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V_E_B

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1436 commentaires

Le 17/01/2018 à 08h 30

Il n’y a pas de mention dans l’article des antécédents de Project Veritas (et de O’Keefe, son fondateur). C’est dommage, car le palmarès est moins que glorieux. Ils se sont fait condamné plusieurs fois pour diffamation, après avoir publié des vidéo lourdement éditées, mensongères et sorties du contexte, afin de discréditer des causes qui ne leur plaisent pas.

Pour une fois, je suis plus enclin à faire confiance à Facebook, et ça me fait mal de dire ça <img data-src=" />

Le 12/01/2018 à 10h 30







athlon64 a écrit :



Justement, ça devrait aussi se baser sur l’utilisation courante, une langue évolue parce qu’elle est parlée et enrichie, pas parce que certains décident de ça





C’est vrai, mais hors sujet.

Le langage évolue selon l’usage, et le dictionnaire de l’Académie Française admet des mots ou nouvelles définition sur la base de l’usage. On retrouve des termes comme “manager” ou “meeting”, anglicismes manifestes. L’argot (“bagnole”) et les mots vulgaires (“merde”) ne sont pas exclus non plus.

Mais aucun de ces termes ne sont acceptables dans une communication gouvernementale. On parlera de “gestionnaire”, de “réunion” (ou assemblée), de “voiture” (ou “automobile”) et de “problème” (ou “matière fécale”, selon le contexte).

Il est normal de ne voir le gouvernement n’utiliser que des termes validés “français correct et châtié” pour la communication aux français. Et quand le terme adéquat n’existe pas (car trop vulgaire, trop étranger, ou tout autre raison), il faut le créer. Quitte à avoir un équivalent courant.



D’ailleurs, tu noteras (comme l’article le relève) qu’“ordiphone” est renommé “mobile multifonction”. Le terme “mobile” pour désigner le téléphone portable est entré dans les mœurs, est accepté comme français, et non vulgaire ; l’adaptation s’est donc faite.



Après, je t’accorde que certaines traduction sont étranges (“bogue” au lieu de “anomalie”, déjà utilisé et 100% français ? <img data-src=" />). Mais c’est à mes yeux une quantité très limitée.


Le 12/01/2018 à 09h 08







athlon64 a écrit :



L’intérêt d’imposer aux administrations un terme qui arrive bien après celui couramment utilisé par la population ? A part rajouter une distance entre les administrés et l’administration je ne vois pas.





Deux raison :




  1. la plupart des administrés n’utilisent pas la plupart de ces termes, donc pour eux ça ne change rien ;

  2. le but de l’exercice est de maintenir un langage formel standardisé pour assurer une compréhension de la part de quelqu’un qui se renseigne. Pas de formater le langage parlé de la population. Elle suit donc des règles qui guident les traduction, pas “qu’est-ce que mon voisin Jean-Pierre a l’habitude de dire”. On reproche suffisamment au français ses exception, il est de bon ton de leur part de ne pas en rajouter volontairement.


Le 12/01/2018 à 08h 53

C’est d’ailleurs très bien expliqué dans un excellent documentaire interactif nommé “Fez” <img data-src=" />



Après, pas de surprise dans les commentaires, on retrouve les habituels “saynul” (parce que différent), “combien nous coûtent ces c*ns ?” (rien, bénévoles), “on avait déjà le terme X” (et on l’a toujours), “pourquoi j’utiliserai ça ?” (c’est à destination des administrations, pas des simples citoyens)…

Bref, ce qui manque aux français, ce ne sont pas des termes francisés, mais de la compréhension de texte <img data-src=" />

Le 11/01/2018 à 09h 19

Complet, clair et précis. Bravo <img data-src=" />

Le 08/01/2018 à 15h 55







vizir67 a écrit :



…comme les gens faisaient TROP de fautes….ils ont “résolu” le problème

“en simplifiant l’orthographe”* (c’est plus poli, donc acceptable par le Peuple) et…comme ça,, PLUS d’erreur possible !





Les liens que j’ai fournit précisent que “nénuphar” est l’erreur (translittération d’un mot arabe avec les règles du grec), et que “ognon” est une uniformisation des règles pour les mots en “gn” (montagne, campagne, etc). Ils s’écrivaient tous avec un i muet (montaigne, campaigne) et seul ognon l’a gardé avec le temps. Une exception injustifiée, du type que bien des gens reprochent avec raison au français.

Pas question donc de faciliter la vie aux incultes, simplement de rationaliser la langue et de corriger des erreurs du passé.

Je dirais même que les gens font plus de fautes maintenant, j’entends plein de gens dire que “il n’y a plus d’accent circonflexe” ou que “la liaison peut se faire avec un h aspiré” (les deux affirmation sont fausses, bien entendu).



Edit : “le peuple” ne prend pas de majuscule. Un peuple (par exemple “les Français”) en prend une.


Le 08/01/2018 à 08h 45







vizir67 a écrit :



maintenant (avec la nouvelle orthographe) on ne sais plus si c’est une FAUTE…………….ou pas ?

(exemples)




  • nénuphar, ou nénufar

  • oignon…ognon

    (bizarre, mais les 2 sont bons)



    y-a longtemps “que j”ai lâché prise”





    Comme les rumeurs ont la vie dure, il faut parfois se répéter : la réforme “récente” de l’orthographe n’est ni récente ni une réforme. C’est un élargissement par l’Académie Française des règles acceptées comme non fautives, datant de 1990.

    Les anciennes règles restent parfaitement valides et recommandées, la “nouvelle” n’étant qu’une alternative ne pouvant être sanctionnée.



    De plus : nénufar et ognon ne sont pas des nouvelles graphies, comme expliqué ici (pour nénufar) et (pour ognon).


Le 08/01/2018 à 09h 22

Les employés voyous ça existe, les patrons voyous aussi. Les deux sont des humains, au fond, et si il y a possibilité d’abus il y aura abus. Mais ruiner une société en tant qu’employé est plus compliqué que de ruiner la vie d’un employé en tant que patron.

Si le droit du travail est plus protecteur envers les employés, ça n’est pas pour rien. Les siècles ont permis de constater que la décence et l’humanisme n’étouffent pas quiconque est en position de force.









YohAsAkUrA a écrit :



Ok :)



donc aucun problème en france pour trouver du taff quand t’as attaqué ton précédent employeur.





Tout dépend de la société et du métier considéré. Certains sont plus ouverts que d’autre, et j’ai des connaissances qui auraient vraiment eu matière à porter plainte (je ne parles même pas de prudhomme) mais ne l’ont pas fait parce que la seule issue sinon c’était la reconversion.


Le 03/01/2018 à 11h 35



Une série de correctifs (…) du noyau Linux (…) pourrait avoir un impact fort sur les performances. (…) les jeux ne seraient pas impactés.



Quelle surprise ! <img data-src=" />

Le 02/01/2018 à 08h 43

Bonne année à toute l’équipe NextINpact ainsi qu’aux INpactiens <img data-src=" />

Le 28/12/2017 à 10h 06







barlav a écrit :



Je ne comprends pas, un médecin a été consulté par la cour?

En quoi la zumba est incompatible avec la convalescence?





Ce n’était pas la question traitée par le tribunal. La validité du congé maladie n’est à aucun moment considérée, uniquement le comportement de l’employeur vis-à-vis de ce congé. Et c’est un point secondaire.



Dans l’article :



Finalement, elle a tenté de faire requalifier ce départ en rupture du contrat, aux torts exclusifs de l’employeur. Devant la Cour d’appel d’Aix-en-Provence, elle a fait état de plusieurs circonstances l’ayant poussée « à quitter soudainement son emploi » et donc qu’un tel départ « ne répond pas à l’expression d’une volonté libre et réfléchie ».



Parmi ces circonstances, est citée la rétention prétendument abusive de l’attestation de salaire que doit délivrer l’employeur. Un document destiné à la caisse primaire d’assurance-maladie. Selon la requérante, cette rétention a entraîné un retard de prise en charge de plus de trois mois de son accident professionnel, consécutif à une chute sur le lieu de travail le 23 mai 2013.



À la source, une tentative de l’employé d’éviter la qualification de démission (départ volontaire) en avançant que l’employeur lui compliquait volontairement les congés maladie.

Facebook intervient là sur deux points :




  1. l’employeur a la preuve que le retard de la paperasse des congés maladie est justifié (il y a soupçon crédible, entrainant enquête donc un retard) ;

  2. l’employée annonce par elle même qu’elle compte quitter la boîte pour se lancer dans une autre activité (“je lance mon école de zumba en septembre, venez tous”) et que donc son départ est “ l’expression d’une volonté libre et réfléchie”. Aka, une démission.



    Elle est donc déboutée de sa demande, et doit rembourser l’employeur des frais qu’elle lui a engendré. L’employeur peut, si il le souhaite, se retourner contre elle pour procédure abusive, mais c’est de sa propre initiative, pas un automatisme de la procédure.


Le 15/12/2017 à 09h 45

Aux États-Unis, les prisons sont gérées par des sociétés privées. Plus de détenus, plus de revenu. “Étrangement”, ils ont la plus grande proportion de population carcérale au monde.

Le 06/12/2017 à 10h 32

Très bon article.



Mais comme je suis chiant, une remarque :



Certains ont été conçus pour que leurs solutions ne puissent être trouvées de manière efficiente qu’avec des cartes graphiques.



Qu’est-ce que c’est anglicisme vient faire ici ? <img data-src=" />

Un bon français dira “efficace” <img data-src=" />

Le 01/12/2017 à 15h 18







OlivierJ a écrit :



Je dirais que par exemple pour des commerciaux qui ramènent des contrats, on a tendance à être moins regardant sur la justification “tatillonne” des frais.

(…)

Beaucoup oublient que si ces personnes avaient les mêmes responsabilités dans le privé, on ne leur demanderait pas tout ça





Mais on devrait ! “C’est aussi mauvais à côté” n’est pas un argument recevable.







OlivierJ a écrit :



Ils ne sont pas exemptés de rendre des comptes de leurs dépenses, ni de leur activité en général d’ailleurs, ils sont sous le regard des électeurs et des citoyens.





Regard dont ils font historiquement tout pour se cacher. Dernièrement, on nous à promis de lever un peu le voile, et force est de constater que pour l’instant, c’est du vent. Du vent qui apportera peut-être de l’air frais, mais seul l’avenir nous le dira.









OlivierJ a écrit :



C’est en train de changer et j’ai l’impression qu’à terme ça finira en notes de frais classiques pour tout.





Ce qui serai une bonne chose. Je ne vois aucune justification honnête au fonctionnement actuel.







OlivierJ a écrit :



C’est subjectif. Je trouve qu’on a fait un pas important, et on en fera d’autres. Rome ne s’est pas fait en un jour.





En politique on ne nous a pas exactement habitué à l’optimisme. J’aimerai partager tes espoirs, et je reconnais qu’ils sont peut-être fondés.

Mais tant qu’ils ne se seront pas concrétisés, je trouve mal venu de reprocher aux gens de ne pas croire à des promesses historiquement non tenues.


Le 01/12/2017 à 08h 46







OlivierJ a écrit :



On peut estimer que la mission d’un député a une certaine hauteur et qu’on n’est pas obligé de leur demander jusqu’au moindre euros dépensé, surtout que tu deviens rarement député pour l’aspect financier, faut-il le répéter.





Dans ma boîte, on me demande une justification chaque semaine pour chaque euro dépensé. Un ticket de métro non justifié n’est pas remboursé (et je ne parle pas que de preuve d’achat, mais aussi de justification du besoin). Et pourtant on n’est clairement pas là pour l’aspect financier.

Je vois mal pourquoi ceux qui manipulent l’argent public serait exempt. D’autant plus que, franchement, le coiffeur ? Un ambassadeur, ou un président, dont une bonne partie du job est de la représentation, je ne dis pas. Mais député ? Ils ne peuvent pas voter de loi sans une coupe de cheveux de magazine de mode ?



Autant je suis d’accord que c’est un pas dans la bonne direction, autant il faut reconnaître que c’est un très, très petit pas.


Le 30/11/2017 à 08h 48







Bejarid a écrit :



Tu le sous-traite ce genre de boulot, tu le fais pas faire à tes salariés… Même les chinois du FSB le savent, ça !





C’est d’autant plus balo que Uber essai par tous les moyens de ne pas avoir de salariés <img data-src=" />


Le 24/11/2017 à 09h 34







Commentaire_supprime a écrit :



Et pas seulement en tant que spectateur potentiel.





Tu vas fournir tes propres adaptations cinématographiques de tes bouquins ?

Cool, on pourra te lapider pour non-respect de l’œuvre original, comme chez les gros studios ! Mais de manière libre <img data-src=" />



Je —&gt; []


Le 22/11/2017 à 15h 53

On voit qu’on a (un peu) avancé quand les société mettent leurs œuvres sur le net pour éviter le piratage <img data-src=" />

Le 22/11/2017 à 15h 40







yvan a écrit :



Démontré par le nombre d’affaires qui sortent récemment









yvan a écrit :



Je n’ai jamais parlé de weinstein, je pensais aux divers gamers gate et harcèlements en tous genres subis par les femmes qui se sont plaintes ces dernières décennies.





Les affaires qui sortent dernièrement, c’est Weinstein, Spacey, et un tas d’autre sans rapport avec l’informatique. Le Garmergate, c’était en rapport avec le journalisme et les communautés sur internet, pas exactement l’IT. Des cas de harcèlement dans l’IT il y en a, mais je n’ai pas constaté de chiffres notablement supérieurs à la moyenne. Mes infos sont peut-être erronée, mais tu n’en apporte pas de contre exemple.







yvan a écrit :



Le seul chiffre, vérifiable, que j’ai cité concerne l’effondrement de la présence féminine dans l’IT.





Vérifiable, c’est le problème. Le nombre de femmes dans l’informatique a été multiplié par 10 entre 1983 et 2011 (source, page 12, ligne “M2Z”). L’informatique a ouvert de nouveaux postes, et l’image “masculine” du métier constatée dès les écoles se répercute à l’embauche. On ne peut pas recruter d’informaticiennes qui n’existent pas <img data-src=" />

Cet interprétation est d’ailleurs celle avancée dans cet article, écrit par une informaticienne. Aucune mention du harcèlement.







yvan a écrit :



Je ne suis pas le seul à avoir remarqué, ce ne sont pas des rumeurs qui se baladent sur le net, il y a des études sociologiques dessus qui avancent des explications.





Quelles études ? Ma toute première intervention demandait ce genre d’info, que je n’ai jamais pu trouver (appelle moi un n00b de Google si tu veux, c’est peut être mérité <img data-src=" />). Pourquoi ne pas répondre simplement par ces preuves que tu as manifestement, plutôt que faire de vagues allégation ? Un lien, quelques caractères, boom, pas de débat <img data-src=" />







yvan a écrit :



Concernant les salaires genrés 30% plus faible, les éléments que tu cites (orientation, pression sociale etc.) relèvent du sexisme, je ne vois pas en quoi c’est un contre exemple ou une erreur d’analyse? Le sexisme ce n’est pas juste les mains au cul dans le local photocopieuse…





Je parle du mythique 30% de salaire en moins tout le reste étant égal. C’est un exemple type de problème dont tout le monde a entendu parler alors qu’il n’existe pas tel que décrit, et qui nuit à la cause.

Le vrai problème, masqué par ce mythe, c’est qu’une femme sera plus facilement orientée vers des corps de métier payant moins (indépendamment du sexe) et à prendre du temps partiel. C’est du sexisme aussi, mais ce n’est pas le même problème.

Si on cherche juste à équilibrer la feuille de salaire, on se retrouve bloqué : elles sont déjà similaires. Ce qu’il faut vraiment, c’est neutraliser l’image des métiers et du rôle dans un couple. En l’état, obtenir un temps partiel pour un papa est quasiment impensable, c’est à la femme de le faire. Direct, 25% de salaire en moins <img data-src=" />





Pour résumer ma pensée : quand on parle de problème de sexisme typique à l’informatique, est-ce un vrai problème spécifique au domaine, ou bien une simple perception biaisée d’un autre problème plus général ?

Les deux sont tout à fait possible, mais n’appellent pas les mêmes solution. Tu es persuadé qu’il s’agit du premier cas, d’où tire tu cette certitude ?


Le 21/11/2017 à 16h 27







yvan a écrit :



Démontré par le nombre d’affaires qui sortent récemment, 10 ans après les premiers scandales qui restaient cantonnés au jeu vidéo, démontré par ce qu’en disent les informaticiennes qui ne sont pas dans la “pensée positive” abrutie, démontré par la proportion de femmes qui quittent l’IT dégoutées (passer de la mixité à moins de 10% de femmes en 50ans aucune industrie ne l’a fait), démontré par mon expérience personnelle dans l’IT en France. Il n’y a pas de généralité absolue à tirer (actuellement je bosse en milieu mixte par ex.) mais le sexisme et la misogynie sont des phénomènes majoritaires et largement tolérés, y compris dans les boites d’inspiration anglo saxonne qui ont des chartes contre ça.





Mention d’affaires sans rapport avec l’IT (à moins que Weinstein et Spacey n’aient des carrières de geek cachés), scandales génériques non cités, rejet des opinions divergentes car “dans la pensée positive” et “abruties”, allégation de dégoût du domaine par les informaticienne qui sort d’un chapeau, mauvaise interprétation de la mixité (proportion de femme qui a baissé mais quantité totale de femmes dans le domaine en augmentation continue, le tout qui reflète les chiffres de l’éducation supérieure donc sans rapport avec le harcèlement), et renforcement par “l’expérience personnelle”.

Bref, pas de source <img data-src=" />







yvan a écrit :



Sinon le milieu médical est très majoritairement féminin donc plutôt un contre exemple de ce que tu dis sur le communeautarisme





Le communautarisme se construit autour de caractéristique commune. “Êtres toutes des femmes” qualifie. Et les témoignages des rares hommes infirmiers montrent que non, ce n’est pas du tout un contre exemple. Les femmes savent très bien harceler si le contexte le permet.







yvan a écrit :



Le BTP est quasi à 100% masculin mais les quelques femmes que j’ai pu croiser qui y bossaient en élec, menuiserie ou en peinture et qui étaient pour certaines lesbiennes et féministes n’avaient pas l’air plus catastrophées que ça non plus. Moins que les développeuses que je connais en tous cas.





Mon expérience est inverse : les témoignages dans le BTP sont plutôt horrifiant, mais aucune trace de harcèlement envers les développeuses. D’où l’importance de ne pas se baser sur l’expérience personnelle pour qualifier des milliers de gens de gros porcs mysogynes <img data-src=" />







yvan a écrit :



Intuitivement le BTP, comme la fonderie ou l’industrie lourde est principalement masculin pour des raisons de force physique, pas de harcèlement des terrassières et de leur mise à l’écart je pense.





Prouvant si besoin était qu’une différence de représentation n’est pas forcément liée au sexisme.



Note bien : je ne dis pas que tu as tord. Je dis que tu ne prouves pas ton postulat de base, comme quoi l’informatique est un domaine particulièrement sexiste/sujet au harcèlement des femmes.

Je me méfie de ces “vérités” qui se baladent sur le net auxquelles on devrait acquiescer sans réfléchir, parce que “c’est connu”. Comme le mythique salaire “30% plus faible pour les femmes” (en réalité un problème d’orientation, d’opportunité de carrière et de pression sociale, pas de fiche de paie).


Le 21/11/2017 à 09h 13







yvan a écrit :



On va le dire autrement c’est spécialement répandu dans l’IT





Comme démontré par ?… <img data-src=" />

Je l’entend beaucoup dire, mais je n’ai jamais vu d’étude à ce sujet (si quelqu’un à une source, je prend) et je n’ai jamais vu non plus d’élément laissant entendre que c’est plus marqué que dans n’importe quel milieu ou un genre prédomine (le BTP ou le milieux infirmier m’ont aussi été décrit comme assez toxique pour le genre minoritaire).



Je pense personnellement que la racine du problème est dans le communautarisme : si un groupe a une majorité de X, les tords envers les Y auront tendance à être minimisé.


Le 20/11/2017 à 10h 21



En privé, il affirme vouloir expier ses fautes



Oui enfin, après s’être fait gauler. Le faire après le premier “incident”, ça aurait été plus crédible…

Le 20/11/2017 à 10h 26

Ils ont pris exemple sur le remboursement de la RCP aux professionnels en France <img data-src=" />

“Si vous sacrifiez votre premier né un soir de pleine lune au sommet de l’Himalaya en chantant l’intégrale de Jul avec un poireau dans le nez, on vous fournit un ticket restaurant presque périmé. Une affaire !”

Le 20/11/2017 à 10h 24

Même réaction.

Je ne peux qu’acquiescer à leur constat qu’ils n’ont pas réussi à se connecter avec les joueurs <img data-src=" />

Le 16/11/2017 à 08h 44

Je suis sur DuckDuckGo depuis plusieurs années, je n’ai jamais eu à revenir à Google pour trouver quelque chose. Les résultats sont très satisfaisants.

Le 10/11/2017 à 16h 02

Oui mais j’avais l’impression qu’elle réclamait ses infos en connaissance de cause, qu’elle poussait car elle savait le fichage illicite, ce que la CNIL aurait validé.

Maintenant, il est dredi soir, je n’ai peut-être rien pané <img data-src=" />

Le 10/11/2017 à 15h 57







barthous a écrit :



Question con.

Comment la journaliste a su qu’elle avait été fichée ?





Et qu’elle avait été illégalement fichée !


Le 10/11/2017 à 08h 39







tazvld a écrit :



Dans le cas d’Overwatch, n’ayant aucune possibilité d’échange, il n’y a pas de commerce possible de lootbox.





Ce qui n’a pas de rapport avec l’addiction aux jeux d’argent. Du moment que tu as des joueurs qui sont incités à payer de l’argent réel pour participer à une activité attribuant des récompenses aléatoires à la valeur variable, la question de l’addiction se pose. “Juste un coup de plus”, jusqu’à la ruine.

L’absence de commerce n’affecte que les spéculateurs, pas les addicts. Et ça empêche les non addict de juste acheter la skin qu’ils souhaitent à un prix connu à l’avance. (même si surévalué).

Note : ce n’est pas une critique du modèle Overwatch, mais un rappel de la présence d’une problématique souvent oubliée.


Le 09/11/2017 à 16h 21







Finger-san a écrit :



Dans le cas d’Overwatch ce n’est pas franchement faux. Les boites en question ne contiennent que des skins, emotes, répliques, tag, etc (strictement aucun avantage ingame en somme)





L’aspect “pay2win” des lootbox n’est qu’une partie du problème. L’autre partie, c’est l’aspect jeu d’argent et addiction. Le fait de mettre de l’argent dans un processus en bonne partie aléatoire pour en espérer un gain (pas nécessairement monétaire) est surveillé de prêt en France, car il est craint que ça puisse inciter des gens fragiles à se ruiner.

Ce côté ne nuit pas au joueur lambda, ni à l’écosystème du jeu, mais la question se doit au minimum d’être posée.


Le 09/11/2017 à 16h 16







Faith a écrit :



La distance de sécurité à l’arrêt est un concept un peu bizarre…

A un feu rouge, les voitures sont sensées rester à 10m  d’écart ?





Considérant que la distance de sécurité est celle parcourue par le véhicule pendant au moins deux secondes, on a une distance de sécurité à l’arrêt bien définie : 0m <img data-src=" />

Après, c’est ignorer le fait que cette distance n’est obligatoire que pour deux véhicules qui se suivent. Je doute que l’arrêt qualifie.



Dans les faits, en auto-école, on m’a appris à ne pas coller un véhicule lors de l’arrêt (feu, stop ou autre), pour limiter le risque d’impact en cascade si un indélicat vient me percuter par derrière.


Le 08/11/2017 à 10h 33







ScicoPat a écrit :



je jouais à feu Mankind, pour ceux qui s’en souviennent





On en jouait pas à Mankind, on le bêta-testait <img data-src=" />


Le 07/11/2017 à 13h 09

D’après ce que j’en ai lu sur le Daily Dot, ils ont exploité le fait que les URL ne comptent pas dans la limite de caractère, et maquillé une longue suite de caractères en URL.

Le 06/11/2017 à 10h 27







Antwan a écrit :



Jours fériés sur un site de l’adminstration Française :

education.gouv.fr République FrançaiseLa liste des congés scolaires n’est pas la liste des jours fériés.

On retrouve cette dernière sur le site du service public.

On y obtient les jours fériés eux-même, les cas spéciaux, les réglementations en vigueurs, et les source. Lisible, complet, efficace. Si tous les sites du gouvernement étaient alignés sur ce modèle, je ne trouverai franchement rien à y redire <img data-src=" />


Le 06/11/2017 à 10h 08







florent_a a écrit :



Quand à la gratuité de SCII, ayant acheté tous les modules, la pauvreté des bonus offerts est pour moi au niveau d’un foutage de gueule bien calibré. Je serai bien plus prudent à l’avenir avec les jeux blizzard.





Marrant ces réactions des gens vis-à-vis de l’évolution tarifaire d’un produit.

Quand un frigo est mis à -50% c’est une bonne affaire, mais si un jeu vidéo est en promo après 7 ans, c’est du foutage de gueule <img data-src=" />

Et ce n’est pas nouveau : le prix des jeux descend toujours avec le temps, plus tu achètes tôt plus tu achètes cher. Pourtant les gens achètent toujours massivement au jour 1 (voir en précommande), preuve si il en est que acheter tôt a de la valeur aux yeux des joueurs.



Le fait que Blizzard accorde un bonus à ceux qui ont déjà payé est un geste commercial, pas une compensation méritée et nécessaire.


Le 03/11/2017 à 10h 33



On se demande quand même comment une telle action a pu être possible sans qu’aucune alerte ne soit levée



La situation ayant été résolue après seulement 11 minutes, j’imagine qu’une alerte a bien été relevée.

Le 03/11/2017 à 09h 00







hurd a écrit :



… oui . Entre ceux qui t’explique que changer la langue c’est la fin du monde… et ceux qui t’explique qu’il faut surtout pas y changer car “il y à plus important”, tout est bon pour éviter le sujet sérieux : non le masculin n’a pas à l’emporter sur le feminin et non la langue n’a pas à être figée.





Dredi en force <img data-src=" />

Résumons :




  • “faire diverger écrit et orale, d’une façon moins lisible et pratique, n’est pas une bonne manière de faire évoluer les mentalités, et dégrade la maîtrise de la langue par la population” devient “changer la langue c’est la fin du monde” ;

  • “si on dépensait l’argent mis à implémenter tout ça dans une meilleure égalité salariale plutôt ?” devient “il faut surtout pas y changer car “il y à plus important”” ;

  • “le genre marqué l’emporte grammaticalement sur le genre non marqué” devient “le masculin doit l’emporter sur le féminin” ;

  • “ce changement est irréfléchi” devient “la langue doit être figée” ;

    Y’a-t-il d’autres hommes de paille que tu aimerais partager ? <img data-src=" />



    Je suis personnellement agréablement surpris de voir le comportement de Word :



    Par exemple, « tous les développeurs » devient « toutes les développeuses et tous les développeurs »



    Au lieu de l’immonde :



    « tou.te.s les développeur.euse.s »



    Ou le vomitif :



    « tou-te-s les développeur-euse-s »



    On a une formulation correcte, techniquement et fonctionnellement inclusive, et pas horriblement chiante à lire. C’est rare de le dire, mais Microsoft a bien fait les choses <img data-src=" />

    Être inclusif, c’est déjà possible. Si on veut que le langage le supporte mieux, c’est aussi possible. Mais la solution n’est pas d’accoler des -e- partout comme autant d’emplâtres sur des jambes de bois.


Le 31/10/2017 à 10h 59

Je réagissais à la question de l’immersion quand c’est un humain qui joue un robot, et tu me répond que le concept de choix moral n’est pas nouveau. Quel est le rapport ? <img data-src=" />



A noter : si le concept de choix moral n’est effectivement pas nouveau, le thème de la machine qui doit optimiser la sécurité est particulièrement contemporain, avec l’arrivée des voitures autonomes.

Le 31/10/2017 à 08h 41

D’autant plus intéressant de voir comment ils contournent ce problème. Je ne crois pas qu’ils aient simplement oublié d’y penser.

Le 31/10/2017 à 08h 57







Ricard a écrit :



Encore une fois, il n’a jamais été question de demander les mots de passe. JA-MAIS.





La source qui va bien pour le rappeler, c’est écrit noir sur blanc dans l’amendement (point II.1) : “ces déclarations ne portent pas sur les mots de passe” <img data-src=" />


Le 24/10/2017 à 17h 13

Je répondais au postulat “les virus et trojan n’existent pas sous Linux, personne n’en a d’exemple”. Il n’est pas pour moi question de comparer Linux et Windows, simplement d’éviter des dérives rhétoriques. Si il y a des meilleures sécurités que d’autres, il n’y a pas de sécurité absolue et universelle.



Du coup, peu importe de n’avoir “que” 30 exemples. À partir de un la preuve est faite.

L’exagération dessert le propos.



Sans importance particulière, mais ça m’a fait sourire :







V_E_B a écrit :



Comme le virus Staog ? Ou le vers Devnull ? Ou le trojan Xor DDOS ?









fred42 a écrit :



Dans les 3 trucs que tu listes, seul le premier est un virus





Bravo, tu sais lire <img data-src=" />


Le 24/10/2017 à 15h 35







OlivierJ a écrit :



A part quelques failles qui arrivent (et qui n’ont pas à voir avec des virus), des exemples de virus et de trojans ?

-&gt; non.









V_E_B a écrit :



Pour la culture générale, voici une liste non exhaustive : en.wikipedia.org Wikipedia.

On y retrouve virus, worm, botnet, et trojan, comme sous Windows.









OlivierJ a écrit :



La liste est totalement ridicule, et tu sais bien qu’on n’a jamais eu de problème de virus sous Linux. Trouve-moi UNE histoire concrète.





Comme le virus Staog ? Ou le vers Devnull ? Ou le trojan Xor DDOS ?

Tous sont dans la liste “totalement ridicule” que j’ai linké. Tous ont été découvert en action, pas le résultat d’un prototype par des chercheurs en sécurité. Aucun n’est spécifique à l’environnement serveur.

Et quitte à me répéter, je ne dis pas que c’est courant et très dangereux. Je dis simplement que ça existe. Un programme sans faille, c’est une utopie, et une faille, ça s’exploite. Linux n’est pas magique, juste globalement bien conçu.


Le 24/10/2017 à 12h 00







OlivierJ a écrit :



A part quelques failles qui arrivent (et qui n’ont pas à voir avec des virus), des exemples de virus et de trojans ?

-&gt; non.





Pour la culture générale, voici une liste non exhaustive : en.wikipedia.org Wikipedia.

On y retrouve virus, worm, botnet, et trojan, comme sous Windows.



Des failles de design ou du kernel existe, et sont exploitées. Moins nombreuses, moins fréquentes, plus rapidement patchées, mais ça arrive. D’autant plus de nos jours où :




  • on trouve une profusion d’accessoires connectés sans possibilité (ou volonté) de mise à jour, tournant majoritairement sous Linux ;

  • l’OS devient plus grand public, ouvrant la possibilité à toutes les attaques basées sur la négligence ou l’incompétence de l’utilisateur ;


Le 23/10/2017 à 07h 52







Guinnness a écrit :



j’ai particulièrement “apprécié” les relents nauséabonds du retour de la délation obligatoire comme dans “les grandes années” … )





Pour information :




  • dénoncer : Signaler comme coupable, particulièrement à la justice. Par ext. Faire connaître un acte répréhensible.

  • délation : Dénonciation inspirée par l’intérêt, la haine, le désir de nuire ou le sectarisme.

    (source : dictionnaire de l’Académie Française, 9ème édition)



    Si ton patron a tenté de te couvrir, ce n’est clairement pas de la délation, car ce n’est même pas de la dénonciation ! En l’état, c’est simplement la justice qui fait son enquête.

    Et un jour il faut grandir et sortir de la cour de récré : non, mentir à la police pour couvrir quelqu’un en faute n’est pas un comportement louable.


Le 20/10/2017 à 08h 03

Je ne suis pas sûr d’où tu veux en venir. L’article rappelle bien



Rappelons enfin qu’AlphaGo n’est pas une intelligence artificielle forte, nous en sommes d’ailleurs très loin. (…) Dans tous les cas, elle n’est (très) douée que dans une tâche bien précise : jouer au Go.



Il n’y a pas d’ambigüité : AlphaGo est une IA faible, c’est-à-dire spécialisée pour une tache. Elle invente dans le cadre de cette tache (son apprentissage l’a menée à découvrir des coups que personne ne lui a jamais appris, donc de l’invention), mais ne fera jamais rien d’autre que cette tache précise.

Lui demander quoi que ce soit d’autre, c’est lui demander d’être une IA forte, qui est un concept totalement différent, et en l’état actuel de la science de la pure science fiction.

Le 13/10/2017 à 14h 23







tifounon a écrit :



Le kerning ??? tu veux parler du crénelage ?

Ouaip ca pique les yeux.





Si par “crénelage” tu entends crénage*, oui. Si tu entends vraiment crénelage, alors non <img data-src=" />



* dont je vient de découvrir l’existence du terme français <img data-src=" />


Le 13/10/2017 à 13h 33

Le kerning du titre dans l’image me fait saigner les yeux <img data-src=" />









al_bebert a écrit :



le steak de cheval c’est très bon ! (tu peux en trouver en France sans soucis)





Carrément ! <img data-src=" />


Le 12/10/2017 à 17h 10







127.0.0.1 a écrit :



Trois espions - un américain, un israélien et un russe - entrent dans un bar les bases de données de Kaspersky…





<img data-src=" />


Le 12/10/2017 à 09h 22







OlivierJ a écrit :



jamais entendu parler des mouettes non plus, sauf en mode humoristique





La mouette est un oiseau marin très répandu sur les côtes françaises. Faut sortir un peu de chez soi, sale geek <img data-src=" />



(quoi ? <img data-src=" /> )


Le 11/10/2017 à 14h 33

Je crois que j’en ai une petite idée, oui <img data-src=" />

Une fois, on m’a même demandé de l’aide pour traduire de l’anglais “parce que je m’y connais en PC”. Je cherche toujours le rapport, un tas d’informaticiens sont nul en anglais <img data-src=" />

Le 10/10/2017 à 07h 17







ProFesseur Onizuka a écrit :



Les chanteurs faites des concerts et les acteurs du théâtre: problème résolu <img data-src=" />





Et les auteurs, faites des lectures publiques ; les développeurs… je sais pas, dépannez des PC ? <img data-src=" />