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Les ISO de Mageia 5.1 arrivent, la version 6 prévue pour 2016

« Ce sera publié quand ce sera prêt »

Les ISO de Mageia 5.1 arrivent, la version 6 prévue pour 2016

Le 19 septembre 2016 à 06h30

Les images ISO de Mageia 5.1 arrivent avec toutes les mises à jour de sécurité et améliorations publiées depuis la version 5. Dans le même temps, le travail continue (doucement) sur la version 6.0. Elle a pris du retard, mais sa mise en ligne devrait arriver d'ici la fin de l'année.

Mageia est un projet communautaire issu d'un fork de Mandriva Linux. La version 5 est en ligne depuis maintenant plus d'un an et la mouture 6 se prépare doucement. Après avoir proposé la « sta1 » de cette dernière, c'est-à-dire le « premier instantané de stabilisation » en juillet dernier,  le « sta2 » est sur les rails, mais avec du retard.

Les ISO de Mageia 5.1 intégreront toutes les mises à jour de la version 5

En attendant, Mageia s'est concentré sur la version 5 de son système d'exploitation avec l'arrivée prochaine d'une mise à jour estampillée 5.1. Comme pour Mageia 4.1, ce n'est pas à proprement parler une nouvelle publication, mais une mouture qui inclura « toutes les mises à jour de sécurité et de correction de bogues publiées pour Mageia 5 jusqu’à maintenant, y compris la mise à jour du noyau avec support à long terme (4.4.x) pour l’amélioration de la prise en charge du matériel ».

Pour faire simple, les utilisateurs avec Mageia 5 qui ont installé toutes les mises à jour n'ont rien à faire, tandis que les nouveaux qui sautent le pas profiteront directement de toutes les nouveautés publiées au cours des derniers mois. Le support de Mageia 5 est également étendu, afin de proposer « au moins 3 mois de recouvrement après la publication de Mageia 6 ».

Mageia 6 « sta2 » prévu pour octobre, la version finale « en 2016 »

En effet, en raison de « problèmes d’infrastructure » les tests internes sur Mageia 6 « sta2 » ont été « particulièrement perturbés » lors des derniers mois. Maintenant que ces soucis sont quasiment réglés, l'équipe affirme qu'elle « va pouvoir peaufiner le processus avec les ISO mises à jour de Mageia 5 avant de revenir sur Mageia 6 ». Elle ajoute qu'elle profite de ce retard pour intégrer Plasma 5.8 LTS et GNOME 3.22.

Quoi qu'il en soit, les nouvelles images ISO de Mageia 5.1 devraient arriver rapidement, tandis qu'il faudra attendre octobre pour la version « sta2 » de Mageia 6. Pour ce qui est de la version finale, l'équipe ne s'engage pas sur un calendrier précis, mais indique tout de même qu'elle devrait arriver « en 2016 », le temps d'éradiquer les derniers bugs bloquants. Elle rappelle qu'elle souhaite prendre son temps pour peaufiner le système d'exploitation et qu'il « sera publié quand ce sera prêt ».

 

Commentaires (102)

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SolykZ a écrit :



Concrètement, qu’est-ce que cette distribution apporte face à la concurrence ?







Avis personnel : excellente intégration de KDE. Et très jolie.



De plus, je trouve que les outils de gestion des paquets et de mise à jour sont au point et efficaces.



Sinon, j’ai réussi à installer la 6 sta1 et je vais l’utiliser en prod pour me faire une idée.



Un excellent successeur de Mandriva, à ne pas rater pour ceux qui aiment. À suivre !


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SolykZ a écrit :



Concrètement, qu’est-ce que cette distribution apporte face à la concurrence ?





Pour beaucoup, son argument de “vente” principal est que c’est fait par des Français.


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gokudomatic a écrit :



Pour beaucoup, son argument de “vente” principal est que c’est fait par des Français.





C’est surtout maintenu par la communauté Mageia qui prend le temps de bien faire les choses et qui ne cherche pas à respecter les délai de sortie à tout prix quitte à se traîner des bugs dégueulasses (regard appuyé en direction de ubuntu). C’est la Debian du monde des RPM.



Après je trouve que le centre de contrôle qu’ils se traînent depuis l’époque Mandrake n’a plus d’utilité aujourd’hui.


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Obidoub a écrit :



C’est la Debian du monde des RPM. 





J’aurais plutôt dit CentOS pour cette définition par contre. Question de point de vue&nbsp;<img data-src=" />


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Obidoub a écrit :



C’est surtout maintenu par la communauté Mageia qui prend le temps de bien faire les choses et qui ne cherche pas à respecter les délai de sortie à tout prix quitte à se traîner des bugs dégueulasses (regard appuyé en direction de ubuntu). C’est la Debian du monde des RPM.



&nbsp;

Je dois dire que si, dans le secteur, ils étaient plus nombreux (et je pense notamment aux logiciels) à fonctionner de la sorte non seulement cela fonctionnerait mieux évidemment mais l’image du libre en sortirait améliorée.

Sinon j’ai essayé Mageia, c’est vrai que c’est une bonne distribution pour qui veut utiliser son ordinateur sans mettre les doigts dans le cambouis ni se poser de questions.

Et le fait qu’elle soit faite par des Français est une bonne chose, notamment en matière de support.


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Longue vie à Mageia,



Distribution de bonne facture, très accessible au profane et stable.



sort son déguisement de Superdupont Et française.

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numerid a écrit :



Et le fait qu’elle soit faite par des Français est une bonne chose, notamment en matière de support.





Tout comme ubisoft. qualité française<img data-src=" />


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Obidoub a écrit :



C’est surtout maintenu par la communauté Mageia qui prend le temps de bien faire les choses et qui ne cherche pas à respecter les délai de sortie à tout prix quitte à se traîner des bugs dégueulasses (regard appuyé en direction

de ubuntu). C’est la Debian du monde des RPM.











numerid a écrit :



Sinon j’ai essayé Mageia, c’est vrai que c’est une bonne distribution pour qui veut utiliser son ordinateur sans mettre les doigts dans le cambouis ni se poser de questions.







Nous avons là les deux raisons essentielles qui font que Mageia est le digne successeur de Mandriva : simplicité et stabilité.



Bon travail des équipes de Mageia en tout cas.


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C’est “un peu” débile, je trouve, que les développeurs se dispersent à essayer de pondre et de mettre à jour un million (ou presque) de distros différentes de Linux.

C’est la principale tare de Linux et ce qui l’empêche (jusqu’à maintenant) de s’imposer sur le desktop (et ce qui rebute certaines initiatives commerciales et fait fuire les éditeurs de softs).

Je trouve qu’on devrait s’occuper et utiliser les 4 ou 5 premières distros (tout au plus) et boycotter les autres (Darwin avait raison).

J’imagine que tout le monde ne sera pas d’accord avec moi… mais c’est aussi parce-que vous ne parvenez pas à vous mettre à la place d’un débutant… lorsqu’un débutant veut utiliser Windows, il utilise Windows 10 et c’est tout… il n’y a pas des centaines de versions différentes de Windows pour installer sur un PC de base.

Pourtant je ne suis pas le seul à le penser, il vous suffit de taper “too many linux distributions” sur Google pour le vérifier…

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C’est sympa de “penser” , mais la on est dans le monde du logiciel libre, donc la question est plutôt que va tu faire pour résoudre le problème ?

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BTCKnight a écrit :



C’est “un peu” débile, je trouve, que les développeurs se dispersent à essayer de pondre et de mettre à jour un million (ou presque) de distros différentes de Linux.







Ça existe encore des <img data-src=" /> dans ce genre ?



Au Monoprix en bas de chez moi, il y a une cinquantaine de références de pâtes alimentaires en rayon, et ça ne cause de problème à personne. Pourquoi en serait-il autrement avec les distros ?



Un débutant qui veut une distro pour débutant, il prend une distro pour débutant, et si son premier choix ne lui convient pas, il en a d’autres. Un expert prendra une distro expert, quelqu’un qui veut du bleeding edge la distro adapté, le gestionnaire de serveur qui veut du rock solid aura sa distro à lui, et cetera.



Il y a autant de distros que d’usages possible d’un ordinateur, et tout le monde trouve chaussure à son pied comme ça. Et une distro qui ne convient à personne, ben, elle disparaît, c’est tout.



Il n’y a ni trop, ni trop peu, ni pas assez de distros, il y a celles qui ont leur public et les autres. C’est pas une question de quantité, et la diversité est une force du libre, désolé de le rappeler.


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BTCKnight a écrit :



C’est “un peu” débile, je trouve, que les développeurs se dispersent à essayer de pondre et de mettre à jour un million (ou presque) de distros différentes de Linux.

C’est la principale tare de Linux et ce qui l’empêche (jusqu’à maintenant) de s’imposer sur le desktop (et ce qui rebute certaines initiatives commerciales et fait fuire les éditeurs de softs).

Je trouve qu’on devrait s’occuper et utiliser les 4 ou 5 premières distros (tout au plus) et boycotter les autres (Darwin avait raison).







Liste nous donc ces 4 ou 5 distributions pour voir (entre autre celles que tu élimines).











Allez, je m’y lance (pour le grand public) :

Debian (en fait, je la mets surtout parce que c’est la base pour Ubuntu et donc Mint, elle n’est pas citée comme grand public habituellement)

Ubuntu

Fedora

Mint (même si j’ai des a priori perso)

Arch Linux mais on est déjà dans le plus confidentiel.



Le reste, c’est surtout des distrib pour personnes plus expérimentées, des distrib serveur ou des distrib spécialisées.



Donc on y est à peu près à tes 5.





J’imagine que tout le monde ne sera pas d’accord avec moi… mais c’est aussi parce-que vous ne parvenez pas à vous mettre à la place d’un débutant… lorsqu’un débutant veut utiliser Windows, il utilise Windows 10 et c’est tout… il n’y a pas des centaines de versions différentes de Windows pour installer sur un PC de base.





Et c’est bien dommage qu’il n’ait pas le choix. Windows 10 est quand même contreversé.





Pourtant je ne suis pas le seul à le penser, il vous suffit de taper “too many linux distributions” sur Google pour le vérifier…



Tape donc “11 09 mensonge”, tu ne vas pas être déçu.

Environ 1 450 000 résultats contre Environ 605 000 résultats pour ta requête.


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Je te trouve un peu dur avec lui (rapport au troll).



Son analyse n’est peut-être pas juste mais il a pas franchement pris le ton du mec qui a pondu son troll du déjeuner. <img data-src=" />



Perso, et sans troll hein, je dirai que c’est un peu le bordel, mais une sorte de bordel organisé car comme tu le dis, c’est le monde du libre (sous-entendu, la démarche commerciale y est absente), chacun prend ce qu’il veut en fonction de ses besoins et c’est une des force du libre. Peut-être pourrait-on regretter la difficulté d’accès/compréhension des différentes possibilités offertes. Je me suis par exemple souvent posé la question entre deux, trois distributions Linux, laquelle était le plus adaptée à mon besoin et ça finit quand même bien souvent en “c’est kif kif”, d’expérience, toujours sans troll.



Après, je ne juge pas, j’accepte le contexte qui n’est pas celui de Windows ou de Mac (ils font du pognon avec et pas qu’un peu, ce qui oblige à charger la mule et à être adapté au plus large public possible).

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Et c’est reparti pour 15 pages d’un débat qui dure depuis 10 ans…



Et sinon, Mageia va intégrer dnf, le gestionnaire de paquets de Fedora.

Dans un premier temps il sera optionnel.

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Nilav a écrit :



Je te trouve un peu dur avec lui (rapport au troll).



Son analyse n’est peut-être pas juste mais il a pas franchement pris le ton du mec qui a pondu son troll du déjeuner. <img data-src=" />



Perso, et sans troll hein, je dirai que c’est un peu le bordel, mais une sorte de bordel organisé car comme tu le dis, c’est le monde du libre (sous-entendu, la démarche commerciale y est absente), chacun prend ce qu’il veut en fonction de ses besoins et c’est une des force du libre. Peut-être pourrait-on regretter la difficulté d’accès/compréhension des différentes possibilités offertes. Je me suis par exemple souvent posé la question entre deux, trois distributions Linux, laquelle était le plus adaptée à mon besoin et ça finit quand même bien souvent en “c’est kif kif”, d’expérience, toujours sans troll.



Après, je ne juge pas, j’accepte le contexte qui n’est pas celui de Windows ou de Mac (ils font du pognon avec et pas qu’un peu, ce qui oblige à charger la mule et à être adapté au plus large public possible).







Pour compléter ton propos, je dirais que les distros Linux donnent à l’utilisateur une possibilité importante dans le choix de la distro : celle de faire jouer sa subjectivité.



Dans chaque catégorie, il y a plusieurs distros. Pour les débutants, il y a Ubuntu, Mint et Mageia pour les principales. C’est comme choisir entra Barilla, Panzani et une MDD pour ses penne rigate : c’est selon.



Après, et c’est formidable avec le manchot, ça te coûte rien, financièrement parlant, d’essayer toutes les distros qui t’intéressent pour te faire ton idée, ce que j’ai fait. Et de choisir celle qui te plaît à l’usage sur tes critères à toi, des plus rationnels aux plus subjectifs. Ou de rien choisir et de tout prendre suivant l’inspiration…


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Commentaire_supprime a écrit :



Ça existe encore des <img data-src=" /> dans ce genre ?



(…)





Je ne pense pas qu’il trollait <img data-src=" />

En fait ce qu’il veut dire et il n’a pas totalement tort, c’est que la multiplication des projets dilue qlq peu les ressource (humaine, technique) qui ne sont pas infinie.

Après, c’est surtout valable pour les petit projet. Les distro phare ayant ce qu’il faut en contribution <img data-src=" />


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sr17 a écrit :



La difficulté de choix pour les débutants ? En pratique elle n’existe pas car il existe une distribution plus connue que les autres qui est le choix de la plupart des débutants.





<img data-src=" /> Elle s’appelle Windows et le débutant la trouve au Carrouf du coin. Le débutant ne sait même pas qu’il existe autre chose en dehors de Windows et de MacOs.

Et un débutant qui cherche à installer un autre OS a déjà fait un grand pas en avant et ne peut donc plus être qualifié de débutant <img data-src=" />


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fred_gaou a écrit :



Temps durant lequel Linux est toujours aussi confidentiel en tant qu’ OS quotidien et principal chez les particuliers. Je rêve d’une distrib qui reparte de quasi zéro, qui rassemble en fonctionnant comme une démocratie dont le but serait d’instorer des standards et des outils en fonction des besoins des dev et utilisateurs. Un système de features request en ligne avec système de votes et commentaires pour les prioriser. Bref, une distrib généraliste et polyvalente qui au final repondrait aux besoins de la majorité. C’est peut-être ce genre de distrib qui à terme aurait des chances de faire boule de neige.







Ben, lance-toi et fais-là, cette distro.



Après, on jugera sur pièces de son iNpact sur le monde du manchot.







choukky a écrit :



<img data-src=" /> Elle s’appelle Windows et le débutant la trouve au Carrouf du coin. Le débutant ne sait même pas qu’il existe autre chose en dehors de Windows et de MacOs.

Et un débutant qui cherche à installer un autre OS a déjà fait un grand pas en avant et ne peut donc plus être qualifié de débutant <img data-src=" />







Je confirme.



Le noob, autre chose que Windows comme OS, c’est un concept qu’il ne perçoit même pas. Constaté sur le terrain.



Les gens de mon entourage, le premier tux qu’ils voient de leur vie, c’est celui que je leur montre.


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Konrad a écrit :



Oui, c’est vrai aussi. Si les applications les plus utilisées (jeux vidéos, MS-Office, Photoshop, etc.) étaient disponibles en version Linux, ça aiderait beaucoup.



Mais il faut bien comprendre que cet aspect là n’est pas du tout dans les mains de la communauté Linux.







En ce qui concerne les applications propriétaires, nous sommes d’accord. Par contre, je trouve vraiment dommage qu’il n’existe pas une fondation pour le soutien et le financement d’applications libres à destination des utilisateurs finaux. Tout comme je trouve bien dommage que les utilisateurs de logiciels libres soient finalement si peu à donner.



GNOME, KDE, LibreOffice ont bien des fondations derrière eux, mais avec trop peu de moyens, ce qui ne permet pas d’embaucher de nouveaux développeurs, graphistes, ergonomes… à temps plein. Et derrière de nombreux autres projets, il n’y a personne pour soutenir. On aurait par exemple pu imaginer une fondation qui soutiendrait les applications libres dédiées au graphisme, à la musique, au monde de l’entreprise…



Entre le fait qu’il y ai trop peu de monde à donner (ça manque également de spécialistes pour organiser des levées de fonds, des campagnes de financement participatif réussies…) et le fait que parfois, selon les projets, il n’y a aucun moyen de donner, on se retrouve avec nombre d’applications qui avancent bien trop lentement et dont l’écart se creuse avec certains équivalents propriétaires.


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wanou2 a écrit :



gestion discothèque : banshee







Lollypop est bien mieux foutu (tout en étant développé par un français) <img data-src=" />







sr17 a écrit :



Par exemple, faire en sorte qu’un éditeur ne soit pas obligé d’attendre des mois le bon vouloir d’un volontaire pour publier une application ou une mise à jour dans les dépôts.







Red Hat t’a écouté, et ils peuvent désormais utiliser Flatpak <img data-src=" />


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Cedrix a écrit :



Konrad et sr17, parfois vous n’avez pas l’impression de dire invariablement la même chose sur chaque news ?



Le consommateur, il veut que ça marche. Et donc la vente liée c’est mal mais personne ne préinstalle de Linux… Donc il ne va pas choisir autre chose.



Lancez donc votre business Linux, ça peut marcher !







C’est une vision naïve.



D’abord, le consommateur ne recherche pas Linux ou Windows, il rentre dans un hypermarché et en ressort avec ce qu’il y trouve. Et s’il y trouve du Windows, il ressort avec du Windows.



Pour le reste, c’est compliqué (et trop long) d’expliquer à des profanes comment le monde du commerce fonctionne : canaux de distribution, grandes marques et leurs accords, mass marketing. Tout cela décide en amont de ce qui sera présent dans les points de vente.



Pour ceux qui pensent qu’ils suffit de monter sa boite pour vendre quelque chose, vous rêvez. C’est beaucoup plus compliqué que vous ne l’imaginez.


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Okki a écrit :





Red Hat t’a écouté, et ils peuvent désormais utiliser Flatpak <img data-src=" />







C’est une bonne chose de voir apparaître de tels outils. Malheureusement, ça ne concerne que la problématique technique, ça ne règle pas le problème principal qui est l’accès aux dépôts des distributions.



Les éditeurs ont absolument besoin d’être dans les dépot d’un OS pour des raisons de visibilité. Publier dans son coin et faire connaitre une appli sans l’aide d’un store, ça coûte beaucoup trop cher.


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Konrad a écrit :



C’est “un peu” débile de croire qu’on empile les développeurs comme des ordinateurs. Si tu forçais tous les développeurs de Mageia à travailler sur Ubuntu (par exemple), tu crois vraiment que ça donnerait de bons résultats ? Non, parce que ces développeurs seraient contraints à travailler d’une façon qui ne leur plaît pas, sur des projets qui ne leur plaisent pas.




 Ce n'est pas comme ça que ça marche. Pour qu'un projet avance, il faut que les développeurs s'y sentent investis, encore plus lorsqu'il s'agit de logiciels libres, et encore plus lorsque ces développeurs sont bénévoles. Si tu crois que tout avancerait plus vite si tous les développeurs s'entre-aidaient sur le même projet, tu te fourres le doigt dans l'œil.       












 Non, ce qui empêche Linux de s'imposer sur le desktop, c'est une grosse entreprise qui vende des PC dans les magasins et en fasse la promo. Si on voyait des PC avec un Linux pré-installé dans les magasins (Darty, Carrefour, FNAC, Auchan...), Linux percerait sur le desktop. Ce n'est pas le cas (pour tout un tas de raisons).       












 Oui, cf ce que j'ai dit juste avant. S'il y avait des PC dans les grandes surfaces, avec un Linux bien identifié (par exemple Ubuntu), les gens n'auraient pas à choisir entre une centaine de distros. D'ailleurs les gens n'auraient même pas à savoir ce qu'est une distribution : elle serait déjà pré-installée et prête à être utilisée, comme l'est Windows.       






 Quand tu parles de débutant, tu parles de quelqu'un qui n'est pas capable d'installer son propre OS. Cela veut dire qu'il faut faire le travail pour lui, par exemple en installant Linux à sa place. Perso quand quelqu'un qui n'y connaît rien me demande d'installer Linux, je ne pars pas dans un discours expliquant les tenants et aboutissants de telle distrib, ah ouais mais si tu installes celle-là il y a ça, et sur celle-ci le gestionnaire de paquets... GaaAAArgl !!! :mad2:  






 Non, j'installe tout simplement la distrib de MON choix, et j'explique à la personne comment s'en servir... Comment mettre à jour (tu cliques ici), comment aller sur le Web, etc. Et la personne ne sait même pas qu'il existe d'autres distributions.       






 Le choix dans les distributions est faire pour les utilisateurs avancés, pour ceux qui savent installer un OS, qui veulent explorer ou tester différentes choses... Et en tant qu'utilisateur avancé, ce choix, j'y tiens, je le trouve très important.








Non mais...&nbsp; je.... qu'est...&nbsp; beuark !!! :ooo:  

&nbsp;

Sérieusement, si en 2016, il y a des personnes pour croire encore à ce genre d'argument, c'est leur problème.

&nbsp;

J'espère pour la dite personne que ce n'est qu'un troll... ou alors c'est un enfant ou encore un adepte de la théorie du complot.






Je ne suis pas très gentil mais franchement, ne perdons pas notre temps avec ce genre de troll inutile... sauf si vous n'avez rien d'autre à faire :transpi:  






PS: le plus "drôle", c'est que la dite-personne avoue utiliser Linux Mint :mad2:  

A croire que la multitude de distribution ne l'a pas empêché d'installer et d'utiliser Linux: CQFD :8

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Okki a écrit :



Lollypop est bien mieux foutu (tout en étant développé par un français) <img data-src=" />





Pas mal le bousin ! Je viens de l’installer c’est nettement plus fluide que banshee !

Il manque juste une barre de recherche accessible en permanence pour trouver rapidement un morceau.



ça c’est du commentaire utile :)


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Si on excepte les milliards de distributions dérivées de Ubuntu qui disparaissent en moins de 6 mois, c’est déjà ce qui est fait.



Et puis tu as le discours de quelqu’un qui n’a jamais utilisé debian <img data-src=" /> best distribution ever.

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wanou2 a écrit :



Il manque juste une barre de recherche accessible en permanence pour trouver rapidement un morceau.







Comme la plupart des applications GNOME, tu peux taper du texte n’importe où sans te préoccuper d’une barre de recherche, et ça déclenche la recherche de ce que tu tapes.


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Okki a écrit :



Comme la plupart des applications GNOME, tu peux taper du texte n’importe où sans te préoccuper d’une barre de recherche, et ça déclenche la recherche de ce que tu tapes.





Je connaissais pas ça&nbsp;<img data-src=" />



J’adooooooooooooore !!!!



Ce que j’aime avec linux (nouvel utilisateur sur machine principal depuis un mois avec linux seulement) c’est qu’on en apprend tout les jours et que c’est pleins de truc hyper ergonomique (qu’on ne connait pas vu qu’on a 20 ans de windows derrière soi)


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wanou2 a écrit :



Ce que j’aime avec linux (nouvel utilisateur sur machine principal depuis un mois avec linux seulement)







Bienvenue parmi nous ^_^



Sinon, pour le mail, perso j’utilise Geary (qui n’a malheureusement pas droit à un beau site web). Les développeurs de l’application se posaient d’ailleurs récemment la question de la recherche instantanée.



Geary, qui était d’ailleurs développé au départ par la fondation Yorba, qui ferma finalement les portes faute de moyens (le projet étant libre, il fut par la suite repris par des développeurs bénévoles). C’est le reproche que je faisais justement un peu plus tôt. Avec plus de moyens, on avancerai bien plus vite.



Suffit de voir les incroyables progrès effectués depuis un an ou deux par le gestionnaire de fichiers Nautilus, depuis que Red Hat paie un développeur à plein temps pour bosser dessus. La prochaine version s’annonce d’ailleurs particulièrement prometteuse.


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Cedrix a écrit :



Konrad et sr17, parfois vous n’avez pas l’impression de dire invariablement la même chose sur chaque news ?



Le consommateur, il veut que ça marche. Et donc la vente liée c’est mal mais personne ne préinstalle de Linux… Donc il ne va pas choisir autre chose.



Lancez donc votre business Linux, ça peut marcher !







On répond invariablement la même chose aux gens qui ressortent les mêmes poncifs sur les news Linux : « Linux n’est pas prêt pour le desktop », « il y a trop de distribs on s’y perd »…



Si les gens arrêtaient de sortir ce genre de commentaires éculés et usés jusqu’à la moelle (et auxquelles dix mille personnes ont déjà répondu), tu n’aurais peut-être pas l’impression de relire les mêmes réponses à chaque fois.



Linux sur desktop, ça marche très bien, je le vois tous les jours, chez moi et au boulot. Si Linux n’est pas plus présent sur le desktop, ce n’est pas parce que ça ne marche pas. C’est parce qu’il n’est pas pré-installé sur les PC vendus en magasin.


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Konrad a écrit :



On répond invariablement la même chose aux gens qui ressortent les mêmes poncifs sur les news Linux : « Linux n’est pas prêt pour le desktop », « il y a trop de distribs on s’y perd »…



Si les gens arrêtaient de sortir ce genre de commentaires éculés et usés jusqu’à la moelle (et auxquelles dix mille personnes ont déjà répondu), tu n’aurais peut-être pas l’impression de relire les mêmes réponses à chaque fois.



Linux sur desktop, ça marche très bien, je le vois tous les jours, chez moi et au boulot. Si Linux n’est pas plus présent sur le desktop, ce n’est pas parce que ça ne marche pas. C’est parce qu’il n’est pas pré-installé sur les PC vendus en magasin.







+1.



Si linux ne fonctionnait pas sur dekstop, je serais sous Win, tout simplement. J’ai beau adorer faire joujou avec un ordi, mais quand tu tapes en moyenne une section d’un chapitre de roman ou d’une nouvelle qui comprend 2500 mots chaque soir, tu as intérêt à avoir un ensemble logiciel qui tient la cadence derrière. Et t’as autre chose à foutre que de la maintenance d’un zinzin difficilement utilisable.



Je fais ça sous Tux depuis onze ans pile poil ce mois-ci, si c’était pas possible, ou tout simplement merdique, je m’en serais aperçu depuis longtemps.


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Konrad a écrit :



On répond invariablement la même chose aux gens qui ressortent les mêmes poncifs sur les news Linux : « Linux n’est pas prêt pour le desktop », « il y a trop de distribs on s’y perd »…



Si les gens arrêtaient de sortir ce genre de commentaires éculés et usés jusqu’à la moelle (et auxquelles dix mille personnes ont déjà répondu), tu n’aurais peut-être pas l’impression de relire les mêmes réponses à chaque fois.



Linux sur desktop, ça marche très bien, je le vois tous les jours, chez moi et au boulot. Si Linux n’est pas plus présent sur le desktop, ce n’est pas parce que ça ne marche pas. C’est parce qu’il n’est pas pré-installé sur les PC vendus en magasin.





+1&nbsp;<img data-src=" />


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C’est pourtant avec ce genre de discours que personne ne fait rien et que Linux n’avance pas. <img data-src=" />

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Okki a écrit :



Bienvenue parmi nous ^_^



Sinon, pour le mail, perso j’utilise Geary (qui n’a malheureusement pas droit à un beau site web). Les développeurs de l’application se posaient d’ailleurs récemment la question de la recherche instantanée.



Geary, qui était d’ailleurs développé au départ par la fondation Yorba, qui ferma finalement les portes faute de moyens (le projet étant libre, il fut par la suite repris par des développeurs bénévoles). C’est le reproche que je faisais justement un peu plus tôt. Avec plus de moyens, on avancerai bien plus vite.



Suffit de voir les incroyables progrès effectués depuis un an ou deux par le gestionnaire de fichiers Nautilus, depuis que Red Hat paie un développeur à plein temps pour bosser dessus. La prochaine version s’annonce d’ailleurs particulièrement prometteuse.





Je vais tester geary.



Nautilus m’a l’air pas mal. Parce qu’en ce moment j’ai caja et je trouve qu’il est un peu basique dans son fonctionnement (même s’il fonctionne très bien et qu’il est de plus très léger).


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Konrad a écrit :



Tu crois qu’il pourrait exister UNE SEULE distribution répondant aux besoins de tout le monde ? C’est complètement utopique, irréaliste.



Il y a des utilisateurs qui veulent une version du noyau Linux stable. Il y en a qui préfèrent rester bloqué en version 3.xx, à cause d’une fonctionnalité abandonnée ou d’un matériel qui n’est plus supporté après. Il y en a qui préfèrent avoir la toute dernière version du noyau, voire la version alpha. il y en a qui préfèrent compiler eux-mêmes. Et bien sûr, il y a les Michu qui ne savent même pas ce qu’est un noyau.



Et ça, c’est valable avec n’importe quel logiciel, du noyau au navigateur Web, en passant par les pilotes graphiques, le serveur graphique (Xorg vs Wayland), le shell (certains préfèrent bash, d’autres zsh), le gestionnaire de paquets (deb, rpm…), l’environnement de bureau (KDE, Gnome, Xfce…).



Tu prétends qu’une distribution répondant aux besoins de tout le monde est faisable ? Ne t’attends pas à ce que quelqu’un s’y essaye pour vérifier… C’est à ce moment là qu’on te dit : vas-y, si tu y crois, fais-la cette distribution miracle. Beaucoup vont sans doute parier que tu n’y arriveras pas, même si tu t’entourais des meilleurs développeurs.



Ton rêve a plusieurs problèmes. Pour commencer, tu voudrais imposer UNE SEULE distribution « universelle », alors que les utilisateurs de Linux (surtout les utilisateurs avancés) veulent DU CHOIX. Les entreprises sont contentes qu’il y ait du choix et de la concurrence entre Red Hat, CentOS, Suse, et Canonical, par exemple. Ça fait chuter les prix, ça incite ces entreprises à proposer quelque chose d’innovant. Obliger ces acteurs à travailler main dans la main est impossible -et si tu y arrivais, que feraient-ils ? Comme dans tous les secteurs, ils s’entendraient pour revoir les prix à la hausse. Qui est gagnant dans l’histoire ? Ni les développeurs, ni les utilisateurs. Alors qui ?…



Ton rêve me fait un peu penser à un programme de l’URSS communiste. « Je sais ce qui est bon pour le peuple, il faut un seul parti qui va représenter tout le peuple, une seule marque de voiture qui devra convenir à tout le peuple »… et un seul OS qui devra convenir à tout le monde. Désolé mais je n’adhère pas du tout à ce genre d’idées.



Encore une fois, si tu as des suggestions, des améliorations à proposer sur un projet, libre à toi de contacter les développeurs. Comme dit plus haut, un bon développeur sait écouter les suggestions des uns et des autres, et retenir celles qui sont le plus demandées, ou qui correspondent le mieux aux attentes de la communauté.



Par contre si tu arrives en disant : « vos projets là, ils sont tous moisis, vous feriez mieux de travailler tous ensemble, ça donnerait un projet bien meilleur »… Il ne faut pas t’étonner qu’on te regarde avec des yeux tout ronds, qu’on rigole bien, et qu’on te dise d’aller développer ton truc dans ton coin si ça te chante.







Un exemple bien pratique et pragmatique : j’ai plusieurs ordinateurs chez moi, avec une utilisation particulière pour chacun d’entre eux. Je passe sur le HTPC et les deux serveurs maison (cas d’espèce : LibreElec, Openmediavault et Nas4Free) pour examiner mes ordis. J’ai donc :



-une station de travail très sollicitée, et que j’aime avoir à jour en bleeding edge, en acceptant de changer régulièrement de version : Fedora avec Cinnamon, je change à chaque version impaire.



-une machine auxiliaire dans ma chambre, avec une distro bidouillable sans trop de difficulté, et qui n’a pas de problèmes de version parce que j’ai pas envie de m’en occuper à chaque changement : Linux Mint Debian avec Cinnamon.



-autre machine auxiliaire dans le salon, qui fait aussi serveur en double boot avec Openmediavault, et que j’ai pas envie de bidouiller tous les quatre matins : Manjaro, aussi en rolling release, qui me change de LMDE



-un portable 15 pouces avec une distro où je veux être au niveau de ma station de travail, mais sans avoir besoin de la finesse d’install de ma Fedora, tout en ayant les mêmes paradigmes de base et les mêmes possiblités. Une distro “just works” sans prise de tête : Korora.



-un Zotac comme machine de dépannage/annexe où je veux une distro qui fonctionne dessus sans chichis, ni exigences particulières : Linux Mint 18 en LTS, cinq ans pépère sans toucher à rien comme nouvelle version.



-un netbook et une machine ancienne, qui ont besoin de distros ultra-légères (surtout que la seconde fait aussi HTPC) : Bunsen Labs pour le netbook, et Puppy Linux pour l’autre.



Maintenant, quelle distro unique pourra remplir tous mes besoins de façon satisfaisante ? Je ne vois pas, franchement… et je suis bien content de la diversité qui me permet cette situation !


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Tu réalises quand même que tu es plus proche d’un cas particulier que d’un cas grand public ?



VOUS avez trouvé chaussure à votre pied (et moi aussi dans une moindre mesure) et VOUS pensez que Linux çaybinçaypeace et tant mieux pour VOUS.



Dans tous VOS exemples, VOUS omettez systématiquement l’utilisateur “Mme Michu” qui s’en fout, tant que ça communique, qu’il ne le voit pas sur sa facture et qu’il ne va certainement pas passer son temps à comparer pour savoir quelle distro il doit prendre.



Déjà que choisir entre Intel, AMD ou Apple (si si, dans la tête des gens, c’est ce que ça donne), ça le fait chier…



L’utilisateur n’a pas envie de DEVOIR personnaliser son environnement, il veut POUVOIR le faire. Or, avec Linux, le sentiment de DEVOIR est bien là.



C’est un peu comme aller au resto et commander sa pizza. Combien vont prendre une pizza fournie dans la liste et combien vont vouloir la composer eux-mêmes avec les ingrédients de leur choix ?



Après, il ne faut pas se méprendre, je ne parle pas de mon cas puisque je me considère comme power-user sur n’importe quel OS (sauf Apple, faut pas déconner) et que je suis globalement d’accord avec vous sur les capacités de Linux. :-)

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Cedrix a écrit :



Tu réalises quand même que tu es plus proche d’un cas particulier que d’un cas grand public ?



VOUS avez trouvé chaussure à votre pied (et moi aussi dans une moindre mesure) et VOUS pensez que Linux çaybinçaypeace et tant mieux pour VOUS.



Dans tous VOS exemples, VOUS omettez systématiquement l’utilisateur “Mme Michu” qui s’en fout, tant que ça communique, qu’il ne le voit pas sur sa facture et qu’il ne va certainement pas passer son temps à comparer pour savoir quelle distro il doit prendre.







Alors là je t’arrête tout de suite.



L’utilisateur Mme Michu, sous Linux elle ne s’y connaît pas plus que sous Windows. Si tu commences à lui parler des différences entre Windows 7 et Windows 10, de l’UI, de la télémétrie, des versions 32 et 64 bits, tu vas la perdre. Ce qu’elle veut, c’est un ordinateur qui marche, dans lequel tout est déjà paramétré.



Sous Linux, c’est pareil. À Mme Michu, il lui faut UNE distribution déjà pré-installée. Alors, tu lui installes la distrib que tu connais le mieux (perso j’ai installé Linux Mint à mes parents), tu lui configures tout pour que ça marche, et basta. Pas de longs discours, pas de prise de tête : ça marche et ils sont contents. Ils s’en foutent qu’il existe d’autres distribs : celle que je leur ai installée répond à tous leurs besoins, ils n’ont jamais eu de problème avec. Ils savent qu’ils utilisent « Mint » (merci l’écran de chargement), mais ça s’arrête là, ils n’ont aucune idée du DE qu’ils utilisent, ni du shell, ni de quelle carte graphique il y a dans l’ordinateur. Je leur ai demandé ce qu’ils faisaient avec l’ordinateur, mais jamais je ne leur ai demandé leur avis sur le hardware ni sur l’OS que je leur ai installé : j’ai choisi moi-même tout le matos, et installé et configuré l’OS. Et qu’on ne me traite pas de dictateur : c’est exactement ce qu’ils voulaient que je fasse. Choisir chaque élément, ils s’en foutaient complètement.



Les Michu ne veulent pas entendre parler du choix, des distribs, des différents DE (KDE, Gnome…). Ils ne veulent pas qu’on leur dise d’installer Windows ou Linux eux-mêmes. Non, ils veulent juste quelque chose qui marche out-of-the-box : ils appuient sur le bouton « ON » et ils vont sur Facebook.



Maintenant, pourquoi est-ce que cet usage devrait être le seul ? Au nom de quoi faudrait-il que TOUTES les distributions Linux soient compatibles avec les Michu ? C’est quoi que vous voulez exactement, que des distribs comme LFS ou Gentoo deviennent installables et utilisables facilement par des Michu ? Ou qu’on supprime toutes les distros qui sont trop compliquées pour les Michu ?…



En voyant les choses comme ça, est-ce que tu n’as pas l’impression de faire l’inverse : ne considérer QUE les Michu, et laisser sur le carreau tous les autres utilisateurs, les geeks, les développeurs, les power users ?…


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Ce n’est pas moi qui me plaint que Linux n’est pas adopté par le grand public. Qui est plus nombreux ? Les power-users ou les Mme Michu ? :-)



Si j’avais une stratégie commerciale, lesquels je viserais tu penses ? Et avec quel type de produit ?



Pour ton exemple personnel, c’est oublier que:




  • Tout le monde ne demande pas à son fils/connaissance en informatique avant d’acheter du matos (et quand bien même ils le font, ils finissent quand même par acheter ce qu’ils veulent)

  • Le fils/connaissance n’a pas vraiment l’intention de faire du support. Visiblement tu as de la chance car moi je connais des Michu qui ne font jamais rien mais dont l’ordinateur ne fonctionne plus par enchantement.



    Moi je dis juste que, d’un côté, on a le monde libre bien gentil et qui fait de bonnes choses et que de l’autre, on a une grande uissance commerciale qui réussit tant bien que mal à faire du générique dans un semblant d’éco-système (Win32) et qui vise une large frange des utilisateurs PC. On y ajoute les jeux vidéos (raison n°1 de l’usage d’Iphone/Android aujourd’hui en Smartphone) et on a le combo gagnant pour qu’un utilisateur ne change plus de système de lui-même.



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Cedrix a écrit :



Ce n’est pas moi qui me plaint que Linux n’est pas adopté par le grand public. Qui est plus nombreux ? Les power-users ou les Mme Michu ? :-)







Mais qui s’en est plaint ici ? Qui a dit que Linux devrait à tout prix arriver chez Mme Michu ? Pas moi en tout cas…



À la base j’ai répondu à quelqu’un qui affirmait que si Linux ne perçait pas chez les Michu, c’est parce qu’il y a trop de choix dans les distributions. Affirmation avec laquelle je ne suis pas d’accord.









Cedrix a écrit :



Si j’avais une stratégie commerciale, lesquels je viserais tu penses ? Et avec quel type de produit ?







Si toi (ou un constructeur genre Dell ou HP) avait une stratégie commerciale, tu choisirais une seule distribution (par ex. Dell avait choisi Ubuntu à une époque), et c’est tout. Les Michu trouveraient des ordinateurs Dell avec Ubuntu dans les magasins, ça marcherait et ils seraient contents avec ça. Pas besoin de mettre toutes les distributions dans les magasins hein, ça ne rimerait à rien…



Maintenant, une fois que tu as dit ça, ça ne veut pas dire que toutes les autres distributions doivent disparaître ! On peut très bien distribuer un produit générique pour les Michu, et dans le même temps avoir une pléthore de distributions différentes pour les utilisateurs avancés. Comme ça tout le monde est content.



Pourquoi vouloir absolument que tout soit décidé uniquement en fonction des attentes des Michu ? C’est dingue ça. Il en faut pour tout le monde. Pourquoi voulez-vous à ce point tuer le choix ?


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Cedrix a écrit :



Tu réalises quand même que tu es plus proche d’un cas particulier que d’un cas grand public ?







Oui, et alors ?



J’ai besoin de plusieurs distros sur plusieurs ordis (y compris du Michu-compliant pour le petit Zotac que j’ai sous le coude quand je ne veux pas m’emmerder et qui est sous Mint), et je n’ai pas la même exigence en fonction de mes machines.



C’est pareil pour tous les utilisateurs de Linux : tu as du grand public qui veut du just works noob-compliant, des développeurs qui ont besoin de Gentoo, des sysadmin qui ont besoin d’une Debian Stable et des bidouilleurs qui s’éclatent avec une Fedora.



C’est ça l’intérêt de Linux : plusieurs distros avec plusieurs philosophies, et pas l’équarrissage pour tous égalitariste avec un OS propre à tout et bon à rien, qui satisfait personne au final.



Après, pour les noobs, il y a déjà ce qu’il faut pour eux avec Mint, Mageia et Ubuntu. Je ne vois pas où est le problème, et pourquoi tout ramener à eux alors que les autres utilisateurs ont aussi leurs distros en fonction de leurs exigences, et ne viennent pas faire chier les noobs qui sont sur l’une des trois précitées.


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Commentaire_supprime a écrit :



C’est ça l’intérêt de Linux : plusieurs distros avec plusieurs philosophies, et pas l’équarrissage pour tous égalitariste avec un OS propre à tout et bon à rien, qui satisfait personne au final.







En fait je crois qu’on a à faire à des personnes qui considèrent que Linux devrait suivre le modèle de Windows.



Leur croyance : il n’y a qu’un seul Windows pour tout le monde, qui répond à tous les besoins, et dont tout le monde est content. Linux devrait être pareil : une seule distribution qui répond aux besoins de tout le monde. Cf notamment commentaire #10 (les suivants sont un peu dans la même veine pour moi).



Sauf que si on regarde bien, à chaque version de Windows, des choix sont imposés par Microsoft de façon unilatérale. Windows Vista : on veut tout reconstruire sur de nouvelles bases, alors beaucoup de gens ont râlé car ça posait des problèmes de stabilité. Windows 8 : on veut tester un truc tiens, on va supprimer le menu Démarrer… et on sait combien les gens ont râlé. Windows 10 : tiens on va remettre le menu Démarrer… et tant pis pour ceux qui préféraient sans. Et puis avec Windows 10, on va faire un OS hyper connecté, avec Cortana et la télémétrie par défaut… On sait toute l’encre tous les pixels qui ont coulé sur ces sujets.



Alors, les choix de Microsoft sont-ils bons ou mauvais, je pense que ce n’est pas la question. En revanche, vu les nombreuses discussions animées entre Windowsiens sur chacun de ces sujets, on peut au moins en conclure une chose : ces changements imposés peuvent plaire à certains, mais pas à tout le monde. Chaque choix fait par Microsoft divise : il y a ceux qui sont pour, et ceux qui sont contre. Si le choix fait par Microsoft te plaît, tant mieux pour toi ; s’il ne te plaît pas, tant pis, c’est comme ça et tu n’as pas le choix… puisqu’il n’existe pas d’autre « distribution Windows ». Ces remarques sont valables aussi sur Mac OS X, où Apple est seule à décider des choix esthétiques et ergonomiques -cf le mini-scandale lors du passage au flat design, qui n’a pas plu à tous les Maceux.



Et pour parler des Michu, que font-ils ? Ils subissent ces changements imposés sans rien dire, ou bien en râlant pour certains, car ça change leurs habitudes. Dans tous les cas, ils ne peuvent rien y faire, puisqu’ils ne savent pas changer d’OS. Cela ne veut pas dire pour autant qu’ils sont contents de tous ces changements…



C’est justement le genre de situation qu’on ne rencontre pas quand on utilise une distribution GNU/Linux. Pour prendre un exemple qui a été beaucoup décrié : Canonical décide de façon unilatérale d’incorporer la recherche Amazon dans Ubuntu ? Les utilisateurs ne sont pas pris au piège, ils peuvent se barrer et installer Debian, Linux Mint, ou même quitter le monde du deb pour installer Mageia ou OpenSuse… Le choix, la liberté de se barrer ailleurs, ou même juste de tester différentes distribs pour choisir celle avec laquelle tu as le meilleur « feeling » et qui répond le mieux à tes besoins… Voire, le fait de pouvoir installer différentes distribs sur différents PC chez toi… Pour rien au monde je ne voudrais que ce choix disparaisse.



Mais ça, c’est difficile à comprendre pour quelqu’un qui est enfermé dans un écosystème où il n’a pas le choix. De son point de vue, le choix et la diversité ressemblent à de la cacophonie. J’ai une analogie pour ça : c’est un peu comme un allemand de l’Est qui n’a jamais connu que les Trabant, pour lui la pléthore de marques et de modèles de voitures à l’Ouest est déconcertante : Ford, Honda, Citroën, Fiat… Chaque modèle avec des spécificités différentes, essence ou diesel, autonomie, confort, options… Tellement de choix, tellement de configurations différentes ! Comment s’y retrouver ? C’est un véritable bordel. Une telle personne pourrait dire que s’il n’y avait qu’un seul modèle de voiture, équipées avec les options qui correspondent à tout le monde, ce serait vachement plus simple… Ben, j’ai l’impression d’entendre exactement ce discours de la part des gens qui disent qu’il ne devrait y avoir qu’une seule distribution GNU/Linux…


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Cedrix a écrit :



Ce n’est pas moi qui me plaint que Linux n’est pas adopté par le grand public. Qui est plus nombreux ? Les power-users ou les Mme Michu ? :-)



Si j’avais une stratégie commerciale, lesquels je viserais tu penses ? Et avec quel type de produit ?







Attention aux visions simplistes, c’est beaucoup plus compliqué que vous ne l’imaginez.



Il ne suffit pas de faire un produit “grand public” pour toucher le grand public.



Toucher le grand public, ça demande d’investir une montagne d’argent en marketing, publicité, commercial.



Sans cet investissement, aucun canal de distribution n’ouvrira ses portes.



Le monde du logiciel libre n’a pas cet argent contrairement aux multinationales du logiciel propriétaire.



Dans le libre, ceux qui font connaitre le produit, ce sont les power users (Logique de “prescripteurs” en jargon marketing).



Et le problème, c’est que les power users ne veulent pas d’un produit fait uniquement pour les noobs.



Le monde commercial peut se permettre de faire des produits uniquement adaptés à la cible en oubliant les autres.



Mais faire la même chose dans le monde du logiciel libre, ça ne fonctionne pas du tout.


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À ceux qui ont testé plus de distribs que moi, y’a pas un genre de logique du qui peut le plus peut le moins sur linux ?

Est-ce que vous avez des exemples concrets de distribs qui pourraient convenir à un grand public mais sur lesquels le power user ne pourrait absolument rien faire ?

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Konrad a écrit :



En fait je crois qu’on a à faire à des personnes qui considèrent que Linux devrait suivre le modèle de Windows.



Leur croyance : il n’y a qu’un seul Windows pour tout le monde, qui répond à tous les besoins, et dont tout le monde est content. Linux devrait être pareil : une seule distribution qui répond aux besoins de tout le monde. Cf notamment commentaire #10 (les suivants sont un peu dans la même veine pour moi).









Ce que les gens ne réalisent pas, c’est que le principe de spécialisation implique qu’il est impossible de couvrir de manière optimale tous les besoins avec le même produit.



Pour donner une analogie “bagnolesque”, un bon camion de déménagement ne sera jamais une bonne formule 1. Les deux ont besoin d’être spécialisés pour atteindre l’optimal de leur fonction.



Le polymorphisme des solutions libres est ce qui leur permet au final d’atteindre une bien plus grande polyvalence que les solutions propriétaires.



Par exemple, Windows ou MacOs n’offrent qu’un unique environnement de bureau. Et tout le monde s’y adapte tant bien que mal.



Linux offre une pléthore d’environnements que l’on pourra choisir en fonction de son niveau, de ses goûts et de ses besoins.



Avec Linux, le power user et le débutant pourront avoir des environnements adaptés à leurs besoins.


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levieuxtoby a écrit :



À ceux qui ont testé plus de distribs que moi, y’a pas un genre de logique du qui peut le plus peut le moins sur linux ?

Est-ce que vous avez des exemples concrets de distribs qui pourraient convenir à un grand public mais sur lesquels le power user ne pourrait absolument rien faire ?







En toute franchise : aucune. Modulo certaines philosophies des distros sur des points très précis pour hardcore power users.



Même avec une Ubuntu ou une Mint, tu peux ouvrir le capot et bidouiller comme bon te semble. Le terminal est dispo en série chez tout le monde, par exemple.



Cependant, pour certains points précis, les distros grand public ne remplissent pas les besoins de certains power users. Si on veut le dernier kernel, Ubuntu ne convient pas, il faut passer sur Fedora ou Debian Unstable, voire Sid. Pour du rock solid avec des binaires blindés, Debian Stable s’impose. Si on tient à avoir des paquets avec des options de compil personnalisées, il faut passer par Gentoo. Et si on veut les dernières versions à jour des logiciels, une rolling release comme Manjaro ou Arch est obligatoire.



Un power user pourra toujours utiliser à fond une distro pour noobs, mais il y trouvera des limites dans certaines utilisations, qui l’amèneront à choisir une autre distro qui ne les a pas.



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Dire que ce n’est pas aussi simple, c’est se mettre des barrières pour avancer. ;-)



Perso, je suis un grand adepte de la méthodo LEAN d’Eric Ries. :-)

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levieuxtoby a écrit :



À ceux qui ont testé plus de distribs que moi, y’a pas un genre de logique du qui peut le plus peut le moins sur linux ?







Dans le monde du libre, un produit trop exclusif ne fonctionnerait pas.



Donc la plupart des distributions sont très polyvalentes, mêmes celles orientées “débutant”.



Après, le “qui peut le plus peut le moins” implique plus de connaissances de la part de l’utilisateur.



Cela explique que les distributions pour “power users” ne sont pas forcément recommandables pour des débutants.





Est-ce que vous avez des exemples concrets de distribs qui pourraient convenir à un grand public mais sur lesquels le power user ne pourrait absolument rien faire ?





On pourrait citer le cas d’Android même si ce n’est pas une distribution Linux au sens habituel.



C’est basé sur un noyau Linux et les power users sont complètement oubliés.



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Merci pour cette réponse.

Et est-ce que parmi les besoins ‘power user’ que tu cites, y’en a qui ne correspondent pas à une activité professionnelle ou semi-professionnelle ?

Le sens de la remarque c’est de dire que y’a une part de faux procès qu’on voit souvent (et j’inclue pas les linuxiens de cette conversation dedans) qui serait qu’on abandonnerait ces power users quand on s’ouvrirait au grand public, alors que pour moi, d’une part s’adapter en priorité à des besoins très pointus j’ai du mal à comprendre, et d’autre part cette possibilité d’ajustement très précis ne disparait pas (cf. remarque de sr17).

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Merci pour ta réponse.









sr17 a écrit :



On pourrait citer le cas d’Android même si ce n’est pas une distribution Linux au sens habituel.



C’est basé sur un noyau Linux et les power users sont complètement oubliés.







Ok avec ça (même si c’est probablement l’OS pour téléphones mobiles le plus power user), mais c’est un peu étirer le concept de distrib linux dans le cadre de cette discussion.


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Cedrix a écrit :



Dire que ce n’est pas aussi simple, c’est se mettre des barrières pour avancer. ;-)



Perso, je suis un grand adepte de la méthodo LEAN d’Eric Ries. :-)







Bien au contraire.



C’est en étant lucide sur la réalité et la complexité des choses qu’on évite de se prendre les barrières en plein dans la tronche.



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levieuxtoby a écrit :



Merci pour cette réponse.

Et est-ce que parmi les besoins ‘power user’ que tu cites, y’en a qui ne correspondent pas à une activité professionnelle ou semi-professionnelle ?

Le sens de la remarque c’est de dire que y’a une part de faux procès qu’on voit souvent (et j’inclue pas les linuxiens de cette conversation dedans) qui serait qu’on abandonnerait ces power users quand on s’ouvrirait au grand public, alors que pour moi, d’une part s’adapter en priorité à des besoins très pointus j’ai du mal à comprendre, et d’autre part cette possibilité d’ajustement très précis ne disparait pas (cf. remarque de sr17).







Comme activité pro, il y a typiquement des distribution comme Red Hat et son équivalent non commercial, CentOD, destinées au full corporate, et qui ne comprennent pas par défaut des outils grand public comme un lecteur de médias par exemple, ou Debian dont la stable est clairement destinée avec les sysadmins en ligne de mire avec sa politique de paquets rock solid, pour ne parler que de ce que je connais.



L’ajustement très pointu ne disparait pas avec les distros tout public, mais il a certaines limites, variables suivant les distros. Par exemple, pas de paquets rock solid sur Ubuntu, mais on peut toujours y mettre un Apache dessus pour en faire un serveur web.


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levieuxtoby a écrit :



Merci pour cette réponse.

Et est-ce que parmi les besoins ‘power user’ que tu cites, y’en a qui ne correspondent pas à une activité professionnelle ou semi-professionnelle ?

Le sens de la remarque c’est de dire que y’a une part de faux procès qu’on voit souvent (et j’inclue pas les linuxiens de cette conversation dedans) qui serait qu’on abandonnerait ces power users quand on s’ouvrirait au grand public, alors que pour moi, d’une part s’adapter en priorité à des besoins très pointus j’ai du mal à comprendre, et d’autre part cette possibilité d’ajustement très précis ne disparait pas (cf. remarque de sr17).







Et pourtant, un logiciel qui est spécialisé pour le très grand public et un logiciel à destination des pro ne sont pas du tout élaborés de la même manière.



Pendant longtemps, il a existé des logiciels et des Os qui recherchaient une juste millieu, c’est à dire de convenir autant qu’il pouvait le faire a un maximum de monde.



Mais le monde commercial a décidé d’accentuer la spécialisation vers le grand public avec les tablettes et smartphones. Le clivage devient inévitable…


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En ce qui me concerne, je préfère les distributions en rolling release, histoire de pouvoir toujours bénéficier rapidement des dernières versions de mes applications. Le souci, bien que mon environnement soit particulièrement stable, on est plus susceptible de rencontrer des problèmes lors d’une mise à jour, puisque beaucoup moins testé. Je ne pense donc pas que ce soit compatible avec ce que recherchent les débutants, qui préfèrent un système et des applications incroyablement stables, et surtout, de ne pas avoir à bidouiller en cas de problème.



Un autre point important des distributions comme Arch ou Gentoo, c’est que c’est généralement à l’utilisateur d’installer et configurer lui-même ce dont il a besoin (le système installé par défaut étant particulièrement minimaliste). Par exemple, il n’y a aucune environnement de bureau, rien pour l’impression, le Bluetooth, la prise en charge de certains systèmes de fichiers exotiques (NTFS, exFAT…), les codecs audio/vidéos non libres, Flash… et j’en passe et des meilleures.



Tu as donc par défaut un environnement particulièrement léger et véloce, et c’est à toi de l’alourdir selon tes besoins. À l’opposé, les distributions orientées débutants vont tout installer par défaut, histoire d’être certain que peu importe le cas de figure, ce soit toujours ok et que l’utilisateur n’ait rien besoin d’installer ou configurer lui-même.



Un utilisateur avancé préférera toujours installer uniquement ce dont il a besoin, plutôt que d’effectuer l’opération inverse, chercher ce qui peut être désinstallé pour tenter d’alléger son système.

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sr17 a écrit :



Mais le monde commercial a décidé d’accentuer la spécialisation vers le grand public avec les tablettes et smartphones. Le clivage devient inévitable…







M’en parle pas, Mac OS est mon OS principal (professionnellement comme perso), quand je vois la négligence du desktop chez Apple (alors que c’était une de ses forces avant)…


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Chacun sa vision des choses sur ce point, je ne suis pas d’accord ;-)

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Ha… !! Enfin du constructif. Merci Konrad, Commentaire_supprime, Okki et levieuxtoby <img data-src=" />

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Okki a écrit :



En ce qui me concerne, je préfère les distributions en rolling release,

histoire de pouvoir toujours bénéficier rapidement des dernières

versions de mes applications. Le souci, bien que mon environnement soit

particulièrement stable, on est plus susceptible de rencontrer des

problèmes lors d’une mise à jour, puisque beaucoup moins testé. Je ne

pense donc pas que ce soit compatible avec ce que recherchent les

débutants, qui préfèrent un système et des applications incroyablement

stables, et surtout, de ne pas avoir à bidouiller en cas de problème.






Un autre point important des distributions comme Arch ou Gentoo, c'est      



que c’est généralement à l’utilisateur d’installer et configurer

lui-même ce dont il a besoin (le système installé par défaut étant

particulièrement minimaliste). Par exemple, il n’y a aucune

environnement de bureau, rien pour l’impression, le Bluetooth, la prise

en charge de certains systèmes de fichiers exotiques (NTFS, exFAT…),

les codecs audio/vidéos non libres, Flash… et j’en passe et des

meilleures.




Tu as donc par défaut un environnement      



particulièrement léger et véloce, et c’est à toi de l’alourdir selon tes



besoins. À l'opposé, les distributions orientées débutants vont tout      



installer par défaut, histoire d’être certain que peu importe le cas de

figure, ce soit toujours ok et que l’utilisateur n’ait rien besoin

d’installer ou configurer lui-même.




Un utilisateur avancé      



préférera toujours installer uniquement ce dont il a besoin, plutôt que

d’effectuer l’opération inverse, chercher ce qui peut être désinstallé

pour tenter d’alléger son système.





+1



Il y’en a pour tout les goûts, des très accessibles pour débutants aux

plus hardcores, mais globalement on peut faire le power user sur toutes,

hormis quelques trucs vraiment ultra spécifiques. mais ça rejoint l’avis de

&nbsp;





Commentaire_supprime a écrit :



En toute franchise : aucune. Modulo certaines philosophies des distros sur des points très précis pour hardcore power users.




Même avec une Ubuntu ou une Mint, tu peux ouvrir le capot et bidouiller comme bon te semble. Le terminal est dispo en série chez tout le monde, par exemple.      






Cependant, pour certains points précis, les distros grand public ne remplissent pas les besoins de certains power users. Si on veut le dernier kernel, Ubuntu ne convient pas, il faut passer sur Fedora ou Debian Unstable, voire Sid. Pour du rock solid avec des binaires blindés, Debian Stable s'impose. Si on tient à avoir des paquets avec des options de compil personnalisées, il faut passer par Gentoo. Et si on veut les dernières versions à jour des logiciels, une rolling release comme Manjaro ou Arch est obligatoire.      






Un power user pourra toujours utiliser à fond une distro pour noobs, mais il y trouvera des limites dans certaines utilisations, qui l'amèneront à choisir une autre distro qui ne les a pas.








Pour ce qui est de l'usage courant Michu compliant (on va prendre ce terme péjoratif), toute les distrib majeures font bien le taf et permettent très bien d'approfondir et d'apprendre ou de rester simple utilisateur sans prise de tête, Mageia puisqu'on parle d'elle le fait bien (je l'ai utilisé quelques années). Seul les "gamer fou" seront frustrés sur ces OS (encore que mais il faut quand même bien se remuer les méninges pour faire fonctionner les derniers AAA, mais idem avec les jeux oldschools datant de windows XP rien que sur Seven) ou les réticents au changements d'habitudes mais c'est un autre débat.     





Avec le temps, mais c’est mon expérience perso, on fait ses armes sur la première qui nous parle, en fait la première qui fonctionne sans soucis sur sa bécane (quelquefois on en teste plusieurs pour avoir une GUI exploitable car la première arrivée sur un terminal pour cause d’install foireuse est déconcertant voir rédhibitoire), on fait ses armes soit en utilisateur basique et on la garde jusqu’au premier crash majeur ou on la fait sauter très vite car on s’enflamme, ensuite soit on persévère car l’expérience était plaisante et intéressante soit on abandonne et retourne sur le “mainstream”. Avec le temps on en teste d’autres et on adopte celle(s) qui nous convient. En fait cette démarche s’applique à tous les OS disponibles, si Windows, Mac OS, BSD… convient à son utilisateur ou qu’il les utilisent tous, c’est très bien. Ce qui compte c’est le choix et la liberté de faire ce que l’on veut avec son matos et ses dix doigts.



Bref Mageia est une bonne distribution accessible au débutant, à l’instar d’Ubuntu (utilisée quelques années aussi mais j’en suis revenu), Mint (je suppose je l’ai jamais testé), Fedora (elle possède un certain attrait) etc.



&nbsp;Perso, j’ai des besoins de “papa” maintenant donc Debian Stable^^, ça demande un peu de configuration au départ mais ensuite c’est peinard.



C’est juste dommage d’avoir un déferlement de passions à chaque news sur une distribution, ça démotive les curieux qui voudraient essayer effrayés par les barbus intégristes ou par les fanboys Windows dénigrant tout ce qui n’est pas Microsoft, et troisième catégorie ceux qui ont fait une tentative d’installation d’une distribution qui fut un échec cuisant pour leur ego car installation foirée et direction le terminal ou réussie mais à faire des moulinets avec sa souris sur sa GUI car ça leur a pris 30 mn pour comprendre comment installer un logiciel avec le gestionnaire de paquets et que le dernier AAA ben il fonctionne pas direct.



&nbsp;


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C’est dommage de parler de constructif quand:




  • Tu cites un commentaire quo déclare que le système NTFS c’est exotique.

  • Ton dernier paragraphe est tout sauf objectif et constructif.

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Juste un petit point complémentaire, à ton commentaire par ailleurs fort pertinent :









Chromosome3 a écrit :



C’est juste dommage d’avoir un déferlement de passions à chaque news sur une distribution, ça démotive les curieux qui voudraient essayer effrayés par les barbus intégristes ou par les fanboys Windows dénigrant tout ce qui n’est pas Microsoft, et troisième catégorie ceux qui ont fait une tentative d’installation d’une distribution qui fut un échec cuisant pour leur ego car installation foirée et direction le terminal ou réussie mais à faire des moulinets avec sa souris sur sa GUI car ça leur a pris 30 mn pour comprendre comment installer un logiciel avec le gestionnaire de paquets et que le dernier AAA ben il fonctionne pas direct.







Quand j’ai commencé à m’intéresser à Linux il y a de cela onze ans, venant de Mac OS Classic, je savais d’entrée que j’allais en chier et que j’allais devoir tout apprendre from scratch et persévérer pour avoir quelque chose d’utilisable. C’est avec Mandrake 10 que j’ai fait mes premières armes à une époque où tu n’avais pas la moitié des périphériques et matériels qui fonctionnaient sous le manchot.



De ce côté-là, j’ai été agréablement surpris parce que j’ai eu rapidement, et avec bien moins d’efforts que ce que je croyais, du matériel utilisable et des logiciels qui tenaient la route pour mes usages courants. J’ai été encouragé à persévérer, et j’ai appris qu’il ne faut pas avoir de préjugés sur une distro Linux. Et si ça fonctionne/ne vous convient pas, ben, on passe à une autre distro.



Mon premier contact avec Fedora a été calamiteux, la gestion de l’affichage à l’écran ne fonctionnant tout simplement pas avec Fedora 9 et le matériel que j’avais à l’époque. J’y suis revenu avec la 11, et c’est la distro qui est ma principale depuis qu’elle fait tourner mon NUC sans problème depuis la 21. Comme quoi…



Maintenant, ce qui ne fonctionne pas sous Tux devient l’exception plutôt que la règle et, sauf à prendre des distro en alpha (Cinnamon foire sur Fedora 25 alpha par exemple), tomber sur une distro inutilisable est vraiment un manque de bol. Et n’empêche pas qu’il puisse y en avoir d’autres qui tournent à 100% impec à la place. Des gros plantages comme les dépôts impossibles à trouver par Open Suse 11, par exemple, c’est quelque chose d’exceptionnel qu’on ne voit guère que sur les prototypes et autres version alpha.



Oui, il faut accepter de prendre le risque de ne pas avoir tout qui fonctionne du premier coup sous Linux quand on s’y met pour la première fois, mais c’est nettement moins l’aventure que ce que c’était il y a de cela ne fût-ce que cinq ans, sans parler de dix ou onze, comme moi. Aucun choix n’est parfait, et celui d’un OS ne déroge pas à la règle.


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Cedrix a écrit :





  • Tu cites un commentaire quo déclare que le système NTFS c’est exotique.





    NTFS n’est plus tellement exotique : dans le monde Linux, il est très bien supporté par l’OS.

    À quand la même chose pour les ext2, ext3, ext4 supportés sous Windows par l’OS lui-même ?


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[HS]

Alors que toi, remettre de l’huile sur le feu, c’est un modèle d’intervention constructive…

[/HS]

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levieuxtoby a écrit :



À ceux qui ont testé plus de distribs que moi, y’a pas un genre de logique du qui peut le plus peut le moins sur linux ?

Est-ce que vous avez des exemples concrets de distribs qui pourraient convenir à un grand public mais sur lesquels le power user ne pourrait absolument rien faire ?







Dans l’absolu, il est possible de tout faire avec n’importe quelle distribution Linux.



Par exemple, un gamer peut tout à fait partir d’une distribution comme LFS (Linux From Scratch), compiler tous ses paquets, convertir les bibliothèques qui vont bien, bidouiller l’installeur de Steam pour que ça marche. Mais il risque d’y passer des jours, alors qu’en installant une distribution comme Ubuntu, en deux clics tu installes Steam et tu joues à tes jeux.



À l’inverse, quelqu’un qui veut se monter un serveur headless peut très bien installer Ubuntu ou Linux Mint, et ensuite supprimer les paquets dont il n’a pas besoin (LibreOffice, GIMP, sont préinstallés avec Ubuntu, mais n’ont pas trop leur utilité sur un serveur léger). Mais là encore, il risque d’y passer des jours pour vraiment purger tout ce dont il n’a pas besoin sans créer de conflit. Alors qu’en installant une distribution véritablement orientée serveur (comme Debian ou CentOS), il aura tout de suite un serveur minimal fonctionnel.



La question critique n’est donc pas « est-ce que c’est possible », car dans l’absolu tout est possible. La question pertinente est plutôt : avec quelle distribution est-il le plus simple de faire ce que je veux ? On se rend rapidement compte qu’il est plus facile de faire ce que tu veux avec certaines distribs qu’avec d’autres. Donc, selon les usages, je ne recommanderais pas la même distribution à chaque utilisateur.



J’insiste encore sur le fait qu’une distribution « universelle » qui couvre tous les besoins est impossible. Techniquement, si on veut ça existe déjà : on peut partir de n’importe quelle distrib, et la tordre dans tous les sens pour arriver à faire ce que l’on veut. Mais pourquoi s’embêter, pourquoi passer des jours à se galérer alors qu’il existe déjà une autre distribution qui te permettra d’arriver plus rapidement à ton résultat ? Pourquoi vouloir supprimer cette diversité, imposer une seule base unique, et obliger les gens à se galérer par la suite ?


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Konrad a écrit :



À l’inverse, quelqu’un qui veut se monter un serveur headless peut très bien installer Ubuntu ou Linux Mint, et ensuite supprimer les paquets dont il n’a pas besoin (LibreOffice, GIMP, sont préinstallés avec Ubuntu, mais n’ont pas trop leur utilité sur un serveur léger). Mais là encore, il risque d’y passer des jours pour vraiment purger tout ce dont il n’a pas besoin sans créer de conflit. Alors qu’en installant une distribution véritablement orientée serveur (comme Debian ou CentOS), il aura tout de suite un serveur minimal fonctionnel.





On peut aussi installer Ubuntu server et ne pas passer du temps à désinstaller…



Pourquoi faire simple quand on peut faire compliqué ?



Mais bon, ensuite, autant utiliser Debian pour un serveur, mais pas pour la raison que tu indiquais.


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Konrad a écrit :



Pourquoi vouloir supprimer cette diversité, imposer une seule base unique, et obliger les gens à se galérer par la suite ?







Je disais pas ça pour supprimer une diversité ou quoi, juste par curiosité.


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Salut Cedrix,



Oui le format NTFS est exotique amha, format qui a longtemps été un calvaire pour les autres OS. Mais c’est subjectif comme avis.



&nbsp;

“NTFS est peu documenté, à dessein selon certains, car, pour cette raison, et aussi parce que l’on n’avait pas pu effectuer de rétroconception complète à son sujet, les pilotes GNU/Linux n’y donnaient accès qu’en lecture et partiellement en écriture jusqu’à l’arrivée du pilote libre NTFS-3G. Celui-ci n’est pas complet, mais permet des lecture/écriture sur du NTFS.

Historique des pilotes (pour permettre l’accès et l’écriture sur des partitions NTFS non compressées)&nbsp;:





  • le premier, Linux-NTFS ne permet que la lecture et l’écriture en mode remplacement seulement (considéré comme stable depuis le noyau 2.6.15), mais ni la création, ni la suppression de fichiers&nbsp;;

  • un deuxième, Captive (Captive NTFS), qui est beaucoup plus lent, mais permet la lecture et l’écriture de manière plus sûre pour la partition, est une encapsulation de la DLL de Windows. Il fonctionne plutôt bien, mais peut planter, par exemple sur l’écriture de gros fichiers&nbsp;;

  • le logiciel commercial Paragon&nbsp;;

  • le logiciel commercial Tuxera&nbsp;(en)&nbsp;;

  • le pilote libre NTFS-3G, en version stable 1.0 depuis le 21 février 2007, permet une écriture fiable et la création de fichiers sur les partitions NTFS.”



    Source



    et pour Mac



    Pour mon dernier paragraphe, ça reste une constatation personnelle, donc forcément subjective et légèrement trollesque sur les bords, mais j’assume.



    Mais j’avoue que ça m’énerve de voir débarquer toujours les même poncifs et intégristes de tout bord (je peux en être un aussi hein) sur chaque news Linux, Windows ou MacOS d’ailleurs venir faire son prosélyte pour vanter les mérites Ô combien mirifiques de son OS fétiche, dénigrant tout les autres choix. Malheureusement c’est un comportement préjudicable bien humain que l’on retrouve sur la religion, la politique, les bagnoles, les rasoirs… Il y’a un besoin de se foutre sur la gueule et d’imposer sa vision, ça doit être le côté je veux être chef et c’est moi qui ait raison, le reste c’est de la merde.

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fred42 a écrit :



On peut aussi installer Ubuntu server et ne pas passer du temps à désinstaller…



Pourquoi faire simple quand on peut faire compliqué ?







C’est exactement ce que je disais <img data-src=" />



Plutôt que d’installer n’importe quelle distrib mal adaptée (ex. Ubuntu), autant installer une distrib qui répond déjà bien mieux à tes besoins (comme Ubuntu Server, ou Debian, ou…).









Chromosome3 a écrit :



ceux qui ont fait une tentative d’installation d’une distribution qui fut un échec cuisant pour leur ego car installation foirée et direction le terminal ou réussie mais à faire des moulinets avec sa souris sur sa GUI car ça leur a pris 30 mn pour comprendre comment installer un logiciel avec le gestionnaire de paquets et que le dernier AAA ben il fonctionne pas direct.







Ah oui, ça j’en ai vu des gens comme ça…



Le must du must : quelqu’un sur un forum, qui disait avoir installé Ubuntu. Ensuite il a téléchargé MSN mais le setup.exe ne fonctionnait pas, et ensuite il a téléchargé Libre Office (mais le setup.exe depuis le site Web quoi), et ça ne marchait pas non plus. Pareil avec ses jeux qui ne s’installaient pas depuis le CD.



Résultat : en moins d’une heure il avait conclu que Linux c’est de la merde, que rien n’est simple, il a formaté et il est retourné sous Windows.



Alors, je ne jette pas la pierre à ce genre d’utilisateur, le problème ici c’est la formation. Pour installer des logiciels sous Linux il faut bien sûr passer par le gestionnaire de logiciels, et en deux clics c’est installé ; mais c’est sûr que si personne ne te l’a dit, tu ne le devines pas forcément tout seul. Et tes habitudes de Windowsien ne t’aident pas, bien au contraire.



Les nouveaux arrivants ont parfois du mal à comprendre une chose : Linux est différent de Windows. Certains s’attendent à ce que Linux soit 100% comme Windows, mais en gratuit. Notamment, ils s’attendent à pouvoir installer tous leurs logiciels comme sous Windows (genre on double-clic sur setup.exe et ça s’installe). Forcément, ils vont au devant de grandes déceptions…


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Concrètement, qu’est-ce que cette distribution apporte face à la concurrence ?

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Non, non, c’était pas du troll…. juste une réflexion moyenne d’un utilisateur moyen (de Linux Mint en l’occurrence).

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Moi je trouve au contraire qu’il y a moins de choix qu’avant en terme de distribution. Maintenant en gros on a les debian/ubuntu, fedora, slackware, mageia, fedora, suse gentoo et suse&nbsp; (et toutes les variantes qui repose sur ces distri). J’ai l’impression que les petites distris de derrière les fagots avec le petit serveur pour mettre à jour les paquets c’est un peu fini et que c’est pour ça que les distributions citées sont de bonnes qualités.

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On peut pas vraiment comparer Ubuntu et Mageia vu le cycle de release différent

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Ca me fait un peu penser à ça



https://xkcd.com/927/

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BTCKnight a écrit :



C’est “un peu” débile, je trouve, que les développeurs se dispersent à essayer de pondre et de mettre à jour un million (ou presque) de distros différentes de Linux.







C’est “un peu” débile de croire qu’on empile les développeurs comme des ordinateurs. Si tu forçais tous les développeurs de Mageia à travailler sur Ubuntu (par exemple), tu crois vraiment que ça donnerait de bons résultats ? Non, parce que ces développeurs seraient contraints à travailler d’une façon qui ne leur plaît pas, sur des projets qui ne leur plaisent pas.



Ce n’est pas comme ça que ça marche. Pour qu’un projet avance, il faut que les développeurs s’y sentent investis, encore plus lorsqu’il s’agit de logiciels libres, et encore plus lorsque ces développeurs sont bénévoles. Si tu crois que tout avancerait plus vite si tous les développeurs s’entre-aidaient sur le même projet, tu te fourres le doigt dans l’œil.









BTCKnight a écrit :



C’est la principale tare de Linux et ce qui l’empêche (jusqu’à maintenant) de s’imposer sur le desktop







Non, ce qui empêche Linux de s’imposer sur le desktop, c’est une grosse entreprise qui vende des PC dans les magasins et en fasse la promo. Si on voyait des PC avec un Linux pré-installé dans les magasins (Darty, Carrefour, FNAC, Auchan…), Linux percerait sur le desktop. Ce n’est pas le cas (pour tout un tas de raisons).









BTCKnight a écrit :



J’imagine que tout le monde ne sera pas d’accord avec moi… mais c’est aussi parce-que vous ne parvenez pas à vous mettre à la place d’un débutant… lorsqu’un débutant veut utiliser Windows, il utilise Windows 10 et c’est tout… il n’y a pas des centaines de versions différentes de Windows pour installer sur un PC de base.







Oui, cf ce que j’ai dit juste avant. S’il y avait des PC dans les grandes surfaces, avec un Linux bien identifié (par exemple Ubuntu), les gens n’auraient pas à choisir entre une centaine de distros. D’ailleurs les gens n’auraient même pas à savoir ce qu’est une distribution : elle serait déjà pré-installée et prête à être utilisée, comme l’est Windows.



Quand tu parles de débutant, tu parles de quelqu’un qui n’est pas capable d’installer son propre OS. Cela veut dire qu’il faut faire le travail pour lui, par exemple en installant Linux à sa place. Perso quand quelqu’un qui n’y connaît rien me demande d’installer Linux, je ne pars pas dans un discours expliquant les tenants et aboutissants de telle distrib, ah ouais mais si tu installes celle-là il y a ça, et sur celle-ci le gestionnaire de paquets… GaaAAArgl !!! <img data-src=" />



Non, j’installe tout simplement la distrib de MON choix, et j’explique à la personne comment s’en servir… Comment mettre à jour (tu cliques ici), comment aller sur le Web, etc. Et la personne ne sait même pas qu’il existe d’autres distributions.



Le choix dans les distributions est faire pour les utilisateurs avancés, pour ceux qui savent installer un OS, qui veulent explorer ou tester différentes choses… Et en tant qu’utilisateur avancé, ce choix, j’y tiens, je le trouve très important.


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Yseader a écrit :



On peut pas vraiment comparer Ubuntu et Mageia vu le cycle de release différent





Ubuntu ne se compare à rien, je crois que ce sont les seuls qui s’imposent un rythme de 6 mois coûte que coûte même si c’est une LTS (ton produit phare) et même s’il reste des bugs. Mais dans l’esprit c’est aussi une distribution qui s’adresse aux débutants.


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Konrad a écrit :



Non, ce qui empêche Linux de s’imposer sur le desktop, c’est une grosse entreprise qui vende des PC dans les magasins et en fasse la promo. Si on voyait des PC avec un Linux pré-installé dans les magasins (Darty, Carrefour, FNAC, Auchan…), Linux percerait sur le desktop. Ce n’est pas le cas (pour tout un tas de raisons).





Sans remettre en cause cette raison, il me semble que l’écosystème d’applications joue aussi beaucoup non ? Il y a un effet d’entraînement qui aurait lieu s’il y avait moins de vente liée, mais pas que.


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Donc il a raison. Les gens croient plus en la manipulation du 9 11 qu’en l’utilisation de Linux. <img data-src=" />

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BTCKnight a écrit :



C’est “un peu” débile, je trouve, que les développeurs se dispersent à essayer de pondre et de mettre à jour un million (ou presque) de distros différentes de Linux.

C’est la principale tare de Linux et ce qui l’empêche (jusqu’à maintenant) de s’imposer sur le desktop (et ce qui rebute certaines initiatives commerciales et fait fuire les éditeurs de softs).

Je trouve qu’on devrait s’occuper et utiliser les 4 ou 5 premières distros (tout au plus) et boycotter les autres (Darwin avait raison).

J’imagine que tout le monde ne sera pas d’accord avec moi… mais c’est aussi parce-que vous ne parvenez pas à vous mettre à la place d’un débutant… lorsqu’un débutant veut utiliser Windows, il utilise Windows 10 et c’est tout… il n’y a pas des centaines de versions différentes de Windows pour installer sur un PC de base.

Pourtant je ne suis pas le seul à le penser, il vous suffit de taper “too many linux distributions” sur Google pour le vérifier…







Non, la raison qui empêche Linux de s’imposer sur desktop, c’est que les machines sont vendues préinstallées avec Windows sans que le consommateur puisse faire facilement un autre choix.



A une époque, internet explorer avait 98% de PDM parce qu’il venait préinstallé. Ca s’est écroulé le jour ou l’Europe à imposé à Microsoft un écran de choix permettant de choisir entre plusieurs navigateurs.



Donc les choses changeront quand le politique aura l’intelligence de comprendre qu’une hégémonie planétaire d’un seul acteur est mauvais pour tout le monde.



Quand à Linux, ce que tu vois comme une faiblesse est au contraire sa plus grande force. Pas d’hégémonie dans le monde Linux, c’est ce qui pousse à l’excellence et permet une diversité adaptée à tous les usages.



C’est justement cette caractéristique qui fait que Linux ne reproduira pas les erreurs de Windows.



La difficulté de choix pour les débutants ? En pratique elle n’existe pas car il existe une distribution plus connue que les autres qui est le choix de la plupart des débutants.


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levieuxtoby a écrit :



Sans remettre en cause cette raison, il me semble que l’écosystème d’applications joue aussi beaucoup non ? Il y a un effet d’entraînement qui aurait lieu s’il y avait moins de vente liée, mais pas que.







Oui, c’est vrai aussi. Si les applications les plus utilisées (jeux vidéos, MS-Office, Photoshop, etc.) étaient disponibles en version Linux, ça aiderait beaucoup.



Mais il faut bien comprendre que cet aspect là n’est pas du tout dans les mains de la communauté Linux. Comme il s’agit de logiciels propriétaires, le portage revient entièrement à leurs éditeurs respectifs : les développeurs des distribs Linux ne peuvent rien faire.



Certains éditeurs ont déjà sauté le pas (notamment Valve et d’autres éditeurs du côté des jeux vidéos), mais d’autres se cachent encore derrière l’argument « Linux desktop a 1% de parts de marché alors ça ne nous rapportera rien de porter nos applis ».


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levieuxtoby a écrit :



Sans remettre en cause cette raison, il me semble que l’écosystème d’applications joue aussi beaucoup non ? Il y a un effet d’entraînement qui aurait lieu s’il y avait moins de vente liée, mais pas que.







Justement, comparons.



Un bonne distribution Linux propose des dizaines de milliers de logiciels gratuits et de qualité qui s’installent d’un seul clic.



Sérieusement, connait-tu un seul Os propriétaire qui propose l’équivalent ?


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Konrad et sr17, parfois vous n’avez pas l’impression de dire invariablement la même chose sur chaque news ?



Le consommateur, il veut que ça marche. Et donc la vente liée c’est mal mais personne ne préinstalle de Linux… Donc il ne va pas choisir autre chose.



Lancez donc votre business Linux, ça peut marcher !

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Konrad a écrit :



Oui, c’est vrai aussi. Si les applications les plus utilisées (jeux vidéos, MS-Office, Photoshop, etc.) étaient disponibles en version Linux, ça aiderait beaucoup.



Mais il faut bien comprendre que cet aspect là n’est pas du tout dans les mains de la communauté Linux. Comme il s’agit de logiciels propriétaires, le portage revient entièrement à leurs éditeurs respectifs : les développeurs des distribs Linux ne peuvent rien faire.



Certains éditeurs ont déjà sauté le pas (notamment Valve et d’autres éditeurs du côté des jeux vidéos), mais d’autres se cachent encore derrière l’argument « Linux desktop a 1% de parts de marché alors ça ne nous rapportera rien de porter nos applis ».







Si, il y a des choses que le monde Linux peut faire pour améliorer la situation.



Par exemple, faire en sorte qu’un éditeur ne soit pas obligé d’attende des mois le bon vouloir d’un volontaire pour publier une application ou une mise à jour dans les dépôts.



Malheureusement, le monde du libre est encore trop orienté amateur et volontariat. Il y a une révolution culturelle à mener pour convenir aux besoins des éditeurs commerciaux.





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<img data-src=" />

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Obidoub a écrit :



Et c’est reparti pour 15 pages d’un débat qui dure depuis 10 ans…





Temps durant lequel Linux est toujours aussi confidentiel en tant qu’ OS quotidien et principal chez les particuliers. Je rêve d’une distrib qui reparte de quasi zéro, qui rassemble en fonctionnant comme une démocratie dont le but serait d’instorer des standards et des outils en fonction des besoins des dev et utilisateurs. Un système de features request en ligne avec système de votes et commentaires pour les prioriser. Bref, une distrib généraliste et polyvalente qui au final repondrait aux besoins de la majorité. C’est peut-être ce genre de distrib qui à terme aurait des chances de faire boule de neige.


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Konrad a écrit :



Oui, c’est vrai aussi. Si les applications les plus utilisées (jeux vidéos, MS-Office, Photoshop, etc.) étaient disponibles en version Linux, ça aiderait beaucoup.





Pour le grand public sorti des jeux vidéos (encore que le console de jeux peux maintenant aisément remplir ce rôle) les usages principaux ont largement une réponse viable :

bureautique : libre office

gestion photothèque : digikam

navigateur : chrome/firefox

lecteur multimédia : vlc

gestion discothèque : banshee

&nbsp;

&nbsp;

Les usages un peu moins répandu ont aussi leurs applications

gestion des comptes : grisbi

graphismes avancés : gimp

messagerie : skype / pidgin /

généalogie :&nbsp; gramps

email : thunderbird / evolution / …

&nbsp;


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Pitié, pas 500 messages^^.



Chaque news sur une distrib ou Windows&nbsp; est l’équivalent de la pleine lune pour les lycanthropes appliqué aux trolls. Ça conforte les fanboys de chaque OS dans leurs certitudes et fait fuir les curieux.







Nilav a écrit :



Je te trouve un peu dur avec lui (rapport au troll).



Son analyse n’est peut-être pas juste mais il a pas franchement pris le ton du mec qui a pondu son troll du déjeuner. <img data-src=" />



Perso, et sans troll hein, je dirai que c’est un peu le bordel, mais une sorte de bordel organisé car comme tu le dis, c’est le monde du libre (sous-entendu, la démarche commerciale y est absente), chacun prend ce qu’il veut en fonction de ses besoins et c’est une des force du libre. Peut-être pourrait-on regretter la difficulté d’accès/compréhension des différentes possibilités offertes. Je me suis par exemple souvent posé la question entre deux, trois distributions Linux, laquelle était le plus adaptée à mon besoin et ça finit quand même bien souvent en “c’est kif kif”, d’expérience, toujours sans troll.



Après, je ne juge pas, j’accepte le contexte qui n’est pas celui de Windows ou de Mac (ils font du pognon avec et pas qu’un peu, ce qui oblige à charger la mule et à être adapté au plus large public possible).









Commentaire_supprime a écrit :



Pour compléter ton propos, je dirais que les distros Linux donnent à l’utilisateur une possibilité importante dans le choix de la distro : celle de faire jouer sa subjectivité.



Dans chaque catégorie, il y a plusieurs distros. Pour les débutants, il y a Ubuntu, Mint et Mageia pour les principales. C’est comme choisir entra Barilla, Panzani et une MDD pour ses penne rigate : c’est selon.



Après, et c’est formidable avec le manchot, ça te coûte rien, financièrement parlant, d’essayer toutes les distros qui t’intéressent pour te faire ton idée, ce que j’ai fait. Et de choisir celle qui te plaît à l’usage sur tes critères à toi, des plus rationnels aux plus subjectifs. Ou de rien choisir et de tout prendre suivant l’inspiration…



&nbsp;

&nbsp;Voilà, le choix c’est la liberté, mais la liberté de choix implique de prendre des initiatives, de tester, se planter aussi, découvrir, s’impliquer, comprendre ; c’est source d’échec parfois et donc frustrant. Nous, petits humains gâtés, fuyons la frustration, quoi de plus humiliant que de se retrouver comme une poule devant une valise face à son ordi, alors que dans la valise il y a de quoi faire pousser du maïs à volonté en hydroponie et des pièges à renards, mais il faut l’ouvrir et lire le putain de manuel, c’est tellement plus confortable d’attendre qu’on nous le mette dans la mangeoire à heure fixe en attendant de passer au tourne broche.



C’était le troll à plume, c’est fou ce qu’il y a comme espèces.


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fred_gaou a écrit :



Temps durant lequel Linux est toujours aussi confidentiel en tant qu’ OS quotidien et principal chez les particuliers. Je rêve d’une distrib qui reparte de quasi zéro, qui rassemble en fonctionnant comme une démocratie dont le but serait d’instorer des standards et des outils en fonction des besoins des dev et utilisateurs. Un système de features request en ligne avec système de votes et commentaires pour les prioriser. Bref, une distrib généraliste et polyvalente qui au final repondrait aux besoins de la majorité. C’est peut-être ce genre de distrib qui à terme aurait des chances de faire boule de neige.







La démocratie, c’est une belle idée mais ce n’est pas non plus la recette magique pour tout.



Par exemple, le fait d’être nombreux à avoir tort ne donne pas pour autant raison.



Pour ma part, je pense qu’un projet sera meilleur s’il est dirigé par quelques hommes sages que par une armée de kiloolol.



Et si d’autres pensent avoir une meilleure vision, qu’ils forkent.



Mieux vaut avoir plusieurs projets concurrents qui apportent chacun leur propre vision qu’un espèce de merdier unique sans aucune cohérence parce qu’il suit toutes les lubies du moment voulues par des personnes qui n’y connaissent rien.


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+1



D’ailleurs Mageia est un fork de Mandriva de fort belle facture, une distrib que je conseille de tester comme première approche de Linux parmi d’autres. Elle fait partie des grandes distributions généralistes accessible au profane curieux.

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sr17 a écrit :



La démocratie, c’est une belle idée mais ce n’est pas non plus la recette magique pour tout.



Par exemple, le fait d’être nombreux à avoir tort ne donne pas pour autant raison.



Pour ma part, je pense qu’un projet sera meilleur s’il est dirigé par quelques hommes sages que par une armée de kiloolol.





Caricature! C’est qui les hommes sages, ceux qui n’écoutent aucun retour et prennent seuls les décisions basées sur leur propre petites conceptions, intérêts et croyances?







sr17 a écrit :



Et si d’autres pensent avoir une meilleure vision, qu’ils forkent.



Mieux vaut avoir plusieurs projets concurrents qui apportent chacun leur propre vision qu’un espèce de merdier unique sans aucune cohérence parce qu’il suit toutes les lubies du moment voulues par des personnes qui n’y connaissent rien.





Ils forkent, ils forkent, d’où le bordel et les retours à ce sujet de plein d’utilisateurs, des éditeurs et dev qui n’envisagent même pas de commencer un projet de portage d’une app win32 sur linux vu le “merdier”, comme tu dis, vu que chaque distrib à sa petite gestion de packet perso, environnement, etc. pffffiouuuu. Tu m’étonnes qu’ils n’ont pas envie. D’où la situation actuelle.



La cohérence, je l’évoque, une ligne directrice qui fondent la naissance d’une distrib est une cohérence et non lubies du moment voulues par des personnes qui n’y connaissent rien. Caricature encore et toujours.



Il est évident que la voix de dev et d’éditeur aurait plus de poids. C’est quand même eux qui travailleraient dessus et produiraient les outils pour le public. Pour cela ils ont besoin de stabilité et des standards qui tiennent dans le temps. Au départ, il faudrait donc un brainstroming de dev mettant en place leurs besoins et le meilleurs moyen de créer un environnement à la fois léger, souple et standardisé pour simplifier au mieux leur boulot. Le retour de la communauté que tu sembles tant déprécier, c’est important pour remonter les bugs, les améliorations, des trucs auxquels tu n’aurais pas pensés et qui font “eureka” quand tu les lis.



“Bref, ne changeons-rien, linux comme c’est, c’est parfait, liberté, tout ça… Si ça ne marche c’est de la faute des méchants Microsoft, etc. parce que si on mettait un ubuntu sur les ordi à carrouf, d’abord, bin les gens y verrait comme c’est la lumière et linux serait les 1er de Le MoNde entiEr.” <img data-src=" />


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fred_gaou a écrit :



Au départ, il faudrait donc un brainstroming de dev mettant en place leurs besoins et le meilleurs moyen de créer un environnement à la fois léger, souple et standardisé pour simplifier au mieux leur boulot.







Les rassemblements de développeurs, ça existe déjà. Dans le cas de GNOME, tous les ans il y a le GUADEC dans un pays européen différent (ainsi que GNOME.Asia en Asie et le GNOME Summit en Amérique du Nord). Il y a plein de conférences et de hackathons pour parler des avancées, voir ce qui ne va pas, bosser ensemble…



Depuis hier a également lieue la première édition du Libre Application Summit, avec là encore des conférences et des ateliers pour améliorer les distributions, le support matériel, les applications (libres ou non), leur distribution, l’utilisabilité… À voir ce que ça donnera.



Et il y a bien évidemment des conférences plus spécialisées, comme le Libre Graphics Meeting. À ce sujet, pour l’édition 2016, ils avaient espéré récolter 10 000 dollars de dons pour pouvoir rembourser les frais de certains participants, mais n’en ont finalement récolté que 1300. Comme toujours, personne ne donne, et après ça râle sur le retard de Gimp ou tel ou tel autre projet…


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Heu… la gestion des paquets et quand même très standard, il suffit quand même de s’appuyer sur un .deb orienté debian stable et ça fonctionne sur toute les distrib basées sur debian, idem pour les rpm. Il y’a des packageurs pour les distribs&nbsp; grands publics qui feront le taf si incompatibilité exotique en général. Pour les distributions exotiques de derrière les fagots, ben là l’utilisateur sait où il mettait les pieds à priori et il sort son gcc. L’utilisateur d’une LFS, il compile.



On peut aussi transformer des .rpm en .deb&nbsp; et vice versa pour les aventureux ou compiler à partir des sources, tes arguments sont d’une mauvaise foi crasse.



&nbsp;Je ne suis pas dev loin de là, mais une appli win32 est déjà à la base crée pour Windows seulement donc il faut se les réécrire entièrement (ou du moins tout ce qui fait appel aux fonctions exclusives win32) pour que ça fonctionne sur linux ou alors fournir les librairies de win32 compatibles ainsi que les appels de fonction au noyau équivalente pour linux, un module microsoft à greffer sur le noyau pour ces maudites applis par exemple. Microsoft les fournis ? Non, sinon on se ferait pas chier avec Wine et les dev de Wine n’aurait pas à fournir un taf de fou de rétro-ingénierie.



&nbsp;La gestion des paquets de chaque distrib n’a rien à voir, il n’y a pas les fonctions de win32 de fournies.



je m’excuse auprès des développeurs pour les approximations ou erreurs, c’est pas mon taf.

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fred_gaou a écrit :



Caricature! C’est qui les hommes sages, ceux qui n’écoutent aucun retour et prennent seuls les décisions basées sur leur propre petites conceptions, intérêts et croyances?







C’est une idée reçue.



Un bon développeur sait que si sa vision ne satisfait pas ses utilisateurs, son projet finira enterré par d’autres.



Mais il sait aussi qu’écouter tout le monde est le meilleur moyen d’aboutir a de la merde.



Tout est question de juste milieu.



Pour ceux qui en douteraient, il vous suffit d’observer ce que donne la culture “faite pour plaire au plus grand nombre” pour comprendre ou mène cette voie.



Les meilleures oeuvres ont toujours été celles d’un artiste qui exprime sa conviction et son talent sans forcément se préoccuper de plaire au plus grand nombre.



A vous d’utiliser ce qui vous plait et de laisser le reste.





Ils forkent, ils forkent, d’où le bordel et les retours à ce sujet de plein d’utilisateurs, des éditeurs et dev qui n’envisagent même pas de commencer un projet de portage d’une app win32 sur linux vu le “merdier”, comme tu dis, vu que chaque distrib à sa petite gestion de packet perso, environnement, etc. pffffiouuuu. Tu m’étonnes qu’ils n’ont pas envie. D’où la situation actuelle.



La cohérence, je l’évoque, une ligne directrice qui fondent la naissance d’une distrib est une cohérence et non lubies du moment voulues par des personnes qui n’y connaissent rien. Caricature encore et toujours.



Il est évident que la voix de dev et d’éditeur aurait plus de poids. C’est quand même eux qui travailleraient dessus et produiraient les outils pour le public. Pour cela ils ont besoin de stabilité et des standards qui tiennent dans le temps. Au départ, il faudrait donc un brainstroming de dev mettant en place leurs besoins et le meilleurs moyen de créer un environnement à la fois léger, souple et standardisé pour simplifier au mieux leur boulot. Le retour de la communauté que tu sembles tant déprécier, c’est important pour remonter les bugs, les améliorations, des trucs auxquels tu n’aurais pas pensés et qui font “eureka” quand tu les lis.



“Bref, ne changeons-rien, linux comme c’est, c’est parfait, liberté, tout ça… Si ça ne marche c’est de la faute des méchants Microsoft, etc. parce que si on mettait un ubuntu sur les ordi à carrouf, d’abord, bin les gens y verrait comme c’est la lumière et linux serait les 1er de Le MoNde entiEr.” <img data-src=" />





Ce que certains voient comme un “bordel”, c’est juste la vraie démocratie.



Pour ceux qui aiment la démocratie, désole de vous apprendre que la démocratie qui découle de la décision du plus grand nombre n’est qu’une dictature de la majorité.



Si 51% des utilisateurs ont un besoin donné et que les 49 autres pourcent ont un besoin différent, le projet soit disant “démocratique” ne fera qu’imposer un choix inadapté à la minorité.



Dans le “monde du bordel” que tu dénonce, il se créera deux projets. Ou bien autant de projets qu’il existe de besoins différents et de façon différentes de voir les choses.



C’est cela la vrai diversité. C’est cela la vraie culture.



Tous les utilisateurs n’ont pas les mêmes besoins.



Et tant pis pour ceux qui rêvent d’un monde simpliste de la facilité ou l’effort intellectuel de faire un choix leur serait épargné. Car nous savons ou mène ce monde la…


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Chromosome3 a écrit :



On peut aussi transformer des .rpm en .deb  et vice versa pour les aventureux ou compiler à partir des sources, tes arguments sont d’une mauvaise foi crasse.





Effectivement, je m’incline devant tant de simplicité user friendly <img data-src=" /> Tremblez Microsoft et Apple devant l’homogénéité et la parfaite cohésion entre nos trouzmilles disbrib.

Non, mais sérieux, après 20 ans encore l’argument linuxien: “bah c’est simple, t’as qu’à:





  • ligne de commande… ah oui mais pas celle-là, pour la distrib truc faut taper plutôt machin.

  • compiler



  • T’es con ou quoi? On voit bien que tu es formaté par windows et mac OS. Linux, c’est quand même plus simple.”







    Qui est de mauvaise foi, là? Mais bon, bouche-toi les oreilles et bande-toi les yeux pour ne pas voir ce qui cloche et que j’évoque dans mon précédent com.



    Debian et ses paquets sont tellement standards que c’est connu, toutes les distrib basées sur Debian partagent un même dépôt commun. Sauf que NON: cœur du problème pour un éditeur qui devrait faire un package personnalisé pour chaque distrib ou bien que chaque distrib prennent le temps d’intégrer un package personnalisé. Donc tous les utilisateurs ne seront pas logés à la même enseigne entre ceux qui auront choisi la “bonne” distrib qui est soit nativement supporté par l’éditeur, soit la plus réactive à mettre à jour ses paquets. Soit une AppImage qui ses avantages et ses inconvénients (légèreté, doublons des bibliothèques et ressources, etc.)







    Chromosome3 a écrit :



    Je ne suis pas dev loin de là, mais une appli win32 est déjà à la base crée pour Windows seulement donc il faut se les réécrire entièrement (ou du moins tout ce qui fait appel aux fonctions exclusives win32) pour que ça fonctionne sur linux ou alors fournir les librairies de win32 compatibles ainsi que les appels de fonction au noyau équivalente pour linux, un module microsoft à greffer sur le noyau pour ces maudites applis par exemple. Microsoft les fournis ? Non, sinon on se ferait pas chier avec Wine et les dev de Wine n’aurait pas à fournir un taf de fou de rétro-ingénierie.



    La gestion des paquets de chaque distrib n’a rien à voir, il n’y a pas les fonctions de win32 de fournies.



    je m’excuse auprès des développeurs pour les approximations ou erreurs, c’est pas mon taf.





    Tu réponds complétement à côté. Un portage d’une app ne consiste pas à implementer les lib win32 à linux mais bien à réécrire pour linux. Travail de titan selon l’app. Si linux jouait à égalité avec Windows et macOS sur le marché, les éditeurs le ferait mais il y aurait toujours une distrib privilégiée sur laquelle ça fonctionnerait nativement et d’autres ou ce serait la merde et faudrait mettre les mains dans le cambouis pour se créer son paquet spécifique. C’est pas juste. Tous les utilisateurs de linux devrait avoir accès aux mêmes produits à jour. Et pour l’instant, ce n’est pas possible, la plateforme, l’hétérogénéité du monde linux ne rend pas cela possible. Ça te semble que dès qu’on parle de linux et de portage d’une app enfin dispo sur linux, l’éditeur ne fournisse que le paquet ubuntu? C’est parce qu’il doit faire un choix en prenant la porte d’entrée la plus “populaire” et documentée, il va pas s’amuser à faire trouzmille paquet all distrib compliant. Les autres distrib doivent se démerder pour créer leur paquet basé sur celui d’ubuntu ou sur les sources si dispo, l’ajouter dans leur dépôt perso et suivre les mises à jour de l’app sinon les utilisateurs gueulent du retard et de pourquoi eux il n’ont pas la dernière version alors que leur voisin de la distrib truc ils l’ont. C’est vrai que c’est beaucoup plus simple ainsi <img data-src=" /> plutôt que de standardiser de façon à ce qu’un éditeur n’ait qu’à créer un paquet qui serait compatible avec la majorité des distrib et mise à jour automatiquement via un dépôt commun.


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Tu nous a écrit tout un roman, alors que la solution à ce problème a déjà été trouvée, Flatpak (site officiel / Wikipédia).



Je rejoins donc Konrad pour dire que ce qu’il manque désormais réellement, ce serait un constructeur prêt à sérieusement investir là-dessus : machines avec Linux pré-installé, contrats avec la grande distribution, assistance, marketing…



Ensuite, il faudrait sérieusement améliorer les outils de développement pour les rendre bien plus simples et efficaces. Même chose pour la documentation, qui aurait sérieusement besoin d’être améliorée et complétée. On peut avoir la meilleure plateforme qui soit, le plus important, ce sont les applications. Et ça, Apple, Google et Microsoft l’ont bien compris.

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sr17 a écrit :



Et tant pis pour ceux qui rêvent d’un monde simpliste de la facilité ou l’effort intellectuel de faire un choix leur serait épargné. Car nous savons ou mène ce monde la…





Je ne suis pas sûr que le côté dramatique de ton argumentaire le rende forcement plus fort à défaut de faire vibrer la corde libriste et libertaire de chacun <img data-src=" />



Je ne dis pas que le fork c’est mal. Je comprends ce qui peut mener à forker que cela vienne de la simple passion de développer son petite OS perso qui deviendra peut-être grand, ou de la révolte face à une distrib qui dont on se sent trahi. Je dis que face au fait de la faible utilisation de linux dans les foyer, la communauté la plus exacerbée n’explique cela que par opposition aux autres acteurs du marché, en l’occurrence MS dépeint en diable de tous les maux de la société informatique particulière. A côté de ça, je constate que malgré cela, des utilisateurs curieux et ouverts tentent l’aventure linux et ceux-là ont intérêt à avoir du temps et de l’énergie à revendre s’ils veulent faire autre chose que taper 3 lignes dans libre office, envoyer 3 mails et visiter marmiton.



Dans le monde que tu dépeints, tu pars du principe que dès qu’on est pas d’accord, on doit forker, un peu comme créer son éco-village pour rester libre et ne pas se faire imposer sa loi par le reste du monde. J’ai rien contre ça, même si parfois cela revient à nier le reste du monde en s’enfermant dans sa bulle, ça fait partie de la diversité de l’expérience humaine que j’admire.



Moi, je te réponds qu’il y a peut-être une alternative au fork systématique qui consisterait à vivre dans un environnement assez ouvert et intelligent pour que tout le monde puisse y trouver son compte. Je te parle d’une distrib où bien que standardisée, pour que les dev puissent y jouer de leur talent dans un super bac à sable évolutif, chaque utilisateur pourrait trouver son compte grâce à des app poussées fournies par des éditeurs expérimentés qui ont maintenu leur produits devenus matures sur les autres OS depuis des années.



On fait trop cas de l’OS en oubliant ce qu’on peut y faire tourner. Quand on est sous kde ou gnome ou autre et qu’on cherche une app dans le gestionnaire d’app, par défaut, on y trouve des apps compatibles avec l’environnement bureau actuel. Logique. Or, quand l’app désirée n’est pas prévu pour tourner nativement sur l’environnement de bureau courant, le résultat et l’intégration dans le système est pas forcement des plus réussie et puis ça alourdit le système d’avoir plusieurs bibliothèques logicielles.



J’aimerais trouver une distrib qui mette d’accord tout le monde, un rêve ou les dev GTK et QT marcheraient mains dans la main pour créer une bibliothèque suffisamment flexible pour que dev comme utilisateur puissent en faire ce qu’ils veulent. Pour l’utilisateur final, ça se conclurait par le fait qu’il puisse personnaliser facilement son environnement bureau pour qu’il ressemble à KDE, unity, cinnamon, mate, etc. sans changer de bibliothèque. Idem pour les app qui utiliseraient la même bibliothèque graphique commune sans que ce soit ressenti par le dev comme une contrainte car suffisamment souple et contenant toutes les fonctions qu’il aimait dans les autres.



Ça impliquerait quand même une guideline graphique pour guider les dev à créer un produit bien intégré dans l’environnement mais sans pour autant lui imposer comme le fait google avec material sous android. S’il est suffisamment intelligent il trouvera le moyen d’intégrer son app en interprétant la charte graphique selon ses envie. L’utilisateur qui aime bien que les choses soient cohérentes dans son système ne manquera pas de le faire remarquer en n’installant pas le produit ou en postant un retour.



Je rêve, je l’expose, c’est tout. Je ne suis qu’une voix parmi d’autres. Je crois qu’on est nombreux à partager ce rêve mais les ayatollah de linux nous rétorquent qu’on a rien compris et que ce n’est surtout pas la chose à faire et que de toute façon ce n’est pas du tout pour ces raisons que linux n’entre pas massivement dans les foyers. Moi, je crois que cela se joue sur plusieurs fronts et que se focaliser sur un seul relève du déni qui ne fait que faire stagner les choses.



A ceux qui me répondent “t’as qu’à le faire”. Est-ce là le plus haut niveau de discussion et d’arguments que vous pouvez atteindre? Vous êtes au max de la bêtise ou vous pouvez allez plus haut? Quand vous rêvez de conquête spatiale, d’aller sur Mars, vous rétorque-t-on: “t’as qu’à le faire?” Si l’interlocuteur n’a aucune compétence et poids dans le jeu pour concrétiser ses réflexions avec ses petits bras musclés, c’est complétement con de lui rétorquer une ânerie pareille. Surtout quand il s’agit de projet communautaire qui par définition ne dépend pas d’un individu mais de la discussion et de l’échange entre gens qui peuvent s’écouter sans dire à l’autre:“t’as qu’à le faire”. Ce ne sont que des commentaires que la communauté linuxienne et autre ne lisent même pas. On ne fait qu’évoquer ici, rêver à haute voix, rien d’autre.


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J’ai parlé de appimage qui semble partager pas mal de points commun avec la philosophie de flatpak. C’est peut-être la solution à moins que ce soit plutôt une rustine pour que tous le monde finisse par dire : “ok, on n’aura pas mieux”.

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Depuis une vingtaine d’année j’ai navigué entre les différents OS du marché :

win95

win98

WinMe

Avec Win Me ça a été tellement instable au quotidien &nbsp;j’ai basculé sur les ordinateurs apple car à ce moment c’était vraiment le bordel pour un simple utilisateur de passer à linux (les installations en mode graphique était “minimal”, les histoires de paquets/dépts tout ça c’était un gros bordel, etc…).

&nbsp;J’ai utiliser macOS sur des machines apple pendant quelques années :

10.3

10.4

10.5

10.6

(petite infidélité sur une machine lenovo sous vista qui m’a un peu réconcilié avec windows la machine étant très stable)

Retour à apple :

&nbsp;10.7&nbsp;&nbsp;et j’ai arrêté en gros avec moutain lion quand ma bascule vers maverick a provoqué un tas d’instabilité au quotidien (même avec un réinstallation neuve)

Du coup j’ai opéré une bascule sur une machine founir avec windows 8. Franchement j’ai été plutôt content du travail fournit par microsoft. Une ergonomie moderne, une stabilité tout à fait satisfaisante tout pour plaire quoi.

Je fais mes migrations vers win8.1 sans aucun soucis avec même des améliorations de compatibilité (avec les vieux logiciels).

Et l’année dernière win10 arrive : J’installe c’est gratuit.



Et là c’est de drame, le système est très lourd (sur une petite machine c’est tellement visible…), le windows update est perfectible, le système instable, à chaque application un peu ésotérique il me demande d’installer des frameworks dans tout les sens qui rajoute à la lourdeur du truc.



Je me tâte donc pour changer d’os encore une fois. Les machines apple sont maintenant trop chères pour moi surtout au regard de ce que j’ai besoin d’en faire. Je zieute donc du côté de linux (vous savez ce sytèmes que j’ai regardé il y a 15 ans et qui était pour les geek). Je n’ai pas été déçu : installation graphique HYPER simple (click click click), tout mon matériel reconnu, j’ai besoin d’un programme : je lance “gestionnaire de logiciel”. Parfois, on me propose des logiciels un peu hors circuit je vais sur leur site et en général on me propose d’emblée de télécharger le logiciel en .deb, si on me propose que du pkz (ou un truc du genre) ou du rpm je passe mon chemin (comme si on me proposait du .dmg si j’étais sous windows ou du .exe si j’étais sous mac). Vouloir installer un programme qui ne “convient” pas à sa machine c’est un peu idiot (en tant qu’utilisateur final de base).

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Je suis parfaitement au courant de ça, pour utiliser du linux au quotidien. Je partage le diagnostic pour M. et Mme Tout-le-monde, en revanche je pense que le hic vient de situations professionnelles, où des suites comme MS Office sont le “standard” de fait, et même si des administrations ont prouvé qu’il était possible de se servir au quotidien d’alternatives libres (ou pour le moins gratuites), des décennies de partenariat dès l’école (cf. actualité récente) et aussi dans les études supérieures font qu’il est très dur de convaincre du changement.

Pour autant, la relative maturité (et, finalement, l’acceptation d’orientation grand public pour certaines distribs) actuelle me font plutôt dire qu’il y a peu de raisons objectives pour que linux ne soit pas plus populaire.

Du coup la raison est ailleurs, et j’ai envie de dire que quand on voit le succès d’Android, on peut pas s’empêcher de penser que bon, les libristes ne jouent pas à armes égales d’un point de vue financier, et que ben, voilà tout est là.

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J’ai dit

Chromosome3 a écrit :

Heu… la gestion des paquets et quand même très standard, il suffit quand même de s’appuyer sur un .deb orienté debian stable et ça fonctionne sur toute les distrib basées sur debian, idem pour les rpm. Il y’a des packageurs pour les distribs&nbsp; grands publics qui feront le taf si incompatibilité exotique en général. Pour les distributions exotiques de derrière les fagots, ben là l’utilisateur sait où il mettait les pieds à priori et il sort son gcc. L’utilisateur d’une LFS, il compile.




   On peut aussi transformer des .rpm en .deb&nbsp; et vice versa pour les aventureux ou compiler à partir des sources, tes arguments sont d'une mauvaise foi crasse.



&nbsp;



et non "On peut aussi transformer des .rpm en .deb&nbsp; et vice versa pour les       

aventureux ou compiler à partir des sources, tes arguments sont d'une

mauvaise foi crasse."






&nbsp;&nbsp;C'est un peu facile de prendre un bout de phrase et de la recontextualiser, ce qui prouve la mauvaise foi crasse.      






&nbsp;      









fred_gaou a écrit :



Tu réponds complétement à côté. Un portage d’une app ne consiste pas à implementer les lib win32 à linux mais bien à réécrire pour linux. Travail de titan selon l’app. Si linux jouait à égalité avec Windows et macOS sur le marché, les éditeurs le ferait mais il y aurait toujours une distrib privilégiée sur laquelle ça fonctionnerait nativement et d’autres ou ce serait la merde et faudrait mettre les mains dans le cambouis pour se créer son paquet spécifique. C’est pas juste. Tous les utilisateurs de linux devrait avoir accès aux mêmes produits à jour. Et pour l’instant, ce n’est pas possible, la plateforme, l’hétérogénéité du monde linux ne rend pas cela possible. Ça te semble que dès qu’on parle de linux et de portage d’une app enfin dispo sur linux, l’éditeur ne fournisse que le paquet ubuntu? C’est parce qu’il doit faire un choix en prenant la porte d’entrée la plus “populaire” et documentée, il va pas s’amuser à faire trouzmille paquet all distrib compliant. Les autres distrib doivent se démerder pour créer leur paquet basé sur celui d’ubuntu ou sur les sources si dispo, l’ajouter dans leur dépôt perso et suivre les mises à jour de l’app sinon les utilisateurs gueulent du retard et de pourquoi eux il n’ont pas la dernière version alors que leur voisin de la distrib truc ils l’ont. C’est vrai que c’est beaucoup plus simple ainsi <img data-src=" /> plutôt que de standardiser de façon à ce qu’un éditeur n’ait qu’à créer un paquet qui serait compatible avec la majorité des distrib et mise à jour automatiquement via un dépôt commun.









Chromosome3 a écrit :



&nbsp;Je ne suis pas dev loin de là, mais une appli win32 est déjà à la base crée pour Windows seulement donc il faut se les réécrire entièrement (ou du moins tout ce qui fait appel aux fonctions exclusives win32) pour que ça fonctionne sur linux ou alors fournir les librairies de win32 compatibles ainsi que les appels de fonction au noyau équivalente pour linux, un module microsoft à greffer sur le noyau pour ces maudites applis par exemple. Microsoft les fournis ? Non, sinon on se ferait pas chier avec Wine et les dev de Wine n’aurait pas à fournir un taf de fou de rétro-ingénierie.





Je ne suis pas dev loin de là, mais une appli win32 est déjà à la base crée pour Windows seulement donc il faut se les réécrire entièrement



&nbsp;On est bien d’accord, cf morceau en gras.









fred_gaou a écrit :



On fait trop cas de l’OS en oubliant ce qu’on peut y faire tourner. Quand on est sous kde ou gnome ou autre et qu’on cherche une app dans le gestionnaire d’app, par défaut, on y trouve des apps compatibles avec l’environnement bureau actuel. Logique. Or, quand l’app désirée n’est pas prévu pour tourner nativement sur l’environnement de bureau courant, le résultat et l’intégration dans le système est pas forcement des plus réussie et puis ça alourdit le système d’avoir plusieurs bibliothèques logicielles.




 J'aimerais trouver une distrib qui mette d'accord tout le monde, un rêve ou les dev GTK et QT marcheraient mains dans la main pour créer une bibliothèque suffisamment flexible pour que dev comme utilisateur puissent en faire ce qu'ils veulent. Pour l'utilisateur final, ça se conclurait par le fait qu'il puisse personnaliser facilement son environnement bureau pour qu'il ressemble à KDE, unity, cinnamon, mate, etc. sans changer de bibliothèque. Idem pour les app qui utiliseraient la même bibliothèque graphique commune sans que ce soit ressenti par le dev comme une contrainte car suffisamment souple et contenant toutes les fonctions qu'il aimait dans les autres.        






 Ça impliquerait quand même une guideline graphique pour guider les dev à créer un produit bien intégré dans l'environnement mais sans pour autant lui imposer comme le fait google avec material sous android. S'il est suffisamment intelligent il trouvera le moyen d'intégrer son app en interprétant la charte graphique selon ses envie. L'utilisateur qui aime bien que les choses soient cohérentes dans son système ne manquera pas de le faire remarquer en n'installant pas le produit ou en postant un retour.








 Là on est d'accord aussi, comme on aimerait finalement des applis multi OS installables facilement, malheureusement c'est un doux rêve, le but des éditeurs est quand même d'enfermer les utilisateurs/developpeurs dans leur écosystème, que ce soit par but purement économique ou par vanité de libertaire libriste.      






Franchement les guerre d'OS, je m'en branle, j'aime pas être enfermé dans un écosystème unique. Alors oui Linux ça part dans tout les sens sur certains points mais au moins on a le choix et la liberté d'en faire ce qu'on veut. J'ai utilisé je ne sais combien d'OS proprio, de windows 3.11 à Seven en passant par OSX et même Solaris, tous ultra verrouillés, totalement incompatible entre eux. Rien que lire une partition ext par Windows est un calvaire, alors que linux lit trouzemille format, NTFS sous OSX j'en parle pas.      






&nbsp;Bref oui c'est la guerre des OS comme c'est les guerres de religion, mais je préfère plein de religions différentes avec la mienne (dont je suis l'unique représentant car j'en ai la liberté) qu'une unique du moment que l'apostasie n'est pas punie de mort.

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fred_gaou a écrit :



Je ne suis pas sûr que le côté dramatique de ton argumentaire le rende forcement plus fort à défaut de faire vibrer la corde libriste et libertaire de chacun







C’est sûr que toi, en ne citant que des bouts de phrase hors contexte pour prendre tes interlocuteurs en défaut, ou en déformant les propos des autres, ça rend ton argumentaire vachement plus fort…







fred_gaou a écrit :



Dans le monde que tu dépeints, tu pars du principe que dès qu’on est pas d’accord, on doit forker







Non, ce n’est pas ce qu’a dit sr17, tu déformes ses propos. Il a dit qu’un bon développeur doit savoir écouter les retours des utilisateurs, sinon son projet finira enterré par d’autres projets (#56). En revanche, un bon développeur sait aussi qu’il ne faut pas se plier aux volontés de chaque utilisateur, sinon il ne s’en sort pas et le projet finit par ne plus ressembler à rien et n’avoir aucune cohérence. Il y a un juste milieu entre « je n’écoute personne » et « je fais ce que tout le monde me dit ».



En revanche, s’il y a un groupe qui estime qu’un projet part complètement dans le mauvais sens, plutôt que d’essayer de modifier la trajectoire de tous les développeurs (et des utilisateurs), il est souvent plus simple de forker. Exemple typique : OpenOffice. La majorité des développeurs étaient mécontents du rachat par Oracle. Au lieu de chercher à changer la politique de développement d’Oracle, ils ont forké et créé LibreOffice. C’est à ça que servent les forks : c’est quand il y a un grand désaccord entre les développeurs. Tu ne peux pas forcer tous les développeurs à travailler ensemble : certains préféreront démissionner si le projet suit une voie qui ne leur plaît pas.









fred_gaou a écrit :



Moi, je te réponds qu’il y a peut-être une alternative au fork systématique qui consisterait à vivre dans un environnement assez ouvert et intelligent pour que tout le monde puisse y trouver son compte. Je te parle d’une distrib où bien que standardisée, pour que les dev puissent y jouer de leur talent dans un super bac à sable évolutif, chaque utilisateur pourrait trouver son compte grâce à des app poussées fournies par des éditeurs expérimentés qui ont maintenu leur produits devenus matures sur les autres OS depuis des années.







Tu crois qu’il pourrait exister UNE SEULE distribution répondant aux besoins de tout le monde ? C’est complètement utopique, irréaliste.



Il y a des utilisateurs qui veulent une version du noyau Linux stable. Il y en a qui préfèrent rester bloqué en version 3.xx, à cause d’une fonctionnalité abandonnée ou d’un matériel qui n’est plus supporté après. Il y en a qui préfèrent avoir la toute dernière version du noyau, voire la version alpha. il y en a qui préfèrent compiler eux-mêmes. Et bien sûr, il y a les Michu qui ne savent même pas ce qu’est un noyau.



Et ça, c’est valable avec n’importe quel logiciel, du noyau au navigateur Web, en passant par les pilotes graphiques, le serveur graphique (Xorg vs Wayland), le shell (certains préfèrent bash, d’autres zsh), le gestionnaire de paquets (deb, rpm…), l’environnement de bureau (KDE, Gnome, Xfce…).



Tu prétends qu’une distribution répondant aux besoins de tout le monde est faisable ? Ne t’attends pas à ce que quelqu’un s’y essaye pour vérifier… C’est à ce moment là qu’on te dit : vas-y, si tu y crois, fais-la cette distribution miracle. Beaucoup vont sans doute parier que tu n’y arriveras pas, même si tu t’entourais des meilleurs développeurs.









fred_gaou a écrit :



Je rêve, je l’expose, c’est tout. Je ne suis qu’une voix parmi d’autres. Je crois qu’on est nombreux à partager ce rêve mais les ayatollah de linux nous rétorquent qu’on a rien compris et que ce n’est surtout pas la chose à faire et que de toute façon ce n’est pas du tout pour ces raisons que linux n’entre pas massivement dans les foyers. Moi, je crois que cela se joue sur plusieurs fronts et que se focaliser sur un seul relève du déni qui ne fait que faire stagner les choses.







Ton rêve a plusieurs problèmes. Pour commencer, tu voudrais imposer UNE SEULE distribution « universelle », alors que les utilisateurs de Linux (surtout les utilisateurs avancés) veulent DU CHOIX. Les entreprises sont contentes qu’il y ait du choix et de la concurrence entre Red Hat, CentOS, Suse, et Canonical, par exemple. Ça fait chuter les prix, ça incite ces entreprises à proposer quelque chose d’innovant. Obliger ces acteurs à travailler main dans la main est impossible -et si tu y arrivais, que feraient-ils ? Comme dans tous les secteurs, ils s’entendraient pour revoir les prix à la hausse. Qui est gagnant dans l’histoire ? Ni les développeurs, ni les utilisateurs. Alors qui ?…



Ton rêve me fait un peu penser à un programme de l’URSS communiste. « Je sais ce qui est bon pour le peuple, il faut un seul parti qui va représenter tout le peuple, une seule marque de voiture qui devra convenir à tout le peuple »… et un seul OS qui devra convenir à tout le monde. Désolé mais je n’adhère pas du tout à ce genre d’idées.









fred_gaou a écrit :



A ceux qui me répondent “t’as qu’à le faire”. Est-ce là le plus haut niveau de discussion et d’arguments que vous pouvez atteindre? Vous êtes au max de la bêtise ou vous pouvez allez plus haut? Quand vous rêvez de conquête spatiale, d’aller sur Mars, vous rétorque-t-on: “t’as qu’à le faire?” Si l’interlocuteur n’a aucune compétence et poids dans le jeu pour concrétiser ses réflexions avec ses petits bras musclés, c’est complétement con de lui rétorquer une ânerie pareille. Surtout quand il s’agit de projet communautaire qui par définition ne dépend pas d’un individu mais de la discussion et de l’échange entre gens qui peuvent s’écouter sans dire à l’autre:“t’as qu’à le faire”. Ce ne sont que des commentaires que la communauté linuxienne et autre ne lisent même pas. On ne fait qu’évoquer ici, rêver à haute voix, rien d’autre.







Encore une fois, si tu as des suggestions, des améliorations à proposer sur un projet, libre à toi de contacter les développeurs. Comme dit plus haut, un bon développeur sait écouter les suggestions des uns et des autres, et retenir celles qui sont le plus demandées, ou qui correspondent le mieux aux attentes de la communauté.



Par contre si tu arrives en disant : « vos projets là, ils sont tous moisis, vous feriez mieux de travailler tous ensemble, ça donnerait un projet bien meilleur »… Il ne faut pas t’étonner qu’on te regarde avec des yeux tout ronds, qu’on rigole bien, et qu’on te dise d’aller développer ton truc dans ton coin si ça te chante.


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On en est pas encore à 15p mais merde tu avais raison ^^

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fred42 a écrit :



À quand la même chose pour les ext2, ext3, ext4 supportés sous Windows par l’OS lui-même ?







Quand MS en aura quelque chose à carrer, c’est à dire quand le linux commencera à peser dans le game du PC. Autant dire que c’est pas pour de suite. Néanmoins, il commence bien à y avoir du bash Ubuntu sous Windows 10. Pas encore eu l’occasion de me pencher dessus. Pas sûr de l’utilité quand t’es pas sysadmin.



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Konrad a écrit :



Ah oui, ça j’en ai vu des gens comme ça…



Le must du must : quelqu’un sur un forum, qui disait avoir installé Ubuntu. Ensuite il a téléchargé MSN mais le setup.exe ne fonctionnait pas, et ensuite il a téléchargé Libre Office (mais le setup.exe depuis le site Web quoi), et ça ne marchait pas non plus. Pareil avec ses jeux qui ne s’installaient pas depuis le CD.



Résultat : en moins d’une heure il avait conclu que Linux c’est de la merde, que rien n’est simple, il a formaté et il est retourné sous Windows.



Alors, je ne jette pas la pierre à ce genre d’utilisateur, le problème ici c’est la formation. Pour installer des logiciels sous Linux il faut bien sûr passer par le gestionnaire de logiciels, et en deux clics c’est installé ; mais c’est sûr que si personne ne te l’a dit, tu ne le devines pas forcément tout seul. Et tes habitudes de Windowsien ne t’aident pas, bien au contraire.



Les nouveaux arrivants ont parfois du mal à comprendre une chose : Linux est différent de Windows. Certains s’attendent à ce que Linux soit 100% comme Windows, mais en gratuit. Notamment, ils s’attendent à pouvoir installer tous leurs logiciels comme sous Windows (genre on double-clic sur setup.exe et ça s’installe). Forcément, ils vont au devant de grandes déceptions…







Je connais, j’ai pété ma première Mandrake en installant des tar.gz au lieu d’employer le gestionnaire de paquets, le bouquin d’explications que j’avais avec n’étant pas clair sur l’emploi du gestionnaire de paquets… Et c’est de lire les mérites d’apt-get ici qui m’a convaincu de passer sous Ubuntu moins d’un an plus tard.



C’est ce que je dis à ceux à qui je propose Linux avant tout chose : c’est pas Windows, la logique n’a rien à voir, vous ne pourrez pas utiliser les logiciels que vous avez sous Win (hors logiciels libres comme VLC ou Libreoffice), vous devrez adopter des logiciels spécifiques à Linux à la place, et toutes les installations de logiciels passent par le gestionnaire de paquets/logiciels suivant les époques. Après, les gens l’acceptent ou pas, mais ils sont prévenus.


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fred_gaou a écrit :



Quand MS en aura quelque chose à carrer, c’est à dire quand le linux commencera à peser dans le game du PC. Autant dire que c’est pas pour de suite. Néanmoins, il commence bien à y avoir du bash Ubuntu sous Windows 10. Pas encore eu l’occasion de me pencher dessus. Pas sûr de l’utilité quand t’es pas sysadmin.







On peut trouver les parts de marché de Linux sur le desktop ridicules, mais il n’y a pas que ça qui compte, surtout quand on parle du support des systèmes de fichiers.



Sur le Cloud Microsoft Azure, 13 des machines font tourner du Linux, et cette proportion augmente. Avec ce genre de chiffres, j’espère que Microsoft commence à « en avoir quelque chose à carrer », du support des systèmes de fichiers du pingouin.


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Commentaire_supprime a écrit :



Je connais, j’ai pété ma première Mandrake en installant des tar.gz au lieu d’employer le gestionnaire de paquets, le bouquin d’explications que j’avais avec n’étant pas clair sur l’emploi du gestionnaire de paquets… Et c’est de lire les mérites d’apt-get ici qui m’a convaincu de passer sous Ubuntu moins d’un an plus tard.



C’est ce que je dis à ceux à qui je propose Linux avant tout chose : c’est pas Windows, la logique n’a rien à voir, vous ne pourrez pas utiliser les logiciels que vous avez sous Win (hors logiciels libres comme VLC ou Libreoffice), vous devrez adopter des logiciels spécifiques à Linux à la place, et toutes les installations de logiciels passent par le gestionnaire de paquets/logiciels suivant les époques. Après, les gens l’acceptent ou pas, mais ils sont prévenus.







Moi, ce que je conseille pour ceux qui veulent passer à Linux, c’est :



(1) De s’habituer d’abord à utiliser les logiciels libres (Libre Office, Gimp, etc…) sous Windows.



(2) De faire le bilan de leur matériel pour détecter tout ce qui ne serait pas compatible Linux pour le remplacer.



(3) D’installer un dual boot Linux/Windows plutôt que de supprimer totalement Windows.



Ensuite le passage à Linux n’est plus qu’une simple formalité.


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Cedrix a écrit :



C’est dommage de parler de constructif quand:




  • Tu cites un commentaire quo déclare que le système NTFS c’est exotique.







    Le terme était sans doute mal choisi, je te l’accorde. Maintenant, que ce soit NTFS ou exFAT, ils sont l’un et l’autre bardés de brevets, ce qui explique sans doute leur non inclusion dans le noyau Linux. Ensuite, même si ce sont les systèmes de fichiers par défaut sous Windows, ça n’implique pas que tous les linuxiens en ont forcément besoin.







    sr17 a écrit :



    De s’habituer d’abord à utiliser les logiciels libres (Libre Office, Gimp, etc…) sous Windows.







    Je suis d’accord que la transition est grandement simplifiée quand l’utilisateur utilisait déjà nombre de logiciels libres multi-plateformes. Par contre, il ne faut pas oublier que bien souvent, les versions Windows sont des clients de seconde classe, avec moins de développeurs actifs sur ces versions, qui subissent donc bien plus de bugs.



    La version Windows de GTK+ n’a bénéficié que très récemment d’un ravalement de façade avec un nouveau thème clairement plus sympa, l’utilisation du sélecteur de fichiers (ouvrir / sauvegarder sous) de Windows… Et en ce qui concerne les applications Qt, j’ai par exemple entendu bien plus de soucis de plantages concernant les versions Windows d’OpenShot ou Krita, quand les versions Linux ne semblaient en avoir aucun.



    Il faut donc faire attention à ce que ça ne renvoi pas une mauvaise image du libre.


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