La société confirme cette information à nos confrères des Échos. La société ajoute qu’elle a lancé un plan de restructuration des équipées liées à ce projet, sans entrer davantage dans les détails.
« Nous avons entamé un travail de restructuration en France, mais aucune décision ferme n'a encore été prise », précise un porte-parole. « À Paris, les équipes redoutent toutefois la suppression, d'ici à septembre, de près de la moitié des 330 emplois de la filiale française ».
Pour rappel, ce robot Pepper avait initialement été développé à Paris, chez Aldebaran.
Commentaires (10)
#1
Et le motif invoqué ?
#2
A Paris, les employés redoutent la réduction des équipes dédiées à la machine qui n’aura jamais tenu ses promesses. peut-on lire au début de la page des Échos en lien.
Edit : bref, ça ne doit pas se vendre suffisamment.
#3
ce serait bien s’il devenait open source
#4
Ah, si ce robot est connecté, condoléance aux clients l’ayant acheté. Car les serveurs vont rapidement suivre si ils font comme à chaque fois.
#5
Comme pour le Nabaztag, un kit à base de raspberry pi et ça repart ?
#5.1
Ce serait un sacré holdup si le hardware de Pepper pouvait être remplacé par un Raspberry
#6
Y en avait un à la gare Part-Dieu à Lyon. Il est resté là quelques temps, un peu trop seul (quasiment personne ne s’y intéressait), avant d’être envoyé (j’imagine) à la campagne dans une ferme pour vieux robots 🙄
#7
il y en avait un dans la salle d’attente de mon agence AXA, qui a tourné durant 2 ans avant de tomber en panne. il ne servait qu’à bouger en montrer sa présence, même pas à renseigner les gens ou faire de la pub… la dernière fois que je l’ai vu, il était au fond de l’agence , en vrac, car en panne…
#8
C’est le même fabriquant, doit ça doit être pareil, non ?
#9
Déjà bossé sur un Pepper et sur son grand frère Nao, c’est pas fifou comme techno : un Atom quad core (quand c’était un Atom monocore sur Nao) avec un système bancal qui prend du Python en instructions.
Au mieux ça permet d’amuser la gallerie, d’initier à la programmation et de faire de la communication, mais ça n’a aucune espèce d’utilité, si ce n’est peut être faire bander un peu certains milieux qui s’auto-persuadent que la robotique c’est l’avenir (alors que ça fait 40 ans que “c’est l’avenir”).