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Donald Trump veut défendre sa liberté d’expression… en fermant les réseaux sociaux

Donald Trump veut défendre sa liberté d'expression… en fermant les réseaux sociaux

Le 28 mai 2020 à 09h25

Suite à l'ajout par Twitter d'une mention de fact-checking sous certains de ses tweets, le président américain a vu rouge, multipliant tweets et partages de vidéo de Fox News, allant jusqu'à parler de censure.

Hier, il avait déjà indiqué qu'il y voyait une atteinte à la liberté d'expression, une mise de côté des « voix conservatrices » par les réseaux sociaux, ce qui est pour le moins étonnant au regard de leur rôle dans le scandale Cambridge Analytica.

Il a ainsi indiqué qu'il pourrait aller jusqu'à réguler… ou fermer ces plateformes, la signature d'un décret ce jeudi ayant été évoquée (mais pas son contenu).

Twitter a de son côté rappelé ses règles en la matière, et qu'il ne s'agissait là que d'une procédure de fact-checking face à des propos de nature à tromper ses utilisateurs.

Le 28 mai 2020 à 09h25

Commentaires (51)

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À lecture de la nouvelle, je m’attendai à l’habituel déchainement d’insultes envers le président américain, je suis un peu déçu.

Est-ce que les posteurs comprendraient enfin qu’ils ne sont pas encore américain et qu’il faut d’abord commencer par balayer devant sa porte ?



En revanche, c’est l’occasion de t’écrire que la lecture des tes posts me fait plaisir et m’a manquée pendant près de trois mois.

Beau retour !

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Ramaloke a écrit :



<img data-src=" />



Nb : Par contre à la fin il faut remplacer “psychanalyste” par “psychiatre”, un psychanalyste est un charlatan qui applique les méthodes de Freud qui sont pourries jusqu’à la moelle (et n’est pas médecin).

C’est la même différence entre un médicament et l’homéopathie, en gros.







Il fallait suivre le lien posté : SIte officiel de la Fédération Française de Psychiatrie.



Mais le psychanalyste est plus à la mode dans les milieux favorisés.


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Bah pourtant on demande aux plateformes de faire de plus en plus contre la désinformation, faudrait savoir.

En plus c’est juste un ajout, pas une censure.

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ça me fait bien rire ce coup de pub de Twitter



Un petite pichenette à Trump ! Oulala. Il s’agit surtout de bien montrer qu’ils ont bien fait leur travail de vérification des infos. Pour le jour où ils se feront remonter le slip jusqu’aux aisselles devant le Congrès façon Zuckerberg ou encore jugés devant un tribunal, une fois que Trump sera interné à l’asile.

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Une définition qui ressemble rudement à celle du trouble de la personnalité paranoïaque (Paranoid Personality Disorder). Il faudrait enquêter.

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Hugues1337 a écrit :



Pour parler de la news, je trouve honteux qu’une entreprise privé décide de ce qui est vrai ou faux. Que ce soit Twitter, Facebook, etc., ce n’est pas leur rôle de “censurer”. Et là, en s’attaquant à un POTUS, c’est faire preuve d’une profonde bêtise car les réactions risquent d’être énormes. Il vote qui encore le CEO de Twitter ? ;-)





Ou est-ce qu’il y a eu censure ?

Le tweet de Trump a été supprimé ?



La réaction ne sera énorme que par rapport aux supporters de Trump qui par définition croient au complot généralisé de la part des media/réseaux sociaux/scientifiques/martiens chinois contre leur demi dieu roux. Cela ne changera donc strictement rien à la situation actuelle.


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Je t’ai connu plus défenseur.



On va ajouter “complotiste” sous tous tes posts et on verra si ça te fait plaisir. <img data-src=" />

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Je ne suis pas un personnage public, ni un média mais bon <img data-src=" />

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Pas de nouvelle guerre, tout dépend, guerre au sens militaire du terme ca a quand meme faillit 2-3 fois, Corée, Russie et Iran (Iran pas été déclenché a cause des élections américaines trop proches) mais la guerre industrielle et économique il en a bien lancé, notamment contre la chine (et l’UE), et il est en guerre contre tout ceux qui le contredise, genre CNN

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Concrètement cela fait combien de morts comparés à une vrai guerre ?



En gros, pour toi, il vaut mieux être propre sur soi, être poli devant la caméra, dire que l’on veut la paix dans le monde puis prendre des décisions qui tue des centaines de milliers de personnes ?

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tmtisfree a écrit :



[…] apparentée à une névrose profonde







Une psychose, plutôt, non ? Un névrosé se rend habituellement compte qu’il est malade. Un psychotique croit qu’il est normal.





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Zucherberg a répondu ceci : “I think a government choosing to censor a platform because they’re worried about censorship doesn’t exactly strike me as the the right reflex there”



“je pense qu’un gouvernement qui choisi de censurer une plateforme par peur de la censure ne me parait pas le meilleur réflexe qui soit” <img data-src=" />

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&nbsp;

Et ensuite il a fait son lèche-boule, il a dit que les plateformes n’ont pas pour role de dire ce qui est vrai et ce qui est faux.



&nbsp;<img data-src=" />

&nbsp;

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Est ce que j’ai dit “oh domage il n’y a pas eu de guerre” ou “vraiment je suis fan de tous les presidents qui font la guerre”? non, mais affirmer que “lui au moins il n’a pas fait de guerre”, c’est faux.

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Tu as dis





UtopY-Xte a écrit :



Pas de nouvelle guerre, tout dépend, guerre au sens militaire du terme ca a quand meme faillit 2-3 fois







Je t’ai demandé combien, ce tu décris comme guerre a fait de morts.

Parce que si l’amour c’est la guerre, alors tout le monde a déjà fait la guerre ?



Mon questionnement est celui-ci : pourquoi devoir être «fan» d’un président (américain de surcroît) ou devoir le haïr ?

Sont-ils si différent que ça et si oui, qui sont les plus dangereux finalement ?



Édit : Peux-tu dire qu’il a fait des centaines de milliers de morts ?


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33A20158-2813-4F0D-9D4A-FD05E2C42E48 a écrit :



Une psychose, plutôt, non ? Un névrosé se rend habituellement compte qu’il est malade. Un psychotique croit qu’il est normal.



<img data-src=" />





La question est pertinente.



Le caractère collectif, coordonné, compulsionnel et quasi possessif de l’affection semble toutefois indiquer que les sujets sont conscients de la souffrance psychique infligée par la lecture répétitive des gazouillis du POTUS : preuve en est que dans un élan récurrent d’autorémédiation spontanée par l’écriture, technique que recommande positivement la psychologie clinique, ils les commentent rituellement sur un ton désobligeant, agressif, etc. Peut-être comme une forme de compensation pour “rétroprojeter” la mauvaise appréciation de leur statut, la haine de leur égo… difficile de savoir.


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joma74fr a écrit :



Bref, chaque fois qu’un président US plaît à la plèbe, c’est un écervelé, c’est une loque humaine, c’est un débile profond.







On a le président qu’on mérite, en effet.

Nous par exemple, on a Macron.<img data-src=" />


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Tu joues sur les mots. Mais compare voir le bilan Obama et Trump sur l’impérialisme US. Trump est ce qu’il est, mais il préfère se concentrer sur les USA, ça l’intéresse pas de faire des guerres.

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L’épouvantail de la désinformation donne les clés à des entreprises privées de “décider” de ce qu’on peut discuter sans être étiqueter. C’est une attaque contre la liberté d’expression qu’importe si c’est du complot lézardien à deux balles, et vous devriez être contre si vous tenez à cette liberté.

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La liberté d’expression, c’est le droit de faire connaître publiquement son opinion sans être inquiété par la justice ; pas une licence autorisant à dire tout, n’importe quoi et son contraire en seulement 140 signes sans être contredit ni recadré.


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Ricard a écrit :



On a le président qu’on mérite, en effet.



Nous par exemple, on a Macron.:fumer:








Giscard - Mitterrand - Chirac - Sarkozy - Hollande - Macron.     



On a dépassé le quinté gagnant <img data-src=" />


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Donc on pourrait voir le trumpisme non comme la maladie, mais plutôt comme une thérapie ?

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33A20158-2813-4F0D-9D4A-FD05E2C42E48 a écrit :



Donc on pourrait voir le trumpisme non comme la maladie, mais plutôt comme une thérapie ?





Elles sont bien distinctes, même si la pratique thérapeutique recommande aux névrosés de confronter leurs obsessions, peurs, souffrances, etc. à petites doses (abordé ici [1]). L’écriture est un moyen parmi d’autres.



[1]youtube.com YouTube


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Euh oui, merci, on le sait tous ça. Cependant ce n’est pas à une société privé de décider si tu dis de la merde ou pas. Twitter, Facebook, Youtube… devraient rester neutre.

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Salut, t’as eu totalement raison Hugues1337 !



nextinpact.com Next INpact



Coeur avec les doigts.

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Wow. Impressionnant de voir certains faire littéralement des copier-coller de 4chan /pol/ ici pour faire croire à une discussion censée et raisonnée. Il se passe quoi dans le coin là ?

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On pourrait proposer à Trump de poster sur 4chan au lieu de Twitter.. Là il ne serait pas censuré. <img data-src=" />

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Ben si tout le monde le sait, pourquoi continuez-vous à brandir cette soi-disant menace sur la liberté d’expression chaque fois qu’un réseau social rappelle les principes de sa ligne éditoriale ? À aucun moment le fait que Twitter en tant que personne morale exprime sa propre opinion (ce que la liberté d’expression lui permet, accessoirement) ne limite la liberté d’expression d’autrui.



Si je désire exprimer une opinion contraire à celle de Twitter, je peux le faire sur /pol/ et à aucun moment Twitter ne viendra modérer mon post. Si je veux faire un article à la gloire éternelle de Trump et que Wikipedia le retire, je peux le poster sur Conservapedia si je veux et il y sera accueilli à bras ouverts.



Évidemment, personne ne le lira sinon les convaincus.



On est d’accord qu’on pourrait éventuellement leur reprocher une certaine forme d’ “abus de position dominante” qu’il convient de réguler, mais arrêtez ces arguments de l’homme de paille sur la liberté d’expression, la démocratie.

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Ce n’est plus un simple site web, à l’instar de FB, Reddit, etc. Ils sont un moyen de communication puissants et utilisés autant par le privé que par le public. De ce fait c’est “normal” que les États régulent ce type de service en piétinant leur CGU pour leur imposer une ligne directrice.

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En même temps il est pas réputé pour son intelligence ^^



Il est juste tout pas content et tout vexé de se faire taper sur les doigts par Twitter qui au demeurant s’en fout, Twitter n’est pas un service publique il a le droit de modérer voir censurer comme bon lui semble.

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C’est quand même couillu de la part de Twitter de s’attaquer à Trump, quand on sait le côté imprévisible du bonhomme.

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Bouh ! Il est vexé ! C’est-y pas mignon ça <img data-src=" /> !

Ah merde, ce type est le grand patron de la première puissance nucléaire de notre planète ….

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secouss a écrit :



Il est juste tout pas content et tout vexé de se faire taper sur les doigts par Twitter qui au demeurant s’en fout,&nbsp;



Je ne pense pas qu’ils soient bien dans leurs souliers quand même. Trump a un certain pouvoir et une certaine méthode pour détruire ce qui lui nuit.&nbsp;

Et twitter est quand même l’outil majeur de Trump pour orienter l’opinion/désarçonner ses opposants en mettant en évidence ce qui le fait briller (le compte twitter de trump est rempli en permanence de messages positifs (à comparer avec le compte twitter de notre président, purement dénigré à chaque twitt).

Mais disons que dans quelques jours, Trump va twitter un gros truc qui ne déclenchera pas de fact check ou autre et cela appuiera d’autant plus ce twitt. Ou alors il va demander un fact checking sur des twitts de Obama, Biden ou un autre opposant en soulignant qu’on le dénigre. Bref, il tournera cela à son avantage de toutes façon tout en écrasant twitter qui doit maintenant être “a bad social network”, tout comme les journalistes qui lui posent des questions peuvent devenir de “bad journalists”.&nbsp;


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brice.wernet a écrit :











Raison de plus, jamais Trump ne quittera Trump, il va chouiner 2 jours puis une de ses crises chassera l’autre et il ira chouiner ailleurs.



C’est ce qui s’est passé avec le F35 par exemple ou Boeing avec son Max … bizarrement il ne commente plus le sujet….



Tu lui porte beaucoup trop de stratégie, il se fiche totalement que les autres soient pas fact checké et il ne demandera pas à le faire c’est inutile. L’obamagate c’est la preuve absolu qu’il est hors de toute forme de logique, il se fout des preuves, il se fout des arguments ou même simplement de préciser sa pensée il balance des trucs sans queue ni tête et sa base complotiste y croit. Même si Fox News prouvait qu’il a tort (c’est arrivé quelques fois) il s’en tamponne totalement….

Regarde le Covfefe, sur le net tu as un florilège de compte protrump qui ont trouvé des sens cachés ! Le gars peut poster une photo de chat ses partisans y verrons un message anti système et contre les démocrates (et les démocrates se débrouillerons pour y voir un signe aussi…)



Arrêtons de chercher des raisonnements logiques, il n’y en as pas, c’est un enfant avec une puissance nucléaire.


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Je ne sais pas qui instrumentalise qui. En tout cas, Trump n’est pas si différent de Reagan ou des 2 Bush (père et fils) : l’acteur de cinéma devenu président… le fils à papa alcoolique… Bref, chaque fois qu’un président US plaît à la plèbe, c’est un écervelé, c’est une loque humaine, c’est un débile profond.



Un jour, il faudra qu’en France (et ailleurs), on pense à prendre un peu de hauteur, de distanciation, par rapport à la société US et au rôle exact du PotUS face au Sénat US. Tiens… en France actuellement, on a un PR-poète qui écrit lui-même ses discours… Est-ce que ça fait de lui le plus légitime et le plus crédible face à la crise sanitaire et sociale actuelle ? (vous avez 2 heures et 50 000 caractères)

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Twitter a de son côté rappelé ses règles en la matière





… et Trump va rappeler les siennes.



#popcorn

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D.Trump est un animateur TV et un “fils à papa” avant tout. Et c’est un peu ce qu’on demande à un président aux USA (un homme, ou peut-être un jour une femme, qui représente la Nation américaine et qui impulse un cap à suivre). AMHA la logique n’a rien à voir là-dedans (sauf si en matière diplomatique et institutionnelle, on considère que les procédures sont des logiques).

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Faire du fact checking, quelle audace !

La liberté d’expression, selon le premier amendement, c’est quand même bien de donner la même importance à la vérité et aux mensonges. Et Trump a raison : si on commence à interdire les mensonges, il est clair que ça va le défavoriser.

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Fermer Twitter? Et se priver lui-même de sa principale occupation, puisqu’il y pérore plusieurs heures par jour? Il ne tiendra pas 3 jours <img data-src=" />

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Attention à ne pas sous-estimer les enfants. Penser que Trump est un enfant sans aucune stratégie est une erreur. Trump est un enfant qui use des mêmes stratégies primitives que les enfants en cour de récré : « c’est celui qui dit qui est », « c’est pas moi c’est lui », « même pas vrai d’abord ».



Et, dans le cas qui nous intéresse : « grosse balance je vais te taper ».



Sauf que contrairement à un enfant dans une cour de récré, personne n’a la légitimité « officielle » (du moins à ses yeux) pour le recadrer.



C’est un peu ça qui me fait vraiment peur : une grande partie de la population US voire mondiale est en admiration devant le caïd de la grande cour de récré qu’est notre planète.



Si je peux « entendre », avec beaucoup d’abnégation, qu’on puisse être du même « bord politique » que Trump, il faut quand même avoir moins de 5 ans OU être sacrément demeuré pour trouver la moindre qualité à l’homme lui même.



Mais pourtant, le 28 mai 2020 la fermeture sur un simple coup de tête de Twitter, bien que toujours peu probable, vient de faire son entrée tonitruante sur la place médiatique et vient donc d’entrer par la grande porte dans le « champ des possibles ».



Tout cela est vraiment flippant.

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C’est surtout quelqu’un de très riche avant tout, et qui vend du rêve américain à base de si tu fais des bons choix, tu développes ton business. C’est l’image qu’il vend aux Américains, et c’est pour ça que ça marche. Même si la réalité est toute autre, c’est en effet juste un héritier qui dilapide la fortune amassée par son père avec des investissements plus mauvais les uns que les autres (et qui anime The Apprentice aux US, mais ça c’est plus un à-côté qu’autre chose), mais malgré ça, cette image de succès du rêve américain persiste pour une grande partie de la population.



Il essaye de gérer les États-Unis comme un business, sauf que c’est pas toujours la meilleure approche, et en plus il est mauvais en business, mais ça marche auprès de ses fans.

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Je pensais exactement à ça. <img data-src=" />

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Un peu comme les points presse!

“bouh je suis vexé vous êtes méchants avec moi, plus de point presse!”



Le lendemain:

“bon on recommence les points presse, mais vous êtes sympa hein? ” <img data-src=" />

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127.0.0.1 a écrit :



… et Trump va rappeler les siennes.



#popcorn





1er amendement de la constitution.

Trump pourra faire ce qu’il veut il n’aura pas gain de cause.


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trumpisme [n. m.] \trʌmpism\ : maladie mentale émergente (circa 2015) apparentée à une névrose profonde et frappant particulièrement certaines milieux dits ou supposés professionnels. Par ex. le journalisme servile est durement touché, et, par effet miroir, son lectorat suiveur.



Caractérisée par la répétition de comportement aberrant parfois abusif, et par son mode de propagation imitant une infection biologique.



Aucun traitement curatif [voir ce terme] connu. Des méthodes cathartiques simples telles que l’abandon des centres de formatage collectifs (aussi nommés “réseaux sociaux”) ou l’évitement des individus déjà affectés et/ou irrécupérables ont été proposées comme palliatifs (niveau d’évidences faible). Thérapie de groupe à proscrire (niveau d’évidences élevé).



Recourir à un professionnel ou consulter son psychanalyste en cas de suspicion.

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carbier a écrit :



1er amendement de la constitution.

Trump pourra faire ce qu’il veut il n’aura pas gain de cause.







Sauf qu’il ne veut pas gagner la cause. Il veut gagner les élections.



La réaction de twitter lui a permis de jouer sa partition habituelle sur les méchants média qui spolient le peuple de son droit inaliénable à connaitre la vérité, bla bla bla… Et s’il prend une décision qui est annulée, il jouera son autre partition habituelle sur le méchant establishment qui empêche le président de faire ce que le peuple réclame, bla bla bla…



C’est compliqué de combattre le populisme avec un discours de raison.


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Obama plaisait et pourtant y’avait pas pire comme POTUS. Trump donne une image négative, sans doute, mais à minima il ne commence pas de nouvelle guerre (pour l’instant) comme ses prédécesseurs.

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Pour parler de la news, je trouve honteux qu’une entreprise privé décide de ce qui est vrai ou faux. Que ce soit Twitter, Facebook, etc., ce n’est pas leur rôle de “censurer”. Et là, en s’attaquant à un POTUS, c’est faire preuve d’une profonde bêtise car les réactions risquent d’être énormes. Il vote qui encore le CEO de Twitter ? ;-)

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tmtisfree a écrit :



trumpisme [n. m.] \trʌmpism\ : maladie mentale émergente (circa 2015) apparentée à une névrose profonde et frappant particulièrement certaines milieux dits ou supposés professionnels. Par ex. le journalisme servile est durement touché, et, par effet miroir, son lectorat suiveur.



Caractérisée par la répétition de comportement aberrant parfois abusif, et par son mode de propagation imitant une infection biologique.



Aucun traitement curatif [voir ce terme] connu. Des méthodes cathartiques simples telles que l’abandon des centres de formatage collectifs (aussi nommés “réseaux sociaux”) ou l’évitement des individus déjà affectés et/ou irrécupérables ont été proposées comme palliatifs (niveau d’évidences faible). Thérapie de groupe à proscrire (niveau d’évidences élevé).



Recourir à un professionnel ou consulter son psychanalyste en cas de suspicion.





<img data-src=" />



Nb : Par contre à la fin il faut remplacer “psychanalyste” par “psychiatre”, un psychanalyste est un charlatan qui applique les méthodes de Freud qui sont pourries jusqu’à la moelle (et n’est pas médecin).

C’est la même différence entre un médicament et l’homéopathie, en gros.


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2nd

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