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jchcaron

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111 commentaires

Le 15/11/2013 à 14h 32







wanou2 a écrit :



C’est vrai qu’aux states ou le racisme est libre d’expression en fin de compte les valeurs racistes sont assez peu reprises dans les programmes électoraux. Je ne sais pas si on doit l’imputer seulement à leur système politique ou bien si la nauséeuse communication raciste qui est peut être faite sans limite dégoute une grande partie de la population.







Peut être pas dans les programmes électoraux mais la ségrégation est, hélas, toujours bel et bien présente : cet article de Wired Wired l’illustre.



En France, c’est un délit puni par la loi. De fait, ne pas le combattre serait participer à une atteinte à l’égale dignité des citoyens qui est le fondement essentiel de la démocratie. Mais ce n’est pas au CSA de réinventer la roue, la législation actuelle existe déjà. De l’espérance à la réalité il y a un monde, et de la démocratie aussi, mais l’ignorance, le calcul politique et le court-termisme, n’ont jamais fait bon ménage, a t’il songé aux conséquences ? Juste une seconde ?



Les gens devaient être sauvés, non des dangers d’internet, mais des manipulations politiques et médiatiques, et des conséquences de ces processus démoralisants qui dans leurs aveuglements imbéciles tuent l’intelligence, l’espoir au changement, la liberté, et au final la dignité de tout homme. Et nous avons la, le terreau de toute révolte… Qui en récoltera les fruits ?



Notre époque manque définitivement de grands politiques, l’illustration de la médiocrité ordinaire le démontre chaque jour.


Le 06/11/2013 à 12h 54







HarmattanBlow a écrit :



Tout n’est pas à ranger dans la catégorie “recul” ou “progrès”. Ici ça ne change rien à part fournir à quelques uns des opportunités.



Ça ne peut pas plus tirer les rémunérations vers le bas qu’un site regroupant des millions d’offres d’emploi ! …



Enfin tu considères que tout le monde est interchangeable et que l’offre est forcément pléthorique….



J’insiste à nouveau : tout le monde n’a pas à être un opprimé, il faut défendre ceux qui en ont besoin mais aussi laisser ceux qui le peuvent acquérir pouvoir, liberté et indépendance.







Dans un sens je comprends ta position. Je t’invite à prendre du recul et à considérer que Google n’a pas à se substituer à un consensus social et imposer un modèle qui lui est propre, et qui est -en plus- destructeur de valeur. La “coolitude” à ses limites.



J’ai bien compris la dualité des positions, elle est au fonds derrière tout discours économique et politique, notre société actuelle est le résultat de ce point d’équilibre. Le même service, qui tiendrait compte des “spécificités culturelles” aurait une plus grande chance d’être accepté, or il ne le fait pas…



Je dénie à Google le pouvoir de s’affranchir du droit du travail, et de celui de la fiscalité au passage, par idéologie ou pur opportunisme, il serait sain que je ne sois pas le seul. C’est le terrain de la démocratie qui est en jeu, et ce n’est pas à une société privée qui planque ses bénéfices dans des paradis fiscaux de s’y substituer.



Ce que Google nous indique c’est qu’une rémunération peut parfaitement descendre à zéro, notre consensus, indique lui un salaire minimum, le Rubicon est bien franchi.


Le 06/11/2013 à 02h 39







HarmattanBlow a écrit :



Alors bien sûr certains subiront le système…



Défendre le salarié c’est bien. Vouloir tous les enfermer dans des logiques d’opprimés en revanche…







Je suis le premier à applaudir le progrès lorsqu’il y en a un, il n’est nullement avéré ici.



Le coté accessibilité est sympathique, mais cela ne l’est que pour le donneur d’ordre. Si le système devient immensément populaire, il ne peut tirer les rémunérations que vers le bas, et même le très très bas (cas avéré pour d’autres plate-formes du même genre), d’autant que Google prélève 20% sur toute opération. Ce qui fait que concrètement une excellente idée, devient une très mauvaise idée. Les vrais compétences ne pouvant être rémunérées à leur juste valeur, il ne reste plus que de l’amateurisme, et de la déception. Et des remboursements en boucle… Tout en fragilisant tout le monde au passage.



Il manque clairement d’importantes limites pour que cela fonctionne, la seule acceptabilité d’un tel produit en France venant de Google, serait qu’il soit, et reste, totalement bénévole (principalement pour des raisons juridiques).



Les marchands de viande ne devraient pas être les bienvenus, et la servitude, fût-elle 2.0 ne devrait pas l’être non plus !


Le 05/11/2013 à 17h 53

Voila bien une sombre illustration de l’état de délabrement social américain, entretenu, avec ce genre d’outil et de “progrès”. Qui semble ignorer et le droit du travail, et l’entraide mutuelle… des siècles de réels progrès et de combats. Le seul risque ? Que ça fonctionne… adieu le contrat de travail.

Le 27/10/2013 à 14h 13







wykaaa a écrit :



Toutes les prédictions confirment qu’à l’horizon 20302035 la moitié des emplois mondiaux (aujourd’hui 4 milliards) va disparaître car remplacée par des robots !





C’est très exactement ce qui était prévu il y a 20 ans pour aujourd’hui… sauf que c’est la main d’œuvre chinoise, bien moins chère en capital qui s’est substituée à ces robots.



Même si demain, la Chine réussit son développement complet, les candidats sont nombreux pour prendre sa place : Inde, Indonésie, continent Africain…



40 % du commerce mondial est toujours aujourd’hui constitué de pièces détachées, assemblées quelque part, par la magie de la mondialisation, et a moins qu’elle ne disparaisse elle même, ou que le coût de la robotisation ne s’effondre dans des proportions dramatiques…


Le 27/10/2013 à 13h 58







Azinya a écrit :



Plus le net s’étend, plus il perd son âme …



Il y a 10 ans, je me disait que les mentalités allaient évoluer et en quelques sorte que tout le monde deviendrait informaticien, le net d’alors serait en fait juste devenu plus important …







Les mentalités ont effectivement évoluées, et la pénétration de l’informatique dans toutes les couches sociales est avérée, pour autant ce n’est pas cela qui permet la généralisation de l’esprit libertaire des origines.



Nils se trompe à rechercher les évolutions du net en lui même, quand la véritable évolution est la révolution sociétale qu’elle engendre et qui définit par conséquent l’avenir de cette technologie. Ce qui définira le net de demain est finalement déjà autour de nous, c’est le fonctionnement de notre société. C’est sa capacité d’absorption et de transformation du monde qui définit la direction de croissance du net, et qui en régule sa vitesse.



La société a subit de plein fouet le choc de l’exposition de ses distorsions de concurrence préalable et de ses défauts les plus évidents, par l’arrivée d’une transparence (sur les prix en particulier), d’une information plus complète sur les produits et par conséquent d’une évolution des usages commerciaux.



Quelques exemples de disparitions a court terme:




  • les petites annonces

  • les grandes surfaces culturelles généralistes

  • les librairies

  • les journaux (et un grand nombre de revues)

  • les marchands de journaux

  • les agences de voyages

  • les quincailleries



    Et des disparitions ou adaptation partielles engendrées :

  • les succursales bancaires

  • les succursales d’assurances

  • l’agence immobilière

  • les taxis

  • les points de ventes d’abonnement téléphonique

  • l’accueil des services publics

  • l’épicerie du coin (remplacée par les drive-in)

  • le marchand spécialisé de niche (ex : modélisme, opticien..)

  • la grande surface (approvisionnement direct aux centrales d’achats)

  • le réparateur informatique (qui a de moins en moins de problèmes à résoudre)

  • le médecin (public plus formé et demandeur d’information)

  • la télévision classique (usage en déclin)

  • les lieux communautaires (café/restaurants).



    La liste n’est pas exhaustive. Si la technologie est rapide, les changements sociaux eux, sont beaucoup plus lents. Par conséquent, le “ralentissement” d’internet n’est qu’une conséquence de la saturation de notre société, rencontrant plus de difficultés à passer à l’étape suivante comme une modification profonde de l’enseignement et du fonctionnement du travail.



    D’autres innovations, telle que l’automatisation des transports (matériel et personnel), les objets connectés (avec système de maintenance automatisés) sont nécessaires pour le prochain bond en avant, accompagnés d’une révolution énergétique qui en est sans doute le plus épineux problème.


Le 23/10/2013 à 11h 31







ragoutoutou a écrit :



Ce n’est une tempête dans un verre d’eau que si on décide que ce type d’espionnage à très grande échelle est le plein droit de nos alliés. Maintenant, c’est comme une agression dans le métro, si tout le monde décide de regarder ailleurs, ça continuera.







Un tel espionnage n’est possible qu’avec une collaboration de nos propres services de renseignements, et avec les meilleurs raisons du monde (anti-terrorisme), et l’on ne tape que de manière modérée, chacun sachant pertinemment ce qu’il en est. D’ailleurs l’ampleur du piratage de données en est le signe matériel le plus évident. L’Allemagne ne s’est pas cachée, elle, de sa collaboration pour la même raison.


Le 23/10/2013 à 10h 55







kwak-kwak a écrit :



Sans troller (et le plus sérieusement du monde), il est très probable que la maire soit de bonne foi. Quand on instaure un climat malsain dans sa commune avec des pressions dont le résultat de sélectionner ses employés communaux en fonction de leur orientation politique, certains d’entre eux sont alors amenés à faire du zèle…







Difficile de s’accorder sur la bonne foi, l’intelligence ou plus simplement, la compétence technique en relisant les justifications du problème, le fait que le site ne soit pas aujourd’hui de nouveau en “white list” après l’information d’hier ne plaide pas dans ce sens. Ou pourrait tout au contraire l’innocenter pour de bon. Un problème technique détecté, lui, se règle. L’embarras crée n’en est pourtant que plus qu’évident.



Faire cohabiter ce climat (alimenté de toute part) avec la mise à disposition d’un outil de filtrage est un terrain propice des apprentis dictateurs, quelle surprise ! Et comme elle engendre aussi des chevaliers blancs, pour en tirer profit… une telle fonction n’est aucunement souhaitable.



Manque de chance pour les manipulateurs de tout poils, les deux faces du problème, et ses conséquences, sont très visibles. La démarche est en soit, assez contre-productive et vaine, a tel point qu’elle suscite plutôt d’autres interrogations s’agit-il in-fine d’un problème technique ou humain ?



Comment entrer dans la black list Sophos au juste ? Robots + déclaratifs ? Déclaratif simple et global ? Interface directe et locale ? L’hypothèse que le site en question soit effectivement infecté a elle été, elle aussi, envisagée ? Qu’il est été déclaré malveillant (et de manière inapproprié) de nombreuses fois aussi ?



Marc, une petite interview de Sophos ne serait pas du luxe…


Le 07/10/2013 à 11h 40

Je ne comprends pas qu’un tel sujet puisse être traité dans PCI

Une loi inapplicable n’a pour seul but que de faire de la publicité pour son rapporteur, on a l’impression que PCI ignore tout de ce phénomène connu. Le traiter au sérieux, et feindre d’y croire est, dans ce contexte, ridicule. Et se transforme, immanquablement, en sujet à troll, ce qu’il est, de fait, dès le début.



<img data-src=" /> A Xavier Berne.

Le 03/10/2013 à 22h 01

Google + webcam… il y a pas un truc qui vous choque plus ?

Le 03/10/2013 à 15h 59







Orshak a écrit :



Encore une fois, avant de vouloir faire chier sur des “conséquences” virtuelles que personne de sain d’esprit ne prend pour la réalité, faudrait peut être s’occuper de la réalité non ?





C’est précisément parce que la réalité est accablante, que la Croix Rouge s’exprime.



SI un jeu de guerre vraiment réaliste existait, il nous obligerait dans un premier temps à aller vomir toutes les deux minutes… puis a en être traumatisé à vie, ce n’est pas ce que nous devrions désirer, en aucune manière.



Un jeu, après tout, repose sur une Suspension consentie de l’incrédulité qui n’est, hélas, pas ressenti comme tel par un certain nombres de personnes.


Le 03/10/2013 à 12h 31







cid_Dileezer_geek a écrit :



Je l’ai déjà vue plusieurs fois, je l’ai même postée dans un de mes commentaires, et tout ce que j’essaye de dire c’est que l’amoralité existe depuis la naissance de l’homme, depuis les temps bibliques quand Caïn tue son frère Abel etc…

Le jeu vidéo et l’internet sont les nouvelles cibles de la chasse aux sorcières qui a lieu de nos jours.

Le manque de moralité est dû à cette société complètement pourrie dans laquelle nous naissons et qui nous encourage à la compétition, la division etc…

Bref, amha, tant que les êtres humains ne seront pas plus(+) humains, on n’en sortira pas.





Le fait que l’amoralité existerais “depuis la nuit des temps”, est un raccourci ravageur, mais fondamentalement faux. C’est plutôt le système de valeur et de référence qui change, et le besoin de ces valeurs pour structurer une société, pour un temps, qu’il fait qu’elles existent et se différencient, donc de point de vue historique, la définition de la culture. Bref, un bon sujet piégé… mais qui révèle que les sociétés sont issues des changements moraux qui les animent, individu par individu, il n’y a pas la de jugement de valeur, mais la simple constatation des mécanismes de cette action.



Et de changements, justement, nous en parlons ici. Je refuse que l’on considère l’idée de torture comme un mécanisme -ordinaire- de l’action armée. C’est mon curseur, celui de la Croix rouge, et du droit international aussi.



Je refuse tout autant de voir cela arriver dans un jeu vidéo représentant ce monde “réel” fabriquer le même dégout et de la même aversion pour le genre humain qu’une véritable situation de combat. Il n’est pas nécessaire d’en arriver à ce point la pour fournir une bonne occupation vidéo ludique, et quand çà vas trop loin, c’est aussi à nous joueurs, de le dire…



Refuser le n’importe quoi est du simple bon sens.


Le 03/10/2013 à 11h 19







cid_Dileezer_geek a écrit :



Si les jeux vidéos sont la cause des violences dans les guerres actuelles, j’aimerais que tu me donne le titre du ou des jeux video auquel(s) jouait Hitler pour savoir ce qui l’a rendu si inhumain quand au traitement des gens qu’il a fait massacrer, non parce que en parlant d’amoralité extrême, il tenait le pompon si je puis dire, tu as vu ce qu’il faisait subir à ces gens???







Déjà dans le point Godwin techniquement, et de manière bien inutile, tu n’aura pas de réponses la dessus sur un point de vue (impossible, hypothétique, ridicule) rayez les mentions inutiles….



Regarde la vidéo de l’hélico, l’amoralité ordinaire, et sa banalisation est déjà problématique.


Le 03/10/2013 à 00h 32







cityhunter67 a écrit :



Les USA comme des milliers de pays





Je me suis arrêté la.


Le 02/10/2013 à 19h 36







Ideal a écrit :



Bref on espère bien que la majorité des pilotes et artilleurs sont pas aussi con que ces deux là mais malheureusement une guerre ne produit qu’une majorité de types comme ça et une minorité d’autres ….







Personne ne revient indemne d’une guerre.



Leurs règles d’engagement résout, pour un temps, tout problème, et d’intelligence, et de conscience, on suit le protocole, et c’est tout. “Vous dites voir des armes”, on passe à l’étape 1, étape 2 etc… Ça n’as donc rien a voir avec leur capacité intellectuelle, et le seul rempart qui serait leur intégrité morale, celle la même qui leur ferait douter, est totalement absorbée par leurs ressentiments, et leur volonté de faire un carton. Comme si ôter la vie à 10 personnes pour rien devait être désirable d’une quelconque manière…



Ces règles vont servir ici de prétexte. Ce ne sont pas les règles d’engagement qui protègent de l’amoralité des conduites (achever le blessé, tuer les secouristes), mais bien l’absence d’une conscience.



Or cette conscience, il faut mieux la construire avant que de compter sur le quotidien d’une véritable guerre pour l’alimenter, les soldats deviennent paranos.



On en revient donc au jeu vidéo, banalisant des actes barbares, dé-dramatise le fait d’y avoir recours un jour de manière répétée. Et une fois intégré à un protocole d’intervention, il n’y a plus de retour possible, la volonté est trop tenue. Vous êtes dans le schéma de faire un carton, vous faites un carton…



Si ça ne choque plus dans un jeu, ou de moins en moins, pourquoi voudriez vous que cela choque les militaires de faire la guerre, et d’utiliser des esprits déjà pré-formatés dans ce sens.



Les rendre impossibles dans un jeu, ou moralement réprimés, éviteraient de les voir se répandre plus tard sur les champs de bataille, comme un critère de normalité. C’est un raisonnement simpliste, mais quand on voit l’univers intellectuels de ces pauvres gars, le jeu vidéo est bien un média qui leur parle plus que le prof de philo qu’ils n’auront jamais.



Paradoxalement, l’origine de la demande est sans doute l’armée, consciente plus que tout autre du problème que cela lui pose.



Pour ce qui est des armes, j’ai observé avec attention la vidéo, vers 3m35, on voit deux personnes en haut, l’un avec un truc court (qui est peut être une arme), et un t-shirt a rayures, et l’autre a coté avec un machin qui ressemble plus a un poteau qu’a une arme (c’est gros et mal aisé a bouger). Quelques secondes après, mystère le type à rayures n’as plus rien en main, et le second disparait de la vision. Quand au RPG, c’est le téléobjectif d’un appareil..


Le 02/10/2013 à 18h 52







Ideal a écrit :



Bref on espère bien que la majorité des pilotes et artilleurs sont pas aussi con que ces deux là mais malheureusement une guerre ne produit qu’une majorité de types comme ça et une minorité d’autres ….





Le plus fort, c’est que leurs règles d’engagement résout tout problème, et d’intelligence, et de conscience, on suit le protocole, et c’est tout. “Vous dites voir des armes”, allez y, étape 1, étape 2 etc… Ça n’as donc rien a voir avec leur capacité intellectuelle, et le seul rempart qui serait leur intégrité morale, est totalement absorbée par leurs ressentiments, et leur volonté de faire un carton.



Ils ne se sont pas dit dans ces conditions, on ne sait pas ce qu’il se passe, nous ne sommes pas menacés, on n’ouvre pas le feu, et l’on ne fait rien. Non, dans ce cas de figure, tel que décrit, il y a obligation d’agir… et rien ne vient arrêter l’erreur initiale…



J’ai observé avec attention la vidéo, vers 3m35, on voit deux types en haut, l’un avec un truc court, et un t-shirt a rayures, et l’autre a coté avec un machin qui ressemble plus a un poteau qu’a une arme (c’est gros). Quelques secondes après, mystère le type à rayures n’as plus rien en main, et le second disparait de la vision. Quand au RPG, c’est le téléobjectif d’un appareil… mais une fois que l’on est conditionné a voir des armes partout, il y en a partout.


Le 02/10/2013 à 16h 07







gavroche69 a écrit :



D’ailleurs je me demande vraiment quel peut être le pourcentage de mecs qui s’engagent dans l’armée parce qu’ils ont aimé les jeux de guerre.

C’est une vraie question, je serais vraiment curieux de le savoir… <img data-src=" />







Un sérieux article ici et une conclusion :

“The game is never going to overcome someone’s trepidation and fears regarding the ongoing war on terror,” Scott said. “But it does get some people talking to recruiters who might not have otherwise. It opens a window, and if they look in and they decide to join, great.”



Banalisons la guerre, il en restera bien quelque chose… ^^


Le 02/10/2013 à 15h 44

Edit :

Parce que l’absence de jugement moral est une plaie, qui commence, et persiste au delà du champs de bataille.

Le 02/10/2013 à 15h 31







Doggy66 a écrit :



Désolé, mais là tu sur-interprètes une vidéo pour y plaquer un préjugé sur le passé ou le présent vidéo ludique des pilotes et artilleurs des hélicos de combats qui ont tirés.



J’ai bien regardé jusqu’à la fin et c’est vrai que l’attitude de l’artilleur est assez proche d’un fou de la gâchette mais la culture des armes n’est déjà pas la même entre l’Europe et les E-U donc pas la même sensibilité.





Même quand il a fallu détruite un minibus qui emmenait un blessé, ils ont attendu l’autorisation de faire feu. Les pilotes et les artilleurs n’ont pas regardé ce qu’il y avait dans le minibus parce qu’ils étaient occupés à vérifier si le blessé était armé et là effectivement il y a manifestement un artilleur qui voulait “faire un carton”.



Tout ça pour dire qu’à moins de bien connaître le contexte et les circonstances exacts, nous devrions bien nous garder de faire des conclusions hâtives surtout quand on parle d’état d’esprit ou d’influences psychologiques.







Le contexte : on ne sait pas, on ne tire pas. On n’invente pas des AK imaginaires pour pouvoir faire un carton, parce qu’évidemment, sans menaces, les règles d’engagement sont très strictes. On ne dis pas “nice” par trois fois après… On n’achève pas un blessé manifestement hors de combat et ne présentant aucun risque. On ne tue pas non plus leurs sauveteurs désarmés, jamais. On ne tue pas des gens parce qu’on le peut s’en en avoir à rendre compte, et bien a l’abri, en disant, on était dans les clous du règlement.



Ce n’est pas un préjugé que de dire que la “normalisation” d’actes inhumains, engendre des comportements inhumains en plus grand nombre. Expliquer ses travers par la culture des armes, c’est se tromper de débat. Et ce n’est pas l’objet de la demande de la croix rouge, les droits humains existent, et ce que l’on voit dans cette video , c’est ce que ça donne quand on n’en tient plus du tout compte.



Cette déshumanisation, cette banalisation du mal, commence aussi à apparaitre de manière fort regrettable dans les jeux vidéos…. Tout comme l’usage immodéré des armes au cinéma, hier. Oui, la croix rouge est parfaitement dans son droit de réclamer un peu plus d’attention, parce que l’absence de jugement moral est une plaie qui persiste au delà du champs de bataille.



“Nice” me fait irrésistiblement penser au fameux “nice shot” des jeux vidéos, comment passer d’un monde à l’autre sans s’en rendre compte, il faut le faire…


Le 02/10/2013 à 13h 30







damaki a écrit :



Guantanamo, waterboarding, armes chimiques en Syrie, armes illégales encore utilisées dans certains conflits… la croix rouge a pas autre chose à foutre que de s’occuper des jeux vidéo ? Ah non, pardon, c’est vrai que la violence, les guerres et les meurtres, c’est depuis 20 ans la faute des jeux vidéo.







Comprends bien que les gens qui travaillent à la croix rouge croisent tout les jours des victimes de ces guerres et portent sans doute une appréciation bien différente des choses que la tienne. Et sur ce qu’est la barbarie réelle.



Ce que tu cite est choquant, et doit le rester, le risque à inclure n’importe quoi dans un jeu vidéo, c’est d’anesthésier, et d’éroder petit à petit notre capacité d’indignation (qui, elle, est salutaire) dans le sens ou elle rend, précisément, les conflits non désirables et la défense d’un certain nombre de règles humanitaires recherchée.



Dans le cinéma américain ou flingue déjà quelqu’un comme pour dire bonjour, il n’y a pas nécessité à introduire d’autres incongruités du même type.. Une scène de torture réalisé par le joueur n’as rien a faire dans un jeu, et mettre quelques limites aujourd’hui, est plutôt censé.



Voilà ce qu’il se passe après quand on se croit toujours dans call of duty : youtube.com YouTube


Le 26/09/2013 à 22h 23







ag1990 a écrit :



Ça va tentaculer !

<img data-src=" />





Si seulement ça s’arrêtait à ça…


Le 26/09/2013 à 09h 13

L’article de Gameindustry est tout de même plus complet. Ce qu’il dit n’as rien de saugrenu, dans son contexte… . Avant d’enfoncer des portes ouvertes, lisez donc l’article original.



Ce qu’il dit est très simple, l’erreur est de vouloir faire le même jeu partout, une solution (trop) couteuse pour le client, principalement parce qu’elle aboutit à être inadaptée au support, particulièrement aux smartphones, et qui rend les jeux trop difficile à utiliser “avec ces interfaces là”. Le joueur est frustré, et c’est une erreur.



Pas un mot en revanche de ce qu’il dit d’intéressant, que sa vision de la quatrième génération de consoles, ce n’est plus la sortie d’un nouvel opus tout les 4 ans, mais l’évolution indéfinie d’un même titre, basé sur une création de contenu utilisateur.. et que le modèle mécanique d’évolution des titres à chaque évolution technologique semble arrivé a maturité, pour être remplacé par une amélioration du logiciel seul (ce qui semble optimiste).

Le 25/09/2013 à 18h 25







meneldal a écrit :



Pour les gens qui s’inquiètent du CPL ….







On peut difficilement parler de terminal intelligent si lui même ne s’adapte pas tout seul aux besoins des utilisateurs, ce qui implique en amont l’abandon de l’idée mêmes des paliers existants…



Question subsidiaire : avant le déploiement des boitiers, les équipements CPL externes sont déjà installés, pourquoi ne pas avoir proposé un compteur intelligent.. qui aurait aussi permis de supprimer l’accès internet ? On en parlait en …2005


Le 19/09/2013 à 12h 53







Tehar a écrit :



L’écosystème de l’industrie de la musique m’a toujours fasciné. Au début, ils ont rejeté en bloc l’économie d’internet, avec du tout répressif, pour ensuite faire marche arrière et proposer du contenu légal, mais sans se demander si l’ancien système économique pouvait continuer à exister en l’état.







En même temps, ils se battent maintenant pour des cacahouètes, la totalité du chiffres d’affaires ne dépasse pas celle … d’un seul hypermarché.



Certains ont bien compris d’ailleurs que le combat n’était plus la, et finalement nuisible, l’argent n’est plus dans la vente d’album, mais dans les concerts.



Il est temps de considérer que la diffusion en ligne est d’abord un outil de marketing qui permet de toucher un public (au même titre que la radio hier), avec les moyens d’aujourd’hui (réseaux sociaux) c’est la qu’est la valeur ajoutée.



Nous n’en sommes pas encore la dans tous les esprits coté créateurs, mais dans la phase de changement d’un monde à l’autre, d’une adaptation contrainte, mais qui se réalise, même s’il faut passer par une phase “éducative” “pédagogique” en culpabilisant plus ou moins le public puisque c’est le ressort sur lequel on va s’appuyer, et d’assurer ainsi plus plus facilement les 34 de leurs revenus lors de concerts (qui voient d’ailleurs leurs prix augmenter). Rien de neuf sous le soleil.


Le 19/09/2013 à 00h 00







nimportequi a écrit :



Ce n’est pas le lieu pour dire ces choses… chat échaudé craint l’eau froide,.. ce qui s’est passé sera couché sur octets glacés de manière impitoyable; quand tout sera achevé, quoi qu’il advienne.







On aura un chat gelé…


Le 18/09/2013 à 23h 31







zart a écrit :



Quizz, si je te traite de connard là maintenant c’est:

Illicite?

Manifestement illicite?

Border line?

Manifestement légal?

Légal?







Souhaitable, juste souhaitable.


Le 18/09/2013 à 13h 58







rsegismont a écrit :



Ce qui est marrant c’est que ca choque personne pas plus que ça .. Alors qu’on ferait ça avec le courrier classique ( un peu comme la stasi en son temps … ) tout le monde serait outré …



Au final tout ca pour masquer le vrai problème : la justice française à pas les moyens de faire justice ( fin pour le pékin moyen, pour les riches, ca ira toujours), et on devrait simplement envoyer devant un tribunal tout ceux ayant des propos dépassant la liberté d’expression, et le jugement devrait être simple et rapide, mais au moins ca sera par la justice…



La au final police et justice deviennent privés … Najat Vallaud-Belkacem n’est vraiment qu’une incompétente de plus …







Ça n’a rien a voir, à moins de sauter les pieds joints dans l’apparence, et oublier de dénoncer l’essentiel.



Ici il s’agit de transmettre les contenus diffusés auprès d’un public beaucoup plus large que ton courrier personnel (et c’est ce caractère qui fait qu’ils “nuisent”) -signalés- par les internautes eux mêmes… Et quand on voit la taille d’internet.. aucune police au monde ne pourrait raisonnablement y faire face, c’est du réalisme. Souhaiter l’inverse est tout de même étonnant, tant les dérives que cela entrainerait seraient infiniment plus grandes (NSA nous voilà), d’un autre coté, la solution retenue, entraine elle même ses propres dérives.



Ce qui est plus le plus condamnable, c’est d’instaurer le cadre législatif d’une police de la pensée, c’est le propre des dictatures, et qui suffit en elle même à réveiller tous les apprentis dictateurs qui en sont le bras armé, qui, eux-mêmes, généreront leur propre opposition renforcée, etc… C’est un argument finalement à courte-vue, la démocratie se nourrit de débats contradictoires, et ne plus l’accepter, un renoncement.



Les glissements progressifs de l’encadrement législatif dans ce sens n’ont rien d’encourageants, quoi que l’on pense des sujets eux-mêmes, et des besoins qu’ils expriment : la méthode est mauvaise, et pas adapté au média.



Une démocratie est robuste précisément parce qu’elle laisse une certaine liberté d’expression, ou l’intérêt pour une information qui n’a pas de sens, disparait aussi vite qu’il est apparu. Affaire streisand etc… il y en aura plein désormais.



Dans un mode policé je n’aurais pas lu l’interview d’el Assad, ni vu les réactions “facebook” sur le bijoutier de Nice. Non que j’y adhère pour autant, mais cela permet de percevoir le monde sous un autre angle, et de pouvoir, librement se forger sa propre opinion, y compris sur l’infinie stupidité de la nature humaine.



Dans un mode policé, tel que celui auquel tu aspire, je vais devoir signaler ta dernière phrase “Najat Vallaud-Belkacem n’est vraiment qu’une incompétente de plus”, comme un propos sexiste. Désolé, c’est comme ça, c’est la loi !


Le 18/09/2013 à 23h 17







Impli a écrit :



C’est dingue cette manie de râler …





Et c’est normal ! Surtout quand on voit un joli coup de com qui s’affiche sans dire son nom, histoire de rafraichir l’image du produit, et de la société, élue plusieurs fois Pire société de l’année.



fr.wikipedia.org WikipediaDe la fumée sans feu ? jamais !


Le 17/09/2013 à 03h 30







lamor a écrit :



Le visuel c’est vraiment ce qui va etre donné ?



C’est quoi cette horreur ultra kitch tout droit sortit des années 70 ?!!!







Assez d’accord avec toi, mais après réflexion le moche, c’est intemporel, et ça fait le job…



Le vrai risque de faire un truc sexy et à la mode, c’est qu’elle passe… et après ça devient super kitch, quoi qu’il arrive, regarde les sites web un peu ancien… de quelques années.



D’ici 2033, le rose sera peut être très tendance, plusieurs fois….



Par contre ils auraient pu imaginer une carte tout en un, identité, permis de conduire, carte vitale, et tout le toutim… cela aurait fait des économies…


Le 14/09/2013 à 11h 16

Nils je comprends ce que vous n’écrivez pas et pourquoi.., comme ce que vous écrivez mais… regardez bien votre graphique, refaite le même avec l’année 2003, 2006 et 2009 incluses, on dirait que vous êtes victime d’une manipulation graphique alors n’y sautez pas à pieds joints sans vous demander pourquoi…



On aimerait, comme vous, imaginer que cette rapidité supposée ne s’explique que par une concurrence accrue aujourd’hui, par rapport à l’hier, forcément préhistorique et lent… or ne pas tenir compte dans votre historique de quelques pratiques anticoncurrentielles avérées dans ce secteur mérite de s’interroger quelque peu sur l’analyse historique que vous reprenez. L’avalanche de chiffres de votre article ne les rendent pourtant que très évidentes…



Il y a vraiment de si étonnantes corrélations des courbes, dans un si étonnant calendrier pour la 3g, une si étonnante unanimité pour ne pas tenir les objectifs mais arriver au même pourcentage de couverture…



Ce qui est vraiment intéressant c’est la dernière partie de la courbe, celle pour passer de 75% a 90% qui nécessite normalement infiniment plus d’efforts, avec des installateurs locaux qui travaillent globalement en même temps pour les trois opérateurs cités… légèrement sous employés avant d’arriver aux dates fatidiques.



C’est cette inertie là qui permet de faire du profit, soit en augmentant la durée de vie de la génération technologique précédente, soit en différant des investissements, s’il faut pour cela payer un ticket d’entrée élevé (les droits d’accès), ce n’est pas grand chose si cela permet de maintenir le marché global tel qu’il est actuellement. Sauf que le temps tourne technologiquement aussi…



Or on le voit bien, ce sont nos besoins qui changent vite, et ce n’est pas terminé, il faudra encore plusieurs couches technologiques pour vraiment arriver à un monde d’êtres, d’objets, et de structures, en communication et interaction permanente sur 100% du territoire, on en est loin. On peut même s’interroger sur la pertinence du lancement d’une offre déjà obsolète au jour J par rapport aux besoins immédiats (cloud ?)…le vieux modèle économique à la vie dure, mais ici c’est potentiellement un “accident industriel” en devenir.



Ce que montre la durée des déploiements prévus c’est que les réponses arrivent toujours longtemps après les besoins, et bien plus pour des raisons d’exploitation commerciales que technique… Par conséquent un déploiement n’est pas rapide ou lent, mais il l’est, ou le devient par des facteurs exogènes, ou la manière dont on l’estime, ce qui aurait du être la matière de votre article.



Jusque la il était possible de profiter de rentes de situations pour de nombreuses années, mais la, on se rend compte aussi que ce qui sanctionne cette pratique c’est l’inadéquation -grandissante- du produit à la demande… qui les rendent obsolètes en quelques années, et vulnérable à toute évolution en dehors de leur cercle d’opérateurs de base…



Voila l’état dans le lequel se trouve le marché, modèle de plus en plus vulnérable à l’évolution de la technologie… Nokia avant Apple, Sony avant Samsung, Kodak avant le numérique….

Le 09/09/2013 à 12h 07







adrieng a écrit :



Ben déjà arrêtons de leur faciliter la vie : https everywhere, PGP, Facebook/Google/Microsoft, etc. À mon avis il y a moyen d’agir _facilement_ .

.









SSL cassé également



En vérité plus rien n’est “sur” après ses “révélations”, alors que ce soit une agence gouvernementale dont c’est le but avoué, passe encore. Mais une grande partie du risque est dans la propagation de ces méthodes de contournement, par des organisations aux buts biens moins avouables… j’espère au moins que leurs algorithmes sont bien sécurisés chez eux :p


Le 09/09/2013 à 11h 44







tic tac a écrit :



C’ est pas possible, pour la NSA personne ne crypte de disques durs …<img data-src=">







La NASA pas la NSA… à moins d’être vraiment dans la lune…<img data-src=" />


Le 09/09/2013 à 11h 28

Petit retour en arrière…en 2007 (source)



“L’assistant numérique Blackberry est interdit de séjour dans les ministères français tout comme à Matignon (Premier ministre) et à l’Elysée (présidence).

Cité par Le Monde, le Haut responsable chargé de l’intelligence économique au SGDN, Alain Juillet, affirme que ces petits terminaux portables, devenus les chouchous des décideurs du monde entier, pâtissent d’un “problème de sécurisation des données”.



Le problème est donc connu depuis longtemps par les gouvernements… la seule nouveauté est que l’on met désormais un nom sur l’origine de l’espionnage dans la presse. Ce qui aurait été un incident diplomatique en soit.

Le 05/09/2013 à 14h 03







nucle a écrit :



Le même gars aurait défendu la position complètement inverse si ça avait été une administration républicaine au pouvoir.



En fait, un politicien, c’est une fonction abstraite, il faut lui donner le sujet, l’opinion (sous forme de boolean, est_daccord), et il te retourne un discourt et des arguments politiques. Il suffit de changer l’opinion dans la commande, pour retourner d’autres valeurs.







C’est exactement la situation, il semble bien avéré que l’homme politique du 21ème siècle n’ai par nature plus de conviction, ceci remplacé par un solide sens de l’opportunisme. Ne cherchez pas de cynisme dans cette phrase, il n’y en a pas, c’est juste ainsi que ce font les choses.. Ce qui nous donne en théorie, à nous électeurs, la seule possibilité d’avoir des convictions sans les renier et de pouvoir les défendre par leur intermédiaire. Reste à pouvoir contrôler le devenir de nos idées avec le temps, et les élus à cet effet, ce qui dans la pratique, semble illusoire autrement qu’avec des élections régulières, ce dont justement Jim Sensenbrenner vient de se souvenir en regardant le prochain calendrier…



Objectivement, nous avons ici un scandale bien pire que le Watergate (tenter d’écouter le parti politique adverse ; une broutille en comparaison !), face a des millions de personnes absolument innocentes et une planète aujourd’hui plus qu’alarmée sur les méthodes employées et ce qu’elles impliquent dans leurs relations… des têtes auraient déjà du tomber -depuis longtemps- dans ce monde parfait, ce qui implique aujourd’hui le président et tout le Congrès, l’entreprise n’est pas mince.



Nous vivons dans un monde raisonnable ou ceci n’arrivera pas, les conséquences paraissant aujourd’hui pire que le mal causé, bien que ce soit en réalité tout le contraire, la décrédibilisation accrue des politiques est bien une des conséquences immédiates, ils ont votés les textes autorisant les dérives et malgré tout n’en assument pas les conséquences. Et alors mêmes qu’ils sont les garants de la constitution, il faut que le scandale arrive par une source externe, Snowden… pour en montrer les dérives.



Ce sujet va occuper toute la prochaine campagne. Évidemment, on ne parlera plus alors, du fait, sociologiquement plus important, et plus pérenne, que le monde se sachant désormais surveillé, modifiera de manière intime et plus durable l’exercice de sa propre utilisation et de l’exposition de sa liberté d’opinion sur internet.


Le 24/08/2013 à 15h 50

Fondamentalement, Il n’y a pas de crise du PC, il y une explosion de son monopole d’accès à l’information.



Pour autant le besoin spécifique auquel il s’adresse n’a pas disparu. Et la déclinaison d’usages qu’il permet est toujours appréciée.



Ce qui fausse la perception c’est que ce monopole masquait jusque la des situations ou le pc répondait par défaut. Part qu’il reste à définir justement, et qui est bien l’enjeu principal de l’avenir des constructeurs actuels.



Sans doute, la prochaine évolution de l’accès (après pc, smartphone et tablette) et qui reste à venir est celui de notre bonne vieille et antique télévision.



A cette aune ci, les perspectives des acteurs ne seront plus du tout les mêmes. Le tableau méritait cette quatrième colonne. Samsung et Apple semblent toujours bien placés.. mais les autres ?



Le pc ne disparaitra pas, il sera partout, “dispersé aux quatre coins de Paris, façon puzzle…”

Le 14/08/2013 à 21h 18







djshotam a écrit :



Quelle calamité, toutes ces enseignes qui disparraissent… digital shopping, surcouf, virgin, bientôt pixmania… tout ca vas pas aider à maintenir des prix bas, ceux qui restent vont en profiter et augmenter quelque peu leur marges.

<img data-src=" />







Tu vois Nil l’effet que ça fait sur le lecteur moyen ? ^^



Oui, oui, celui qui ne tient pas compte du démenti, une expérience de psychologie sociale en direct live….au résultat fort prévisible.


Le 14/08/2013 à 21h 05







hurd a écrit :



Et si il y à confirmation, c’est que l’info est fausse ? <img data-src=" />







Ou bien qu’elle était fausse dès le départ selon les intérêts des uns ou des autres… le résultat ? Le doute persistant, et une chute des commandes dès demain (car le message subliminal de plus acheter pixmania dans ces conditions est bien la), ils doivent sortir le champagne chez cdiscount et amazon. D’un autre coté l’action termine en repli… si demain le cours se redresse, c’est que quelqu’un en aura profité.



Si elle est fausse ou pas, l’avenir le dira, mais je trouve risqué pour PcImpact de se retrouver dans d’éventuels ennuis judiciaires (au titre de lapropagation de fausses nouvelles), pour tenter un scoop.



Parfois le communiqué de presse à du bon… double rangée de pincette avec les sociétés cotées et les “sources”.








Ben Bradlee: Bernstein, are you sure on this story?

Carl Bernstein: Absolutely.

Ben Bradlee: Woodward?

Carl Bernstein: I’m sure.

Ben Bradlee: I’m not. It still seems thin.

Howard Simons: Get another source.


Le 10/08/2013 à 21h 52







brazomyna a écrit :



Parce que ces gens là peuvent aussi arriver à un moment de leur vie où ils cherchent autre chose qu’une montagne supplémentaire de billets ?…



Il faut comprendre que ces mecs sont tout en haut de la pyramide de Maslov: le seul fait d’accumuler du pognon ou une réussite encore plus poussée du fruit de leur entrepreneuriat n’est plus quelque chose qui les intéresse outre mesure. Ils cherchent autre chose (souvent à “laisser une marque dans l’histoire”).







Il n’est pas dis qu’il soit en haut de cette pyramide, après tout, son rêve était peut être d’être musicien, danseur célébre ou… horloger..

Voici ce qu’il finance et qui devrait en effet laisser une marque, dans une montagne sinon, dans l’histoire.







brazomyna a écrit :



Au passage, l’article ne mentionne pas un “détail” qui a pourtant toute son importance: certains journaux, lors des rachats par de gros investisseurs, prennent des mesures pour justement garantir au maximum l’indépendance des journalistes qui y bossent. Encore un fois, Le Monde est sans doute une référence à ce niveau là.

Et avoir fait un paragraphe sur cet aspect aurait eu un vrai intérêt dans un édito fait par autre chose qu’un journaliste de caniveau, contrairement aux propos quasi diffamatoires tendance ‘théorie du complot’ sans le moindre début d’élément à charge de l’avant dernier paragraphe à propos d’Amazon.







Indépendance n’est pas toujours synonyme de qualité, et je ne suis plus très sûr que “Le Monde” soit encore LE journal de référence, en fait il n’y a plus, l’investigation est morte. Au 19ème c’était les idées politiques qui les moteurs des journaux, de nos jours, ce n’est même plus cela, mais l’influence de groupes industriels… qui ne se mouillent pas, au moins comme cela on est bien sûr que rien ne changera. Le consensus mou alimenté par des dépêches AFP, au lieu de créer de l’information, ils la reproduisent, avec talent, brio, en creusant un peu plus.. mais voila il n’y a plus de nouvelles informations que celles ci.



Mais je suis d’accord avec toi, il manque quelque chose à cet édito. Les journalistes du WP ne sont pas tombés de la dernière pluie, et tout “placement de produit” peu subtil reviendra en boomerang a son propriétaire, et avec fracas…



En France, on a “La Provence” remarque.. la subtilité n’est pas nécessaire !


Le 10/08/2013 à 21h 20







linkin623 a écrit :



<img data-src=" /> exact ! Sinon pourquoi investir dans un secteur qui, économiquement parlant, est complètement à la rue?



La presse a une autre utilité qu’une simple activité économique. Notre ami Bezos s’achète le WP, ce qui permet d’avoir une influence sur ce qui ce dit, ce qui se pense. C’est une influence, mais c’est déjà mieux que rien.







C’est évident, mais plus exactement, pour s’assurer de pouvoir contrer l’influence d’autres propriétaires de média (Disney, Viacom, Time Warner, News Corp, Bertelsmann, General Electric), si le besoin s’en fait sentir, et il semble que ce soit le cas.



Or on le voit bien, l’activité de ces groupes est directement lié aux activités présentes et futures d’Amazon… Bezos construit une tranchée pour éviter une guerre d’encerclement, et profite d’une opportunité, sans doute unique.



Posséder un groupe de média est une forme de protection aujourd’hui jugé nécessaire, mais c’est assez subtil. C’est une source de pouvoir qui n’a d’intérêt, que s’il n’est pas utilisé. Car le WP sans l’indépendance de ses journalistes ne lui servirait finalement a rien… ou pas très longtemps.



Nil j’ai toujours la sensation dans vos édito qu’il manque une conclusion, une synthèse, ou un corolaire aux informations que vous apportez.



Par exemple ici, la définition du “quatrième pouvoir” semble finalement erronée, à l’épreuve des faits que vous exposez. Le “quatrième pouvoir”, ce n’est plus le pouvoir des médias, c’est celui des propriétaires de ces médias aujourd’hui… un pouvoir fort connu d’ailleurs,…le bon vieux pouvoir économique.



C’est donc sous l’angle gain économique qu’il faut comprendre l’acquisition de cette influence, et en rechercher les effets potentiels, que ce soit en mettant en avant son entreprise, ou plus surement comme évoqué plus haut, de contenir l’influence des autres…



Le seul moment ou il est manifeste est cette coutume US qui nous semblait étrange vu d’ici jusqu’il y a peu, c’est le soutien de tel ou tel média pour l’un ou l’autre des candidats aux élections présidentielles américaines. C’est un des rares cas qui ne souffre d’aucun doute sur la nature de l’influence recherchée…


Le 30/07/2013 à 15h 42







kalheb a écrit :



Toi tu n’aimes pas le crowdFundind.







Ses dérives…



Dans la situation de ce projet particulier, le financement est déjà tel, que son succès est découplé de la nécessité d’en faire -aussi- une réussite ludique. Or ce problème a d’immenses conséquences. C’est -déjà- un succès pour le studio. Quel impératif y a t’il maintenant à sortir un bon produit dans les délais ? Ce qui devait être un avantage est en train de constituer un frein.



Je crois que tu m’as mal compris, dans les réponses faites au post précédent, je ne critique ni le besoin de financement, ni le marketing. Tout au contraire, ce sont deux réalités dont il faut tenir compte. Ce que je dénonçais, c’est que malgré ces deux faits têtus, il reste une certaine crédulité alors que l’exploitation de cette crédulité, a une échelle industrielle, est dommageable pour tout le système… Le mécénat est acceptable. Mais ce que vends Chris Roberts ce n’est pas un jeu mais du temps de développement avec des coûts croissants. C’est son marché primaire, et ça visiblement beaucoup de monde ne l’ont toujours pas compris.



Le montant que tu cite est faible en effet, proche de celui d’une pré-commande, mais ou as-tu vu des pré-commandes deux ans à l’avance, sur un produit à créer avec une équipe fraichement assemblée… Tout le monde à envie de voir se réaliser des rêves, mais il s’agit la d’un business bien orchestré.


Le 30/07/2013 à 11h 38







seb2411 a écrit :



Dire que les devs ne cherchent qu’une chose c’est de l’argent





C’est l’objet même de kickstarter.





seb2411 a écrit :



Il y a toujours une question financière mais pas que. Et dans des cas comme celui la je pense qu’il y a aussi de la passion et un attachement au projet que ce soit du coté des devs mais aussi des joueurs.





Ça c’est maintenant devenu du marketing orchestré (avec les recettes décrites dans l’article).





seb2411 a écrit :



Ca me dérange aussi de considérer les backer comme des idiots illumine et rêveurs. Je pense que la majorité sont conscients des mécanismes et du fonctionnement qui entoure ce genre d’initiative.





Comme tous les moutons devant le loup.


Le 29/07/2013 à 22h 50







seb2411 a écrit :



Tu en sais quoi ? Sérieux ça me fatigue de plus en plus cette manière de juger les gens à l’arrache.







Parce que l’on ne vit pas dans un monde de bisounours… et qu’un tel système joue bien évidement plus sur le levier de l’espoir, que de l’investissement. Certains l’ont bien dit ici, c’est un pari. Comme celui d’acheter un billet de loto. Penser que l’on s’achète un rêve est un acte qui peut se suffire à lui même, parfois…



Cependant, quand ce rêve s’entretient, avec des stratégies d’injections régulières de nouveaux éléments, tel que les décrits Chris dans l’article, les choses changent de nature, puisque l’on ne vends plus ici un jeu, mais un rêve.



Il ne faut donc pas être ignorant de la démarche qui aboutit a ce résultat, et c’est en ce sens que cet article est précieux car il en démystifie les ressorts utilisés. Faire doublement preuve de circonspection dans ces conditions est donc plus que bienvenu. Après tout, les rêves impossibles ne conduisent-ils pas tous a des désillusions pires que les rêves eux-mêmes ? cf : duke nukem



La véritable question a se poser a ce stade : le rêve est-il toujours possible ? A lire toutes les fonctionnalités.. cela ne te semble t’il pas déjà trop ? “oui il y aura aussi ceci et cela, etc…” Rappeler ici le fonctionnement classique d’un développeur ne devrait pas heurter le débat, et ramener les choses a leur justes proportions.



In money we trust.



Petits liens pour enrichir le débat :

http://penny-arcade.com/report/article/the-reality-of-the-ouya-console-doesnt-match-the-hype-why-you-should-be-ske

http://www.zdnet.fr/actualites/ouya-une-console-dont-73-des-possesseurs-n-ont-rien-achete-39792808.htm


Le 29/07/2013 à 14h 59







Spidard a écrit :



Le truc c’est justement que si le public, les futurs acheteurs, les fan du space opera n’avait pas aidé, c’est pas les gros éditeurs qui l’auraient fait, et le jeu ne serait pas arrivé au développement, il serait resté au prototype que CR. évoque.



Lâcher sa thune avant, c’est certes un risque. Mais ici il y a l’option du remboursement si le développement venait à prendre fin. Le risque que je verrais plutôt à l’heure actuelle, c’est que le résultat ne soit pas à la hauteur des attentes (graphismes, histoire, qualité, environnement) au vu de la somme levée.







C’est un peu la qu’est le problème, les éditeurs refusent de suivre, car ils estiment qu’il n’y a pas de marché et/ou trop de risques, sont ils tous fous.. ou réalistes ?. Il faut bien avoir conscience que Chris Roberts n’a rien sorti de bien depuis des années. Et lorsqu’il obtient un tel financement, il se moque bien que le jeu marche ou pas, parce que son principal but est de se financer pendant 34 ans, quitte a faire rêver une “fan base” pour obtenir ses financements, et a capitaliser son image. Il faut rappeler ici que le marché d’un développeur ce n’est pas de vendre un jeu, mais de vendre son temps de développement en réalisant une marge…N’importe quel résultat est suffisant aux critères de kickstarter, la seule différence est que ses acteurs sont plus crédules que les financiers et éditeurs actuels…



Ce qui fait un peu peur dans cet article (fort intéressant au demeurant) c’est que l’on se concentre sur les “trucs et astuces” pour ramasser l’argent, et quasiment rien n’est dis de son projet.


Le 30/07/2013 à 12h 06

Donc finalement le crownfunding c’est :




  • un moyen de lever des fonds

  • une étude de marché (souvent complexe à obtenir autrement).

  • du marketing (création de communauté).

  • un moyen de financer sa communication (souvent le budget le plus important sur les “blockbusters”).

  • qui repose sur la notoriété de produits/concepts/personnes existants



    Ce serait intéressant maintenant de poser ces questions aux acteurs actuels (éditeurs, capital risque…). De quelle manière vont-ils intégrer ces évolutions ? Parce qu’il y a une concurrence sur des terrains qu’ils ne maitrisent pas et d’autres qui leurs sont traditionnels.

Le 27/07/2013 à 16h 31

Le problème n’est pas vraiment technologique, souvent l’application ne retiendra que la synthèse de l’information utile d’un site, ce qui est généralement suffisant, et qui fait que ce site est recherché et utilisé : sa valeur ajoutée.



Il n’y a de concurrence que si le site web et l’application fournissent strictement le même usage. Hors les outils définissent normalement des usages très distincts. Ceux qui auraient a en souffrir ne sont finalement que ceux qui ne s’adapte pas a cette dualité d’outils et de communication, et quand il ne le font pas, il y une cannibalisation d’un usage par un autre, ce qui entraine un surcout et une baisse d’audience globale (au lieu d’être un progrès).



Bref, plus un problème de communication et d’objectifs que de technologie…

Le 18/07/2013 à 19h 13

Il aurait pu :




  • vaincre la faim et le cancer dans le monde

  • coloniser la lune et mars

  • refinancemer le déficit de tous les pays du monde

  • accélérer la transition énergétique



    Et avec toute ces bonnes intentions, provoquer un krack planétaire et une hyperinflation…



    et au lieu de ça, il fait quoi ?



    …. un tweet !

Le 14/07/2013 à 02h 44







sr17 a écrit :



Mais ce qu’il faut impérativement comprendre, c’est que la logique du libre dépasse largement l’usage des logiciels libres. C’est aussi et surtout un ensemble d’idées et de règles très importantes et dont le but est précisément de faire en sorte que l’humain ne perde pas le contrôle de la technologie, de ses données, de sa vie privée. Et la première chose pour cela, c’est bien de pouvoir contrôler ce que font les logiciels.







A la lumière des récents événements, je crains que cette vision ne soit partiellement dépassée, et que le contrôle ne soit déjà perdu pour des raisons qui n’ont maintenant plus rien a voir avec la technologie utilisée. Même si j’en comprend l’analyse et l’éthique. Cette confiance technologique ne peut, de fait, qu’être partielle et temporaire (ex: maj fréquentes liées a la sécurité) et remise entre les mains d’experts. Même si les outils sont de très haute confiance technologique, c’est le comportement humain le plus gros problème, et de loin. L’idée même de vie privée est déjà modifiée par les comportements des utilisateurs et les exigences des outils/sites utilisés et les rapports qui lient l’un a l’autre.



Il est trop risqué dans ces conditions d’opposer des logiciels “éthiques” a ceux qui n’en seraient pas dotés, puisqu’au final ce ne sont pas que les technologies qui sont en cause, mais bien ceux qui les utilisent d’une part, et ceux qui en tirent profit d’autre part, Le terrain n’est donc pas technologique, il ne l’est plus, et c’est trop tard parce que les changements des usages, eux, ont déjà eu lieu. Et ils ont une résilience plus importante que celle des technologies…qui se souvient encore que les claviers AZERTY ont été conçus pour -ralentir- la frappe des machines mécaniques ?



Substituer maintenant un outil a un autre ne changera pas fondamentalement cette nature humaine ou le rapport que nous avons maintenant avec internet, acceptant de dévoiler une partie notre vie privée pour bénéficier de services. Rendre un peu plus difficile les choses avec des outils plus sophistiqués ne fait par contre coup qu’accroitre les moyens dédiés à la surveillance et a leur efficacité. Un Google en https ne sert a rien. Lorsque tu poste, aujourd’hui ce message, tu renonce a une partie de ce droit. Que tu sois sur un outil libre ou pas.



Si l’on veux changer les choses l’initiative du libre est sans doute la bonne piste mais elle ne suffit pas, c’est aussi la voie d’un changement législatif qu’il faudrait suivre.



L’équilibre est donc encore, et toujours, entre liberté et sécurité, entre surveillance et acceptation des normes sociales….



Les technologies n’en sont finalement que leur reflet.


Le 10/07/2013 à 11h 36

Sur le fond, et juridiquement, il a raison. L’utilisation d’un nom commercial est protégé. Et ce n’est pas a Minecraft de l’utiliser surtout sans autorisation. Car cela risque de nuire à sa communication, et au message qu’il souhaite faire passer, du fait qu’il ne maitrise plus son image, et qu’elle se fait par un tiers aux cibles et objectifs différents.



On aurait pu imaginer une confusion au niveau des moteurs de recherches, mais après essai ce n’est effectivement pas le cas, le dommage est donc moindre. Il ne s’agit pas d’une marque de luxe qui ne tient que par un contrôle strict de l’image, le produit présenté ne dévalorise pas l’original, au contraire il l’intègre.



De fait, l’objectif semble plus de créer du buzz, parce que la marque de mini golf est bien moins connue que Minecraft… ce qui stratégiquement est une erreur de communication, car c’est un buzz négatif. A l’heure du placement de produit au cinéma et aussi, récemment dans les jeux vidéos, visualiser l’utilisation d’un produit dans un environnement plus familier semble être une voie moins artificielle que la publicité simple pour faire connaitre et essayer un produit.



Je suggère au créateur de Minecraft de modifier le nom de ses extensions, et de proposer a l’avenir a cette marque de payer pour voir son nom présenté…

Le 06/07/2013 à 13h 25







Reznor26 a écrit :



Rien de nouveau mais intéressant. <img data-src=" />

…Non, les questions sous-jacentes sont en réalité bien plus philosophiques.

C’est l’évolution de la technologie qui change la donne, parce qu’elle modifie considérablement l’ampleur et la portée potentielles de ces outils. Et ça ne va qu’en empirant exponentiellement…



…Le futur, le vrai de vrai, avec ses robots et son hyper-technologie nichée dans chaque recoin de la vie et redéfinissant drastiquement les usages et les modes de pensée, il est presque là. Nous sommes sur le pas de la porte. Tout ça devrait être réfléchi au plus haut niveau et par tout le monde. La citoyenneté, la démocratie, la liberté, la souveraineté, etc. Les bases de nos sociétés sont en jeu. Malheureusement on semble souvent très loin de ces questions…



La révolution se fera, avec ou sans conscience de ces enjeux. C’est une lame de fond que rien n’arrêtera plus et dont la vitesse de propagation est effroyable. Il est franchement difficile de prédire par quel degré de violence nous serons un jour obligés d’ouvrir enfin les yeux sur ces questions, mais il certain que nous y serons obligés.







Assez d’accord sur la vision globale, mais certains points restent à creuser, la démocratie et la liberté qui sont actuellement nos systèmes actuels (de valeur sinon de fait) ne sont peut être plus adaptés à la coexistence de moyens permettant de se soustraire a ses nécessitées et impératifs, dont la transparence et la vie privée font partie. Ses outils sont bien construits dans des pays démocratiques en toute discrétion mais avec un aval et un financement de leurs gouvernements respectifs.



L’objectif d’un système de gouvernement reste finalement, et quel que soit sa forme, le même, contrôler les choses, si possible en souplesse, et offrir une certaine robustesse a son éviction, que ce soit en les permettant d’advenir progressivement, ou bien en les anticipant et tenter de les orienter a l’aide d’outil technologiques. On est encore loin de pouvoir aujourd’hui contrôler les pensées (ex: Muraille de Chine numérique).



De fait tu l’as bien compris, il n’y a plus de retour en arrière possible. Et lutter par des technologies contre d’autres technologies semble être un pari perdu d’avance. Non, le terrain du changement est sur le plan politique. Et plutôt que de défendre des chimères (l’illusion de la liberté), ou s’en scandaliser (alors que tout le monde fait pareil) demandons plus de contrôle et de responsabilité éthique dans l’usage de ces outils. Attendons les réactions de la CNIL.. c’est bien le minimum.


Le 02/07/2013 à 15h 38







Pazns a écrit :



Tout a été dit et la vérité est apparue ?

Si je résume les pages de commentaires :




  • Tout le monde est soumis aux USA ;

  • Snowden est un danger ; <img data-src=" />

  • On est tous espionné par un complot mondial pour le contrôle des masses. <img data-src=" />





    Tout le monde est soumis aux USA :

    Globalement oui, mais pas nécessairement pour plier vis à vis des usa, d’abord dans leur propre intérêt, si les valeurs n’étaient pas aussi un peu partagées cela n’aurait pas lieu d’être. D’où notre étonnement occidental sur la lourdeur des condamnations juridiques possibles…



    Snowden est un danger

    Ce n’est pas snowden le danger, ce serait plutôt d’oublier ce qu’il vient de révéler, et l’état du grand jeu mondial, qui vient singulièrement de décréter que la vie privée n’existe plus.



    On est tous espionné par un complot mondial pour le contrôle des masses



    Dans le sens ou cet espionnage est effectivement organisé, on ne serait pas loin de le croire. Mais l’information ne fait pas tout, il en faut beaucoup plus pour contrôler les masses (législation, police, armée, médias…) ce qui généralement est beaucoup moins discret…