Le CESE voudrait une « étiquette énergétique » pour les messages publiés sur les réseaux sociaux
L’étiquette qui colle
Le 17 janvier 2017 à 10h40
3 min
Internet
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Afin d’améliorer la responsabilité environnementale des réseaux sociaux, le Conseil économique, social et environnemental (CESE) invite Facebook, Twitter et Instagram – pour ne citer qu’eux – à apposer une « étiquette énergétique » sur chaque message publié par leur intermédiaire.
Bien qu’immatérielles, les activités des internautes ont « une forte empreinte écologique », rappelle le CESE au travers d’un avis adopté le 10 janvier dernier. On le sait, chaque site est en principe hébergé sur un serveur, qui consomme de l’électricité, etc. La très sérieuse Agence de développement et de maîtrise de l’énergie (ADEME) avait ainsi calculé qu’envoyer quotidiennement 33 emails de 1 Mo à 2 destinataires émettait, au bout d’un an, autant de CO2 qu’un parcours de 1 000 km en voiture.
Si ce « coût environnemental » reste bien souvent « difficilement perceptible » (« voire invisible ») pour la plupart des gens, le Conseil considère qu’il est « essentiel de sensibiliser les internautes à l’impact environnemental de leurs activités numériques, notamment via les réseaux sociaux ». Comment ? En « encourageant des campagnes de sensibilisation sur le Web ».
Sensibiliser le public à l’impact environnemental de ses activités numériques
Le CESE invite plus concrètement les réseaux sociaux à instaurer une « étiquette énergétique des différents types de messages (texte, image, vidéo postés ou tweetés...) ». Si l’institution ne précise pas davantage la forme que prendrait ce dispositif, difficile de ne pas faire un parallèle avec les étiquettes nutritionnelles qui décortiquent les quantités de calories, de glucides, de protéines...
Sur la base des travaux de l’ADEME, on peut même se prendre à imaginer un premier indicateur, associé à la consommation d’énergie. Il serait exprimé en CO2, sachant que l’impact d’un message « augmente sensiblement avec le poids des pièces jointes, le nombre de destinataires et leur temps de stockage sur un serveur ». Ensuite, pour mieux refléter la consommation de matières premières nécessaires aux appareils électroniques utilisés, un second indicateur pourrait préciser un poids en « équivalent de fer » (de 7,5 g pour un email avec pièce jointe de 1 Mo par exemple).
Pour en revenir à l’avis du CESE, il propose également l’apposition, sur les pages d’accueil des réseaux sociaux, d’un « signe distinctif pour les plateformes qui se soumettent aux contraintes des EECS (European Energy Certificate System) permettant de tracer l’origine de l’électricité utilisée ». Certains géants du Net n'ont toutefois pas attendu les préconisations du Conseil pour « verdir » leur image, à l'instar de Facebook qui a lancé l'année dernière la construction d'un data center entièrement alimenté par des éoliennes.
Le CESE voudrait une « étiquette énergétique » pour les messages publiés sur les réseaux sociaux
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Sensibiliser le public à l’impact environnemental de ses activités numériques
Commentaires (78)
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Abonnez-vousLe 17/01/2017 à 10h41
Les calculs risque d’être une usine à gaz.
Le 17/01/2017 à 11h23
Nan mais c’est pratique, d’abord on donne une vignette sur les réseaux sociaux, puis on donne un bonus à ceux qui les utilisent pas trop (2€ de réduction d’impôts!!! WOW!!), puis on créé une taxe carbone pour prélever les autres (500€ d’impôts en plus, espèce de sale pollueur tueur de bébés phoques qui regarde youtube, pas bien), puis on créé une redevance universelle de 1000€ par an et par ordinateur/tablette/smartphône pour sauver les bébés phoques SDF français (à commencer par ceux à Paris, à l’Elysée bien sûr, il faut d’abord balayer devant sa porte). Enfin, on interdit internet parce que c’est pas bien, et on créé à la place “le résau français” payant et très bien surveillé/censuré/policé. Voilà mes prévisions pour l’année 2030. ^^
Le 17/01/2017 à 11h25
Heu désolé mais je vois aucune précision, il n’y a pas de différenciation entre la consommation “nécessaire” et la consommation “dispensable”.
Quand Gmail analyse mes mails, analyse mon comportement, mes contacts, mes frappes clavier etc.. pour me cibler de la publicité ça consomme! Mais ça n’est pas indispensable au service de messagerie (au delà du fait que ce soit leur business modèle).
C’est un peu comme la pub sur un page web, mais pour le coup c’est plus facile à calculer, d’après les chiffres que j’avais trouvé, la pub alourdirai les pages web de ~25%. (et ça c’est sans compter les structures/serveur nécessaires à la diffusion de la pub)
Qu’en est-il pour les services de messagerie?
PS: et je ne parle pas du SPAM
Le 17/01/2017 à 11h26
Le 17/01/2017 à 11h30
Sensibiliser le public à l’impact environnemental de ses activités numériques
Le plus simple serait d’investir dans un violon et de faire pipi dedans.
Le 17/01/2017 à 11h37
“Negative lobby penalty” " />
Le 17/01/2017 à 11h41
Dans le même registre : https://www.extremetech.com/extreme/189268-digital-game-downloads-are-worse-for-…
TL;DR : télécharger un jeu du cloud pollue plus que bouger ses fesses pour acheter la version galette.
Bon après c’est un peu faux parce que de nos jours, tous les jeux en boites nécessitent de télécharger au moins 50% de leur poids en patchs.
Mais le calcul fait réfléchir quand on télécharge par flemme de se lever pour attraper/chercher le DVD qui traine quelque part dans le logement.
Le 17/01/2017 à 11h41
Ha autant pour moi, je n’avais pas compris que tu cherchais le coût réel d’un mail sans les services juxtaposés. Je pense que ce n’est pas quantifiable de toute façon, il y a trop de paramètres à prendre en compte.
Le 17/01/2017 à 11h47
Est-ce que le coût énergétique du calcul et de l’affichage de cette « étiquette énergétique » devra être pris en compte dans le calcul de cette « étiquette énergétique » ?
Le 17/01/2017 à 12h04
J’ai bien compris l’idee mais ca reste incalculable. Pour avoir un calcul du CO2 (d’ailleurs on pourrait calculer la pollution d’autre chose genre la manufacturation du silicium, le cuivre etc.), il faut que tu maitrises la consommation de toute la chaine a un instant T.
Si tu demarres ton PC pour telecharger tes emails, tu dois maitriser: les IO de l’OS, le firmware du DD, tous les equipements reseaux intermediaires incluant ton routeur a la maison, la maniere dont ton client mail va les recuperer (une petite indexation en prime?). Mais est-ce que ton smartphone sera fera les choses mieux notamment avec tous les services background de google qui doit activer je ne sais quelle chaine de metrique de leur cote? Est-ce que tu maitrises le cloud sur lequel sont tes donnees? Quelles machines ils utilisent, avec quel OS, quel frequence du renouvellement hardware, dans quel pays, avec quelle production d’electricite et quelle redondance des donnees?
Pour avoir un indice a peu pres correct il faut au moins avoir une idee de correcte de tous les elements ci-dessus en esperant qu’ils ne changent pas regulierement ce qui est probablement le cas. Je repete, c’est infaisable car le cout serait bien trop eleve pour “juste” informer les utilisateurs.
Le 17/01/2017 à 12h04
Le 17/01/2017 à 12h06
Sinon pour faire un geste pour la planète il suffit d’utiliser un navigateur autre que IE qui nécessite le téléchargement de moult patches pour se comporter comme un navigateur normal
Le 17/01/2017 à 12h13
Le 17/01/2017 à 12h19
Le 17/01/2017 à 12h28
Et l’étiquette du coût de l’étiquette.
Dites moi que c’est une news du Gorafi non payée par nos impôts.
croise les doigts
Le 17/01/2017 à 12h33
Le 17/01/2017 à 12h38
Le 17/01/2017 à 10h59
Comme les paquets de cigarettes, les alcools : faire prendre conscience aux inconscients (ou faire culpabiliser) du mal qu’ils font à d’autres inconscients.
Le 17/01/2017 à 11h00
A++ " />
Le 17/01/2017 à 11h00
La majorité des cadres dans de grosses entreprises ?
Le 17/01/2017 à 11h02
Le 17/01/2017 à 11h06
musicme.com n’utilise plus flash (mais le choix est peut-être moins impressionnant que chez les leader du marché).
Le 17/01/2017 à 11h06
Des échanges de mail entre service, avec du monde en copie avec des signatures de 500 ko par personne…
Le 17/01/2017 à 11h08
Ton exemple est mauvais, les JPGs sont déjà compressés (à moins qu’elle envoie les NEFs).
Le 17/01/2017 à 11h08
faudra-t-il inclure le calcul et le poids de l’étiquette que l’ADEME veut afficher sur chaque message?
je dis ça… " />
Le 17/01/2017 à 11h09
Ton exemple est mauvais, les JPGs sont déjà compressés (à moins qu’elle envoie les NEFs).
Le 17/01/2017 à 11h10
C’est effectivement incalculable. Si je fais un transfert de OVH à OVH, je consomme moins que si je fais du OVH vers Gmail. Fort probable même que si 10 personnes ont une discussion sur Gmail ou des comptes Exchange d’un même host, ça ne stocke qu’un seul exemplaire de l’information (notamment des pièces jointes)…
Si je télécharge les mails sur mon disque dur plutôt que de les laisser en Cloud, mon Disque Dur a nécessité plus d’énergie à produire que ce que j’économise à ne pas le garder sur le serveur. Potentiellement je les sauvegardent aussi sur des CD/DVD, clés USB ou HDD externe “au cas où”, qui ont été produits avec des produits chimiques et des machines.
Enfin, si je dois allumer mon ordinateur et ses 100W (admettons) pour retrouver un mail, je consomme bien plus qu’avec mon smartphone pour les récupérer en Cloud sur un serveur qui consomme certes 700W, mais qu’au moins 100 personnes utilisent en même temps que moi en France (donc on tombe à 7W/personne), et à l’autre bout du monde quand je dors…
A croire que quand on nous recommande le co-voiturage et les transports en commun, on n’a pas idée que ça peut être pareil pour des données.
Le 17/01/2017 à 11h11
Le 17/01/2017 à 11h11
Évidemment, le but n’est pas de faire un indice fiable et pertinent au micro-gramme de carbone généré. C’est comme les sondages ou les algorithmes des data-brokers, ça sert d’évaluation, d’estimation à la louche pour faire prendre conscience d’un enjeux de Société. C’est clair qu’on a pas inventé le fil à couper le beurre avec ça (quoi que, dans le domaine de la communication et de la vulgarisation d’enjeux de santé publique, il y a de l’invention).
Le 17/01/2017 à 11h16
Le 17/01/2017 à 11h17
Là ce n’est même plus à la louche, c’est au caterpilar voir à la pelleteuse.
Je conçois qu’une ferme consomme énormément mais on attend quoi pour transformer ça en énergie ? " />
Le 17/01/2017 à 11h20
“vert” “propre” “écologique” : aucune énergie, aucune industrie ne correspond à ces qualificatifs.
Quand le marketing consummériste arrêtera d’utiliser ces mots, la Société aura fait un grand pas.
Le 17/01/2017 à 11h22
Le 17/01/2017 à 10h43
Hier, sur Twitter, j’ai annoncé que j’ai fait un beau et gros c*ca : je suis noté A ou B ? " />
Le 17/01/2017 à 10h44
envoyer quotidiennement 33 emails de 1 Mo à 2 destinataires émettait, au bout d’un an, autant de CO2 qu’un parcours de 1 000 km en voiture.
Ils déconnent à plein tube à l’ADEME, qui envoie 33*2 emails de 1Mo tous les jours?
Le 17/01/2017 à 10h46
Un spammeurs." />
Le 17/01/2017 à 10h46
Si je partage sur Facebook un article sur les énergies vertes, j’ai droit à un bonus écologique ? " />
Le 17/01/2017 à 10h47
Je me suis toujours posé la question de la consommation “réelle” d’un service et la consommation “indirecte” de tout ce qui est relié à ce service.
Par exemple, quand j’envoie un mail il faut inévitablement une structure pour héberger et diffuser le mail, mais qu’en est-il des “données annexes” qui sont générée par l’utilisation du service.
Par exemple, quand j’envoie un mail depuis gmail, combien de données sont créées (tracking, meta etc..) en plus et qui ne sont pas indispensable au service (pour cibler de la publicité par exemple)? Et quelle est la consommation nécessaire au traitement de ces données annexes?
Je pense qu’on pourrait avoir de belles surprises entre ce qui est “nécessaire” au service et ce qui est “greffé” au service.
Le 17/01/2017 à 10h48
Le blem c’est que plus de 50% du trafic internet ne viens pas des humains.
Un jour sur internet en 2012.
Le 17/01/2017 à 10h49
Si tu l’as mis a composter tu doit être en “B” sinon “G”.
Le 17/01/2017 à 10h51
C’est juste incalculable. Surtout avec des algos qui changent tous les mois. Quid de tous les systemes qui reindexent les messages la nuit? Ca fait parti du calcul oui/non? Quid de tous les composants (gestionnaire de BDD, systeme de backup etc.)
Et franchement quel interet ? Autant taxer toutes les boites a la pollution s’il s’agit du vrai probleme.
Je ne comprends pas comment on peut allouer des ressources pour ce genre de coeries quand on a le pays qui se pete la gueule de partout.
Le 17/01/2017 à 10h52
En truc démentiel au niveau utilisation d’énergie inutile (je parle au niveau utilisateurs lambdas hein), il y a l’usage des vidéos youtube pour écouter de la musique.
Le 17/01/2017 à 10h52
Le 17/01/2017 à 10h55
Je sais pas ce que vaut la source mais c’est déjà pas mal comme volume si dans chaque mail pro tu colles un gros pdf power point.
Le 17/01/2017 à 10h55
on devrait calculer cela aussi pour les publicités !!!!!!!!!!!!!!
Le 17/01/2017 à 10h56
Voila quelques précisions
Par contre c’est une estimation, tu ne peux calculer le coût unitaire d’une action internet.
Le 17/01/2017 à 10h56
Pourquoi est-ce que j’ai explosé de rire en lisant la news ?? " />
Non mais sans déconner, ça ne va pas bien ces chez gens là, il va falloir les enfermer. " />
Comment il peuvent calculer ça ??
Avec le nombre de caractères dans le message ?
Genre, si tu as plus de 50 caractères, tu es F et si tu n’en a que 5 tu es a++ ???
Le 17/01/2017 à 10h58
F ! " />
Le 17/01/2017 à 10h59
Le 17/01/2017 à 12h46
Le 17/01/2017 à 12h49
Le 17/01/2017 à 12h54
Le 17/01/2017 à 12h55
Le 17/01/2017 à 13h00
Comme EDF qui recommande de pas envoyer de mails avec pièces jointes ces jours ci ?? " />
Le 17/01/2017 à 13h05
osef !
Bientôt on demandera plus de traffic pour plus de chauffage car on va se chauffer avec des datacenter
Bon sinon, l’idée est pas forcement mauvaise, mais juste sur le papier.
Vraie fausse bonne idée de mon point de vue.
Le 17/01/2017 à 13h09
Le 17/01/2017 à 13h14
G 1 solus pr consomé - dNRJ fo tou &crir en texto mem pr lé pro
Le 17/01/2017 à 13h22
Le 17/01/2017 à 13h23
Le 17/01/2017 à 13h28
C’est vrai qu’un courriel ça pollue plus d’une entreprise allumée en pleine nuit pour rien. Niveau environnement ils sont loin.
😅
Le 17/01/2017 à 13h30
Le 17/01/2017 à 13h30
Le 17/01/2017 à 13h31
Le 17/01/2017 à 13h33
Le 17/01/2017 à 13h36
" />
Ce message vient d’être classé “g” je n’aurai pas du y répondre
Le 17/01/2017 à 13h46
vilain copiteur. " />
Le 17/01/2017 à 13h50
Oui bien sûr, récupérer la chaleur pour chauffer des habitations (ou des bureaux), ce n’est pas bête, mais il n’avait pas exprimé la chose de cette façon (si tu vas regarder le commentaire initial).
Le 17/01/2017 à 13h52
Le 17/01/2017 à 13h53
Le 17/01/2017 à 14h00
non mais c’est pas grave, ça m’a permis de réaliser que tout le monde avait embrayé sur ton post et pas sur le mien. " />
Le 17/01/2017 à 14h00
Je propose que le CESE milite pour une conservation des données minimales de la part de tous les acteurs du web. Obliger à supprimer tous les logs, historiques, données personnelles et publicitaires au bout de quelques semaines au lieu de jamais pour certains.
En plus du bilan carbone ca fera de sacrés économies à tout le monde et sans enquiquiner les utilisateurs. Car l’envoi d’un document de 30 pages ou d’un simple mot sera toujours plus économique par le net qu’en réel (sinon il faut taper sur les bots qui polluent toutes les plateformes).
Le 17/01/2017 à 14h04
Moi j’envoie pas mal de mail et en plus j’ai fait bien plus de 1000km en bagnole en 2016… Quelle étiquette je dois me coller sur le front ? " />
Le 17/01/2017 à 15h00
Lesquelles par exemple ? Le sujet dont on parle demande tellement d’informations que je ne suis pas sur qu’un seul des chiffres soit vraiment pertinent meme avec une imprecision monstre. Cela dit je ne suis pas specialiste du milieu.
Que des grosses boites comme google ou facebook estiment leur conso electrique et font des reductions la ou ils peuvent ne fait aucun doute. Qu’une entite externe vienne estimer ces couts a partir d’informations qu’ils n’obtiendront jamais ne me convainc pas plus que ca. D’ailleurs je ne suis pas bien sur que facebook ou google se pose reellement la question de savoir combien leur coute energetiquement un like, un message etc. Du point de vue business je ne vois pas bien a quoi ca leur servirait.
Le 17/01/2017 à 15h10
Par exemple, la société cofondée par l’excellent Jean-Marc Jancovici (cf son site manicore et toutes ses présentations et cours disponibles en ligne) et qui s’appelle Carbone 4.
Le 17/01/2017 à 15h18
Alors on verra s’ils sont capables d’evaluer ca mais a mon avis il ne faudra pas avoir trop d’espoir vu l’immense complexite du sujet et le nombre d’elements impliques. Surtout que d’apres leurs publications disponibles sur le site, ils ont l’air de sortir des analyses pour le batiment et le transport qui sont des secteurs qui evoluent relativement doucement et dont pas mal d’elements sont evaluables facilement (surtout le batiment). Pour l’IT j’attends de voir.
Le 17/01/2017 à 15h29
“autant de CO2 qu’un parcours de 1 000 km en voiture”
Super référence. Ça fait combien ?
Il faudrait comparer à un truc approchant. La consommation quotidienne de féculents, par exemple ?
Le 17/01/2017 à 15h54
C’est exagéré, mais ça va vite.
Chez mon client (un des plus gros CE de France), on en est en moyenne à 35 messages de 200ko par jour par utilisateurs, mais ça prend en compte les éléments envoyés ET reçus (de l’extérieur et en interne). Environ 50 millions de messages par an. Et il y a pas d’aspect commercial (business) à proprement parler…
Le 17/01/2017 à 16h32
Et pendant qu’on nous demande de faire des économies de courant, le panneau LED de 3x4M continue de fonctionner.