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fred42

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Bio

Je n'ai rien à cacher, mais ce n'est pas une raison pour m'exposer.

Le 42 n'est ni mon âge, ni mon année de naissance, ni mon département.

18398 commentaires

Le 19/01/2024 à 17h 08

Si tu lis jusqu'au bout, tu verras que tu peux le partager.

Le 19/01/2024 à 17h 07

N’hésitez pas à offrir cet article à votre famille et à vos amis.
Bonne idée. :D

Le 19/01/2024 à 16h 04

Comme il y a toujours des choses nouvelles à apprendre, il faut recommencer à chaque fois.

Le 19/01/2024 à 15h 59

Longtemps réservé aux seuls sites web de la presse écrite, de médias audiovisuels et de « pure players » reposant sur le travail de journalistes professionnels, Google News référençait déjà de plus en plus de simples communiqués de presse. Mais aussi des « articles » n’émanant pas de « journalistes », censés vérifier, recouper et contextualiser les informations qu’ils relaient et publient.
À chaque fois que je vois un site gouvernemental sur Google News, je me demande comment la page apparaît là.

Sinon, les règles de Google Actualités sont claires :
Les internautes qui consultent votre site souhaitent savoir qui écrit et publie vos contenus. C'est pourquoi les sources d'actualités sur Google doivent comporter :
des dates et des signatures claires ;
des informations sur les auteurs, la publication et l'éditeur ;
des informations sur l'entreprise ou le réseau à l'origine du contenu.
Coordonnées

À partir de là, on doit nous dire si ce sont des IA qui écrivent.

Le 19/01/2024 à 15h 31

Nop, Iphone et Android.
Soit les deux app store principaux (vu qu'on parle d'app store ici)
(BTW Samsung et Amazon prennent aussi 30% sur leur app store respectifs)

C'est donc un cartel qui s'est mis d'accord sur le même pourcentage. Il n'y a plus qu'à le démanteler !

Le 17/01/2024 à 17h 56

Il y a moyen d'acheter du pop-corn depuis ce site ? Et quelle est la commission prise par Next ? :D

Le 19/01/2024 à 15h 27

Tout ça pour finir à côté du rapport Borlo ?

Le 19/01/2024 à 14h 55

Je sais c'est pt être réducteur mais acteur US = extra-territorialité des lois US.
Je prends le cas Huawei - Google, l'administration américain à dit on bannie Huawei, TOUT le monde à du suivre.
On bien la techno. ARM qui appartient à la base à une entrprise anglaise, on bien n'importe quel entreprise qui utilise des dollars US, doivent suivre Sarbanes-Oxley....

Je pense que l'on peut raisonnablement exclure la parano. et avoir une méfiance légitime.

La seule chose que peuvent faire les USA, c'est effectivement d'interdire la techno Microsoft à la France. Mais si on en vient là, on sera très mal, parce qu'il n'y aura pas que MIcrosoft d'interdit et on reviendra à l'âge de pierre informatique.

Remarque pour ARM, c'était parce qu'il y avait des techno US qu'ils ont voulu l'interdire.

Le 17/01/2024 à 20h 02

Cela reste du Azur au final, et donc un produit américain. Il suffit de voir ce qui s'est déjà passé avec les demandes d’accès aux données qui étaient stocké en dehors des Etats Unis.

C’est juste une manière de mieux faire passer la pilule Azure.

Mais vu qu'au finale, il n'y a aucune garantie de confidentialité, je ne voie pas l’intérêt de rajouter une surcouche. Autant passer directement sur Azure.

Voir ma réponse à carbier ici.

C'est justement conçu pour que juridiquement, le Cloud Act soit inopérant. Microsoft n'a aucun contrôle sur les serveurs et ne peut donc pas appliquer le Cloud Act si les USA lui demandent.

Le 17/01/2024 à 19h 59

On va faire l'inverse: explique moi comment une solution dont le maitre d'oeuvre est incapable de valider toutes les mises à jour serait sécurisé ?

Je n'ai pas le niveau de compétence de l'ANSSI, contrairement à toi.

Mais le cloud de confiance est là avant tout pour se protéger du Cloud Act américain, pas pour assurer un niveau de sécurité absolu garantissant qu'il n'y a pas de porte dérobée pouvant récupérer les données. Microsoft (ici) n'a aucun intérêt de mettre une porte dérobée pour contrôler le cloud de confiance, bien au contraire. Microsoft est emmerdé d'avoir à se plier au Cloud Act parce que ça lui fait perdre des clients, en particulier les services des états non US. Cette solution d'étanchéité à la fois juridique (ils ne contrôlent pas du tout l'entité Bleu), opérationnel (ils n'ont pas accès aux serveurs et ce n'est pas eux qui les gèrent) et technique (il y a les pare-feux nécessaires en entrée du cloud afin que Microsoft (ou d'autres) n'ait pas accès aux serveurs.
Et l'ANSSI a pour mission de valider ces 3 aspects avant de certifier l'offre du cloud.

Je te trouve bien présomptueux d'avoir un avis aussi tranché sur une solution qui a dû être étudiée par pas mal de monde avant de la monter

Le 17/01/2024 à 17h 58

Je te laisse chercher par toi même, les solutions qui sont en cours de développement pour proposer autre chose qu'un produit dont on ne maitrise rien.

Petit rappel: personne ne force personne à utiliser tel ou tel produit. Si tu préfères utiliser Microsoft libre à toi. Mais ici on parle de solutions sécurisées utilisées par des organismes d'état dits sensibles.

Or toutes les solutions à base de services GAFAM ne sont pas maitrisées de bout en bout par les sociétés les intégrant dans leurs offres. Donc par définition ce n'est pas sécurisé.

Donc par définition ce n'est pas sécurisé
L'ANSSI te remercie d'avoir fait le travail pour elle ! Ils vont pouvoir aller à la piscine au lieu de faire des études complexes.

Le 17/01/2024 à 15h 52

à mon avis c'est plutôt le poème de Paul Eluard
(La Terre est bleue comme une orange)

Pour le sous-titre, sans aucun doute. J'y ai fait allusion sans le citer plus haut en parlant de poésie.

Mais le nom de Bleu est plutôt lié au fait que azur est un synonyme de bleu.

Le 19/01/2024 à 14h 37

Le problème c'est que par rapport à l'installation en Alaska sur une île, je ne pense pas qu'il existe réellement un point de comparaison possible en fibre, sauf à mandater un opérateur qui a des points d'entrée sur les points de transit.

A mon avis ça couvre un cas qui n'était pas géré comme ça avant.
Genre une entreprise qui prenait son forfait solo satellite, et donc chacun faisait ça. Là je pense que ça correspond plus à un usage d'un fai qui va prendre le truc puis revendre à plusieurs, ou alors la grosse multinationale ayant un cas spécifique pouvant se permettre ça, et qui n'avait rien de dispo pour ce cas précis vu le budget nécessaire à tirer des fibres entre les continents sous l'eau sur une longue distance.

Je sas bien que le service de starlink est plus cher, mais je me demande combien de fois.

Le 19/01/2024 à 10h 08

C'est quoi le tarif habituel en fibre pour avoir un point de comparaison ? Parce que là, je n'ai aucun point de repère.

Le 19/01/2024 à 14h 36

C'est de la théorie pour le moment, c'est un article de loi qui le définira

Un article de loi peut dire que les caméras protègent en parlant de vidéoprotection. Cela n'empêche pas que c'est faux.

Donc, oui, un article de loi peut appeler revenu universel un revenu conditionné à une activité, mais il ne sera pas universel puisque pas inconditionnel. Universel veut dire ici : pour tout le monde.

Le 19/01/2024 à 14h 20

Le revenu universel n'est justement conditionné à aucune activité obligatoire
Comment peux-tu prétendre qu'il ne l'est pas ou ne sera pas ? Le rsa ne l'était pas non plus à sa création (ma comparaison était là). Tu joues de la boule de cristal maintenant ? de ta part ça parait étrange.

Le revenu universel pourrait augmenter les revenus pas les salaires. Les stés pourront prétexter de revenus suffisants pour baisser les salaires à poste donné.

Quant au revenu minimum c'est quelque chose qui pourrait être mis en place pour tout le monde à partir de 18 ans et révisable selon l'évolution des revenus. Mais le piège du conditionnement est aussi possible. Là je sèche quant à la solution à apporter pour éviter ce genre de dérive.

Comment peux-tu prétendre qu'il ne l'est pas ou ne sera pas ?
C'est sa définition. Si c'est conditionné à une activité, c'est autre chose.

Le 19/01/2024 à 13h 49

Le piège c'est justement qu'il soit universel et que même Arnault puisse le toucher.
Les entreprises en profiterait pour offrir des salaires plus faibles et ce revenu pourra par la loi (et donc selon l’idéologie des gouvernants en place) être conditionné à un travail minimum comme pour le rsa aujourd'hui par exemple.
Un revenu minimum pour les plus modestes serait plus approprié.

Si tu as aussi d'autres solutions pour ceux qui vont avoir leur emploi supprimé par l'automatisation, c'est encore mieux
Le revenu universel est donc l'unique solution ?

Le revenu universel n'est justement conditionné à aucune activité obligatoire. Bernard Arnault et tout ceux qui n'en n'ont pas besoin parce qu'ils auront un revenu autre suffisant, on leur récupérera le montant (et même plus) par l'impôt, ce n'est donc pas un problème. Les gens ayant moins besoin de travailler, il faudra au contraire les payer suffisamment pour qu'ils travaillent. Ça peut au contraire augmenter les salaires.
Ton revenu minimum, s'il n'est pas distribué automatiquement, il ne sera pas réclamé par une bonne partie de ceux qui en ont besoin. C'est donc plus simple d'avoir un revenu universel et de récupérer ce revenu (ou une partie suivant le revenu autre) par l'impôt pour tous ceux qui dépassent certains seuils progressifs et qui n'en donc pas (complètement) besoin.

Ta solution de revenu minimum me semble plus complexe, même si tu n'as pas expliqué comment c'était mis en place.

Le 19/01/2024 à 09h 50

Il y a un piège avec le revenu universel, on le voit déjà avec ce qu'ils font du RSA

Beaucoup de lecteurs n'en ont aucune idée et pense que les chefs d'entreprise exploitent tout le mondes, leur employés, leurs clients et leurs fournisseurs et qu'en plus, ils volent l'État en trichant sur les impôts ou les cotisations sociales
Une partie des lecteurs ont pour patron exactement ce stéréotype tout en étant conscients que tous les patrons ne sont pas comme ça. Certains ont même été aux manettes et comprennent très bien la difficulté de la charge.

Le revenu universel n'a rien à voir avec le RSA ; même Bernard Arnault le toucherait.
Mais je veux bien que tu expliques le piège que tu y vois.
Si tu as aussi d'autres solutions pour ceux qui vont avoir leur emploi supprimé par l'automatisation, c'est encore mieux.

Le 18/01/2024 à 17h 57

Tu raisonnes en chef d'entreprise. Tu me sembles biaisé.
C'est à tout le monde de porter ces valeurs. A l'Etat évidemment, mais aussi aux personnes (d'où la non-assistance à personne en danger comme délit, par exemple, ou toutes les législations qui empêchent les particuliers de nuire à leurs semblables).
Or, les entreprises ont inventé le statut de PERSONNE morale pour bénéficier des droits des personnes physiques : qu'elles héritent donc aussi, de par ce statut de personnes, des devoirs des personnes physiques. Ceci inclue les devoirs moraux.
L'entreprise c'est pas un truc lunaire et vaporeux qui serait exempt de toute responsabilité sociale par magie.

En fait, je trouve ça vachement bien que l'on ait un chef d'entreprise qui apporte sa vision des choses ici et qui explique tout ce qu'une entreprise doit déjà faire (dans ses autres commentaires ici). Beaucoup de lecteurs n'en ont aucune idée et pense que les chefs d'entreprise exploitent tout le monde, leuremployés, leurs clients et leurs fournisseurs et qu'en plus, ils volent l'État en trichant sur les impôts ou les cotisations sociales. (je ne dis pas cela pour toi).

Pour continuer sur le sujet des caisses automatiques et du travail de caissier (je fais exprès de le mettre au masculin alors que c'est un boulot où les femmes sont très majoritaires).

Ce métier a plein d'inconvénient : mauvais pour la santé (troubles musculo-squelettiques), c'est souvent du temps partiel en plusieurs fois par jour en plus, il est exposé à la mauvaise humeur ou pire des clients et il est peu payé (même si dans les grands groupes c'est mieux car 13ème mois et intéressement/participation).
Franchement, si ce n'était pas un job alimentaire, presque personne n'aurait envie de le faire.
Donc, si l'on pouvait l'automatiser complètement, ça serait un bien si les personnes qui le font actuellement avaient un revenu au moins égal sans faire ce travail.

C'est pour cela qu'il faut un revenu universel. Il pourrait être en partie financé par le gain lié à l'automatisation (c'est l'idée de l'impôt sur les robots (au sens le plus général de machin automatisé)).
Et les personnes qui n'auraient plus ce travail pourraient en avoir un autre qui leur plairait même si peu payé, puisque le problème du revenu serait déjà résolu ou au contraire choisir de faire une passion (sport, art, etc.), de s'investir dans une association (là, il y aurait bien le côté social qui a fait s'insurger certains) ou même ne rein faire du tout si c'est ça qui leur plaît, mais ce serait probablement une minorité).

Le 19/01/2024 à 14h 28

Commence par apprendre la définition d'une insulte, je n'insulte personne. Et j'ai le droit de relever les conneries que vous dites, c'est pas une insulte. Va falloir arrêter de pleurer dès qu'on vous met le nez dans votre caca.

Et oui, être anti-ivg, tout comme être raciste, c'est une opinion certes, mais une opinion de connard fini.

Et j'ai le droit de relever les conneries que vous dites,
Pas n'importe comment comme tu le fais depuis 2 jours. Pas en agressant les gens.

Tu ne respectes pas la règle : "Toujours être respectueux" au minimum.
Et ce commentaire-ci correspond à ceci : "Si votre commentaire est hors-sujet, contient une insulte" Il contient une insulte.

Va relire les règles de de la communauté qui parlent de la modération.

Et merci de te calmer, tes interventions sont très désagréables. C'était bien plus apaisé ces derniers temps quand tu ne commentais pas.

Pour information j'ai signalé ton comportement à l'adresse mail de la page que j'ai mise en lien.

Le 19/01/2024 à 14h 04

L'interdiction de l'IVG ne diminuerait pas les IVG, elle les rendrait juste beaucoup plus meurtrières pour les femmes.
C'est l'évidence même, mais je me permet d'insister sur le mot « concept » que j'ai pris soin d'employer. Dans la tête de pas mal de monde IVG = pas de naissance = baisse de la natalité. Nos personnalités politiques en sont bien conscientes, et ma crainte (que partagent sûrement celles des assos pour les droits des femmes mentionnées dans l'article), c'est que des mesures concrètes soient prises contre l'accès à l'IVG. Sans que ça soit efficace au niveau de la natalité, mais si ça l'est au niveau symbolique et électoraliste, c'est tout ce qu'une personnalité politique demande.

C'est triste ton opinion des politiques.

Le 19/01/2024 à 09h 38

Quant à la relation hétérosexuelle, elle est inutile à préciser parce qu'obligatoire.
Elle n'est pas obligatoire: une IVG peut être a but thérapeutique suite à une fécondation in vitro.

Tu as raison, je n'avais pas pensé à la fécondation in vitro. La phrase est donc encore plus qu'inutile, elle est fausse. Et je n'aurais pas dû citer les 100 %.

Le 18/01/2024 à 17h 30

En tout cas, toi, on te reconnaît.

Le 18/01/2024 à 17h 29

"Quant à la relation hétérosexuelle, elle est inutile à préciser parce qu'obligatoire."

Mefie toi, la transphobie n'est pas loin mon vilain...

Désolé, mais c'est de la biologie de base chez les humains. :langue:

Le 18/01/2024 à 17h 27

Une volonté politique de la hausse de la natalité pourrait difficilement se concilier avec le droit à l'IVG, les 2 concepts sont clairement opposés (opposition non absolue hein). Donc rappeler le contexte actuel sur la question en début d'article me paraît très pertinent.

Après, cette volonté de natalité pourrait se traduire par des mesures sociales : accès à des revenus stables, à un logement assez grand pour y élever des enfants, à un système de santé (assez essentiel pour accoucher), à des places en crèche/en école. Mais au vu des « économies » annoncées dans tous ces secteurs, on en prends le chemin inverse. Il y aurait aussi l'immigration pour contrer le phénomène, mais les textes actuels prennent là encore le chemin inverse.

Donc à la part la restriction (d'abord, l'interdiction ensuite ?) du droit à l'IVG et à la contraception, je vois pas comment nos gouvernants veulent repeupler le pays.

Une volonté politique de la hausse de la natalité pourrait difficilement se concilier avec le droit à l'IVG, les 2 concepts sont clairement opposés
Et puis quoi encore ?

L'interdiction de l'IVG ne diminuerait pas les IVG, elle les rendrait juste beaucoup plus meurtrières pour les femmes.

Ton second paragraphe donne quelques bonnes pistes (il y en a probablement d'autres) pour augmenter la natalité. Il faut avant tout donner aux couples l'envie d'avoir des enfants, leur donner une vue plus positive du présent et de l'avenir.

Le 18/01/2024 à 17h 19

D'accord avec toi sur l'amalgame.

Et, moi, je n'aime plus Macron ; toi, tu ne l'as jamais aimé il me semble.

Le Monde dit aujourd'hui à propos de la baisse de natalité :
. Le mal est plus profond, et nous devons nous en inquiéter sans délai, car les conséquences seront majeures. mais je ne pense pas qu'on puisse pour autant le qualifier de journal de la droite la plus conservatrice.

Le 18/01/2024 à 17h 02

Vous avez raison ; on parle numérique et droit, deux thèmes qui n'ont jamais été abordés sur ce site :windu:

Depuis quand les femmes s'y connaissent en numérique ? En droit, c'est bien plus courant, il n' ya qu'à voir le nombre de juges femmes et avocates. :fumer:

----------> [] parti très loin.

Le 18/01/2024 à 16h 59

Tu as une source à propos de ce 97% ?
[Il me semblait que 100% des demandes d'IVG font suite à un échec de contraception et une relation hétérosexuelle :) ]

100% des demandes d'IVG font suite à un échec de contraception
échec ou absence et on sera plus dans le vrai.


Quant à la relation hétérosexuelle, elle est inutile à préciser parce qu'obligatoire.

Le 19/01/2024 à 10h 19

Oui mais non : si c'est pour être traqué de tous les côtés...

Le 19/01/2024 à 10h 05

Sheryl Sandberg raccroche.
S'il faut un compte Instagram pour voir ce qu'elle a dit à ce sujet, inutile de mettre un lien vers ce site qui appartient à Meta qui est une des pires sociétés au niveau du traçage et de l'exploitation des données personnelles.

Là, je me sens poussé à m'inscrire sur Instagram pour lire pourquoi elle quitte Meta, ce qui est quand même un comble, en particulier par rapport au message constant de Next sur Meta.

Le 19/01/2024 à 00h 09

Mais comment 48000 entreprises peuvent avoir des infos sur toi ?
Même 7000, c'est déjà énorme !

Je vais copier la fin de la phrase du PDF :
probably someone with unusual app usage habits or possibly an exceptionally ripe and appealing candidate for microtargeted advertising
Ils ne savent pas trop, mais c'est atypique.

Le 18/01/2024 à 19h 52

dans le PDF que l'on trouve en lien page 14.
Nearly 48,000 different companies were found in the data of a single volunteer
Édit : je répondais à quelqu'un qui a dû trouver la réponse tout seul et qui a supprimé sa question pendant que je répondais. Il demandait d'où venait le nombre de 48000 du titre.

Le 18/01/2024 à 10h 41

La procédure de changement de nom de famille oblige le demandeur à la publier au Journal Officiel de la République Française.
service-public.fr Service Public
C'est donc une information publique (par définition).

Certes et alors ?

Le RGPD interdit que l'on demande l'effacement d'une demande de changement de nom au Journal Officiel parce que c'est "une obligation légale qui requiert le traitement prévue par le droit de l'Union ou par le droit de l'État membre auquel le responsable du traitement est soumis"

Par contre, Wikipédia est soumis au droit commun et ne peut se prévaloir de ce passage de l'article 17 pour continuer à traiter ce genre de données personnelles. Les noms et prénoms d'une personnes sont des données personnelles au sens du RGPD. Wikipédia qui les traite (stockage et publication) doit respecter l'article 17 à la réserve que j'ai déjà indiquée : "l'exercice du droit à la liberté d'expression et d'information", mais dans ce cas, en cas de désaccord entre le demandeur et Wikipédia, ça va en justice et/ou devant la CNIL et ici, la plus haute instance de la justice française a tranché.

Mais tous autant que vous êtes, lisez le RGPD avant de vous enflammer !

Le 17/01/2024 à 16h 44

Je retourne le sujet. Si c'est sourcé par une source (type journal) publique, c'est à priori une information d'intérêt public car c'est le journal qui a déterminé que c'était le cas.

Le site Wikipédia est quand même un cas particulier, et laisser tout le monde censurer les histoires qui ne leur convienne pas, comme par exemple la Russie qui veut censurer les pages du contexte de la guerre sur Wikipédia, c'est vraiment pas terrible.

Sinon, le jour où tu m'apprendras quelque chose, c'est le jour où tu m'informeras que tu n'es pas complaisant avec les fachos.

Tu peux retourner tout ce que tu veux, la loi européenne est écrite comme nous le disons. Elle ne dit pas que Wikipédia est un cas particulier, et heureusement. Elle décrit ce qu'il faut faire ou ne pas faire quelle que soit l'entité concernée.

Quant à ton attaque personnelle, tu peux te la garder. Je n'ai pas dit que je t'apprendrais quelque chose mais qu'en lisant le RGPD, tu apprendrais quelque chose. Quand on voit les énormités que tu dis au sujet du RGPD, c'est évident. Et dire que le pauvre Marc s'est décarcassé pour expliquer le RGPD sur NXI !
Enfin, évite de profiter du fait que l'on ne peut pas encore signaler un commentaire à la modération pour médire sur mon compte et me diffamer.

Le 17/01/2024 à 16h 06

Oui donc ça n'est jamais censé s'appliquer, car tout ce qui est écris sur Wikipédia entre dans le droit de la liberté d'expression et d'information. C'est pour ça que si l'information personnelle est présente dans une source publique, ça n'est pas à Wikipédia de supprimer l'information, mais au plaignant de faire valoir son droit d'abord sur les sources.

ça n'est pas à Wikipédia de supprimer l'information, mais au plaignant de faire valoir son droit d'abord sur les sources.
Wpayen et moi te citons les articles du RGPD, toi jamais.
Dis moi donc où il est écrit dans le RGPD qu'il faut d'abord exercer son droit à l'effacement auprès de la source et pas auprès du responsable du traitement que l'on choisit.
Bon courage, c'est écrit nulle part. Mais lis le RGPD, c'est intéressant, au moins, tu auras appris quelque chose aujourd'hui.

Le 17/01/2024 à 16h 02

Parce que le jugement en question est complètement con.

La Cour de Cassation est meurtrie par ton commentaire. Elle pensait que ça passerait inaperçu.

Mais, il reste la CEDH pour corriger sa connerie. Ou pas.

Le 17/01/2024 à 12h 55

Une donnée publique est par définition non privée. Étant donné que Wikipédia repose sur des sources publiques, à quel moment donc la demande serait-elle fondée ? Si la personne fait valoir son droit à l'oubli sur les sources, il n'y aurait plus donc de sources pour Wikipédia.

Vouloir faire porter la responsabilité à Wikipédia, c'est créer un dangereux précédent où toute personne qui veut se faire supprimer sa page parce qu'elle nuit à son image, et ça s'applique donc à tous les politiciens qui font de la merde, aux charlatans etc.

Tu confonds donnée privée et donnée personnelle.
Wikipédia a une bien plus grande visibilité que bien des sites et que peut-être la source sur laquelle il s'appuie. Et c'est la même chose pour Google, c'est pour cela que je comparais plus haut les 2. C'est pour cela que les personnes exercent leur droit à l'oubli auprès d'eux en priorité.

Le fait qu'une source soit publique ne change rien vis-à-vis du RGPD.

Il ne s'agit ici pas de faire porter la responsabilité à Wikipédia de quoi que ce soit. Il s'agit de faire appliquer le RGPD, c'est tout.
Edit : je comprends en relisant pourquoi tu parles de responsabilité (à cause du terme responsable de traitement), cela n'engage aucune responsabilité éditoriale, mais juste une responsabilité par rapport au RGPD : ils doivent le respecter.

Le 3 de l'article 17 du RGPD dispose que :
Les paragraphes 1 et 2 ne s'appliquent pas dans la mesure où ce traitement est nécessaire:
a) à l'exercice du droit à la liberté d'expression et d'information;

C'est dans ce cadre là que l'on peut garder dans certains cas des informations personnelles publiques sur des sites comme Wikipédia ou Google, mais, c'est du cas par cas et c'est un juge qui décide en pesant pour le cas présenté quel est le droit fondamental qui l'emporte entre la liberté d'expression et le droit à la vie privée.
Et je te rassure, il y a eu des cas où c'est la liberté d'expression qui l'a emporté.

Le 17/01/2024 à 12h 42

Toutes les modifications sur Wikipédia sont tracées, donc il n'est vraiment pas difficile d'identifier l'auteur d'une modification.

Quel rapport avec ce que je dis ?

Dans l'UE, quand il y a un traitement informatique sur des données personnelles, il faut désigner un responsable du traitement. C'est obligatoire. Le responsable du traitement peut être une personne morale. Mais il ne s'agit pas de la personne qui insère une information personnelle (par exemple nom et prénom) dans le texte du site Wikipédia.

Le seul rapport, mais je suis sûr que ce n'est pas ce que tu voulais mettre en avant, c'est que comme on trace les modifications, pour faire appliquer le droit à l'oubli correctement, il faut aussi demander de supprimer ces traces qui contiennent la modification qui a ajouté l'information personnelle et aussi celle qui va supprimer l'information personnelle. Mais de ce que j'ai lu sur leurs pratiques sur leur site, ce n'est pas prévu, ils disent même que cette information resterait visible.

Le 17/01/2024 à 11h 51

Sauf que Google est un éditeur, pas un hébergeur.
Et si, l'application du droit à l'oubli est bien une censure, que ça soit pour de bonnes ou mauvaises raisons.

Disons que la Fondation Wikipedia est un hébergeur, oui.
Cela ne change rien au fait que lorsqu'on lui signale un contenu illicite ou que la justice le décide, elle doit retirer le contenu. Son statut d'hébergeur lui évite juste d'être responsable du contenu et d'être condamné. Par contre, les modérateurs qui décident de maintenir un contenu comme ici peuvent voir leur responsabilité pénale engagée, parce qu'en faisant des choix sur le contenu, ils deviennent éditeurs.

En cherchant sur leur site, je me rends compte qu'il n'apparaît nulle par l'identification du responsable du traitement (défini par le RGPD) et tous les textes concernant la vie privée et qui devraient appliquer le RGPD sont uniquement en anglais. L'absence d'identification du responsable de traitement et une violation des articles 13 et 14 du RGPD. L'utilisation uniquement de l'anglais est une violation de l'article 12 qui demande que l'information à fournir au titre du RGPD doit être "compréhensible".

Le 17/01/2024 à 10h 59

Sauf que Wikipédia n'invente aucune information, elles sont toutes déjà publiques dans des sources. Donc personne ne peut venir censurer Wikipédia sous prétexte de "droit à l'oubli". Et encore heureux.

En suivant ton raisonnement, on pourrait dire la même chose pour Google. Or Google a déjà été obligé d'appliquer le droit à l'oubli.
Parler de censure alors qu'il s'agit de droit à l'oubli et donc de respect du RGPD et du droit à la vie privée n'est pas approprié.
Pour être plus précis, le RGPD parle du droit à l'effacement et met entre parenthèses («droit à l'oubli») dans le titre de son article 17.

Le 18/01/2024 à 10h 11

Comme c'est dans le DMA, oui, il devra aussi permettre la désinstallation, ce n'est pas réservé à Apple.

Le 18/01/2024 à 09h 34

Direct Memory Access, voyons !

Le 17/01/2024 à 20h 11

C'est plus compliqué que cela.

Le problème qui se pose aussi c'est qu'une IA recrache un peu trop violemment du contenu d'entrainement qui est protégé ce qui serait de la contrefaçon.

Le soucis est que l'IA comme son utilisateur peuvent ne pas réaliser cette problématique car ils ne contrôlent pas le résultat sur chaque oeuvre existante.

Alors qu'un auteur humain peut s'inspirer mais les risques de contrefaire par accidents sont assez minces.

Le commentateur initial avait exclu ce cas de son propos : (je ne parle pas de l'aspect recracher le contenu dans le cas présent). Donc, psikobare lui a répondu dans ce cadre là uniquement (même s'il n'a pas copié la partie entre parenthèses).

On est tous d'accord je crois que les cas de régurgitation trop violents sont bien des violations de droit d'auteur et au moins OpentAI dit que c'est un problème qu'ils essaient de corriger. On verra bien si c'est possible sans trop dégrader leurs IA génératives.

Le 17/01/2024 à 19h 43

Justement, le document lié dans l'article explique comment ça marche. L'idée, grosso modo, c'est d'avoir un système aussi simple à utiliser (tant côté création que visionnage) que https. Tu auras une pastille CR qui te donne les informations utiles. Tous les détails sont expliqués, et ça ne semble pas déconnant.
Si pas la pastille CR, alors tu n'as aucune info, et donc possibilité (et donc suspicion) de falsification.
Le standard sera efficace si les grands éditeurs sont sérieux (là, ils misent sur l'enjeu de réputation - pas con), et s'il est largement adopté. Wait & see. Au moins ils proposent quelque chose.

Ça, j'avais compris. Mais c'est un vœux pieu des concepteurs du système qu'il soit adopté majoritairement. Aujourd'hui et pendant pas mal de temps à mon avis, ce système sera très minoritaire.
Je ne vois pas vraiment ce qui peut entraîner la bascule dans un système aussi contraignant en terme de logistique : il va falloir gérer des certificats.
L'affirmation d'OpenAI disant qu'ils vont déployer ce système de certificats est aujourd'hui une fumisterie. On pourra toujours fabriquer une image sans certificat et tant que ce système n'est pas adopté sur une très grande majorité de site, ça ne sert à rien.
Par exemple, je vois très mal l'intérêt qu'aurait X (anciennement Twitter) à adopter un tel système: ça ferait baisser beaucoup leur trafic et donc leurs recettes. Je vois bien Musk dire qu'au nom de la liberté d'expression, il ne faut pas adopter une mesure technique de ce type qui contraindrait ses utilisateurs.
En tout cas, moi, un tel système, ça me fout la trouille.

Le 17/01/2024 à 16h 30

Pour faciliter le traçage et « améliorer la transparence sur la provenance des images », OpenAI indique s’apprêter à déployer le système de certificats numériques de la Coalition pour la preuve et l’authenticité des contenus. Celui-ci permet d’encoder des détails sur l’origine des images grâce à la cryptographie, donc de les estampiller « image générée par DALL-E ».
J'ai eu la flemme de lire leurs specs, mais de ce que je comprends, c'est un ajout de certificat pour assurer d'une provenance. Ils parlent aussi d'appareils photo qui généreraient de tels certificats.
Mais à partir du moment où :
1) cette information doit être lisible en clair pour être affichée,
2) la signature doit être aussi lisible pour vérifier que l'information sur cette provenance n'a pas été altérée et enfin,
3) l'image doit être lisible pour être affichée

comment pourraient-ils empêcher de produire une image ne contenant pas ces informations et ce certificat ? Cette image ne dirait donc plus qu"elle a été générée par DALL-E.

Le 17/01/2024 à 16h 33

Les branches de corail qui tombent, c'est dangereux :stress:
Mais bon, à chaque câble il y a 2 bouts qui sont au sol, sur des multiplexeurs ou des trucs comme ça, eux peuvent inonder ou tomber en panne de groupe électrogène.

Oui pour ce qui est sur terre à chaque bout, mais c'est relativement rapide et facile à réparer par rapport à un câble sous-marin.

Le 17/01/2024 à 10h 43

Pas d'accord du tout. Ca marche très très bien pour SpaceX.

Ils ont toujours fait comme ca et c'est maintenant la boite avec la plus grande série de lancements réussie à la suite avec leur Falcon 9 (qui sert aussi à envoyer des gens) tout en étant des années en avance sur tous leurs concurrents.

Et avec Starship, ils sont déjà au niveau du SLS pour moins de 10% du prix de conception.

Ils ont complètement changé la manière de designer des fusées et tout le monde est train de faire comme eux: lancer beaucoup (et se foirer parfois) et tout le temps s'améliorer. Plutôt que de tout avoir bon la première fois et que chaque modification prenne des plombes.

Ah bon ? Qui d'autre fait comme eux ?

Édit : correction inversion de 2 mots.

Le 17/01/2024 à 10h 40

Non. ta version signifie autre chose que le texte de l'article qui est correct pour insister sur le "aucune".

Le 16/01/2024 à 20h 04

caca de bœuf
:mdr:
Parlons français. :francais:

Le 16/01/2024 à 20h 03

bah, nvidia utilise bien les fabs de tsmc, non ?
Il suffit d'aller traverser la mer pour se mettre à niveau donc, j'ai bon ?
:chinois:

:mdr:
Non, ça permettrait juste d'avoir des puces au bon niveau quelques temps, mais la suite des produits nvidia seraient produits ailleurs et il faudrait ensuite envahir cet ailleurs. Et le savoir faire des Chinois n'aurait pas progressé au niveau de la conception.