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wpayen

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720 commentaires

Le 16/02/2017 à 14h 40

Non. Le contraire a déjà été présenté aux autorités de contrôle.



La CNI ne possède pas de moyen de contrôle des empreintes digitales et celles-ci ne continueront à être prise que dans le cadre du passeport. Les gens qui n’ont que la CNI seront dans le fichier du passeport sans avoir d’empreintes enregistrées. 



C’est justement ce qui rends pour moi le débat caduque. On ne change rien au paradigme existant.


Le 16/02/2017 à 13h 52







fred42 a écrit :



Tu fais de la désinformation.



Il n’y a pas aujourd’hui de fichier (informatique) des empreintes digitales recueillies pour la carte d’identité. De plus, ces empreintes sont stockées au niveau des départements, c’est donc décentralisé et plus difficilement accessible.





S’il fait de la désinformation, toi tu ne sais pas lire.

 



wanou2 a écrit :



Le fichier TES existe déjà : fichier des Titres Electroniques Sécurisés (le fichier des passport).

De l’autre côté existe le FNG qui contient les informations détenus par l’état lors de la création de la CNI.







Ou parle-il d’empreinte digitales recueillies pour la CNI ?

Son message est clair, actuellement, il y a deux fichiers.





  • Un pour les passeports contenant données d’état civil + empreinte (Environ 10Millions de personnes)

  • Un pour les CNI contenant des données d’état civil (60 Millions, les données sont redondantes avec le premier pour la partie état civil).



    Le but du gouvernement n’est pas la création d’un nouveau fichier, c’est la suppression du fichier CNI et la liaison entre CNI et le fichier des passeports pré-existant.

    Et dans la présentation aux autorités de contrôle, il a été spécifié que les gens n’ayant qu’une CNI seront transvasés dans le fichier sans ajout des empreintes. La CNI ne prévoit pas de méthode de contrôle des empreintes contrairement au passeport.



    ___



    Une fois ceci posé, pour revenir au débat.

    Oui, il y a des solutions qui sont meilleures que la solution actuelle.

    Mais non, l’état ne crée pas un immense fichier pour tous vous surveiller. Si vous avez déjà un passeport, vous êtes déjà dans le fichier que vous redoutez.



    __



    Vous ne voulez jamais être contrôlé avec vos empreintes, passez votre passeport au micro-onde et réjouissez-vous de vos 4 prochaines heures d’attente à la douane.



Le 07/02/2017 à 13h 18

Ah, on me dit dans l’oreillette que l’on a un gagnant.



Bravo monsieur, vous gagnez la valise RTL. 100F.


Le 07/02/2017 à 12h 17

Le principe même du troll.

Le gars balance connerie sur connerie mais ne réponds jamais lorsque l’on le confronte aux faits.



Bref, du SPAM.


Le 07/02/2017 à 10h 40

C’est fondamentalement faux.

La liste de ces pays est effectivement issue d’une loi de l’administration Obama.



Mais la loi en question n’interdisait pas l’entrée aux USA. Elle interdisait l’entrée aux USA sous le régime du “Sans Visa” dans le cas d’un séjour de moins de 90 jours pour les citoyens de ces pays et/ou ceux qui auraient visité ces pays. Pour information, la France fait partie de cette liste de pays bénéficiant de ce type de traitement.

L’entrée était toujours possible mais avec un visa.



La loi Obama a donc “rétrogradé” les 7 pays en question du traitement “normal” d’exemption de visa pour les courts séjour à la nécessité du visa. 

On est bien loin de l’interdiction totale d’entrée (et de retour pour les déjà sur place avec un visa valide). 



Renseigne-toi sur autre chose que tes sites de “contre-information”, ça commence à se voir.


Le 07/02/2017 à 10h 09







picatrix a écrit :



Harvard coute à peine 50 k\( /an.

Pour un master en 5 ans c'est à peine 250 000 \)
+ 3 ans de PhD (150 000\() ça nous fait 400 000 \) pour un doctorat.



C’est rien !



Le plus rigolo ce sont ceux qui financent leurs études avec un prêt et qui échouent avant la fin : ils ont des dettes colossales et quasiment aucune chance de trouver un boulot sans diplôme et de rembourser.

Leur vie est déjà foutue à 25 ans.<img data-src=" />

Le rêve américain dans toute sa splendeur.





Harvard mauvais exemple.

C’est l’université américaine avec le montant de prêt sortie d’école le plus bas des USA.



Famille avec moins de 65k\( de revenu annuel : Prise en charge des études (pas de logement) à 100%

Famille avec moins de 80k\)
de revenu annuel :&nbsp;Prise en charge des études (pas de logement) à 80%

Et c’est dégressif comme ça un bout de temps.



Le 07/02/2017 à 09h 44







kwak-kwak a écrit :



Pour le coup se sont la Chine, l’Allemagne et le Canada qui se frottent les mains. Même les Emirats Arabes Unis ont réadaptés leurs politique d’attribution de visa scientifiques pour tenter de récupérer une part du gâteau.





La Suisse aussi.

Visa ouvert pour ce type de profil et crédit d’impôt/recherche assez violent.<img data-src=" />



Le 07/02/2017 à 12h 18

“Il est toujours bon de préciser que son poulain existe, surtout quand on a un a priori massif contre le cheval du voisin”



<img data-src=" />


Le 31/01/2017 à 13h 53

Je suis pour plutôt d’accord que les termes signés entre Microsoft et l’EN sont clairement Borderline mais si tu lis les commentaires des gens, il y a un pas supplémentaire quasi-systématique.



On ne parle pas d’avoir un marché ouvert, on parle d’avoir un marché ouvert avec un biais de traitement qui serait inversé par rapport à la situation présente.


Le 31/01/2017 à 13h 36

Et sans défendre la position de Microsoft, il me semble que la plupart des gens commentant les news Microsoft ne sont pas pour l’ouverture à deux (ou plus) points de vue.

Ils sont pour le remplacement d’un point de vue par un autre, personnellement, je ne vois pas l’avancée.


Le 30/01/2017 à 09h 33

On dirait une métaphore de la France.



Le seul pays où tu peux risquer 5.000€ d’amende pour la non-communication de quelque chose qui n’existe pas sur la simple présomption d’un haut fonctionnaire idiot mais zélé (les pires).


Le 27/01/2017 à 08h 50

“Même si Benoît Hamon ne l’indique pas expressément, on voit mal comment ces deux dispositifs pourraient voir le jour sans passer par la case Internet.”



Suffit de comparer avec l’étranger.



Un référendum&nbsp;populaire en Suisse doit récolter 50.000 signatures valables en 100 jours et ce sur une population de 8Millions.Pourquoi 500.000 ne serait pas envisageable sur une population de 70Millions ?


Le 20/01/2017 à 09h 07

Le prochaine qui parle de trou dans le gruyère, le vrai, pas cette copie made in président, je le fouette.

&nbsp;


Le 20/01/2017 à 07h 39

Je vais pas perdre de temps supplémentaire à te faire un cours d’histoire ou d’histoire des institutions, tu as ton idée fixe vis-à-vis de ton interprétation.



Dans la formation originale de cette idée Droite/Gauche qui est une idée franco-française, la gauche représentait la bourgeoisie libérale (Tu sais le capital dont tu rabâches l’idée à tout le monde) et la droite représentait l’ancienne noblesse qui souhaitait un retour à une pleine monarchie.



Que tu le veuilles ou non, gros pavé ou pas, condescendance ou pas, ta conception de droite/gauche basée sur une position vis-à-vis du capitalisme est un non-sens historique, politique et économique (en plus de n’être qu’une position franco-française). Après, libre à toi de faire le cake à te la jouer révolutionnaire de pacotille en balançant des concepts que tu ne maitrises pas pour le plaisir de te donner une posture.


Le 19/01/2017 à 14h 59

Tu te rends compte quand même que tu racontes n’importe quoi ?

Les définitions de gauche/droite ne sont absolument pas liées à un quelconque débat sur le capitalisme ou sur une quelconque question économique.



Cette bi-polarité est historiquement liée à la position des assemblées populaires françaises (constituante puis nationale de 1789 et celles post-empire) vis-à-vis de la royauté en France.

Cela a commencé avec les pro-veto royal contre les autres.

Ensuite entre les partisans d’une monarchie constitutionnelle et les ultra-royaliste (c’est à ce moment que les positions gauche/droite dans l’hémicycle se posent).



C’est une définition propre à la France que beaucoup d’autres pays n’ont pas. Si l’on prends l’analogie gauche/droite pour qualifier la politique américaine, on classe + à gauche le partie démocrate alors que c’était le parti de ceux qui défendaient l’esclavagisme.



Bref, faire d’un concept politique Français lié à une particularité architecturale du bâtiment rassemblant les élus un concept global applicable partout, c’est juste de la grosse connerie.&nbsp;



Utiliser des termes gauche/droite, ou maintenant ultra-libéral pour désigner un ennemi imaginaire en utilisant un mot que l’on veut discréditant, c’est juste l’apanage de ceux qui ne savent défendre leurs idées autrement que par l’ad-hominem immédiat.


Le 18/01/2017 à 06h 52

Zattoo à son époque.

N’importe laquelle des applications webTV de provider de pays francophone (Suisse, Belgique, Québec).



Sur l’appli web de ma Swisscom TV, je peux regarder et enregistrer le TV française. Je peux même, suite à un gros bug de porc, enregistrer l’entier des émissions Canal+ pendant que je suis abonné et les regarder quand je ne le suis plus.


Le 17/01/2017 à 13h 49







OlivierJ a écrit :



Je ne crois pas une seconde à son histoire.

Même pour un type qui gagne 300 000 E bruts par an et 3 enfants, il ne paie pas 4 mois en impôts sur le revenu.





Est-ce qu’il faut pas regarder du côté de l’ensemble des prélèvements ?&nbsp;

Le taux moyen est à 57.53% en France et la date de libération fiscale est au 23 Juillet.



Je paye pratiquement 1.5 mois de salaire en IR /an et je suis dans un pays où l’IR est, semble-il, plus avantageux qu’en France dans ma tranche.

Le calcul ne me parait pas farfelu.



Le 17/01/2017 à 12h 34







Ramaloke a écrit :



http://www.lefigaro.fr/economie/le-scan-eco/dessous-chiffres/2016/04/13/29006-20…



“LE SCAN ÉCO / INFOGRAPHIES - L’an dernier, 45,6% des foyers fiscaux ont

payé des impôts sur le revenu, selon le rapport annuel de Bercy, soit le



plus faible taux enregistré depuis que François Hollande est président.     

Retour sur l'évolution de la part des foyers imposables en France."







Tu trouves ça beaucoup toi ? On doit pas avoir les même mathématiques je pense…







Je pense que le gros problème dans l’ensemble des pays est que le 45% global est en fait sur-représentatif d’une catégorie donnée.



Un exemple encore une fois basé sur les deux mondes que je connais.

La limite imposable en France est à 9700€ en France, là où elle est à 13600€ en Suisse.



Sauf que dans les branches qui ont un salaire minimum, il est souvent supérieur à 3600€ en Suisse. Donc 98% des travailleurs à 100% doivent payer un impôt (du moins le cantonal/municipal), le fédéral a un barème différent.



PS : Les montants sont arrondis et c’est une comparaison à parité de monnaie.



Le 17/01/2017 à 12h 21

La réflexion était plus sur les enfants que sur le statut marital.

On a eu le débat ici en Suisse justement et la solution retenue sera de taxer un couple marié comme deux célibataires.


Le 17/01/2017 à 11h 10

Le problème insoluble de ce type de problématique est le suivant :



Faire baisser le taux de la première tranche de l’IR (qui doit avoir le plus de personne dedans) est systématiquement compensé par l’augmentation de tranche de l’IR des personnes ayant le plus de mobilité et professionnelle et financière.

Sans rentrer dans un débat moral sur l’impôt, un modèle d’imposition qui repose majoritairement sur une catégorie de contribuable qui peut se casser à tout moment, c’est quand même limite.



Personnellement, je suis plus pour un système d’imposition dès le premier € de salaire mais une déduction sur les charges salariales pour les faibles salaires. Tout le monde est citoyen, tout le monde bénéficie des services d’état, tout le monde doit payer un salaire en fonction de ses moyens.

A côté de ça, les faibles salaires ne devraient pas être (ou peu) charger de cotisation salariale.


Le 17/01/2017 à 11h 05

Ah mais ici aussi, célibataire sans-enfant, tu douilles plus que les autres.

Ce qui me parait également normal.



Tu es dans la catégorie de population avec par rapport à un revenu donné le moins de charge fixe, donc une capacité de “cotisation” au modèle sociétal plus importante.



Mais c’est la comparaison à situation personnelle / professionnelle équivalente qui me fait peur en fait.


Le 17/01/2017 à 10h 59

####PROJET SADOMASO####

J’ai tenté de remplir la déclaration française basée sur mes données Suisses, salaires, frais, revenus fonciers, etc.

Une bonne différence d’environ 12% de taux d’imposition brut.



C’est légèrement violent le traitement des classes moyennes en France, non ?

&nbsp;


Le 16/01/2017 à 12h 12

Dans le cadre d’un marché de niche, juste de la simple protection commerciale pour rentabiliser l’investissement du développement. La modèle du source libre et uniquement le support en sus, c’est inapplicable sur des marchés de niche (ou alors avec une force d’investissement énorme).



Et tu ne réponds pas à la question. Dans le cadre précis d’un logiciel de votation / dépouillement, quel est l’avantage intrinsèque du logiciel libre ?&nbsp;


Le 16/01/2017 à 11h 05

Donc des autorités administratives non-contrôlées par le peuple auraient le droit de certification sur les solutions qui visent à élire les représentants du peuple ?



Qu’est-ce qui garantit une meilleure impartialité de ces institutions ?


Le 16/01/2017 à 10h 59

“L’objectif&nbsp;: préciser dans ce texte que chacune de ces opérations devra impérativement&nbsp;«&nbsp;repose[r] sur des logiciels libres&nbsp;», c’est-à-dire sur des logiciels «&nbsp;dont la licence permet l’audit, la diffusion et la réutilisation des codes sources&nbsp;».“Ils veulent interdire les solutions non-libres.Point barre.Le reste, c’est de l’emballage.


Le 16/01/2017 à 10h 57

J’adore la capacité à faire passer le message que “code source fermé” = “Mal Absolu, le diable personnifié”.



Il faudra qu’on m’explique, dans le cadre de consultation en ligne, quel est l’intérêt propre d’un prestataire qui fournit une solution “code source fermé” de pouvoir altérer les votes. Le potentiel risque d’une telle action vis-à-vis du potentiel gain est juste tellement énorme, de la même façon que le moindre rumeur de fuite avérée rendrait la solution invendable.



Je travaille au quotidien avec des services informatiques de Canton Suisse qui ont développé en interne ou via un prestataire leurs solutions de votation en ligne et/ou de dépouillement. Aucune source n’est libre.

Quel serait l’avantage intrinsèque de la même solution mais avec des sources libérées ?

&nbsp;

De plus, le discours tenu ici est bien trop orienté. Utiliser un débat sur les sources alors qu’en fait, il s’agit plutôt de tenter d’exclure des acteurs précis (comprendre toutes les entreprises américaines), je trouve que cela déforme une cause et détruit les éventuelles avancées.



&nbsp;


Le 11/01/2017 à 18h 05







Soriatane a écrit :



De plus je pense que certaines entreprise ne migreront pas sous Windows 10 tant qu’il n’y aura pas un moyen unique de couper la diffusion de données personnelle sur l’ensemble de leur flotte. Quand on est un hôpital et que l’on manipule des données médicales, on doit être sensible à ce genre de paramètres.







Une entreprise manipulant des données sensibles sur des machines ayant un accès direct au net devrait licencier son SI pour faute.



Le 02/01/2017 à 07h 43

En fait, le problème ne vient pas tant des services propres aux mises à jour de Windows qui fonctionnent à fond que le fait que vous semblez , pour la plupart, avoir des réseaux sans aucune politique de QoS.



La liste des cibles DNS sur lesquelles du trafic 80443 va être émis est même disponible sur technet.

https://technet.microsoft.com/en-us/library/cc708605(WS.10).aspx

C’est d’ailleurs la même méthode (propre) à appliquer si vous souhaitez couper totalement toute télémétrie.&nbsp;



La politique de QoS n’est pas à sous-estimer (déjà que votre box en fait de base si vous avez la TV…). De nombreux services de download automatiques devraient y passer.


Le 01/12/2016 à 09h 45

Le transcodage à la volée et la lecture multi-client.



Avec les apps pour tablette de plex et la gestion des comptes, les enfants peuvent regarder des séries du Synology pendant que Papa/Maman regardent la leur.


Le 29/11/2016 à 09h 16

Le problème encore et toujours de ce type de débat est le suivant :





  • La question devrait être : “Lequel des deux convient le mieux à mon utilisation dans mon contexte personnel (Privé et professionnel) ?”



    Pour beaucoup, la question est :



    “Comment je peux faire pour imposer mon champion qui est le meilleur de la terre à mes proches (privés ou professionnels) qui n’ont globalement rien demandé ?”



    Et c’est valable dans les deux sens. Pas que de la part du “libriste barbu”.

    Perso, j’utilise MSOffice 2016 parce que dans mon contexte, c’est la meilleure solution vis-à-vis de mes besoins. Mais j’ai déjà été utilisateur d’OpenOffice quand mon besoin était différent.


Le 23/11/2016 à 14h 17

Le servage en France (obligation de travailler pour le seigneur) a, comme pour la plupart des pays d’Europe, disparu après la grande peste.&nbsp;



(Qui a été par ailleurs un fait immensément libérateur pour le travailleur de l’époque (rareté du travailleur vu que 13 de la population venait de disparaître)).


Le 23/11/2016 à 14h 14

Le capitalisme c’est un cercle.

Capital =&gt; Capital productif (Par achat et/ou apport initial) =&gt; moyen de production =&gt; profit généré

Où le profit sera divisé en deux, l’un pour l’entretien du capital productif, l’autre à la rémunération du capital.



Dans ton exemple de champs

Le capitalisme c’est acheter un moyen de production (champs + bêche/tracteur/bœufs) afin de créer un capital productif qui permettra de générer un profit permettant son entretient et une rentabilité pour le capital initial investi.

Un auto-entrepreneur ou un fermier tout seul suit déjà un modèle capitaliste.



Le salariat c’est déléguer une partie de la mise en œuvre d’un capital productif contre une partie définie du profit généré. A.K.A, à aucun moment l’entrée en mode de salariat n’implique de propriété sur le capital productif.

(Salaire vient d’ailleurs du latin et désigne à la base la ration de sel (et par extension la solde permettant son achat) lorsque l’armée romaine est passée d’un mode où le soldat possédait son matériel (armure, épée) à celui où l’état fournissait le matériel et où le soldat ne “faisait que l’utiliser” contre rémunération.







C’est là où est le rôle de l’Etat.

Garantir que les conditions du salariat proposées soient correctes.

Garantir que les conditions de création d’un capital productif soit libre.



Si une entreprise capitaliste décide de maximiser la rentabilité du capital en diminuant la part de profit utilisée pour l’entretien du capital productif (c’est à dire en investissant plus), c’est un très bon calcul à court terme mais un très mauvais à long terme.


Le 23/11/2016 à 13h 05

Le bon débat sans fin entre le gars qui confond capitalisme et salariat et l’autre qui pense que l’automatisation, la dématérialisation et l’autarcie économique individuelle est en marche (et donc qu’il n’y aura plus besoin d’état(s) pour réguler tout ça).


Le 23/11/2016 à 10h 08







bloossom a écrit :



C’est quelque chose de courant chez les Etats qui ne sont pas centralisés. Par exemple en Suisse, certaines décisions doivent être prises à la majorité arithmétiques du peuple, mais nécessite aussi la majorité des voix dans la majorité des cantons.





Toutes les modifications constitutionnelles réclament la double majorité.

Majorité des voix + majorité des cantons.

C’est d’ailleurs à cause de ce système que les suisse allemands sont dit des “Neinsager”. Parce que beaucoup de changement sociétaux ont été bloqués parce que la majorité des cantons n’avait pas été atteinte.



La grosse différence entre les USA et la France se situe aussi dans la différence du système du parlement.&nbsp;

En Suisse ou aux USA, la chambre basse représente le peuple (élection directe) avec un nombre de député par canton/état basé sur la population.

La chambre haute représente les états/cantons avec deux élus par état/canton (Bon, en Suisse y’a les demi-canton, mais c’est pareil).&nbsp;



Ce double système permet une représentation populaire mais casse aussi grandement la centralisation issue des différences de peuplement. le Wyoming a autant de poids que la Californie, Zug a autant de pouvoir que Zurich.

En France le nombre de sénateur de chaque département dépends de la taille du département. Outre le fait que y’a trop de sénateur, cela fait qu’un département peu peuplé a basiquement le droit de fermer sa gueule.



Le 17/11/2016 à 09h 46

Dans l’ordre :





  • La France n’a jamais été une démocratie. C’est une république semi-présidentielle.

  • La France vient d’un régime parlementaire avec le parlement qui peut faire tomber le gouvernement. Régime dans lequel les partis font la loi, cassent les carrières des éléments qui dépassent, etc.

  • Maintenant, la France a les travers du régime parlementaire avec en plus le fait que dans le cas où le président est issu de la majorité parlementaire, un homme seul détient le pouvoir exécutif et peut affirmer sa position via le pouvoir des partis.



    Mais à part une revue constitutionnelle qui n’arrivera jamais (elle doit être initiée par ceux qu’elle touche, ou un gros événement extérieur (trouble de la guerre d’Algérie)), il n’y a aucun moyen de changer cet état de fait.


Le 15/11/2016 à 15h 00

C’est clairement l’exemple du projet kickstarter de startup d’étudiant qui a vu trop gros et qui a du utiliser ses premiers clients dans son budget R&D.



Le projet sera stable quand ils auront fait fuir tout les acheteurs originaux et que le projet sera plus viable commercialement parlant.


Le 15/11/2016 à 14h 32

Il faut voir aussi qu’il y a des conflits en interne ou tout du moins des discussions.

Leur directeur technique et co-fondateur s’est tiré en Septembre.


Le 15/11/2016 à 11h 12

Pas besoin d’être si agressif, tu sais.

Je ne sais pas le faire, c’est un fait acquis.



Je cherche juste à comprendre qui est si différentiable dans le cas de ce fichier.

http://www.weka.fr/actualite/sante/article/anonymisation-des-donnees-du-pmsi-un-…

L’article parle du système&nbsp;Fonction d’Occultation des Identifiants Nominatifs (FOIN) utilisé pour pseudonimisé les éléments dont on parle.



Mon point de base est le suivant :

Ok, TES est dangereux. Donc soit l’ensemble des bases de données informatisées contenant des informations le sont, soit TES est mal conçu et les autres sont mieux protégées.



Le point suivant sera :

On fait quoi ?

Aucune base de données informatisée ? Un nombre limité et on sélectionne les infos que l’on accepte de perdre ?


Le 15/11/2016 à 10h 41

L’age, le sexe, le mois et l’année de naissance sont des éléments connus qui sont à la base de la génération du numéro de sécurité sociale unique par habitant.





  • deux pour l’année de naissance ;

  • deux pour le mois de naissance ;

  • deux pour le département de naissance ;

  • trois pour la commune de naissance (aucun département ne comporte plus de 999 communes) ;

  • trois pour un numéro d’ordre dans le mois de naissance;



    Tu as un hash d’un identifiant dont tu connais certains des paramètres initiaux. Est-ce que cela ne te permet pas de rendre la reversabilité plus simple ?


Le 15/11/2016 à 09h 55

réponse d’expatrié dans 3,2,1



Les enfants sont pas soignés sous l’assurance maladie de leur parents ?


Le 15/11/2016 à 09h 37


  1. Les données sur les patients contiennent l’année et le mois de naissance ainsi que le lieu de résidence, la date et le type de soin ainsi que le lieu et les différents remboursements effectués (donc les lieux et types d’achats en pharmacie).&nbsp;



    Niveau ré-identification, on est pas dans le plus compliqué en fait. Ah, les prélèvements biologiques exécutés dans le cadre des soins sont dedans aussi (Les résultats, hein, pas des photos numérisés de pot)





    1. Les accès très restreint, c’est une connexion par certificat personnel avec une carte remise uniquement à un nombre restreint de personne.



      Ce qui est exactement le même type “d’accès restreint” que le TES. La seule différence, c’est le “risque” accru de vol de certificat personnel par augmentation du nombre.



Le 15/11/2016 à 09h 14

&nbsp;En gros, la sécurité est la même que celle du TES sauf qu’il y a une couche de réidentification (Des gens avec né au même endroit, au même moment et habitant au même endroit, ça doit pas courir les rues…)


Le 15/11/2016 à 06h 43







IMPulsion a écrit :



Il y à bien que des débiles de politiciens pour pas comprendre ça.





C’est tellement plus simple un monde où on est soit d’accord, soit un débile.



Le 07/11/2016 à 10h 34

Ah mais c’est clair, dès l’existence d’un fichier, il y a des actions possibles.



La loi fondant le TES interdit la recherche en fonction de paramètre, c’est effectivement quelque chose qui peut être changée, les lois ne sont pas irrévocables. Juste que cela ne pourra se faire avec un petit décret en lousdé comme ça.&nbsp;Si l’exécutif veut vraiment le faire sans loi, il y a l’ordonnance (ce que l’état d’urgence lui permet au passage), mais une ordonnance reste contrôlable par le parlement.



Après, on a déjà eu ce débat à tiroir qui amène irrémédiablement à des positions allant de l’anarchisme primaire à la défiance quasi-systématique des institutions politiques. Ce ne sont pas mes positions et dans le cadre de la politique française, cela ne me concerne pas. (Le fichier passeport me concerne parce que j’en ai un, la politique du pays non parce que je n’y vis pas).


Le 07/11/2016 à 10h 07

C’est le fichier que je cite, j’arrivais plus à mettre la main dessus.



Comme discuté, je ne pense pas que l’on puisse parler de partialité, et je me suis d’ailleurs excusé pour l’utilisation de ce terme. La partialité d’un journaliste implique une volonté claire de masquer une partie de l’information. Cet article est entré dans mes lectures par que Marc l’a publié sur Twitter et si il l’avait fait en ayant en même temps une volonté de partialité, il aurait été partial et bête.&nbsp;Vu que dans ma grande mansuétude, je ne présume pas de la bêtise de Marc, je pense juste que ledit article fera l’objet d’un évolution d’un contenu de NextInpact ou un nouveau contenu.



Mais effectivement, j’aimerai bien qu’on sorte du débat “Ce gouvernement est nazi” pour aller vers de l’argumentaire plus réfléchi et il me semble que commenter ce que dit&nbsp;Xavier Brunetière sera utile. (On dirait juste Sméagol sur sa photo, mais c’est pas grave&nbsp;<img data-src=" />)


Le 07/11/2016 à 09h 24

Je ne suis pas fermé au débat dans le domaine des libertés individuelles, je pense juste que porter l’accusation d’une atteinte aux libertés dans le cadre de ce décret dénote juste d’une méconnaissance du fonctionnement institutionnel de l’état Français.



Si atteinte aux libertés il y avait eu (le conditionnel indique la volonté de débat), elle aurait eu lieu il y a 8 ans lorsque le TES a été créée avec la loi adjacente.&nbsp;Ce décret ne renforce même pas l’éventuelle atteinte puisque les informations venant du fichier mergé ne seront pas complétée, elles changent de contenant sans altération du contenu.&nbsp;


Le 07/11/2016 à 09h 16

Oui, ce type de débat est primordial pour moi.



Situation pré-existante :

1 fichier de 15 Millions de personne sécurisé (mais pas inviolable, on est d’accord)

1 fichier de 50 Millions de personne ayant 20 ans (et la sécurité qui va avec).

Situation suivante :

1 fichier de 60 Millions de personne sécurisé (mais pas inviolable, on est d’accord)



Je conviens que le risque est augmenté dans la nouvelle situation parce qu’il y a diminution de la granuralité de l’information, mais d’un autre côté, il y a les informations de 50 Millions de personne qui ont maintenant une sécurité renforcée.

Laquelle des deux situations est fondamentalement la plus secure ? Je ne suis pas madame Irma, le plus secure avec un fichier centralisé c’est lorsqu’il n’existe pas. (Et on sort du débat)&nbsp;


Le 07/11/2016 à 09h 09

Alors à l’inverse, j’ai lu que la loi fondant le TES n’inclut pas de mécanisme de recherche et ne permet pas l’utilisation du TES de manière à permettre des recherches (autres que la validation d’identité). Un tel changement nécessiterait donc un changement de la loi.



Et c’est justement sur ce type de point d’information que la plus-value des équipes de NextInpact est fondamentale.


Le 07/11/2016 à 09h 07

Je parle de vision partiale parce que j’ai pu lire un argumentaire opposé au tien dans un lien que tu as publié sur ton Twitter sans le mettre en exergue ici, chose qui est pourtant souvent fait au travers d’un update d’article.

Les articles ici ne reprennent aucun des arguments de personnes concernées du côté de l’exécutif (le gars dans l’article en question est le responsable du fichier TES de mémoire, y’a eu le week-end entre les deux<img data-src=" />).



Le responsable en question disait en résumé :




  • Que les conditions d’exploitation du fichier n’avaient pas changé.

  • Que les données des CNI venant du deuxième fichiers étaient reprises AsIt et donc que dire qu’on va avoir un fichier de 60 millions d’empreinte est juste FAUX.

  • Que la sécurité du TES est plus grande que celui des CNIs (Ce qui, au regard des informations contenues n’est pas une gageure).



    Je serai le premier à venir défendre mes droits lorsque l’état français mettra en place un système automatique de recherche à partir d’empreinte génétique ou palmaire, mais dans le cas présent, ce n’est pas le débat. Le débat c’est :

    “Est-ce que l’exécutif a le droit de gérer la vie de deux fichiers informatisés par décret si les changements apportés ne dépassent pas le cadre de la loi ayant créé lesdits fichiers ?”



    Et la réponse est : Oui.

    Après, que l’on soit pour ou contre la loi, c’est autre chose.

    &nbsp;


Le 07/11/2016 à 08h 53

Le débat sur le création de ce fichier est passé vu que la loi le créant a 8 ans. Il peut y avoir un débat parlementaire pour revenir sur une loi existante promulguée mais l’exécutif a toute légitimité pour gérer l’exécution d’une loi par décrêt.

C’est même le principe fondamental du décrêt d’application et c’est le fondement de notre état de droit. Le parlement fait une loi, l’exécutif l’applique, le judiciaire contrôle son application.



Je ne rentre pas sur le principe même de ce fichier, c’est pour moi un autre débat que celui qui se pose. La question c’est “Où étaient tout ceux qui râlent lorsqu’en 2008 le passeport biométrique et le fichier liés ont été créé ?”