IBM France supprimera 689 postes en 2013, la CGT dresse un bilan macabre
Weight Watchers
Le 28 mai 2013 à 06h16
3 min
Économie
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Comme annoncé le mois dernier, IBM va de nouveau réduire son personnel dans sa filiale française. 689 personnes sont ainsi concernées pour cette année, et plusieurs centaines devraient suivre en 2014. IBM France devrait compter entre 8 000 et 9 000 employés l'an prochain, contre plus de 32 000 dans les années 1990. Un amaigrissement qui n'est pas prêt de s'arrêter selon la CGT, tant la politique d'IBM tend vers le moins d'employés possible.
IBM France.
Un PSE et une forte mobilité
« Ils ont décidé de supprimer 689 postes d'ici le mois de septembre via un plan de sauvegarde de l'emploi (PSE). À cela s'ajoutent 129 postes soumis à une obligation de mobilité, c'est-à-dire des gens qui sont à Marseille, par exemple, à qui on va demander d'aller à Lille » a déclaré Gérard Chameau, délégué central CFDT, à l'AFP.
La nouvelle a été dévoilée hier lors du Comité Central d'Entreprise (CCE) prévu depuis un moment. Ces suppressions d'emplois ne doivent pas passer dans un premier temps par du licenciement sec. Mais pour les syndicats, les employés ont de grandes chances de refuser les offres proposées par la société. Ce qui pourrait forcer l'entreprise à licencier par la contrainte, sans passer par divers aménagements. Les consultants et les chefs de projet seront particulièrement visés, sans compter ceux travaillant dans les branches marketing, RH, finance, etc.
« Les salariés d’IBM vivent dans la hantise de perdre leur poste »
Pour la CGT, ces licenciements n'ont certainement rien de surprenant. Le 22 avril dernier, le syndicat montrait déjà son agacement face à cet énième plan de départs. « Il n’est pas concevable de subir ces purges patronales, alors que les résultats économiques sont bons, les bénéfices en augmentation, et que la plupart des salariés IBM sont confrontés à des surcharges de travail et à des risques psychosociaux aggravés » résumait la CGT.
Le syndicat affirmait ainsi que ces futurs départs n'avaient rien d'une surprise. Il faut dire que IBM licencie depuis plus de 20 ans sans vraiment discontinuer. De 32 500 postes en 1992, il n'en reste plus que 9 000 environ à ce jour selon le CGT. Et les méthodes d'IBM France pour mettre en place une telle cure d'amaigrissement sont loin de plaire au syndicat. Ce dernier indique ainsi que l'an passé, la société a bizarrement connu une explosion de licenciements pour faute grave, ceci sans compter les harcèlements, les surcharges de travail, et même les suicides.
« Les salariés d’IBM vivent dans la hantise de perdre leur poste et de devoir essayer d’en retrouver un par eux-mêmes, alors que tous les services sont en décroissance » regrette la CGT. « Maintenant la crainte sur le poste est devenue une crainte sur l’emploi. De plus, beaucoup subissent des pressions qui font craquer, les burnouts continuent, les arrêts maladie croissent. C’est la conséquence de la gestion des ressources humaines par le stress. Et le pire existe chez IBM : plusieurs suicides ces derniers temps font l’objet d’enquêtes CHSCT. »
Un nouveau Comité Central d'Entreprise aura lieu le 24 juillet prochain. Les derniers détails devraient alors y être dévoilés.
IBM France supprimera 689 postes en 2013, la CGT dresse un bilan macabre
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Un PSE et une forte mobilité
Commentaires (48)
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Abonnez-vousLe 28/05/2013 à 12h35
C’est de la solidarité envers les salariés actif (qui ont un job) et inactif (qui en recherche) qu’il faut, pas de l’auto dérision.
C’est grave ce qui se passe, on oublie que le salarié est un être humain, pas une variable d’ajustement. C’est une richesse, c’est lui qui génère de la valeur ajoutée et ça n’est en aucun cas un cout !
Mais ça, ça rentre pas dans la petite tête des actionnaires qui ne voient que leurs dividendes.
Le 28/05/2013 à 12h46
Weight Watchers online
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Le 28/05/2013 à 13h01
Beaucou pne comprennent pas le fonctionnement du monde du travail.
Un syndicat n’est pas une institution mais une association de salariés. Ni plus ni moins.
Nous avons la chance d’avoir des droits, des instances de représentation pour la démocratie dans l’entreprise. Sans les IRP (DP, CE, CHSCT), les syndicats donc, sans code du travail on aurait rien, ni congés, ni salaire fixe, ni médecin du travail, etc… Au lieu de critiquer c’est à nous de nous investir et de faire valoir nos droits, en gagner de nouveaux.
Les multinationales posent un problème en faisant du dumping social, c’est sur qu’en Inde, où on paye très mal les employés, on gagne en masse salariale. Mais en qualité du travail fournit ? Pas sur. En développement ? Non plus. C’est sur le plan politique qu’il faut agir pour contrer ces entreprises (pourtant bénéficiaires le plus souvent) Le rapport de force salariés/patronnât ne fonctionne qu’avec des syndicats puissants, ce qui n’est pas le cas en France.
Nos qualifications, nos formations, font de nous des salariés très demandés, nous avons la qualification. Le travail n’est pas un cout, il faut sortir du langage patronal. Nous sommes la richesse de l’entreprise.
Au lieu de chercher la solution de facilité en donnant toujours plus de recul sociaux, il faut au contraire s’unir et se défendre. Regardez en Allemagne ou tout le monde est syndiqués ou presque dans certains secteurs, ils arrivent à arracher des augmentations conséquentes pour tout les salariés. Même en période de crise économique.
En France il y’a des entreprises qui recrutent beaucoup, vu les départs en retraite à venir (le fameux papy boom) dans l’énergie notamment, pas la peine de traverser la manche.
Le 28/05/2013 à 13h11
Le 28/05/2013 à 13h17
Le 28/05/2013 à 13h32
Les multinationales posent un problème en faisant du dumping social, c’est sur qu’en Inde, où on paye très mal les employés,
Comparons ce qui est comparable. le cout du travail d’un français doit etre comparé aux autres pays voisins. en terme de competivité brute, le français produit plus que les pays limitrophe en 1h sauf que la difference de cout de travail nous rend au final moins competitif.
“Nos qualifications, nos formations, font de nous des salariés très demandés, nous avons la qualification. Le travail n’est pas un cout, il faut sortir du langage patronal. Nous sommes la richesse de l’entreprise.”
Quel raisonnement antique. 1) les autres pays sont de plus en plus competent 2) lorsque tu identifie un bon element à l’etranger est ce que tu deplace l’entreprise ou est ce que tu lui fais une offre qui ne se refuse pas pour le faire venir à l’etranger? Mieux vaut bien payé les bons éléments et choisir un pays à la fiscalité avantageuse. C’est triste mais un ouvrier tu le trouvera dans tout les pays, il suffit donc de faire bouger les tetes pensantes.
Au lieu de chercher la solution de facilité en donnant toujours plus de recul sociaux, il faut au contraire s’unir et se défendre. Regardez en Allemagne ou tout le monde est syndiqués ou presque dans certains secteurs, ils arrivent à arracher des augmentations conséquentes pour tout les salariés. Même en période de crise économique..
En Allemagne certains syndicats ont voté le maintient des salaires avec l’incorporation d’heure sup pour sauver leur boite. Rien à voir avec les syndicats français. travaillé plus pour gagner la meme chose parce que la situation est difficile? (Quasi impensable en france)
[Quote] En France il y’a des entreprises qui recrutent beaucoup, vu les départs en retraite à venir (le fameux papy boom) dans l’énergie notamment, pas la peine de traverser la manche. [/quote]
Pas de souci, la France à payé mon RSA pendant un an, je suis partie et je représente un cout en moins pour le pays. J’ai rien contre rentrer et vivre en assisté jusqu’à ce le fameux papyboom arrive ou que la situation change. En attendant, du travail j’en trouve à l’etranger.
Le papy boom aura un impact sur les metiers de logistiques, services à la personne, energie etc… Sa ne marchera pas avec l’industrie, le commerce en ligne et beaucoup d’autres secteurs car les départs ne seront soit pas remplacé soit délocalisé.
[Quote] Nous avons la chance d’avoir des droits, des instances de représentation pour la démocratie dans l’entreprise. Sans les IRP (DP, CE, CHSCT), les syndicats donc, sans code du travail on aurait rien, ni congés, ni salaire fixe, ni médecin du travail, etc… Au lieu de critiquer c’est à nous de nous investir et de faire valoir nos droits, en gagner de nouveaux. [/Quote]
Vrai à une époque, mais certainement pas ces 30 dernieres années
Pour moi c’est simple: Aujourd’hui si je veux travailler en france sa sera un contrat sous qualifié, payé au lance pierre avec des cotisations hallucinante.
En angleterre je fais effectivement ce pourquoi j’ai été formé (webmarketing), je suis payé un salaire correct et mes cotisations sont faible.
Pourtant il n’y a pas de syndicat la ou je suis et j’ai mes 5 semaines de congé par an
Le 28/05/2013 à 13h47
En tout cas peut être que tu parles anglais mais qu’est ce que tu fais comme fautes…
Le 28/05/2013 à 13h59
Le 28/05/2013 à 14h13
Le 28/05/2013 à 14h20
Ouais enfin les employés virés d’IBM , il n’y a pas que des malheureux
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A chaque fois qu’il y a un plan de réduction des effectifs , il y a beaucoup plus de candidats que de personnes à virer.
IBM parle de 700 postes et je suis presque certain qu’il y a 1500 candidats , à chaque fois les gens doivent se battre pour pouvoir être virés
Même si cette boite fait beaucoup de fric, elle perd des parts de marché en France avec un truc assez symptomatique
c’est qu’on y déclare qu’à 40 ans t’es déja trop vieux et du coup la plupart des gens n’attendent qu’un plan de départ pour se casser car c’est généralement assez juteux.
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edit: ortho
Le 28/05/2013 à 14h21
Le 28/05/2013 à 15h11
Ouais j’ai envi de dire quand on sait écrire sans faute on n’est pas obligé de se relire …
L’excuse de la nouvelle génération “ je n’ai pas le temps de me relire”,
Tu écris sur une feuille blanche en noir sur blanc si tu fais des fautes et bien ça fait des gros pâtés " />
Le 28/05/2013 à 15h13
Pis pour faire mon chieur et continuer à troll, si tu écris c’est pour être lu, moi du texte plein de faute je ne lis pas et les recruteurs font de même car ça m’emmerde de devoir relire une phrase parceque je ne comprends pas le sens tellement il y a de fautes.
Le 28/05/2013 à 21h05
Le 28/05/2013 à 06h23
Pas cool IBM :s
Le 28/05/2013 à 06h27
De plus, beaucoup subissent des pressions qui font craquer, les burnouts continuent, les arrêts maladie croissent. C’est la conséquence de la gestion des ressources humaines par le stress. Et le pire existe chez IBM : plusieurs suicides ces derniers temps font l’objet d’enquêtes CHSCT.
De quoi ils se plaignent ? Ils ont un boulot déjà, qu’ils remercient leur patron et qu’ils se lèvent tôt.
Quant aux suicides, c’est pas IBM qui leur a tendu la corde, non mais.
Allez au boulot les fainéants, et arrêtez les états d’âme.
Le 28/05/2013 à 08h36
« Ils ont décidé de supprimer 689 postes d’ici le mois de septembre via un plan de sauvegarde de l’emploi (PSE). À cela s’ajoutent 129 postes soumis à une obligation de mobilité, c’est-à-dire des gens qui sont à Marseille, par exemple, à qui on va demander d’aller à Lille » a déclaré Gérard Chameau, délégué central CFDT, à l’AFP.
Ton syndicat de jaune a voté l’accord Medef-Etat pour faciliter ce genre de licenciements et obliger les salariés à être déportés à l’autre bout du pays, alors démissionne ou ferme-là, pourri.
Le 28/05/2013 à 08h39
Le 28/05/2013 à 09h00
Mais pourquoi IBM devrait continuer à payer ses employé ? Y’a plein d’ingé qui sont super heureux de bosser gratis sur des projet open source !
Le 28/05/2013 à 09h11
Le 28/05/2013 à 09h23
Le 28/05/2013 à 09h27
Le 28/05/2013 à 09h34
Le 28/05/2013 à 09h58
Le boulot qu’IBM m’a donné pour les 2 prochains mois : former les Roumains qui reprennent mon boulot en septembre… je vais les déformer plutôt " />
Le 28/05/2013 à 10h04
Le 28/05/2013 à 10h09
Le 28/05/2013 à 10h13
Le 28/05/2013 à 10h35
Et voilà la belle réussite du management à la française: on vire les employés et on traite ceux qui restent comme de la merde.
En 2000, IBM a proposé un poste d’ingénieur à mon frère à exercer au choix en France ou en Allemagne. Il a eu le bon réflexe d’aller en Allemagne, les différences sont bien simples: salaire plus élevé (malgré des impôts et charges plus importants), hiérarchie respectueuse, horaires de travail fixes et à ne pas dépasser (une fois, il s’est même fait engueuler parce qu’il était resté 20 min de plus à son boulot: c’est pas en France qu’on verrait ça), évolution de carrière plus rapide (on lui a proposé un poste supérieur moins de deux ans après son arrivée dans l’entreprise).
De plus, malgré un cout de main d’oeuvre plus important, les licenciements sont bien moins important en Allemagne qu’en France. (malgré les rumeurs de l’an dernier, personne ne s’est fait virer de son département)
Bref, avec une gestion de merde, on n’obtient que des résultats de merde.
Cocorico, le coq a les deux pieds dedans: c’est typiquement français." />
P.S: contrairement aux postes précédents, il n’y a pas d’ironie, ni de sarcasmes." />
Le 28/05/2013 à 10h54
Le 28/05/2013 à 12h15
Le 28/05/2013 à 12h30
Le 28/05/2013 à 12h31
Bon je vois deja une levé de bouclier avant meme que j’ai commencé à taper mon commentaire mais c’est pas grave.
La CGT comme les autres syndicats devrait se taire.Perso j’ai fait 1 an de chomage avec un bac+5, et j’ai finalement trouvé un contrat… en Angleterre…
Fiscalité inintéressante, droit du travail trop contraignant, licenciement trop compliqué, voila ce que j’entends dans les entreprises à propos de la France. La France ne veut pas changer? pas de souci les entreprises peuvent se déplacer. (merci à internet qui simplifie enormement cela)
Sa c’est la réalité du terrain et les syndicats ils font quoi?
Incapable de proteger le salarié, incapable d’etre force de proposition, il est grand temps de supprimer ces intitutions veillissantes.
Oui tout le monde à peur de perdre son emploi, moi le premier qui suis dans un pays ou tu peut etre viré du jour au lendemain pour une somme ridicule.
Oui les heures sup ne sont pas payé mais c’est sa ou on degage.
Mais il va falloir que les gens comprennent que ce sont des sacrifices necessaire si l’on veut relancer l’economie.
Les jeunes generations vont avoir à rembourser des sommes colossales dépensé ces 30 dernieres annees, ils auront une retraite ridicule, ils n’auront pas de cdi dans le sens ou nous le connaissons aujourd’hui, la securité sociale remboursera de moins en moins…
Alors marre de ce conservatisme. 30 d’inaction et de protectionisme font qu’aujourd’hui le fardeau vas reposé sur ceux qui n’ont rien demandé.
Restons dans cette complainte perpétuelle sur les entreprises qui ferment ou ses infames dirigeant qui delocalisent et dans 10 ans il n’y aura plus de securité sociale du tout, plu de retraite, plu d’emploi…
Parce que pour ce plaindre y a du monde, sauf que pendant ce temps, les entreprises se barrent et ne veulent plus revenir.
C’est triste pour les employé d’ibm qui font les frais de la trés discutable compétitivité française, mais faut arreter avec leur “stress de perdre leur emploi”
Ce stress je le vis tout les jours et je n’en suis pas mort. Oui c’est dur, oui sa nous oblige à nous battre en permanence mais c’est comme sa partout en europe alors pourquoi pas chez nous?
J’en viens à me poser la question: salaire plus bas, securité sociale de moins en moins intéréssante, retraite idem, pourquoi revenir dans le pays qui me tient le plus à coeur et cotiser comme un ane pour les autres alors que je sais que je n’aurai pas la moitié des prestations payé).
Avant sa n’était pas intéressant d’etre une entreprise en France, Maintenant sa devient plus interessant d’etre salarié à l’etranger…
Cherchez l’erreur
Le 28/05/2013 à 06h28
Rien d’étonnant, les ingénieurs américains restent mais les européen sont massivement remplacé pas les indiens et les chinois. Maintenant en Europe il reste surtout des commerciaux et un peu de helpdesk et ce sont des postes ou la pression est extrême.
Le 28/05/2013 à 06h31
Le 28/05/2013 à 06h35
Le 28/05/2013 à 06h37
De toute manière, quand on voit à quelle vitesse ils exportent vers l’Inde, ça fait peur …. IBM India bien entendu, et quand on voit, en connaissance de cause ce que cela donne comme travail au résultat " /> …..
Et le meilleur, c’est dans les boites ou ils sont implantés, voir les br" /> qui les remplacent sur les postes cadres ….. C’est peut être la que les syndicats devraient se mobiliser, coudes à coudes et monter la voix sur certaines phénoménales aberration ….
Parlez en aux membres d’une grande tour en verre sur Marseille …… " />
Le 28/05/2013 à 06h45
Je sais que c’est le jeu des syndicats mais… si il y a autant de pb a travailler pour IBM (« Les salariés d’IBM vivent dans la hantise de perdre leur poste », salariés IBM sont confrontés à des surcharges de travail et à des risques psychosociaux aggravés ,…)
Pourquoi ne pas simplement changer de boite? surtout en venant d’IBM on a deja une bonne carte de visite, encore plus si on est en info…
Y a qu’en France qu’on cherche a faire toute notre carrière dans la même boite coute que coute non ???
Le 28/05/2013 à 07h13
Le 28/05/2013 à 07h17
Le 28/05/2013 à 07h19
Le 28/05/2013 à 07h27
Bon les gas c’est le matin mais quand même, l’ironie du post de Drepanocytose est quand même assez obvious " />
edit : grilled
Le 28/05/2013 à 07h45
en même temps c’est une putain de boite de merde avec des contrats de 600 pages qui enchaîne le client, mais au bout du compte une fois la date du contrat passée les clients violés (et volés) se font la malle et ne font plus appel à IBM
donc dommage pour les pertes d’emplois mais il faut couper la tête d’IBM
Le 28/05/2013 à 07h52
Le 28/05/2013 à 07h52
Le 28/05/2013 à 07h55
Le 28/05/2013 à 07h59
« Je suis un IBM-meurt »
Le 28/05/2013 à 08h06
Quel bel univers que celui des SSII et des boites de conseil.. " />
Le 28/05/2013 à 08h06
Je suppose que les gens heureux dans les pubs IBM ne sont pas des salariés IBM ^^