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Exposition aux ondes (DAS) : l’ANSES alerte et veut changer les règles

Das qui peut

Exposition aux ondes (DAS) : l'ANSES alerte et veut changer les règles

Lire notre dossier sur le #PhoneGate, le DAS et la publication des rapports de l'ANFR :

Le 22 octobre 2019 à 15h20

L'ANSES vient de publier un épais rapport sur les « effets sanitaires éventuels liés aux valeurs élevées de DAS de téléphones mobiles portés près du corps ». L'Agence émet des recommandations, souhaite que les mesures se fassent désormais au contact (0 mm) et appelle à la prudence face à l'utilisation des smartphones.

Avant d'entrer dans le vif du sujet, un rappel important sur le débit d'absorption spécifique, ou DAS. Le ministère des Affaires sociales et de la Santé explique qu'il « représente le débit avec lequel l’énergie produite par un équipement, par exemple un téléphone mobile, est absorbée par unité de masse du tissu du corps ou plus concrètement la quantité d’énergie absorbée par l’organisme sous forme de chaleur par unité de temps. Le DAS est mesuré sur l’ensemble du corps ou sur une de ses parties et s’exprime en watts par kilogramme (W/kg) ».

DAS : en 2016, la directive « RED » vient mettre un peu d'ordre

En France, l'Agence nationale des fréquences (ANFR) prélève dans le commerce des smartphones afin de vérifier qu'ils respectent bien la législation en vigueur. Le DAS maximum est de 2 W/kg pour la tête et le tronc, comme défini dans la directive 1999/5/CE du Parlement européen et du Conseil du 9 mars 1999.

Mais il existait un certain flottement avec cette directive : les constructeurs pouvaient choisir une distance allant de 0 à 25 mm pour leurs mesures. Or, plus un appareil est proche du sujet, plus le DAS est important. Un smartphone mesuré à 25 mm peut donc être en dessous de la limite réglementaire, mais passer au-dessus à 5, 10 ou 15 mm. Bien évidemment, les constructeurs en profitaient parfois pour effectuer leurs mesures à la plus grande distance possible.

En 2016, un changement important est arrivé avec la directive RED afin de mettre un peu d'ordre et de cohérence : la distance réglementaire était fixée à 5 mm pour le DAS tronc. Résultat, des smartphones anciennement conformes pouvaient ne plus l'être. Commercialisés avant son entrée en vigueur, ils n'étaient donc pas inquiétés. Nous ne reviendrons pas en détail sur ce sujet, déjà largement abordé dans notre triptyque sur le DAS.

Existe-t-il un danger avec des smartphones mis en vente avant 2017 ?

C'est dans ce contexte que l'Agence nationale de sécurité sanitaire de l'alimentation, de l'environnement et du travail (ANSES) a été saisie par la Direction générale de la prévention des risques (DGPR) et la Direction générale de la santé (DGS) d'une « demande d’appui scientifique et technique relative à la caractérisation de l’exposition réelle des populations aux émissions des équipements radioélectriques utilisés près du corps et relative au développement d’un indicateur d’exposition ». 

En clair, il est demandé à l'Agence de vérifier si les valeurs de DAS dépassant les 2 W/kg relevées par l’Agence nationale des fréquences (ANFR) dans ses mesures de 2012 à 2016 « sont susceptibles de provoquer des effets sanitaires, en distinguant les populations adultes et enfants ». Pour justifier cette séparation, l'ANSES explique que ces derniers « peuvent être plus exposés que les adultes, en raison de leurs spécificités morphologiques et anatomiques et de la nature des tissus ».

DAS Smartphone ANFR
« Hall of Fame » des DAS mesurés par l'ANFR

Au nom du principe de précaution, l'ANSES répond par l'affirmative, détaille ses raisons et formule des recommandations. Elle milite également pour réduire la distance des mesures de 5 à 0 mm afin de mieux coller à l'usage des téléphones aujourd'hui. 

Système nerveux, fonctions cognitives : des « éléments de preuve limités »

Pour mener à bien son enquête, l'ANSES s'est appuyée sur ses précédents travaux, mais aussi sur les différentes études scientifiques publiées jusqu'en novembre 2018 ; le rapport du National Toxicology Program (NTP) de novembre 2018 a bien été pris en compte. L'Agence s'est notamment basée sur les résultats provisoires de février 2018, car, « seuls les niveaux de preuve de la cancérogénicité des radiofréquences ont été revus, les résultats des études n’ont pas changé » dans la version finale.

L'ANSES rappelle que, jusqu'à présent, « le seul effet sur la santé de l’exposition aux radiofréquences considérée comme avéré par l’ICNIRP [International Commission on Non-Ionizing Radiation Protection, ndlr] est l’échauffement des tissus ».  Pour des expositions inférieures aux valeurs limites, ce phénomène « est limité grâce aux capacités de thermorégulation de l’organisme ».

Par contre, avec des expositions de longues durées et des intensités suffisamment élevées, « l’énergie apportée par les radiofréquences peut produire une augmentation de température des tissus exposés suffisamment importante pour dépasser les capacités de thermorégulation de l’organisme et perturber ainsi son fonctionnement ». C'est ce phénomène qui entraine des risques sanitaires. 

Premier résultat mis en avant par l'ANSES (via une transposition sur l'homme d'une étude animal) : « l’exposition de l’être humain au repos, pendant environ 30 min, à un DAS corps entier entre 1 et 4 W/kg, aboutirait à une augmentation de la température du corps inférieure à 1 °C, ne dépassant ainsi pas les capacités de thermorégulation de l’organisme ». Par contre, une exposition à plus de 4 W/kg « peut conduire à des effets délétères liés à l’échauffement des tissus ».

L'ANSES classe ensuite les risques en trois familles : effets sur le système nerveux et les fonctions cognitives, effets cancérogènes et les autres effets. Elle propose à chaque fois des conclusions détaillées se basant sur la littérature disponible. L'Agence a identifié au maximum des cas de données expérimentales rapportant « des éléments de preuve limités pour conclure à l’existence d'effet de l’exposition à des radiofréquences de DAS supérieurs à 2 W/kg », et uniquement dans la partie système nerveux et fonctions cognitives :

  • « la modification de l’activité synaptique ou la plasticité cérébrale (3 études sur 3 [rat])
  • les maladies neurodégénératives (amélioration des performances cognitives et de plusieurs marqueurs de la maladie dans un modèle de souris transgénique) (3 études sur 3 [souris] d’une même équipe) ;
  • l’activité électrique cérébrale se traduisant par une modulation du signal EEG in vivo ou des enregistrements électrophysiologiques in vitro pendant ou juste après l’exposition (2 études sur 2 [rat ou souris]). »

C'est le terme le plus fort utilisé par l'ANSES, qui ne parle pas de risques avérés ou d'éléments de preuve plus tangibles par exemple. Dans les autres cas, « les études ne permettent pas de conclure à l’existence ou non d’un effet » sur l'organisme, ou au contraire « fournissent des éléments de preuve en faveur d’une absence d’effet ». Enfin, « les données sont inexistantes » sur certains domaines, empêchant donc de formuler toute hypothèse, dans un sens comme dans l'autre.

Par exemple, sur la maladie d’Alzheimer (la seule neurodégénérative dans les études), « les résultats des 3 études expérimentales in vivo (souris transgéniques porteuses de cinq mutations humaines) convergent vers la mise en évidence d’un effet bénéfique des radiofréquences pour un DAS de 5 ou 6 W/kg après une exposition chronique de 8 mois ». Par contre, les données sont trop peu nombreuses sur les systèmes auditif et visuel pour arriver à un début de conclusion.

Quid des autres effets, notamment cancérogènes ?

Passons ensuite aux deux autres familles de risques, en commençant par les « effets cancérogènes » : « L’analyse des 21 études s’intéressant à l’effet génotoxique potentiel des radiofréquences (modification chimique de l’ADN, cassures, anomalies chromosomiques ou encore induction de mutations) a rapporté une majorité d’études qui ne mettent pas en évidence d’effet pour des DAS allant de 0,4 à 33,2 W/kg ». Par contre, « 5 études in vitro ont rapporté une augmentation des lésions de l’ADN ou des anomalies chromosomiques pour des DAS de 3 ou 4 W/kg et non pour des DAS plus faibles, suggérant un possible effet dose-dépendant ».

8 études in vitro sur 10 avec des DAS allant de 3 à 200 W/kg (soit 100 fois la limite réglementaire) s’accordent sur « la possibilité des radiofréquences à potentialiser les dommages à l’ADN induits dans divers types de cellules (humaines, de souris ou de hamster) par des agents mutagènes chimiques ou physique (UVA) connus ».

Enfin, avec des expositions durant la phase de développement in utero ou de manière précoce lors du développement et se poursuivant durant le reste de la vie, « les résultats des deux études recensées sont discordants ». Une ne rapporte pas d'effet, quand l'autre a « montré une augmentation significative de l’incidence des schwannomes cardiaques chez le rat mâle ». Dans ce genre de situation, l'ANSES ne peut en tirer aucune conclusion.

Enchaînons avec les autres effets non cancérogènes. Les analyses ont « mis en évidence des résultats contradictoires in vitro sur différents types de cellules humaines ou animales (10 études ne rapportant pas d’effet et 9 rapportant un effet délétère) ». Par contre, chez l’animal juvénile, « un effet potentiel ne peut être exclu : la seule étude recensée fait état de variation d’expression génique ou d’abondance protéique in vivo dans le cerveau ».  Une étude n'est par contre pas suffisante pour en tirer des conclusions. 

L'ANSES indique ensuite que « des effets sur le système reproducteur mâle ont été observés in vitro, mais pas in vivo chez le rat ». Aucune étude ne porte sur la souris mâle, tandis que chez la femelle deux études donnent des résultats discordants. Bref, là encore c'est assez flou.

Effets sanitaires potentiels d'une exposition à plus de 2 W/kg

L'Agence explique que plusieurs études ont analysé les conséquences d'une exposition à différents niveaux de DAS, notamment inférieurs et supérieurs à 2 W/kg. Le protocole étant le même, cela permet de juger de l'incidence du DAS sur les résultats. L'Agence rappelle aussi que « certaines études considérant des DAS inférieurs à 2 W/kg ont rapporté des effets biologiques ».

Dans le cas présent, « la majorité de ces études ne rapporte pas de différence d’effet entre un DAS inférieur et supérieur à 2 W/kg. Ceci est le cas pour les études in vitro (de 0,1 à 10 W/kg) et pour les études in vivo qui ne mettent pas en évidence d’effet » sur plusieurs points : 

  • la barrière hématoencéphalique (6 études sur 7)
  • le nombre, la morphologie et la mort cellulaire des neurones (1 étude sur 2)
  • la plasticité cérébrale et le calcium (2 études sur 4)
  • l’abondance de protéines de choc thermique et l’autophagie (2 études sur 2)
  • le système immunitaire (3 études sur 3)
  • les effets génotoxiques (2 études sur 2)
  • le développement de tumeurs in vivo (5 études sur 7)

Par contre, « plusieurs études in vivo rapportent des effets dépendants des DAS et mettent en évidence des effets apparaissant spécifiquement à partir de niveaux d’exposition supérieurs à 2 W/kg », notamment :

  • la neuroinflammation (3 études sur 6)
  • la mémoire (4 études sur 6)
  • l’expression de gènes et l’abondance de protéines (6 études sur 14).

L'ANSES relativise : « Il faut toutefois noter que les niveaux d’exposition les plus élevés mis en œuvre dans les études analysées ne sont probablement pas rencontrés lors de l’utilisation des téléphones mobiles disponibles sur le marché, et que les utilisateurs n’y sont donc pas exposés ».

En effet, lors de l'utilisation d'un téléphone, le DAS dépend fortement des conditions de réception/émission et du réseau utilisé (2G, 3G ou 4G).  Ainsi, la valeur de DAS mesurée en laboratoire (comme dans les tests de l'ANFR) « représente un "pire cas" d’exposition, qui ne devrait en pratique jamais être atteint ». De plus, chez l'animal (comme dans les études), il s'agit d'exposition au corps entier, ce qui ne se produit pas avec l'humain.

Conclusion, recommandations et résumé de l'ANSES

En se basant sur ses précédentes analyses et les études récentes, l'ANSES émet trois recommandations : 

  • Que le DAS tronc normatif des téléphones mobiles soit mesuré avec l’appareil au contact du corps, à une distance de 0 mm, afin de représenter une situation maximisante, mais réaliste de l’exposition.
  • Dans une approche de précaution, de ne plus exposer les utilisateurs de téléphones mobiles à des appareils dont le DAS mesuré près du corps (DAS tronc mesuré au contact, à 0 mm) dépasse 2 W/kg.
  • Étendre ces recommandations à l’ensemble des appareils émettant des radiofréquences (tablettes, jouets, etc.) et susceptibles d’être utilisés au contact du corps.

Pour résumer, l'ANSES rappelle « avec des éléments de preuve limités, des effets biologiques, en particulier sur l’activité cérébrale liés à des expositions supérieures à 2 W/kg ». Pour le reste, « les données disponibles ne permettent par ailleurs pas de conclure à l’existence ou non d’un effet sur les autres fonctions biologiques étudiées ».

Cela ne signifie pas que le risque dans ces derniers cas soit nul, simplement que les données ne permettent pas d'en tirer la moindre conclusion. Soit car les études donnent des résultats contradictoires, soit car la marge d'incertitude est trop grande, soit, enfin, car aucune étude ne s'est intéressée sérieusement à ce sujet. 

Période de « flottement » jusqu'au 12 juin 2017...

La seconde recommandation de l'ANSES concerne un grand nombre de personnes et mérite de s'y attarder.

En effet, dans l’Union européenne, « les responsables de la mise sur le marché des téléphones mobiles doivent constituer un dossier permettant de prouver qu’ils satisfont aux exigences essentielles définies par les directives de l’UE en vigueur ». Les constructeurs font réaliser « des mesures de DAS local normatif » par des laboratoires accrédités, qui doivent donc être inférieurs à la limite en vigueur (2 W/kg).

Jusqu'au 13 juin 2016 – et potentiellement jusqu'au 12 juin 2017 puisque les deux directives R&TTE et RED étaient alors applicables – des smartphones étaient commercialisés avec une limite de 2 W/kg dont la mesure pouvait être réalisée à une distance de 25 mm maximum. Or, comme l'ont montré les analyses de l'ANFR, une majorité des téléphones présentait alors un DAS tronc au contact du corps supérieur à 2 W/kg. 

ANSES exposition onde ANSES exposition onde

...plus de 200 smartphones dépassaient la limite de 2 W/kg

Ainsi, entre le 1er janvier 2012 et le 31 décembre 2016, 272 téléphones ont été testés au contact (0 mm) et 137 à une distance de 5 mm. Dans le premier cas, « la valeur médiane du DAS tronc maximal variait de 2,0 W/kg pour l’année 2012 à 3,0 W/kg pour l’année 2013 et restait supérieure à 2,5 W/kg pour les années suivantes ; le DAS maximal mesuré était de 7,42 W/kg » pour le Polaroid Pro 881A.  Il détient toujours le record et il est suivi par les Huawei 4X et HTC One SV également à plus de 7 W/kg.

Sur cet échantillon de 272 smartphones, le DAS tronc était supérieur à 2 W/kg pour 206 d'entre eux (76 %). « Hormis pour l’année 2012, plus de la moitié des téléphones mobiles testés ont été évalués avec une valeur de DAS maximal au contact supérieur à 2 W/kg ». Si l'on s'éloigne de 5 mm la situation s'améliore, sans être dans les clous pour autant : « sur les 137 téléphones testés à 5 mm, 18 présentaient des valeurs de DAS tronc supérieur à 2 W/kg et le DAS maximal mesuré était de 3,65 W/kg ».

Depuis le 25 avril 2016, les mesures du DAS doivent se faire à 5 mm de distance, mais des téléphones contrôlés en 2017 avec une date de certification antérieure au 25 avril 2016 restaient sous l'ancien régime. Sur les 69 smartphones de 2017, trois ont été testés à 10 mm, cinq à 15 mm et un à 25 mm. 

Cette fois-ci, les valeurs sont bien inférieures à celles des années précédentes : « Sur les 69 téléphones testés, la valeur médiane du DAS tronc était de 1,23 W/kg et sept téléphones dépassaient la limite de 2 W/kg. La valeur maximale mesurée était de 2,5 W/kg ». En cas de dépassement, les fabricants ont la possibilité de mettre à jour le smartphone ou de le retirer de la vente. Faute de réponse, l'ANFR peut aussi passer la seconde et demander un arrêté de retrait. 

L'ANSES recommande la prudence sur les smartphones concernés

Le problème pour l'ANSES c'est qu'avec une durée moyenne d’usage de quelques années (3 - 5 ans) « un certain nombre de ces téléphones sont vraisemblablement toujours utilisés aujourd’hui », alors qu'ils ne pourraient plus être commercialisés aujourd'hui.

De plus, combiné avec « l’évolution des pratiques qui conduit à une part croissante d’utilisation proche du corps (distance très faible voire nulle entre l’appareil et le corps) » et « des incertitudes sur différents effets sanitaires à long terme », l’Agence recommande de prendre des mesures pour que les utilisateurs concernés ne soient plus exposés à des DAS dépassant 2 W/kg.

L'Agence n'y va pas par quatre chemins et considère qu'il faudrait prendre les mêmes mesures que pour les fabricants dépassant la limite dans le cadre de la nouvelle réglementation avec une mise à jour logicielle ou un rappel des téléphones en circulation. « Dans l’attente de la mise en place de telles mesures, l’Agence invite les utilisateurs de ces appareils à se conformer aux prescriptions d’utilisation (distance d’éloignement) mentionnées par les fabricants dans les notices, lorsqu’ils sont placés à proximité du tronc ». 

La limite des analyses en laboratoires

Enfin, un mot sur la méthodologie. « L’exposition humaine à un téléphone mobile est relativement localisée, à l’endroit du corps près duquel le téléphone est positionné : près de la tête, des membres, et dans le contexte de cette expertise au niveau du tronc. Plusieurs organes peuvent ainsi être potentiellement exposés, en plus de la peau : le cœur, le système digestif, l’appareil reproducteur, etc », détaille l'ANSES. Or, les études sur des rongeurs ne sont généralement pas aussi fines, car l'exposition est globale.

Se pose alors la question de la pertinence des études. « En effet, les effets sanitaires potentiellement observés peuvent résulter 1) d’une augmentation de la température corporelle globale des animaux et 2) de l’exposition ciblée de différents organes voire de l’exposition de l’ensemble des organes, incluant le cerveau. De fait, il est impossible de différencier l’une ou l’autre cause ». Ce n'est pas tout :  « Il est ainsi important de noter que les expositions expérimentales de l’animal sont assez éloignées de la situation d’utilisation du téléphone mobile chez l’humain ».

Commentaires (56)

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Nozalys a écrit :



J’avais des questions au sujet de l’article que je m’apprêtait à poser ici … et puis j’ai commencé à lire les commentaires. Ya des jours ou vous être relous franchement. Pourtant c’est pas vendredi !

Vous faites * parfois bordel à vous tirer dans les pattes… Faites-vous des bécots qu’on en finisse. Tout est stérile ici, ya que du combat d’égo. <img data-src=" />





Il y a quelques arguments intéressants quand même… Et je ne parle pas de mes commentaires que je ne me permettrais pas de juger car je suis forcément d’accord avec moi-même, et aussi parce que je reconnais des approximations ou des expressions qui peuvent faire défaut à la compréhension par autrui.


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Bon, j’allais faire de l’humour sur le fait de m’être mis à chercher mon téléphone dans la liste donnée, tout joyeux à l’idée de l’y voir… avant de réaliser qu’il s’agissait d’un Hall of Shame (et d’y voir mon précédent smartphone).





…mais la conversation m’a l’air d’être partie beaucoup trop dans le sérieux autours d’informations que l’on ne possède pas pour que je me le permette. <img data-src=" />



Donc… je sors juste mes pop-corns.

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Nozalys a écrit :



J’avais des questions au sujet de l’article que je m’apprêtait à poser ici … et puis j’ai commencé à lire les commentaires. Ya des jours ou vous être relous franchement. Pourtant c’est pas vendredi !

Vous faites * parfois bordel à vous tirer dans les pattes… Faites-vous des bécots qu’on en finisse. Tout est stérile ici, ya que du combat d’égo. <img data-src=" />





C’est pareil partout : les cadres de références sont différents pour chacun, les niveaux connaissances (ou leur absence) sont variables, les préjugés sont omniprésents, la désinformation rampante, la propagande globale, les sophistes partout et les biais cognitifs largement partagés mais ignorés. Plus quelques idiots, ignares et incultes qui amusent la galerie pour satisfaire leur égo.



Si tu veux obtenir des débuts de réponses sur des problématiques compliquées, le mieux est de t’informer et de te faire une opinion par toi-même. Mais si tu espères trouver des réponses simples et définitives, elles seront probablement fausses.


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tmtisfree a écrit :



C’est pareil partout : les cadres de références sont différents pour chacun, les niveaux connaissances (ou leur absence) sont variables, les préjugés sont omniprésents, la désinformation rampante, la propagande globale, les sophistes partout et les biais cognitifs largement partagés mais ignorés. Plus quelques idiots, ignares et incultes qui amusent la galerie pour satisfaire leur égo.



Si tu veux obtenir des débuts de réponses sur des problématiques compliquées, le mieux est de t’informer et de te faire une opinion par toi-même. Mais si tu espères trouver des réponses simples et définitives, elles seront probablement fausses.







A ce demander pourquoi tu continues à commenter ici… A moins de t’inclure sciemment dans ta propre description (ce qui serait pas si incohérent…).



Bonne journée, Condescendance/20.


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Encore faut-il surveiller.



Je ne dis pas que il y a un problème.

Je dis que s’il y a un problème (pas forcément des cancers!!!), il n’est pas forcément repéré comme causé par les ondes du téléphone.

(pense simplement à l’époque ou tout le monde pensait que boire de l’alcool pouvait être bon pour la santé. Attention aux certitudes sans preuve.)

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fred42 a écrit :



Et les bursts d’émissions pour se signaler au réseau étaient la plupart du temps toutes les 2 ou 3 heures (c’est réseau dépendant) si l’on ne bougeait pas ou lors d’un changement de cellule. Et ce dernier point, ça n’a pas vraiment changé.







Ouais mais ça, c’était dans une zone dense… dès que tu sortais un peu de la ville, c’était très différent (et tu pouvais parfois vider ta batterie en &lt;1j à cause de ça)


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tmtisfree a écrit :



Voilà ce qui nous tuera tous en définitive.





A ce propos on recherche des cobayes humains peut regardant pour nos études.

Vu que le principe de précaution t’indiffère (et te semble même dangereux), serais-tu volontaire ?













tmtisfree a écrit :



C’est (en partie et) de moins en moins vrai. Comme l’ont montré des recherches ultérieures, les UV ont aussi des effets bénéfiques directs sur l’organisme et l’absence ou la moindre exposition au Soleil de larges effets négatifs, contrairement au “consensus” habituellement avancé par les croyants (ou désinformés)…







Ohlala, le grand n’importe quoi des sources (pour les 3 premières) et de l’interprétation (pour la dernière) !

Épargne nous tes analyses raz les pâquerettes façon “charlatanisme”, merci <img data-src=" />

&nbsp;



L’exposition au soleil est comme chaque chose : une question de quantité.

Passer

son temps à cramer au soleil sans protection est clairement dangereux

pour la santé (les yeux et le derme vieillissent prématurément et le

risque de cancer explose).

&nbsp;

Passer son temps dans le noir est

également très mauvais (rien que pour la production de la vitamine D,

stimulée par l’exposition à la lumière. Si le niveau est trop faible on

se retrouve avec une importante fragilisation des os et une

dégénérescence des muscles).



Évidemment ce genre de perturbation est encore plus marquée chez les enfants (qui son en plein développement et donc bien plus sensibles aux perturbations sur le long court).


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dematbreizh a écrit :



Encore faut-il surveiller.







Mais on surveille ! On a même plusieurs agences pour ça !

Et tous les pays occidentaux ont des agences de surveillance à la fois pour les cancers et pour les technos mobiles

Y’a eu aussi des masses d’études et certaines à très grande échelle (comme “interphone”).

Franchement, si il y avait eu le moindre truc à trouver, ça ferait un bail qu’on le saurait…







dematbreizh a écrit :



Je ne dis pas que il y a un problème.

Je dis que s’il y a un problème (pas forcément des cancers!!!), il n’est pas forcément repéré comme causé par les ondes du téléphone.







Mais si… Vu comme la téléphonie mobile est présente et largement déployée, si y’avait le moindre problème alors ça ne pourrait pas passer inaperçu. C’est totalement impossible.



Mais qu’on soit clair, aujourd’hui, il n’y a plus vraiment personne de sérieux qui ose dire que les technos mobiles représentent un danger pour la vie humaine, ni même un risque de maladie. Aujourd’hui, on en est à se poser la question de peut-être si ça peut éventuellement produire une gêne dans certaines conditions d’utilisation…







dematbreizh a écrit :



(pense simplement à l’époque ou tout le monde pensait que boire de l’alcool pouvait être bon pour la santé. Attention aux certitudes sans preuve.)







Non, la Science a toujours su et dit que l’alcool n’était pas bon à la santé (depuis que la Science est réellement de la Science, soit 150-200 ans environ et à partir du moment où on a étudié la chose, soit à partir du début 20e environ).

Mais y’a eu une époque où la publicité mensongère n’était pas punie (ou très peu) et l’industrie du vin s’est faite plaisir…



En fait, en matière sanitaire, il ne faut pas confondre ce que dit la Science, de ce qu’en croit comprendre la presse généraliste, de ce que disent les industries, de ce que disent les politiques… et de ce que la culture populaire en retient par la suite.

Ce sont des paroles très différentes et cette confusion mène parfois à des scandales totalement imaginaires (genre l’histoire du nuage de Tchernobyl), des “recommandations” contradictoires (comme les légendes disant qu’il ne faut pas manger plus de 2 oeufs par semaine ou un coup le café est bon, un coup il est pas bon, etc ) ou des scandales uniquement politiques mais pas scientifiques (comme l’amiante) voire à une absence de décision absurde (comme pour la clope…)


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Ces recommandations sont un peu ridicules.



Plein d’autres équipements ou comportement provoquent plus de 2W/Kg de tissus en contact (un ordinateur portable, une casserole pour un cuisinier, une position assise trop longue (vie de bureau, chauffeur, passager en transport), n’importe quel sport). Le corps est parfaitement adapté à réguler ce flux de chaleur vraiment faible de manière localisé (c’est cool d’être un gros mammifère), et le problème des études sur les animaux, c’est qu’elles ne peuvent pas être bien extrapolées à l’humain.



Je suis pour le principe de précaution, mais la limite de 2W/kg à 5mm est déjà un principe de précaution avec un facteur 10x de mémoire.



Surtout, je ne suis pas sûr que “0mm” soit représentatif des usages actuels (coque de protection, utilisation des mains plus que de la tête).



A mon avis, il y a un plus gros travail à faire sur l’addiction lié à l’utilisation du Smartphone, au phénomène d’enfermement que cela peut créer etc. que renforcer des normes qui peuvent in fine couter chers à la société sans s’attaquer au réel problème.

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OlivierJ a écrit :



Pensée basique du commentateur de canapé, mais quand on compare avec d’autres nuisances (tabac, alcool, UV, alimentation déséquilibrée, etc. où ça s’est vite vu et où on sait expliquer pourquoi) : si les mobiles créaient de réels problèmes de santé publique, ça se verrait dans les statistiques depuis le temps, vu que quasiment tout le monde en utilise depuis près de 20 ans.





On disait pareil il y a 10 et 15 ans. Je ne m’attends à aucune révélation sur le sujet à l’avenir, surtout qu’on ne saurait toujours pas expliquer comment l’usage d’un mobile (du fait de son émission radio-électrique) pourrait avoir un effet délétère sur nos cellules.

Pour les sceptiques : les UV ont un effet délétère et on sait pourquoi, il s’agit de rayonnements ionisants.







Oui comme pour la vache folle par exemple <img data-src=" />

26ans pour se rendre compte qu’elle était transmissible à l’homme et que le temps d’incubation pouvait varier de quelques années à plusieurs dizaines d’années (les conséquences de la crise de la vache folle ne font donc que commencer).



Nous ne connaissons également aucun cas de toxicité lié à une exposition chronique (pesticides, amiante, radioactivité, goudrons, phénols, lalisteestroplonguepourêtreinscriteici…)

Ce sont des légendes bien sur <img data-src=" />





Qu’on ne sache pas ça n’est pas grave, dans ce cas on demande, on se renseigne.



En revanche on s’abstient de raconter des âneries de la sorte. Âneries qui participent à la mise en danger des personnes les plus influençables !





&nbsp;

Ps : tout le monde n’utilise pas un smartphone depuis 1999, loin de là.




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Norde a écrit :



<img data-src=" />



<img data-src=" />





Ps : tout le monde n’utilise pas un smartphone depuis 1999, loin de là.




  • 34% de la population en 1999 :

    http://theses.univ-lyon2.fr/documents/lyon2/2007/renaud_l#p=70&q=Les+don…







    Je n’ai pas commenté ta première partie qui n’est qu’un troll sans référence comme les smileys que j’ai laissé l’indiquaient.



    Par contre, 34 % de la population, c’est bien suffisant pour détecter des problèmes et c’est même mieux que 100 % pour faire des comparaisons entre utilisateurs et non utilisateurs.


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the_cat a écrit :



Je suis un peu paumé…

[…]

Comment je peux savoir quel est la vraie valeur DAS tronc par mon téléphone (en version 2017 donc) ?





Je parie mon PEL que tu peux t’en ficher complètement, car ça n’a aucune importance concrète.







joma74fr a écrit :



Tu n’as pas écrit le contraire mais tu n’as pas apporté la nuance non plus.





tmtisnuts et la nuance, c’est incompatible. Le ton doit toujours être tranchant et traiter l’essentiel de l’humanité d’idiots (explicitement ou implicitement).







KP2 a écrit :



Sur une population, les cancers ne se mettent pas à poper soudainement au bout de 40ans… il y’a une distribution dans le temps qui permet d’estimer en moins de 5-10 ans ce que ça va donner plus tard.

Le mobile, ça fait + de 20 ans que ça existe et que c’est utilisé largement. Et avant ça, y’avait les réseaux militaires et la TV analogique.

Si y’avait le moindre problème sanitaire, on le saurait depuis des décennies…





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KP2 a écrit :



Au contraire, y’avait pratiquement aucune limite a l’époque avec une réglementation très laxiste…

Les mobiles devaient rester connectés à une antenne et ils émettaient très régulièrement et parfois à des niveaux de puissance qu’on ne voit plus aujourd’hui





Oui, je me souviens mon premier qui avait la diode qui s’allumait brièvement chaque fois que le mobile communiquait avec la base (pour se signaler), c’était toutes les 5 à 10 secondes.

Évidemment il s’agit d’un échange bref qui n’empêchait pas le mobile de tenir plusieurs jours sans recharge.







fred42 a écrit :



Et les bursts d’émissions pour se signaler au réseau étaient la plupart du temps toutes les 2 ou 3 heures (c’est réseau dépendant) si l’on ne bougeait pas ou lors d’un changement de cellule. Et ce dernier point, ça n’a pas vraiment changé.





T’es sûr de ça, ton 2 ou 3 h ? (on parle bien de la 2G)







dematbreizh a écrit :



C’est pas faux, mais ce rapport apporte du neuf… convernant les maladies neurodégénératives, les effets peuvent être déjà là sans que l’on ai fait le lien!

Je pense que si effet”visible” il y a, il s’agit plutôt de différents problèmes, peu nombreux dans la population et pouvant être mis sur le compte d’autres facteurs.





Quand tu sais par exemple qu’on attribue au manque d’activité physique je ne sais combien de maladies et morts prématurées, tu te dis que le mobile, si jamais on trouve un effet (et on n’arrête pas de chercher depuis 15-20 ans), ça va être peanuts.


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fred42 a écrit :



Je n’ai pas commenté ta première partie qui n’est qu’un troll sans référence comme les smileys que j’ai laissé l’indiquaient.



Par contre, 34 % de la population, c’est bien suffisant pour détecter des problèmes et c’est même mieux que 100 % pour faire des comparaisons entre utilisateurs et non utilisateurs.





Malheureusement, dans la vraie vie, les causes d’un phénomènes sont multifactorielles. Je ne vois pas comment un problème peut être détecté par un échantillon d’une population sans étude spécifique de la relation de chaque cause qui provoque chaque conséquence. Les seules statistiques de la vraie vie qu’on ait concernent le nombre de malades à travers le temps auquel on peut supposer une influence plus ou moins directe de différents facteurs ou événements touchant une partie non-négligeable de la population générale.



Pour ma part, je veux bien qu’on dise qu’il n’y a pas de preuve de nocivité. Mais traiter de troll une personne qui dit justement qu’il n’y a pas de preuve d’innocuité, si ce n’est pas un biais de raisonnement, c’est une conviction toute personnelle.









KP2 a écrit :



[…]

Franchement, si il y avait eu le moindre truc à trouver, ça ferait un bail qu’on le saurait…







Mais si… Vu comme la téléphonie mobile est présente et largement déployée, si y’avait le moindre problème alors ça ne pourrait pas passer inaperçu. C’est totalement impossible.



Mais qu’on soit clair, aujourd’hui, il n’y a plus vraiment personne de sérieux qui ose dire que les technos mobiles représentent un danger pour la vie humaine, ni même un risque de maladie. Aujourd’hui, on en est à se poser la question de peut-être si ça peut éventuellement produire une gêne dans certaines conditions d’utilisation…

[…]





Justement, d’après l’ANSES, il n’y a pas de preuve d’innocuité prouvée de l’usage des terminaux mobiles.



Qu’on ne trouve pas de problème, c’est rassurant, sans plus. Il faut affirmer des choses qu’on est capable de prouver, surtout si on faut l’éloge de la science (qu’il ne faut pas confondre avec ce que disent les néophytes qui blablatent sans maîtriser véritablement leur sujet).


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joma74fr a écrit :



Justement, d’après l’ANSES, il n’y a pas de preuve d’innocuité prouvée de l’usage des terminaux mobiles.







On ne prouvera JAMAIS l’absence de danger. C’est impossible.

On obtiendra toujours, au mieux, un “nous n’avons pas de preuve montrant un risque quelconque”. C’est comme ça.



Mais bon, faut pas oublier qu’au vu de notre niveau technologique et scientifique, rien qu’au niveau épidémiologique, on est parfaitement capable de déceler un problème dans une population même si il est très faible. Et même si on ne comprends pas ce phénomène. Et même si on ne l’explique pas.

Genre, on en est au point où on sait évaluer le niveau de responsabilité des patates dans les états dépressifs… Alors bon, pour les interactions physiques d’ondes électromagnétiques, voilà quoi, on maitrise hein.



Donc, quand on est raisonnable, on se dit que si on trouve rien, ça veut dire qu’il n’y a tout simplement rien à trouver. Un scientifique n’ira pas conclure de cette façon de lui-même car la rigueur scientifique l’en empêche (bien que certains le font quand même) mais les responsables politiques, l’administration et la société civile dans son ensemble peuvent faire cette mini entorse à la rigueur pour avancer et définir un cadre réglementaire. Mais on reste tout de même vigilant sur les nouvelles avancées…



Bref, faut arrêter de psychoter.


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joma74fr a écrit :



Tu n’as pas écrit le contraire mais tu n’as pas apporté la nuance non plus.





J’ai mis a jour de manière informée le commentaire sans nuance du commentateur de canapé auquel je répondais, ce qui est bien suffisant.


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OlivierJ a écrit :



T’es sûr de ça, ton 2 ou 3 h ? (on parle bien de la 2G)







Oui, quand on ne changeait pas de cellule, comme je l’ai précisé. C’est (était ?) un paramètre dans la SIM. C’est quand on est déjà attaché à une cellule.







joma74fr a écrit :



Pour ma part, je veux bien qu’on dise qu’il n’y a pas de preuve de nocivité. Mais traiter de troll une personne qui dit justement qu’il n’y a pas de preuve d’innocuité, si ce n’est pas un biais de raisonnement, c’est une conviction toute personnelle.







C’est lui qui a indiqué par les smileys que j’ai laissé dans ma citation qu’il trollait.



Et chercher la preuve que quelque chose ne fait pas de mal, c’est bien troller en science. On constate des effets, pas des non effets.





Justement, d’après l’ANSES, il n’y a pas de preuve d’innocuité prouvée de l’usage des terminaux mobiles.



Qu’on ne trouve pas de problème, c’est rassurant, sans plus. Il faut affirmer des choses qu’on est capable de prouver, surtout si on faut l’éloge de la science (qu’il ne faut pas confondre avec ce que disent les néophytes qui blablatent sans maîtriser véritablement leur sujet).





Prouve moi que boire de l’eau n’est pas mauvais pour la santé. C’est plus difficile que de prouver que boire de l’alcool est mauvais pour la santé.


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Norde a écrit :



A ce propos on recherche des cobayes humains peut regardant pour nos études.

Vu que le principe de précaution t’indiffère (et te semble même dangereux), serais-tu volontaire ?





Incohérent, il ne m’indiffère pas puisque j’ai commenté dessus.









Norde a écrit :



Ohlala, le grand n’importe quoi des sources (pour les 3 premières) et de l’interprétation (pour la dernière) !

Épargne nous tes analyses raz les pâquerettes façon “charlatanisme”, merci <img data-src=" />





0 argument. Épargne-moi les sophismes dignes de la maternelle. Voilà ma réponse au même niveau : tu dois être payé par l’industrie des écrans solaires.

 







Norde a écrit :



L’exposition au soleil est comme chaque chose : une question de quantité.

Passer son temps à cramer au soleil sans protection est clairement dangereux

pour la santé (les yeux et le derme vieillissent prématurément et le

risque de cancer explose).





Mythes. Contrairement aux autres facteurs de risques (âges, couleur de peau etc.), il n’existe pas de relation dose-dépendance entre UV et cancers :

Conversely, the ultraviolet index of the state of residence at birth, at age 15 years, and at age 30 years was not associated with increased risk of MMIS (malignant melanoma in situ).





Ce n’est pas pour dire que les UV n’ont pas d’effets biologiques sur la peau, seulement que la relation (causale) entre UV et mélanomes ou autres cancers n’est pas établie.


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KP2 a écrit :



[…]

Bref, faut arrêter de psychoter.





J’ai lu l’article de Next inpact ci-dessus. Et sans “psychoter”. Si l’ANSES dit qu’il y a besoin de tests complémentaires, et qu’il y a besoin de rester vigilant sur d’éventuels conséquences néfastes

à l’utilisation des terminaux mobiles, je ne vais pas prendre en compte des commentaires qui disent qu’on ne trouve rien parce qu’il n’y a rien à trouver (affirmation totalement gratuite).



Bref, j’ai dit ce que j’avais à dire.









KP2 a écrit :



[…] Mais on reste tout de même vigilant sur les nouvelles avancées…

[…]





la science avance, là dessus on est d’accord. Et pendant ce temps, on utilisera quand même son mobile en attendant d’en savoir.


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fred42 a écrit :



[…]

Et chercher la preuve que quelque chose ne fait pas de mal, c’est bien troller en science. On constate des effets, pas des non effets.





Prouve moi que boire de l’eau n’est pas mauvais pour la santé. C’est plus difficile que de prouver que boire de l’alcool est mauvais pour la santé.





Ok, je me comprends tout seul. Je vais le dire autrement : comme indiqué par l’ANSES, on fait des tests pour mesurer les phénomènes produits, pour en mesurer les causes et les conséquences. Tout dépend le but de l’étude : l’ANSES souhaite voir où se situent les risques, donc on cherche tant qu’on ne trouve pas. Si on part de l’hypothèse (qui n’est pas un fait) qu’il n’y a rien à voir, alors évidemment on ne voit rien.





Pour l’exemple de l’eau, c’est marrant de me présenter une conclusion sous-jacente toute trouvée (l’eau ne serait pas néfaste) et de me demander de le prouver alors que, par ailleurs, je n’ai aucune compétence en biologie ou en médecine. Il faudrait au moins me fournir un contexte, des quantités absorbées, une composition. Évidemment que l’eau potable n’est pas nocive (on le prouve avec des analyses). On ne peut pas en dire autant avec l’eau pure ou avec l’eau infestée de bactéries (des expérimentations dans la vie réelle le prouvent encore aujourd’hui, en Afrique notamment).


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KP2 a écrit :



Mais on surveille ! On a même plusieurs agences pour ça !

Et tous les pays occidentaux ont des agences de surveillance à la fois pour les cancers et pour les technos mobiles

Y’a eu aussi des masses d’études et certaines à très grande échelle (comme “interphone”).

Franchement, si il y avait eu le moindre truc à trouver, ça ferait un bail qu’on le saurait…



Mais si… Vu comme la téléphonie mobile est présente et largement déployée, si y’avait le moindre problème alors ça ne pourrait pas passer inaperçu. C’est totalement impossible.





<img data-src=" />

Merci de le rappeler (on le fait à chaque fois ici je pense).



D’ailleurs, on trouverait un effet nocif de l’utilisation des mobiles (du fait des émissions radio), je me demande ce qu’on ferait ; on serait bien emmerdé :-) .









KP2 a écrit :



Non, la Science a toujours su et dit que l’alcool n’était pas bon à la santé (depuis que la Science est réellement de la Science, soit 150-200 ans environ et à partir du moment où on a étudié la chose, soit à partir du début 20e environ).





En tous cas, Zola était au courant, avec son roman l’Assommoir :-) .







KP2 a écrit :



En fait, en matière sanitaire, il ne faut pas confondre ce que dit la Science, de ce qu’en croit comprendre la presse généraliste, de ce que disent les industries, de ce que disent les politiques… et de ce que la culture populaire en retient par la suite.





<img data-src=" /> <img data-src=" />

<img data-src=" />







Norde a écrit :



Oui comme pour la vache folle par exemple <img data-src=" />





T’as bien fait de mettre le symbole troll (y compris pour la suite avec les supposées “légendes”). Mais même pour plaisanter, je n’aime pas, certains le croient vraiment.







Norde a écrit :



En revanche on s’abstient de raconter des âneries de la sorte. Âneries qui participent à la mise en danger des personnes les plus influençables !





Tu parles de quelles âneries au juste ?


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KP2 a écrit :



Bref, faut arrêter de psychoter.





Quand tu vois le nombre de gens qui continuent à fumer, et comme le mobile est devenu indispensable à tant de gens (voire une addiction, et je me mets dedans concernant la consultation dessus), j’ai tendance à penser qu’on n’arriverait même pas à détourner les gens de l’usage de leur mobile si on trouvait quelque chose (qui serait forcément bien léger par rapport au tabac).


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joma74fr a écrit :



Tout dépend le but de l’étude : l’ANSES souhaite voir où se situent les risques, donc on cherche tant qu’on ne trouve pas. Si on part de l’hypothèse (qui n’est pas un fait) qu’il n’y a rien à voir, alors évidemment on ne voit rien.





L’hypothèse nulle (ou pas d’effet), c’est la base de la méthode scientifique. Elle n’indique et n’implique en rien les conclusions futures.



En plus des nombreux facteurs, comme tu l’as écrit plus haut, qui existent dans tout système complexe et qui rendent difficiles à appréhender causalement leurs inter-relations, les méthodes d’analyse, d’évaluation et de jugement des études empiriques ne sont pas encore homogènes dans le monde. Par exemple dans le cas de cet article, la méthode est celle développée par l’ANSES. A-t-elle fait l’objet d’une évaluation scientifique ? Comment est-on sûr qu’elle ne sous- ou surévalue pas la pertinence ou les autres critères pris en compte pour analyser l’état de la recherche ? Impossible à savoir.


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fred42 a écrit :



Je n’ai pas commenté ta première partie qui n’est qu’un troll sans référence comme les smileys que j’ai laissé l’indiquaient.





C’est vrai que ce serait dommage de relever des informations pertinentes ;)

Cela pourra changer ses idées fausses préconçues et ça non, jamais !



Quand on en est à nier l’existence de la toxicité chronique c’est qu’on est dans le déni le plus total.



&nbsp;

&nbsp;

Tiens voilà quelques sources “très difficile à trouver” et “totalement méconnues du grand public” :





  • La vache folle :fr.wikipedia.org Wikipediafr.wikipedia.org Wikipedia

  • L’exposition chronique au cadmium :fr.wikipedia.org Wikipedia

  • A l’amiante (responsable du mésothéliome) :http://www.inrs.fr/risques/cancers-professionnels/effets-sante.html



  • L’exposition chronique à la radioactivité (tellement peu connue et fantaisiste qu’un programme entier lui est dédié par l’institut national de sureté nucléaire) :https://www.irsn.fr/FR/Larecherche/Organisation/Programmes/ENVIRHOM/Pages/Progra…



    Et un dernier totalement inconnu <img data-src=" />, l’intoxication chronique au plomb (avec ses effets qui n’affectent pas du tout les enfants, comme tout le monde le sait. Le saturnisme étant bien entendu une vaste blague) :solidarites-sante.gouv.fr République Française&nbsp;







    fred42 a écrit :



    Par contre, 34 % de la population, c’est bien suffisant pour détecter

    des problèmes et c’est même mieux que 100 % pour faire des comparaisons

    entre utilisateurs et non utilisateurs.&nbsp;



    &nbsp;&nbsp;

    Ah carrément mieux que 100 % !

    Une comparaison selon la tranche d’age, le taux d’exposition, la fréquence d’exposition ?

    &nbsp;

    Et non, aucune donnée n’est disponible la dessus. On peut juste comparer une population exposée (à différent degré) d’une population non exposée, le tout masqué par tout un tas d’autres facteurs de toxicité (tabagisme, alcoolisme par exemple, bien plus fréquents à cette époque) rencontré dans leur existence.



    En science on appelle ça de la spéculation. Du vent en somme, puisqu’il est impossible de déterminer quel facteur est responsable d’éventuelles pathologies.

    De plus les jeunes populations (les plus sensibles), ne possédaient pas de téléphone portable à cette époque.



    &nbsp;

    Ce n’est pas pour rien que les études sur les exposition chroniques prennent du temps.

    Les effets peuvent plus ou moins discret et se manifestent sur le long terme.



    &nbsp;

    Vous confondez la toxicité aiguë (très facile à détecter) et celle chronique qui n’est détectable que sur le long/très long terme et se manifeste par une surmortalité de la population concernée.


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tmtisfree a écrit :



Mythes. Contrairement aux autres facteurs de risques (âges, couleur de peau etc.), il n’existe pas de relation dose-dépendance entre UV et cancers :



Ce n’est pas pour dire que les UV n’ont pas d’effets biologiques sur la peau, seulement que la relation (causale) entre UV et mélanomes ou autres cancers n’est pas établie.





Est-ce que tu as au moins lu l’article que tu cite ?

Car il indique exactement le contraire de ce que tu affirme.

&nbsp;

Alors à moins qu’un code secret soit inscrit dans l’article et que tu sois le seul capable de le lire, il est évident que tu mens <img data-src=" />













tmtisfree a écrit :



Incohérent, il ne m’indiffère pas puisque j’ai commenté dessus.






0 argument. Épargne-moi les sophismes dignes de la maternelle. Voilà ma    



réponse au même niveau : tu dois être payé par l’industrie des écrans

solaires.





&nbsp;

D’accord, c’est bien.

&nbsp;

Tu devrai cependant penser à relire (ou lire) la définition de sophisme.

C’est exactement ce que tu emploie dans la plupart de tes messages (et dont tu viens de faire un flagrant usage ci-dessus).

&nbsp;

En revanche cela n’a rien à voir avec mon message que tu cite <img data-src=" />







Je pense que globalement tu ne connais pas grand chose et ne maitrise rien du tout.

Tu te drape dans un semblant de compétence en noyant tes interventions dans du sensationnalisme, disséminant des sources fallacieuses en espérant convaincre les moins regardant.



Nul doute que si tu as passé un doctorat (comme tu l’as déjà prétendu plusieurs fois), la qualité et le contenu de ton manuscrit devait être transcendante !


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OlivierJ a écrit :



T’as bien fait de mettre le symbole troll (y compris pour la suite avec les supposées “légendes”). Mais même pour plaisanter, je n’aime pas, certains le croient vraiment.





Tu parles de quelles âneries au juste ?





2 messages au dessus, tu peux rejoindre fred42.

&nbsp;

Vous formez un club qui anime une chaine complotiste décrivant le montage ayant fait croire que l’homme n’a jamais marché sur la lune ou bien c’est plus grave encore ?


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J’avais des questions au sujet de l’article que je m’apprêtait à poser ici … et puis j’ai commencé à lire les commentaires. Ya des jours ou vous être relous franchement. Pourtant c’est pas vendredi !

Vous faites * parfois bordel à vous tirer dans les pattes… Faites-vous des bécots qu’on en finisse. Tout est stérile ici, ya que du combat d’égo. <img data-src=" />

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Ben en fait on est plusieurs à être assez d’accord, tout va bien.

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Norde a écrit :



Est-ce que tu as au moins lu l’article que tu cite ?

Car il indique exactement le contraire de ce que tu affirme.

 

Alors à moins qu’un code secret soit inscrit dans l’article et que tu sois le seul capable de le lire, il est évident que tu mens <img data-src=" />



Ce n’est pas la première fois qu’il affirme un truc à l’opposé de ce que dit le site qu’il montre. C’est à croire qu’il veut passer pour toujours plus con… <img data-src=" />


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joma74fr a écrit :



Si l’ANSES dit qu’il y a besoin de tests complémentaires, et qu’il y a besoin de rester vigilant sur d’éventuels conséquences néfastes à l’utilisation des terminaux mobiles, je ne vais pas prendre en compte des commentaires qui disent qu’on ne trouve rien parce qu’il n’y a rien à trouver (affirmation totalement gratuite).







Pour ma part, je trouve que l’ANSES a un discours franchement ambigu. Et c’est pas nouveau, ça fait des années que c’est comme ça…

Les mecs ont pleins d’études sous les yeux qui s’accumulent, ils savent que les études ne trouvent rien et ils en arrivent encore à dire “soyons prudents, ça craint quand même”. A croire qu’ils sont noyautés par des anti-ondes mais qu’ils ne peuvent quand même pas crier au loup car il leur reste un minimum d’intégrité avec les éléments qu’ils ont sous la main mais que ça les démange grave.


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Noyautés par des anti-ondes, pas forcément, mais ils ont sûrement une certaine pression sur le sujet.

Quand tu vois qu’il y a des rumeurs comme quoi la 5G serait plus dangereuse que la 4G (une nana m’a sorti ça il y a quelques mois)…

Je regrette qu’ils ne soient pas plus rassurants dans leur communication en tous cas.

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“C’est totalement impossible.”



Tu vas vite en besogne.      






&nbsp;"la Science a toujours su et dit que l'alcool n'était pas bon à la santé"      

Et l'article au dessous nous affirme que les ondes ont des effets néfastes. C'est écrit noir sur blanc. "Des effets biologiques, en particulier sur l’activité cérébrale liés à des expositions supérieures à 2 W/kg "



«&nbsp;l’énergie apportée par les radiofréquences peut produire une

augmentation de température des tissus exposés suffisamment importante

pour dépasser les capacités de thermorégulation de l’organisme et

perturber ainsi son fonctionnement&nbsp;»

Puis adouci d’une simple mise en garde: « des incertitudes sur différents effets sanitaires à long terme »



 des incertitudes, pas la négation d'un possible effet.     



&nbsp;



Mais je n'irai pas plus loin, je ne suis partisan d'aucun camp.
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dematbreizh a écrit :



l’article au dessous nous affirme que les ondes ont des effets néfastes. C’est écrit noir sur blanc. “Des effets biologiques, en particulier sur l’activité cérébrale liés à des expositions supérieures à 2 W/kg ”





Mais concrètement, quels effets biologiques ?







dematbreizh a écrit :



« l’énergie apportée par les radiofréquences peut produire une augmentation de température des tissus exposés suffisamment importante pour dépasser les capacités de thermorégulation de l’organisme et perturber ainsi son fonctionnement »





Le côté thermique, oui, mais 2 W au max… (2 W c’est une lampe de poche) à comparer avec ce qu’on se prend dans la tête en plein soleil, ou devant un feu de bois, ou encore au sauna.


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dematbreizh a écrit :



“C’est totalement impossible.”

Tu vas vite en besogne.



 ”la Science a toujours su et dit que l’alcool n’était pas bon à la santé”

Et l’article au dessous nous affirme que les ondes ont des effets néfastes. C’est écrit noir sur blanc.







Oui bien sur qu’il y des effets néfastes avec certaines ondes ! Tu balances 900W d’ondes électromagnétiques à une fréquence de 2,4GHz dans un enceinte confinée, ça s’appelle un four micro-onde.

Voilà, ça c’est le danger.



Maintenant, pour calculer le risque, il faut mettre cette information en rapport avec d’autres. Et notamment celles des puissances utilisées dans les technos sans-fil, les fréquences utilisées dans le vrai monde et l’exposition réelle des gens…

Et là dessus, y’a que dalle avec les valeurs actuelles :

~100mW max pour le wifi sur les bandes 2,4Ghz et 5GHz

~1W max pour les tel mobiles et ~10W max pour les antennes sur des bandes assez variées 700Mhz, 800Mhz, 900Mhz, 1800Mhz, 2100MHz et 2600MHz.

Pour info : les antennes se trouvent toujours en hauteur et sont inaccessibles pour le badaud. Et la puissance reçue est divisée par le carré de la distance… A 100m d’une antenne, ça fait pas lourd…



Et au final, on se rend compte que c’est comme l’eau : l’eau c’est dangereux en soi car si tu te prends un énorme volume d’eau sur le nez, t’es mort. Genre un tsunami, ça tue. OK.

Mais est-ce que l’eau d’une pluie tue ? est-ce qu’une petite bruine bretonne tue ? est-ce qu’un verre d’eau reçu 1x dans l’année en déconnant avec un pote tue ? est-ce qu’une goutte d’eau tue ?

Est-ce qu’un verre d’eau bu tue ? ça serait même l’inverse pour l’eau car elle est indispensable à notre vie… Ah ! par contre, si tu bois 7 ou 8L d’eau en qq heures, tu peux mourir d’intoxication ! ah mince…







dematbreizh a écrit :



Puis adouci d’une simple mise en garde: « des incertitudes sur différents effets sanitaires à long terme »

des incertitudes, pas la négation d’un possible effet.







Ben ouais parce que les gens qui ont des décisions à rendre détestent quand les potentielles conséquences de ces décisions leur sont reprochées alors ils laissent toujours une petite porte ouverte à l’incertitude pour se couvrir au cas où… Quand on parle de l’humain et surtout dans le monde d’aujourd’hui où n’importe quel cas ultra particulier peut exploser médiatiquement et produire des effets très désagréables sur tout un tas de gens qui ne sont que très vaguement concernés, ils ont raison de chercher à se couvrir.



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Mes excuses, je sais maintenant que tu es un joueur de pipeau qui ne sait pas lire et/ou comprendre une méta-étude en anglais.

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Norde a écrit :



Nul doute que si tu as passé un doctorat (comme tu l’as déjà prétendu plusieurs fois), la qualité et le contenu de ton manuscrit devait être transcendante !





Soutenu avec une dizaine de publications internationales et obtenu avec la mention très honorable et les félicitations du jury (cela existait encore). Un détail qui n’enlève rien à ton incapacité à lire une publication et à d’autres crétins de la confirmer pour satisfaire leur égo.


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OlivierJ a écrit :



Ben en fait on est plusieurs à être assez d’accord, tout va bien.





Tu as ta bande de copains, tu te sens à l’aise ? Plus sérieusement, j’ai jamais vu une raison aussi bête de répondre à quelqu’un qui regrette les batailles d’ego. Change d’avocat ou trouve en un.


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Au nom du principe de précaution



Voilà ce qui nous tuera tous en définitive.

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Pensée basique du commentateur de canapé, mais quand on compare avec d’autres nuisances (tabac, alcool, UV, alimentation déséquilibrée, etc. où ça s’est vite vu et où on sait expliquer pourquoi) : si les mobiles créaient de réels problèmes de santé publique, ça se verrait dans les statistiques depuis le temps, vu que quasiment tout le monde en utilise depuis près de 20 ans.





Pour résumer, l’ANSES rappelle « avec des éléments de preuve limités, des effets biologiques, en particulier sur l’activité cérébrale liés à des expositions supérieures à 2 W/kg ». Pour le reste, « les données disponibles ne permettent par ailleurs pas de conclure à l’existence ou non d’un effet sur les autres fonctions biologiques étudiées ».



On disait pareil il y a 10 et 15 ans. Je ne m’attends à aucune révélation sur le sujet à l’avenir, surtout qu’on ne saurait toujours pas expliquer comment l’usage d’un mobile (du fait de son émission radio-électrique) pourrait avoir un effet délétère sur nos cellules.

Pour les sceptiques : les UV ont un effet délétère et on sait pourquoi, il s’agit de rayonnements ionisants.

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OlivierJ a écrit :



Pour les sceptiques : les UV ont un effet délétère et on sait pourquoi, il s’agit de rayonnements ionisants.





C’est (en partie et) de moins en moins vrai. Comme l’ont montré des recherches ultérieures, les UV ont aussi des effets bénéfiques directs sur l’organisme et l’absence ou la moindre exposition au Soleil de larges effets négatifs, contrairement au “consensus” habituellement avancé par les croyants (ou désinformés)…


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tmtisfree a écrit :



C’est (en partie et) de moins en moins vrai. Comme l’ont montré des recherches ultérieures, les UV ont aussi des effets bénéfiques directs sur l’organisme et l’absence ou la moindre exposition au Soleil de larges effets négatifs, contrairement au “consensus” habituellement avancé par les croyants (ou désinformés)…





Merci pour les liens, j’en parlerais à ma dermatologue. J’ai un rendez-vous de contrôle début novembre (elle me raconte vraiment n’imp’).


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OlivierJ a écrit :



Pensée basique du commentateur de canapé, mais quand on compare avec d’autres nuisances (tabac, alcool, UV, alimentation déséquilibrée, etc. où ça s’est vite vu et où on sait expliquer pourquoi) : si les mobiles créaient de réels problèmes de santé publique, ça se verrait dans les statistiques depuis le temps, vu que quasiment tout le monde en utilise depuis près de 20 ans.





Oui mais non, 20 ans c’est trop court: pour reprendre tes exemples, ce n’est pas 20 ans après le début de la consommation de tabac ou d’alcool que les problèmes apparaissent, mais généralement bien plus tard. Sinon on verrait beaucoup plus de cancéreux de 35-40 ans.


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Cet article est assez indigeste ! Je n’arrive pas à savoir ce qui est important et surtout avéré. J’ai vaguement l’impression que l’ANSES se protège et applique le fameux principe de précaution sans trop de preuves, “mais bon au cas où, il vaut mieux faire attention”…









OlivierJ a écrit :



si les mobiles créaient de réels problèmes de santé publique, ça se verrait dans les statistiques depuis le temps, vu que quasiment tout le monde en utilise depuis près de 20 ans.



.

Les mobiles d’il y a 20 ans et les smartphones d’aujourd’hui sont très différents dans leur utilisation et donc leurs conditions d’émissions radio.



Un mobile d’il y a 20 ans n’émettait quasiment jamais quand il était dans une poche près du corps. Maintenant, je ne dirais pas la même chose puisqu’il peut émettre en data. Il y a peut-être un ordre de grandeur d’écart, mais globalement, ça reste faible par rapport à la durée d’émission quand il est utilisé et donc plus loin du corps.



Ce qui serait vraiment intéressant, c’est d’étudier le temps d’émission d’un smartphone actuel en position “tronc”, j’ai l’impression que ça reste faible et que c’est loin des expériences de labo.


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J’ai fais une partie exprès avec une conclusion et un résumé dans l’actu ;)



En gros, l’Agence note “avec des éléments de preuve limités” (et cette notion est importante) “des effets biologiques, en particulier sur l’activité cérébrale liés à des expositions supérieures à 2 W/kg”.&nbsp;&nbsp;Après, «&nbsp;les données disponibles ne permettent par ailleurs pas de conclure à l’existence ou non d’un effet sur les autres fonctions biologiques étudiées&nbsp;». Ce qui ne signifie pas qu’il n’y a pas d’autres effets, juste que les données ne permettent pas de conclure (comme Jean-Claude Dusse)Il n’y a donc pas d’effets “avérés” pour l’instant, mais aussi pas assez d’expériences et/ou avec une méthodologie suffisante pour tirer ce genre de conclusion. L’ANSES propose malgré tout trois propositions, dont réduire la distance de mesure à 0 mm pour avoir des données plus représentatives d’une utilisation classique. Comme vu précédemment par l’ANFR : des smartphones peuvent être à 7 W/kg au contact, mais à seulement 2 W/kg en s’éloignant de 5 à 25 mm&nbsp;<img data-src=" />&nbsp;&nbsp;

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Merci de ce second résumé. :)



Mais j’ai du mal à comprendre comment une exposition “tronc” peut avoir un effet sur l’activité cérébrale et en quoi ça justifierait de mesurer le DAS tronc à 0 mn alors que le DAS tête est déjà mesuré au contact (donc à 0 mn) et que c’est lui qui est représentatif d’effets possibles sur le cerveau.



J’avais déjà tiqué à la lecture de l’article et le fait que tu cites à nouveau ce point ne fait que renforcer mon incompréhension.

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Ce qui me semble important : je note que l’ANSES est saisie par la Direction générale de la prévention des risques (DGPR) et la Direction générale de la santé (DGS) dont l’objectif (si j’ai bien compris) est de rechercher des preuves d’éventuelles innocuités ou d’éventuelles nocivités dans l’usage des terminaux mobiles.





Comme dit précédemment :





gathor a écrit :



[…] Ce qui ne signifie pas qu’il n’y a pas d’autres effets, juste que les données ne permettent pas de conclure (comme Jean-Claude Dusse)Il n’y a donc pas d’effets “avérés” pour l’instant, mais aussi pas assez d’expériences et/ou avec une méthodologie suffisante pour tirer ce genre de conclusion. […]





Autrement dit, l’innocuité, comme la nuisibilité, n’est pas prouvée : donc, tests complémentaires à réaliser avec des critères plus réalistes, plus précis, et des occurrences plus nombreuses.


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Mais c’est comme tout, le surdosage est dangereux. On peut mourir d’un excès de sucre, de café, d’alcool… Les UV c’est pareil 😉

Le problème des ondes c’est en effet qu’on n’a pas de visibilité sur le long terme d’une exposition faible mais permanente, et à différentes fréquences ; on sait qu’on peut tuer un mouette avec une antenne de porte avion rien qu’en émettant (forte puissance) ou autre toute intervention humaine sur un pylône entraîne l’arrêt des émetteurs, ou encore l’exposition très réglementée des personnels de tarmac devant les radars d’avions gros porteurs qui sont violemment puissants. Ce qu’on ne peut pas quantifier, c’est l’exposition faible et permanente, à différentes fréquences : le corps humain ne réagit pas pareil à 10 kHz, à 400 MHz ou à 2400 MHz (je ne prends pas la dernière fréquence au hasard, on est à la fois sur la gamme Wifi/BT et des fours à micro ondes qui font gigoter les molécules d’eau dont nous sommes aussi un peu constitués…), le tout en faisant bouger la variable de la puissance rayonnée et absorbée… Il faut en plus se souvenir que l’échelle d’absorption suit une courbe logarithmique inversée (si je me souviens bien sinon), ça qui fait un critère en plus, bien expliqué dans l’article, pour essayer de déterminer des risques…

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tmtisfree a écrit :



C’est (en partie et) de moins en moins vrai.



Comment ça, “de moins en moins ” ? Ça fait bien longtemps qu’on sait que c’est l’exposition au soleil qui provoque la fabrication de vitamine D, ce n’est pas vraiment une connaissance nouvelle.

&nbsp;


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Je n’ai pas écrit le contraire. Relis.

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Pour que les expériences sur les souris soient plus concluantes, il faudrait construire des mini smartphones adaptés à leurs petites pattes et des applis de réseaux sociaux qui conduisent aux mêmes types de comportement addictifs&nbsp; pour leurs cerveaux de rongeurs.&nbsp; On me dit que pour les applis c’est déjà ok…

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Argh mon iPhone 5.&nbsp;<img data-src=" />



Ça ne serait pas “hall of shame” finalement ?&nbsp;<img data-src=" />

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Je suis un peu paumé…



Dans la liste on indique que le Huawei P8 Lite aurait un DAS tronc de 5.15.

Problème y’a eu plusieurs version de Huawei P8 Lite, ce que le tableau ne précise pas.



La version 2017 indique un DAS tronc, d’après le constructeur de seulement 0.93.

D’un coté je me dit que la version 2017 devait donc respecter la nouvelle norme de mesure… mais d’après l’article il y a eu une période de cohabitation entre les deux normes jusqu’à mi 2017.



Comment je peux savoir quel est la vraie valeur DAS tronc par mon téléphone (en version 2017 donc) ?

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Tu n’as pas écrit le contraire mais tu n’as pas apporté la nuance non plus.

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loser a écrit :



Oui mais non, 20 ans c’est trop court: pour reprendre tes exemples, ce n’est pas 20 ans après le début de la consommation de tabac ou d’alcool que les problèmes apparaissent, mais généralement bien plus tard. Sinon on verrait beaucoup plus de cancéreux de 35-40 ans.







Sur une population, les cancers ne se mettent pas à poper soudainement au bout de 40ans… il y’a une distribution dans le temps qui permet d’estimer en moins de 5-10 ans ce que ça va donner plus tard.

Le mobile, ça fait + de 20 ans que ça existe et que c’est utilisé largement. Et avant ça, y’avait les réseaux militaires et la TV analogique.

Si y’avait le moindre problème sanitaire, on le saurait depuis des décennies…


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fred42 a écrit :



Les mobiles d’il y a 20 ans et les smartphones d’aujourd’hui sont très différents dans leur utilisation et donc leurs conditions d’émissions radio.



Un mobile d’il y a 20 ans n’émettait quasiment jamais quand il était dans une poche près du corps. Maintenant, je ne dirais pas la même chose puisqu’il peut émettre en data..







Au contraire, y’avait pratiquement aucune limite a l’époque avec une réglementation très laxiste…

Les mobiles devaient rester connectés à une antenne et ils émettaient très régulièrement et parfois à des niveaux de puissance qu’on ne voit plus aujourd’hui


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J’ai bossé 8 ans en R&D téléphonie mobile à cette époque. Les puissances d’émissions étaient déjà limitées à 2 W dans les faits (le réseau est vite devenu assez dense pour cela et cela était nécessaire pour l’autonomie). Et les bursts d’émissions pour se signaler au réseau étaient la plupart du temps toutes les 2 ou 3 heures (c’est réseau dépendant) si l’on ne bougeait pas ou lors d’un changement de cellule. Et ce dernier point, ça n’a pas vraiment changé.



Alors, certes, les mesures de DAS n’existaient pas au début puis ensuite on ne faisait que des mesures têtes, mais c’était cohérent avec les usages.

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C’est pas faux, mais ce rapport apporte du neuf… convernant les maladies neurodégénératives, les effets peuvent être déjà là sans que l’on ai fait le lien!



Je pense que si effet”visible” il y a, il s’agit plutôt de différents problèmes, peu nombreux dans la population et pouvant être mis sur le compte d’autres facteurs.

Exposition aux ondes (DAS) : l’ANSES alerte et veut changer les règles

  • DAS : en 2016, la directive « RED » vient mettre un peu d'ordre

  • Existe-t-il un danger avec des smartphones mis en vente avant 2017 ?

  • Système nerveux, fonctions cognitives : des « éléments de preuve limités »

  • Quid des autres effets, notamment cancérogènes ?

  • Effets sanitaires potentiels d'une exposition à plus de 2 W/kg

  • Conclusion, recommandations et résumé de l'ANSES

  • Période de « flottement » jusqu'au 12 juin 2017...

  • ...plus de 200 smartphones dépassaient la limite de 2 W/kg

  • L'ANSES recommande la prudence sur les smartphones concernés

  • La limite des analyses en laboratoires

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