votre avatar

Mathézin

est avec nous depuis le 5 janvier 2007 ❤️

Bio

Oups.
On dirait que quelqu'un ici aime garder ses petits secrets, comme si de par hasard il y avait quelque chose à cacher...
Désolé, ô lectrice de passage, cher lecteur égaré, pas de révélation sensationnelle pour le moment sur ce profil.
Repassez plus tard ?

47 commentaires

Carnet : la CNIL vigilante sur les ombres d’un pass sanitaire

Le 23/04/2021 à 21h 52

——- Message transféré ——–
Sujet : Le codiv-19 : Des traitements efficaces existent contre la Covid-19.
Date : Tue, 6 Apr 2021 21:41:27 +0100
De :
Répondre à :
Pour :



Pour information :



Alors que la propagande des lobbyistes, soutenus par les responsables politiques de nombreux États, se démènent pour affirmer qu’il n’existe aucune thérapie spécifique de lutte contre la Codiv-19, il existe pourtant des traitements basiques délibérément ignorés ! Souvent, il s’agit de bases antivirales naturelles d’une efficacité redoutable; Or, l’orientation politique, économique et criminelle volontaire, visant à privilégier la vaccination au détriment de toute autre thérapie, représente une attitude qui condamne à mort, sans vergogne, des milliers de malades depuis des mois ! L’orientation criminelle de certaines institutions va jusqu’à vouloir suspendre immédiatement l’activité de tout médecin qui exercerait son métier honnêtement dans le but de soigner et guérir ses malades.



C’est ainsi que, depuis plusieurs décennies de nombreuses personnes ne se font plus vacciner contre la grippe… Dès qu’elles en ressentent ses premiers effets, elles prennent de cinq à six gouttes d’huile essentielle de clous de girofle (Puissant antiviral peu coûteux) dans un verre le matin et le soir. Pour pouvoir les boires, elles sont mélangées avec une cuillère à café d’Antésite (Toute autre solution est possible) pour casser la répulsion du goût de cette huile essentielle ; le tout est complété avec de l’eau à raz bord.



Généralement, entre une et trois journées de ce traitement (cela dépend de la gravité d’atteinte du mal), la grippe n’est plus qu’un mauvais souvenir.



Or, fin janvier, des personnes ont été infecté à leur insu par la Covid-19 ; deux à trois jours plus tard, elles ressentent les premiers effets d’une sérieuse indisposition (comme pour une grippe, mais sans le mal de gorge). Elles prirent le traitement avec 5 gouttes d’huile essentielles de Clous de Girofle, matin et soir. Le jour suivant, elles passèrent à 6 gouttes matin et soir puis, le lendemain à 7 gouttes d’huile essentielle de Clous de Girofle matin et soir. Au bout de quatre à cinq jours, ces malades étaient de nouveau en pleine forme. Les tests Civid-19 des infirmières s’avèreront positifs, tout comme huit jours plus tard ; ce qui est normal puisse que le test détecte les anticorps. Le traitement sera poursuivit pendant sept jours par sécurité avec cinq gouttes matin et soir ; ces personnes ne furent plus du tout indisposées, même faiblement. A ce jour, en début avril, elles ne sont toujours pas vaccinées et poursuivent leur vie tout à fait normalement, comme si elles n’avaient jamais été touchées par la Covid-19. Pas d’effet secondaire.



Ce témoignage vient confirmer qu’il existe des thérapies simple contre ce mal. Cela peut-être facilement vérifié ; l’huile essentielle de Clous de Girofle étant en vente libre dans toutes les pharmacies (en tout cas, jusqu’à maintenant…).



Recevez mes sincères salutations.






MOI, CE QUI M’INTRIGUE C’EST QU’ILS SE SONT DÉBROUILLÉS POUR “INTERDIRE” TOUTE FORME DE TRAITEMENT ET AINSI, IMPOSER LA VACCINATION… POURQUOI ?


Rejet de l’amendement sur les logiciels libres à l’école

Le 01/02/2019 à 17h 04

ce que j’ai trouvé sur :< http://iupnc.pagesperso-orange.fr/donnees/A5—Remettre_de_l-ordre_en_France—V… >
 
… Si la technologie permet de faciliter le travail des professeurs
pour la préparation de leurs cours et la gestion de leurs élèves
et, grâce à « l’écran géant » venant en appuis du tableau noir
dans les cours, la sophistication de la visualisation, elle doit
limiter son l’aide à la compréhension et non s’y substituer.
Dans ce dernier cas, elle n’apporterait que « l’illusion de la
compréhension » ; un tel subterfuge ne rend service à
personne. L’illusion de la compréhension ne donne à l’élève
qu’une impression de compréhension et ne permet pas
l’assimilation des méthodes et des exemples. C’est pourquoi il
est nécessaire que l’élève continue à utiliser l’écriture
manuelle, le crayon et la craie, le cahier et le tableau noir. Le
livre, le travail de la main et du parler, restent des éléments
essentiels de l’apprentissage et de la mémorisation.
C’est pourquoi, en classe, la tablette et l’ordinateur ne doivent
pas passer du professeur à l’élève, se substituer à l’ardoise (la
vraie) et au livre. Dans le premier cas, l’élève doit assimiler et
maîtriser l’écriture qui participe à sa structuration mémorielle ;
dans le second, il apprend à rechercher manuellement les
informations dont il a besoin et structure ainsi sa propre
organisation mémorielle ; tout ce que ne permet pas le
substitue informatique !
… Beaucoup d’adultes oublient que les enfants ont un intellect
représentant des territoires vierges qu’il s’agit de construire
proprement et avec patience. L’enfant ne naît pas avec la
conscience et le savoir d’un adulte ; de naissance, il ne
dispose pas d’un développement héréditaire intellectuel et
cognitif : acquisition des connaissances, capacité à penser de
façon créative, structuration de son attention, compréhension,
capacité de résoudre des problèmes, mémorisation des
informations, exercice du jugement, représentent un très long
travail d’apprentissage que les adultes, par confort personnel,
se refusent de prendre en compte.
… Jusqu’à la terminale, il n’est pas acceptable de considérer que
des élèves puissent être « en panne intellectuelle »,
dès lors qu’ils ne disposent pas de prothèses technologiques
compensant l’absence des connaissances qu’ils auraient dû
acquérir.
C’est pourquoi il est essentiel d’en revenir aux méthodes
éducatives pratiquées sainement jusqu’aux début des années
1960 et limiter radicalement l’usage des technologies à
destination des élèves jusqu’à la terminale incluse.
.
Pourquoi croyez-vous qu’aux États-Unis, les plus fortunés
mettent leurs enfants dans des écoles ou l’informatique est
exclue des cours portant sur l’enseignement général ?


Le 01/02/2019 à 16h 49






anagrys a écrit :

en fait, il faudrait peut-être que tu commences par te renseigner sur quelles (grosses, voire très grosses) boîtes sont derrière le “logiciel libre” - en incluant bien sûr un certain nombre de distributions Linux.
En vrac, on y trouve : IBM, Google, Oracle, Microsoft…


Oui, c’est la façon la plus simple de voire les choses et c’est ainsi que la majorité des gens choisissent de considérer ce type de situation. En fait, puisque les choses vont ainsi, pourquoi se fatiguer à se battre pour sauver ce qui peut l’être du moment que ce qui est obtenu correspond à ce qui est  recherché. Peu importe comment cela est proposé et combien d’entreprises meurent de ces mauvais traitements au profit des trusts étrangers !

Oui, de grosses entreprises n’ont de cesse d’absorber ce qui gêne la promotion de leurs produits. Mais est-ce une raison de ne rien faire et de laisser les charognards s’approprier des territoires entiers de savoir faire par des actes de piraterie ? Comme cela vient d’être fait avec Alstom (Nous allons le payer directement au travers de la facturation de l’électricité…) ! Les USA ne supportent pas le mensonge, la tromperie, la trahison et se livrent à de prétendus actes de justice qui ne sont, en fait, que des actes de piratage, des actes malhonnêtes, qui visent à étendre leur puissance. Faites ce qu’on vous dit, pas ce qu’on fait !Tout le monde semble trouver cela normal… et ne lève pas le petit doigt, sauf pour critiquer ceux qui s’essaient à réveiller les consciences.La France a été maîtresse dans les systèmes d’exploitations en temps réel. Toute son industrie a été sabotée de l’intérieur puis piratée par des entreprises américaines ; encore aujourd’hui, ils sont obligés de s’entourer d’expertises françaises pour perfectionner et entretenir ces systèmes dont ils n’ont pas la maîtrise.



Le 01/02/2019 à 11h 28

De toute façon, cela ne se limite pas à l’Éducation-Nationale mais à toutes les administrations françaises, y compris la sécurité d’État.

 Mais aujourd’hui, il ne fait plus aucun doute qu’un nombre important de politiciens en charge de postes à responsabilités en France, et de hauts-fonctionnaires, œuvrent dans le but de soumettre la France aux USA et, particulièrement, aux entreprises mondiales telles que Microsoft, Apple, Amazone, Google, IBM, ITT, etc. Je suppose même que des entreprises comme Huawei, Samsung, etc. ne voient pas pourquoi les entreprises américaines seraient les seules à avoir le droit de dominer le monde.

 C’est ainsi que la France c’est faite pillée TOUTE son industrie et, dernièrement, Alstom. Cela ne semble gêner personne… Pourtant, cela représente une perte d’emplois importante et tout le monde ferme les yeux. Pertes d’emplois qui fait qu’on ne peut éponger la quantité de chômeurs.

 Finalement, le crétinisme et la Haute-Trahison semble être inscrit dans les gènes d’un nombre important de français ! Tout le travail du Président de Gaulle et du Conseil de la Résistance avait permis de faire de la France une puissance industrielle de premier ordre. Cela a été littéralement saboté depuis la présidence de VGA. A croire qu’il est devenue une priorité pour ces responsables politiques et ces hauts-fonctionnaires de saboter tout ce qui à été construit par le Général ! La loi Copé, véritable niche fiscale,  est venue parfaire le travail en mettant en place un mécanisme d’exonération fiscale à l’avantage des financiers et spéculateurs, présenté comme favorable aux entreprises françaises ! Système voté lors de la loi de finances de 2005 en décembre 2004 et présentée par le ministre du budget, Jean-François Copé.

Linux est, quoi qu’on en dise, un produit de grande qualité, peut coûteux et bien plus fiable que ses concurrents. Alors que les systèmes d’exploitations et logiciels de type Microsoft et Apple sont complètement buggés, que leurs licences les dégagent de toute responsabilité dès lors que les scellés ont été brisés, il est facile de s’enrichir quand on a pas à payer les dégâts provoqués par ces produits commerciaux sur les entreprises clientes !

Ces pratiques devraient être bannies et leurs responsabilités, engagée ! 
 


 La Chine recruterait via LinkedIn pour acquérir des secrets américains

Le 03/09/2018 à 09h 17

p { margin-bottom: 0.25cm; line-height: 120%; }


L’ARROSEUR ARROSÉ,

Bien sûr que lesaméricains ont raison de se plaindre de cette situation. Pourtant,ils devraient se montrer plus mesuré car ils font exactement la mêmechose avec la France et d’autres pays européens en ce qui concernenos ingénieurs et scientifiques…
Alors…


Un article de Julia Reda contre les robots-copyright déréférencé de Google par un robot-copyright

Le 24/08/2018 à 11h 40

Le Conseil des ministres de l’UE vote en faveur des brevets logiciels La deuxième étape du long processus de validation d’une directive européenne a eu lieu mardi. Le Conseil des ministres est revenu à la première mouture du texte, balayant les amendements apportés par les eurodéputés fin 2003.  (24/05/2004)  ……….  “Il y a eu changement de fusil d’épaule car le bébé a été donné aux Irlandais. On voit que les lobbies ont bien fait leur travail. La démocratie est battue en brèche ! Nous allons désormais être soumis aux desiderata des puissances financières qui prennent le contrôle des brevets grâce à la complicité de l’OEB [NDLR : Office Européen des Brevets]. Il y a quelques années, on aurait parlé de haute trahison !”, déclare Bernard Giraud, président du SPECIS (Syndicat professionnel d’études, de conseil, d’ingénierie, d’informatique et de services). <http://www.journaldunet.com/solutions/0405/040524_brevets.shtml >

_____________________
 
Voici ce qui se disait en 2004. Aujourd’hui, nous y sommes, le fachisme s’installe !


Facebook lance sa section « offres d’emploi » en France

Le 17/05/2018 à 15h 43

Une super idée pour barbotter un maximum d’informations personnelles sur les personnes qui se laisseront piéger.




  • Ou seront stockées ces informations pour que cette entreprise puisse les considérer comme “leur appartenant” ?

  • Que va devenir notre vie privée dès lors que les politiques ont fait le choix de soutenir ce type de spoliation ?


Transparence des algorithmes publics : après les coups tordus, aux citoyens de prendre l’initiative

Le 19/02/2018 à 22h 44

Puisque, à postériori, certains préfèrent la polémique, l’amalgame et le mélange des genres ; que sous couvert que “le montant des escroqueries fiscales des gros requins est bien supérieur au coût total du RSA, ou de la totalité des aides données aux étrangers” et que cela est sensé ne pas avoir l’air de me déranger, j’en conclu qu’ils me conseillent de ne rien faire et de laisser se poursuivre la gabegie de nos caisses sociales !

 Alors soit ! Mais qu’ils ne viennent pas se plaindre lorsqu’ils toucheront une rente de retraite misérable et que personne ne se souciera d’eux ; et mieux encore, lorsqu’ils n’auront plus les moyens de se soigner !

 Finalement, les méfaits de l’égoïsme dû à l’implantation de la culture anglo-américaine en France ne semble gêner personne… Mais cela n’est valable que tant que les escadrilles d’emmerdes n’arrivent qu’aux autres ! Après, lorsque cela vous arrivera, ne soyez pas étonné de ne trouver personne pour vous aider. Bye !


Le 19/02/2018 à 18h 31

Les réflexions politiques poussant à la xénophobie ne m’intéressent pas !
 


Le 19/02/2018 à 17h 50

À retenir
Le nom public s’écrit toujours avec un c final.
Avis au public, s’adresser au public, les différents publics d’une œuvre.
L’adjectif public s’écrit public au masculin et publique au féminin.
L’opinion publique (féminin), le secteur public (masculin).
Quant à la locution adverbiale en public, elle s’écrit toujours avec un c final : en public.
Parler en public, concert enregistré en public.

Et les “sources” sont féminines.


Le 19/02/2018 à 17h 42

Ah oui, sinon on écrit rendre public (avec un c et pas que) et pauvres couillons quand il y en a un certain nombre.

Et bien, c’est “certain nombre” qui l’emporte et “pauvre couillon” s’écrit au singulier.
Il ne faut pas confondre, non plus, ce qui est d’ordre “publique” du service “public”.
 


Le 19/02/2018 à 17h 15

Bonjour,
Et oui ! Certainement qu’en rendant publique les sources de ces logiciels, cela permettrait de connaitre exactement les avantages en nature donnés aux étrangers vivant en France et à l’étranger ; qui n’ont jamais cotisé (ou si peu) à nos caisses sociales. Cela, grâce à des décisions prises par des députés alors qu’ils n”étaient qu’une vingtaine à sièger… AVANTAGES, FAUT-IL LE DIRE, dont un certain nombre important de pauvre couillon de français ne peut profiter, même en ce qui concerne la revalorisation des rentes qui leur sont DONNÉES !
Alors, OUI ! Ils ne souhaitent pas vraimant que les français découvrent TRÈS EXACTEMENT TOUT LE POGNON QUI EST DÉTOURNÉ DE NOS CAISSES SOCIALES.


Un sénateur veut en finir avec les numéros surtaxés pour les services publics

Le 21/01/2017 à 11h 15

NON !

Lorsque l’on nous dit que l’appel est gratuit, c’est faut !
Rappelez-vous de l’époque, pas si lointaine, ou l’on payait le coût d’une communication locale pour joindre un service publique ?
Aujourd’hui, nous payons le coût d’une communication locale + le prix du service téléphonique + les profits.

L’État nous explique que l’utilisation de ces services a un coût et qu’il faut bien le payer. MAIS, qui paye la “palanqué” de communications privées et personnelles des fonctionnaires sur leur lieu de travail avec les téléphones des services publiques ? Oubliant, bien-sûr, d’utiliser leurs téléphones portables. Et je ne parle pas du total annuel des heures rémunérées qui vont avec !


Galileo rencontre « quelques difficultés », des pannes sur dix horloges atomiques

Le 19/01/2017 à 15h 51

La France et l’Europe ne sont pas débutants en matière de fabrication de satellites.
De nombreux ont été fabriqués et mis en services sans qu’il n’y ait le moindre problème avec les systèmes d’horloges atomiques.
Hors, avec Galileo, qui entend s’annoncer comme le concurrent du système américain et russe, nous ne cessons de voir des problèmes naître dans l’espace, alors que sur terre, tout fonctionnait à merveille !
Non seulement tout cela peut paraitre curieux, mais c’est véritablement TRÈS curieux !
Au point de se demander si tous ces problèmes, défaillance d’une dizaine d’horloges atomiques et autres éléments, n’auraient pas des origines malveillantes ?
 


Une proposition de loi sur l’impression 3D et l’ordre public

Le 27/10/2016 à 10h 33

La responsabilité portant sur d’éventuels défauts de fabrication impliquant son fabricant.
 Pourquoi pas !
 
Toutefois, il me semble souhaitable de s’intéresser et d’observer le législateur dès lors qu’il vise la fabrication réalisée par le citoyens lambda….
Quel sera, alors, son niveau pénal et financier de responsabilité ?
 
Comment se fait-il que ces mêmes responsabilités soient délibérément écartées lorsqu’ils s’agit de logiciels et d’éditeurs dont les produits sont responsables, tous les ans, de millions d’Euros de pertes dues à des défauts de fabrications dénommés “bugs” ?
Dire que c’est entré dans les mœurs serait une profonde supercherie car, dans les faits, cette censure imposée par les poids lourds financiers, que sont les éditeurs, ont toujours imposé LEURS règles !

En fait, ne faudrait-il pas chercher une autre raison, bien moins avouable ?


Renseignement : Yahoo aurait accepté de fouiller automatiquement dans les emails

Le 06/10/2016 à 06h 55

On peut dire beaucoup de chose sur le net mais, la loi Godwin, quelle invention géniale !
Grâce à elle, on transforme toute discussion sur le net en un débat enflammé permettant forcement, au
bout d’un moment, de traiter l’autre de “SS / Hitler”, ou de faire une comparaison foireuse sur le nazisme. Quelle façon “soft” de dégager en touche, si ce n’est provoquer une censure concernant un ‘brin” d’histoire expliquant les dérives d’un État ! ce que ce rappel historique n’allait pas plus loin dans mon intervention.
Mais, malheureusement, il s’agit surtout, pour “des” américains, de trouver une formule permettant d’interdire la levée d’un voile mal odorant ; Mike Godwin l’a fait ! Et il y a toujours des individus pour en soutenir l’idée.


Le 05/10/2016 à 13h 50

Nous pouvons bien dire tout ce que nous pensons de la prétendue “plus grande démocratie du monde” que seraient les USA, mais avec les nouvelles lois françaises “destinées à lutter contre le terrorisme”, le gouvernement français et son administration ne fait pas mieux !
L’Amérique du nord a toujours été un État fasciste ; le parti d’Adolphe Hitler fut essentiellement financé par un certain nombre d’industriels et financiers américains, ce qui lui permettra d’arriver au pouvoir avec la bénédiction de l’administration américaine. Cette collaboration se poursuivra, par ailleurs, tout au long de la guerre, y compris après Pearl Harbor : “Business is business !”
Alors, pourquoi voulez-vous que les méthodes changent ?  Et comme la France à choisi son exemple…


Le partenariat entre Microsoft et l’Éducation nationale en piste pour les tribunaux

Le 28/07/2016 à 10h 13

« Nous avons analysé les arguments exposés par le collectif et avons
considéré qu’ils ne remettaient pas en cause la régularité de l’accord
passé avec Microsoft »…

Finalement, certains hommes politiques et leurs fonctionnaires et ou hauts fonctionnaires, malgré 70 ans écoulés, ne parviennent toujours pas à s’éloigner de la “collaboration” avec des puissances étrangères (ici : politique, économiques et industriels).
 Dans de telles conditions, comment peut-on espérer redresser un pays (la France) alors que ses dirigeants et sous-fifres n’ont ce cesse de privilégier leurs intérêts personnels ?

Il est sûr que l’éditeur informatique y met les moyens et ne se contente pas de frauder fiscalement la France ! Il n’y a peut-être plus de nécessité de se poser la question de savoir comment certains fonctionnaires peuvent disposer de logiciels commerciaux très onéreux alors que l’équivalent de qualité existe dans le domaine publique ?
 Il s’agit bien de concurrence déloyale à l’encontre de produits performants, menée à coup de milliards de dollars !


[MàJ] Contrôle des chômeurs : le gouvernement retire son amendement

Le 26/05/2015 à 11h 44

Alors en fait, qui sont les vrais fraudeurs ?




  • les chômeurs ?


  • ou les salariés de pôle emploi qui n’ont aucune compétence pour réaliser un travail qu’ils doivent aux chômeurs ; ex-cotisants !!!


Le 26/05/2015 à 11h 42

Vous n’avez pas tord… mais…

Le problème n’est pas de savoir si le personnel de pôle emploi à, ou non, le niveau ! Je suis sûr qu’ils ont tous, au moins, le bac (+ ou - 2)… Le problème est qu’ils n’ont aucune expériance ! Aucune compétence pour réaliser le travail et les missions qui leurs sont demandées.

Et de fait, vous ne pouvez pas demander aux personnels qui ne sont pas adaptés aux postes qu’ils occupent, de réaliser un travail qui devrait utiliser 2 ou 3 employés suplémentaires par personne en poste actuellement, et de respecter une qualité professionnelle qu’ils ne peuvent donner, même avec la meilleure volonté du monde, puisse qu’ils vivent à côté de leurs pompes !

Tout au plus, ces salariés sont complices de ces politicards qui mettent en oeuvre ces organisations ; mais complices malgré eux car, comme nous, ils ont besoin d’un salaire pour vivre !

 


Le 26/05/2015 à 11h 07

Oui, c’est vrais, la fraude c’est pas bien du tout ! Mais là ! Aller jusqu’à mettre en oeuvre des lois fachistes portant atteinte à la vie privée ! il fallait oser.
Hé bien c’est fait ! Nous ne sommes plus dans un pays socialiste, mais national socialiste !

De toutes façon, en France, aujourd’hui, les choses sont simples ! Vous voulez faire passer des lois liberticides ? Hé bien pas de problème ! il suffit de les emballer dans des prétextes débordant de bonnes intentions et de bons sentiments. Avec ça, tout est réglé et vous pouvez foncer ; massacrer la constitution républicaine de la 5ème république sans aucune difficulté. Même le conseil constitutionnel s’en donne à coeur joie et évince ceux qui essayent de défendre les droits des citoyens !

Décidément, le vichysme semble manquer à beaucoups de dirigeants politiques. La peur de la perte du pouvoir ; peut-être…


Bundestag : le parlement allemand dans la tourmente à cause d'une cyberattaque

Le 23/05/2015 à 16h 43

Il y des fonctionnaires européens qui s’entêtent à vouloir réaliser des équipements aves des systèmes d’exploitations de Microsoft. Faut pas qu’ils s’étonnent des résultat !
Mais que voulez-vous ! Outre certaines contreparties privées possibles, ce n’est pas avec leur argent qu’ils s’amusent à coups de millions d’Euros gaspillés, mais avec le notre… Alors, pourquoi voulez-vous qu’ils se gênent ?
En plus de cela, installer des systèmes d’exploitations sérieux empêcheraient des organismes étrangers d’accéder aux machines européennes… faut quand même pas pousser ! Hein !


Foxconn : Envoyé Spécial épingle les conditions exécrables de travail

Le 14/12/2012 à 15h 17

Ce n’est pas la première fois que cette marque est impliquée dans de telles affaires. Cela dure depuis plusieurs décennies. Alors, pourquoi accepte t’on qu’elle continue à jouer les étonnées ?

Que faire ?

Ne plus acheter les produits de ce constructeur en se soumettant, tels des moutons, à ses effets de modes qu’il impose pour chaque nouveauté !

Depuis des années, de nombreuses personnes lancent des alertes sur le fait que de grandes entreprises profitent de leur impacte politique et économique pour se livrer à l’esclavagisme moderne, en “s’en lavant les mains” sur le dos de la “sous-traitance” avec des prétextes toujours foireux !

Certes, au fur et à mesure que nous découvrons de telles entreprises se livrant à ces pratiques, si nous excluons leurs produits de nos achats, nous aurons moins de facilités à trouver certains produits.

Mais, devons nous continuer à afficher cette hypocrisie qui veut que nous fermions nos yeux sur l’origine et les conditions de productions de tous ces produits dont nous avons besoin et dont nous savons pertinemment qu’ils sont produits pas des ESCLAVES qui, eux-mêmes et sans en être responsables, coulent la vie économique et sociale de nos pays ?


Richard Stallman accuse Ubuntu d'espionner les utilisateurs

Le 10/12/2012 à 17h 02

Anne Onyme Le lundi 10 décembre 2012 à 17:05:43 #1 :


Il suffit d´utiliser Xubuntu ou Kubuntu (voire une autre distrib) et le problème est réglé


Le soucis dans une telle affaire, est que, que ce soit Xubuntu, ou Kubuntu, ou Gubuntu, c’est la première lettre qui définie l’interface homme/machine graphique équipant la distribution Ubuntu diffusée.

Ce que l’on ne sait pas, c’est ou se trouve les routines qui se chargent de ce travail d’espionnage : dans une librairie, dans le noyau, ou est-ce simplement un logiciel qui peut tout simplement être évacué ?

Nous n’en savons rien et c’est ce qui pose problème à notre niveau d’utilisateurs.
A cause de cela, le boycotte de toutes les distributions basées sur Ubuntu semble être, pour l’instant, la meilleure solution !

Attendons plus d’infos avant de revenir avec Ubuntu.


717 millions de smartphones livrés en 2012, dont 500 millions sous Android

Le 06/12/2012 à 10h 16

Jarodd Le mercredi 5 décembre 2012 à 21:52:16 #27 dit :

Ok j’ignorais que c’était du Linux. Mais Android aussi non ? On le sépare juste pour cacher que Linux est le système n°1 ?


C’est tout à fait cela ! En fait, imaginez la tête que ferait Microsoft si les médias annonçaient que Linux est le premier Système d’Exploitation du monde sur les téléphones portables ! Il y aurait vraiment de quoi se tordre de rire pendant des jours entiers.

Et c’est donc tout naturellement (enfin, là je ne sais pas trop… Y-a peut-être des contreparties…) que l’information est manipulée pour donner l’impression qu’Android serait un “truc” différent de Linux.

Mais OUI ! Super ! Si l’on réuni “Google Android” et “Linux”, nous disposons de la véritable information : Les distributions Linux équipent 504,35 Millions de SmartPhones sur 717,5 millions.

De quoi, cette fois, coller un sacré bourdon à Microsoft !… et rétablir la vérité.


Le 06/12/2012 à 09h 58

ff9098 Le jeudi 6 décembre 2012 à 00:29:40 #29 dit :


Non mais on ne se base pas sur le noyau, ça n’a aucun intérêt……… Ok Meego/Bada/… ne devrait pas être considéré comme Linux dans les stats


Ou là là !

En fait, Androïd est une distribution basée sur un noyau Linux.

Alors, certes, quelques fonctionnalités du noyau ont été allégées ou supprimées, mais ce qui donne l’appellation Androïd, c’est la couche (interface homme/machine) développée en Java par la société Android qui fut rachetée par Google.
Tout cela fait qu’Androïd est bien une distribution “open source” courament dénommée “Système d’Exploitation”.
Quand à gPhone, c’est une application dérivée d’Android.

Bonne journée.


Le 05/12/2012 à 14h 53

Mais ! Au fait !

Androïde n’est-il pas un dérivé de Linux ?


Brevet unitaire européen : un compromis veut écarter l'Union européenne

Le 20/11/2012 à 13h 12


Et dans cette jolie cuisine, le Parlement est tout autant mis hors-jeu, contrairement à ce que prévoit l’article 118.1 du Traité de Fonctionnement de l’Union européenne (TFUE du 1er décembre 2009, 2008/C 11501).



Dans une note, Jan Gaster, « Policy Officer » à la Commission européenne, a d’ores et déjà considéré que suite à la suppression des articles 6,7 et 8 c’était tout le dispositif du brevet unitaire européen qui pourrait être menacé. Il confirme là les travaux de Brevets-Unitaires.eu. Comme souligné, le droit de l’UE donne compétence à l’UE pour créer un titre de propriété intellectuelle communautaire. En supprimant les articles 6 à 8, on retire cette compétence et on sort donc des clous de ce texte.


Dans cette affaire qui dure depuis plus d’une décennie, la volonté des lobbies, avec la Commission Européenne, est de mettre “hors-jeu” le parlement européen. L’objectif : imposer en Europe les mêmes règles “fascistes” qu’au États-Unis ou tout est permis ; même de saboter de belles entreprises pour enrichir l’actionnariat sauvage d’entreprises(trusts) parasites.

Tout doucement ils y parviennent et réussissent à imposer à l’Europe leur domination de mafias financières ! Grand merci à Monsieur le Président Sarkozy, à qui nous devons la possibilité de permettre ces magouilles. Avec un grand mensonge dénommé “mini constitution”, la complicité du PS et du Modem, il a pu violer la constitution française et sodomiser les français, pour signer la constitution européenne de ses Ami(e)s !


Le 20/11/2012 à 13h 12


Et dans cette jolie cuisine, le Parlement est tout autant mis hors-jeu, contrairement à ce que prévoit l’article 118.1 du Traité de Fonctionnement de l’Union européenne (TFUE du 1er décembre 2009, 2008/C 11501).



Dans une note, Jan Gaster, « Policy Officer » à la Commission européenne, a d’ores et déjà considéré que suite à la suppression des articles 6,7 et 8 c’était tout le dispositif du brevet unitaire européen qui pourrait être menacé. Il confirme là les travaux de Brevets-Unitaires.eu. Comme souligné, le droit de l’UE donne compétence à l’UE pour créer un titre de propriété intellectuelle communautaire. En supprimant les articles 6 à 8, on retire cette compétence et on sort donc des clous de ce texte.


Dans cette affaire qui dure depuis plus d’une décennie, la volonté des lobbies, avec la Commission Européenne, est de mettre “hors jeu” le parlement européen. L’objectif : imposer en Europe les mêmes règles “fascistes” qu’au États-Unis ou tout est permis ; même de saboter de belles entreprises pour enrichir l’actionnariat sauvage d’entreprises(trusts) parasites.

Tout doucement ils y parviennent et réussissent à imposer à l’Europe leur domination de mafias financières ! Grand merci à Monsieur Sarkozy, à qui nous devons la possibilité de permettre ces magouilles. Avec un grand mensonge dénommé “mini constitution”, la complicité du PS et du Modem, il a pu violer la constitution française et sodomiser les français, pour signer la constitution européenne de ses Ami(e)s !


[MàJ] Copie privée : fin de route pour la QPC de l'industrie de l’informatique

Le 07/11/2012 à 15h 47

Le lobbyisme conduit par les ayants-droits n’a qu’un seul but :

“Créer des lois afin de légaliser des procédés mafieux et contraindre chaque citoyen concerné à cracher au bassinet ! ”

… Mais une question essentielle subsiste : comment, ou sous quelle forme, sont rétribués les politiciens qui cèdent à ces pratiques, les votent, les mettent en œuvre ?
En effet, il apparait bien que le salaire de député et/ou de sénateur, de ministre et/ou de conseiller, ou de président, reste insuffisant à nourrir la cupidité.


Alcatel-Lucent licenciera 1430 personnes en France : détails et réactions

Le 21/10/2012 à 10h 39






kwak-kwak a écrit :

Sauf que c’est faux, les brevets n’appartiennent pas aux chercheurs.



Je ne crois pas qu’il soit nécessaire de polémiquer sur un tel sujet. De nombreux articles ont été écrit. Parmi eux, je relèverais celui de Marc Mennessier intitulé “Le CNRS renforce sa politique industrielle” dans “http://www.lefigaro.fr” màj du 24 juin 2009.

Certes, l’article est un peu plus nuancé quand à la répartition des parts d’attribution des droits liés aux brevets. Je le concède. Il n’empêche que la souveraineté nationale n’est pas la préoccupation des intéressés.

Je relève qu’Il existe “d’excellents” exemples ou l’intérêt national fût battu en brèche. Les deux plus fumant furent :




  • “l’ouverture manuelle par préforme de la découpe qui fît la réputation des fameux pâtés Olida”. Invention française qui fût refilée aux USA et exploité en France sous licence américaine ;


  • “le tube de téléviseur couleur TRINITRON. Invention française refilée à Sony (Japon) et avec laquelle cette entreprise vendît les plus belles images du monde durant des années. Elle fît la fortune de cette marque et du Japon” ;


  • “plus récemment, une découverte française permit de fabriquer une puce reproduisant certaines caractéristiques substantielles de feu le tube électronique appelé vulgairement : lampe. En cours de développement aux USA, cette technologie représente un intérêt non négligeable pour le développement des technologies à micro composants spatiaux”.

    Bien sûr, il est toujours possible d’allonger la liste et de ne pas en finir.
    Ce que je veux souligner, c’est que la fuite de nos technologies vers l’étranger n’est pas ce qui enrichira la France !



Le 20/10/2012 à 15h 58

Et puis, il y a quelque chose qui me reste sur la “patate” !

Il y a en France des centres de recherches comme les CEA, CNRS, des centres universitaires et bien d’autres, qui financent des chercheurs et qui sont payés par l’État soit : le contribuable. Au final, leurs découvertes font l’objet de brevets qui, normalement devraient appartenir à la France. Pourtant, ces brevets sont créés aux noms des chercheurs qui les déposent.

Dans n’importe quelle entreprise française, une invention créée par un ou des salariés est la propriété de l’entreprise !

Mais, apparemment, pas pour ces chercheurs qui n’hésitent pas à partir avec arme et bagages à l’étranger, livrant ainsi les brevets aux mieux disant.

C’est ainsi que de nombreuses inventions ont fait la fortune d’entreprises japonaises et américaines, au détriment des intérêts de la France et sans que nos politiciens s’en émeuvent.

Bien sûr, ces procédés ont toujours cours actuellement !


Le 20/10/2012 à 09h 30

Ce que je trouve regrettable, c’est que les politiques, de tous bords, ont du yogourt à la place du cerveau. Là ou ils devraient prendre des décisions afin de protéger nos industries, ils polémiquent, dansent la rumba et, au final, de déchargent de leurs responsabilités sur “les” autres.

Ce fut le cas pour Logabax, CSF, nombreuses filières de THOMSON, CGR, une filière SNECMA devenue MOLEX, SAGEM, etc. Toutes ces entreprises furent systématiquement bradées pour les plus grands intérêts que ceux qui gérèrent ces fiascos organisés. Les milliers de brevets, liés à ces entreprises et faisaient la force économique de la France, furent récupérés par les spéculateurs étrangers.

Comme je l’ai déjà souligné dans un article, il y a quelques années, il fût une époque ou ces façons de procéder auraient été dénommées : Haute trahison !

Car nous avons bien affaire à un sabotage organisé de l’économie française et il est inadmissible que, sous couvert de faire des affaires dans un cadre mondialisé, de telles actions puissent impunément être perpétrées. Le pire, c’est que l’État laisse faire !
Curieusement, les USA, qui prétendent être un pays démocratique et mondialiste, ne laisse pas faire de telles “saloperie” sur tout ce qui est rattaché, d’une façon ou d’une autre, à sa souveraineté politique et technologique. Cela peut se conclure par :



                                      "Faites ce que je dis, pas ce que je fais !"   


… et les politiques français de tous bords baissent la culotte, et la petite culotte, avec, comme toujours, d’excellents motifs !


Le 19/10/2012 à 17h 20

Lorsque Lucent s’est trouvée en grande difficulté économique, les patrons d’Alcatel ont cru, comme beaucoup avant eux, qu’en se lançant à son secours ils réussiront à mettre les deux pieds au USA.

Malheureusement, si le montage des américains laissait entrevoir une telle hypothèse, dans la réalité, il n’en fut rien. Dès les années suivantes Alcatel en fera les frais et ne cessera de se faire “sucer” par Lucent ; la bonne vieille tactique américaine au travail, une fois de plus, mettra à terre un grand groupe français sauf, s’il se décide à adopter immédiatement des mesures draconiennes !

Le problème est, pour les entrepreneurs américains et leurs financiers, qu’ils vivent l’arrivée d’étrangers comme une guerre économique qu’il faut gagner à tout prix. Les entrepreneurs français, eux, restent d’éternels naïfs qui s’imaginent être des cadors et sont très imbus d’eux même. Très rapidement, ils réalisent que, systématiquement, comme pour les précédents copains, ils se sont fait berner.

Certes, ils ne seront pas les premiers mais, ils ne seront, malheureusement, pas les dernier ! Les salariés européens faisant systématiquement les frais de ces aventures hasardeuses !


Aurélie Filippetti s’élève contre les « menaces » de Google

Le 19/10/2012 à 09h 49

En fait, le problème est très mal posé par l’offre du législateur. Je comprends tout à fait qu’il souhaite adopter des dispositions visant à compenser la quasi-absence d’impôts payer par Google en France. Mais faut-il encore savoir de quoi il est question !

En effet, Google ne vend pas de service basé sur les travaux des Éditeurs, Auteurs, Créateurs et autres activités de “services autres” que ci-dessous.
Ce qu’il vend, c’est un service assis sur la mise en œuvre d’un outil permettant la simplification de la recherche de sites commerciaux ou non, sur Internet ; un point c’est tout.
Hors, ce service a un coût et il est normal que Google entende rentabiliser son offre par tout moyen permettant de ne pas perdre de l’argent !

La contrepartie de l’utilisation de liens hypertextes, au même titre que les agrégateurs d’actualités, ne devrait pas être liée à des droits d’auteurs ou autres droits pécuniaire, s’agissant de moyens techniques destinés à atteindre l’adresse d’un site ou d’un “objet” disponible sur Internet. En cas contraire, il faut imposer aux auteurs de courriers publicitaires l’obligation de prendre les dispositions pour que les propriétaires de ses boites à lettres puissent réclamer des droits d’utilisations ! La loi ne peut-être à sens unique.

Alors, si les lobbyistes propriétaires de sites Internet souhaitent maintenir cette disposition, il est tout à fait normal que Google, mominativement visé, les dé-référence… à moins qu’il décide de leur facturer le travail de formatage de “mise à disposition” des sites qui s’abonneraient aux servicex Google sous forme d’un prélèvement par “clic” sur le lien hypertexte !

Jusqu’à présent, c’est la publicité vendue par Google qui finançait ses services. Si les Éditeurs, Auteurs, Créateurs et autres entreprises basées sur les “services autres” ne souhaitent plus ce service Google, ou tentent de mettre en place une interprétation mensongère de ces services dans le but d’en retirer des gains faciles, il est normal que Google adopte des contre-mesures.

Seulement, à ce jeu là, les Éditeurs, Auteurs, Créateurs et autres entreprises basées sur les “services autres” coupent la branche sur laquelle ils sont assis !

Mais alors… ou cela s’arrêtera-t-il ?


Le budget 2013 de la Hadopi n'est toujours pas fixé selon Filippetti

Le 18/10/2012 à 08h 52

Ah, les braves gens !

C’est vrais qu’en compulsant le rapport annuel de la Hadopi, je pensais être en droit d’espérer trouver les rémunérations annuelles de tous ses responsables. Et bien, “macache bézef” ! Je suis renvoyé dans mes buts bien que se soit avec mes impôts qu’ils sont payés !

Pourtant, ces personnels, certes de hauts niveaux, font partie de l’institution ?… A moins que les budgets finançant leurs rémunérations annuelles soient extérieures à l’institution elle-même… Ce serait quand même curieux !… Après tout, pourquoi ne pourrais-je pas, moi aussi, partager le gâteau avec eux ?

Parce que, pour 2012, le gâteau est de taille : 5,4 millions d’euros soit, à la “grosse” louche pour 71 salariés : une moyenne de 6338 euros bruts par mois ; une jolie rémunération mensuelle pour un cadre supérieur dans le privé… Je n’ose pas penser ce que doivent être les rémunérations des “dirigeants” de la Hadopi !

shakil dit :

Que les ayant-droit financent, ça ne sert qu’à la défense de leurs intérêts et une telle usine à gaz avec des frais de fonctionnement invraisemblablement élevés…


… Donc, il n’y a pas que les ayants-droits qui défendent et financent leurs intérêts mordicus, mais aussi les copines et les copains de l’autre qui s’est fait mettre dehors. <img data-src=" /> C’est vrais que j’aimerais bien savoir ce qu’ils(elles) nous coûtent !


Télécharger le rapport d'activité 2011-2012 de la Hadopi

Le 17/10/2012 à 14h 26


La HADOPI, l’institution :

Membres titulaires : Marie-Françoise MARAIS - Présidente
Membres suppléants : Dominique GARBAN
Désignés par le premier président de la Cour de cassation
Durée du mandat : 6 ans (à compter du décret du 26 décembre 2009)

Membres titulaires : Jean MUSITELLI
Membres suppléants : Marie PICARD
Désignés par : le vice-président du Conseil d’État
Durée du mandat : 4 ans (à compter du décret du 23 décembre 2009)

Membres titulaires : Christian PHELINE
Membres suppléants : Emmanuel GIANNESINI
Désignés par : le premier président de la Cour des comptes
Durée du mandat : 6 ans (à compter du décret du 6 janvier 2012)

Membres titulaires : Anne-Élisabeth CREDEVILLE
Membres suppléants : Jean-Pierre DARDAYROL
Désignés par : le président du Conseil supérieur de la propriété littéraire et artistique
Durée du mandat : 6 ans (à compter du décret du 6 janvier 2012)

Membres titulaires : Jean BERBINAU
Membres suppléants : PAS DE SUPPLEANT
Désignés par : sur proposition conjointe des ministres chargés des communications électroniques, de la consommation et de la culture
Durée du mandat : 6 ans (à compter du décret du 26 décembre 2009)

Membres titulaires : Chantal JANNET
Membres suppléants : PAS DE SUPPLEANT
Désignés par : sur proposition conjointe des ministres chargés des communications électroniques, de la consommation et de la culture
Durée du mandat : 4 ans (à compter du décret du 23 décembre 2009)

Membres titulaires : Jacques TOUBON
Membres suppléants : PAS DE SUPPLEANT
Désignés par : sur proposition conjointe des ministres chargés des communications électroniques, de la consommation et de la culture
Durée du mandat : 4 ans (à compter du décret du 23 décembre 2009)

Membres titulaires : Franck RIESTER
Membres suppléants : PAS DE SUPPLEANT
Désignés par : le président de l’Assemblée nationale et le président du Sénat
Durée du mandat : 6 ans (à compter du décret du 23 décembre 2009)

Membres titulaires : Didier MATHUS
Membres suppléants : PAS DE SUPPLEANT
Désignés par : le président de l’Assemblée nationale et le président du Sénat
Durée du mandat : 6 ans (à compter du décret du 6 janvier 2012)

La HADOPI, la Commission de protection des droits :

Membres titulaires : Mireille IMBERT-QUARETTA - Présidente
Membres suppléants : Jean-François MARY
Désignés par : le vice-président du Conseil d’État
Durée du mandat : 6 ans (à compter du décret du 23 décembre 2009)

Membres titulaires : Jean-Yves MONFORT
Membres suppléants : Paul CHAUMONT
Désignés par : le premier président de la Cour de cassation
Durée du mandat : 4 ans (à compter du décret du 23 décembre 2009)

Membres titulaires : Jean-Baptiste CARPENTIER
Membres suppléants : Paul-Henri RAVIER
Désignés par : le premier président de la Cour des comptes
Durée du mandat : 6 ans (à compter du décret du 6 janvier 2012)



Ah, les braves gens !

C’est vrais qu’en compulsant le rapport annuel de la Hadopi, je pensais être en droit d’espérer trouver les rémunérations annuelles de tous ces braves gens. Et bien, “macache bézef” ! Je suis renvoyé dans mes buts bien que se soit avec mes impôts qu’ils sont payés !

Pourtant, ces personnels, certes de hauts niveaux, font partie de l’institution ?… A moins que les budgets finançant leurs rémunérations annuelles soient extérieures à l’institution elle-même… Ce serait quand même curieux !… Après tout, pourquoi ne pourrais-je pas, moi aussi, partager le gâteau avec eux ?

Parce que, pour 2012, le gâteau est de taille : 5,4 millions d’euros soit, à la “grosse” louche pour 71 salariés : une moyenne de 6338 euros bruts par mois ; une jolie rémunération mensuelle pour un cadre supérieur dans le privé… Je n’ose pas penser ce que doivent être les rémunérations des “dirigeants” de la Hadopi !





Chaise vide et copie privée : Aurélie Filippetti à la rescousse

Le 15/10/2012 à 14h 28


Depuis, tous les votes en commission copie privée ont donc été passés avec une majorité absolue d’ayants droit : 12 membres contre 6 industriels et 5 utilisateurs.


… ou comment des hauts fonctionnaires soumis aux lobbyistes manœuvrent un ministre provisoirement en place ( <img data-src=" /> ) pour permettre à la mafia d’imposer ses vues et rentabiliser le principe du “gagner de l’argent facile sans se fouler” ! <img data-src=" /> <img data-src=" />


Délit de consultation de sites terroristes : le retour !

Le 11/10/2012 à 16h 00


<img data-src=" /> <img data-src=" /> <img data-src=" /> <img data-src=" />


Le 11/10/2012 à 15h 57

Pardon !
Dans l’article 3, une erreur s’est glissée. En fait, il faut lire :






Art. 3 – Lorsque les nécessités de la lutte contre la diffusion d’images ou de représentations faisant l’apologie d’actes droitistes le justifient, l’autorité administrative notifie aux services de sécurité les adresses électroniques des services de communication au public en ligne contrevenant aux dispositions de cet article afin que ces personnes en empêchent l’accès sans délai par tous moyens. de communication au public en ligne contrevenant aux dispositions de cet article afin que ces personnes en empêchent l’accès les subventionnent sans délai par tous moyens.

Voilà !… C’est corrigé. Je me sent mieux.

Vive le totalitarisme, il n’y a que ça de vrais !

<img data-src=" /> <img data-src=" /> <img data-src=" /> <img data-src=" />


Le 11/10/2012 à 15h 41

Bien sûr qu’il faut mettre en place les règles nécessaires à la lutte contre la consultation de sites terroristes.

Ce délit, comme d’autre, ne peut que justifier la sanction de ceux qui les consultent et non de ceux qui mettent à leur disposition cette apologie du crime !

Ainsi, on garantit que le délit reste toujours bien vivant et, qu’en l’occurrence, il permet à l’État de percevoir des amendes plus nombreuses à moindre coût.

Mais pourquoi limiter ces sanctions aux seuls sites faisant l’apologie du terrorisme ? Étendons donc ce projet de loi à la constitution d’une proposition portant sur les orientations politiques ayant conduit le pays au bord de la faillite (pour l’instant et en attendant d’autres…)

Ne s’agit-il pas là d’une excellente thérapie ?





  • Art. 1 – Est puni de deux ans d’emprisonnement et de 30 000 euros d’amende, le fait de consulter de façon habituelle un service de communication au public en ligne mettant à disposition des messages de droites faisant l’apologie directe d’actes de militantisme ainsi que celles d’actes dont les messages comportent des images montrant et invitant à la commission d’actes d’adhésions volontaires aux mœurs droitistes.


  • Art. 2 – L’article 1 n’est pas applicable lorsque la consultation résulte de l’exercice normal d’une profession ayant pour objet d’informer le public, intervient dans le cadre de recherches scientifiques où est réalisée afin de servir de preuve en justice.


  • Art. 3 – Lorsque les nécessités de la lutte contre la diffusion d’images ou de représentations faisant l’apologie d’actes droitistes le justifient, l’autorité administrative notifie aux services de sécurité les adresses électroniques des services de communication au public en ligne contrevenant aux dispositions de cet article afin que ces personnes en empêchent l’accès sans délai par tous moyens.
    <img data-src=" /><img data-src=" />


Selon Force Ouvrière, SFR compte réduire de 15 à 20 % son effectif

Le 29/09/2012 à 08h 26

FO est un petit syndicat qui a besoin d’adhérents pour revenir sur le devant de la scène. Je ne suis donc pas étonné de le voir chausser des souliers qui ne sont pas les siens.

Free, ni plus ni moins que ses concurrents, n’a de leçons à donner à personne. Toutefois, alors que ses concurrents délocalisent tous leurs emplois relevant des services par téléphone, Free, lui, maintient ses plates-formes sur le territoire français. Générant ainsi de l’emploi ; cet emploi prétendument trop cher en France pour se livrer à une seine concurrence !

Alors, certes, cette “centrale s’inquiète de “la destruction massive d’emplois dans la filière télécoms”“, révélant ” que SFR est sur le point d’annoncer un plan social touchant entre 1500 et 2000 postes”.
L’auteur de l’article rappelle “que Bouygues Telecom a de son côté annoncé un plan de 560 départs volontaires “. Ce syndicat rappelle par ailleurs ” qu’un emploi direct supprimé chez un opérateur engendre au moins deux ou trois emplois indirects chez les sous-traitants”. “Le constat à date est déjà catastrophique pour l’emploi”“.

La seule chose qui n’est pas précisée : Ces opérateurs refusent de remettre en cause leurs profits et de les passer en dessous d’un nombre à deux chiffres ! Pour maintenir un tel nombre, ils n’ont pas d’autre choix que de virer les salariés employés sur le territoire français, entre autre…
C’est vrais qu’en France le coût de l’emploi est excessif et pénalise les entreprises ; surtout lorsqu’il s’agit des revenus d’un certains nombre de dirigeants et leurs actionnaires qui entendent faire la leçon à tout le monde et particulièrement aux salariés. Dirigeants qui n’ont pas peur de faire travailler du personnel sans aucune couverture sociale ou presque, pour des “salaires” miséreux qu’ils n’accepteraient pas eux-mêmes ! Utilisant la complicité de chefs d’états mafieux et leurs forces policières, tirant à balles réelles, pour réduire leurs esclaves au silence.

Il n’est pas inutile de rappeler que la rémunération annuelle d’un certain nombre de ces dirigeants, ayant complètement dérapé, représente le budget annuel de fonctionnement structurel d’entreprises de 500 à 1000 salariés voire, parfois, plus.

Je trouve regrettable qu’un syndicat puisse soutenir, indirectement, de telles situations !


Le « bug Facebook » : que se passe-t-il ? Que faire ?

Le 25/09/2012 à 07h 59

La situation n’est pas aussi compliquée !
Il y a quelque temps, à la suite d’un licenciement prenant prétexte du contenu écrit sur le mur d’une “sphère privée” et des témoignages appropriés, l’employeur a été condamné et le licenciement requalifié.
Il fallait donc bien s’attendre à ce qu’un certain lobbying fasse changer les règles pour permettre un contrôle plus fin des dirigeants d’entreprises sur leur personnel dans le “domaine publique” !

Un certain nombre a le Droit de se conduire comme des criminels ; pas leurs salariés !

C.Q.F.D.


Hadopi : un élan de solidarité en faveur du premier abonné condamné

Le 15/09/2012 à 10h 01


Dès lors qu’un client parvient à tromper un bijoutier pour entrer dans son magasin, doit-on considérer le bijoutier comme “le vrai responsable du défaut de sécurisation” ?

La justice et les compagnies d’assurances ne devraient-elles pas se retourner contre ce bijoutier pour complicité ?


Bien sur, cette situation est risible. C’est pourtant ce qu’ont réussi à créer un certain nombre de personnes soumises aux lobbies qui, nous pourrions le croire, n’auraient pas intérêt à ce que la chasse aux sites de ventes de produits illégaux soit ouverte !

En clair, grâce à des lois expressément adaptées, un organisme sensé défendre les citoyens participe à “l’apologie du crime” ! Le comble est que la justice s’y trouve impliquée malgré elle, punissant des personnes ayant eu le malheur de se retrouver compromises involontairement dans des affaires d’offres pirates. Pire que cela, si elle n’est pas coupable, alors ce sera un vulgaire problème de protection informatique qui sera utilisé pour, de toute façon, condamner le “condamné d’avance”.
Pendant ce temps là, d’autres veillent à ce que l’offre Internet légale disponible en France soit la plus pauvre possible… À contrario, dans d’autres pays, cette offre est TRÈS riche !!!

Sans en avoir l’air, cela fait tout de même plus de 20 ans qu’on en parle !


CNM enterré : la filière musicale en colère contre Aurélie Filippetti

Le 12/09/2012 à 08h 33

De toute façon, ENCORE mettre des taxes pour compenser “leurs pertes”, c’est ENCORE réclamer des subventions déguisées !
_
Comme je n’ai pas manqué de le souligner dans d’autres interventions, ils ont tout organisé pour s’assurer des revenus qu’ils pensaient “stables” ! Sauf que la crise passant par là, l’État se voit obligé de tailler dans le gras.
_
Alors Messieurs, au lieu d’interdire l’ouverture du marché français aux offres légales de ventes commerciales sur Internet des produits artistiques, tous confondu (musiques, films, chansons, etc.), investissez et levez ces interdits que vous avez imposé !
_
ACCEPTEZ DE FAIRE DU COMMERCE AU LIEU DE VOULOIR VIVRE ESSENTIELLEMENT QUE DE SUBVENTIONS DÉGUISÉES !


Offre légale, le PUR témoignage d’un consommateur en colère

Le 08/09/2012 à 10h 28


Le constat réalisé par ce monsieur n’est pas une découverte. Elle avait déjà été signalée par le passé.


La raison en est simple : “le consommateur français est la plus belle vache à lait de la planète !”

Les lobbyistes prétendent se battent becs et ongles pour défendre les droits des auteurs et ont ainsi obtenu des indemnités pour tout ce qui est copie de ceci ou de cela sur tous types de support mémoriels. C’est la panacée ! Et ils ne voient pas pourquoi cela changerait et pourquoi ils ne presseraient pas encore plus le citron !

Cette astuce a permis de faire passer tous les con-sommateurs pour des escrocs, des pirates ; à manipuler certains gouvernements pour qu’ils créent des lois contre la copie et le piratage avec un service d’État adéquat conçu sur mesure et qui les subventionne ; à punir ces con-sommateurs sans que la “justice” touche aux fournisseurs de services mettant à leur disposition toutes les oeuvres à pirater !
Une magnifique machine à faire du fric facile…

Et ils n’ont pas intérêt à ce que ça change puisqu’en France le principe du boycotte comme de la classAction est interdit ! Ils ne risquent donc pas d’être boycotté ou sévèrement sanctionné par l’État qui, dans le contexte actuel, est carrément complice du système puisque les lois qu’il a créées en font l’apologie.

Oui, l’information est disponible !… Mais elle est savamment dissimulée pour que le français ne puisse y accéder facilement. C’est comme le déficit de la Sécurité Sociale ! Avec toutes les dizaines de milliards d’euros prélevés tous les ans, les économies forcées, comment se fait-il qu’il existe toujours ?
En fait, des structures sont mises en place pour que, “en toute légalité”, l’argent aille dans d’autres poches…


Brevets : Apple s'attaque maintenant aux Galaxy S III et Galaxy Note

Le 03/09/2012 à 11h 09

Dans un article diffusé sous le titre “Le brevet logiciel va-t-il tuer l’innovation ?” et publié le 9 mars 2005 11:36, l’auteur affirmait :

“o- Comme nous l’avions rappelé dans notre courrier aux députés européens de janvier 2005 (joint à ce courriel), ces lobbies favorables aux brevets logiciels sont puissant et ne manquent pas de ressources.




  • Nous le constatons aujourd’hui !
    Peut-être est-il temps de se réveiller et de cesser de se battre sur le seul terrain du libre, alors que nos adversaires étaient sur de nombreux autres champs de batailles.
    o- Aujourd’hui, il devrait être possible de contester la décision du conseil des ministres européens qui a outrepassé son mandat. Toutefois, la seule parade est d’entamer une guerre totale sur les garanties obligatoires que devront respecter les éditeurs de logiciels incluant un(des) brevet(s) dans leurs produits commerciaux.
    Il est important que la responsabilité civile, pénale et financière de ces éditeurs (lobbies) soit totalement engagée dès lors que leurs produits commerciaux incluent un(des) brevet(s).
    Cette responsabilité doit être la même que pour les entreprises industrielles (PME, PMI, etc.) diffusant des produits commerciaux et qui, dans d’autres branches professionnelles, sont soumises à des règles draconiennes en matière de garantie et de responsabilité des vices caché.
    Cela mettrait un terme à cette concurrence déloyale qui favorise outrageusement les éditeurs de logiciels commerciaux et ce ne serait que justice !
    En effet, il est trop facile pour ces éditeurs (lobbies) de logiciels d’afficher des bénéfices colossaux alors qu’ils s’excluent de toute responsabilité pour les conséquences de leurs bugs logiciels et qu’ils font tout, au travers de leurs licences, pour ne pas avoir à les assumer.
    Il est anormal que se soit à l’utilisateur final de payer les conséquences d’un logiciel ou d’un système d’exploitation qui “plante” l’ordinateur, générant ainsi la perte d’importantes ressources financières !
    A partir du moment ou les éditeurs incluent des éléments brevetés dans leurs logiciels, ils doivent payer aux entreprises, aux indépendants, aux chercheurs et aux particuliers, les préjudices causés par les bugs et vices caché. Alors, certainement que le principe du brevet logiciel n’aura pas le même attrait.”

    Finalement, non seulement les éditeurs et fabricants informatiques n’ont pas trainés, mais ils pressent le citron des méthodes permettant de gagner facilement de l’argent avec la seule machine financière et des brevets “foireux” qui, souvent, ne représentent aucune innovation.

    Ne faudrait-il pas boycotter totalement Apple à titre d’exemple pour donner une leçon à toutes ces personnes qui ne rêvent qu’à l’argent facile et ruinent des économies, donc, des emplois ?