#Le brief du 04 novembre 2025

Réseaux sociaux : les gauches européennes veulent s’inspirer de la stratégie de Mamdani

Le 04 novembre 2025 à 12h15

Le 04 novembre 2025 à 12h15

Réseaux sociaux : les gauches européennes veulent s’inspirer de la stratégie de Mamdani

Free lance une Freebox Ultra aux couleurs de Stranger Things en édition limitée

Le 04 novembre 2025 à 11h40

Le marketing de l'exclusivité fonctionne-t-il pour un objet à dimension utilitaire tel qu'une box Internet ? C'est l'hypothèse à laquelle semble souscrire Free : l'opérateur vient en effet d'annoncer le lancement d'une édition limitée, aux couleurs de la série Stranger Things, de sa box la plus haut de gamme, la Freebox Ultra.

« Cette collaboration est une première mondiale : c’est la première fois qu’un Server Internet est personnalisé pour adopter l’identité visuelle d’une série », clame l'opérateur, qui accompagne ici le lancement de la cinquième saison de Stranger Things, dont la première partie est programmée au 27 novembre prochain sur Netflix.

L'édition limitée n'intègre que des éléments d'ordre cosmétique, la formule et les performances associées restent inchangées - crédit Free

Outre un habillage sous forme d'autocollant, la box intègre un bandeau lumineux LED pilotable à distance au moyen de l'application Freebox Connect. « À l’allumage de la Freebox, les silhouettes des quatre personnages principaux de la série, poursuivis par le Démogorgon, apparaissent sur l’écran d’affichage du Server », promet encore Free.

Cette édition limitée (volumes disponibles non précisés) est proposée aussi bien aux nouveaux abonnés qu'aux clients existants, qui peuvent demander l'échange de leur boîtier Server en échange de 49 euros. Pour rappel, la box n'appartient pas au client final dans le cadre d'un abonnement Free : il faut la restituer en cas de résiliation.

Free avait déjà tenté l'édition limitée en décembre 2024, avec une Freebox Ultra transparente lancée à l'occasion des 25 ans de l'opérateur. Ici, l'opérateur fondé par Xavier Niel s'enorgueillit du soutien de Netflix qui aurait « choisi Free pour cette première mondiale ».

Le 04 novembre 2025 à 11h40

Free lance une Freebox Ultra aux couleurs de Stranger Things en édition limitée

Trump utilise le site de la Maison-Blanche pour tourner les Démocrates en dérision

Le 04 novembre 2025 à 09h32

Le 04 novembre 2025 à 09h32

Trump utilise le site de la Maison-Blanche pour tourner les Démocrates en dérision

Les studios japonais demandent à OpenAI de ne plus utiliser leurs productions dans Sora

Le 04 novembre 2025 à 09h07

Le lobby japonais Content Overseas Distribution Association (CODA), représentant de nombreux studios d'éditeurs de dessins animés et de jeux vidéo, a envoyé une lettre lundi 27 octobre à OpenAI pour protester contre l'utilisation de nombreuses de leurs productions pour entrainer Sora 2, comme le rapporte Automaton.

« CODA a confirmé qu'une grande partie du contenu produit par Sora 2 ressemble fortement à du contenu ou à des images japonais. CODA a déterminé que cela résulte de l'utilisation de contenu japonais comme données d'apprentissage automatique. Dans les cas où, comme avec Sora 2, des œuvres spécifiques protégées par le droit d'auteur sont reproduites ou générées de manière similaire, CODA considère que l'acte de reproduction pendant le processus d'apprentissage automatique peut constituer une violation du copyright », explique le lobby.

le problème de l'IA générative avec les copyrights

Coda rassemble des studios de dessins animés comme Aniplex, Studio Ghibli, de jeux vidéo comme Bandai Namco et Square Enix, des maisons d'édition de mangas comme Shueisha ou encore le conglomérat Kadokawa.

OpenAI a mis en place un système d'opt-out permettant aux ayants droit de demander que Sora ne génère plus de contenus ressemblant à leurs contenus. Mais CODA affirme que « dans le cadre du système japonais du copyright, une autorisation préalable est généralement requise pour l'utilisation d'œuvres protégées par le copyright, et il n'existe aucun système permettant d'échapper à la responsabilité en cas de violation par le biais d'objections ultérieures ».

Depuis le lancement de Sora, OpenAI ne se cache pas d'utiliser les productions japonaises, allant jusqu'à utiliser le style du réalisateur anti-IA Miyazaki pour la promotion de ses modèles.

Le 10 octobre, Minoru Kiuchi, le ministre japonais chargé de la sécurité économique et de la propriété intellectuelle, expliquait avoir lui aussi demandé à OpenAI d'arrêter d'utiliser les productions japonaises sans le consentement des studios. Le député japonais Akihisa Shiozaki affirmait récemment que « l’IA est en train de dévorer la culture japonaise ».

Le 04 novembre 2025 à 09h07

Les studios japonais demandent à OpenAI de ne plus utiliser leurs productions dans Sora

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