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numerid

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2594 commentaires

Le 25/03/2015 à 16h 00

Je veux bien passer pour demeurée, mais en quoi Bercy, qui est le siège du ministère des finances (de l’économie ou quelque soit son nom selon les gouvernements, bref le ministère de l’argent), donc en quoi ce ministère est compétent en matière de liberté de la presse ?



Bercy n’est pas le ministère de la justice, dont le domaine est plutôt la loi et son application, ni celui de la culture (souvent associée à la communication), ni même celui de l’éducation. Donc de quoi se mêle ce fichu Bercy qui est partout et dont l’herbe ne repousse plus après son passage tellement elle a été tondue.

Le 13/03/2015 à 09h 07







bill_door a écrit :



Je serais curieux de savoir quelle proportion de la population utilise Tweeter en dehors des journalistes, politiques et des directions de la communication? J’ai comme le sentiment qu’il s’agit d’un bavardage entre communicants. 





Pas beaucoup :-).



 Personnellement, comme beaucoup, je me contente des tweet qui sont rebalancés ici et là. D’ailleurs j’ai oublié mes accès à Twitter.  Ça permet de gagner du temps.


Le 11/03/2015 à 15h 45

Ils ont des profs compétents pour ça au fait ? C’est la première question qu’il faut se poser…

Le 11/03/2015 à 13h 40

Faut patienter combien de temps pour avoir accès au paiement ?

Ce ne serait pas une peu en rade par hasard ?

Le 10/03/2015 à 18h 17







Guiguiolive a écrit :



Et maintenant, ils regrettent amerement. Non seulement parce qu’ils doivent réapprendre a se servir de l’ordinateur, et qu’ils galerent (malgré l’intuitivité supposée de Mac OS), mais aussi et surtout parce qu’il n’y a qu’une capacité de stockage extremement restrainte, et ils se retrouvent avec un super ordinateur tres leger et plat, branché H24 a un disque externe…

 





Apple OS était effectivement ce qu’il y avait de plus intuitif et ergonomique… dans les années 1980-1990, depuis il a surtout gardé sa réputation. Mais clairement les autres OS sont devenus plus ergonomiques pour des tas de raisons, notamment d’accessibilité ou encore bêtement de choix.

Sinon c’est ce qu’il y a de mieux Apple, on n’a pas le choix de l’OS ni vraiment de la configuration, ni de tout un tas d’autres trucs, mais c’est ce qu’il y a de mieux. Ça ne se discute pas, c’est un dogme établi.

 


Le 10/03/2015 à 12h 16







TdbSpidey a écrit :



C’était quand déjà le “je suis charlie” pour la liberté d’expression?





Ben quoi ! C’est fragile la liberté d’expression, la mettre dans un coffre-fort bien cadenassé est une bonne solution pour quelle ne s’use pas. Comme ça on pourra toujours la ressortir, intacte, de temps à autre.


Le 09/03/2015 à 16h 05

Ça devrait être entièrement français, avec si on veut, une version anglaise, voire dans d’autres langues. C’est une forme de paresse insigne que de se restreindre à l’anglais quand on a la richesse d’être né francophone et d’avoir appris l’anglais (voire d’autres langues) doublée de bêtise à mon avis.

Le 09/03/2015 à 14h 42

On a le droit d’enregistrer ça dans un autre format et de le mettre en ligne ?

Si oui, faut demander. Je pourrais faire en odt, pdf et probablement epub.



PS : heureusement que c’est un rapport français parce que c’est pas mal écrit en étranger…

Le 09/03/2015 à 13h 41

Je n’ai jamais écrit qu’en Hollande l’impôt sur le revenu est nul sur les redevances de la propriété intellectuelle parce que je n’en sais rien. Par contre, en France les droits d’auteurs sont fiscalement assimilés à des salaires (et oui !). Ça fait des années que je fais des déclarations d’impôts avec des versements d’AGESSA.



De toute façon, le problème global de la fiscalité internationale repose sur une harmonisation des conventions fiscales entre états. Et ça semble très difficile à mettre en place. En fait certains vont ailleurs parce que les conventions fiscales sont favorables et pas uniquement le système fiscal.

Le 09/03/2015 à 11h 52







clacbec a écrit :



Ha c’est la merde, la technique numéro 1 pour ne pas payer d’impôts c’est de détourner la propriété

intellectuelle, la plupart des bénéfices partent en royaltie sur de la propriété intellectuelle

Malheureusement la france pour faire plaisir a son très cher show bizz refusera de revisiter la fiscalité

de la propriété intellectuelle.





D’où vous sortez que les revenus issus des œuvres de l’esprit ne sont pas passibles de l’impôt ? Les droits d’auteurs doivent être déclarés et ne bénéficient plus de régime fiscal particulier depuis des années.


Le 09/03/2015 à 11h 49







knos a écrit :



Mais ils ne peuvent pas réussir a faire payer les entreprises sur le CA réalisé sur le sol … Au lieu de créer des usines a gaz





C’est tout le problème des conventions fiscales entre états et c’est là qu’il faudrait commencer. Notamment en les harmonisant. On est, tranquilles, ça ne risque pas d’arriver.


Le 06/03/2015 à 17h 18







niko92130 a écrit :



FAUX ! Comparons ce qui est. Il est évident que je ne peux prêter un “livre” électronique qu’à celui qui possède le même type de liseuse que celui dont je dispose.





Le format le plus courant, et accepté par presque toutes les liseuses (sauf les plus privatrices) est le format ouvert epub. Par ailleurs il existe des logiciels libres, eux aussi, qui peuvent traduire un ebook dans un autre format, et même traduire des textes au format epub (ou autre). Donc oui l’April, qui connaît un peu mieux le sujet que vous, a tout à fait raison.

 


Le 25/02/2015 à 12h 49

On est bien d’accord. Et je ne vois pas où est le problème d’expliquer clairement son point de vue. “Le droit d’auteur c’est de la merde” n’est tout simplement pas un argument, en fait si, quand je lis ça je comprend que les auteurs n’ont pas le droit de vivre de leur travail et ça ça me dérange.

 

Le 25/02/2015 à 11h 35







geekounet85 a écrit :



c’est vraiment de la merde, le droit d’auteur!





Ben ça aide les auteurs à vivre de leur travail et de leur métier quand même et les structures à caractère culturel ou assimilés à pouvoir les produire. Ce qui ne va pas ce sont les durées de protection.


Le 25/02/2015 à 11h 24







tass_ a écrit :



Sinon si les auteurs ont peur de laisser leur famille dans le besoin à leur mort, ils peuvent faire comme tout le monde hein.. .Cotiser.





Ben on cotise ! Sur mes relevés de droits d’auteur j’ai des mentions de cotisation qui, d’ailleurs, ne me donnent pas  le droit de bénéficier du statut entier des AGESSA mais on paie. D’un autre côté avec des tas de types (et on en voit ici aussi) qui estiment qu’on n’a pas à payer les auteurs (ben voyons) ni les artistes, le secteur culturel est mal barré.


Le 24/02/2015 à 14h 52

Honnêtement, ce n’est pas le meilleur argument, mais il est acceptable. Alors qu’il n’est pas acceptable que ces droits perdurant pendant toute une durée de vie supplémentaire (70 ans).

Le 24/02/2015 à 14h 50

Non !

Désolée.

Le 24/02/2015 à 14h 45







FunnyD a écrit :



Les artistes n’étant plus que des intermittents du spectacles, ils ne sont pas concernés par le droit d’auteur.





Oui bien sûr,  les compositeurs ne sont pas du tout concernés bien que souvent aussi musiciens interprètes, pas plus que ceux qui écrivent des scénarios ou des pièces de théâtres et qui sont aussi acteurs, ni encore les auteurs de bandes dessinées, les dessinateurs et j’en passe. Aussi étonnant que cela puisse paraître, ce sont tous des artistes qui sont soit titre personnel en tant que créateur, soit à titre d’interprète concernés. Soit parce qu’il s’agit de leurs moyens de subsistance (il faut une année pour faire une bande dessinée), soit parce que, vous allez rire, pour un spectacle, il faut se préoccuper des droits d’auteurs et ça, ça se budgétise dans un projet, si, si et même qu’un intermittent du spectacle peut monter des projets, c’est fou non ?


Le 24/02/2015 à 13h 34

Je sais bien. Mais je pense qu’il faut se rendre compte que la poursuite des droits d’auteur après le décès de l’artiste a des raisons et ne concerne pas uniquement l’héritage des enfants.

Le 24/02/2015 à 13h 33







Sallustius a écrit :



 Et si nous faisions quelque chose au lieu de les laisser faire ? 





Bonne idée, mais je ne sais pas. Voire avec la Quadrature du net ? L’April qui a une réflexion sur le sujet ? Est-ce qu’on peut faire plus que de les soutenir financièrement ?

Passer par les partis politiques, j’ai essayé :-(, n’aboutira à rien, en tous cas pas en tant qu’individu lambda. Écrire à son député non plus je le crains. Et ma députée est une frondeuse ! Mais ce genre de sujet ne l’intéresse tout simplement pas.

La solution consiste en tous cas à utiliser les mêmes armes que l’adversaire : le lobbying. Sauf que comment se faire écouter ? La Quadrature du net a du mal.


Le 24/02/2015 à 13h 27







gwal a écrit :



Bref les droits d’auteur c’est plutot les droits des enfants de l’auteur …  





Pas uniquement. Un éditeur par exemple prend un assez gros risque financier quand il édite un bouquin (surtout en version papier), idem pour les éditeurs de musique pour qui ça coûte encore plus cher (certes, eux peuvent se rattraper sur la location de partitions, mais ce n’est pas toujours rentable). Donc des droits d’auteurs qui pourraient courir après le décès du créateur permettraient aussi aux éditeurs de rentrer dans leurs fonds (parfois cela n’est possible qu’après la mort de l’auteur). Maintenant 70 (voire 50 ans) c’est beaucoup trop en effet notamment parce que le terme “œuvre de l’esprit” couvre aussi par exemple l’architecture.



Il ne faut pas oublier qu’en matière de création, la valeur d’un auteur peut n’être reconnue qu’après son décès ou que la vente de ses créations peut se faire sur le long terme. Proust avait dû éditer ses premiers tomes de la Recherche à compte d’auteur et est mort en rendant les copies du dernier volume. Henri Dutilleux n’a commencé à composer qu’assez tard, et bien qu’il soit relativement souvent joué, il faut du temps pour que l’éditeur rentre dans ses frais de gravure des partitions (surtout pour les pièces orchestrales).



Par ailleurs, on peut admettre que les créateurs peuvent mourir en ayant des enfants en bas âge et assurer ainsi des moyens pour  assurer l’éducation des enfants via le droit d’auteur mais, effectivement, quand ça se transforme en rente pour les enfants (déjà adultes ou non), en patrimoine à exploiter (voire le cas des enfants de Claude-François assez typique), voire quand les ayants-droits arrivent à trouver des astuces pour pérenniser au maximum la protection (le cas Hergé est typique pour autant que je sache), cela devient intolérable.


Le 23/02/2015 à 17h 28

Ouais mais on oublie un peu (beaucoup) les confettis de l’empire colonial français, sur lequel, encore maintenant, le soleil ne se couche jamais et eux ils sont français (de souche, octets compris), même si ça ne se voit pas toujours. Et je ne parle pas des manchots de Terre-Adélie  !

Le 23/02/2015 à 17h 24







MoonRa a écrit :



Etant réunionnais, ce genre de blocage est vraiment chiant. Sinon ça se dit “en Réunion”, je croyais que l’île de la Réunion était la dénomination complète, “en Réunion” sonne mal.





Ça se dit en Réunion, par exemple la ministre de la Culture est en réunion,  ce qui signifie qu’elle n’est pas à la Réunion (l’île) et qu’elle est avec d’autres personnes dans une salle de son ministère parisien (par exemple, quoiqu’elle peut aussi être en réunion à la Réunion) pour, par exemple parler du livre électronique ou pas. Sauf que madame la ministre de la Culture ne lit pas donc bref.

 J’avoue que je ne comprends toujours pas l’intérêt de ces blocages et je suis encore plus choquée parce que cela induit une inégalité de traitement des Français d’outre-mer vivant en territoire français. J’imagine qu’à Mayotte, Saint-Pierre-et-Miquelon, aux Antilles, en Nouvelle-Calédonie…, ils souffrent du même délit de sale IP.


Le 23/01/2015 à 16h 19

J’interprète cela comme une base pour une version qui permette d’éditer les documents.  Par rapport au viewer open document existant déjà, on voit une très grande qualité du rendu (pas parfait encore) des documents qui respecte quasiment intégralement la mise en forme d’origine (quand il accepte de les ouvrir). Et les gros points noirs-gris, un peu déconcertants de prime abord sont bien vus.

Le 23/01/2015 à 16h 14







bandix400 a écrit :



autrement pour ceux qui souhaitent éditer, il reste la version android d’apache Open Office : Andropoen Office : tablette recommandée ;)





“Grande” tablette recommandée même.  Voire grande et puissante tablette.


Le 23/01/2015 à 16h 12







lataupe a écrit :



Oula … C’est encore en Alpha … c’était pas un peu tôt pour faire de la comm la dessus …

 

C’était une  une Daily Build  et il fallait informer les geek mais pas un truc pour Monsieur tous le monde !



 





Tousse, oui, mais bon :-).

Mon opinion sur l’application c’est qu’elle a un bon potentiel et une bonne conception de base. Par contre, elle ouvre les fichiers qu’elle veut quand elle veut.


Le 21/01/2015 à 13h 20

Ah ! je savais bien que ça attirerait son lot de commentaires négatifs dans le mode “on est nul en France”.

Concernant les données légales, à savoir les textes législatifs et règlementaires, ils sont parfaitement exacts et non tronqués puisque c’est la source du droit et ce d’autant plus l’état a arrêté la publication papier du Journal officiel.

Concernant les rapport des débats parlementaires, ils sont aussi considérés comme exacts et ne sont pas tronqués lors de leur publication. Même si parfois un député ou un sénateur doit insister en séance pour qu’une remarque figure sur le compte-rendu (une remarque d’un membre du Parlement sur son banc, les interventions figurent in extenso).

Etc.

Le négativisme à force ça pèse, vous ne trouvez pas ?



Quand vous vous penchez sur des textes de lois, et bien vous vous apercevez tout de suite que ça n’empêche nullement, bien au contraire, des professionnels (avocats, juristes, publicistes, éditeurs) d’en tirer des espèces sonnantes et trébuchantes  (voire beaucoup en droit des affaires) et ce d’autant plus que le droit français repose sur les textes et sur la jurisprudence. Soit dit en passant, les arrêts de la Cour de Cassation qui sont publiés le sont aussi in extenso. Ce qui est susceptible d’être modifiés, ce sont les noms des personnes qui sont anonymisés.

Le 15/01/2015 à 10h 46







Patch a écrit :



ah non c’est le RSI.

le RSI, c’est la CAF de la Sécurité Sociale (et le côté bras cassés champion master lever de la CAF, Commentaire_Supprimé pourrait en parler des heures <img data-src=" />). ou l’inverse, je ne sais pas encore… ce n’est pas pour rien que quand j’ai monté ma boîte je me suis démerdé pour que ca soit directement l’URSSAF qui gère le côté SS chez moi et pas le RSI, avec eux au moins j’avais une chance de ne pas avoir de merdes <img data-src=" /> (et au final il y a eu juste une petite bourde gentillette, réglée en un seul appel que je leur ai passés)





En ce qui me concerne pour changer de statut l’année dernière j’ai eu les pires problèmes avec l’URSSAF : on peut pas les rencontrer, ils ne répondent pas, ce qu’on fait sur leur site semble tomber des abysses insondables. Quand j’ai créé mon entreprise en 1998, l’URSSAF était effectivement efficace. J’insiste, le RSI n’a aucun rôle au moment de la création d’entreprise et c’est le régime social des indépendants et petites structures (commerces par exemple).


Le 14/01/2015 à 15h 33

Mais on est hors sujet.

Le 14/01/2015 à 15h 29

Non,&nbsp; pas au niveau de l’enregistrement de l’entreprise ou du changement de statut, RSI n’a aucun rôle à jouer là-dedans.

Mais effectivement ça plombe un budget, les caisses de retraite aussi d’ailleurs.

Le 14/01/2015 à 15h 11

Ça s’est beaucoup simplifié et, pour les petites entreprises qui ne sont pas en SARL c’est gratuit ! Par ailleurs, j’ai découvert que le changement de régime fiscal pouvait se faire plus facilement qu’avant.

En fait le boulet c’est plutôt l’URSSAF.

Le 14/01/2015 à 15h 09

Illustration parfaite des problèmes que posent la délégation des services publics à des entreprises privées !

Le 13/01/2015 à 20h 44

Le pire c’est qu’on l’a déjà :

http://blog.iteanu.com/index.php?post/2015/01/12/Le-Patriot-Act-à-la-fran%C…



Il avait raison Asimov, des communications qu’on ne peut pas contrôler et surveille ça fait toujours peur aux gouvernants.

Le 09/01/2015 à 16h 53

Tout ça bien sûr pour notre liberté, en général, et d’expression en particulier…

Le 07/01/2015 à 19h 01







Fuinril a écrit :



Sans vouloir être pessimiste je doute que la liberté d’expression ressorte renforcée de cette affaire.



Un bon politicien ça perd pas le nord : un drame c’est avant tout une occasion de faire passer par la peur des mesures qui ne seraient jamais passées en temps normal, et quand on voit ce qu’ils arrivent à faire passer en temps normal <img data-src=" />





C’est très exactement ce que je crains ! Déjà qu’on s’est pris la loi de programmation militaire dans l’os .


Le 07/01/2015 à 13h 51







blackdream a écrit :



C’est pas beaucoup…





Jamais contents&nbsp; ! Je parierais que si le budget était plus gros les remarques seraient du genre “encore trop de fric foutu en l’air” ou “ils n’ont que ça à faire de nos impôts”.


Le 06/01/2015 à 17h 11







127.0.0.1 a écrit :



Ouais… pour un membre du Chaos Computer Club, je veux bien le croire.



Mais pour Mme Michu, ca ne serait pas le contraire ???





Mme Michu n’est pas forcément idiote ! Pas moins que monsieur Dugeek dont le mot de passe est Admin ou azertuyiop en tous cas… D’ailleurs dans l’opérette d’André Messager, les p’tites Michu sont loin d’être idiotes. Pourquoi ne pas simplement se référer à l’utilisateur de base (quoique hypothétique) ?

Le mot de passe, qui traîne moins facilement que les empreintes est probablement un poil moins facile à récupérer que les empreintes et en plus il se change et peut se récupérer. Le problème des empreintes c’est qu’elles ne changent pas.


Le 05/01/2015 à 12h 44







js2082 a écrit :



Ces messieurs risquent ainsi fort de recommencer leurs exploits le lendemain même de leur condamnation.

&nbsp;



Ce sont des assassins en puissance en effet ! On devrait leur interdire de conduire à vie à partir du moment où ils montrent qu’ils sont incapable de comprendre la dangerosité de leur conduite. Et oui, ça risque de leur poser des problèmes au quotidien, mais il faut savoir choisir.


Le 22/12/2014 à 19h 52







sebcap26 a écrit :



C’est légal ce genre de clauses ?&nbsp;



&nbsp;

Pas à 100% à cause de la garantie de vices cachés.


Le 12/12/2014 à 12h 41







synthgab a écrit :



Et le volume et le poids physique, on en parle ? Quelqu’un a déjà posé (et pesé) un tome de Game of Thrones (version originale) à côté d’un Kindle ? Dans le métro ou le RER, vous m’excuserez, le second est quand même un poil plus pratique, à commencer par la taille du sac à dos/main nécessaire pour le transporter !!



Est-on obligé d’avoir une Kindle ? Effectivement dans ma liseuse j’ai tout Proust et j’ai trouvé très pratique et plus confortable de pouvoir le relire partout : dans les transports en commun, en déplacement. Mais ma liseuse n’est pas connectée, personne ne sait ce que j’ai dedans ni ce que j’y lis réellement et je peux aller partout sans perdre les livres et documents qui sont dessus pour cause de passage de frontière.

Un livre, papier ou électronique, c’est un compagnon, pas une licence qui donne généreusement le droit de la lire chaque fois qu’on paie.

L’offre d’Amazon me choque profondément et c’est cher payé pour être, une fois de plus, espionné, décortiqué, analysé.


Le 10/12/2014 à 13h 02







Darkmatou a écrit :



Se balader avec un DD externe sur soi et squatter un ordi on ne sait où, top ta “solution”. Alors que le cloud permet de consulter ses documents depuis son smartphone pourvu qu’on chope un signal gsm. Le cloud n’est pas parfait mais faut pas non plus tomber dans la paranoïa la plus sombre.&nbsp;

&nbsp;

Le compromis, tout est dans le compromis.





Pas une question de parano mais de connexion et quand on n’en a pas…

Aussi une question pratique :&nbsp; il faut pouvoir travailler sur les documents sinon quel intérêt ? Et franchement les applications pour téléphones ne sont pas à la hauteur. Sans parler de la taille de l’écran.

Sinon pour une simple consultation certains documents, j’emporte ma bibliothèque : ils sont&nbsp; dans ma liseuse que je peux utiliser sans connexion.


Le 10/12/2014 à 12h 59

Du tout. Dans des endroits où il n’y a pas de connexion c’est même une solution des plus pratiques. On peut d’ailleurs n’utiliser qu’une clé usb.

C’est même une solution que j’ai dû conseiller à des écoles africaines ce qui était à la fois économique et sécurisé !

Le 10/12/2014 à 10h 50







Mme_Michu a écrit :



. Aujourd’hui le cloud peut être très pratique et répond à d’autres &nbsp;besoins comme pouvoir accéder à tes données partout, tout le temps sans te&nbsp;trimbaler tout un tas d’appareils.&nbsp;





Un simple disque dur externe avec des applications portables permet de&nbsp; squatter n’importe quel ordinateur et on n’a pas besoin d’une connexion !&nbsp; C’est petit et léger et on n’a pas besoin de trimbaler tout un tas d’appareils, on n’a même pas besoin d’une alimentation juste du câble usb.


Le 10/12/2014 à 10h 44

Voyons, mon disque dur de données 146 Go et j’ai une bonne collection de logiciels dessus qui me servent souvent.

L’autre ordinateur à 60 Go de données et aussi une tapée de logiciels.

Mon téléphone : 1,50 go plus une carte à 2 go.

Ma tablette : 4 et 6 go.

Avec aucun de mes deux terminaux mobiles je ne peux travailler, voire avoir tout simplement les équivalents des logiciels de mes ordinateurs et cela sans parler de l’espace disponible. Alors l’intérêt des systèmes en nuage il est où puisque je ne peux pas faire de réelle synchronisation ?

S’il s’agit seulement de pouvoir récupérer des photos que j’aurais mis par exemple sur un réseau social, bof hein ! Effectivement la sauvegarde mais, justement mettre quelque part dans le vaste monde mes fichiers, quel est l’intérêt par rapport à des sauvegardes externes ?