OVH nous parle stratégie, changements à sa tête, « confiance », Supermicro et… vGAFAM
C'est Kaa qu'il fallait embaucher !
Notre dossier sur l'OVH Summit 2018 :
Le 18 octobre 2018 à 15h45
9 min
Économie
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OVH veut atteindre le milliard d'euros de chiffre d'affaires d'ici trois ans. Pour cela l'hébergeur opte pour une stratégie d''internationalisation, de « confiance » et de nouveaux directeurs. Octave Klaba évoque aussi son initiative vGAFAM, destinée à trouver « le modèle pour faire grandir les entreprises en Europe ».
La réorganisation d'OVH va bien au-delà du regroupement de ses services dans quatre univers, qui n'est que la partie visible de l'iceberg. Des changements en profondeur ont aussi eu lieu dans l'organigramme. Le plus emblématique (et récent) est sans aucun doute l'arrivée de Michel Paulin comme directeur général.
Sa mission : « continuer et accélérer la croissance d’OVH, en gardant son ADN », explique l'ancien directeur général délégué de SFR. Si Octave Klaba reste président du conseil d'administration et doit donc donner le cap, l'entreprise familiale a quand même bien changé avec l'arrivée d'une fournée de directeurs et autres conseillers.
- OVH Summit 2018 : quatre univers, smart cloud, Tesla V100 , AMD, migration VMWare à chaud
- OVH nous parle stratégie, changements de directeur général, « confiance », Supermicro et... vGAFAM
Octave Klaba délègue et se concentre sur la stratégie
En janvier 2018, Alain Fiocco, devenait directeur technique, poste qu'il occupait auparavant chez Cisco (où il est resté 22 ans). Quatre mois plus tôt, en septembre 2017, Xavier Perret (ancien vice-président d'Orange) devenait directeur de la transformation digitale.
Désormais, Octave Klaba n'est plus « que » président du conseil d'administration, alors qu'il cumulait les casquettes jusqu'à récemment. Depuis août 2017, il dispose même d'un conseiller spécial (désormais directeur de cabinet) : Grégoire Kopp, ancien porte-parole d'Uber en France et ex-avocat chez UFC-Que Choisir. Rappelons qu'OVH a grandi de plus d'un millier d'employés en un an, pour un total de 2 300.
Nous avons pu discuter de la stratégie d'OVH avec certains des nouveaux dirigeants. Octave Klaba a évoqué son nouvel objectif : « s'imposer comme un acteur de confiance » auprès des grandes entreprises qui, cèderaient trop souvent aux sirènes du cloud des géants du Net. Néanmoins, « plus d’une centaine de clients parmi les grandes entreprises françaises » sont chez OVH, avec des acteurs comme Auchan, Airbus, Alcatel Lucent et la Société générale.
Les recrutements récents avec des personnes connues et reconnues dans leur domaine vont évidemment dans ce sens, mais « il reste encore du travail », concède le fondateur du premier hébergeur français.
Direction générale : valse à trois avec Laurent Allard, Octave Klaba, Michel Paulin
Historiquement, Octave Klaba tenait fermement les rênes en tant que président directeur général et directeur technique. Laurent Allard est arrivé en février 2015 pour prendre le poste de directeur général et s'occuper des opérations.
À l'époque, « l'objectif était de nous aider à lever des fonds, de structurer OVH et de commencer la construction de douze nouveaux datacenters » se souvient Octave Klaba. Mission accomplie en octobre 2016 avec 250 millions d'euros levés auprès des fonds KKR et Towerbrook.
Deux ans après son arrivée, rebondissement en mars 2017 : Laurent Allard changeait de poste pour devenir vice-président du conseil d'administration, tandis qu'Octave Klaba récupérait sa casquette de directeur général. « À cause des complexités légales des différents conseils d'administration aux États-Unis, c'est devenu très compliqué, j'ai dû revenir aux opérations pour structurer », nous explique-t-il.
Il y a quelques semaines Michel Paulin était nommé directeur général d'OVH, le troisième en moins de deux ans, tandis que Laurent Allard quittait la société. Désormais, le fondateur et président du conseil nous assure qu'il ne s'occupe plus que de la stratégie, sans aucune autre casquette. Il ajoute que cette nouvelle organisation est faite pour durer.
« C'est l'idée » du moins « on a la configuration qui nous permettra de dépasser un milliard d'euros de chiffre d'affaires et d'avoir de nouveaux datacenters ». Le conseil d'administration d'OVH comprend toujours des membres de la famille Klaba, un représentant pour chacun des fonds KKR et Towerbrook, le directeur général (Michel Paulin) ainsi que le directeur financier (Nicolas Boyer). Hier, Octave Klaba nous affirmait toujours détenir 80 % de la société.
OVH en quête d'une image et de « confiance » auprès des professionnels
Ce changement important à la tête de l'hébergeur cache une autre réalité que l'on devine dans les discours : la quête d'une image de marque, que les anciens directeurs d'Orange, de Cisco et de SFR doivent apporter.
Le but de l'opération ? « Pour pousser des entreprises à stocker toutes leurs données les plus importantes dans des serveurs qui ne sont pas les leurs, il faut qu'elles aient confiance » résume le fondateur. Ce dernier espérait pendant un temps que les investissements de 250 millions d'euros permettraient de changer les mentalités, mais ce n'est visiblement pas suffisant.
En plus des directeurs, d'autres pistes sont à l'étude comme de nouvelles levées de fonds et, pourquoi pas, une introduction en bourse « s'il faut en arriver là ». Pour le financement, « toutes les options sont sur la table ». Sauf une : OVH n'est toujours pas à vendre. C'est d'ailleurs « la seule certitude » lâche son conseiller spécial.
Reste qu'un trio d'éléments cruciaux doivent aussi être travaillés : le support, le service et l'interface client. Malgré les efforts récents en la matière, ce sont toujours des éléments qui reviennent lorsque l'on évoque la société. Elle va donc sans doute devoir continuer d'investir sur ces points afin de voir petits et grands comptes lui accorder leur confiance.
Investissements et revenus en progression
Les investissements d'OVH sont d'environ 300 millions d'euros en 2018, et la société pense atteindre un total de 1,5 milliard d'euros sur la période 2016 à 2020. Pour les cinq années suivantes, Octave Klaba estime (à vue de nez) que le montant pourrait être de quatre et sept milliards d'euros, mais le plan d'action reste encore à définir.
Cette année, OVH devrait faire plus de 600 millions d'euros de chiffre d'affaires, avec la barrière du milliard d'euros d'ici trois ans environ. Pour le moment, le groupe affiche une croissance de 20 %. Elle est « en dessous de la croissance du marché mondial, car l’Europe croît moins vite que l’Amérique du Nord » se justifie Octave Klaba.
Nous devrons tout de même nous en tenir à ces déclarations, la société ne publiant pas ses comptes, comme tant d'autres.
Le lancement des offres aux États-Unis l'année prochaine devrait permettre d'augmenter significativement les revenus : « le datacenter est terminé, on est en train de préparer la production des serveurs. On va entrer sur le marché avec des prix attractifs », affirme Octave Klaba.
Quid de l'affaire Supermicro et d'HubiC ?
Une des particularités – les responsables parlent d'une « force » – d'OVH est d'assembler en interne ses composants, dans un centre à Croix dans les Hauts-de-France (avec une capacité de 400 000 serveurs par an) et un autre aux États-Unis.
Les composants (cartes mères, CPU, GPU, HDD, SSD, etc.) proviennent de plusieurs fournisseurs... dont Supermicro. La question de la présence d'une puce-espionne a évidemment été soulevée. « Nous avons passé beaucoup de temps sur l’histoire Supermicro, mais nous n’avons rien trouvé », assure Octave Klaba. « Nous ne pouvons pas dire que cette histoire est vraie ou non, mais nous pouvons dire que nous ne sommes pas concernés » ajoute-t-il,
Il rappelle que la société dispose d'outils de détection de fuites d'information depuis son réseau. Une ligne de défense déjà adoptée par Apple, qui déclare aussi n'avoir trouvé aucune puce-espionne, ni détecté d'échange suspect d'informations. La surveillance des activités réseau est une mesure d'hygiène classique pour de telles sociétés.
Supermicro et Amazon sont également sur cette ligne, tandis que Bloomberg campe sur la sienne en mettant en avant ses 17 sources de plusieurs entreprises. Depuis, nos confrères affirment avoir récupéré de nouvelles preuves sur un autre serveur altéré, chez un opérateur américain.
Concernant HubiC, Xavier Perret répète qu'il n'est pas « prévu de couper » le service pour le moment. Il ajoute par contre qu'OVH se focalise sur les professionnels et que la société « n'a pas vocation à avoir des offres grand public ». « On est vraiment B2B », nous lance même un autre responsable de la marque.
One more thing : Octave Klaba présente vGAFAM
Nous avons enfin eu droit à la présentation (succincte) d'un projet d'Octave Klaba aux contours encore vagues : vGAFAM. L'idée serait de permettre à des directeurs/fondateurs de sociétés européennes (exclusivement) de discuter entre eux.
Il n'est pas question d'un quelconque financement ou de faire du lobbying, mais d'échanger sur leurs stratégies pour atteindre et dépasser des paliers : 10, 100, 500, 1000 millions. « Tu fais dix millions d'euros de CA, comment faire un milliard ? Est-ce qu'il y a une méthode, une procédure, un écosystème ? », se demande le fondateur d'OVH.
« Il faut que ça se fasse entre les entrepreneurs, ce n'est pas politique ou de la communication. On va travailler ensemble », lâche Octave Klaba. Il veut ainsi chercher une réponse à une vaste question : « Quel est le modèle pour faire grandir les entreprises en Europe ? », pour peu qu'il en existe un. Avec l'espoir de créer des groupes européens capables de rivaliser avec les géants du Net américains et asiatiques.
« Ce qui manque, c’est un écosystème où nous pouvons coopérer », en s'appuyant sur les valeurs de l'Europe et misant sur la confiance (le nouveau dada d'Octave Klaba). C'est dans cette idée que vGAFAM, ou « GAFAM virtuels » s'inscrit.
Le dirigeant veut démarrer son projet avec une dizaine de sociétés « de 200 à 300 millions d’euros de chiffre d’affaires pour ensuite en réunir jusqu’à un millier » d'entreprises. La coopération pourrait porter sur « l’innovation, la formation, la recherche de talents, l’international ou encore le développement de la croissance ».
Nous n'en saurons pas davantage pour le moment.
Le 18 octobre 2018 à 15h45
OVH nous parle stratégie, changements à sa tête, « confiance », Supermicro et… vGAFAM
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Octave Klaba délègue et se concentre sur la stratégie
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Direction générale : valse à trois avec Laurent Allard, Octave Klaba, Michel Paulin
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OVH en quête d'une image et de « confiance » auprès des professionnels
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Investissements et revenus en progression
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Quid de l'affaire Supermicro et d'HubiC ?
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One more thing : Octave Klaba présente vGAFAM
Commentaires (29)
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Abonnez-vousLe 18/10/2018 à 17h07
#1
Il est clairement intéressant de capter quelques gros clients. Toutefois, j’ai l’impression que l’essentiel des clients d’OVH sont des TPE, avec d’innombrables indépendants qui font le lien entre OVH et leur client. Ou bien alors il y a une très forte surreprésentativité de tels profils sur les mailing lists et les forums (ce qui est fort probable).
Comme j’ai l’habitude de le dire, rien que maîtriser l’interface d’administration d’OVH, dite “le Manager”, est un métier à part entière.
Le 18/10/2018 à 18h18
#2
Le 18/10/2018 à 19h02
#3
la première marque de défiance pour tout investisseur qui se respecte un tant soit peu concerne l’absence de publication des comptes de la société.
Comment espèrent-ils gagner une quelconque confiance sans ça ? Ça me paraît totalement aberrant.
Le 18/10/2018 à 20h28
#4
Ce n’est pas parce que t’es comptes ne sont pas publics qu’ils ne sont pas accessibles à tes investisseurs ;)
Le 18/10/2018 à 21h13
#5
Le 18/10/2018 à 22h38
#6
Le 19/10/2018 à 01h58
#7
ils ont perdu beaucoup de confiance (la mienne en premier) quand ils ont forcé le renouvellement de personne n’ayant meme pas accepter leur nouvelle condition.
Personnelement je ne leur ferais plus confiance et passerais tous mon temps a leur faire mauvaisse presse, on volle les gens puis on mise sur la confiance la bonne blague.
Le 19/10/2018 à 04h22
#8
Tu as l’obligation de publier, mais pas que ce soit public ;)
Le 19/10/2018 à 05h28
#9
Le 19/10/2018 à 06h19
#10
Le 19/10/2018 à 06h39
#11
S’entourer de dirigeants venant de chez SFR, c’est pas le meilleur moyen de susciter la confiance chez les clients 😄
Le 19/10/2018 à 06h52
#12
« Concernant HubiC, […] OVH se focalise sur les professionnels et que la société « n’a pas vocation à avoir des offres grand public ». « On est vraiment B2B », nous lance même un autre responsable de la marque. »
Au moins c’est clair. Au revoir HubiC :-(
Cela-dit, je plains les TPE et auto-entrepreneurs qui utilisent les services de OVH, car visiblement OVH s’intéresse prioritairement au marché “BB2BB” (Big business to big business) : SocGé, Mulliez-Auchan, etc et autres jeunes pousses, licornes, etc. Bref, le changement sans changer “d’ADN”.
Le 19/10/2018 à 07h13
#13
Ce serait le cas ils auraient viré OVHSpirit de l’offre. Après sur le fond, ils veulent se développer sur les grosses boites et sur le service là où il y a des marchés intéressants à prendre, avec du personnel dédié.
C’est forcément autre chose d’adresser ces marchés que de se battre pour du mutualisé à 100 balles par an avec des utilisateurs qui gueulent au support dès qu’ils galèrent avec un module PHP " /> Mais je pense qu’ils ont conscience que les deux sont nécessaires.
Aux clients aussi de comprendre que le pas cher à ses limites (ce qui est à l’origine de pas mal de soucis d’OVH à travers le temps je pense). Après on verra comment ça évolue maintenant que les principales briques sont en place à tous les niveaux. Si le service n’est pas là, ils ne feront pas le poids, et ils en sont assez conscients amha
Le 19/10/2018 à 08h17
#14
Le 19/10/2018 à 08h34
#15
Le 19/10/2018 à 09h22
#16
OVH pour moi c’est bien sur certains services (Serveurs dédiés), mais sur d’autres moins (téléphonie très moyenne, et SAV très rarement joignable au téléphone, et au bout d’un paquet de jours par ticket incident ; et idem sur panne de connexion xDSL).
Honnêtement j’ai rarement vu un SAV si lent voire mauvais, mais encore une fois c’est mon avis personnel (dont avec mes clients) et n’est pas forcément généralisable sur tous les services.
Le 19/10/2018 à 10h48
#17
Ca dépend quoi chez sfr, pour les mnvo (B2B) c’est l’interlocuteur principal par ex. et ça fonctionne.
Tout dépend de ce que faisait la personne avant chez sfr.
Le 19/10/2018 à 11h09
#18
Oui enfin ça fait plus d’un an que “Hubic” est dans un coma artificiel, la “non fermeture” c’est une vaste fumisterie. C’est jute que ça coute moins cher de faire fuir les clients petit à petit plutôt que fermer le service.
En tout cas niveau perso et pro, OVH c’est terminé pour moi depuis cette histoire.
Le 19/10/2018 à 11h14
#19
Sacré résumé :)
Content que le soldat OVH va bien, cependant si ils pouvaient recruter des profils UX pour leur manager, support client, le milliard en chiffre d’affaires il l’aurait dépasser depuis longtemps.
Que de chemin parcouru en tout cas, bravo à Octave et toutes équipes (on parle souvent des dirigeants, mais il ne faut pas oublier tous les employés).
Le 19/10/2018 à 12h53
#20
Il y a pCloud qui fait du bon taff, société suisse.
Le 19/10/2018 à 13h02
#21
Comme d’hab, c’est toujours une histoire d’expérience.
En 2012 j’avais commandé une offre ADSL chez OVH. Gros soucis au début, rien ne fonctionne, je signale à OVH. 3 jours plus tard, j’avais un technicien chez moi. Le soir même c’était réglé.
Je suis client OVH depuis 15 ans (ADSL, VOIP, mutualisé, dédié, public cloud). De manière générale, je n’ai pas grand chose à reprocher au SAV d’OVH (si ce n’est un délai d’attente pour discuter avec quelqu’un un peu trop long parfois, mais bon ça c’est quelque chose qu’il faut accepter pour le prix).
La seule chose que j’ai retenu, c’est qu’il ne faut JAMAIS utiliser des produits fraichement lancés chez OVH :)
Le 19/10/2018 à 14h15
#22
j’avais regardé.
je sais plus les raisons exactes pour lesquelles je n’ai pas pris, mais il me semble que le zero-knowledge était payant, et qu’ils ne précisent pas la localisation des serveurs. la boîte peut très bien être suisse et avoir des serveurs aux US.
Le 19/10/2018 à 14h22
#23
Le 19/10/2018 à 14h22
#24
OVH, pour les pros ? faut arrêter de rigoler ! Même avec un abonnement au Service Client VIP - il faut parfois plus de 20 minutes pour qu’un conseiller réponde au téléphone !!
(bon, par contre, les conseillers, eux, sont plutôt compétents. Mais ils sont clairement en sous effectif !)
D’ailleurs, ça ne manque pas : leur petit questionnaire qualité à l’issue de l’appel ne trompe pas. La seule question qui fâche : comment estimez-vous le temps d’attente sur votre service client, n’est bien sur pas posé.
Le 19/10/2018 à 18h09
#25
Le 20/10/2018 à 07h58
#26
Le 20/10/2018 à 20h16
#27
Le 21/10/2018 à 23h26
#28
Mais 1h d’attente à la hotline ce n’est pas normal… j’ai souvent eu 1h et même parfois jamais (1h15, j’ai arrêté, la musique ne s’arrête pas, et aucun temps d’attente n’est jamais annoncé).
Le 22/10/2018 à 07h25
#29
Justement, là il ne sont pas déposés… donc ils ne risque pas d’être publics. En tout état de cause, s’ils les déposaient, m’est avis que la société serait certainement au dessus des seuils pour ce qui est de la confidentialité.