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SebGF

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Blogger, writer, amateur photograph, tinkerer, solutions architect, problem solver, coffee addict.

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14082 commentaires

Le 23/08/2023 à 20h 40

Après en avoir récemment fait l’expérience, j’ai observé que les CAPTCHA intègrent de plus en plus de mécanisme anti reconnaissance visuelle par IA. Les photos sont désormais bruitées ce qui est censé perturber l’IA.



Mais aussi l’humain qui ne voit plus rien.



Bref.

Le 22/08/2023 à 17h 16


spidermoon a dit:


Si ça pouvait faire que les captcha disparaissent, entre les images quasi illisible où il faut cliquer sur un “fire hydrant” ou un “vélo” à moitié flouté.


Et recommencer 160 millions de fois.



Quelle merde infâme !!!! Entre ça, les cookies banner, les pop-up “inscris toi à ma newsletter de connard” et j’en passe, le Web est devenu totalement impossible à naviguer par un humain.



Par contre les robots n’ont aucun souci, le comble…



C’est fou comme un support d’information simple et efficace a creusé sa propre tombe à cause de quelques imbéciles.

Le 23/08/2023 à 16h 50

et actuellement cela marche le cloud gaming ? J’avais testé à une époque le truc Nvidia, mais il n’y avait pas tous les jeux, donc bon, sans intérêt…
Même pire, des jeux disparaissaient -_-

Si tu veux te faire “ton propre” cloud gaming : Steam Link ça marche aussi via Internet :D

Le 23/08/2023 à 16h 34

Comme quoi les mœurs ont bien évolué, à une époque la plaignante aurait du s’excuser pour les photos nues d’elle diffusées contre son gré.

Le 23/08/2023 à 16h 28


fred42 a dit:


Sauf que ce n’est pas si simple que cela :



renomme un toto. apk en toto et tu l’ouvriras sans souci en double cliquant dessus. La recherche de “magic” est passée par là.


Ca dépend des DE sous Linux, mais généralement ils regardent d’abord leur association extension=logiciel pour ouvrir un fichier avant de recourir au magic byte.



Si tu veux faire l’essai : dans le DE associe un éditeur texte A pour .txt et un éditeur de texte B pour markdown (.md). Techniquement ce sont tout deux des fichiers texte ASCII mais l’association du DE aura la priorité sur le choix du logiciel.



ex : chez moi .txt sera ouvert par VSCodium, .md par Ghostwriter.

Le 23/08/2023 à 16h 24

Oui, les commits contiennent des secrets, c’est malheureusement la réalité. Des clés privées, des tokens, des passwords dans du code terraform, j’en passe et des meilleurs, tout ça peut finir malencontreusement dans le commit quand le dev ne fait pas attention.



Et oui, je parle de toi, l’adepte du git add -A qui vérifie pas avant ce qu’il ajoute à l’historique. 🫵



(presque) Blague à part (ça c’est quand même une réalité observée), c’est aussi pour ça que les solutions techniques sont de plus en plus développées et déployées.. Avec les outils comme GitLeaks, les solutions des hébergeurs comme GitHub et GitLab (qui sont même capables de révoquer automatiquement ou notifier le partenaire de la fuite - ex un clé AWS, une notif est envoyée pour signaler la fuite à Amazon) qui bloquent le push, etc.



Et les tokens dans les artifacts, c’est malheureusement une mauvaise pratique assez répandue aussi…



N’étant pas dev de formation, je ne sais pas si dans les cursus de développement on apprend les rudiments de la sécurité informatique. Mais en tous cas, mon constat est que ça ne doit pas être le cas quand j’observe toutes les mauvaises pratiques que je peux voir au quotidien.

Le 23/08/2023 à 16h 15


(reply:2148206:consommateurnumérique)


Le sujet de l’IA bouleverse la société et le monde de l’entreprise, là dessus aucun doute.



Par contre il y a une différence entre traiter le sujet majoritairement par ses aspects négatifs et traiter celui-ci en observant tous les prismes de vue.



Il est inutile de me prêter le fait que je sois “bousculé dans mes idées” : je travaille moi-même à l’étude de l’intégration de l’IA génératrice dans le cadre de l’architecture d’entreprise de clients. Ce qui permet de voir justement les nombreuses facettes du sujet : les promesses, les fantasmes, les craintes, les risques, les vraies questions, le juridique, la gouvernance, les garanties des vendeurs, etc. Et vu que les choix techniques de la plupart de mes clients sont aux antipodes de mes convictions personnelles, autant dire que je sais les mettre de côté.



Là où la couverture de NXI s’intéresse principalement au négatif : les biais, les mauvais usages, les défauts de l’outil. Pour moi, cela démontre une opinion. Ce qui n’a rien de nouveau, les articles de Marc Rees transpiraient de son opinion personnelle.



Et quand je dis que NXI est pour moi un journal d’opinion, ce n’est pas un reproche (mon reproche portant sur le choix de traitement du sujet), juste une façon de considérer l’information donnée.

Le 23/08/2023 à 05h 19


fred42 a dit:


Mais NXI n’en parle jamais comme ça. C’est déprimant quand NXI parle du spatial européen : jamais content, pas beau l’avion ; Carrément méchant jamais content, pour parodier Souchon. Ça ne me fait pas rêver.


C’est d’ordre général la ligne éditoriale du site : principalement négative sur les sujets qu’elle traite. Cf le traitement de l’IA qui l’est majoritairement. Ce qui n’est pas surprenant d’un journal d’opinion.

Le 22/08/2023 à 17h 12

On va entrer un peu dans le détail, hélas…




Les capsules Apollo ne contenaient pas de toilettes. Les astronautes étaient équipés de couches absorbantes pour se soulager dans leur combinaison spatiale. Il fallait donc disposer de ces déchets entassés dans d’immenses sacs après quatre jours de voyage à bord d’un minuscule habitacle sans équipement sanitaire. Source


Ainsi que :




50 ans d’Apollo XI : et le 1er objet déposé sur la Lune fut.. un sac poubelle ! (TF1)


Effectivement après recherche, la NASA a produit un catalogue des objets laissés par les humains sur la Lune, incluant les déchets.



(je préfère cette source à des sites ne citant pas les leurs)

Le 22/08/2023 à 11h 43


serpolet a dit:


Effectivement, mais je parlais des déchets d’origine humaine liés au temps passé sur la Lune, et laissés dans des sacs…


En principe, les explorations humaines dans l’espace ne laissent aucun déchet sur place. Même sur l’ISS les déchets organiques sont récupérés par les capsules de ravitaillement. Elles amènent la bouffe, elles repartent avec le caca.



C’est censé être un cycle fermé.

Le 22/08/2023 à 05h 14

En principe, les objets envoyés dans l’espace sont stérilisés pour réduire le risque de contamination d’origine terrestre (et aussi éviter de fausser les résultats d’analyses).



Après, vu le bombardement de radiations que les objets d’origine humaine comme la base des LEM ou le buggy laissé par la dernière mission Apollo se sont pris dans la tronche, je pense qu’ils ont du avoir une seconde session de stérilisation.

Le 22/08/2023 à 17h 00


fred42 a dit:


Rentabilité.


Oui, payer de l’infra pour compenser un dev non optimisé (ou non “green coding” pour utiliser le terme moderne) coûte moins cher que payer du temps de dev / test à optimiser.



C’est le même genre de réflexion que quand on considérait qu’on pouvait gaspiller de l’essence/diesel/électricité quand les prix étaient bas.

Le 21/08/2023 à 16h 09


Gilbert_Gosseyn a dit:


Dire que ce petit robot Ingenuity ne devait que faire deux à trois vols … De ce côté-ci, c’est une pleine réussite.


C’est la beauté du monde du spatial : un POC qui devient un outil de prod, des outils qui sont réutilisés à d’autres finalités, et des efforts d’ingéniosité pour trouver une solution à un problème qui a lieu à plusieurs millions d kilomètres.



Je pense que c’est ce qu’on a perdu dans l’IT moderne : avec l’abondance de ressource de compute, on gaspille à mort là où le secteur spatial arrive à faire énormément avec moins de ressource brute (mais beaucoup plus de moyens financiers, certes).

Le 22/08/2023 à 16h 55

Oui, la dopamine est plus importante que la liberté d’expression.




Tiens, cadeau pour ta dopamine :smack:



:yes: (127)

Le 22/08/2023 à 11h 51

Je partage ton avis. C’est pas skyblog en général mais le concept de blog avec “son petit coin du Web” où on s’exprime dans le vide qui est devenu marginal par rapport aux médias sociaux qui te disent quoi lire et quoi “liker”, et contre quoi t’indigner.



Même si le contenu n’était pas spécialement qualitatif, la marginalisation du blogging fait qu’on a perdu un bon moyen d’expression libre.



Perso je continue de croire au blog, c’est un vrai moyen de liberté d’expression que j’utilise. Contrairement aux médias sociaux dont on ne sait si le contenu envoyé sera réellement adressé ou masqué par diverses mécanismes opaques.

Le 21/08/2023 à 16h 23


Des adresses en « .skyblog.com » fleurissent à propos de toutes les stars et tous les éléments de pop culture du moment (harrypotter567, indochine-forever96, johnnyhallyday115 ou plus-belle-la-vie-62410).


Je pense que Mathilde nous laisse un indice sur son ancien Skyblog.






Skyblog était aussi l’endroit idéal pour déclencher un suicide massif de Grammar Nazis.

Le 22/08/2023 à 16h 53

Irrévocable normalement indique qu’on ne peut pas revenir dessus, en tout cas c’est la définition du mot aussi bien anglais que français.



Et je trouverai ça bizarre que tu puisse changer de licence de CC-BY-SA à CC-BY-SA-NC, cela veut dire que tout ceux qui utilise ton œuvre doivent constament vérifier un changement de licence et potentiellement ruiner leur modèle derrière.



À la limite ce qui a du sens pour moi c’est de permettre d’ajouter des libertés, donc retirer le NC par exemple, mais pas de l’ajouter. Et c’est aussi un peu comme ça que je comprend leur FAQ, mais là j’aurai aimé d’autres avis car j’ai du mal à trancher.

La FAQ précise la notion mais le doute peut subsister selon l’interprétation.



What if I change my mind about using CC License ?



De ma compréhension : l’oeuvre vient avec une licence irrévocable, le matériel et la licence sont indissociables. Cependant, en tant qu’auteur et porteur du droit d’auteur (qui, au regard du droit français, te donne le monopole des conditions de diffusion de ton oeuvre), tu peux décider de produire une nouvelle version de celle-ci sous une licence différente.



Les deux peuvent cohabiter puisque l’oeuvre spécifiera toujours la licence et donc les termes. Et l’auteur ne pourra empêcher les travaux dérivés de la précédente version.

Le 21/08/2023 à 17h 00

Je comprend :mdr:



Pour le CC, je crois que les autres aussi ne peuvent pas être changer, il n’est possible de changer que si l’on fait une « nouvelle version » non ? Je dis ça mais je vais vérifier si je capte assez.



Edit: aucune ne peut changer :




Our licenses are irrevocable.


creativecommons.org Creative Commons

Perso je le comprends plutôt au sens où la CC ne peut être remplacée par une autre licence, par contre l’auteur peut en changer les termes. Sinon le SA n’aurait pas de sens.

Le 21/08/2023 à 16h 03


Pinailleur a dit:


C’est bien ce que j’entendais par-là, et j’ai tendance à ne pas toujours écrire le BY car il est systématique (exception du CC-0 de mémoire).


T’inquiète c’était juste pour être chiant :langue:



Mais même si celui-ci est systématique en dehors de CC-0, je pense qu’il reste important de l’afficher puisque ça fait partie des clauses.



CC-0 est un statut assez particulier car il est associé à Public Domain, donc oui pas besoin de créditer l’auteur. Son autre particularité est qu’elle n’a pas de rollback possible.

Le 21/08/2023 à 05h 19


fred42 a dit:


Mais aujourd’hui, s’il ne mettent aucune restriction à l’accès à leurs œuvres disponibles en lignes, les IA peuvent être entraînées dessus. Il suffit probablement qu’ils mettent une telle restriction pour que ce ne soit plus possible. Je dis probablement parce que comme l’entraînement des IA est différent de l’accès à l’œuvre par un humain, je pense qu’il est possible de faire cette restriction sans changer les lois (US ou UE au minimum). Si jamais je me trompe et c’est possible, il faudra changer la loi et ça, c’est possible, il suffira d’inventer un nouveau droit voisin, comme on l’a fait pour la presse. Les lobby des artistes sont assez puissant pour pousser à changer la loi si nécessaire.


Sans forcément changer la loi, je pense que les Terms of Use des plateformes peuvent interdire l’utilisation des contenus pour entraîner des IA. Je suis sûr que certains l’ont déjà fait en les mettant à jour en ce sens.




Pinailleur a dit:


Et moi personnellement, vu que les licences que j’utilise sont presque toutes CC-SA, j’attends seulement à ce que quelqu’un qui imite donne au moins mon nom.


Dans ce cas il faudrait utiliser CC-BY-SA. SA = ShareAlike, c’est à dire que les travaux dérivés doivent être sous la même license (c’est celle que j’utilise pour les écrits et images, là où je préfère la MIT pour le code). La clause Attribution c’est BY.



D’ailleurs CC-SA n’est pas une des licenses supportées par Creative Commons.




Pas que les journaux, les écrivains aussi. Je ne sais plus si c’est ici ou sur un autre site, cela parlait d’un écrivain qui a vu des livres à son nom sur Amazon alors qu’il ne les a pas écrit, ils auraient été générés par une IA car une trentaine de livres sont sortis en à peine un mois ou deux. Au-delà du nom de l’auteur utilisé, je ne sais plus ce qu’il y avait en détail dans cette affaire.


Ben c’est de la contrefaçon, pour le coup rien de nouveau sous le soleil.

Le 20/08/2023 à 10h 54

Ce cas était simple comme l’a dit la juge : le déposant lui-même avait dit que l’œuvre avait été créé de manière autonome par une machine et il revendiquait la création seulement parce que la machine lui appartenait.



Comme la jurisprudence dit que pour pouvoir être déposée, la création doit être faite par un humain, le dépôt ne pouvait être que refusé.
L’exemple du singe et même d’entités divines ont été donné lors du procès. Pour les entités divines, le livre peut être copyrighté s’il y a suffisamment de création humaine dans le livre, un exemple est cité dans l’article et dans le jugement.



La juge a aussi dit que quand la création est faite sur des instructions humaines et l’AI utilisée comme un outil, il faudra se poser la question de combien “d’entrée humaine” (input) il faudra pour considérer l’œuvre comme celle d’un humain.



Mais de toute façon, ici, on est dans le cas inverse : peut-on utiliser des œuvres copyrigthées pour entraîner une AI ?
Et je n’ai pas encore vu une argumentation qui tient la route (qui tient compte de ce qu’est l’entraînement d’une AI) pour dire non.

Oui cet article parle de la fin de l’histoire, pas du début. Mais j’ai trouvé intéressant d’apporter cette partie pour donner une vue globale du sujet des IA versus le copyright.



Que ce soit du côté de l’entraînement ou du côté de la production de contenus, il y a des questions juridiques qui se posent. Et je me demande ce que ça donnerait au regard du droit français d’ailleurs.

Le 20/08/2023 à 07h 12

De quoi apporter de l’eau au moulin : Un jugement aux USA déclare que l’art généré par IA ne peut être copyrighté.



L’artiste avait voulu déposer l’oeuvre mais ça avait été refusé par les autorités au titre qu’elle n’a pas été faite par un humain. L’article rappelle le cas de selfie pris par un singe qui avait entraîné aussi des questions juridiques quand le photographe avait voulu déposer le copyright.

Le 19/08/2023 à 07h 03


(quote:2147461:consommateurnumérique)
Ce serait idiot que l’IA rende l’humain idiot cantonné à des tâches d’exécution et que l’IA finisse idiote parce que l’humain ne sait plus la nourrir.


Pas besoin de l’IA pour constater ce phénomène, il existe déjà en entreprise avec la perte de compétence du fait d’une forte externalisation. L’entreprise ne connaît plus son métier et n’a plus aucun pouvoir de décisions sur ses activités.

Le 18/08/2023 à 11h 24

Le GPTBot est extrêmement récent vis à vis de l’historique de crawling et d’entraînement des modèles d’OpenAI.



Par contre oui, s’il est démontré que le modèle est capable de ressortir par la suite des données issues d’un site pour lequel le robot a été explicitement interdit (sachant que robots.txt n’est en rien une obligation), là l’entreprise s’expose à des risques.



Mais ça c’est assez compliqué puisque le modèle n’a pas de mémoire : quand c’est dans le modèle, la “source” est perdue, c’est “juste” un assemblage de corrélations. C’est l’analyse du jeu d’entraînement qui est nécessaire, et comme OpenAI ne communique pas dessus, il n’y a guère que lors d’une procédure judiciaire qu’il pourrait y avoir les infos d’émises.

Le 18/08/2023 à 06h 54


L’une des premières inquiétudes du New-York Times est que ChatGPT devienne une sorte de compétiteur direct du journal : en répondant à des questions sur le travail du journal, à partir des articles concerné, le chatbot soustrairait de fait le trafic des internautes qui se seraient autrement rendus directement sur le site du média.


Sur la partie historique, oui c’est un risque.



Sur l’actualité, c’est peu probable. L’un des défauts des LLM, c’est qu’ils sont toujours à la bourre puisque leur entraînement prend du temps. Donc leur “culture générale” (ou base de construction linguistique dans le cadre d’un contexte donné pour les personnes qui auraient du mal avec les métaphores) restera limitée à la la période d’acquisition des informations.



Si après le LLM peut traiter des données externes quand on lui en fourni, il suffit de lui couper l’accès et il restera cantonné à sa bulle. Après ils peuvent être complétés par des modèles spécialisés mais ça demande quand même un temps d’entraînement (certes plus court).



Après une question que je me pose : les entreprises américaines sont très friandes des “Terms of Use”. Ces ToS avaient-ils à l’époque de l’entraînement de ChatGPT des clauses interdisant l’utilisation des contenus du site dans le cadre de traitements automatisés ? Bon, je pense que beaucoup ont été pris au dépourvus par ça.



Si parfois j’ai du mal avec l’idée de croire que le résultat du prompt constituerait une violation de la propriété intellectuelle (puisque le texte produit est bien généré, et non recopié), les données d’entraînement elles pourraient effectivement le constituer et je me demande l’impact que ça pourrait avoir sur tout ce qui est indexation des contenus. Si la finalité et l’usage qui en est fait diffèrent, la méthode reste la même : balayer ce qu’il trouve sur le Web pour l’ingérer sans en avoir spécialement l’autorisation explicite.

Le 22/08/2023 à 11h 45

Plutôt que “Github flavor”, c’est surtout CommonMark qui tend à s’imposer du fait de sa spécification précise (en même temps, c’était l’idée).



Github, Gitlab et autre Gitruc vont ajouter 1 ou 2 trucs pour référencer facilement les numéros d’insecte, poule requête et autres trucs de développement (#1536, !954, @Tartempion) mais c’est à peu près tout.



Edit: Ici #25 sert plus à référencer un autre commentaire, je vérifie de ce pas si ça fait un lien. :)

Oui c’est CommonMark qui se développe pas mal en effet. Le GitHub Flavor c’est celui qui a introduit les tableaux il me semble à l’origine.

Le 22/08/2023 à 05h 24


(reply:2147644:DantonQ-Robespierre)


Pour Markdown tu peux être assisté par les éditeurs comme Zettlr ou Ghostwriter qui intègrent des raccourcis usuels d’édition (ctrl + b pour Bold, etc) et une référence de la syntaxe. C’est une syntaxe vraiment très simple pour le coup et efficace je trouve.



La seule complexité de Markdown, c’est le cas des “flavors” qui viennent l’étendre et ne sont pas forcément supportées par tous. La “GitHub flavor” reste assez répandue.

Le 22/08/2023 à 05h 20


whitemoon a dit:


Rien à voir.



Enfant et adolescent sont deux concepts totalement différents.



ENFANT ≠ ADOLESCENT


Enfant et adolescent sont des “statuts” qui restent assez subjectifs (vu que l’adolescence commence à un âge variable). Si on parle de mineur, dans le cas de la France, c’est “individu de l’un ou l’autre sexe qui n’a point encore l’âge de dix-huit ans accomplis”.

Le 19/08/2023 à 14h 25

Ca aurait été marrant qu’ils voient le compte onlyfans de leur personnel dans les logs de connexion :-D

Le 18/08/2023 à 11h 36

Pas besoin de ChatGPT pour ça en France, on a le Ministère de l’Intérieur qui fait ce rôle.



“Bien trop petit”, livre sur la sexualité destiné aux mineurs censuré par arrêté du Ministère de l’Intérieur

Le 21/08/2023 à 16h 18


eglyn a dit:


Alors, encore de mon côté, je me fou qu’il soit fâché… Moi aussi je suis fâché de toute façon car il n’a pas prévenu. Et il n’est pas question de lui foutre la honte, plus de lui faire comprendre qu’il est pas seul au monde, donc sans l’humilier tu peux le priver de sortie, le priver de smartphone pendant 1 semaine, etc… C’est toi qui paye l’abo j’imagine en plus.


En gros, apprendre à se responsabiliser. Soit une chose indispensable par la suite dans la vie professionnelle.

Le 19/08/2023 à 14h 14


(quote:2147505:alex.d.)
Téléphoner aux gens, c’est aussi une horrible atteinte à la vie privée ?


Ca dépend de la fréquence. A partir d’un seuil propre à chacun, ça devient du harcèlement. Et ça dépend aussi de comment est posée la question. Selon la tonalité du message, ça peut entraîner une réaction de rejet.



Dans mon expérience purement personnelle, devoir justifier de mes moindres faits et gestes en permanence et l’absence de relation de confiance, bien avant les solutions technologiques, ça n’a fait que de me pousser à partir dès que possible et limiter le contact au strict nécessaire (parmi d’autres raisons).



Alors que j’ai pas vraiment été ce qu’on peut appeler un “ado turbulent”, plutôt en mode partir me balader une après midi avec le chien et revenir le soir. En campagne y’a pas grand chose d’autre à faire faut dire.



Raison pour laquelle j’ai une profonde aversion contre ces solutions technologiques de traque d’humains (car l’enfant reste un être humain doué de raison et d’intelligence qui se développe au fur et à mesure qu’il grandit et construit ses expériences, pas un objet) et le conditionnement à la surveillance constante. Et même chose pour le micro-management technologique que les entreprises du numérique, notamment, ont mis en place et qui ont été dénoncées (traque des employés, notations, surveillance des comportements…).

Le 19/08/2023 à 08h 30

Ce serait intéressant quand des études sortiront à ce sujet (ou à chercher, p-e est-ce déjà sorti).



Il n’est pas impossible que ce soit l’inverse aussi, effet émancipation où l’on décide de vérifier qui nous surveille ou accède à nos données. Je n’y crois pas spécialement, mais j’attends de regarder des études à ce propos.

Je ne suis pas sûr qu’on aurait ce genre d’étude car faut du temps pour en voir les effets je pense.



Cela dit, lorsque le public est informé on voit des résultats. Par exemple, la CNIL avait sorti en mai dernier une étude sur l’évolution des pratiques du web et constatait un refus des traceurs à la hausse.



C’est aussi pour ça que je ne suis pas favorable à éduquer les enfants en leur faisant considérer que c’est normal d’être surveillé et traqué H24. Les priver de la connaissance de leurs droits n’est pas une bonne chose pour moi.

Le 19/08/2023 à 07h 01

Si tout ceci est peut-être pratique pour les parents, c’est aussi ce que je dénonçais dans mon premier message. Pour moi, c’est un cauchemar qui habitue les gens à se faire surveiller et traquer en permanence dès leur plus jeune âge. Et donc in fine va leur inculquer que c’est normal, adieu la notion de vie privée.



Perso, je partage pas cette volonté.

Le 18/08/2023 à 15h 47


(quote:2147434:alex.d.)
En effet. Mais laisser le choix de l’activation ou non du contrôle parental à l’appréciation du gamin, ça risque de ne pas marcher.


Je t’invite à lire les recommandations de la CNIL dans ce cas car ce n’est pas ce qu’elles disent sur ce point.

Le 18/08/2023 à 13h 53


(quote:2147392:alex.d.)
Tu ne connais pas FamilyLink, visiblement. Le mineur qui utilise le téléphone est informé qu’il y a une localisation GPS, il peut même voir précisément ce que voient ses parents comme info. Et s’il n’y consent pas, il n’est pas obligé d’utiliser le téléphone mis à sa disposition gratuitement par ses parents.


Consentement par la contrainte pour moi.




En revanche, les parents on l’obligation légale d’installer un contrôle parental sur le téléphone.


Non, la loi dont le décret est récemment passé oblige les constructeurs à en installer un par défaut. Les parents n’ont aucune obligation légale de le faire, ça serait un peu disproportionné.

Le 18/08/2023 à 11h 16


(quote:2147326:alex.d.)
Tu mélanges tout. C’est une fonctionnalité de base de FamilyLink, et c’est parfaitement légal avec des enfants mineurs.


Non, je ne mélange rien : le suivi GPS des enfants est une réalité, et c’est une violation de leur vie privée s’ils n’en sont pas informés et n’y consentent pas.



La CNIL a émis de nombreuses recommandations sur ce point : https://www.cnil.fr/fr/les-droits-numeriques-des-mineurs



Notamment :




  • Le consentement conjoint des parents et du mineur si celui-ci a moins de 15 ans

  • Privilégier des solutions qui respectent sa vie privée et ses intérêts (éviter de l’habituer à être surveillé constamment, rompre la relation de confiance, etc)

  • Informer les mineurs qu’ils peuvent eux-aussi exercer les droits que le RGPD leur confère



Si l’enfant n’est pas informé de telles pratiques et n’y a pas consenti, c’est potentiellement une violation de sa vie privée. Au même titre que la pratique du “sharenting” pour sur laquelle le législateur se penche.

Le 18/08/2023 à 06h 41


Logiciel espion, détournement de RIB, boîtier équipé d’une carte SIM dans la voiture, détournement de la domotique… À l’heure du numérique, les violences conjugales aussi prennent un tour technologique.


Et de manière plus globale, les capacités d’espionnage et de violation de la vie privée sont une véritable horreur vu que n’importe qui peut acheter son petit kit du parfait espion en ligne pour pas cher.



C’est comme les personnes qui collent des balises GPS à leurs mouflets ou encore les locations entre particulier avec des caméras cachées. Ajouté à cela les assistants connectés de toute sorte qui écoutent H24 des conversions et enregistrent les moindres faits et gestes, la surveillance de masse c’est une réalité depuis des années qu’elle soit d’origine étatique, entreprise privée, et cercle de proches.



Bref, monde de merde.

Le 21/08/2023 à 16h 13

Pluzun.

Le 21/08/2023 à 16h 06

Le monde du FOSS est vraiment dans la tourmente en ce moment. Entre RHEL qui pète les burnes sur l’accès aux sources et inquiète les rebuilds, Canonical qui restreint les contributions sur LXD, Hashicorp qui bascule en BSL.



Cette annonce concernant Suze alors qu’elle avait toute opportunité à se positionner en challenger pour assurer une meilleure stabilité à ses clients inquiète plus qu’autre chose.



Et pendant ce temps là des entreprises historiquement hostiles au FOSS qui investissent de plus en plus dedans.

Le 21/08/2023 à 05h 24


Pinailleur a dit:


Je dirai en plus que, comme pour les écoles, ils ont créer une espèce d’élitisme merdique. Quand tu discutes avec des gens et qu’ils entendent que tu travailles chez Accenture, Sopra etc. tout de suite ça sonne comme si tu avais un titre de noblesse, alors qu’en terme de compétences (pas forcément technique), j’ai personnellement été assez déçu de prestations de Capgémini et Sopra, alors qu’une petite ESN qui n’a pas de nom (du moins jamais je n’avais entendu parlé d’elle) a été très agréable à bosser et grandir avec.


Le principal problème des “grosses” SSII, c’est justement qu’elles le soient et donc le personnel est traité comme du bétail et le turn-over les aide à maintenir le vivier. Là où une petite entreprise à taille humaine va avoir tout intérêt à chercher à garder la compétence sinon elle n’a rien à vendre.



La différence par contre est qu’une grosse SSII arrivera plus facilement à rogner sur la marge d’un profil cher en se faisant du beurre sur un profil pas cher, donc facilités de placement. Là où une petite entreprise aura moins de leviers sur ce point et la relation TJ/Salaire sera plus tendue.

Le 20/08/2023 à 11h 02

Disons que c’est normal que à un moment tu regardes ce qui te reviens. Les ESN se gavent fortement … Quand je suis arrivé dans le Nord, je n’ai pas forcément fait gaffe et je suis arrivé avec mes prétentions Normandes … Quand je me suis rendu compte que mon ESN faisait 57% de marge entre le CA et mon Super Brut j’ai essayé de renégocier mais comme d’hab c’est compliqué blabla ouin ouin … Dans mon ESN actuelle, c’est 37%. De mon point de vue c’est encore trop, cela devrait tourner autour des 15% vu ce qu’elle me fourni. En Freelance si tu t’en sors bien tu peux descendre à 8% de ton CA mais il va falloir gérer pas mal par toi meme. Heureusement maintenant il y a pas mal de boîte qui font du clé en main.



Le pire là-dedans c’est que à la base les ESN vendent un accompagnement sans faille avec de la formation, une assistante qui va te permettre de te concentrer sur ton travail etc etc. Dans les faits il n’y a rien, on est juste là pour engraisser les “business manager” et les cadres de la direction. On te promet une prime annuelle à l’embauche et finalement il n’y a rien. De mon point de vue, c’est le début de la fin des ESN qui vont avoir de plus en plus de mal à garder les profils séniors. Ils vont devenir des boites ou il y aura une grosse partie de l’effectif en junior sortant de l’école pour se faire une première expérience et ensuite ces mêmes juniors passeront freelance une fois qu’ils auront compris le fonctionnement.

Oui, en Freelance tu peux récupérer une très grosse partie de ton CA (même si l’Etat en récupère la moitié dans tous les cas :D), et ces taux varient en fonction du degré d’assistance qu’on t’apporte.



Tu citais dans les 8%, c’est effectivement une bonne moyenne. En fourchette haute, les porteurs d’affaire peuvent monter jusqu’à 15% en général (ce qui est TRES élevé) et le portage salarial coûte entre 4 et 6% du CA (après comm du porteur d’affaires). Ca varie selon les boites, au même titre que la prestation peut varier. Certains sont très simplistes (ils gèrent l’administratif, versent le salaire, point), d’autres apportent les plus de l’entreprise (CSE, lissage du salaire permettant d’avoir l’équivalent des congés payés, ticket resto, etc). Perso la boîte de portage salarial par laquelle je passe a ouvert un CSE, c’est pratique de retrouver les reducs cinéma et compagnie que j’avais perdu. J’ai des collègues dont la boite fait aussi ticket resto, mais perso je trouve que c’est inutile tellement c’est contraignant.



Pour le coup, le portage salarial a une vraie valeur ajoutée à mes yeux là où la comm’ des porteurs d’affaire est moins justifiée. Raison pour laquelle je les fait niveler par le bas.



Et perso j’ai pas envie de gérer une entreprise, je garde le easy mode du portage salarial car mon objectif de base était : faire mon taff, le faire bien, sans parasitage annexe (comme les “tu viens plus aux soirées”, “after work” de merde où faut juste faire la java devant le patron avec une plume dans le cul, animer des trucs alors que t’es à temps plein en régie et qu’on te regarde avec des gros yeux quand tu parles d’heures sup, etc…).



Pour le côté porteur d’affaires, à moins d’avoir du bol et d’avoir ses entrées, les grands comptes travaillent par référencement avec des critères excluant les indep généralement (minimum du nombre de clients, de CA, etc). Donc le passage par le porteur commercial reste souvent obligé.

Le 19/08/2023 à 14h 19

Le Freelance me plairait bien. Mais je sais qu’il y a peu d’élu. Mais j’avoue que la liberté de pouvoir choisir ses sujets seraient cool (en vrai je peux choisir dans ma boîte mais l’industrie prèfere souvent la règle de 3).
Les seuls “clients” que je pourrais avoir sont principalement des chercheurs qui délèguerer leur dev. Mais certains instituts ne sont pas de bons payeurs (i.e., en temps et en heure) et elles considèrent des SSII (e.g., Atos ou CapGé) comme plus compétentes…
Reste à l’étranger, mais faire la paperasse pour bosser avec des pays hors-UE ne m’attire guère surtout que l’administration française est une vraie plaie.



En tout cas, c’est bon de savoir qu’il y a des élus :yes: Pour le moment, je suis pas prête à faire le pas.

Ca dépend des secteurs en effet. Dans le Nord, même si en ce moment c’est un peu moribond (le retail fait la gueule, et c’est un des gros moteurs de la région), le secteur reste en tension et il y a une de plus en plus de freelance dans l’IT. Après il y a le quickstart : portage salarial. Perso je suis resté ainsi par facilité.



J’ai toujours amené mes missions, mais c’est aussi le taff des porteurs d’affaire avec différentes sociétés (avec des comm’ variables) ou des plateformes comme Malt.



Par contre il me semble que sur la région parisienne c’est moins évident, beaucoup plus de monde sur le marché pour moins de demande. Je le constate parce qu’on a de plus en plus de sociétés ou de freelances de cette région qui sont ici. Par contre ça morfle sur les TJ…

Le 19/08/2023 à 09h 22

:mdr:



Perso je n’ai jamais aimé les managers ! Je les trouvent inutiles et très souvent nuisible à la réussite d’un projet. En plus d’être souvent incompétents sur ton domaine de travail. Le truc où ils sont doués c’est le discours bullshit et le “pas faire de vague”. Ils m’ont souvent fait pensé ses recteurs d’académies, préfets qui veulent pas faire de vague pour leur carrière et disant à leur supérieure que tout va bien. Forcément, quand la réalité les rattrapent ça ne plaît pas.



Je me souviens d’un épisode de C ce soir à propos du risque de grandes démissions dans les entreprises françaises (qui a eut lieu mais sous une forme différente de celle des US). L’un des invités, sociologues de formation, expliquait que si la Tech française (comprendre toutes les entreprises qui ont un coeur de métier technique/scientifique) était la plus touchée ça provenait du fait (en autres) que ces entreprises se sont fait “parasités” par les écoles de gestions/managements qui ont fini par remplacer les techos. Entrainant un changement de mentalité qui ne correspond plus aux profils techniques des dites boîtes. Ce changement ayant entrainé une valorisation (nottament salariale) du manager au profit de l’ingénieur.



Je rajouterai à son discours, que les ingénieurs (qu’ils soient issus d’écoles, universités ou de la recherche car en France tout ce qui a bac >=5 est un ingénieur) n’ont pas besoin de managers pour travailler. Ils ont appris à se coordonner eux-même et entre eux en développant ou améliorant leur intelligence collective. Et la gestion collective est souvent du ressort du chef de projet. L’ajout du manager est dès lors plus inutiles et souvent nuisibles car entrainant des conflits avec le chef de projet.

Le fait que je ne sois pas “manageable” est aussi une des raisons pour lesquelles je suis parti en Freelance. Pas d’objectif à côté de la plaque ou de truc bidon (on m’avait foutu un objectif de cooptation une fois… Bullshit !), je discute en direct avec mon client et la relation avec ma boite de portage s’arrête à : tu factures, tu fais l’administratif, tu me payes, et je te remonte les éventuelles opportunités terrain pour d’autres freelances ou d’évolution de ma propre mission. Donnant-donnant.



Et comme j’ai toujours bossé en forte autonomie, j’ai déjà eu un manager côté client qui a été perturbé par ça car j’attendais rien de lui. Perso je vais les voir pour valider une orientation, une ligne directrice ou arbitrer des choix. Sur le reste, autonomie et relation de confiance, y’a rien de mieux pour avancer vite.



Les autres raisons sont que j’ai été 90% de ma carrière en régie client. Ma boîte m’était pour ainsi dire étrangère et j’étais un inconnu là bas. Aucun intérêt de continuer ainsi. Et les commerciaux qui disent n’importe quoi et que tu te retrouves face au client qui est mécontent de s’être fait bullshité.

Le 19/08/2023 à 07h 43

Un bon gros +1 ! J’ajouterai que la liberté de choisir son OS et son matériel serait parfait.



En quoi tu trouves tes réunions plus pratiques en présentiel ? Perso, j’ai remarqué qu’en distanciel les réunions sont plus efficaces, moins de dispersion sur des sujets annexes et surtout tu peux continuer à bosser tranquillement en écoutant en arrière-fond les discussions ennuyantes;



Ce que tu décris concernant l’entreprise me fait penser simplement que l’écran de fumée concernant les valeurs de l’entreprise se sont envolés avec le COVID. J’ai aussi remarqué ça dans les quelques grosses ESN que j’ai bossé. L’enfumage des RH lors du recrutement disparaît et finalement il n’y a pas de valeurs ni autres choses. Pour citer Adam Smasher dans CP : “Tu es un bout de viande baisable”.
Les valeurs de l’entreprise ? Du vent comme n’importe quel modèle de language ou homme politique sait en faire.
Alors forcément tu as deux choix : 1.Partir pour un meilleur endroit (pour ma part, j’ai finalement trouvé que les petits PMEs sont bien plus agréables pour bosser que les grosses multinationales, certes les sujets sont pas les même mais au moins tu rencontres beaucoup moins d’incompétents / m², de bullshiter et de brasseur d’air). 2. Rester (car tu n’as pas le choix ou envie de partir) et essayer d’inverser la vapeur. Et le TT a permi à une catégorie de personne de justement pouvoir retrouver un peu de bonheur au travail en TT.



L’individualisme a toujours existé dans notre modèle occidental à influence US. La différence est qu’avant le TT, l’entreprise était un gigantesque pantomime. Maintenant, les masques sont tombés.



Mais rassure-toi, les moments de déconades existent toujours, même en full-TT (j’en suis). La différence est que la forme est différente, mais tu peux toujours aussi rigoler. Et surtout, tu peux le faire sans être juger par les bas de plafonds et ni déranger les autres (j’aime l’humour noir et caustique mais je comprends parfaitement que lors de la machine à café tout le monde n’a pas envie de l’entendre). L’autre avantage c’est que le café est meillieur :D.

Au sujet des “valeurs de l’entreprise”, ça me rappelle la dernière SSII dans laquelle j’étais avant de partir en Freelance.



Dans le document d’entretien de carrière bullshit annuel il y avait une section sur “comment vous vivez les valeurs de l’entreprise”.



La dernière réponse que j’avais faite n’a pas été très appréciée par le manager :




  1. ce sont des principes standard de bon sens

  2. l’entreprise n’applique par ses propres valeurs

  3. le client m’a forcé plusieurs fois à les transgresser et vous le signaler n’a rien changé

Le 20/08/2023 à 11h 09

Il me semble que les options sont liées au véhicule, pas au propriétaire. D’ailleurs j’avais vu un article récemment où l’ancien propriétaire d’une Model X classée épave suite à un accident (aux USA) a découvert qu’elle était de nouveau en service en Ukraine via l’application smartphone qui rapportait la localisation du véhicule. Ainsi que l’activité de ses comptes comme Spotify.



Cela rappelle que lorsqu’on cède un véhicule pour X raisons, il ne faut pas oublier de faire un reset usine du système d’infodivertissement.

Le 18/08/2023 à 13h 55


misocard a dit:


Pourtant je passe régulièrement à coté de ce genre d’aménagement et je n’ai jamais eu d’alerte, ça doit dépendre du modèle ou de l’aménagement.


Oui, je n’ai que très rarement ça. Principalement dans une rue sur mon chemin boulot.



Mais c’est un cas de panique du capteur que j’ai pu observer.

Le 18/08/2023 à 11h 18

Parce que tu as besoin de plus de 500km pour aller tous les jours au travail peut-être ?
Je veux bien que ce soit gênant par moment, mais dans 95% des cas, l’autonomie n’est pas un problème.

De mon expérience, les personnes qui se plaignent le plus de l’autonomie des véhicules électriques sont celles qui n’en ont pas.

Le 18/08/2023 à 06h 35

C’est clair. J’avais osé posté une réponse sur youtube où je disais une c’était pas une bonne idée de retirer les radars pour se baser uniquement sur les caméras. Trois fanboys m’étaient tombés dessus avec une virulence qui m’avait bien fait rire. On aurait dit que j’insultais leur mère. Je n’arrive pas à comprendre cette polarisation que cette entreprise/personnage provoque.

C’est pas que lié à Tesla, c’est une tendance globale de la radicalisation des discussions sur le Web. Avec l’effet de bulle des médias sociaux et la tendance à s’enfermer entre gens d’accords entre eux, la moindre critique devient une attaque.



Le web “social” c’est rien de plus que la dérive sectaire 2.0.



Si historiquement il y avait des débats houleux entre paroisses (“mac vs pc” etc), ça s’est accentué avec les murs dressés entre idées divergentes.

Le 18/08/2023 à 11h 31


(quote:2147299:127.0.0.1)
Vas-y. Crée une plateforme qui “combine ensemble” tout cela. Je te regarde…


Une plateforme centralisée : non clairement, c’est illusoire en matière de coûts.



Une décentralisée fédérée : oui c’est réaliste parce que les coûts sont individuellement supportés par des divisions à échelle un peu plus humaine. Cf Mastodon où la majorité des instances ne vivent que par donations.



Par contre dans tous les cas, ce sont des modèles peu compatibles avec l’idée de la pub qui rémunère le créateur de contenus. Mais là c’est plus un modèle économique qui va se transformer qu’autre chose. Dans tous les cas, aujourd’hui, le financement par la “pub à l’aveugle”(*) seule n’est plus viable et les créateurs de contenu sont plus financés par placement de produits et financement direct par leur communauté qu’autre chose.



* aveugle au sens : sans relation directe avec le contenu produit.