susceptible de payer est trop confidentiel pour équilibrer la R&D et les frais d'infra, sauf à ce que tous les moteurs s'y mettent en même temps ou à proposer des fonctions inédites et utiles auxquelles Google n'a pas déjà pensé...
Chaud quoi.
Le 24/10/2024 à 11h53
5€/mois pour 300 recherche, 10€/mois pour l'illimité et 25€/mois pour l'assistant en plus (une IA)
Le 24/10/2024 à 13h10
(Découvert via un commentaire sous un article ici-même.)
Le 24/10/2024 à 12h46
Le 24/10/2024 à 20h26
Le 24/10/2024 à 20h39
Le 24/10/2024 à 23h28
Le 28/10/2024 à 14h11
Le 26/10/2024 à 06h15
Moi ça me conviendrait parfaitement, tant que les bloqueurs de pubs fonctionnent.