Cette loi est scandaleuse à plusieurs égards, celui-ci en étant un.
Surtout qu’on ne lance aucune fusée à 100 millions d’euros suceptible de s’écraser sur la France métropolitaine. Alors pour les grosses photos d’accidents à 300 megapixels on repassera…
Il n’a pas fait pression, il leur a écrit pour indiquer son point de vue ce qui est légitime quand on est mis en cause dans une procédure de sanction. Ça s’appelle les droits de la défense et ça s’applique même au gouvernement.
Il est difficile de faire pression sur une Autorité Indépendante.
La CNIL n’a aucun pouvoir de sanction contre le Gouvernement. Assimiler cette AI à une sanction c’est oublier que les délibérations de la CNIL peuvent se contester au conseil d’état et ainsi ne sont en aucun cas qualifiables d’atteinte au processus parlementaire car la défense de l’intéressé est garantie par ailleurs.
La méthode de défense employée ici est donc irrecevable vis-à-vis de la CNIL… tout simplement.
Qu’il y ait un débat médiatique ou non sur l’usage des drones ne change rien aux parties. Il y avait donc le choix entre la diffamation ou la démission… on voit bien qu’aucune de ces voies reconnue par la loi n’a été mobilisée : ce courrier n’a pas d’autre valeur que de croustiller.
Avec les nouveaux chargeurs de téléphones portables qui sont légers (méthode de détection infaillible), le courant de veille est extrêmement faible donc il devient de toute façon difficile de mesurer cette consommation.
Sous les 1% du courant assigné, soit 100 mA si j’ai bien fait mes calculs, la classe de précision du Linky se dégrade. On est pas loin du courant de démarrage où on lui demande juste de détecter une consommation.
Le problème c’est qu’il n’y a pas uniquement des chargeurs 5V à 100mA. Ce serait trop simple. Ensuite le courant nécessaire à la détection est donné par le réseau, pas par le circuit local du client. Là dessus il y avait un hoax d’ailleurs.
Après toute alimentation AC-DC a des pertes conséquentes. Le phi proche de 1 c’est pour les alimentations de PC certifiées 80plus (autour de 93 mesuré avec ma prise à 20 ronds) ou électroménager sans moteur <1000W (UE).
Le courant de veille ne suffit donc pas à se faire une idée des économies potentielles réalisables avec le dispositif de comptage… ce qui était vendu comme tel ! Les pertes cumulées par les inductances en marche sont ainsi loin d’être négligeables pour une famille de 4 personnes (avec chacun son ordiphone et son pc portable + 2 box FAI) si tu veux réellement économiser sur la réactance.
On parlerait de pompes de piscine et autres grosses puissances dont aucune ne présente une étiquette énergétique et sont souvent ainsi les plus évidentes sources de réactance que l’électronique grand public je dirais ok, Linky sert à quelque chose pour le client. Mais ici on peut parler de connaissance de cause pour Enedis et de perte de liberté pour le client réduit à la simple “optimisation de façade” de sa consommation de TV par internet…
Le
09/05/2021 à
11h
21
Sur la partie lois on est d’accord.
Pour l’industrie la facturation découle des volumes donc forcément la question se pose en amont ! Mais pour des particuliers je suis désolé mais vu le parc de logements il y en a un bon paquet dont les installations electriques ne sont pas aux normes sur les sections… mesurer les pertes en ligne grace au linky me semblait plus logique dans une optique d’économies d’énergies que de s’intéresser au frigo qui regarde le propriétaire. Ce dernier devant en général débourser le prix d’un frigo neuf pour certifier son installation conforme en cas de revente par exemple…
Oui enfin on est pas à 300000 euros près vu l’empressement à virtualiser chez enedis… faut pas non plus prendre le public pour des truffes.
Le
09/05/2021 à
05h
40
wanou a dit:
Je ne vois toujours pas ce que tu cherche à faire concrètement.
Au prix du m2 constructible aujourd’hui, le potentiel de redistribution de l’énergie entre voisins est sous-estimé avec les Enr. Je ne suis pas promoteur ou lotisseur mais la possibilité de réaliser des petites smart grid m’intéresserait. D’autant plus si la part taxable de l’énergie payée, dont notamment la composante distribution publique passait en privatif.
La puissance réactive n’a rien à voir avec un mauvais rendement. Elle implique simplement la présence d’un courant supplémentaire qui implique de surdimensionner les fils dans les installations qui y sont sujettes. C’est donc avant tout un problème pour le réseau, comme les harmoniques de rang 3.
Le rendement global de ton installation electrique peut se mesurer ainsi. Cela permet par exemple de comparer les logements entre-eux et c’est un calcul déterminant pour expliquer ce que la puissance apparente ne dit pas.
Pour le particulier, cela peut révéler un réfrigérateur qui surconsomme à cause d’un manque de gaz ou d’une baisse de performance de son isolation thermique.
L’isolation thermique ne se mesure pas grace à la courbe de charge… ou alors il me faut le détail de cette conjecture!
Côté RTE, cette courbe ne leur est pas transmise. On peut en conclure qu’il n’en ont pas besoins pour participer à la stabilisation de la grille européenne, comme ils le font depuis toujours. Le RTE possède des compteurs de transport qui permette déjà de savoir ce qui entre et sort (ils y a en prime les compteurs de production des centrales). Ces compteurs ont des courbes de charges par blocs de 10 ou 15 minutes, dans les deux sens de transfert d’énergie.
D’où que la smart grid (dernier km) revient exclusivement à Enedis qui n’a pas exactement la même expérience ni les mêmes contraintes que rte… et n’optimise donc rien du tout.
Les prises à 20 € ne donnent pas le cosinus phi qui est complexe à calculer mais le facteur de puissance soit la division P/S avec P la puissance active et S la puissance apparente. C’est bien suffisant néanmoins à la maison.
Je généralise. Vu le prix des processeurs arm ce calcul ce serait presque rien pour un compteur dit “intelligent”. Il y aurait tromperie sur la marchandise ? Je te rapelle que si tu sais faire de l’AES, donc des courbes elliptiques ou autre, a priori : tu sais aussi produire un phi et l’afficher sur l’écran…
Le fait que le Linky ne calcule pas la puissance réactive vient du fait que c’est assez gourmand en calculs, donc cela impliquerait un surcoût important des compteurs, et que cette information n’est pas pertinente pour de la livraison à des particuliers.
Oui et la crypto aussi c’est gourmand… La livraison non, mais derrière le pdl pourquoi a-t-on des anti-linky qui affirment qu’avant linky leur consommation était basse ? Et d’autres qu’après ça va mieux ?
Yep…
Le
08/05/2021 à
16h
59
Je prenais un exemple pour réagir sur la smart grid. Je trouverai plus sympa d’avoir la possibilité de revendre de l’énergie entre maisons qu’entre patés de maison… les linéaires de cable seraient plus courts.
Le hoax fait qu’en ayant accès à la puissance réactive tu es certainement plus en mesure (c’est le cas de le dire) de mesurer ce qui chez toi a un rendement mauvais. La simple mesure de la courbe de charge permet juste de vérifier que rien ne s’allume en dehors des plages définies ce qui n’interesse au final que rte pour gérer ses 50hz. Maintenant on peut décider si rte ou que l’état n’a plus de sous de décompter le phi… c’est techniquement possible avec le Linky. J’ai même cette fonction sur une prise compteuse à 20 balles…
Le
08/05/2021 à
10h
24
wanou a dit:
Il est tout à fait possible de raccorder son PC au Linky via sa sortie téléinformation (située sur le bornier client donc accessible légalement), mais ce n’est peut-être pas le genre de raccordement auquel tu penses.
En partie. Seulement ce port n’est pas forcément rendu accessible par l’installateur qui le plombe une fois sur deux. Aussi l’apparence de l’illégalité de l’accès au compteur est omniprésente dans le déploiement… comme avant…
Les informations sont crachées en permanence et en boucle par le compteur donc le lien est unidirectionnel. Cela te permet tout de même de faire toi-même des statistiques d’usage d’énergie à la minutes si tu le souhaites, sans passer par un prestataire externe en qui tu n’as peut-être pas confiance.
L’avantage c’est d’avoir un comptage certifié (cela ne sert pas à rien en tant qu’appareil le Linky) mais sans pouvoir paramétrer finement les sondes c’est difficilement exploitable en tant que tel alors que les distributeurs privés ne se privent pas de spéculer sur les économies d’énergie sans jamais certifier leurs méthodes de calcul… Par exemple si je souhaite me servir du Linky pour revendre un surplus dans mon quartier je ne peux pas… il faut changer d’appareil. Autrement dit il n’y a aucune smartgrid pour l’utilisateur, tout au plus de belles paroles ennoblies par des boîtiers (non biodégradables) verts.
Enfin, pour les producteurs d’énergie, le Linky est 4 quadrants donc il est capable de compter l’énergie active dans les deux sens. Cela évite d’avoir à mettre en place deux compteurs tête-bêche pour une installation photo-électrique. Mais bon, vu le prix des anciens compteurs électriques électroniques communiquants (grosso-modo 35€ pièce), je ne suis pas sûr que cela soit économiquement plus intéressant.
Et la puissance réactive… qui n’était pas facturée sur d’autres compteurs Alors affirmer que la data ce serait le nerf de la guerre…
Le
08/05/2021 à
06h
01
Tandhruil a dit:
Linky n’a d’intérêt qu’associé à des contrats permettant aux producteurs de décider quand le client final doit consommer (ce qu’on appelle Smartgrid). Exemple le plus flagrant, la charge d’un véhicule électrique. Si tous les franciliens branchent leur véhicule électrique en même temps en rentrant du boulot, le réseau électrique va s’écrouler.
Certes. Mais comme on n’interdit pas de mesurer les apports individuels au réseau (smartgrid), avoir un véritable accès individuel à un compteur certifié neuf aurait facilité les installations privées photovoltaïques, éoliennes.
C’est très marrant de voir Enedis proposer maintenant des installations clé en main. On comprend ici tout l’art du pied dans le compteur…
Le
08/05/2021 à
05h
56
wanou a dit:
Je pense que si l’existence de la possibilité de refuser la collecte précise avait été correctement expliqué aux gens, il n’y aurait pas eu autant de battage autour du linky.
Même pas : la possibilité de raccorder en physique le Linky à son PC aurait simplifié les choses. Les geeks pouvaient ainsi expliquer aux anciens le pourquoi du comment. La confiance c’est dans les deux sens…
Y a des élections qui arrivent donc faut rappeler à son électorat de base, à cheval entre ripouxblicains et bas du front, qu’il partage ses préoccupations sécuritaires et qu’il serait judicieux de revoter pour lui
C’est avec les vieux pot(e)s qu’on fait les meilleurs bœuf carottes.
Mais je suppose qu’ici ce sera une petite socca non relevée au poivre…
Le
08/05/2021 à
10h
50
Tu te trompes … car tu ne regardes pas au bon endroit il ne s’agit pas d’une mesure sécuritaire comme tout le monde pense mais il s’agit en réalité d’une politique de relance keynésienne
On dit caucassien ou caucasienne pour parler de reconnaissance capillaire.
Les cheveux repoussent. Je ne comprends pas non plus l’utilité du casque…
Le
08/05/2021 à
06h
54
(reply:1872591:Philip Masse)
Ce serait co-casse.
Le
08/05/2021 à
05h
52
Il y a une coquille : Monsieur et le carnaval du drone.
Et avec l’épidémie s’est renforcé un autre problème, le rejet de la science par une partie des gens, la non-compréhension de son fonctionnement (et le fait qu’on n’a pas toujours des certitudes, surtout face à quelque chose de nouveau) et l’attachement absurde à certains mandarins vus comme ayant raison par principe (argument d’autorité, totalement pas scientifique), comme le druide et quelques sales types (parfois des femmes comme la députée Wonner).
Il y a en revanche des raisons claires à cette situation. A défaut d’avoir un consensus sur le contenu on peut supposer que le contenant démocratique qui permet à la fois de développer un raisonnement consistant (recherche) permet aussi de développer une production de valeurs (sciences) avec parfois des sous-produits de ces valeurs comme la téléphonie ou l’automobile pour de ne citer qu’eux. Au milieu de processus il n’y aucun contenant, le contenu peut donc facilement dévier de sa trajectoire supposée dans un relativisme absolu ou une spéculation absolue.
C’est ce qui m’ennuie avec l’idée même de faire état des “complots” : d’une part les vrais complots existent, mais en plus, il n’y a aucune obligation éthique de contenir ces spéculations… c’est systématiquement contre-productif dans une démocratie très liquide. On ne peut pas raisonnablement en tirer un savoir. Alors parler de théories avant de faire le tri dans les hypothèses….
D’un autre côté c’est pas comme si la propagande d’avant guerre avait prémâché le travail formel pour les décennies d’après. En prolongeant cette idée : dans 50 ans c’est le point godwin qui sera structurellement mainstream…
Le
08/05/2021 à
17h
42
Quand on a que Facebook tous les problèmes ont une tête de con.
Zuck’s Law Bitchies.
Le
08/05/2021 à
05h
17
Ce sont les plateformes web qui politisent à dessein les débats publics afin de laisser à penser à l’internaute que le cyberespace serait la même chose que le cyber (définition originale) en général (état, institutions…).
Ce faisant le poids politique du web sémantique devient une norme comme une autre et peut admettre de contenir des complotistes comme il absorbe déjà des enseignes de vente, leurs publicitaires et tout ce qui dépassant le seuil critique de l’effet de réseau peut générer le ROI de la plateforme.
Quant au contenu c’est faire là aussi beaucoup de largesses à des pseudo-informations : ce qui explique que cette nouvelle surface d’attaque est a priori bien plus determinée par le vecteur d’information que l’information prise isolément.
La rumeur dit d’ailleurs que le MIT se penche dessus… j’ajoute qu’entre potes la solidarité c’est essentiel.
Et les chiffrements modernes savent très bien faire ça.
Le
10/05/2021 à
06h
49
Ce sont des attaques statistiques. Il y en existe sur les darknets du même ordre mais ce n’est manifestement pas cette cible difficile qui est visée.
La seule approximation reste le nombre de faux-positifs et la taille de l’échantillonnage “public”. Aussi je suppose que la collecte de masse, dans ce cas précis, reste très coûteuse même pour l’état Français… il y a donc un tri des sites webs à analyser a priori pour faire baisser le taux de faux-positifs en sortie de la technique comparative. Les maths ont leurs limites… fort heureusement !
Le
08/05/2021 à
17h
31
ElCroco a dit:
est ce qu’on a une idée de comment il veut les récupérer, ces urls ? parce que les 3 derniers sites au monde qui restent en HTTP plain text, on s’en fout un peu. Du coup, hormis demander les logs aux sites (lol), je ne vois pas grand chose d’autre à part casser le SSL. Et ça, il en serait possible, le bougre…
C’est très simple : il suffit de faire le lien entre IP (ou DNS) et le poids de chaque flux qu’il est facile de mesurer en se connectant soi-même au site…
Les données collectées sont donc a priori le log des flux de paquets de chaque abonné. Avec un peu de méthode il est facile de statistiquement dire qui, à quelle heure, a consulté quelle page du web dont la version simple a préalablement été interpétée côté attanquant par un hash ou tout autre élément discretisant une page et permettant de comparer des choses comparables.
Même idée IRL : un facteur connaissant le poids de chaque article vendu par amazon peut savoir ce que tu achètes sans ouvrir le colis qu’il te livre. Si en plus tout est automatique la marge d’erreur est quasi-nulle…
Il y a surtout un excellent argument non théorique qui réfute (si besoin) le ruissellement : Soit une personne dépensant 20% de 1500€/mois en nourriture, le même spécimen avec 150000€/mois n’en dépensera pas 20% pour se replir l’estomac.
L’exemple ne dit pas quelle est la consommation de boissons, aussi peut-on supposer que la théorie du ruissellement s’adresse spécifiquement aux viticulteurs ou aux producteurs d’huile d’olive…
On est tous de vils tipiakeur pédo-terroriste mangeur de bébé phoques. Même pas en puissance mais avérés ! Faut t’y faire, t’as mis les pieds dans minority report.
Dans minority report il n’y a pas de phoques. Tu ne risques donc pas de phoque le système.
Pour le volume façonné oui. L’avantage reste que si tu peux te permettre ces opérations sur des voliges, les palettes récupérés à la même enseigne elles sont gratuites.
Le
08/05/2021 à
06h
31
C’est un peu mieux que le mélaminé c’est sûr. Pour du massif et proche des dimensions d’un serveur et du coût de l’osb au m2 il y a aussi les voliges. Un peu de colle et hop. L’avantage ici c’est de payer le m3 2 fois moins cher que l’osb.
Le
08/05/2021 à
05h
51
Et pourquoi pas faire une pièce dédiée ? L’osb3 sert plutôt à construire des murs au départ.
De la règle de trois : copie-contrefaçon-mtp il faut supprimer les mtp. Je suis plus inquiet de ce que Youtube ponctionne que la RCP. Mais ce n’est que mon avis…
Uniquement car la part d’attaques aboutie est minime. En hiérarchisant les risques on peut montrer qu’il y a des priorités pas si éloignées du vécu. Cela n’explique pas cependant pourquoi ce sujet est largement passé sous silence par celles et ceux même qui souhaitent digitaliser…
Le coût de la couverture étant correlé à la puissance de calcul totale il est illusoire de tendre en l’état actuel de l’implémentation technique et d’usage vers un citoyen lambda débourser les quelques milliers d’euros restants pour atteindre le prix unitaire d’une machine sécurisée au même niveau que [remplacer par un GAFAM].
Grosso modo la cybersecurité individuelle, par définition, n’existe pas !
Et typiquement dans le cadre d’une société de lecteur la valorisation de l’entreprise n’a aucune espèce de valeur car c’est l’objet de l’entreprise qui compte et non sa valeur réelle.
La valorisation peut aussi se compter en bilan carbone : par exemple pour Noel on pourrait leur envoyer des buches.
Il ne resterait plus qu’à monter un fond centrale au bois pour alimenter les “traitements” de texte de l’équipe.
Le
06/05/2021 à
12h
01
the cake is a lie.
The cookie is alive ! Mais le restera-t-il ? :oui2:
Clairement : la part minime des chauffards met un coup de frein à la gestion de base des infrastructures. Résultat : c’est souvent la double peine.
Le
07/05/2021 à
07h
15
En théorie mais en pratique : sur des départementales ou des bouts de nationales fréquentées par des agriculteurs on aménage parfois des portions spécifiquement dédiées au dépassement. Comme on ne connait pas à l’avanve le nombre de dépassements possibles ou la longueur de la file aménagée bien souvent c’est pour se rabattre qu’on accélère, pas pour dépasser ! De même : les lignes continues permettent en théorie d’éviter les dépassements sur les portions dangeureuses mais on ne peut pas savoir facilement avant de dépasser comment le rabattement va se dérouler…
ah non mais là, pour reverser c’est pas pareil mon bon monsieur, il faut absolument s’assurer de l’équité du process mis en place, qu’il n’y aura pas de laissés pour compte, touça, c’est très, très, trèèèès compliqué ! En attendant, on perçoit avec un peu d’avance, c’est important de savoir anticiper !
Le remboursement de la copie privée n’a rien de bancal, il est pénible, lourd et compliqué, ce qui décourage un maximum de professionnels à l’employer - c’est le but recherché. Rien de bancal, c’est par conception.
Entre les changements climatiques, les découvertes scientifiques ou même la science fiction on se demande de quelle ingratitude il faut tenir pour oser nier ces éléments d’anticipation !
Comme dirait l’autre, les zonzôns ça ose tout, c’est même au futur qu’on les reconnait !
Le
06/05/2021 à
11h
46
Le plus épatant c’est la disparition de la notion d’original et de copie. Après la copie privée on est privé d’original donc…
Pour que ce système ne tombe pas dans un déni flagrant de la causalité il faudrait introduire des mesures d’audience… un peu comme pour l’application d’une hypothétique licence globale.
Conclusion on se bagarre pour la quantification des oeuvres, le style du catalogue, la texture de la couverture… Je trouve cette manière d’avoir les oranges des créateurs en détournant le sens du presse argume particulièrement toxique. Même pour leur palais.
Le
06/05/2021 à
07h
06
Les licences CC NC n’interdisent pas le commerce, elles obligent à ce que les usages commerciaux de l’œuvre soit négocier avec l’auteur. Comme c’est déjà fait une œuvre sous un droit d’auteur classique.
On s’étonne néanmoins de la vitesse différente du carosse pour percevoir et reverser.
Ce n’est pas les lois du farwest qui empêchent la dilligence pourtant.
Certes, mais dans ce scénario il faut impérativement définir le volume des matières initiales et supposer que la qualité d’usage des matières ne change pas dans le temps. Hors c’est contraire à ce qu’on observe ! Autrement dit les gains en efficacité se comptant in fine en assemblages complexes de matières elles mêmes faites de molécules on voit bien que cela aboutit à réduire les émissions de dioxyde de carbone à notre corps par la même occasion… on peut donc supposer qu’il serait humainement plus juste de pomper de l’oxygène plutôt que d’éviter de dégager du CO2… c’est peut-être ça le vrai débat : compenser les surémissions de carbone par la production industrielle d’oxygène et autres gaz atmosphériques afin de conserver, pour commencer, un sujet d’étude (l’atmosphère) sur lequel on aurait aucun impact !
Ou alors il faut faire le rendement qui tue (littérallement) celui de l’équilibre thermique entre nos activités et celles du milieu. Et comme on ne peut pas lutter contre l’océan, les vents et le soleil bon courage pour supposer un rendement surnuméraire à partir de conditions thermiques initiales… il faut fuir, c’est notre plus précieuse qualité…
Le
06/05/2021 à
06h
58
deathscythe0666 a dit:
Or, bien que les quantités pour un produit, pour une capacité donnée, etc. soient en baisse, le total des extractions est en très forte hausse.
C’est ce qu’on appelle le paradoxe de Jevons (si je me rappelle bien son orthographe) ou l’effet rebond.
Ce qui est rigoureusement la définition d’un produit. Il faut pourtant faire le calcul suivant :
extraction -produit -recyclage -produit2
Sur Jevons ce n’est pas un paradoxe : c’est la définition d’un retour sur investissement. Le côté paradoxal provient du droit de proprieté qui permet de la même façon que la mesure des exctractions de rendre le volume de consommateurs implicite.
On pourrait donc aussi voir les choses sous l’angle des producteurs directement impactés par les stress d’approvisionnement et en quoi ces stress modifient les qualités des produits à taux de retour sur investissement (méthode Jevons) constants… c’est là qu’on va se demander si il faut ou pas réduire le nombre de consommateurs par le prix ou modifier les volumes “capitaux” au profit des volumes “réparation/entretien”.
Le
05/05/2021 à
12h
54
Qu’est-ce qui est faux au juste ? Le fait qu’on ait une gestion non-renouvelable des ressources, qu’on tape plus vite dans le stock de la plupart des matières dont dépendent l’économie que ces stocks se reconstituent, en effet, ce n’est pas nouveau, je n’ai pas dit le contraire. J’ai dit que jusqu’à présent on ne s’en été pas souciés, mais que ça ne constituait pas une raison suffisante pour ne pas s’en soucier aujourd’hui.
La question n’est pas de savoir si l’évolution de la technologie permet de diminuer la consommation de ressources à service rendu équivalent. C’est le cas, c’est évident. La question, c’est de savoir si la consommation cumulée de ressources par l’ensemble de la population mondiale est compatible avec ce que la planète est capable de nous fournir. Et si on continue sur la même trajectoire qu’aujourd’hui, la réponse est non. Pour comprendre pourquoi il est très peu probable que l’évolution technologique dont tu parles résolve ce problème, je conseille cette vidéo : YouTube
Quant aux limites planétaires, tu conviendras j’espère que la littérature scientifique sur le sujet est aujourd’hui un peu plus complète et un peu plus solide qu’à l’époque de Malthus. Cette page wikipedia est un bon départ pour comprendre le sujet. Les rapports du GIEC sur le climat, et de l’IPBES sur la biodiversité, sont largement accessibles à un public non scientifique. Et si vous voulez quelque chose d’un peu plus facile à ingérer, je recommande les vidéos de cette chaine Youtube.
La quantité d’énergie disponnible à utiliser dépend de la qualité des ressources et non de leur quantité. Il faut pas croire : derrière chaque machine produite il y a de la main d’oeuvre. C’est ce qui explique pourquoi la sortie de la pauvreté par la technologie est un leurre pour certains.
Le
05/05/2021 à
09h
52
Ce n’est pas “dès qu’on est pas d’accord avec toi”. C’est dès qu’on décrédibilise d’emblée = qu’on se conduit de manière irrespectueuse et non-constructive.
Puisqu’il te faut une explication de texte, semble-t-il… J’ai parlé d’objets qu’on utilise depuis des dizaines d’années ou plus, tu m’as direct “renvoyé au Moyen Age”
“es objets qu’on a pu utiliser sans depuis des dizaines d’année ou plus…
au Moyen-âge y-avait pas l'électricité, l'eau, téléphone, voiture, Internet, etc.. donc, continuons à faire 'SANS'.... ! "
Pour rappel…
Électricité : “découverte” (ressentie / théorisée dans son existence) avant JC, premières constructions scientifiques au 17ème siècle, première implémentation au 19ème siècle.
Frigo : inventé en 1865, démocratisé dans le premier tiers du 20ème siècle.
Brosse à dent : depuis l’Antiquité.
Eau : depuis la nuit des temps (infrastructure de “plomberie” ou simplement acheminement en eau : depuis l’Antiquité).
De plus, tu as SCIEMMENT pointé des TECHNOLOGIES dont je n’ai jamais remis en cause l’intérêt, alors que mon propos porte sur les USAGES.
Bref, tu n’assumes même pas avoir trollé (ou tu t’en es même pas rendu compte ce qui est peut-être pire). C’est triste.
Deplus ce sont les usages qui permetent de construire le développement technologique… d’où le biais des pays en voie de développement (inversion causale).
4748 commentaires
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*un cube a 6 faces.
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10/05/2021
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10/05/2021
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Ce lanceur c’est la cerise sur le gateau de CO2.
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10/05/2021
Le 10/05/2021 à 12h 25
Surtout qu’on ne lance aucune fusée à 100 millions d’euros suceptible de s’écraser sur la France métropolitaine. Alors pour les grosses photos d’accidents à 300 megapixels on repassera…
Drones : Darmanin avait demandé à la CNIL de taire sa sanction
10/05/2021
Le 10/05/2021 à 12h 16
La CNIL n’a aucun pouvoir de sanction contre le Gouvernement.
Assimiler cette AI à une sanction c’est oublier que les délibérations de la CNIL peuvent se contester au conseil d’état et ainsi ne sont en aucun cas qualifiables d’atteinte au processus parlementaire car la défense de l’intéressé est garantie par ailleurs.
La méthode de défense employée ici est donc irrecevable vis-à-vis de la CNIL… tout simplement.
Qu’il y ait un débat médiatique ou non sur l’usage des drones ne change rien aux parties. Il y avait donc le choix entre la diffamation ou la démission… on voit bien qu’aucune de ces voies reconnue par la loi n’a été mobilisée : ce courrier n’a pas d’autre valeur que de croustiller.
Linky : Engie sort indemne de la mise en demeure de la CNIL
07/05/2021
Le 10/05/2021 à 07h 42
Le problème c’est qu’il n’y a pas uniquement des chargeurs 5V à 100mA. Ce serait trop simple. Ensuite le courant nécessaire à la détection est donné par le réseau, pas par le circuit local du client. Là dessus il y avait un hoax d’ailleurs.
Après toute alimentation AC-DC a des pertes conséquentes. Le phi proche de 1 c’est pour les alimentations de PC certifiées 80plus (autour de 93 mesuré avec ma prise à 20 ronds) ou électroménager sans moteur <1000W (UE).
Le courant de veille ne suffit donc pas à se faire une idée des économies potentielles réalisables avec le dispositif de comptage… ce qui était vendu comme tel !
Les pertes cumulées par les inductances en marche sont ainsi loin d’être négligeables pour une famille de 4 personnes (avec chacun son ordiphone et son pc portable + 2 box FAI) si tu veux réellement économiser sur la réactance.
On parlerait de pompes de piscine et autres grosses puissances dont aucune ne présente une étiquette énergétique et sont souvent ainsi les plus évidentes sources de réactance que l’électronique grand public je dirais ok, Linky sert à quelque chose pour le client. Mais ici on peut parler de connaissance de cause pour Enedis et de perte de liberté pour le client réduit à la simple “optimisation de façade” de sa consommation de TV par internet…
Le 09/05/2021 à 11h 21
Sur la partie lois on est d’accord.
Pour l’industrie la facturation découle des volumes donc forcément la question se pose en amont !
Mais pour des particuliers je suis désolé mais vu le parc de logements il y en a un bon paquet dont les installations electriques ne sont pas aux normes sur les sections… mesurer les pertes en ligne grace au linky me semblait plus logique dans une optique d’économies d’énergies que de s’intéresser au frigo qui regarde le propriétaire. Ce dernier devant en général débourser le prix d’un frigo neuf pour certifier son installation conforme en cas de revente par exemple…
Oui enfin on est pas à 300000 euros près vu l’empressement à virtualiser chez enedis… faut pas non plus prendre le public pour des truffes.
Le 09/05/2021 à 05h 40
Au prix du m2 constructible aujourd’hui, le potentiel de redistribution de l’énergie entre voisins est sous-estimé avec les Enr. Je ne suis pas promoteur ou lotisseur mais la possibilité de réaliser des petites smart grid m’intéresserait. D’autant plus si la part taxable de l’énergie payée, dont notamment la composante distribution publique passait en privatif.
Le rendement global de ton installation electrique peut se mesurer ainsi. Cela permet par exemple de comparer les logements entre-eux et c’est un calcul déterminant pour expliquer ce que la puissance apparente ne dit pas.
L’isolation thermique ne se mesure pas grace à la courbe de charge… ou alors il me faut le détail de cette conjecture!
D’où que la smart grid (dernier km) revient exclusivement à Enedis qui n’a pas exactement la même expérience ni les mêmes contraintes que rte… et n’optimise donc rien du tout.
Je généralise. Vu le prix des processeurs arm ce calcul ce serait presque rien pour un compteur dit “intelligent”. Il y aurait tromperie sur la marchandise ?
Je te rapelle que si tu sais faire de l’AES, donc des courbes elliptiques ou autre, a priori : tu sais aussi produire un phi et l’afficher sur l’écran…
Oui et la crypto aussi c’est gourmand…
La livraison non, mais derrière le pdl pourquoi a-t-on des anti-linky qui affirment qu’avant linky leur consommation était basse ? Et d’autres qu’après ça va mieux ?
Yep…
Le 08/05/2021 à 16h 59
Je prenais un exemple pour réagir sur la smart grid. Je trouverai plus sympa d’avoir la possibilité de revendre de l’énergie entre maisons qu’entre patés de maison… les linéaires de cable seraient plus courts.
Le hoax fait qu’en ayant accès à la puissance réactive tu es certainement plus en mesure (c’est le cas de le dire) de mesurer ce qui chez toi a un rendement mauvais.
La simple mesure de la courbe de charge permet juste de vérifier que rien ne s’allume en dehors des plages définies ce qui n’interesse au final que rte pour gérer ses 50hz.
Maintenant on peut décider si rte ou que l’état n’a plus de sous de décompter le phi… c’est techniquement possible avec le Linky.
J’ai même cette fonction sur une prise compteuse à 20 balles…
Le 08/05/2021 à 10h 24
En partie. Seulement ce port n’est pas forcément rendu accessible par l’installateur qui le plombe une fois sur deux. Aussi l’apparence de l’illégalité de l’accès au compteur est omniprésente dans le déploiement… comme avant…
L’avantage c’est d’avoir un comptage certifié (cela ne sert pas à rien en tant qu’appareil le Linky) mais sans pouvoir paramétrer finement les sondes c’est difficilement exploitable en tant que tel alors que les distributeurs privés ne se privent pas de spéculer sur les économies d’énergie sans jamais certifier leurs méthodes de calcul…
Par exemple si je souhaite me servir du Linky pour revendre un surplus dans mon quartier je ne peux pas… il faut changer d’appareil. Autrement dit il n’y a aucune smartgrid pour l’utilisateur, tout au plus de belles paroles ennoblies par des boîtiers (non biodégradables) verts.
Et la puissance réactive… qui n’était pas facturée sur d’autres compteurs
Alors affirmer que la data ce serait le nerf de la guerre…
Le 08/05/2021 à 06h 01
Certes. Mais comme on n’interdit pas de mesurer les apports individuels au réseau (smartgrid), avoir un véritable accès individuel à un compteur certifié neuf aurait facilité les installations privées photovoltaïques, éoliennes.
C’est très marrant de voir Enedis proposer maintenant des installations clé en main. On comprend ici tout l’art du pied dans le compteur…
Le 08/05/2021 à 05h 56
Même pas : la possibilité de raccorder en physique le Linky à son PC aurait simplifié les choses. Les geeks pouvaient ainsi expliquer aux anciens le pourquoi du comment.
La confiance c’est dans les deux sens…
Christian Estrosi et la foire du drone
07/05/2021
Le 10/05/2021 à 07h 25
C’est avec les vieux pot(e)s qu’on fait les meilleurs bœuf carottes.
Mais je suppose qu’ici ce sera une petite socca non relevée au poivre…
Le 08/05/2021 à 10h 50
On dit caucassien ou caucasienne pour parler de reconnaissance capillaire.
Les cheveux repoussent. Je ne comprends pas non plus l’utilité du casque…
Le 08/05/2021 à 06h 54
Ce serait co-casse.
Le 08/05/2021 à 05h 52
Il y a une coquille : Monsieur et le carnaval du drone.
Les conspirationnistes font (aussi) partie de complots
07/05/2021
Le 10/05/2021 à 07h 13
Il y a en revanche des raisons claires à cette situation. A défaut d’avoir un consensus sur le contenu on peut supposer que le contenant démocratique qui permet à la fois de développer un raisonnement consistant (recherche) permet aussi de développer une production de valeurs (sciences) avec parfois des sous-produits de ces valeurs comme la téléphonie ou l’automobile pour de ne citer qu’eux.
Au milieu de processus il n’y aucun contenant, le contenu peut donc facilement dévier de sa trajectoire supposée dans un relativisme absolu ou une spéculation absolue.
C’est ce qui m’ennuie avec l’idée même de faire état des “complots” : d’une part les vrais complots existent, mais en plus, il n’y a aucune obligation éthique de contenir ces spéculations… c’est systématiquement contre-productif dans une démocratie très liquide. On ne peut pas raisonnablement en tirer un savoir. Alors parler de théories avant de faire le tri dans les hypothèses….
D’un autre côté c’est pas comme si la propagande d’avant guerre avait prémâché le travail formel pour les décennies d’après. En prolongeant cette idée : dans 50 ans c’est le point godwin qui sera structurellement mainstream…
Le 08/05/2021 à 17h 42
Quand on a que Facebook tous les problèmes ont une tête de con.
Zuck’s Law Bitchies.
Le 08/05/2021 à 05h 17
Ce sont les plateformes web qui politisent à dessein les débats publics afin de laisser à penser à l’internaute que le cyberespace serait la même chose que le cyber (définition originale) en général (état, institutions…).
Ce faisant le poids politique du web sémantique devient une norme comme une autre et peut admettre de contenir des complotistes comme il absorbe déjà des enseignes de vente, leurs publicitaires et tout ce qui dépassant le seuil critique de l’effet de réseau peut générer le ROI de la plateforme.
Quant au contenu c’est faire là aussi beaucoup de largesses à des pseudo-informations : ce qui explique que cette nouvelle surface d’attaque est a priori bien plus determinée par le vecteur d’information que l’information prise isolément.
La rumeur dit d’ailleurs que le MIT se penche dessus… j’ajoute qu’entre potes la solidarité c’est essentiel.
[Document] Renseignement : la « lettre rectificative » préparée par le gouvernement
08/05/2021
Le 10/05/2021 à 06h 51
Et les chiffrements modernes savent très bien faire ça.
Le 10/05/2021 à 06h 49
Ce sont des attaques statistiques. Il y en existe sur les darknets du même ordre mais ce n’est manifestement pas cette cible difficile qui est visée.
La seule approximation reste le nombre de faux-positifs et la taille de l’échantillonnage “public”. Aussi je suppose que la collecte de masse, dans ce cas précis, reste très coûteuse même pour l’état Français… il y a donc un tri des sites webs à analyser a priori pour faire baisser le taux de faux-positifs en sortie de la technique comparative.
Les maths ont leurs limites… fort heureusement !
Le 08/05/2021 à 17h 31
C’est très simple : il suffit de faire le lien entre IP (ou DNS) et le poids de chaque flux qu’il est facile de mesurer en se connectant soi-même au site…
Les données collectées sont donc a priori le log des flux de paquets de chaque abonné. Avec un peu de méthode il est facile de statistiquement dire qui, à quelle heure, a consulté quelle page du web dont la version simple a préalablement été interpétée côté attanquant par un hash ou tout autre élément discretisant une page et permettant de comparer des choses comparables.
Même idée IRL : un facteur connaissant le poids de chaque article vendu par amazon peut savoir ce que tu achètes sans ouvrir le colis qu’il te livre. Si en plus tout est automatique la marge d’erreur est quasi-nulle…
#Flock veut voir vos papiers
08/05/2021
Le 09/05/2021 à 06h 00
Il y a surtout un excellent argument non théorique qui réfute (si besoin) le ruissellement :
Soit une personne dépensant 20% de 1500€/mois en nourriture, le même spécimen avec 150000€/mois n’en dépensera pas 20% pour se replir l’estomac.
L’exemple ne dit pas quelle est la consommation de boissons, aussi peut-on supposer que la théorie du ruissellement s’adresse spécifiquement aux viticulteurs ou aux producteurs d’huile d’olive…
Le 08/05/2021 à 19h 43
Ce n’est pas du ruissellement, c’est l’effet défèque news sur touitteur. Là on peut parler d’une théorie, dans son genre… :oui2:
Le 08/05/2021 à 17h 17
La taxidermie en ligne est manifestement licite.
24 % des internautes ont consommé des contenus manifestement contrefaisants en 2020, selon la Hadopi
07/05/2021
Le 08/05/2021 à 19h 52
Dans minority report il n’y a pas de phoques. Tu ne risques donc pas de phoque le système.
Google va activer par défaut l’authentification à deux facteurs
07/05/2021
Le 08/05/2021 à 10h 09
Dans le triangle de Gonesse la vaseline sera une Durablex®.
Le 08/05/2021 à 07h 01
Oui donc c’est de l’authentification à 2+1n facteurs.
Disperser les mots de passe ne dit pas si ils sont salés….
On se monte un serveur 4U : 16 cœurs, 64 Go de RAM, 2 GPU, 5 + 5 SSD/HDD, 2 alimentations
07/05/2021
Le 08/05/2021 à 07h 15
C’est pas nouveau c’t’affaire.
Le 08/05/2021 à 06h 39
Pour le volume façonné oui. L’avantage reste que si tu peux te permettre ces opérations sur des voliges, les palettes récupérés à la même enseigne elles sont gratuites.
Le 08/05/2021 à 06h 31
C’est un peu mieux que le mélaminé c’est sûr. Pour du massif et proche des dimensions d’un serveur et du coût de l’osb au m2 il y a aussi les voliges. Un peu de colle et hop.
L’avantage ici c’est de payer le m3 2 fois moins cher que l’osb.
Le 08/05/2021 à 05h 51
Et pourquoi pas faire une pièce dédiée ?
L’osb3 sert plutôt à construire des murs au départ.
FCC : 82 % des commentaires pro ou anti-neutralité étaient pipés
07/05/2021
Le 08/05/2021 à 06h 47
Des commentaires pipés oui, mais à quel débit les commentateurs supputent aussi ?
J’ignorais que la FCC jouissait d’un tel magnétisme…
Les questionnaires PC et disques durs nus adoptés en Commission Copie Privée
07/05/2021
Le 08/05/2021 à 06h 13
De la règle de trois : copie-contrefaçon-mtp il faut supprimer les mtp.
Je suis plus inquiet de ce que Youtube ponctionne que la RCP. Mais ce n’est que mon avis…
Un rapport identifie des vulnérabilités dans la stratégie nationale pour la cybersécurité
07/05/2021
Le 08/05/2021 à 05h 27
Uniquement car la part d’attaques aboutie est minime.
En hiérarchisant les risques on peut montrer qu’il y a des priorités pas si éloignées du vécu. Cela n’explique pas cependant pourquoi ce sujet est largement passé sous silence par celles et ceux même qui souhaitent digitaliser…
Le coût de la couverture étant correlé à la puissance de calcul totale il est illusoire de tendre en l’état actuel de l’implémentation technique et d’usage vers un citoyen lambda débourser les quelques milliers d’euros restants pour atteindre le prix unitaire d’une machine sécurisée au même niveau que [remplacer par un GAFAM].
Grosso modo la cybersecurité individuelle, par définition, n’existe pas !
Next INpact, (presque) deux fois majeur
05/05/2021
Le 07/05/2021 à 07h 29
La valorisation peut aussi se compter en bilan carbone : par exemple pour Noel on pourrait leur envoyer des buches.
Il ne resterait plus qu’à monter un fond centrale au bois pour alimenter les “traitements” de texte de l’équipe.
Le 06/05/2021 à 12h 01
The cookie is alive !
Mais le restera-t-il ? :oui2:
Des élus LR veulent que les voitures radars, sources de stress, soient signalées
06/05/2021
Le 07/05/2021 à 07h 23
Clairement : la part minime des chauffards met un coup de frein à la gestion de base des infrastructures.
Résultat : c’est souvent la double peine.
Le 07/05/2021 à 07h 15
En théorie mais en pratique : sur des départementales ou des bouts de nationales fréquentées par des agriculteurs on aménage parfois des portions spécifiquement dédiées au dépassement. Comme on ne connait pas à l’avanve le nombre de dépassements possibles ou la longueur de la file aménagée bien souvent c’est pour se rabattre qu’on accélère, pas pour dépasser !
De même : les lignes continues permettent en théorie d’éviter les dépassements sur les portions dangeureuses mais on ne peut pas savoir facilement avant de dépasser comment le rabattement va se dérouler…
Sur autoroute c’est plus simple.
Facebook : le Conseil de surveillance confirme le bannissement de Donald Trump, mais…
06/05/2021
Le 07/05/2021 à 06h 56
Bien vu bien vu… dans un camp de naturistes t’as tout vu. Qu’ils aillent à l’eau nus ce serait un comble.
Le 06/05/2021 à 12h 21
Comment vos photos indexées par Google risquent d’enrichir les sociétés de gestion collective
05/05/2021
Le 07/05/2021 à 06h 48
Entre les changements climatiques, les découvertes scientifiques ou même la science fiction on se demande de quelle ingratitude il faut tenir pour oser nier ces éléments d’anticipation !
Comme dirait l’autre, les zonzôns ça ose tout, c’est même au futur qu’on les reconnait !
Le 06/05/2021 à 11h 46
Le plus épatant c’est la disparition de la notion d’original et de copie. Après la copie privée on est privé d’original donc…
Pour que ce système ne tombe pas dans un déni flagrant de la causalité il faudrait introduire des mesures d’audience… un peu comme pour l’application d’une hypothétique licence globale.
Conclusion on se bagarre pour la quantification des oeuvres, le style du catalogue, la texture de la couverture…
Je trouve cette manière d’avoir les oranges des créateurs en détournant le sens du presse argume particulièrement toxique. Même pour leur palais.
Le 06/05/2021 à 07h 06
On s’étonne néanmoins de la vitesse différente du carosse pour percevoir et reverser.
Ce n’est pas les lois du farwest qui empêchent la dilligence pourtant.
Station spatiale chinoise : après le lancement, l’inquiétude du retour du premier étage sur Terre
05/05/2021
Le 06/05/2021 à 12h 17
Le déjeuner sous la tonelle c’est un tableau de Manet ou Money ?
« La 5G fait peur et suscite contre elle une mobilisation inédite »
05/05/2021
Le 06/05/2021 à 09h 06
Certes, mais dans ce scénario il faut impérativement définir le volume des matières initiales et supposer que la qualité d’usage des matières ne change pas dans le temps. Hors c’est contraire à ce qu’on observe !
Autrement dit les gains en efficacité se comptant in fine en assemblages complexes de matières elles mêmes faites de molécules on voit bien que cela aboutit à réduire les émissions de dioxyde de carbone à notre corps par la même occasion… on peut donc supposer qu’il serait humainement plus juste de pomper de l’oxygène plutôt que d’éviter de dégager du CO2… c’est peut-être ça le vrai débat : compenser les surémissions de carbone par la production industrielle d’oxygène et autres gaz atmosphériques afin de conserver, pour commencer, un sujet d’étude (l’atmosphère) sur lequel on aurait aucun impact !
Ou alors il faut faire le rendement qui tue (littérallement) celui de l’équilibre thermique entre nos activités et celles du milieu. Et comme on ne peut pas lutter contre l’océan, les vents et le soleil bon courage pour supposer un rendement surnuméraire à partir de conditions thermiques initiales… il faut fuir, c’est notre plus précieuse qualité…
Le 06/05/2021 à 06h 58
Ce qui est rigoureusement la définition d’un produit.
Il faut pourtant faire le calcul suivant :
extraction -produit -recyclage -produit2
Sur Jevons ce n’est pas un paradoxe : c’est la définition d’un retour sur investissement.
Le côté paradoxal provient du droit de proprieté qui permet de la même façon que la mesure des exctractions de rendre le volume de consommateurs implicite.
On pourrait donc aussi voir les choses sous l’angle des producteurs directement impactés par les stress d’approvisionnement et en quoi ces stress modifient les qualités des produits à taux de retour sur investissement (méthode Jevons) constants… c’est là qu’on va se demander si il faut ou pas réduire le nombre de consommateurs par le prix ou modifier les volumes “capitaux” au profit des volumes “réparation/entretien”.
Le 05/05/2021 à 12h 54
La quantité d’énergie disponnible à utiliser dépend de la qualité des ressources et non de leur quantité.
Il faut pas croire : derrière chaque machine produite il y a de la main d’oeuvre.
C’est ce qui explique pourquoi la sortie de la pauvreté par la technologie est un leurre pour certains.
Le 05/05/2021 à 09h 52
Deplus ce sont les usages qui permetent de construire le développement technologique… d’où le biais des pays en voie de développement (inversion causale).