#14h42 : Nicolas Colin nous parle de la révolution numérique

#14h42 : Nicolas Colin nous parle de la révolution numérique

Une histoire de barbare

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#14h42 : Nicolas Colin nous parle de la révolution numérique

La révolution numérique est en marche. Si certains secteurs se livrent déjà une guerre acharnée, à l’image des taxis et des VTC, les choses restent encore très ouvertes dans d’autres domaines. Faisons un tour d'horizon avec Nicolas Colin, entrepreneur, membre de la CNIL et ancien inspecteur des finances.

Dans cette nouvelle édition de 14h42, nous accueillons Nicolas Colin, nommé à la CNIL au début de l'année. Il s'est également illustré avec un rapport sur la fiscalisation en France des géants du net en fonction des données collectées. Il est également l'auteur d'un livre intitulé L'âge de la multitude : Entreprendre et gouverner après la révolution numérique. Mais ce n'est pas son seul centre d'intérêt, puisqu'il s'intéresse également à la guerre que se livrent les taxis et VTC (voir notre précédente émission).

 

Ce 14h42 sera donc l'occasion de faire un point d'étape sur la révolution numérique et le rôle des entrepreneurs. Si des géants sont déjà en place, notamment avec les GAFA (Google - Apple - Facebook -Amazon), d'autres secteurs sont encore à prendre. C'est donc le sujet du jour du 14h42, notre émission conjointe avec Arrêt sur images  et présentée par Jean-Marc Manach.

 

Comme toujours, vous pouvez librement regarder les premières minutes. L'émission intégrale est réservée à nos abonnés pendant une semaine. Elle sera ensuite accessible à tous via notre compte YouTube sur lequel vous pouvez nous rejoindre. 

 

 

 

Bonne émission !

 

L'émission dans son intégralité

Commentaires (3)


“Empire” “barbare” … voila un langage d’énarque. J2M a le même goût de la formule et de l’entreprise globale et mondiale.

https://www.youtube.com/watch?v=2DHfhkgaN9E



A part ça, un 14h42 très intéressant avec un point de vue inattendu pour moi. Personnellement, je pense que l’industrie française et européenne ne se développe pas de la même façon qu’en Amérique du Nord, pour des raisons culturelles et historiques.


Si la cour des compte épingle le DMP, elle bien plus élogieuse pour le Dossier Pharmaceutique.



Bien que cela ne soit pas une innovation disruptive (les échanges d’informations de médicaments c’est déjà dans SESAM-VITALE), le fait que cela soit porté et financé par un acteur privé: l’ordre des pharmaciens, et cela en réaction à leur éviction du DMP, explique en partie la réussite du projet.



Je ne sais pour les patients/malades si ils ressentent un meilleurs services, mais pour les utilisateurs: les pharmaciens c’est un vrai plus.


Très intéressant. Par contre l’histoire des barbares me semble un peu bancale, mais peut-être est-ce dû aux explications raccourcies intrinsèques au format de l’émission.


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