Si Windows veut maintenant un chiffrement Bitlocker du disque et Ubuntu veut son propre chiffrement du disque pour fonctionner, on pourra toujours faire du dual-boot ?
Dans le dernier paragraphe, il est indiqué que le faisceau laser (optique) atteignant la Terre a une taille d’environ un diamètre terrestre. Il faut donc un sacré gros "truc" pour qu'on ne voie pas le faisceau.
Nouvelle mouture pour le navigateur, avec moins de fonctions.
La tournure de phrase est ambiguë. Ils ont enlevé des fonctions ou le nombre de nouvelles fonctions est moins élevé que la moyenne du nombre de nouvelles fonctions qu'il y d'habitude dans une nouvelle version de Firefox ?
Pour les lecteurs non assidus qui ne connaissent pas l’histoire de Next(Inpact), cet article manque un peu de contexte. Remettre un petit lien vers la bêta ne ferait pas de mal.
Ça m’a l’air compliqué à éviter ce genre d’accident pour un véhicule autonome. Il faut qu’il détecte que quelque chose l’a heurté (puisque cette dame a été projetée par un autre véhicule), ça à la rigueur ça passe encore. Mais en plus il faut qu’il détecte que ce qui l’a heurté selon un trajectoire totalement inhabituelle est humain et qu’il faut protéger cette personne ? On ne doit pas avoir beaucoup d’enregistrements de cette situation pour entrainer l’IA et j’espère qu’on n’en aura pas plus.
J’ai un peu de mal à comprendre les termes du débat.
Dans le monde réel, les États sont “responsables” de la sécurité de leur citoyens (ils ont même le “monopole de la violence légitime” pour ça mais c’est un autre débat). Oui, pour certains, ils peuvent mal s’acquitter de la tâche, en abuser, mal sanctionner les abus, et plein d’autres soucis… Ils pourraient probablement faire “mieux”, mais, en Europe, personne ne remet en cause leur souveraineté pour ça. Et pour, aller à l’extrême dans l’analogie, dans le monde réel, personne ne dit que les armées et les forces de police ne sont pas légitimes, et qu’on devrait donc utiliser à la place des milices privées auxquelles chacun serait libre de souscrire ou non, d’obéir ou non.
Du coup, je ne vois pas pourquoi, dans l’univers du Web, il devrait en être autrement et pourquoi la “confiance” et la sécurité devrait être exclusivement confiées à des “autorités de certification” privées, qui plus est majoritairement situées dans des juridictions étrangère. Ça parait légitime que les États demandent et imposent qu’on leur accorde au minimum la même confiance que ce qu’on accorde aux autorités de certification privées.
Que ce soit un État qui soit une autorité de confiance ou une milice (une autorité de certification privée), ne change rien aux risques de dérapages, d’abus divers, etc. de cette autorité. Et les États européens sont beaucoup plus surveillés de ce point de vue que les autorités de certification privées. Qui surveille que les grands détenteurs de certificats racine d’aujourd’hui n’abusent pas de leur pouvoir pour faire des attaques “man in the middle” ? Qui décide que ces détenteurs sont plus dignes de confiance qu’un État souverain ?
Ensuite, lorsqu’il s’agit d’établir une conversation privée, libre à chacun de choisir le tiers de confiance qui vérifiera que les deux parties sont bien ce qu’elles prétendent. De ce point de vue, un État, peut être un tiers tout à fait valable pour ça, pour des personnes qui lui font confiance. Pour ces populations, c’est probablement mieux que de devoir faire confiance à un organisme étranger qu’ils ne connaissent pas (qui leur serait imposé par le concepteur de leur navigateur car il aurait pour politique de n’accepter que les autorités privées).
Et lorsqu’un site utilise un certificat, on peut toujours voire quelle est l’autorité de certification qui l’a signé, si on est curieux. Pourquoi devrait-on plus mettre en évidence les sites qui utilisent un certificat approuvé par l’État ?
Au final, quand on parle de site web, c’est au concepteur du site de choisir qui lui délivre un certificat. Pour des sites web souverains comme les impôts, les informations gouvernementales, parlementaires, ça parait légitime qu’ils n’aient pas à dépendre d’organisations privées, qui plus est étrangères, pour certifier leurs communications.
Je trouve le titre de cette news trompeur et “putaclic”.
Si je comprends bien, le gestionnaire du l’extension .ml a mis un “catch-all” pour récupérer et peut être lire tous les mails qui arrivent à une adresse .ml qui ne correspond pas à un domaine enregistré. Et ils se trouve que les auteurs de nombre de ces mails pensaient viser en fait le domaine .mil.
Il n’a donc pas “reçu par erreur” ces mails. Il a reçu ce qu’il souhaitait recevoir, à savoir des mails mal adressés.
Mais de quel droit a-t-il fait ça ? Qu’est ce qui l’autorise à recevoir des mails qui ne lui sont manifestement pas destinés ?
Il me semblait qu’avec le mode STOC, l’opérateur d’infrastructure est tenu de sous-traiter le raccordement à l’opérateur commercial (qui, lui, par contre, est responsable s’il sous traite en cascade cette opération) pour ne pas entretenir un monopole. Ça me parait curieux, du coup, de blâmer l’opérateur d’infrastructure pour le travail bâclé par les opérateurs commerciaux.
Attention de ne pas lire trop hâtivement. Le titre de la news est ambigu; tout est dans le mot “leur”. C’est 4% des 29% qui possèdent un casque qui l’utilisent quotidiennement. Ça fait 1,16% des adolescents de la population générale qui utilisent un casque quotidiennement.
Autant je peux comprendre l’erreur sur le paramétrage de l’IA car ce n’est pas le métier de base de chercheurs en psychologie et en psychiatrie, autant je trouve que l’exclusion d’un trop grand nombre de données dans l’échantillon est difficilement pardonnable car c’est de la démarche scientifique de base qui s’applique à tout les domaines.
Comment de telles erreurs ont pu passer le comité de lecture au moment de la publication ? Qu’il n’y ait pas eu de spécialiste en IA dans le comité de lecture peu s’entendre (et l’erreur est aussi du côté de la revue qui n’a pas sélectionné les bons spécialistes) mais tous auraient du voir l’erreur sur les données.
Dans quel sens faut-il comprendre “troisième modérateur”. C’est, parmi tous les modérateurs, celui qui est classé troisième au nombre de messages traités ou au nombre de messages refusés/modérés ? Ou alors c’est chronologique : le troisième à avoir signé un contrat avec Meta ? Et combien de modérateurs Meta a-t-elle simultanément ? S’il n’y en a qu’un à la fois, cela voudrait-il dire que c’est la troisième fois qu’il se font éjecter par un modérateur ? J’espère que “troisième” ce n’est pas une mauvaise traduction de “third-party” qu’il aurait fallu traduire par “modérateur tiers” (ou “tierce partie”).
Il est de notre devoir d’industriel […] de proposer aux décideurs européens des solutions technologiques intelligentes et ambitieuses,..
Le boulot est fait, c’est effectivement une solution sur le papier…
Parmi les missions rendues possibles par Susie, on trouve le remorquage, l’inspection ou la mise à niveau de satellites et d’autres charges utiles, le ravitaillement de stations spatiales en carburant, nourriture et équipements. Il pourra aussi permettre les changements d’équipages et les travaux humains en orbite
…mais pour le problème que ça résout, on dirait qu’ils cherchent encore !
Quelles stations spatiales seront accessibles à l’Europe lorsque ce module sera prêt (d’ailleurs, y-a-t-il une date prévisionnelle pour la mise en service) ?
J’ai du mal à comprendre l’intérêt financier d’utiliser un module potentiellement habitable (avec les coûts de maintenance que ça implique) pour effectuer des missions automatisables comme le remorquage, l’inspection ou la mise à niveau de satellites, etc.
Sur l’aspect habitable, on dirait plus un objet “politique” qui restera à l’état de plans, permettant de négocier l’accès à des places dans les modules américains qu’un véritable projet industriel destiné à voler un jour.
Qui est partie dans cette affaire ? Si j’ai bien compris, il y a un litige entre un internaute et un hôtel mais tout ça serait à cause d’une faute de Booking qui n’aurait pas libellé son bouton conformément au droit de l’UE. Booking ne devrait pas être poursuivi dans ce cas ?
Je ne me trompe pas de victime. J’espère que les membres de ce groupe seront retrouvés et sévèrement punis par la justice.
Je dis juste qu’une victime n’a pas le droit de se venger ou de se faire justice elle même; c’est au système judiciaire de son pays d’agir.
D’autant plus si, en le faisant à l’aveugle, elle prend le risque de faire des victimes collatérales. Mon exemple maladroit du médecin cherchait à expliquer ce que pourrait être une victime collatérale dans ce contexte (et je pensais plus au patient du médecin qu’au médecin lui même dans l’exemple).
Le
02/03/2022 à
22h
49
Les pirates ne se sont pas fait attaquer en retour par NVidia, ils (les pirates) ont enrôlé leurs PC dans le SI de NVidia, lequel a pu procéder à une mesure de sécurité tout à fait normale. La subtilité est là, je pense.
Quant à l’exemple, si un médecin laisse son ordi pro dans les mains d’un gosse, le soucis c’est plutôt çà justement, c’est à dire de laisser des fichiers hyper importants (et confidentiels) dans les mains d’une personne autre que le médecin ^^.
Dans cet exemple hypothétique, le fait que la machine soit mal protégée par son propriétaire ne donnerait pour autant les droits à Nvidia de l’attaquer. Il ne peut y avoir deux poids deux mesures. Si pirater les machines mal protégées de Nvidia est un délit, contre-attaquer l’assaillant mal protégé est aussi un délit.
Le
02/03/2022 à
19h
52
Guinnness a dit:
Le plus drôle Nvidia aurait réussi à remonter leur trace via des mouchards présents dans les fichiers dérobés et leur aurait officieusement balancé dans la tronche en retour un cryptolocker qui a verrouillé une partie des machines du groupe qui du coup passe un peu pour des guignols
J’espère que c’est une fake news. Même si c’est marrant à imaginer, je trouve que ce serait un comportement très grave de la part de Nvidia :
d’abord parce que nul n’est censé se fait justice soit même
mais aussi, imaginons que l’un des pirates soit un gamin qui utilise le poste pro d’un de ses parents médecin, et qu’en chiffrant la machine en question, ce médecin n’ait plus accès au dossier médical urgent d’un de ses patients. Ce serait une sacré responsabilité de la part de Nvidia.
Tout ça, ça va rentrer en collision avec l’arrêt du réseau cuivre qui oblige à changer les téléalarmes dans tous les ascenseurs.
Et pour remplacer, plutôt que de faire souscrire un abonnement fibre par les copropriétés, les ascensoristes proposent des modules GSM (donc 2G si je ne m’abuse) avec des abonnement souscrits par leur soin (et donc refacturés, on imagine avec une marge).
Quand je lis “cash”, je pense d’abord billets de banque. Et là j’imagine la tête du guichetier lorsqu’ils vont demander un retrait de 68,7 milliards à leur banque
Le critère de nationalité a été écarté mais il faudrait peut être un critère de droit d’accessibilité aux données par des entités étrangères. Si une entreprise est soumis au “Cloud act” américain, les données qu’elle traite ne sont pas à l’abri, même hébergées en France.
Qu’est-ce qu’ils ont amélioré pour qu’elle puisse rester “arrimée deux fois plus longtemps à la Station” ? Quelle sont les contraintes subies par une capsule attachée à l’ISS qui limitent sa durée d’arrimage ?
La population qui est en réanimation est en moyenne âgée. La population qui travaille dans les entrepôts Amazon est généralement jeune. Ces chiffres ne prouvent rien sur la pertinence de la protection des salariés dans l’entreprise.
Il serait plus intéressant de connaitre combien d’employé on choppé le virus sans aller jusqu’en réanimation, et combien l’ont transmis ensuite à leur famille…
De mon point de vue, actuellement, votre message est déjà brouillé.
On a aujourd’hui cette nouvelle publicité, clairement indiquée, ce qui pourrait être acceptable…
Mais, juste en dessous, on a un “article” sur une offre promotionnelle “B&You”, qui n’est pas indiqué comme une pub (c’est un “bon plan”) et qui fait l’objet d’un tracking par Clicidees et doubleclick avant de renvoyer directement chez Bouygues Telecom. Il n’y a rien de rédactionnel ici….
Les “bons plans” ne sont pas nouveaux mais pourquoi ne font-il pas l’objet des mêmes précautions que le publi rédactionnel ? Ne devraient-ils pas être signalés par un tag ?
J’ai un peu l’impression d’un tour de passe passe: “regardez la nouvelle pub et son nouveau marqueur pour ne pas voir le message subliminal des autres publicités”.
Et avec ça, ils sont en train de fermer Alice. Les derniers clients comme moi reçoivent un mail les remerciant d’avoir choisi un forfait Free Box Crystal (à bon ?) et annonçant que la première facture sera supérieure au montant du forfait (sic). Pas d’explication du pourquoi; juste une info qu’on est maintenant abonné Free Haut Débit, sans précision du tarif… C’est très moyen comme procédé. C’est une bonne occasion de résilier et de passer à la concurrence…
Comment ça va se passer pour les lignes d’appel d’urgence des ascenseurs ? Notamment en cas de coupure de courant s’il n’y a plus d’alimentation électrique sur la ligne téléphonique ?
Si les agents désactivent les protections place, on peut s’attendre à ce que les avocats plaident une altération de la preuve et fassent annuler la procédure.
Si je relie en USB-C un ordinateur portable et un smartphone, qui alimente qui par le Power Delivery ? Le smartphone s’attend à être alimenté en USB: normal. Mais, s’il n’est pas branché au secteur par une alimentation autonome, l’ordinateur portable aussi, non ?
On peut penser que le FBI a souhaité intervenir parce qu’il utilise la même faille dans d’autres affaires et qu’il ne souhaitait pas que la procédure en cours oblige Cellebrite à dévoiler la méthode utilisée.
Les commentaires enrichissent l’article et sont un prolongement. Même si ça va de soi, lorsqu’un membre de l’équipe y répond, il faut préciser dans la charte éditoriale qu’il s’astreint à la même déontologie que pour l’article initial (surtout lorsque le commentaire amène à rectifier l’article).
Même raisonnement pour la fonction “Signaler une erreur”. Il faut respecter la même déontologie dans son traitement. Et la présence de cette fonction devrait en soi être mentionnée dans la charte puisqu’elle ouvre un droit et un canal pour contester le contenu de l’article.
Le
07/07/2017 à
16h
30
Dans l’espace consacré à la publicité, je préconiserais de préciser si vous pouvez confier vos espaces à une régie publicitaire, et si oui, que celle-ci doit s’engager à suivre la charte.
Le
07/07/2017 à
16h
26
“Le rédacteur ne reçoit aucune directive concernant le sujet ou le contenu de son article”.
Est-ce que ça ne vous empêche pas de signer les NDA pour préparer des articles avant le lancement d’un produit. Au minimum, ne faudrait-il pas spécifier votre politique en matière de NDA ?
Je suppose quand même qu’Optical Center va souhaiter aller au bout de la démarche.
Ça ne sert à rien de faire anonymiser la décision d’origine (sur les deux site où elle est publiée) si la décision du Conseil d’État d’aujourd’hui ne l’est pas.
Le
26/06/2017 à
15h
23
Est-ce que la décision s’applique aux articles de presse ? NextInpact sera-t-il tenu d’anonymiser cet article dans deux ans ?
La décision du conseil d’état est publique. Est-ce qu’elle sera également anonymisée ?
A quoi sert une permission si elle est accordée d’office à tout le monde? Dans l’autre sens, ça veut dire que google peut détecter des actions malveillantes mais distribuer quand même l’appli avec pour seule sanction de ne pas accorder automatiquement une permission ?
Pour ceux qui ne veulent pas s’abonner, ou pour les nouveaux qui veulent découvrir la richesse du site, est-ce que vous envisagez un site nextinpact-replay ou nextimpact+1 qui serait uniquement alimenté par les articles libres ou de plus d’un mois et qui aurait la même érgonomie que le site mainstream ?
L’Etat existera toujours dans 50 ans. Les fonctionnaires ont donc la garantie que les bulletins qui sont stockés pour eux par l’Etat existeront toujours lorsqu’ils partiront à la retraite. C’est un élément de confiance qui n’existe pas dans le privé car les entreprises doivent stocker les bulletins dans des coffres forts gérés par des entreprises privées qui ne peuvent pas garantir leur survie à 50 ans.
A de rares exceptions prêt, les fonctionnaires sont employés à vie. L’Etat peut donc faire en sorte qu’ils aient, toute leur vie professionnelle, accès à des outils pour consulter leur bulletin (sur leur lieu de travail) et qu’ils soient formés à ces outils. Dans le privé, si un salarié n’est pas équipé personnellement en informatique, que sa nouvelle entreprise ne n’est pas encore, qu’il ne sait pas utiliser l’informatique, il perd l’accès à ses bulletins (notamment en quittant son emploi).
Un salarié du privé peut donc légitimement ne pas avoir confiance dans la dématérialisation et souhaiter conserver du papier. Pour un salarié du public, les éléments de confiance sont présents et l’Etat peut imposer une économie d’échelle pour lui sans préjudice pour le salarié.
Il ne faut pas oublier que dématérialiser un bulletin ce n’est pas simplement donner un PDF qu’on pourrait dupliquer à l’infini. La notion d’“original” est importante. Par exemple, un simple envoi de PDF par mail n’est pas correct. Légalement, soit on donne un papier original que le salarié archive, soit on donne accès à une archive électronique unique stockée dans un coffre fort numérique qui devient l’original (les impressions ultérieures devant des copies non certifiées).
Juridiquement, ce que le salarié doit conserver et présenter aux administrations c’est un original.
Logiquement, une photocopie ou un PDF résultant du scan d’un bulletin papier sont des copies, pas des originaux. Ce qu’on sait moins, c’est que l’impression résultant d’un PDF qui a été remis par l’employeur au salarié est considérée juridiquement comme une copie puisque l’original est le fichier PDF. Tout ça ne change pas.
Ce qui change au 1er janvier 2017 c’est qu’on passe d’un opt-in à un opt-out. Le consentement du salarié sera présumé par l’entreprise qui le souhaite et il devra s’opposer à la dématérialisation si tel est son choix. Jusqu’à présent, on ne pouvait dématérialiser que si le salarié l’avait explicitement accepté (ce qui peut se faire à l’embauche, par la signature d’un contrat de travail qui fait mention de la dématérialisation ou par signature d’une consentement ultérieurement).
48 commentaires
Quoi de neuf à la rédac’… non, QUI de neuf à la rédac’ de Next !
12/08/2024
Le 14/08/2024 à 12h 05
Le dessin de Flock donne un indice sur l'identité de M. Mystère: c'est un repris de justice blond.Donc il y un spécialiste des réseaux sociaux et des cryptomonnaies qui vient à l'esprit : Donald Trump.
J'ai bon ?
Ubuntu 24.10 : destination Wayland et chiffrement intégral du disque
20/05/2024
Le 21/05/2024 à 18h 11
Si Windows veut maintenant un chiffrement Bitlocker du disque et Ubuntu veut son propre chiffrement du disque pour fonctionner, on pourra toujours faire du dual-boot ?#Flock ressort ses oreilles de Mickey et se prépare pour l’apocalypse
17/02/2024
Le 18/02/2024 à 12h 31
Moi, c'est pas le S de milliard qui m'a interpellé mais le U de boxeur.La NASA établit une liaison laser à 16 millions de km, les essais continuent
27/11/2023
Le 27/11/2023 à 16h 39
Dans le dernier paragraphe, il est indiqué que le faisceau laser (optique) atteignant la Terre a une taille d’environ un diamètre terrestre. Il faut donc un sacré gros "truc" pour qu'on ne voie pas le faisceau.Firefox 120 peut copier les liens sans traqueurs
22/11/2023
Le 22/11/2023 à 20h 57
Nouvelle mouture pour le navigateur, avec moins de fonctions.La tournure de phrase est ambiguë. Ils ont enlevé des fonctions ou le nombre de nouvelles fonctions est moins élevé que la moyenne du nombre de nouvelles fonctions qu'il y d'habitude dans une nouvelle version de Firefox ?
Le poing dev 3 – Patch Tuesday du Tuesday soir
06/11/2023
Le 06/11/2023 à 23h 47
Pour les lecteurs non assidus qui ne connaissent pas l’histoire de Next(Inpact), cet article manque un peu de contexte.
Remettre un petit lien vers la bêta ne ferait pas de mal.
Les voitures autonomes de Cruise mises à l’arrêt après un accident grave
06/11/2023
Le 06/11/2023 à 15h 11
Ça m’a l’air compliqué à éviter ce genre d’accident pour un véhicule autonome.
Il faut qu’il détecte que quelque chose l’a heurté (puisque cette dame a été projetée par un autre véhicule), ça à la rigueur ça passe encore.
Mais en plus il faut qu’il détecte que ce qui l’a heurté selon un trajectoire totalement inhabituelle est humain et qu’il faut protéger cette personne ?
On ne doit pas avoir beaucoup d’enregistrements de cette situation pour entrainer l’IA et j’espère qu’on n’en aura pas plus.
Les navigateurs web devront-ils accepter les certificats de sécurité imposés par les autorités ?
03/11/2023
Le 04/11/2023 à 12h 34
J’ai un peu de mal à comprendre les termes du débat.
Dans le monde réel, les États sont “responsables” de la sécurité de leur citoyens (ils ont même le “monopole de la violence légitime” pour ça mais c’est un autre débat). Oui, pour certains, ils peuvent mal s’acquitter de la tâche, en abuser, mal sanctionner les abus, et plein d’autres soucis… Ils pourraient probablement faire “mieux”, mais, en Europe, personne ne remet en cause leur souveraineté pour ça. Et pour, aller à l’extrême dans l’analogie, dans le monde réel, personne ne dit que les armées et les forces de police ne sont pas légitimes, et qu’on devrait donc utiliser à la place des milices privées auxquelles chacun serait libre de souscrire ou non, d’obéir ou non.
Du coup, je ne vois pas pourquoi, dans l’univers du Web, il devrait en être autrement et pourquoi la “confiance” et la sécurité devrait être exclusivement confiées à des “autorités de certification” privées, qui plus est majoritairement situées dans des juridictions étrangère. Ça parait légitime que les États demandent et imposent qu’on leur accorde au minimum la même confiance que ce qu’on accorde aux autorités de certification privées.
Que ce soit un État qui soit une autorité de confiance ou une milice (une autorité de certification privée), ne change rien aux risques de dérapages, d’abus divers, etc. de cette autorité. Et les États européens sont beaucoup plus surveillés de ce point de vue que les autorités de certification privées. Qui surveille que les grands détenteurs de certificats racine d’aujourd’hui n’abusent pas de leur pouvoir pour faire des attaques “man in the middle” ? Qui décide que ces détenteurs sont plus dignes de confiance qu’un État souverain ?
Ensuite, lorsqu’il s’agit d’établir une conversation privée, libre à chacun de choisir le tiers de confiance qui vérifiera que les deux parties sont bien ce qu’elles prétendent. De ce point de vue, un État, peut être un tiers tout à fait valable pour ça, pour des personnes qui lui font confiance. Pour ces populations, c’est probablement mieux que de devoir faire confiance à un organisme étranger qu’ils ne connaissent pas (qui leur serait imposé par le concepteur de leur navigateur car il aurait pour politique de n’accepter que les autorités privées).
Et lorsqu’un site utilise un certificat, on peut toujours voire quelle est l’autorité de certification qui l’a signé, si on est curieux. Pourquoi devrait-on plus mettre en évidence les sites qui utilisent un certificat approuvé par l’État ?
Au final, quand on parle de site web, c’est au concepteur du site de choisir qui lui délivre un certificat. Pour des sites web souverains comme les impôts, les informations gouvernementales, parlementaires, ça parait légitime qu’ils n’aient pas à dépendre d’organisations privées, qui plus est étrangères, pour certifier leurs communications.
Un registre malien reçoit par erreur, depuis 10 ans, des millions d’e-mails adressés à des militaires états-uniens
17/07/2023
Le 18/07/2023 à 08h 54
Je trouve le titre de cette news trompeur et “putaclic”.
Si je comprends bien, le gestionnaire du l’extension .ml a mis un “catch-all” pour récupérer et peut être lire tous les mails qui arrivent à une adresse .ml qui ne correspond pas à un domaine enregistré. Et ils se trouve que les auteurs de nombre de ces mails pensaient viser en fait le domaine .mil.
Il n’a donc pas “reçu par erreur” ces mails. Il a reçu ce qu’il souhaitait recevoir, à savoir des mails mal adressés.
Mais de quel droit a-t-il fait ça ? Qu’est ce qui l’autorise à recevoir des mails qui ne lui sont manifestement pas destinés ?
Name & shame sur les réseaux fibre optique ? L’Arcep devrait publier une carte des taux de panne
27/06/2023
Le 27/06/2023 à 08h 56
Il me semblait qu’avec le mode STOC, l’opérateur d’infrastructure est tenu de sous-traiter le raccordement à l’opérateur commercial (qui, lui, par contre, est responsable s’il sous traite en cascade cette opération) pour ne pas entretenir un monopole. Ça me parait curieux, du coup, de blâmer l’opérateur d’infrastructure pour le travail bâclé par les opérateurs commerciaux.
4 % des adolescents américains utilisent leurs casques de réalité virtuelle quotidiennement
06/04/2023
Le 09/04/2023 à 11h 40
Attention de ne pas lire trop hâtivement. Le titre de la news est ambigu; tout est dans le mot “leur”.
C’est 4% des 29% qui possèdent un casque qui l’utilisent quotidiennement.
Ça fait 1,16% des adolescents de la population générale qui utilisent un casque quotidiennement.
Quand une mauvaise utilisation de l’IA conduit à des conclusions scientifiques erronées sur le suicide
07/04/2023
Le 08/04/2023 à 11h 13
Autant je peux comprendre l’erreur sur le paramétrage de l’IA car ce n’est pas le métier de base de chercheurs en psychologie et en psychiatrie, autant je trouve que l’exclusion d’un trop grand nombre de données dans l’échantillon est difficilement pardonnable car c’est de la démarche scientifique de base qui s’applique à tout les domaines.
Comment de telles erreurs ont pu passer le comité de lecture au moment de la publication ? Qu’il n’y ait pas eu de spécialiste en IA dans le comité de lecture peu s’entendre (et l’erreur est aussi du côté de la revue qui n’a pas sélectionné les bons spécialistes) mais tous auraient du voir l’erreur sur les données.
C++, frameworks, conception : Facebook revient sur une décennie d’évolutions de son application iOS
28/02/2023
Le 28/02/2023 à 19h 54
Je n’ai pas compris la phrase “Les erreurs des plugins n’étaient ainsi pas sur Stack Overflow”.
Le troisième prestataire de modération de Meta en Afrique jette l’éponge
02/02/2023
Le 02/02/2023 à 20h 04
Dans quel sens faut-il comprendre “troisième modérateur”. C’est, parmi tous les modérateurs, celui qui est classé troisième au nombre de messages traités ou au nombre de messages refusés/modérés ? Ou alors c’est chronologique : le troisième à avoir signé un contrat avec Meta ? Et combien de modérateurs Meta a-t-elle simultanément ? S’il n’y en a qu’un à la fois, cela voudrait-il dire que c’est la troisième fois qu’il se font éjecter par un modérateur ? J’espère que “troisième” ce n’est pas une mauvaise traduction de “third-party” qu’il aurait fallu traduire par “modérateur tiers” (ou “tierce partie”).
ArianeGroup présente Susie, un dernier étage réutilisable et habitable
19/09/2022
Le 19/09/2022 à 17h 45
Il est de notre devoir d’industriel […] de proposer aux décideurs européens des solutions technologiques intelligentes et ambitieuses,..
Le boulot est fait, c’est effectivement une solution sur le papier…
Parmi les missions rendues possibles par Susie, on trouve le remorquage, l’inspection ou la mise à niveau de satellites et d’autres charges utiles, le ravitaillement de stations spatiales en carburant, nourriture et équipements. Il pourra aussi permettre les changements d’équipages et les travaux humains en orbite
…mais pour le problème que ça résout, on dirait qu’ils cherchent encore !
Quelles stations spatiales seront accessibles à l’Europe lorsque ce module sera prêt (d’ailleurs, y-a-t-il une date prévisionnelle pour la mise en service) ?
J’ai du mal à comprendre l’intérêt financier d’utiliser un module potentiellement habitable (avec les coûts de maintenance que ça implique) pour effectuer des missions automatisables comme le remorquage, l’inspection ou la mise à niveau de satellites, etc.
Sur l’aspect habitable, on dirait plus un objet “politique” qui restera à l’état de plans, permettant de négocier l’accès à des places dans les modules américains qu’un véritable projet industriel destiné à voler un jour.
Retour des humains sur la Lune : 13 zones d’atterrissage pour la mission Artemis III
22/08/2022
Le 22/08/2022 à 15h 50
Quelle est la taille de ces zones ? Il manque une échelle sur la photo pour bien se rendre compte.
Retour des humains sur la Lune : Artemis I est sur son launch pad
19/08/2022
Le 19/08/2022 à 08h 41
Le lien est juste en dessous de l’article
« Finaliser la réservation » : est-ce commander une chambre d’hôtel, avec obligation de paiement ?
04/04/2022
Le 04/04/2022 à 13h 27
Qui est partie dans cette affaire ? Si j’ai bien compris, il y a un litige entre un internaute et un hôtel mais tout ça serait à cause d’une faute de Booking qui n’aurait pas libellé son bouton conformément au droit de l’UE. Booking ne devrait pas être poursuivi dans ce cas ?
#Flock dessine la folie de notre monde
05/03/2022
Le 05/03/2022 à 16h 28
Excellent !
Il n’y a que chez moi que la dernière bulle de la première image est tronquée ?
NVIDIA confirme l’attaque contre ses serveurs, des données ont été volées
02/03/2022
Le 04/03/2022 à 20h 34
Je ne me trompe pas de victime. J’espère que les membres de ce groupe seront retrouvés et sévèrement punis par la justice.
Je dis juste qu’une victime n’a pas le droit de se venger ou de se faire justice elle même; c’est au système judiciaire de son pays d’agir.
D’autant plus si, en le faisant à l’aveugle, elle prend le risque de faire des victimes collatérales. Mon exemple maladroit du médecin cherchait à expliquer ce que pourrait être une victime collatérale dans ce contexte (et je pensais plus au patient du médecin qu’au médecin lui même dans l’exemple).
Le 02/03/2022 à 22h 49
Dans cet exemple hypothétique, le fait que la machine soit mal protégée par son propriétaire ne donnerait pour autant les droits à Nvidia de l’attaquer. Il ne peut y avoir deux poids deux mesures. Si pirater les machines mal protégées de Nvidia est un délit, contre-attaquer l’assaillant mal protégé est aussi un délit.
Le 02/03/2022 à 19h 52
J’espère que c’est une fake news. Même si c’est marrant à imaginer, je trouve que ce serait un comportement très grave de la part de Nvidia :
La fin de service des réseaux 3G fait craindre un « alarmaggedon »
23/02/2022
Le 23/02/2022 à 13h 39
Tout ça, ça va rentrer en collision avec l’arrêt du réseau cuivre qui oblige à changer les téléalarmes dans tous les ascenseurs.
Et pour remplacer, plutôt que de faire souscrire un abonnement fibre par les copropriétés, les ascensoristes proposent des modules GSM (donc 2G si je ne m’abuse) avec des abonnement souscrits par leur soin (et donc refacturés, on imagine avec une marge).
Microsoft annonce le rachat d’Activision Blizzard pour 68,7 milliards de dollars en cash !
18/01/2022
Le 18/01/2022 à 21h 40
“68,7 milliards de dollars en cash”.
Quand je lis “cash”, je pense d’abord billets de banque. Et là j’imagine la tête du guichetier lorsqu’ils vont demander un retrait de 68,7 milliards à leur banque
Presse et droits voisins : l’Autorité de la Concurrence consulte sur les engagements pris par Google
03/01/2022
Le 03/01/2022 à 22h 18
Je n’ai pas bien compris le rapport entre la brève et l’image en entête.
Cyberscore : pour Philippe Latombe, les consommateurs veulent savoir « où sont leurs données »
29/11/2021
Le 05/12/2021 à 08h 08
Le critère de nationalité a été écarté mais il faudrait peut être un critère de droit d’accessibilité aux données par des entités étrangères. Si une entreprise est soumis au “Cloud act” américain, les données qu’elle traite ne sont pas à l’abri, même hébergées en France.
OVHcloud obtient 58 millions d’euros de ses assureurs et « fait le premier pas vers son introduction en Bourse »
20/09/2021
Le 20/09/2021 à 13h 50
“l’incident de Strasbourg”. C’est un sacré euphémisme.
Il aurait fallu quoi pour que ce soit qualifié comme un “accident” industriel ?
Station spatiale chinoise : après le lancement, l’inquiétude du retour du premier étage sur Terre
05/05/2021
Le 06/05/2021 à 05h 53
Est-ce une nouvelle défaillance des systèmes assurant la désorbitation ou un choix délibéré de conception du lanceur ?
SpaceX envoie avec succès sa capsule de fret Dragon de nouvelle génération
07/12/2020
Le 07/12/2020 à 22h 53
Qu’est-ce qu’ils ont amélioré pour qu’elle puisse rester “arrimée deux fois plus longtemps à la Station” ? Quelle sont les contraintes subies par une capsule attachée à l’ISS qui limitent sa durée d’arrimage ?
Microsoft 365 : de la transcription audio dans Word
03/09/2020
Le 04/09/2020 à 16h 53
Je n’ai pas compris ce que veut dire “en séparant chaque haut-parleur individuellement”.
Amazon « en désaccord » avec la décision du tribunal judiciaire
15/04/2020
Le 15/04/2020 à 10h 57
La population qui est en réanimation est en moyenne âgée. La population qui travaille dans les entrepôts Amazon est généralement jeune. Ces chiffres ne prouvent rien sur la pertinence de la protection des salariés dans l’entreprise.
Il serait plus intéressant de connaitre combien d’employé on choppé le virus sans aller jusqu’en réanimation, et combien l’ont transmis ensuite à leur famille…
Next INpact : nos espaces publicitaires évoluent
20/12/2019
Le 21/12/2019 à 11h 00
De mon point de vue, actuellement, votre message est déjà brouillé.
On a aujourd’hui cette nouvelle publicité, clairement indiquée, ce qui pourrait être acceptable…
Mais, juste en dessous, on a un “article” sur une offre promotionnelle “B&You”, qui n’est pas indiqué comme une pub (c’est un “bon plan”) et qui fait l’objet d’un tracking par Clicidees et doubleclick avant de renvoyer directement chez Bouygues Telecom. Il n’y a rien de rédactionnel ici….
Les “bons plans” ne sont pas nouveaux mais pourquoi ne font-il pas l’objet des mêmes précautions que le publi rédactionnel ? Ne devraient-ils pas être signalés par un tag ?
J’ai un peu l’impression d’un tour de passe passe: “regardez la nouvelle pub et son nouveau marqueur pour ne pas voir le message subliminal des autres publicités”.
Freebox Delta/One : Xavier Niel revoit sa copie et promet une nouvelle offre, la 4G limitée à 250 Go
12/12/2018
Le 12/12/2018 à 21h 49
Et avec ça, ils sont en train de fermer Alice. Les derniers clients comme moi reçoivent un mail les remerciant d’avoir choisi un forfait Free Box Crystal (à bon ?) et annonçant que la première facture sera supérieure au montant du forfait (sic). Pas d’explication du pourquoi; juste une info qu’on est maintenant abonné Free Haut Débit, sans précision du tarif… C’est très moyen comme procédé. C’est une bonne occasion de résilier et de passer à la concurrence…
Fin du RTC en France : ce qui change dès aujourd’hui
15/11/2018
Le 15/11/2018 à 22h 00
Comment ça va se passer pour les lignes d’appel d’urgence des ascenseurs ? Notamment en cas de coupure de courant s’il n’y a plus d’alimentation électrique sur la ligne téléphonique ?
FaceID utilisé par le FBI sur le suspect pour débloquer un iPhone X
02/10/2018
Le 03/10/2018 à 07h 09
Si les agents désactivent les protections place, on peut s’attendre à ce que les avocats plaident une altération de la preuve et fassent annuler la procédure.
Qu’est-ce que l’USB Type-C et pourquoi NVIDIA en met dans ses GeForce RTX ?
24/09/2018
Le 25/09/2018 à 21h 03
Si je relie en USB-C un ordinateur portable et un smartphone, qui alimente qui par le Power Delivery ? Le smartphone s’attend à être alimenté en USB: normal. Mais, s’il n’est pas branché au secteur par une alimentation autonome, l’ordinateur portable aussi, non ?
#Flock hésite
26/05/2018
Le 26/05/2018 à 19h 24
C’est volontaire d’écrire “ordonnace” à la place d’“ordonnance” ?
Le FBI s’invite par surprise dans le déchiffrement d’un iPhone 6
31/07/2017
Le 31/07/2017 à 16h 41
On peut penser que le FBI a souhaité intervenir parce qu’il utilise la même faille dans d’autres affaires et qu’il ne souhaitait pas que la procédure en cours oblige Cellebrite à dévoiler la méthode utilisée.
La nouvelle charte éthique et déontologique de Next INpact est en ligne : à vous de jouer
07/07/2017
Le 07/07/2017 à 16h 38
Les commentaires enrichissent l’article et sont un prolongement. Même si ça va de soi, lorsqu’un membre de l’équipe y répond, il faut préciser dans la charte éditoriale qu’il s’astreint à la même déontologie que pour l’article initial (surtout lorsque le commentaire amène à rectifier l’article).
Même raisonnement pour la fonction “Signaler une erreur”. Il faut respecter la même déontologie dans son traitement. Et la présence de cette fonction devrait en soi être mentionnée dans la charte puisqu’elle ouvre un droit et un canal pour contester le contenu de l’article.
Le 07/07/2017 à 16h 30
Dans l’espace consacré à la publicité, je préconiserais de préciser si vous pouvez confier vos espaces à une régie publicitaire, et si oui, que celle-ci doit s’engager à suivre la charte.
Le 07/07/2017 à 16h 26
“Le rédacteur ne reçoit aucune directive concernant le sujet ou le contenu de son article”.
Est-ce que ça ne vous empêche pas de signer les NDA pour préparer des articles avant le lancement d’un produit. Au minimum, ne faudrait-il pas spécifier votre politique en matière de NDA ?
La CNIL tenue d’anonymiser dans deux ans sa sanction contre Optical Center
26/06/2017
Le 26/06/2017 à 21h 30
Je suppose quand même qu’Optical Center va souhaiter aller au bout de la démarche.
Ça ne sert à rien de faire anonymiser la décision d’origine (sur les deux site où elle est publiée) si la décision du Conseil d’État d’aujourd’hui ne l’est pas.
Le 26/06/2017 à 15h 23
Est-ce que la décision s’applique aux articles de presse ? NextInpact sera-t-il tenu d’anonymiser cet article dans deux ans ?
La décision du conseil d’état est publique. Est-ce qu’elle sera également anonymisée ?
Cloak and Dagger : Android vulnérable à un détournement de permissions, Google réagit
29/05/2017
Le 29/05/2017 à 10h 34
A quoi sert une permission si elle est accordée d’office à tout le monde? Dans l’autre sens, ça veut dire que google peut détecter des actions malveillantes mais distribuer quand même l’appli avec pour seule sanction de ne pas accorder automatiquement une permission ?
On vous répond sur l’évolution de Next INpact, à la recherche d’un nouvel équilibre
12/04/2017
Le 12/04/2017 à 17h 10
Pour ceux qui ne veulent pas s’abonner, ou pour les nouveaux qui veulent découvrir la richesse du site, est-ce que vous envisagez un site nextinpact-replay ou nextimpact+1 qui serait uniquement alimenté par les articles libres ou de plus d’un mois et qui aurait la même érgonomie que le site mainstream ?
Le vieil IIS 6.0 de Microsoft présente une faille critique, exploitée depuis des mois
31/03/2017
Le 31/03/2017 à 16h 29
On ne va pas pleurer sur le sort de ces entreprises mais quid de leur clients ?
Sans le savoir, tu es peut être client d’une de ces entreprises, et tes données personnelles sont peut être exposées…
À Bercy, la fin des bulletins de paie sur support papier programmée pour 2018
28/12/2016
Le 28/12/2016 à 19h 41
L’Etat existera toujours dans 50 ans. Les fonctionnaires ont donc la garantie que les bulletins qui sont stockés pour eux par l’Etat existeront toujours lorsqu’ils partiront à la retraite. C’est un élément de confiance qui n’existe pas dans le privé car les entreprises doivent stocker les bulletins dans des coffres forts gérés par des entreprises privées qui ne peuvent pas garantir leur survie à 50 ans.
A de rares exceptions prêt, les fonctionnaires sont employés à vie. L’Etat peut donc faire en sorte qu’ils aient, toute leur vie professionnelle, accès à des outils pour consulter leur bulletin (sur leur lieu de travail) et qu’ils soient formés à ces outils. Dans le privé, si un salarié n’est pas équipé personnellement en informatique, que sa nouvelle entreprise ne n’est pas encore, qu’il ne sait pas utiliser l’informatique, il perd l’accès à ses bulletins (notamment en quittant son emploi).
Un salarié du privé peut donc légitimement ne pas avoir confiance dans la dématérialisation et souhaiter conserver du papier. Pour un salarié du public, les éléments de confiance sont présents et l’Etat peut imposer une économie d’échelle pour lui sans préjudice pour le salarié.
Il ne faut pas oublier que dématérialiser un bulletin ce n’est pas simplement donner un PDF qu’on pourrait dupliquer à l’infini. La notion d’“original” est importante. Par exemple, un simple envoi de PDF par mail n’est pas correct. Légalement, soit on donne un papier original que le salarié archive, soit on donne accès à une archive électronique unique stockée dans un coffre fort numérique qui devient l’original (les impressions ultérieures devant des copies non certifiées).
Dématérialisation des bulletins de paie : nouvelles règles en vue à partir de 2017
16/09/2016
Le 16/09/2016 à 10h 51
Juridiquement, ce que le salarié doit conserver et présenter aux administrations c’est un original.
Logiquement, une photocopie ou un PDF résultant du scan d’un bulletin papier sont des copies, pas des originaux. Ce qu’on sait moins, c’est que l’impression résultant d’un PDF qui a été remis par l’employeur au salarié est considérée juridiquement comme une copie puisque l’original est le fichier PDF. Tout ça ne change pas.
Ce qui change au 1er janvier 2017 c’est qu’on passe d’un opt-in à un opt-out. Le consentement du salarié sera présumé par l’entreprise qui le souhaite et il devra s’opposer à la dématérialisation si tel est son choix. Jusqu’à présent, on ne pouvait dématérialiser que si le salarié l’avait explicitement accepté (ce qui peut se faire à l’embauche, par la signature d’un contrat de travail qui fait mention de la dématérialisation ou par signature d’une consentement ultérieurement).