Demande de rançon pour ne pas diffuser ou vendre les données volées. Sans garantie aucune évidemment. Cela rejoint les principes de double et triple extortions.
Abus de langage ou détail volontairement enfoui dans des murs de conditions d'utilisateur sans forcément de valeur juridique, à défaut d'avoir une date limitée d'utilisation aussi clairement indiquée que sur les produits alimentaires on ne peut pas laisser au bon vouloir des éditeurs de décider quand il y a fin de la "licence".
Quand je décide de louer un film sur un site de VOD je vois clairement le bouton "Louer" et les 3 jours de visionnage.
Quand je vais sur Steam et je vais pour jouer à e.g The Division, j'ai un bouton "Acheter" alors que le jeu peut s'arrêter demain sans que je n'ai aucun recours possible pour me faire rembourser, ou pour continuer à jouer.
Donc une possible solution à la situation existante pourrait être d'être beaucoup plus explicite sur la durée de "location" des jeux.
Le mouvement Stop Killing préfère mettre en avant la solution qui se range davantage du côté du consommateur, d'autant plus qu'une des motivations cachée est la préservation des jeux vidéo.
Je profite de ta remarque sur la préservation des jeux-vidéos pour mettre en avant le dépôt légal numérique de la BNF (Bibliothèque Nationale de France) et le travail qu'elle fait autour de celui-ci.
Il n'existait pas une sorte de "git" pour légifrance pour "reconstituer" les textes de lois après les mises à jour ?
C'est-à-dire ? Pouvoir retrouver l'ensemble des versions d'un texte de loi ? A ma connaissance, c'est le cas. Légifrance dispose d'un outil de gestion des versions et de navigation dans celui-ci. Un exemple au hasard : Code Civil Art 16-10. On y retrouve les différentes versions de l'article (1994, 2004, 2021, 2023), les liens vers les articles des textes de loi modifiant cet article du Code Civil, l'état de l'article (en vigueur, en vigueur étendu, en vigueur modifié, obsolète / supprimé). Les liens sont également présents dans l'autre sens, de la loi vers le texte qu'elle modifie.
Il y a aussi la possibilité de choisir une date et de disposer de la version figée du texte à ce moment.
Dans le cadre de l'ouverture des données, l'Etat met à disposition les données de Légifrance via une API (détails et documentation) sur le portail PISTE.
On peut reprocher beaucoup à l'Etat dans le Numérique et sa gestion, mais Légifrance est à mon avis très bien construit et très réussi. La DILA fournit deux très bons sites, avec celui-ci et Service-Public.
En m'avançant un peu, je dirais que ce site est encore plus accessible pour les personnes connaissant les gestionnaires de versions, car l'abstration est identique.
J'en profite pour signaler l'existence du pass lecture / culture de la BNF, permettant d'accéder à un très grand nombre de médias en ligne via des portails comme Generalis, Europresse, etc.
J'ai toujours un peu de mal avec ces comparaisons, même si elles sont utiles et nécessaires. Ce n'est peut-être que moi, mais j'ai du mal à trouver ça parlant. Les comparaisons avec des procédés industriels me parlent plus. Sans doute un biais lié à mon environnement professionnel, l'industrie lourde.
Il serait sans doute intéressant de faire ce genre de comparaisons avec des procédés de commodités industrielles. L'entreprise dans laquelle je travaille produit 600 000 à 800 000 tonnes de produit principal par an et autant - à grosse maille, je vous épargne les détails - en co-produits et productions fatales à l'aide de 3 à 4 TWh d'énergie. La moitié vient du gaz et l'autre de l'électricité. La majeure partie de cette énergie sert à deux salles d'électrolyses de 100 MW chacune. L'entreprise est dite électro-intensive.
Pourtant Civaux c'est dans les récentes, leur plus gros problème c'est le réchauffement de la rivière qui limite leur puissance l'été, mais bon si ça recommence sur ces 1300 Mw, ça craint pour les autres aussi, c'est pas vieux la réparation quand même.
De mémoire, les problèmes de corrosions sous contraintes sont spécifiques aux réacteurs les plus récents, à la puissance supérieure à la conception originale de Westinghouse de 900 MW. A confirmer
Pour éclairer un peu le sujet à l'aune de mes (maigres) connaissances sur celui-ci. Le droit des conflits armés (DCA), droit de la guerre ou encore droit international humanitaire (DIH) est une des branches du droit international public.
C'est un droit ancien, souvent d'origine coutumier et permettant de mettre des limites morales et éthiques à ce qui est permis en état de conflit entre des parties.
Il est principalement composé de la convention de Genève et de ses documents afférents (annexes, protocoles), de la conférence et de la convention de la Haye et des conventions sur la maîtrise des armements (convention d'Ottawa, d'Oslo, CIAC, START, SALT, etc.).
La convention d'Ottawa traite des mines antipersonnels, celle d'Oslo des armes à sous-munitions, la CIAC des armes chimiques, la CABT des armes biologiques, SALT et START des armes stratégiques et nucléaires.
La convention de la Haye traite de la protection des biens culturels, la conférence de la Haye du désarmement et de la prévention de la guerre.
La convention de Genève porte sur la protection des populations non combattantes en temps de guerre (civils et prisonniers).
En général, on ne parle que de cette dernière, alors que le champ est beaucoup plus vaste.
Une notion importante absente jusqu'ici des discussions il me semble est la notion de signature et de ratification de ces traités, conventions, protocoles, etc. Un pays n'est engagé par ceux-ci que s'il les signe et ratifie. Un pays peut sortir de ces conventions. La Russie l'a fait sur un point précis du premier protocole additionnel de la convention de Genève en 2019, la Finlande vient de se retirer de la convention d'Ottawa (mines antipersonnels).
Ni la Russie, ni la Chine, ni les Etats-Unis n'en n'ont jamais fait partie. Dans le même ordre d'idée, les trois mêmes pays n'ont jamais adhérés ou n'ont pas terminé le processus d'adhésion (ratification) au statut de Rome (Cour pénale internationale).
La Russie est partie des conventions de Genève I à IV et des protocoles additionnels I (sauf article 90) et II. Elle a signée mais pas ratifiée le protocole additionnel III.
En combien de temps Apple peut construire une usine si ca lui permet de réduire une taxe ?
Pour appuyer dans le sens de @Patch, mon employeur vient de mettre en service une nouvelle génération technologique d'un procédé dans une usine en France. A gros traits, il s'agit de remplacer 40% de l'usine.
Il y a presque cinq ans entre la décision d'investissement et la mise en service.
Avec la force de frappe d'Apple dans tous les domaines, on peut sans doute descendre à deux ans et demi ou trois ans, guère moins. Certaines pièces sont dessinées et produites à façon, avec un délai de production de plus d'un an et demi et moins de cinq usines dans le monde, dont (par exemple) deux en Chine, une au Japon, une aux USA et la dernière éventuellement en Europe.
L'investissement représente 20 à 30% du CA annuel.
Comme toi, je ne comprends pas qu'il n'y ait pas de BEA risques informatiques, au même titre qu'il en existe un pour les risques industriels, avec audit public.
L'ANSSI est le BEA risques de la sécurité des systèmes d'informations. Ce n'est pas le même périmètre d'intervention que le BEA / BEA-TT, BEA-RI, etc., parce que les règlementations sont différentes.
Je me permet de m'autociter sur l'adoption de la première version de l'article 8ter de la loi "Narcotrafic". TLDR : Pas le même contexte de vote. Détails, explications et liens dans mon commentaire en lien (et les autres commentaires de l'article en question).
Sur les députés : oui, certains savent de quoi ils parlent. Tout comme certains sénateurs. Sur la cybersécurité, par ex. O. Cadic, C. Morin-Desailly, C. Narassiguin.
Je sais bien qu'il y a des avis contraires mais quand ils votent sur un même sujet à quelques semaines d'intervalle, on pourrait s'attendre à ce qu'ils aient le même avis. C'était même pas vraiment serré en plus, 181 pour l'amendement et 134 contre. Après, certains ont peut-être compris que ces portes dérobées étaient une connerie. Tant mieux si c'est le cas.
Au passage, c'est vraiment déplorable de voir certains sénateurs dont le seul argument est "Si vous votez pour cet amendement, vous être du côté des narcotrafiquants"...
Je viens de regarder la discussion publique du Sénat sur l'amendement n° 73 du projet de loi "Narcotrafic". Le contexte de vote est différent de l'amendement du sénateur Cadic.
L'amendement pour le projet de loi "Résilience" a été voté lors d'un scrutin public, ce qui n'est pas le cas de l'amendement du projet de loi "Narcotrafic". La masse de votants n'est donc pas du tout la même et le moyen de vote (main levée, non public) non plus.
L'un des plans les plus larges que j'ai pu trouver du Sénat, 2 minutes 30 après le vote de cet amendement.
Discussion de cet amendement. Le vote est à 1h 24min 41s.
Le
14/03/2025 à
11h
43
Sans remettre bien sur en cause la nécessité d'une sécurisation, je suis curieux de savoir s'il y a eu étude d'impact sur ces nouvelles normes. On sait que certaines collectivités, certains hôpitaux sont à des années-lumière de la norme. Que les investissements seront significatifs et prendront des années.
Est-ce que cet investissement est chiffré ?
Non pas qu'il ne faille pas le faire, mais si on se projette pas dans son application, ça va être la Bérézina et finalement des règlements inapplicables faute de temps/budget...
Il y a eu une étude d'impact, disponible dans la partie "Dépôt au Sénat" du dossier législatif. Bonne lecture :)
Les investissements et coûts opérationnels sont peu chiffrés et c'est un travail auquel s'astreine les fédérations afin d'éviter les sur-transpositions et objectifs de sécurité irréalistes. Le travail le plus important est lié au référentiel technique des mesures que doit produire l'ANSSI.
Le
13/03/2025 à
17h
49
Sénat qui avait pourtant adopté le fameux article 8 ter de Narcotrafic. C'est à n'y rien comprendre
Le Sénat n'est pas un bloc unique et ce qui est proposé et défendu par un ensemble de sénateurs peut être combattu et amendé par un autre ensemble.
Edit : Amendement du Sénateur Cadic sur les portes dérobées. Les interventions ne sont pas unanimes. Par exemple le sénateur Hugonet a vigoureusement combattu l'amendement (à partir de 3h 47min 25s) alors que plusieurs de ses collègues l'ont tout aussi vigoureusement défendu (par ex. la sénatrice Morin-Dessaily juste après). C'est l'amendement le plus long et débattu du projet de loi. Il a concentré 30 minutes des débats pour environ 6 heures de séance publiques consacrées à ce texte et 119 amendements discutés.
Bonjour, je crois bien que c'est dans l'autre sens : R7-Office est un fork d'OnlyOffice, effectué en 2018. R-7 Office, Wiki russe Le propriétaire / dév de OnlyOffice est Ascensio System SIA. Only Office - Wikipédia fr Site d'OnlyOffice Ascensio System SIA est une société initialement lettone, aujourd'hui une holding singapourienne.
Même votre lien va dans ce sens : ''' "P7-Office" is an offshoot of OnlyOffice (formerly Teamlab)[...] "' La chaîne "only" est présente 35 fois dans votre lien, mais une fois pour "Only Office".
En regardant en diagonale, je n'ai pas identifié la nécessité d'un composant propriétaire.
Tu es conscient que ce sont les chiffres d'une production minuscule ?
En 2023, Lockheed a livré 141 F-35 et 110 en 2024. Les Caesars, je préfère ne pas en parler, parce que la production d'obus de 155mm ne suit absolument pas.
Et pourtant, il y a quelque chose à dire sur les Caesar : c'est un exemple réussi de doublement et redoublement de la cadence industrielle avec un calendrier pas trop long (pour un industriel, moins de 3 ans). 6 mois se sont écoulés entre la commande par l'Estonie de 12 systèmes et la livraison des 6 premiers, délai inimaginable il y a 4 à 5 ans. ( Livraison à l'Estonie de la première partie de sa commande de Caesar )
L'un ne va pas être sans l'autre évidemment, mais que la production d'obus de 155mm ne suive pas n'est pas directement à la main de Nexter, mais à celles d'Eurenco et des autres industriels des poudres et explosifs et de leur chaîne d'approvisionnement.
A ce titre, la déclaration de Trump montre bien cet aspect de volonté de maîtrise des ressources stratégiques et de réduction des dépendances à l'égard de la Chine.
Globalement d'accord, sauf peut-être un point : l'inflexibilité de Microsoft.
En effet, par le passé Microsoft a déjà prolongé le support d'un Windows à cause de sa trop forte "persistance" dans le paysage mondial.
Grosso modo, on est encore à 2/3 de part de marché pour Win10 sur les PC mondiaux . Certes, la pression monte d'un cran à J-365, surtout pour les entreprises. La plupart des particuliers l'ignorent tout simplement, et beaucoup s'en fichent, je te rejoins là-dessus.
On va probablement voir une forte inflexion des pdm de Win10 sur les trimestres 2 et 3 en 2025, les entreprises se préparent globalement pour ce switch l'an prochain parce que, pas le choix.
Mais si la pdm reste trop élevée malgré cela, je ne serais absolument pas surpris que Microsoft annonce un dernier prolongement de 2 ans du support gratuit en septembre 2025. Ils ne le veulent pas, c'est certain, mais ils subissent aussi (j'ai presque envie de dire "bien heureusement") la pression de leurs très gros clients.
+1 pour les entreprises, c'est exactement le cas chez nous, avec une majorité du parc déjà migré. Pas complètement d'accord pour l'inflexibilité de Microsoft. Je verrais plutôt un scénario comme la fin de Windows XP, avec des maj de sécurité uniquement pour les vulnérabilités critiques déjà exploitées publiquement (comme EternalBlue en 2017, à l'origine de WannaCry, Addylkuz et NotPetya), sans garantie d'aucune sorte, au cas par cas.
Le
17/10/2024 à
23h
08
Pas de bugs majeurs imposant un arrêt du déploiement et un retour arrière chez nous pour plusieurs centaines de postes migrés. Par contre des problèmes liés à des mises à jour, comme le blocage natif du NTLMv1, ce qui a l'avantage de nous pousser à remplacer ou mettre à jour les vieilles applis. On peut toujours bricoler, mais au préjudice de la sécurité.
Le
17/10/2024 à
22h
58
Pour le coup office et Outlook pourraient être sur Linux, Notamment par ce que teams et le new Outlook c’est juste des webapp.
La dernière fois que j'ai eu des retours dessus pour Teams, il y a environ un an, l'application web pour Linux était non iso-fonctionnelle avec des bugs gênants sur les appels. Ca a pu changer depuis.
Le
16/10/2024 à
01h
33
Sans compté que les entreprises ne réfléchissent souvent pas beaucoup à la question quelques soit la taille : windows + office 365 + outlook
Les DSI peuvent y réfléchir mais abandonnent très vite en général, hors entreprise d'IT pure. Pour Outlook, c'est vendu avec le point suivant (O365), donc pourquoi gaspiller de l'argent et de temps à acheter, intégrer, maintenir et former sur un deuxième produit qui fait la même chose, en moins bien intégré au reste des produits O365 ?
Pour O365 : Il n'y pas beaucoup de choix sur le marché en réalité pour des entreprises voulant un truc standard, intégré, collaboratif, avec le moins de conduite du changement possible et qui juste marche. Déjà que la plupart des gens connaissent très mal les outils qu'ils manipulent depuis des années (l'exemple de la secrétaire et des pointillés), alors passer sous LO, collaboraOnline, etc. c'est compliqué. Et puis la plupart des gens n'en ont pas grand-chose à faire. L'informatique est un outil pour eux, un outil malcommode, difficile, qui change souvent. Ils veulent juste un outil qui marche pour obtenir le résultat escompté. Oui, O365 c'est cher, mais Microsoft a réussi depuis 20 ans un tour de force magistral sur le marché de la suite bureautique d'entreprise.
Windows fait partie de ce tour de force magistral. Ce qui bloque le plus souvent immédiatement toute réflexion de changement vers Mac + Office for Mac (si encore existant ?) est le prix du matériel et la compatibilité des logiciels. Pour le passage sous Linux, la compatibilité logicielle, comme vous le notez, et trouver un remplaçant à la suite bureautique sont les problèmes majeurs. On peux bien sûr trouver certains moyens, comme des clients légers Linux et une ferme RDS, mais ça ne résoud que la partie OS.
Comme le note Yarno, Excel est un pied dans la porte quasi inamovible. Les entreprises qui quittent Office / O365 gardent quand même des licences Excel pour le contrôle de gestion au minimum, voire la DAF entière car la comptabilité et son contrôle sont fortement liées à Excel depuis plus d'un quart de siècle.
De ce que je vois, Excel (et son VBA) est en effet très utile pour combler des besoins de l'ordre de la "petite appli". Ce sont les sujets où il faut y passer un peu de temps, mais pas grand chose, de l'ordre de quelques jours, avec un périmètre très local au début, comme un service, qui finit par s'étendre.
Quand le besoin auquel répond une suite bureautique est le métier d'une personne ou d'une personne, des logiciels plus adaptés existent déjà (secteur de l'édition, logiciels de statistiques, etc.). Bien souvent, ce sont d'ailleurs les compatibilités de ces logiciels centraux pour une entreprise qui dictent l'OS, etc (équipements des cabinets médicaux libéraux par ex.).
Il y a évidemment d'autres besoins, d'autres outils, d'autres OS, des secteurs d'activités qui travaillent peu ou pas avec Windows et O365 mais le besoin majoritaire c'est d'avoir une suite bureautique avec le moins d'emmerdes possibles en formation, intégration, utilisation, MCO et MCS, tant côté DSI que côté utilisateurs. Force est de constater que le combo Windows + O365 y répond probablement le moins mal par rapport à d'autres solutions pour la plupart des entreprises dont le métier n'est pas l'IT ou dont l'équipement historique n'est pas déjà en dehors de ce combo.
Et toute cette argent est cramé inutilement alors que des logiciels (du commun) pour être développés et du matériel économisé (de mémoire durée de vie moyenne pour un ordi sous windows 3ans, 7 sous linux).
Comme d'habitude, le problème c'est de trouver un modèle de financement soutenable à long terme pour payer les compétences nécessaires au développement, diffusion, support, maintien et amélioration de ces logiciels.
La durée de vie moyenne d'un ordi s'allonge(ait ?) sous Windows car les plafonds de puissance / fonctionnalités étaient globalement atteints pour de la bureautique et usages similaires. Ne reste plus que le marketing / ego / effet de mode pour faire changer, ou les fins de support et autres raisons de sécurité. Ou de nouvelles fonctionnalités type IA... J'espère que l'optimisation logicielle va revenir, mais j'ai peu d'espoir...
Ou alors l'injonction de mise en conformité est une première étape obligatoire avant de passer à des sanctions plus fortes.
Simple hypothèse, je ne suis pas allé voir les qualifications juridiques des pratiques "les plus graves et délibérées" ni les sanctions s'y rapportant.
Le
05/04/2024 à
19h
21
Ni l'un, ni l'autre, l'application de la loi. https://www.europe-consommateurs.eu/achats-internet/les-influenceurs.html
Par contre cet outil ne tient pas compte de l’expérience. Les meilleures sources que je connaisse alors sont sectorielles, par exemple : République Française
Depuis ils ont eu des blindés, équipables en mitrailleuses (pour l’avenir probablement )
Non, pour les OPEX (Opérations Extérieures). La gendarmerie commence à entrer en possession des remplaçants des VBRG, les Centaures. Il est en effet possible de les équiper en mitrailleuse pour les engagements de la Gendarmerie en OPEX. Voir ici et là. (Un des articles résumant le mieux tout ça et démystifiant l’usage est de BFM. J’ai été le premier surpris. ^^‘)
La photo souvent reprise vient de Wikipedia, qui présente une photo probablement prise lors d’un évènement de présentation / commercial avec panoplie complète de ce qui peut être monté dessus, comprenant donc une mitrailleuse.
Récemment même ils tirent des munitions militaires (liseret rouge, je ne suis pas spécialiste) dont le souffle suffit à crever/blesser les yeux en manifestations.
Sources ? Les seules références que je trouve à propos de liseré / pointe rouge sur des munitions militaires sont soit pour améliorer l’aérodynamisme (pointe creuse en particulier), soit pour marquer des balles traçantes, soit pour marquer des balles perforantes incendiaires traçantes (pointe argent à liseré rouge standard OTAN d’après “La traçabilité des munitions” du GRIP).
Quant au seul effet de souffle blessant les yeux, je n’ai jamais rien vu là-dessus. Avez-vous une source ?
Il n’y a aucun “service” de l’État. Je pense que cette notion est faite pour donner des obligations de sécurité à des entités privées.
Et pour rebondir sur la brève, il semble normal que la DGSI intervienne quand on attaque un service de l’État, même si ici, c’était plutôt des Pieds nickelés.
(reply:2126119:[Ledieu-Avocats])
Les services civils et militaires de l’État déjà couverts par la LPM (loi de programmation militaire) 2014-2019 (loi n° 2013-1168) ne sont pas concernés par la directive NISv1 transposé dans le droit français par la loi n° 2018-133. L’article 5 de cette loi précise que les opérateurs mentionnés aux articles L. 1332-1 et L. 1332-2 du code de la défense pour les SI mentionnés à l’article L. 1332-6-1 du même code ne sont pas assujeties aux dispositions du chapitre II de cette loi. Les dispositions de ce chapitre concernent la SSI (sécurité des systèmes d’informations) des OSE (opérateur de service essentiel).
Autrement dit, un OSE est un opérateur qui n’est pas déjà OIV (opérateur d’importance vitale).
Or les OIV sont répartis en 12 secteurs, parmi lesquels les activités civiles, judiciaires et militaires de l’État, formant la dominante régalienne. République Française République Française
Les OIV sont soumis à la DNS (directive nationale de sécurité) de leur secteur ainsi qu’à l’arrêté pris pour leur secteur d’importance vitale. Objectifs des DNS : https://www.senat.fr/rap/l14-446/l14-4461.html Arrêté pour les OIV du secteur “Activités civiles de l’État” : République Française
Sans disposer de la liste des OIV du secteur “Activités civiles de l’État”, il me semble raisonnable que le ministère des Finances y soit inclus, écartant de fait la qualification d’OSE.
Si bien sûr. Les utilisateurs peuvent ne pas être administrateur local, c’est-à-dire ne pas disposer des droits d’installation entre autres choses.
Par contre, il est beaucoup plus difficile de bloquer un lien envoyé par mail, que ce soit sur Windows ou Linux… Sur MacOS aussi probablement, mais je n’ai jamais utilisé. Les liens avec téléchargement direct d’une charge malveillante sont plus rares que par le passé. Un scénario récurrent aujourd’hui est l’envoi d’un lien par mail avec redirection vers un site imitant l’authentification Microsoft pour accéder à un fichier soit-disant partagé par un collègue ou équivalent.
Et donc ? Tu m’expliques comment ceux ayant renseigné les Pentagon Papers ont pas été jugé pour trahison/espionnage ?
Je n’en sais rien, je ne me suis pas renseigné sur cette affaire. En plus, ce n’est pas le sens de mon propos, ne saute pas aux conclusions que je n’ai pas faites !
Je faisais référence à cette remarque : “ Pas du tout. Tu peux pas trahir ton pays ou l’armée si tu ne fais ni parti de l’armée ou que tu es pas militaire “
Je n’étais pas sûr du sens que tu donnais à cette phrase et visiblement @OlivierJ l’a compris dans le même sens que moi (commentaire n° 67).
Tu peux tout à fait trahir ton pays en ne faisant pas partie de l’armée, puisque la condition c’est d’être national, pas d’être militaire.
Ça concerne tout le monde, civils et militaires, citoyens et non-citoyens d’un pays. Pour prendre le cas français, la définition n’est pas par rapport à la personne qui a fait quelque chose, mais par rapport à son acte : “atteinte aux intérêts fondamentaux de la Nation” par exemple.
Le fait d’être un national permet de qualifier l’acte comme une trahison et pour un non national, d’espionnage.
“Les cas de recours à l’arme nucléaire, incluant les cas de frappes en premier, sont :”
Quand on parle de frappe en premier, on ne parle pas de qui commence la guerre, mais de qui utilise en premier une arme nucléaire.
L’obtention d’information fiables sur le lancement de missiles balistiques, qui peuvent tout à fait être à tête conventionnelle (SS-18 par exemple). S’il y a un lancement nucléaire en réponse à ces informations, c’est bien une frappe nucléaire en premier.
L’emploi par un adversaire d’armes nucléaires ou de destruction massive contre le territoire russe et/ou contre le territoire d’un allié
Des armes de destruction massive ne sont pas forcément des armes nucléaires.
Du coup, si on a entraîné l’incapacité de la force de seconde frappe russe, ils vont être bien embêtés pour frapper en premier.
Le mot important est : pourraient, ce qui pose la question de l’évaluateur des dommages potentiels.
Une agression contre la Russie à l’aide d’armes conventionnelles de nature à remettre en question l’existence même de l’État.
C’est une frappe en premier, une arme conventionnelle n’est pas, par définition, nucléaire.
C’est totalement l’objectif de la dissuasion nucléaire : tu peux être aussi puissant que tu veux (niveau militaire conventionnel), si tu menaces l’existence d’un pays nucléarisé, ta propre existence est mise en jeu.
C’est plus compliqué. Les 5 membres permanents du conseil de sécurité de l’ONU ont réaffirmé en 95 la non utilisation d’armes nucléaires contre des pays qui n’en sont pas dotés. Pour les 4 autres, je ne sais pas s’ils ont aussi cette doctrine.
Le
26/02/2022 à
18h
27
Que la Russie possède l’arme nucléaire est une information importante mais non suffisante. La doctrine d’emploi permet de juger de la crédibilité de la menace. D’après l’analyse d’IDN-FR de la doctrine russe de recours aux armes nucléaires publiée en juin 2020, la Russie s’autorise le recours au feu nucléaire en seconde frappe (comme la France), mais aussi en première frappe, sans nécessité d’agression nucléaire.
Les cas de recours aux armes nucléaires en premier sont, d’après le lien cité au-dessus :
L’obtention d’informations fiables sur le lancement de missiles balistiques ciblant le territoire de la Russie et/ou de ses alliés ;
L’emploi par un adversaire d’armes nucléaires ou de destruction massive contre le territoire russe et/ou contre le territoire d’un allié ;
Une agression contre des infrastructures vitales, civiles ou militaires, dont les dommages pourraient entraîner l’incapacité de la force de seconde frappe russe ;
Une agression contre la Russie à l’aide d’armes conventionnelles de nature à remettre en question l’existence même de l’État.
Tu veux dire qu’on ne t’apprend pas que certaines personnes peuvent transformer l’eau en vin, démultiplier les poissons ou marcher sur l’eau ?
Hélas, ni la transmutation des éléments, ni la création ex nihilo, ni la marche sur l’eau n’étaient au programme. Par contre les échelles de teintes (ah, la délicieuse odeur du chou rouge !), la production de nylon et la natation, oui. ;)
Le
31/01/2022 à
12h
53
? En hors contrat peut-être. Pour les écoles sous contrat, non. Ce n’est pas l’heure hebdomadaire de FHC (Formation Humaine et Chrétienne, ça s’appelait comme ça dans mon collège / lycée) qui y changera quoi que ce soit. D’ailleurs cette heure était bien plus portée valeurs humaines que valeurs chrétiennes, même si les deux peuvent aller ensemble.
Ce qui en fait désormais des dispositions de… droit commun, et non plus d’état d’urgence. Pour ou contre est une autre question.
Le
18/01/2022 à
10h
39
Oui. Mais majoritairement un état d’urgence dû à la menace terroriste djihadiste (~2 ans). La levée était programmée fin juillet 2016, après 8 mois et demi, mais l’attentat de Nice a mis fin à ce projet. Cet état d’urgence là est fini depuis le 1er novembre 2017.
L’état d’urgence sanitaire est de création récente en France (mars 2020). Dans peu de temps, la durée de l’état d’urgence sanitaire sera supérieure à celle de l’état d’urgence.
En gros, trois ans sans état d’urgence et quatre ans avec, pour une période du 1er janvier 2015 au 31 décembre 2021.
Tiens ça m’intéresse comme raisonnement ; j’avais plutôt cru comprendre que l’hydrogène était une impasse technologique vis à vis du fait qu’à produire les coûts énergétiques sont faramineux (tant en énergie brute qu’en terme de matières premières), et que pour son stockage et transport ça demande une logistique très complexe et coûteuse (gaz à pressuriser énormément, très inflammable, etc.). Et que, comparé à un équivalent batterie, l’avantage énergétique et écologique était à la batterie, surtout vu les évolutions récentes et futures en la matière.
Si t’as d’autres sons de cloche je suis preneur ! Il me semble que le Japon s’intéresse de près à cette techno à grande échelle, et je ne suis pas sûr qu’ils fassent ça complètement en dépit du bon sens (mais bon, entre politique et pratique il y a parfois un monde donc ça ne m’étonnerait presque pas )
Il y a des productions où l’hydrogène est un produit fatal. Donc le coût énergétique de production est déjà là, alors autant le valoriser si possible. Pour le reste, je ne sais pas.
Pour compléter la réponse de @bugsbriez, c’est ce qui s’appelle un vice de procédure. Pour faire simple, une affaire avec un tel vice est une aubaine pour la défense, puisqu’elle peut plaider la relaxe pleine et immédiate, décision qui s’impose à ma connaissance.
Vous ne voudriez pas que Police et Justice fonctionne encore plus mal qu’aujourd’hui ?
OK ils pourront pas s’en servir aux procès, mais c’est pas ça qui va les arrêter.
Oh que si ! Si la preuve n’est pas présentée au procès, elle n’existe pas. Si elle n’est pas communiquée aux parties/versée au dossier d’instruction, elle n’existe pas. Comment un magistrat peut soutenir (procureur) ou rendre (juge du siège) un jugement fondé sur des preuves inexistantes ? A nouveau, votre affaire est viciée et vous aurez pour seul résultat la nullité.
Qu’est ce qu’ils risquent…. de toute façon ils peuvent tabasser des gens sans qui ne se passe rien alors c’est pas 2⁄3 procédures illégale qui vont faire quoique ce soit, surtout qu’on en saura jamais rien et que ce sera fait par “personne”.
Leur carrière… Ce que vous dites est faux… L’IGPN n’est pas très tendre avec les brebis galeuses. Malheureusement, le temps des médias n’est pas celui d’une enquête disciplinaire et la maîtrise de la procédure ainsi que sa rigueur est à l’avenant du temps consacré…
Une procédure illégale dans une enquête de criminialité organisée et vous pouvez être sûr et certain que ce sera soulevé par la défense, à raison. Vous aurez perdu des mois de travail et fait perdre autant de temps à vos collègues.
Allez travailler un mois avec la Police avant de cracher dessus.
Est-ce qu’une guerre (même une escarmouche défensive) serait bénéfique ? Autant la Turquie n’a pas l’arme atomique (enfin seulement via l’OTAN mais je doute qu’elle puisse s’en servir si facilement), autant la Russie en dispose largement.
Vous avez raison de douter :) La Turquie ne dispose pas de l’arme nucléaire, pas plus que l’Allemagne ou la Belgique. Ces pays ont un dépôt de bombes nucléaires américaines sur leur sol (à Incirlik pour la Turquie) et l’emploi est conditionné à une double clé. L’une est détenue par le pays de l’OTAN, l’autre par les USA. Globalement, le poids des USA permet de dire qu’ils dictent les conditions d’emploi de leurs bombes.
Pour rebondir sur la remarque de @Zetny et si je comprends a peu près la manière dont facebook propose des contenus : facebook reconnaît à demi-mot que l’algo de gestion de la proposition des contenus est mauvais et exploite des failles cognitives. Pour ne pas taper sur le même en permanence, comme tous les médias sociaux.
Non, je sais, ce n’est plus une grande découverte…
A ma connaissance les mécanismes de verrouillages se basent sur les logs pour agir. Or comme l’exploitation de cette vulnérabilité permet de ne pas écrire la ligne de log à chaque tentative…
57 commentaires
Les données de 126 000 à 530 000 patients d’un hôpital privé de Saint-Étienne dérobées
11/07/2025
Le 11/07/2025 à 11h 05
Demande de rançon pour ne pas diffuser ou vendre les données volées.Sans garantie aucune évidemment.
Cela rejoint les principes de double et triple extortions.
Stop Killing Games : la mobilisation entre dans sa dernière ligne droite
27/06/2025
Le 28/06/2025 à 21h 24
PC Cloud : Windows 365 va provisionner des applications et permettre des « PC de réserve »
26/06/2025
Le 26/06/2025 à 08h 54
Un lien très utile pour aider à comprendre la jungle des produits et offres MS : M365mapsUn assistant IA sécurisé et souverain pour aider la Justice ?
24/06/2025
Le 24/06/2025 à 23h 44
A ma connaissance, c'est le cas. Légifrance dispose d'un outil de gestion des versions et de navigation dans celui-ci.
Un exemple au hasard : Code Civil Art 16-10. On y retrouve les différentes versions de l'article (1994, 2004, 2021, 2023), les liens vers les articles des textes de loi modifiant cet article du Code Civil, l'état de l'article (en vigueur, en vigueur étendu, en vigueur modifié, obsolète / supprimé). Les liens sont également présents dans l'autre sens, de la loi vers le texte qu'elle modifie.
Il y a aussi la possibilité de choisir une date et de disposer de la version figée du texte à ce moment.
Dans le cadre de l'ouverture des données, l'Etat met à disposition les données de Légifrance via une API (détails et documentation) sur le portail PISTE.
On peut reprocher beaucoup à l'Etat dans le Numérique et sa gestion, mais Légifrance est à mon avis très bien construit et très réussi. La DILA fournit deux très bons sites, avec celui-ci et Service-Public.
En m'avançant un peu, je dirais que ce site est encore plus accessible pour les personnes connaissant les gestionnaires de versions, car l'abstration est identique.
Trump Mobile : entre téléphone doré et conflit d’intérêts
17/06/2025
Le 17/06/2025 à 22h 40
Donald Trump a été élu 45è puis 47è président des Etats-Unis, d'où la symbolique associée.La Presse Libre : des médias indépendants s’associent autour d’un abonnement commun
04/06/2025
Le 15/06/2025 à 00h 21
J'en profite pour signaler l'existence du pass lecture / culture de la BNF, permettant d'accéder à un très grand nombre de médias en ligne via des portails comme Generalis, Europresse, etc.Les consommations gargantuesques des géants du Net en eau et électricité
10/06/2025
Le 15/06/2025 à 00h 06
J'ai toujours un peu de mal avec ces comparaisons, même si elles sont utiles et nécessaires. Ce n'est peut-être que moi, mais j'ai du mal à trouver ça parlant. Les comparaisons avec des procédés industriels me parlent plus. Sans doute un biais lié à mon environnement professionnel, l'industrie lourde.Il serait sans doute intéressant de faire ce genre de comparaisons avec des procédés de commodités industrielles.
L'entreprise dans laquelle je travaille produit 600 000 à 800 000 tonnes de produit principal par an et autant - à grosse maille, je vous épargne les détails - en co-produits et productions fatales à l'aide de 3 à 4 TWh d'énergie. La moitié vient du gaz et l'autre de l'électricité. La majeure partie de cette énergie sert à deux salles d'électrolyses de 100 MW chacune. L'entreprise est dite électro-intensive.
Dans les communautés de Wikipédia, l’utilisation de l’IA ne passe pas
13/06/2025
Le 14/06/2025 à 12h 50
Le 13/06/2025 à 22h 54
Pourquoi l’IA oblige les datacenters à se réinventer
06/06/2025
Le 14/06/2025 à 12h 44
Ukraine : à Kherson, la Russie commet des « crimes contre l’humanité » assistés par drones
03/06/2025
Le 03/06/2025 à 23h 56
Pour éclairer un peu le sujet à l'aune de mes (maigres) connaissances sur celui-ci. Le droit des conflits armés (DCA), droit de la guerre ou encore droit international humanitaire (DIH) est une des branches du droit international public.C'est un droit ancien, souvent d'origine coutumier et permettant de mettre des limites morales et éthiques à ce qui est permis en état de conflit entre des parties.
Il est principalement composé de la convention de Genève et de ses documents afférents (annexes, protocoles), de la conférence et de la convention de la Haye et des conventions sur la maîtrise des armements (convention d'Ottawa, d'Oslo, CIAC, START, SALT, etc.).
La convention d'Ottawa traite des mines antipersonnels, celle d'Oslo des armes à sous-munitions, la CIAC des armes chimiques, la CABT des armes biologiques, SALT et START des armes stratégiques et nucléaires.
La convention de la Haye traite de la protection des biens culturels, la conférence de la Haye du désarmement et de la prévention de la guerre.
La convention de Genève porte sur la protection des populations non combattantes en temps de guerre (civils et prisonniers).
En général, on ne parle que de cette dernière, alors que le champ est beaucoup plus vaste.
Une notion importante absente jusqu'ici des discussions il me semble est la notion de signature et de ratification de ces traités, conventions, protocoles, etc.
Un pays n'est engagé par ceux-ci que s'il les signe et ratifie.
Un pays peut sortir de ces conventions. La Russie l'a fait sur un point précis du premier protocole additionnel de la convention de Genève en 2019, la Finlande vient de se retirer de la convention d'Ottawa (mines antipersonnels).
Ni la Russie, ni la Chine, ni les Etats-Unis n'en n'ont jamais fait partie.
Dans le même ordre d'idée, les trois mêmes pays n'ont jamais adhérés ou n'ont pas terminé le processus d'adhésion (ratification) au statut de Rome (Cour pénale internationale).
La Russie est partie des conventions de Genève I à IV et des protocoles additionnels I (sauf article 90) et II. Elle a signée mais pas ratifiée le protocole additionnel III.
Trump brandit la menace d’une taxe de 25 % sur les smartphones produits ailleurs
26/05/2025
Le 26/05/2025 à 23h 49
Il y a presque cinq ans entre la décision d'investissement et la mise en service.
Avec la force de frappe d'Apple dans tous les domaines, on peut sans doute descendre à deux ans et demi ou trois ans, guère moins. Certaines pièces sont dessinées et produites à façon, avec un délai de production de plus d'un an et demi et moins de cinq usines dans le monde, dont (par exemple) deux en Chine, une au Japon, une aux USA et la dernière éventuellement en Europe.
L'investissement représente 20 à 30% du CA annuel.
Stationnement : vol de données au sein du groupe Indigo
22/04/2025
Le 22/04/2025 à 10h 57
L’article 8ter sur les portes dérobées enterré : « C’était une énorme connerie »
21/03/2025
Le 21/03/2025 à 15h 34
Je me permet de m'autociter sur l'adoption de la première version de l'article 8ter de la loi "Narcotrafic".TLDR : Pas le même contexte de vote. Détails, explications et liens dans mon commentaire en lien (et les autres commentaires de l'article en question).
Sur les députés : oui, certains savent de quoi ils parlent. Tout comme certains sénateurs. Sur la cybersécurité, par ex. O. Cadic, C. Morin-Desailly, C. Narassiguin.
edit : orthographe
Cybersécurité : la transposition des directives NIS2, DORA et REC passe le Sénat
13/03/2025
Le 15/03/2025 à 06h 40
L'amendement pour le projet de loi "Résilience" a été voté lors d'un scrutin public, ce qui n'est pas le cas de l'amendement du projet de loi "Narcotrafic". La masse de votants n'est donc pas du tout la même et le moyen de vote (main levée, non public) non plus.
L'un des plans les plus larges que j'ai pu trouver du Sénat, 2 minutes 30 après le vote de cet amendement.
Discussion de cet amendement. Le vote est à 1h 24min 41s.
Le 14/03/2025 à 11h 43
Les investissements et coûts opérationnels sont peu chiffrés et c'est un travail auquel s'astreine les fédérations afin d'éviter les sur-transpositions et objectifs de sécurité irréalistes. Le travail le plus important est lié au référentiel technique des mesures que doit produire l'ANSSI.
Le 13/03/2025 à 17h 49
Edit : Amendement du Sénateur Cadic sur les portes dérobées. Les interventions ne sont pas unanimes. Par exemple le sénateur Hugonet a vigoureusement combattu l'amendement (à partir de 3h 47min 25s) alors que plusieurs de ses collègues l'ont tout aussi vigoureusement défendu (par ex. la sénatrice Morin-Dessaily juste après). C'est l'amendement le plus long et débattu du projet de loi. Il a concentré 30 minutes des débats pour environ 6 heures de séance publiques consacrées à ce texte et 119 amendements discutés.
OnlyOffice 8.3 s’ouvre aux fichiers iWork et Hancom Office
10/02/2025
Le 12/02/2025 à 10h 12
Bonjour, je crois bien que c'est dans l'autre sens : R7-Office est un fork d'OnlyOffice, effectué en 2018.R-7 Office, Wiki russe
Le propriétaire / dév de OnlyOffice est Ascensio System SIA.
Only Office - Wikipédia fr
Site d'OnlyOffice
Ascensio System SIA est une société initialement lettone, aujourd'hui une holding singapourienne.
Même votre lien va dans ce sens :
'''
"P7-Office" is an offshoot of OnlyOffice (formerly Teamlab)[...]
"'
La chaîne "only" est présente 35 fois dans votre lien, mais une fois pour "Only Office".
En regardant en diagonale, je n'ai pas identifié la nécessité d'un composant propriétaire.
Edit : mise en forme lien
Trump demande à l’Ukraine une « garantie sur les terres rares » en échange d’aide
04/02/2025
Le 05/02/2025 à 00h 18
L'un ne va pas être sans l'autre évidemment, mais que la production d'obus de 155mm ne suive pas n'est pas directement à la main de Nexter, mais à celles d'Eurenco et des autres industriels des poudres et explosifs et de leur chaîne d'approvisionnement.
Les problèmes rencontrés en Europe et dans le monde occidental en général sont celles des remontées en cadence, y compris pour les américains : volume plus ou moins assuré de vente, augmentation des capacités, suppression ou réduction des dépendances étrangères dans les chaînes d'approvisionnements si possible et constitutions de stocks (voir par ex. sur ces sujets les auditions à l'Assemblée Nationale des DG de Safran, Airbus, Naval Group, Eurenco, Aubert et Duval - Commission de la Défense, passage à l'économie de guerre, audition de Safran, Airbus, Naval Group et Commission de la Défense, passage à l'économie de guerre, audition de Aubert et Duval et Eurenco ), formation, bassin d'emploi, etc.
A ce titre, la déclaration de Trump montre bien cet aspect de volonté de maîtrise des ressources stratégiques et de réduction des dépendances à l'égard de la Chine.
Dans un an, fin de route pour Windows 10
15/10/2024
Le 17/10/2024 à 23h 15
Pas complètement d'accord pour l'inflexibilité de Microsoft. Je verrais plutôt un scénario comme la fin de Windows XP, avec des maj de sécurité uniquement pour les vulnérabilités critiques déjà exploitées publiquement (comme EternalBlue en 2017, à l'origine de WannaCry, Addylkuz et NotPetya), sans garantie d'aucune sorte, au cas par cas.
Le 17/10/2024 à 23h 08
Pas de bugs majeurs imposant un arrêt du déploiement et un retour arrière chez nous pour plusieurs centaines de postes migrés.Par contre des problèmes liés à des mises à jour, comme le blocage natif du NTLMv1, ce qui a l'avantage de nous pousser à remplacer ou mettre à jour les vieilles applis.
On peut toujours bricoler, mais au préjudice de la sécurité.
Le 17/10/2024 à 22h 58
Le 16/10/2024 à 01h 33
Les DSI peuvent y réfléchir mais abandonnent très vite en général, hors entreprise d'IT pure.Pour Outlook, c'est vendu avec le point suivant (O365), donc pourquoi gaspiller de l'argent et de temps à acheter, intégrer, maintenir et former sur un deuxième produit qui fait la même chose, en moins bien intégré au reste des produits O365 ?
Pour O365 : Il n'y pas beaucoup de choix sur le marché en réalité pour des entreprises voulant un truc standard, intégré, collaboratif, avec le moins de conduite du changement possible et qui juste marche.
Déjà que la plupart des gens connaissent très mal les outils qu'ils manipulent depuis des années (l'exemple de la secrétaire et des pointillés), alors passer sous LO, collaboraOnline, etc. c'est compliqué.
Et puis la plupart des gens n'en ont pas grand-chose à faire. L'informatique est un outil pour eux, un outil malcommode, difficile, qui change souvent. Ils veulent juste un outil qui marche pour obtenir le résultat escompté.
Oui, O365 c'est cher, mais Microsoft a réussi depuis 20 ans un tour de force magistral sur le marché de la suite bureautique d'entreprise.
Windows fait partie de ce tour de force magistral. Ce qui bloque le plus souvent immédiatement toute réflexion de changement vers Mac + Office for Mac (si encore existant ?) est le prix du matériel et la compatibilité des logiciels. Pour le passage sous Linux, la compatibilité logicielle, comme vous le notez, et trouver un remplaçant à la suite bureautique sont les problèmes majeurs. On peux bien sûr trouver certains moyens, comme des clients légers Linux et une ferme RDS, mais ça ne résoud que la partie OS.
Comme le note Yarno, Excel est un pied dans la porte quasi inamovible. Les entreprises qui quittent Office / O365 gardent quand même des licences Excel pour le contrôle de gestion au minimum, voire la DAF entière car la comptabilité et son contrôle sont fortement liées à Excel depuis plus d'un quart de siècle.
De ce que je vois, Excel (et son VBA) est en effet très utile pour combler des besoins de l'ordre de la "petite appli". Ce sont les sujets où il faut y passer un peu de temps, mais pas grand chose, de l'ordre de quelques jours, avec un périmètre très local au début, comme un service, qui finit par s'étendre.
Quand le besoin auquel répond une suite bureautique est le métier d'une personne ou d'une personne, des logiciels plus adaptés existent déjà (secteur de l'édition, logiciels de statistiques, etc.). Bien souvent, ce sont d'ailleurs les compatibilités de ces logiciels centraux pour une entreprise qui dictent l'OS, etc (équipements des cabinets médicaux libéraux par ex.).
Il y a évidemment d'autres besoins, d'autres outils, d'autres OS, des secteurs d'activités qui travaillent peu ou pas avec Windows et O365 mais le besoin majoritaire c'est d'avoir une suite bureautique avec le moins d'emmerdes possibles en formation, intégration, utilisation, MCO et MCS, tant côté DSI que côté utilisateurs.
Force est de constater que le combo Windows + O365 y répond probablement le moins mal par rapport à d'autres solutions pour la plupart des entreprises dont le métier n'est pas l'IT ou dont l'équipement historique n'est pas déjà en dehors de ce combo.
Comme d'habitude, le problème c'est de trouver un modèle de financement soutenable à long terme pour payer les compétences nécessaires au développement, diffusion, support, maintien et amélioration de ces logiciels.
La durée de vie moyenne d'un ordi s'allonge(ait ?) sous Windows car les plafonds de puissance / fonctionnalités étaient globalement atteints pour de la bureautique et usages similaires. Ne reste plus que le marketing / ego / effet de mode pour faire changer, ou les fins de support et autres raisons de sécurité. Ou de nouvelles fonctionnalités type IA...
J'espère que l'optimisation logicielle va revenir, mais j'ai peu d'espoir...
La DGCCRF contrôle 310 influenceurs et délivre 151 avertissements, injonctions et suites pénales
05/04/2024
Le 05/04/2024 à 19h 24
Ou alors l'injonction de mise en conformité est une première étape obligatoire avant de passer à des sanctions plus fortes.Simple hypothèse, je ne suis pas allé voir les qualifications juridiques des pratiques "les plus graves et délibérées" ni les sanctions s'y rapportant.
Le 05/04/2024 à 19h 21
Ni l'un, ni l'autre, l'application de la loi.https://www.europe-consommateurs.eu/achats-internet/les-influenceurs.html
STMicroelectronics condamnée pour discrimination sexuelle
10/11/2023
Le 12/11/2023 à 18h 10
L’INSEE suit les salaires du privé et du public, par profession suivant la nomenclature PCS-ECE 2017 et dispose d’un outil de visualisation.
https://www.insee.fr/fr/outil-interactif/5369554/index.html
Par contre cet outil ne tient pas compte de l’expérience. Les meilleures sources que je connaisse alors sont sectorielles, par exemple :
République Française
(cyber.gouv.fr est le nouveau site de l’ANSSI).
Peut-être que la DARES a des données ?
Couper les réseaux sociaux n’est pas un projet du gouvernement
06/07/2023
Le 06/07/2023 à 15h 13
Non, pour les OPEX (Opérations Extérieures). La gendarmerie commence à entrer en possession des remplaçants des VBRG, les Centaures. Il est en effet possible de les équiper en mitrailleuse pour les engagements de la Gendarmerie en OPEX. Voir ici et là.
(Un des articles résumant le mieux tout ça et démystifiant l’usage est de BFM. J’ai été le premier surpris. ^^‘)
La photo souvent reprise vient de Wikipedia, qui présente une photo probablement prise lors d’un évènement de présentation / commercial avec panoplie complète de ce qui peut être monté dessus, comprenant donc une mitrailleuse.
Sources ?
Les seules références que je trouve à propos de liseré / pointe rouge sur des munitions militaires sont soit pour améliorer l’aérodynamisme (pointe creuse en particulier), soit pour marquer des balles traçantes, soit pour marquer des balles perforantes incendiaires traçantes (pointe argent à liseré rouge standard OTAN d’après “La traçabilité des munitions” du GRIP).
Quant au seul effet de souffle blessant les yeux, je n’ai jamais rien vu là-dessus. Avez-vous une source ?
Le pirate des impôts trahi par les microcoupures de son VPN
24/03/2023
Le 24/03/2023 à 10h 34
Les services civils et militaires de l’État déjà couverts par la LPM (loi de programmation militaire) 2014-2019 (loi n° 2013-1168) ne sont pas concernés par la directive NISv1 transposé dans le droit français par la loi n° 2018-133. L’article 5 de cette loi précise que les opérateurs mentionnés aux articles L. 1332-1 et L. 1332-2 du code de la défense pour les SI mentionnés à l’article L. 1332-6-1 du même code ne sont pas assujeties aux dispositions du chapitre II de cette loi. Les dispositions de ce chapitre concernent la SSI (sécurité des systèmes d’informations) des OSE (opérateur de service essentiel).
Autrement dit, un OSE est un opérateur qui n’est pas déjà OIV (opérateur d’importance vitale).
Or les OIV sont répartis en 12 secteurs, parmi lesquels les activités civiles, judiciaires et militaires de l’État, formant la dominante régalienne.
République Française
République Française
Les OIV sont soumis à la DNS (directive nationale de sécurité) de leur secteur ainsi qu’à l’arrêté pris pour leur secteur d’importance vitale.
République Française
Objectifs des DNS : https://www.senat.fr/rap/l14-446/l14-4461.html
Arrêté pour les OIV du secteur “Activités civiles de l’État” :
Sans disposer de la liste des OIV du secteur “Activités civiles de l’État”, il me semble raisonnable que le ministère des Finances y soit inclus, écartant de fait la qualification d’OSE.
Le nombre d’enquêtes cyber explose, celui des attaques par rançongiciels se stabiliserait
16/12/2022
Le 19/12/2022 à 10h 07
Si bien sûr. Les utilisateurs peuvent ne pas être administrateur local, c’est-à-dire ne pas disposer des droits d’installation entre autres choses.
Par contre, il est beaucoup plus difficile de bloquer un lien envoyé par mail, que ce soit sur Windows ou Linux… Sur MacOS aussi probablement, mais je n’ai jamais utilisé.
Les liens avec téléchargement direct d’une charge malveillante sont plus rares que par le passé. Un scénario récurrent aujourd’hui est l’envoi d’un lien par mail avec redirection vers un site imitant l’authentification Microsoft pour accéder à un fichier soit-disant partagé par un collègue ou équivalent.
Interconnexion en France : 2,9 Tb/s de trafic sortant, 35,6 Tb/s en entrant, Netflix creuse l’écart
07/07/2022
Le 08/07/2022 à 19h 11
TikTok
La Justice britannique autorise l’extradition d’Assange, qui pourrait faire appel
21/04/2022
Le 22/04/2022 à 08h 27
Je n’en sais rien, je ne me suis pas renseigné sur cette affaire. En plus, ce n’est pas le sens de mon propos, ne saute pas aux conclusions que je n’ai pas faites !
Je faisais référence à cette remarque :
“
“ Pas du tout. Tu peux pas trahir ton pays ou l’armée si tu ne fais ni parti de l’armée ou que tu es pas militaire
Je n’étais pas sûr du sens que tu donnais à cette phrase et visiblement @OlivierJ l’a compris dans le même sens que moi (commentaire n° 67).
Tu peux tout à fait trahir ton pays en ne faisant pas partie de l’armée, puisque la condition c’est d’être national, pas d’être militaire.
Le 22/04/2022 à 07h 54
Pour la trahison et l’espionnage :
République Française
(Code Pénal, art. 411-1 à 411-11.)
Ça concerne tout le monde, civils et militaires, citoyens et non-citoyens d’un pays. Pour prendre le cas français, la définition n’est pas par rapport à la personne qui a fait quelque chose, mais par rapport à son acte : “atteinte aux intérêts fondamentaux de la Nation” par exemple.
Le fait d’être un national permet de qualifier l’acte comme une trahison et pour un non national, d’espionnage.
Intel va investir 80 milliards d’euros en Europe, un centre de R&D et de conception en France
16/03/2022
Le 17/03/2022 à 11h 19
@dvr-x
La chaîne Youtube d’ATE Chuet, ancien pilote de Rafale est excellente.
YouTube
RT et Sputnik privés de Facebook, Instagram, YouTube et TikTok en Europe
01/03/2022
Le 01/03/2022 à 19h 37
Merci pour l’astuce UBO :)
Élection présidentielle : vous avez jusqu’au 2 mars pour vous inscrire en ligne
25/02/2022
Le 28/02/2022 à 09h 29
Pardon, je me suis mal exprimé :
“Les cas de recours à l’arme nucléaire, incluant les cas de frappes en premier, sont :”
Quand on parle de frappe en premier, on ne parle pas de qui commence la guerre, mais de qui utilise en premier une arme nucléaire.
L’obtention d’information fiables sur le lancement de missiles balistiques, qui peuvent tout à fait être à tête conventionnelle (SS-18 par exemple). S’il y a un lancement nucléaire en réponse à ces informations, c’est bien une frappe nucléaire en premier.
Des armes de destruction massive ne sont pas forcément des armes nucléaires.
Le mot important est : pourraient, ce qui pose la question de l’évaluateur des dommages potentiels.
C’est une frappe en premier, une arme conventionnelle n’est pas, par définition, nucléaire.
C’est plus compliqué. Les 5 membres permanents du conseil de sécurité de l’ONU ont réaffirmé en 95 la non utilisation d’armes nucléaires contre des pays qui n’en sont pas dotés.
Pour les 4 autres, je ne sais pas s’ils ont aussi cette doctrine.
Le 26/02/2022 à 18h 27
Que la Russie possède l’arme nucléaire est une information importante mais non suffisante. La doctrine d’emploi permet de juger de la crédibilité de la menace. D’après l’analyse d’IDN-FR de la doctrine russe de recours aux armes nucléaires publiée en juin 2020, la Russie s’autorise le recours au feu nucléaire en seconde frappe (comme la France), mais aussi en première frappe, sans nécessité d’agression nucléaire.
Les cas de recours aux armes nucléaires en premier sont, d’après le lien cité au-dessus :
Propulsion nucléaire : une convention de recherche entre le CEA, Framatome et Naval Group
25/02/2022
Le 28/02/2022 à 08h 49
Je t’en prie
Le 26/02/2022 à 18h 04
Quelques informations sur la partie militaire sur Opex360 :
Enjeux technologiques et industriels
Forge d’une première pièce par Framatome
Annonce du début des études de conception
Après Neil Young, Joni Mitchell se retire, James Blunt menace et Spotify répond
31/01/2022
Le 31/01/2022 à 14h 11
Hélas, ni la transmutation des éléments, ni la création ex nihilo, ni la marche sur l’eau n’étaient au programme.
Par contre les échelles de teintes (ah, la délicieuse odeur du chou rouge !), la production de nylon et la natation, oui. ;)
Le 31/01/2022 à 12h 53
? En hors contrat peut-être. Pour les écoles sous contrat, non. Ce n’est pas l’heure hebdomadaire de FHC (Formation Humaine et Chrétienne, ça s’appelait comme ça dans mon collège / lycée) qui y changera quoi que ce soit. D’ailleurs cette heure était bien plus portée valeurs humaines que valeurs chrétiennes, même si les deux peuvent aller ensemble.
Passe vaccinal : le Conseil constitutionnel saisi
18/01/2022
Le 18/01/2022 à 12h 54
Ce qui en fait désormais des dispositions de… droit commun, et non plus d’état d’urgence.
Pour ou contre est une autre question.
Le 18/01/2022 à 10h 39
Oui. Mais majoritairement un état d’urgence dû à la menace terroriste djihadiste (~2 ans). La levée était programmée fin juillet 2016, après 8 mois et demi, mais l’attentat de Nice a mis fin à ce projet.
Cet état d’urgence là est fini depuis le 1er novembre 2017.
L’état d’urgence sanitaire est de création récente en France (mars 2020). Dans peu de temps, la durée de l’état d’urgence sanitaire sera supérieure à celle de l’état d’urgence.
En gros, trois ans sans état d’urgence et quatre ans avec, pour une période du 1er janvier 2015 au 31 décembre 2021.
Des radars de bruit testés dans plusieurs communes françaises
04/01/2022
Le 05/01/2022 à 14h 42
Il y a des productions où l’hydrogène est un produit fatal. Donc le coût énergétique de production est déjà là, alors autant le valoriser si possible. Pour le reste, je ne sais pas.
Répression des jeux vidéo en Chine : plus de 20 000 entreprises ferment
04/01/2022
Le 04/01/2022 à 15h 32
C’est déjà le cas, mais pas sur les jeux apparemment : https://www.zonebourse.com/actualite-bourse/Tencent-Alibaba-Didi-Pekin-serre-la-vis–36008175/
Censure constitutionnelle des réquisitions des fadettes et autres données de connexion
03/12/2021
Le 05/12/2021 à 01h 01
Pour compléter la réponse de @bugsbriez, c’est ce qui s’appelle un vice de procédure. Pour faire simple, une affaire avec un tel vice est une aubaine pour la défense, puisqu’elle peut plaider la relaxe pleine et immédiate, décision qui s’impose à ma connaissance.
Vous ne voudriez pas que Police et Justice fonctionne encore plus mal qu’aujourd’hui ?
Oh que si ! Si la preuve n’est pas présentée au procès, elle n’existe pas. Si elle n’est pas communiquée aux parties/versée au dossier d’instruction, elle n’existe pas.
Comment un magistrat peut soutenir (procureur) ou rendre (juge du siège) un jugement fondé sur des preuves inexistantes ?
A nouveau, votre affaire est viciée et vous aurez pour seul résultat la nullité.
Leur carrière… Ce que vous dites est faux… L’IGPN n’est pas très tendre avec les brebis galeuses.
Malheureusement, le temps des médias n’est pas celui d’une enquête disciplinaire et la maîtrise de la procédure ainsi que sa rigueur est à l’avenant du temps consacré…
Une procédure illégale dans une enquête de criminialité organisée et vous pouvez être sûr et certain que ce sera soulevé par la défense, à raison. Vous aurez perdu des mois de travail et fait perdre autant de temps à vos collègues.
Allez travailler un mois avec la Police avant de cracher dessus.
Edit : https://actu.dalloz-etudiant.fr/focus-sur/article/des-vices-de-procedure/h/b59824bb7d3f01a03d23eef8febac764.html
Guerre froide dans l’espace : la Russie détruit un de ses satellites, un acte « irresponsable »
16/11/2021
Le 16/11/2021 à 16h 43
Vous avez raison de douter :)
La Turquie ne dispose pas de l’arme nucléaire, pas plus que l’Allemagne ou la Belgique. Ces pays ont un dépôt de bombes nucléaires américaines sur leur sol (à Incirlik pour la Turquie) et l’emploi est conditionné à une double clé. L’une est détenue par le pays de l’OTAN, l’autre par les USA. Globalement, le poids des USA permet de dire qu’ils dictent les conditions d’emploi de leurs bombes.
Le projet de loi pour prolonger le passe sanitaire jusqu’au 31 juillet 2022
14/10/2021
Le 17/10/2021 à 12h 38
Même chose que @anagrys.
Merci beaucoup pour ces commentaires très éclairants.
Instagram et les adolescents : dans la tourmente, Facebook fait de (molles) annonces
11/10/2021
Le 11/10/2021 à 10h 11
Pour rebondir sur la remarque de @Zetny et si je comprends a peu près la manière dont facebook propose des contenus : facebook reconnaît à demi-mot que l’algo de gestion de la proposition des contenus est mauvais et exploite des failles cognitives. Pour ne pas taper sur le même en permanence, comme tous les médias sociaux.
Non, je sais, ce n’est plus une grande découverte…
Blocage des sites pornos : échec devant le juge des référés, la balle dans le camp du CSA
08/10/2021
Le 08/10/2021 à 14h 15
“et respectant le principe du contradictoire” ?
Azure Active Directory : une faille permet des attaques par force brute contre les identifiants
04/10/2021
Le 05/10/2021 à 12h 16
A ma connaissance les mécanismes de verrouillages se basent sur les logs pour agir. Or comme l’exploitation de cette vulnérabilité permet de ne pas écrire la ligne de log à chaque tentative…