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blob741

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1196 commentaires

Le 02/12/2015 à 10h 16

En droit du travail il n’existe plus de vie privée



Si la séparation vie privée/vie “professionnelle” était parfaitement étanche l’employeur n’aurait pas à tolérer que tu envoies des mails privés (avec modération) depuis ton lieu de travail que tu arrives en retard parceque tu as emmené ton gamin à l’hopital etc



Là la publication bien que publique relève de la vie personnelle du salarié A mon sens elle ne peut justifier une sanction disciplinaire



Si le mec avait publié une photo de lui bourré on aurait aussi bien pu dire que c’était un exemple de merde pour les gamins qu’il gère



PS pas facile sans ponctuation

Le 02/12/2015 à 10h 05

Je sais pas si ça déborde, j’ai pas vu le jugement ou idéalement les pièces.



On n’est a priori pas dans le cadre d’un type qui dénigre publiquement sa hiérarchie sur Facebook. C’est un type qui s’habille avec mauvais goût le weekend.



Rien dans l’article ne permet de dire qu’il n’est pas irréprochable dans son boulot.



Si demain on licencie un type parce qu’il fait du cosplay et que ça nuirait éventuellement à l’image de sa boîte, tu trouverais ça normal ?

Le 02/12/2015 à 09h 57

J’aimerais bien voir le jugement.

On licencie quand même un type pour un fait survenu dans sa vie personnelle …

Le 01/12/2015 à 13h 19

Alors que les mecs ont juste recyclé quelques bougies…

Le 01/12/2015 à 13h 11

Je sais qu’il y a un bouton, mais il y a une erreur dans l’article.



“Dans tous les cas, il n’y a pas de lien absolu entre terrorisme et état

d’urgence, comme pourrait le croire une bonne partie de la population.

Ceci explique comment plusieurs collectionneurs d’armes ont été alpagués

ces derniers jours, faisant virevolter les chiffres de saisie à la

hausse (à Montargis, à Villeurbanne, en Alsace, ou dans l’Orne)…”



Le dernier département cité a été rebaptisé “trou du cul du monde”. Par un Pont-Audemerdeux, ce qui ne manque pas de saveur …

Le 30/11/2015 à 10h 55







ActionFighter a écrit :



Sauf que dans un cadre normal, le procureur ne peut pas ordonner une perquisition sans un motif sérieux.



Là, le problème, c’est que l’atteinte à la sécurité nationale, c’est vague, et ça pourrait toucher de simples opposants politiques, d’où l’inquiétude.





Bah, si c’est utile à la manifestation de la vérité.



La grosse différence étant que ce n’est possible en préliminaire qu’avec l’assentiment de la personne perquisitionnée (le proc’ pouvant passer outre si la peine encourue est supérieure à 5 ans de mémoire).


Le 26/11/2015 à 22h 12

Ca m’embête de faire 2 posts de suite, mais Marc a quand même choisi un type qui a pas tout à fait 3 ans de barre et dont l’opinion collait avec sa ligne éditoriale.

Un type qui tire des généralités de ses 3 dossiers et donne des infos super vagues. Faut prendre ce que GUEZ GUEZ dit avec un peu de recul …

Le 26/11/2015 à 22h 07

Encore une fois, le “juge” qui gère l’enquête c’est le Procureur. Aucune garantie au niveau des libertés fondamentales.



Les instructions (avec juge d’instruction donc), c’est presque marginal en quantité.

 







carbier a écrit :



Pour ta gouverne le fait de se tromper d’appart’ n’a rien à avoir avec l’état d’urgence ou la non implication d’un juge. C’est déjà arrivé avant et cela arrivera encore après





Tu veux dire que les coups de fil anonyme pour dénonciation datent aussi de l’état d’urgence ?



Pour ta culture





Source





Là tu dis une connerie. Renseignement anonyme = indic dont on ne veut pas donner le nom ou info qu’on a eu d’une façon qui foutrait la procédure en l’air.


Le 29/11/2015 à 20h 54

Toute personne sourde ou malentendante, victime ou témoin d’une situation d’urgence, peut désormais composer le 114. Dans un premier temps, ce numéro est accessible exclusivement par sms ou par fax en France métropolitaine. Toute personne sourde ou malentendante, victime ou témoin d’une situation d’urgence, peut désormais composer le 114. Dans un premier temps, ce numéro est accessible exclusivement par sms (depuis un téléphone mobile) ou par fax (depuis une ligne fixe du réseau téléphonique commuté) en France métropolitaine. Ouvert 24h24 et 7j/7, ce numéro gratuit permet d’alerter le Samu, les pompiers, la police ou encore la gendarmerie. En cas d’urgence, il faut essayer de donner le maximum d’informations (qui êtes-vous ? qui a un problème ? où est le problème ? quel est le problème ?). Une fois le sms (ou le fax) envoyé, le 114 vous répond par un message écrit : “votre sms (ou fax) bien reçu. Le 114 vous répond bientôt.” Au bout d’1 minute, en cas de non réception de ce message, il faut renvoyer un nouveau sms (ou fax). Le 114 peut envoyer alors un 2ème sms (ou fax) pour demander des renseignements complémentaires. Si le 114 constate qu’il y a vraiment une urgence, il alerte les secours qui interviennent. Attention, ce numéro ne reçoit pas les appels vocaux téléphoniques. Un modèle de fax peut-être téléchargé et imprimé en ligne. Par ailleurs, une vidéo d’explication du 114 en langue des signes française est également disponible en ligne.

Le 29/11/2015 à 17h 30

”- si la police ne reçoit qu’un seul signalement d’un coin particulièrement fréquenté, elle pourra légitimement douter de la réalité décrite par ce signalement. Si en revanche les signalements se multiplient, l’information devient particulièrement crédible. “ 



Si je suis seul chez moi et que j’ai une urgence, ce n’est pas moins légitime qu’un massacre.



 La seule fois où j’ai appelé le 112, c’était parce qu’une femme est venue me trouver pour me signaler la présence d’un type bourré avec un couteau dans un parc.



 Ils ont envoyé police/pompiers. Un seul signalement mais ce n’était pourtant pas mois légitime.



Donc pour moi l’argument du nombre d’appels n’est pas bon. Ils doivent répondre à tout ce qui est sérieux.



“Alors qu’elles se faisaient tirer dessus, elles n’arrivaient pas à joindre la police, et quand elles arrivaient à avoir un opérateur, elles se faisaient poser plein de questions pour finalement voir l’appel coupé !”



C’est pas un problème que ton application résoudrait. 



 Ceux qui n’ont pu avoir quelqu’un c’est que les standards étaient saturés. Forcément avec un stade de France plein ils ont dû avoir pas mal d’appels…



Pour le problème des gens qui n’ont pas la possibilité de parler, on t’a d’jà opposé l’existence du 114. Envoyer :

Prise d’otage au …  par SMS, ça doit pas être bien plus long que de lancer ton appli.

Le 29/11/2015 à 13h 26

Tu te rends compte de l’usine à gaz que tu décris ??



Tu connais ton n° de CNI ? Tu l’as toujours sur toi ? Pourquoi pas le n° de sécu aussi ? Comme ça on serait sûr  qu’il ne s’agit pas d’un canular …



Et de façon plus générale, je vois mal comment on pourrait faire ça de façon pratique. Pour aiguiller les secours, il faut forcément décrire la situation même de façon succincte. Ca rajoute encore une étape…



Bref, fausse bonne idée.



Et je ne vois pas en quoi le fait que le type soit juriste et vive au Canada apporte quelque légitimité en plus à sa proposition. Il serait boucher au Mans ou cordonnier à Strasbourg qu’il serait tout autant légitime à donner son opinion.

Le 26/11/2015 à 22h 21

D’instinct, j’aurais également dit BNC, mais pourquoi pas d’IR !? Pognon = impôt.

Le 25/11/2015 à 14h 10

Comparer l’état d’urgence et vigipirate …

 

Vigipirate, c’est quoi comme limitation de mes libertés fondamentales ?

 Je risque de perdre le droit de mettre ma valise dans le porte bagage du train qui sera barré par une croix de scotch ?

Le 25/11/2015 à 06h 37

Alors, j’ai pas regardé dans le détail, donc je te laisse le point au bénéfice du doute sur la surveillance des données.

Sachant que j’ai l’impression que c’est juste du fait qu’il s’agit d’un renvoi à un décret d’application mais que le texte n’a pas bougé depuis 2003.



Sur les fouilles de véhicules, c’est rattaché aux contrôles d’identité (78-2-3 CPP en flagrance et 78-2-2 sur réquisitions du procureur) ou des perquisitions si la personne habite dedans. Le premier texte a pas bougé depuis 2003, le second a pas mal changé, mais pas pour le renouveler/autre.

Que Jospin ait communiqué sur le côté temporaire, je ne dis pas, mais le texte ne portait pas ce caractère.

La durée de l’état d’urgence est réglementée, elle.

Le 24/11/2015 à 21h 39

Développe. Quelles lois censées être temporaires sont devenues permanentes ?



Les seules que je connaisse sont celles sur la CSG/CRDS. Mais c’est une autre forme de terrorisme.

Le 24/11/2015 à 20h 02







Snydlock a écrit :



 

Sauf que le propre de la perquisition administrative, c’est d’être arbitraire vu qu’aucun juge n’a donné son accord. Et il y a une raison qui fait qu’un juge ne donne pas son accord : pas assez d’éléments pour permettre une perquisition. 

 

En passant, je trouve assez comique de voir des gens habituellement très prompts à hurler à l’instrumentalisation de la Justice et à voir l’œuvre du terrible SYNDICAT DE LA MAGISTRATURE quand leurs politiciens chéris subissent des perquisitions, applaudir les perquisitions administratives.

Qui pourtant relève directement du ministère de l’Intérieur et est un vrai instrument.



Sinon, à j’invite ceux qui n’ont rien à se reprocher à donner nom et adresse, histoire qu’on confirme.

Qu’ils pensent à faire un devis pour une porte dans la foulée. 





Juste comme ça, pour tous ceux qui crient au loup et à l’état policier.



Sauf commission rogatoire (donc instruction criminelle ou correctionnelle très compliquée - autant dire pas la majorité des procédures, mais il est vrai les procédures en lien avec le terrorrisme), le “juge” qui contrôle la perquisition, c’est le procureur de la République, donc pas le juge judiciaire, votre copain qui est constitutionnellement garant des libertés individuelles, mais celui qui est en charge de poursuivre au nom de la société.



Donc Proc (magistrat certes, mais pas juge dans la mesure où il n’exerce pas de fonctions de jugement) qui est sous l’autorité de sa hiérarchie qui remonte jusqu’au garde des Sceaux ou Préfet, je trouve le risque d’arbitraire assez équivalent.



Pour être très honnête, j’ai vu pas plus tard que lundi des types remis en liberté suite à une nullité de procédure qui aurait foutu le déferrement en l’air et la CI a été annulée. Preuve qu’ils savent aussi se remettre en question. Et c’était spontané.



De toute façon, si la régularité des procédures n’est pas respectée, elles pèteront lors des jugements. C’est l’état d’urgence, pas le retour du bottin en audition hein.


Le 24/11/2015 à 11h 39

C’est excitant la vie d’investisseur, non ?

Le 24/11/2015 à 11h 38

C’est vraiment la veuve noire cet OS.



Dès qu’ils sortent leur appli dessus, ils ont des résultats financiers qui les contraignent à licencier …

Le 20/11/2015 à 11h 20

Je ne sais pas couper les citations, je réponds donc en gras sous tes propos.

 







Chamaloxxx a écrit :



Le problème n’est pas tant dans la censure, que de savoir QUI s’occupe de cette censure.



Imaginons qu’une loi soit votée, permettant de bloquer instantanément sans passer devant un juge n’importe quel site.

 

Quelle loi ? Si on suit ce qu’il dit, ce serait HADOPI qui s’en occuperait. C’est quand même pas bien dur de voir  ce qui peut tomber sous le coup de cette censure. Personnellement, je n’ai pas besoin d’un juge pour me dire si une vidéo qui appelle à la destruction d’Israël, la mort des mécréants et menace d’attentats est licite ou non.

 

Pour les exemples aussi caricaturaux, je pense que l’absence de juge en amont de la suppression ne pose pas de problème. Tu as de toute façon toujours la possibilité de contester par la suite une suppression abusive. Pareil en matière de propriété intellectuelle. Supprimer sans juge une vidéo publiée par RoXXor75 qui s’appellerait Iron.Man.3.1080p et contiendrait le film, c’est pas un souci, il est fort peu probable qu’il ait obtenu les droits.

 

Maintenant, pour rentrer dans le vif du sujet, sur les vidéos plus contrastées, il y a matière à réfléchir. Mais ce serait mentir que de sous-entendre que Xavier BERTRAND aurait appelé à une censure massive du net.

 

Imaginons maintenant qu’un parti d’extrème droite arrive un jour au pouvoir. Et qu’ils profitent de ce gadget pour bloquer des sites disons… contraire à leur idéologie. Ils en ont le pouvoir, les moyens techniques, et désormais les moyens légaux.



Et puis… une fois de plus on part de l’idée qu’Internet est le vecteur principal de la violence.



Non. Il n’a pas dit ça.



Internet, c’est un formidable outil de communication qui permet de toucher très facilement la planète entière. Le nier serait stupide. Faut arrêter de penser que dès qu’on s’en prend à une activité y compris sur internet, on s’en prend à internet.

 

Un Imam radical peut toucher une audience sans commune mesure grâce à internet, d’où l’Imam Google. Dont acte. Si l’on estime que ses propos sont répréhensibles et doivent être bloqués, ne pas le faire sur internet, c’est stupide. C’est pas s’en prendre à internet en tant que tel, mais à un vecteur de communication de ce type.

Je ne vois pas l’alternative. Aller le choper (y compris à l’étranger) et laisser ses propos en ligne ?



L’expression “boite de pandore” va prendre tout son sens dans pas longtemps. Ca ne servira strictement à rien pour son usage “officiel”, mais on aura l’air bien con quand Mediapart sera fermé parce que certains de ces articles auront été jugés “potentiellement dangereux car contenant des informations sensibles”, ou n’importe quoi d’autre puisqu’il n’y aura pas besoin d’une quelconque justification (Mediapart est un exemple, ça marche avec n’importe quel site).



Bon, il restera Jean Marc Morandini pour tout savoir sur les anges de la téléréalité. Internet deviendra aussi con que la télé.



Ah, on me dit dans l’oreillette que c’est (entre autre) le but…



Le 20/11/2015 à 09h 40

Il a proposé quoi de si choquant BERTRAND ?



Ce qui semble avoir déclenché l’article, c’est le terme “Imam Google”, qui est juste l’expression du fait que si je veux accéder à un prêche bien pêchu, je peux le trouver sur Youtube alors que c’est casse couilles de se taper 10 000 bornes pour aller dans la mosquée qui va bien avec le probable accueil pas très chaleureux des fidèles zélés (qui risque de décourgaer des prospects).



Je ne vois très franchement pas en quoi c’est obscène.

Le 20/11/2015 à 08h 21

J’ai pas trop voulu réagir jusqu’à maintenant, mais écoutant la matinale d’Europe 1, j’étais quasi sûr de voir cet article.

Va

peut falloir arrêter de se cacher derrière son petit doigt et de

pousser des cris d’orfraie.



Internet est un formidable outil de communication.

Comme n’importe quel outil, on peut l’utiliser à n’importe quelle fin,

bonne ou mauvaise. Qu’on tente de se prémunir des mauvaises utilisations

(les vidéos Youtube de propagande de Daesh, il me paraît acceptable de

les faire retirer), ça ne me semble pas être une censure défiant le bon

sens.



Je n’ai pas d’infos là dessus, mais j’imagine qu’on va plus

facilement voir une vidéo d’un connard qui appelle à commettre des attentats que l’on ne va le trouver là où il est (potentiellement à l’étranger).

Le 19/11/2015 à 16h 32

Appel à témoins :



Quand je suis dans l’application calendrier, il descend tout seul au 26 décembre (je n’ai pourtant rien de prévu à cette date).



Ca vous le fait ?

Le 18/11/2015 à 18h 05

Tu peux dire ce que tu veux, mais son explication a le mérite d’être concise !

Le 18/11/2015 à 11h 23

Ni avec un Bescherelle …

Le 16/11/2015 à 18h 23

C’est vaguement obligatoire de passer par la CARPA quand tu règles une somme qui est issue d’une décision de justice.



Faudra pas qu’il pleure Eric WALTER, mais les sommes sont ensuite bloquées sur un compte CARPA qui lui est spécialement destiné pendant 3 semaines.



Et les intérêts iront à la profession pour notamment rémunérer tous les gens qui s’occupent de gérer ces fonds, payer les écoles d’avocats et pour celle de Paris des investissements qui ne servent en rien la profession mais permettent au ministère de la justice d’avoir des billes en cas de négociations sur l’AJ.



Enfin bref, je rejoins Tim-timmy sur cette non-news. On a une décision de justice non définitive exécutée en 20 jours. Pas de quoi s’insurger.

Le 16/11/2015 à 16h 04







Commentaire_supprime a écrit :



C’est à dire ? Exemples STP.





Il y en a un qui s’était masturbé sous sa robe.


Le 16/11/2015 à 10h 20

“On comprend ainsi rapidement la fragilité de sa proposition si, dans un

État de droit, les autorités pouvaient se permettre d’interner des personnes sur lesquelles ne pèsent que des « indices », quand bien même seraient-ils « réels » (voir en ce sens les critiques de la CNIL, datant de 1988).”



Bah, comme pour une mise en examen qu’on envoie en détention provisoire. Qu’est-ce qu’on peut avoir d’autre contre une personne qui n’est pas définitivement condamnée ?

Après je pige bien qu’un indice “réel”, ce n’est pas la même chose que des indices “graves et concordants”, mais bon.



Sinon, s’en prendre à Josh Homme …

Le 16/11/2015 à 09h 58

Je ne suis pas concerné par la question, mais ça a du sens de comparer les performances en Open GL sur les deux plateformes ?

Windows ne ferait-il pas mieux en utilisant DirectX ?



(De mémoire Half-life 1 laissait le choix entre DirectX et Open GL, donc c’est bien qu’on peut avoir les deux sur un même jeu, même si des jeux doivent être pur Open GL)

Le 16/11/2015 à 09h 45

Pas les gens, les vrais. Ceux qui n’aiment que Fallout 1 et 2. Le reste pour eux, c’est de la daube. Fallout 3 est une infâme bouze et New Vegas a à peine redressé la barre.



Comme ça, ça fait vieux de la vieille qui vit dans son abri, figé dans le temps et ne sort que pour cracher sur les derniers opus de la série.



Si les gens aiment les nouveaux jeux, c’est que ce sont des cons qui aiment la soupe insipide.

Le 13/11/2015 à 17h 44

Tu seras probablement choqué d’apprendre que quand j’avais 5 ans, ça

m’en touchait une sans faire bouger l’autre. Que depuis, je ne me suis

pas passionné pour l’histoire du financement du réseau cuivre.



Ensuite

quand je vois qu’en 15 messages j’ai deux affirmations totalement

opposées qui divisent les autres commentateurs, je pense que c’est

légitime pour la bonne tenue de la conversation de demander des sources.



Chacun peut se faire son idée sur pièce.



La réaction de Strimy me paraît donc bien meilleure que la tienne … <img data-src=" />

Le 13/11/2015 à 17h 25

J’ai autant de raisons de te croire que vizir67 ou alex.d, mais (autant pour toi que pour eux) quand on affirme un truc, l’usage ne veut pas qu’on donne ses sources ?

Le 12/11/2015 à 10h 25

C’est un projet de loi.



L’initiative en revient donc au seul gouvernement et il présente le texte qu’il veut bien présenter aux députés. Si vraiment un député s’émeut de ce déni démocratique, il lui est parfaitement loisible de réintroduire par amendement ces articles.



On ne peut quand même pas dire que cette consultation soit un succès et ne pas en tenir compte est à mon sens plutôt sage.



Sur ta dernière phrase. Premièrement, cette question ne relève à mon sens pas de la loi, donc je ne vois pas pourquoi chaque “groupe” devrait se positionner à dessus. Deuxièmement, vu l’ampleur de la mobilisation, la meilleure réponse à cette menace pour les pourvoyeurs de logiciels privateurs, c’est de ne rien faire. Troisièmement, j’imagine à peine le “bad buzz” du projet d’article Microsoft : “la priorité sera donnée aux logiciels qui violent les libertés fondamentales de leurs utilisateurs” avec en exposé des motifs “Word et le reste de la suite office dominent le marché de la bureautique, il importe d’en prendre acte et d’utiliser ce standard de facto. La pérennité des données n’étant qu’un objectif négligeable, les administrations veilleront à acheter leurs serveurs dans des conditions permettant la meilleure intégration avec l’environnement Microsoft”.

Le 12/11/2015 à 09h 28







durthu a écrit :



Ça reste toujours plus que 20 députés qui font passer un loi dans l’hémicycle ?







&nbsp;Tu compares un peu des oranges et des carottes, mais bon …



Sans me prononcer sur le commentaire qui disait que toutes les associations de promotion du libre avaient ratissé large pour mobiliser leurs rangs et donné des consignes de vote ; en rappelant que ces 6700 voix, c’était en étant sympa et en considérant qu’aucun internaute n’avait adhéré à plus d’une de ces propositions ; je pense effectivement que 20 personnes élues au suffrage universel direct ont plus de poids que 6700 personnes.



Je ne suis pas choqué que quand 0,01 % du corps électoral réclame un truc, fusse lors d’une consultation sur un projet de loi, on n’y fasse pas droit.


Le 11/11/2015 à 23h 47

18 millions. Soit environ 40% du corps électoral.

Tu as un problème de proportions ou tu vois que c’est plus et que ça représente&nbsp;le choix de la majorité entre Abstention/Sarkozy/Hollande ?

Le 11/11/2015 à 16h 00

Tiens, sur les courbes, une réponse que j’avais fait en 2014 sur cette vidéo que je trouve au mieux d’une mauvaise foi impressionnante et au pire d’une ignorance crasse.

Le 11/11/2015 à 13h 19

Oui, et ?

Ca nous fait à 2 péquins près la population de la Ferté Macé dans l’Orne. Comme je dis. Un raz de marée !



Tu accepterais la légitimité d’un élu ou le résultat d’un référendum où on aurait 0,01% de votes exprimés&nbsp;? Cette consultation est insignifiante ! Comment on peut être déçu qu’un truc qui mobilise aussi peu soit aussi peu suivi d’effets ?



Quant à inscrire la préférence du&nbsp;libre dans la loi, je n’en vois pas la nécessité.



Il me semble avoir lu ici il y a 23 jours que l’éducation nationale avait déployé des serveurs debian ou autre. Et ce, en dépit de toute la corruption de Microsoft.



C’est bien que dans les conditions actuelles, on arrive à voir quand une solution basée sur des logiciels libres se détache des autres sur ses mérites propres et par pur pragmatisme.

Le 11/11/2015 à 12h 00

6 678 personnes se sont exprimées pour introduire le libre par la loi (en considérant que personne n’a adhéré à deux propositions).

Sur le 44,6 millions depersonnes inscrites sur les listes électorales.



Le gouvernement entendrait donc ignorer cette lame de fond, ce tsunami citoyen !? La mobilisation de 0,01% des personnes inscrites sur les listes électorales !?



La voilà la preuve que nous subissons la dictature des lobbies.

Le 05/11/2015 à 14h 40

Je ne vois pas en quoi un pourvoi qui n’est pas suspensif contre une décision pourrait être considéré comme dilatoire.



Je n’ai pas suivi la première instance, mais contester un licenciement en référé, ça me paraît un peu cavalier. C’est quand même un contentieux de fond. Je pense que le licenciement d’un type qui a ce type de poste doit soulever des problèmes qui ne relèvent pas de l’évidence.



Donc d’ici à ce qu’il y ait une erreur de droit dans la décision, ça me paraît jouable.

Le 26/10/2015 à 21h 37

Je ne suis vraiment pas d’accord avec toi. Les juges sont des gens comme les autres qui ont des portables, des enfants qui téléchargent (s’ils ne le font pas eux même), se droguent, …



Alors bien sûr, ils sont majoritairement incapables de pisser la moindre ligne de code (tout comme moi d’ailleurs), mais ils ne sont pas plus cons que d’autres. S’il y a des concepts à expliquer, ils sont tout autant à même de les comprendre que n’importe qui d’autre.



Le justiciable, il se prend un avocat s’il veut être assisté. Ce qu’a fait Boris.



Quant à la nullité du législateur. Si elle était le fait du lobbying des ayant droits, pourquoi elle se manifeste dans bien des domaines ?



Très franchement, je ne pense pas que ce soit un bon combat de faire de ce&nbsp;Dimitri Mader 2.0&nbsp;un martyr.

&nbsp;Sur le plan pénal, 6 mois avec sursis, c’est quand même plus un avertissement qu’autre chose.

&nbsp;Sur l’évaluation des DI, c’est toujours gênant de prendre le principe 1 téléchargement = 1&nbsp;vente, mais vu la décote appliquée, le principe est quand même grandement vidé de sa substance (70 cts l’album, c’est quand même une affaire). Il a joué, il a perdu. Du moins pour cette manche. Reste à voir s’il y en aura une autre.

Le 26/10/2015 à 18h 25

Deux choses.



Au plan pénal. Je suis d’accord avec toi. On a besoin de textes clairs et certaines notions soulevées ici sont pour le moins critiquables sur ce point.

&nbsp;Mais ça, c’est la faute du législateur qui ne sait plus écrire la loi. J’y vois de l’incompétence plutôt que de la malice.



Au plan civil. Je ne suis pas d’accord quand je lis des textes qui visent à encadrer l’octroi de dommages et intérêts.

&nbsp;Le juge devrait avoir toute latitude pour en fixer le quantum. Au demandeur de prouver que sa demande est fondée, au défendeur de prouver que non.

C’est un peu facile de dire que les juges n’entravent rien&nbsp; par principe. Alors je sais qu’on me ressortira le gland qui ne sait pas prononcer Google, mais c’est naze de tirer une règle d’un cas particulier.

Par contre, je m’élève contre la tendance actuelle d’une certaine américanisation qui vise à tout borner. De la même façon que je suis contre les plafonnement des indemnités au CPH, je suis contre le fait de guider la main du juge judiciaire dans l’octroi de DI.

Là dessus on a des principes qui remontent au droit de la rome antique qui valent aujourd’hui et dont l’expression dans le code civil de 1804 tient toujours aujourd’hui.



Maintenant, si tu as un souci informatique à apporter en justice, à toi d’être pédagogue ou de t’encadrer d’un conseil qui l’est.

Le 26/10/2015 à 17h 33

Mettons que tu as un accident du travail. Tu as une jambe méchamment amochée et des boursoufflures sur la trogne.



Tu vas clopiner et avoir une encore plus sale gueule. Bref pendant 2 mois, tu auras l’air de Quasimodo. Après, tu seras guéri ou consolidé.



Tu passes devant un expert qui va dire que ton préjudice esthétique temporaire est de X/7. Ensuite, tu vas demander du pognon au TASS. Ce n’est qu’un exemple.



Tu regardes en jurisprudence comment sont indemnisés les cas similaires et tu présentes tes demandes au juge.



Si tu es une belle nymphe, il donnera facilement du pognon, alors que si tu avais déjà la gueule de travers, …

Le 26/10/2015 à 16h 25

Ouh, la vilaine déformation de personnel de juridiction administrative pour le rapporteur public …



&nbsp;







linkin623 a écrit :



Pensons à Kerviel et ses 4,9 milliards…



Les dommages et intérêts sont prononcés pour “réparer un dommage”. Leur montant n’est pas limité.



Et comme le dit Marc, les calculs sont laissés totalement à l’appréciation des majors, et encore plus avec la loi de 2014. Ils savent qu’ils ne toucherons rien de cette somme (et ne comptent pas dessus), mais l’idée est de faire passer un message : “La justice est aux ordres des majors et les montants sont fixés par eux”.



Bref, les majors ont leur police privée (HADOPI, TMG et consorts), ils ont leur propre système judiciaire (juges, procureurs, huissiers, avocats, experts), et fixent eux mêmes les peines





En quoi c’est ce message qui passe ?

C’est d’autant plus triste de lire ça que tu as la bonne logique juste avant.



La victime d’une infraction chiffre son préjudice. C’est pas pour autant que le juge est à ses ordres. Pourquoi la logique devrait être différente et faire un plus mauvais sort aux majors ?



Quand une victime d’accident du travail réclame 3 000 € parce qu’elle a eu un préjudice esthétique temporaire de 47, je ne pense pas que la justice soit à son service. C’est qu’en tant qu’usager du service public de la justice, il présente une demande qui est laissée à l’appréciation souveraine des juges. Penser que ces gens prennent volontiers des ordres relève une méconnaissance de la justice.



Pour la seconde phrase soulignée, comment peux tu dire ça alors que manifestement, il ressort de ce qui est écrit au dessus prouve que tu as compris ?


Le 25/10/2015 à 12h 28

Perso, je partirais plus sur la garantie de conformité.



Je ne suis pas certain que ça s’applique en cas de panne, ce qui demanderait une petite recherche que j’ai la flemme de faire, mais l’avantage par rapport au droit de rétractation c’est que tu ne paies pas les frais de retour.



Et après tout,&nbsp;il voulait un disque dur qui marche, le disque dur&nbsp;ne&nbsp;marche pas et ça le rend impropre à son usage.

&nbsp;

J’ai fait ça sur un bouquin cet été avec un vendeur sur le site de la FNAC. J’ai fait le mange merde. Un livre qui coûte environ 50€ neuf. Je trouve une édition 2013 à 3€ port compris, ce qui est pas idéal mais largement utilisable. Le risque est limité, je me lance.

Je reçois une édition 2005 complètement obsolète.



J’ai écrit au mec pour lui expliquer le souci et que je ne pourrai pas utiliser son bouquin. Il me rembourse et me laisse le garder.

Le 21/10/2015 à 13h 21

Avec une connexion 8 mégas par exemple, si tu décides de rattraper 8 saisons de retard d’une série, c’est largement plus.

Le 21/10/2015 à 12h 48

Ou tout simplement laissé son client tourner pendant qu’il vaquait à ses occupations.



Je pense que peu de monde trouve de la satisfaction à surveiller une barre de progression en se disant “plus que 5h48 à cette vitesse ” !

Le 20/10/2015 à 07h 36

Si sur une seule application, le Ubuntu store a généré 15 téléchargement, on peut raisonnablement penser que s’il compte une vingtaine d’applications aussi populaires, les chiffres seront meilleurs que le windows store.

Le 15/10/2015 à 17h 11







lossendae a écrit :



1 - Se procurer une clé

2 - Visiter un Apple store





3 - Se faire choper par un vigile

4 - Aller en garde à vue

5 - Passer en comparution immédiate

6 - Etre condamné à rembourser les 4 iMac à 3 000 € qu’on a détruit avant d’être appréhendé



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Le 09/10/2015 à 07h 24

C’est lui qui en est le garant.

Le 08/10/2015 à 21h 55

J’ai vraiment du mal avec ces recours. Je ne vois pas comment ils peuvent être recevables.

Comment le&nbsp;conseil de l’ordre&nbsp;de Paris pourra démontrer être victime d’une violation de la convention ou avoir épuisé les voies de recours internes suite à une telle violation. Ca pue le coup de comm’ ou je suis un ignorant crasse d’une disposition qui vise à faire juger la loi par la CEDH et je suis preneur d’une source.



En tout cas, je jetterais bien un œil à ces requêtes .